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En route pour Tear, ou : Perdus dans la Pampa
(Sujet créé par Dorilys l 18/11/04 à 19:11)
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Liliana
23/11/2004 19:23
Chercheuse de temps

La mort écarlate?

"Il me faut de l'eau chaude et froide.je me retourne vers le gamin Dis moi mon garço, ce poison, sais tu à base de quoi il est confectionné? Quelles plantes?"
Le Conteur
23/11/2004 19:28


Alias de Owyn
Le gamin refléchit un instant.

Je... je ne sais pas. On raconte qu'il est confectionné à partir du venin d'un serpent très rare. Mais ce n'est qu'une rumeur...
Dorilys
23/11/2004 20:09

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Noral

Va vers la porte et hurle pour qu'on lui apporte ce que demande Liliana.

Noral ne connaît peu ou prou Liliana, Dolirys lui en avait parlé une fois après qu'il l'ai trouvé en larme il y a quelques années.

Elle n'était pas rentré dans les détails, mais Noral en avait déduit qu'elle l'a considérait comme une petite soeur à laquelle elle tenait plus que tout.
Dorilys lui avait même dit qu'elle lui avait aposé sur la nuque la marque de son clan avec les nuances subtile qui faisait de celui-ci sn emblême personnel.

A sa connaissance cela n'avait jamais été fait, surtout que Liliana était une continentale. Mais Dorilys était une exception à bien des égards.

Maintenant que Dorilys était Maîtresse-des-Navires sa marque, donnait à la jeune femme un rang dans l'Atha'an Miere tel qu'elle arborer les médaillons d'une Maîtresse-des-Vagues.

En tout cas, l'affection de Dorilys pour cette jeune femme, suffisait amplement à Noral pour qu'il lui fasse une confiance aveugle.

Une mousse arriva enfin avec tous les articles demandés et déposa rapidement la bassine d'eau fumante et les serviettes propres a rpoximité du lit de Dorilys.


Avez vous beoin d'autre chose guerisseuse?

Liliana
23/11/2004 21:14
Chercheuse de temps

J'osculte la cuisse de Dorilys, le poison semble visiblement ne s'être pas encore trop propagé. nous avons de la chance
Voyant des jarres d'eau arriver, je m'adresse à Noral:

" Trés bien tout en sortant les herbes. Il va falloir faire trés vite. Broyez ces feuilles puis laissez les infuser dans l'eau chaude durant quelques minutes. Faites apporter des linges propres ainsi qu'un couteau, ou une lame, mais avant plongez la dans l'eau bouillante. Auriez vous un alcool fort? je vais tenter de faire sortir le maximum de venin et cela sera douleureux."

J'attrape un drap et découpe un morceau, puis je fais un garot sur la jambe blessée.


Dorilys
23/11/2004 21:22

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Noral

Noral éxécute minutieusement les instructions de Liliana, en prennant sa propre dague, après avoir envoyer chercher une bouteille d'alccol.

Quelques instants après Noral à finit et on lui ramène une bouteille en terre cuite, probablement embarquée à bord en cachette et trouvé sous le lit d'un matelot.

Noral n'avait aucun doute sur le contenu qui devrait suffir à à rendre ivre la totalité de l'équipage.

Il tend la bouteille à Liliana bien que ne sachant pas ce qu'elle va en faire.
En tout cas il espère que ce n'est pas pour se donner du courage...
Liliana
23/11/2004 21:47
Chercheuse de temps

" Redressez la, Dorilys il faut que tu avales ça je lui administre la tisane . Tu dois tenir bon, ce n'est pas maintenant que je t'ai retrouvé que tu vas me filer entre les doigts de cette manière. me tournant vers Noral Faites lui boire un grand verre d'alcool. "

Je noue mes cheveux avec un cordon puis attrape l'arme laisser à mon attention.
Je passe ensuite la lame sous la boisson que Noral vient de me donner. Je me penche alors vers la plaie, elle est boursoufflée, une boule compacte s'est installée.

" Noral vous devriez la tenir, maintenez lui la jambe, il ne faut pas qu'elle bouge. Et toi jeune homme, éclaire moi avec la bougie afin que je vois mieu sa cuisse."

