La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Mon Background ( que je n'ai pas eu le temsp ni de faire lire ni de faire approuver par XK donc..... lol gentil le toutou, pas mordre ):
Mon véritable nom est Ursula Xar( nom de mon père) Libure ( nom de ma mère) mais je n'ai jamais aimé ce nom...c'est pour ça que j'ai joué avec mes initiales pour donner Lux...
Je suis née à Tear et c’est là que j’ai vécu avant de venir à la tour.
J’habitais un petit baraquement du bas quartier avec mes parents et ma soeur Kah Xar Libure ( dit XK Libure) .
A nous deux nous cumulions les ¾ des bêtises, des insolences, des persecutions de Tear( du moins c’est ce que nous affirmions fièrement !) . Dans notre société enfantine nous étions les reines, ou plutot les tyrans . Nous faisions la lois chez tous ces marmots. Mais Il a bien fallu grandir un jour, et ce jour là je ne l’ai pas choisi.
Je doit dire que ma soeur était encore plus "folle " que moi ou peut-être plus agressive…. Mais elle et moi avons toujours été très proche, d’une manière assez paradoxale…
Nous pouvions nous dire tout et gardez pour nous même l’essentiel, sœurs et étrangère à la fois. Tout le temps fourré ensemble, éprouvant l’une pour l’autre une fraternité sans borne et pourtant, un incompréhension ? et étrangement, nous nous sommes rapprochés l’une de l’autre lorsque physiquement nous avons été séparé….
Un jour que j’étais tranquillement en train de me chauffer au soleil devant chez nous tout en degustant des bonbons volés à un petits garçons de 10 ans, ma sœur a déboulé devant moi, gravement blessées. Elle saignait de partout et au début j’ai eu du mal a localiser la plaie sur son bras.Une fois que j’eu nettoyé la plaie et que je l’eu pensé, j’entrainais ma sœur dans un recoin à l’abris loin de notre habitation. Il était hors de question que notre père sache quoi que ce soit de nos activités diurnes. Je l’ai laissé l’un un moment pour allé lui chercher une couverture et de quoi s’installer plus correctement le temps qu’elel se remmette un peu. Nous avions encore la journée devant nous. Malheureusement sa plaie s’était infectée et ma sœur commença a avoir de la fièvre . De peur qu’elle s’endorme je la forceais à parler : comment s’était-elle fait cela ? Une bagarre qui avait mal tournée, ils étaient trop nombreux, juste le temps de s’échapper. Un sourire crispé, une parole soufflée incompréhensible, et elle s’évanouissait . Ma sœur a toujours été quelqu'un de solide et de rarement malade, c’est pourquoi, quand elle se mit à délirer, je commençais de mon coté à paniquer. Je n’arrivais pas à me résoudre à demander l’aide de mon père. Ma mère ? Elle était ailleur, dans son monde de chimères , elle était passive face à la vie réel, autant dire qu’elle ne vivait plus, et pour cela, naivement, je la méprisait, sans chercher à connaître la cause de son état.
Toujours est-il que j’étais là dans ce coin de rue, auprès de ma sœur, le soleil allait se coucher dans une heure ou deux, la tête de ma sœur sur les genoux. Je lui caressais machinalement les cheveux tout en souhaitant de tout mon cœur qu’elle aille mieux. Et sans le savoir j’ai failli la soigner. En effet , je crois qu’à ce moment là j’ai, il semblerait, " effleuré " la Vraie Source. Je n’ai pas canalisé mais ceci à suffit à attirer une Aes Sedai qui menait une mission dans le coin . Lorsqu’elle nous vit toutes les deux elle compris rapidement ce qui s’était passé. Elle soignat ma sœur et allait parler à mes parenst le soir même. Il fut décidé que je partirait avec elle pour la Tour Blanche.
Moi je sautait sur l'occasion, j'ai toujours été ambitieuse et partir à Tar Valon m'offrait un moyen de m'élever de ma pauvre condition . J'ai toujours été attiré par le pouvoir et le savoir.
Je ne réalisais evidemment pas ce jour là que je n’avais pas mon mot à dire quand à la décision de mon départ, je le compris qu’une fois arrivé là-bas. Aurais-je voulu rester auprès de ma sœur et de mes parents que je ne l’aurais pu.
Tar Valon……
Quand j’y suis arrivé le soleil venait à peine de se lever…..Le soleil matinal sur les batiment immaculé de la ville…. C’est à cette heure là que la ville est la plus belle.
Cependant je n’étais pas là pour visiter la ville . La femme qui m’accompagnait était pressée de rejoindre ses sœurs . Parmis ses gromellements je cru comprendre qu’elle avait d’importantes informations, rien ne me concernant, moi je n’étais qu’une nouvelle novice de plus, rencontrée au hasard de son chemin.
Nous parcourîme la ville en direction de la Tour blanche. Je du courir pour ne pas me faire distancer. C’est en passant sous un arche que j'aperçu la Tour dans son intégralité. Elle est impressionnante , et le pouvoir qu’elle représente aussi. L’idée que je vais appartenir à ce tout que forme la Tour fais diffilement son chemin dans mon esprit.
Nous continuâme, ma compagne n’avait pas de temps à perdre en contemplations futiles.
C’est presque en courant que je parcouri les derniers metres qui nous séparaient de la porte d’entrée. Je la rattrapais à temps pour entrer dans le hall avec elle .
