La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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je suis partante. ce serait bien si on pouvait écrire un texte, ou chacun, enfin ceux qui veullent, pourrait rajouter un paragraphe, une phrase, une page pour ceux qui sont inspiré!, qui aurait un lien, aussi minime soit-il, avec ceux de la pierre. Un texte collectif quoi!(un endroit ou caramon pourrait bruler sur un bucher sans répercutions...)
Devant tant d'ardeur, je ne peu dire qu'une chose : commencons !
(sinon, pour ceux qui craignent la longueur, qu'ils se rassurent, ce sera limité à environ une page, pour qu'il y ai du monde qui écrive aussi bien que pour ceux qui les liront )
je propose de commencer par l'idée donnée par tous, une histoire à suivre. Chacun continue en suivant les posts des autres. Essayez de bien respecter ce qui précède votre post.
veuillez lire les FAQ de l'histoire à suivre avant d'y participer : ici
Je commence :
Il était une fois (eh oui formule obligée ), une groupe de joyeux lurons, très hétéroclite (aes sedais, liges, blanc manteaux, frères loups...) qui arrivent dans un petit village à la frontière des Marches, après avoir échapé à divers périples (la pendaison, la bauge, l'arène...). Tous entrent dans ce petit bourg, aperçoivent une auberge, et sur l'insistance des liges et frères loups, il entrent boire un coup...
*rentre et cherche une table avec pas mal de places**s'assoit*
Un pt'it verre, aubergiste, j'offre une tournée générale!
*chacun s'assoit*
Tout le monde discute un peu, le temps de s'égaiyer le gosier et l'esprit, puis l'ambiance s'installe.
Chacun se plait a évoquer les aventures vécues, récemment ou non, et commence une joute d'histoires plus interessantes les unes que les autres!
Nous avions rendez-vous avec des amis d'enfance, dans un petit bourg en pleine campagne.
Mes hommes ont tenu à m'accompagner. Ils me sont fidèles jusqu'à la mort mes hommes et se font du soucis pour leur supérieur. C'est donc à cheval et sous haute escorte que je suis arrivé devant l'auberge. Les capes blanches ornées du soleil, les casques et les armures brillantes, nous avons fier allure nous autres fils de la lumière.
Les pauvresses et les faibles d'esprits regardent intimidées, notre splendeur.
"PLACE PLACE AU SEIGNEUR CARAMON"
Je sais très bien à quoi ces gens pensent. Ils se disent "voilà ce que veut dire le mot DIEU, voilà ce que signifie LA LUMIERE". Un sourire au coin des lèvres, je presse ma monture d'avancer.
Mais soudain, une pauvresse en haillon jaillit devant mon chemin. Elle pousse des cris effrayants. Puis se met à sauter sur place comme une démente.
La pauvre fait peine à voir, de nombreuses verrues couvrent son visage. Elles a des plaques rouges sur la peau, et les yeux rouges. Le visage est balaffré et les cheveux atteints de calvitie. La bouche bave un liquide verdatre et les dents et BIEN...il y en a plus!
Un de mes hommes s'approche de moi "laissez maître, vous n'avez pas à vous occupper de cette racaille" me glisse-t-il à l'oreille. Et déjà je le vois qui saisit son épée.
OUI autant mettre un terme à cette misère qui n'a plus visage humain.
Mais je retiens mon homme, la femelle a quelque chose de famillier.
"Méliane" C'est bien elle??
Soudain un homme protégé du froid des Marches par des peaux de bêtes cousues se place entre la femme et les Blancs-Manteaux.
"Arrêtez ! Votre vue vous trompe ! Cette femme n'est pas malade, elle est victime de la vengeance d'une Aes Sedai Noire. C'est le Masque des Illusions !"
Tout en s'interposant, Elann s'apprêta à devoir sortir son arme, pour l'instant dissimulée sous ses vêtements, car Caramon est réputé avoir la tête dure.
- Que se passe-t-il ici ?
Un vieilard ventripotent, entouré de ses trois sous-fifres, vient de sortir d'une grande bâtisse. Ses yeux, rouge de rage, se fixent sur le Grand Commandeur :
- Seigneur Caramon, si votre réputation vous a précédé en ce lieu, cela ne vous empêche pas de respecter les lois de cette bourgade. Heureusement que cet homme ai pu empêcher cette méprise. Je suis le bourgmestre et il me semble que vos hommes aient beaucoup d'entrain à manifester leur supériorité physique. Passez votre chemin, cette femme nous ait familière et ne troublera point votre séjour ici, si tant est qu'il soit court.