J'inspire profondement puis verse une grande quantité d'alcool sur la partie infectée, je commence à entailler délicatement la plaie. Dorilys tressaille, je m'arrête un instant puis reprends. D'un geste fort, j'appuie de part et d'autre de l'insision, un liquide noir mêlé de sang s'en extirpe.

"Passez moi un linge"

Je tamponne doucement la blessure, puis replonge la lame de part et d'autre, un peu plus profondement, seulement du sang en sort. J'attrape alors la bouteille d'alcool, verse à nouveau le liquide sur la plaie, puis avec les linges restant, je confectionne un bandage.

Dorilys
23/11/2004 22:04

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Seulement à demi consciente je vois approcher Liliana de moi. Je lui souris, si heureuse de ne plus avoir se terrible doute qui me tenaille depuis 12 ans.

Je souffre encore, mais la douleur est presque lointaine maintenant.


Dorilys il faut que tu boives je lui administre la tisane


J'essaye d'obéir mais ma gorge est si serrée que je n'y arrive pas du premier coup. Une bonne partie du contenu de la tasse finit par terre mais quelque gorgés arrivent tout de même à passer.

Il faut que tu tiennes bon, ce n'est pas maintenant que je t'ai retrouvé que tu vas me filer entre doigts de cette manière


* Mais que dit-elle? Bien sûr que nous serons toujours ensemble maintenant... je ne comprend pas. *

J'essaye de parler mais le terrible effort de rester éveillé est déjà assez dure en soi.


J'inspire profondement puis verse une grande quantité d'alcool sur la partie infectée, je commence à entailler délicatement la plaie. Dorilys tressaille, je m'arrête un instant puis reprends. D'un geste fort, j'appuie de part et d'autre de l'insision, un liquide noir mêlé de sang s'en extirpe.


La souffrance que j'avais presque oubliée est maintenant insuportable. J'essaye de me débattre, mais mes muscles sans forces font pâle figure comparé aux mains qui me maintiennent couchée.

Je retombe sur le lit épuisée


Je tamponne doucement la blessure, puis replonge la lame de part et d'autre, un peu plus profondement, seulement du sang en sort. J'attrape alors la bouteille d'alcool, verse à nouveau le liquide sur la plaie, puis avec les linges restant, je confectionne un bandage.



Cette fois-ci la douleur outrepasse mes limites et je hurle à m'en époumoner avant que je tombe dans une bien heureuse inconscience
Liliana
24/11/2004 08:31
Chercheuse de temps

" Il faut attendre à présent, il faut souhaiter que le poison ne se soit pas trop propagé dans son organisme. Pourriez vous m'apportez un récipient pour que je puisse lui préparez un grande quantité de tisane."

j'espère que ce poison est bien celui que je pense...

Je broie les herbes conscieusement, une personne revient avec une bouilloire, j'y verse l'eau encore frémissante et laisse infusez les simples.
Je m'installe aux coté de Dorilys, lui dépose un linge d'eau froide sur le front. Je prends sa main dans la mienne et attends avec angoise.
Le Conteur
24/11/2004 09:44


Alias de Owyn
Liliana veille sur Dorilys et observe attentivement l'évolution de son état de santé.
L'inquiétude la ronge tout comme le venin ronge l'organisme de son amie retrouvée.

Elle craint de n'avoir fait que ralentir l'effet du poison. Dorilys est de constitution robuste et cela lui permettra peut-être de survivre mais en conservant de graves séquelles.

Elle a peut-être sauvé la vie de Dorilys mais à quel prix ? La jeune femme supportera-t-elle de survivre en étant diminuée physiquement ?
Dorilys
24/11/2004 12:37

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Je me sens pas très bien… mon corps est trempé de sueur et une douleur sourde dans la cuisse me lance énormément.

Parfois une main douce et fraîche vient me caresser le front et ôte le linge sec reposant sur ce dernier avant de le remplacer par un plus humide.

Je suis couché dans un lit, et ma jambe est posée au-dessus des couvertures. J’ai l’impression que quelque chose comprime ma cuisse ce qui avive un peu la douleur.

Je ne me souviens pas de m’être couché… en fait mon dernier souvenir remonte à notre retour à bord des rakeurs, mais après c’est le grand trou noir.

J’essaye d’ouvrir yeux, mais la clarté m’oblige à les refermer de suite, le tout accompagné d’un gémissement pathétique.