J’eu le souffle coupé, par la majesté du lieux mais aussi car je réalisais qu’à l’instant où j’avais passé la porte , ma vie avait été irreversiblement changée. Mon enfance avait pris fin et ici commençait mon apprentissage.
voilou....euh dsl s'il ya des fautes d'ortho... c'est que quand je me relis, elles se cachent les crapouilles....
Je suis né il y a 22 ans en Amadécia, dans un petit village situé près d’Amador. Mon père était un forgeron apprécier pour la qualité de son travail.Nous étions heureux et la vie était pour le moins paisible.
Mais ma vie à basculer à l’âge de 6 ans, quand par une pluvieuse journée d’automne, une troupe de ces infâme blancs manteaux arrivèrent chez et prétendirent que mon père avait fait les pires ignominies.
Mon père s’en défendit, mais allé savoir il est plus facile de convaincre un Trolloc de devenir végétarien qu’un blanc manteaux que vous n’êtes pas un ami du ténébreux.
Ils emmenèrent mon père de force, et j’appris plus tard qu’il était mort sous le dôme de vérité par la main de ses infâmes inquisiteurs.
Ma mère et moi nous dûmes fuir l’Amadécia au plus vite, sous peine de nous voir infligé le même traitement.
Avec les maigres économies de ma mère, nous traversâmes le continent pour enfin échouer dans les marches, là où les blancs manteaux ne nous retrouveraient pas.
Nous vécûmes ainsi pendant quelques temps à Shol Arbela en Arafel, assez misérablement je dois dire. Ma mère due dure travailler dans une taverne pour arriver à subvenir à nos besoins.
Mais c’est la bas qu’elle rencontra l’homme qui allait changer nos vies à tous les deux.
Quelques mois après note installation à Shol Arbela, le seigneur Al’Torean se fit servir un verre d’ail par ma mère et tomba immédiatement sous son charme.
Ils nous emmena dans son domaine situé à la frontière de la Dévastation et épousa ma mère seulement quelques jours après notre arrivée.
Il m’éleva comme son fils et me donna l’éducation d’un seigneur des marches. Ainsi j’appris à respecter les Aes Sedais pour leur combat éternel contre l’Ombre, à gérer son domaine mais aussi à manier l’épée.
Je me souviendrait toujours de mon véritable père, cependant ce fut qui m’éleva et je finis par l’appelé père, pour son plus grand plaisir .
Le jour de mon seizième anniversaire, il m’emmena dans la dévastation avec ses hommes pour que je sache de quel danger nous protégions le reste du continent. Durant cette campagne je tuais mon premier trolloc. Depuis j’en est estourbi un certain nombre, ainsi qu’un évanescent, et à chaque fois c’est la même exaltation, le même plaisir, mais la première fois c’est la première fois….
Une fois ce dépucelage un peu particulier effectué, je décidais que l’épée ferait partie intégrante de mon avenir.
Enfin il y a quelques mois, il m’est apparu que combattre le ténébreux ne devait pas se limiter à de simples escarmouches avec des trollocs, quelques plaisirs que je prenne à les voir se tordre de douleur en essayant de récupérer leurs boyaux dégoulinants sur le sol après une éviscération.
Il est évident pour moi, comme ça l’est pour tout habitants des marches, que le plus grandes épines dans le pied du ténébreux est la tour.
Aussi, avec la bénédiction de mon père, je fis mon balluchon et direction Tar Valon pour apporter ma contribution dans la bataille qui sauvera le monde.
Et me voici !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Barberousse, mon petit,mais que de similitudes, nous sommes compatriotes et tous deux avons souffert de la main ignoble des BM . J'y ai,moi, perdu toute ma famille .
Peite différence, toutefois, je suis né noble, d'une grande et ancienne famille! et celui qui m'a enseigné la maîtrise de l'épée était un vieux serviteur de mon père, son maître d'armes .
Donc' à bientôt à l'auberge !
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
je me dis souvent que il n'y a qu'un pas entre Bm et serviteur de la tour
Je dois avouer que sur la fin... le passage sur le plaisir sadique est assez édifiant... celui avec l'allusion phallique évidente (épée = substitut ? les experts s'interrogent).
Ceci sans oublier l'avatar.
Bah d'habitude quand je parle d'eviscération et autre joyeusetés de ce genre, le sexe est très certainement la dernière chose qui me vient à l'esprit.
Dans mon Background, je parle seulement de l'exaltation du guerriers des marches à exécuter l'ennemis qui massacre sont peuple depuis des millénaires.
J'envisage d'ailleurs de publier sous peu un manuel qui se nomerais [i]La meilleure façon d'autopsier un trolloc en bonne santé[i].
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Bah c'est le fait d'associer le dépucelage et l'épée (symbole phallique reconnu, je ne l'invente pas) dans la même phrase, sans oublier le champ lexical du plaisir intense ("la même exaltation, le même plaisir, mais la première fois c’est la première fois…. ") qui l'accompagne qui me faisait dire ça. Avouez que c'est tout de même troublant.
Après vous pouvez dire que je suis tordu, c'est sans doute vrai de toute façon . D'ailleurs, j'ai rien contre les tordus .
Enfin quelqu'un qui parle franchement d'evisceration et du plaisir intense que nous procure un Trolloc en train de se tordre de doleur , avec du sang partout , partout !!!!
Il faut me dire quand ton livre sort , je me ferais une grande joie de le lire ....