Une lueur de malice traverse le regard du bourgmestre qui, tout en saluant le Seigneur Caramon, ordonne à ses hommes de s'occuper de la pauvre femme.
Ceux-ci la relèvent, puis l'emportent dans le sillage du vieil homme.
apres que CARAMON est du laisse cette vielle femelle aux mains du bourgmestre ,un flash lumineux apparut et soudain une carrure bien febrile se dessina .cété hargol ce dernier s inclina devant son commandeur e lui demanda avec une voix plein de haine : voulez vs seigneur que je m occupe de se bougmestre qui a osez vs offense ?
les yeux d hargol petille de plaisr jusqu a que caramon lui annonce avec un sourire sans imperfection que tt c effort ne servait a rien puique cette vieille femme n avait plus aucun espoir de recouvrer le chemin de la lumiere ,qu elle été perdu !
le visage d hargol perdi de sa haine pour laisser place a la surprise, decu par cette reponse.il essaya tant bien que mal demasquer sa reaction qui le rendé vulnerable e regarda la vielle mendiante a vec un regard melant haine e pitie.
apres avoir devisage longuement ce debris il decida de rentrer ds l auberge e de se payer une biere qui le consolera de ne pas avoir pu exercé ses talents sur la vieille femme
decide e ridicule a la fois il se mit bien a la vertical comme un piquet e salua on commandeur qui le remarqua a peine ... vexe il rentra ds l auberge
Le Commandeur regarda Hargol se diriger vers l'auberge. Il eut un soupir et fit signe à son homme de confiance à cheval à ses côté. "JE me fais du soucis pour le fils Hargol, il est trop impulsif. Il aime trop la lumière. Je sais, il veut bien faire. Mais, il faut savoir modérer ses ardeurs...
Et toute cette haine pour les ténébreux. Il prendrait plaisir à les massacrer, à les torturer... Faut-il donc a qu'il donc absolumment qu'il devienne un inquisiteur?"
"Seigneur ne vous faites pas tant de soucis, il est encore jeune"
"OUI, tu as raison allons plutôt dans cette auberge"
-Tempête? Dit à Rapide de faire passer le message suivant à Elann: Le prochain rassemblement aura lieu dans la Saldaea, non loin au Sud de Mara. Dans trois semaines semaines.
-Blancs Manteaux *se retourne surpris* Qu...quoi?
Non, Elann est au prises avec des blancs manteaux...
-Ou? Non loin je suppose, nous étions avec lui hier soir...
-Un peu à l'ouest, un village *Jarra alors...*
Nous le rejoignons...Suivez moi non loin mais prenez vos ditances *Deux heures de course effrénée, les loups restents à l'écart, dans la foret, tandis que je pénètre dans le village...Les gens sont manifestement sur les nerfs...Combien de blancs manteaux y'a t'il donc?*
-Bonjour mon bon monsieur, j'ai été prévenu de l'arrivée de blanc manteaux...
-A l'auberge!me répond t'il rapidement. L'homme file.
*quelles atrocités ont-ils déja commisent?*
De mon côté, j'arrive au village, aperçoit Meliane, et vient lui porter assistance. c'est alors qu'elle me raconte le méfait de Caramon.
"décidement cette rencontre commence mal"
Je décide de me mettre en quète de Caramon avec Eldair pour lui faire des remontrances, quand nous apercevons Elann aux prises avec des Blanc Manteaux et dévalant la colline, une meute menée par Klian allant à son secour...
Tapi dans l'ombre, j'observe la scène de mon fier destrier.
Décidémment, cela ne changera jamais, c'est toujours la même histoire avec des Blancs Manteaux: violence, mépris et intimidation sont leurs maître-mots.
Je m'avance tranquillement vers le bourgmestre, toisant les chiens galeux qui souillent cette contrée.
Ce ne devait être qu'une rencontre et Caramou se ballade ostensiblement avec sa petite garde. Tout ça va nous attirer des problèmes.
Je fais un signe de tête à mon frère lige et regarde Méliane dans les yeux...mais que t'est-il arriver ?
Il est grand temps de tirer cela au clair, je propose que nous nous réunissions à la taverne.
Ma nuit s'éclaire soudain.
Voila que je reprend conscience. Ou puis je bien être ? Mes sens sont encore confus mais je suis assailli d'odeur étranges et peu familières. Seule l'odeur du pelage mouillé des chevaux éveille en moi quelque souvenir.
Je me lève et regarde autour de moi. Il apparait que je me trouve près d'un tas de foin, accolé à une écurie. Une auberge, oui c'est bien une auberge. Mais qu'elle est étrange ! Je ne reconnais pas les accoutrements des hommes et des femmes que j'aperçois alentours. Ils me semblent à la fois familiers et pourtant...différents.
Un homme descend de cheval tout près. Je m'approche pour mieux l'examiner. Il me scrute et m'interpelle : "et vous êtes...?"
hargol tj vexe par la reaction de son maitre buvait sa biere .il fixait son verre avec un air desesperee .mais meme en etant ds un etat secondaire il reussit a ouir les propos de meliane sur une certaine reunion pour mettre tous les evenement au clair !!
c alors quil se dit que sa chance arrivait telle don quichote voyant un moulin a vent l attaquait e decida de se faufiler e d espionner la reunion !!!
Cela il en été sur , son maitre lui en serai reconnaissant !!
l exitation commencait a envahir se pauvre hargol , une grimace qui se voulait un sourire se dessina sur cette figure massacréé par la vie e les perils qu il avé vecu , decouvrant une rangéé de dents noircie ( en effet lui il connaissait pas colgate ).
il sortit de l auberge sans payé sa biere e courut comme un deraté suivant Méliane e sa troupe de tenebreux a une distance raisonnable
"Hé héhé héhhé youpppiiiii VIVE L'ALCOOL ET LES FEMMES.
Qu'il fait bon de festoyer"...
Notre Grand Commandeur s'est installé près de la cheminé dans l'auberge.
Il est déjà à son 7ème verre et pelotte la servante aux formes pulpeuses.
C'est alors que l'aubergiste s'approche de moi un air menacant planté sur son visage. "vous buvez une autre choppe de vin?"
QUOI QUE dit-il?????? Comment ose-t-il???
"je vais vous tuez choppe de vin???" Mais, ces paroles ne veulent rien dire? Il m'insulte. QUOI, ILS SONT DEUX!!!!
Dégage, ténébreux ou je te refais le sourire avec ma dague!!!!
TUEEEEEEZZZZZZZ
Notre Commandeur renverse la table de l'auberge. Il est assailli par des ténébreux. Nous nous portons tous à son secours. (C'est toujours comme ça que cela finit. Les ténébreux sont partout. On ne même plus boire tranquille en pelotant jolie serveuse!!!)
Une bataille générale s'engage aussitôt dans l'auberge.
Eldair marmonnait.Lan la guidait à travers la ville,à la recherche des Fils de la Lumière. Non mais quelle audace avait ce Caramon!!Décidemment les Blancs Manteaux n'avaient vraiment aucune juste mesure!!!!Insulter une Aes Sedai !!Comment osait il??Elle serra les poings.reste calme, se dit elle.Tu dois rassembler tes esprits : laisse tes émotions te dominer et tu finiras transpercée par un imbécile aveuglé par la Lumière,ma fille !!
Elle soupira : quand est ce que le Commandeur se montrerait il raisonnable...ah, les hommes!!!Elle s'appretait à revenir sur ces pas lorsque des éclats de voix l'attira vers l'auberge de la Femme Soumise...Avec un nom pareil, Caramon n'avait pu que choisir celle ci!!Elle entra...et se retrouva dans le chaos le plus total : les tables étaient renversées, les bancs brisés...et au centre de la pièce, Caramon gisait sur le sol...
Et bien..ca commence mal,se dit elle.Elle avanca dans la salle...
Autour de moi, les objets apparaissent vagues. Ils sont flous. Et j’ai mal au crâne à m’efforcer de les regarder. « arrêtez de bouger ! Je vous aie rien fait moi ! »
« Mais ou suis-je ? » Analysons la situation : des tables et des chaises renversées, des éclats de ver partout, des choppes de bières partout. « Et ça qu’est-ce que c’est ?»
Quoi ? un sous-tient gorge de serveuse ?
Oui, je comprends. Je suis dans une auberge.
Mais, il y a une autre chose qui m’échappe. Quels sont donc ces habits ? Mais pourquoi suis-je vêtu de blanc ? Quelle est donc cette blouse blanche et cette cape ridicule ?
Et puis d’abord, qui suis-je ?
Le Grand Commandeur continue de s’interroger alors qu’une femme étrange entre dans l’auberge.