Je cligne furieusement des paupières pendant un bon moment pour accommoder ma vue à la luminosité ambiante, et quand je parviens enfin à les maintenir ouverts c’est pour m’apercevoir que je suis dans ma cabine sur mon propre lit.

Mise à part ma jambe bandée je suis entièrement recouverte par une épaisse couverture de laine et je commence à avoir chaud.

J’essaye de me contorsionner afin de dégager mon corps du lainage, mais encore une fois un gémissement plaintif sort de ma gorge. Mes muscles tout ankylosés me font mal à chaque mouvement.

Je sens qu’une main serre la mienne, je laisse doucement ma tête pivoter vers la droite et j’aperçois enfin ma main, emprisonné dans celles de Liliana.

Elle a des cernes sous les yeux ce qui m’indique qu’elle a veillé à mon chevet elle a l’air inquiète, mais un sourire qui se veut rassurant flotte sur ses lèvres.

Je lui souris à mon tour, heureuse de la voir là.

Avant de me laisser parler elle me force à boire de l’eau, un verre presque plein. Ca me fait du bien, ma gorge était tellement sèche qu’elle me faisait mal.

Ma voix est à présent enrouée et pas beaucoup plus forte qu’un murmure mais est tout de même audible pour quelqu’un d’assez proche.


Tu es là ma Lili…
Le Conteur
24/11/2004 13:03


Alias de Owyn
La fièvre est tombée sous l'effet des tisanes de Liliana et, même si elle se sent excessivement faible, Dorilys retrouve progressivement toute sa clarté d'esprit.
Dorilys
25/11/2004 07:40

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Je vois l’homme aux yeux jaunes entrer dans la cabine. Je le vois observer avec inquiétude le visage fatigué de MA Lili. Cette dernière tire le drap de mon lit afin de recouvrir ma jambe nue.

Je me dis tristement qu’elle ne doit pas se souvenir du temps qu’elle a passé à bord du Vogue-sur-le-Vent et de nos coutumes vestimentaires.

Mais peut-être ce n’est pas ma pudeur qu’elle souhaite préservée, mais plutôt que je n’attire par trop le regard du jeune homme. L’attitude protectrice de ce dernier pourrait bien collé avec cette dernière hypothèse…


Tu te souviens pas beaucoup de moi n’est-ce pas Lili ?

Elle me fait un petit non de la tête en même temps qu’une moue attristée

Ce n’est pas grave Lili, tu étais encore une petite fille à l’époque et cela fait si longtemps.

Je suis lasse et fatiguée et je me demande si j’aurais la force de faire le récit de notre rencontre avant de succomber aux appels insistants du sommeil, mais je m’y efforce.
Lili mérite bien ça.

Et je commence mon histoire de ma voix affaiblie à peine plus forte qu’un murmure.


A l’origine nous ne devions pas faire escale à Mayenne, seulement notre voilure fut endommagée par un violent grain et nous avions besoin de faire escale pour réparer.
Le soir du troisième jour après notre arrivée, je supervisais sur le pont les derniers travaux de réparations sur les voiles avant que le jour n’ait trop décliné, quand j’entendis des sons étranges.

J’ai du chercher pendant plusieurs minutes avant d’identifié la natures de ses sons et plus encore pour en déterminer l’origines.
Pour ce faire je du descendre à terre et remonter sur toute la longueur de mon navire pour te trouver assise à côté de la bitte d’amarrage.

Tu n’étais encore qu’une toute petite fille et tu versais toutes les larmes de ton corps. Je voyais bien que quelque chose de terrible t’étais arrivé, tes vêtements étaient déchirés et par endroits tâchés de sang mais mise à part quelques ecchymoses tu étais indemne.
D’ordinaire on ne s’occupe pas des affaires des continentaux, nous avons appris qu’il était mieux pour tout le monde que nous restions à l’écart.
Mais tu n’étais qu’une enfant terrorisée et désespérée et je ne pouvais pas te laissait là, toute seule avec ton chagrin.

Mon cœur décida pour moi et je me penchais pour te prendre pour la première fois dans mes bras. Tu eus un peu peur au début mais j’avais fais seulement quelques pas, que tu t’agrippais déjà à moi.
Je t’ai ramené à bord du Vogue-sur-le-Vent à la grande surprise de tous, y compris à celle de Sylointe, ma sœur de lait.
Mais ni l’équipage, ni ma sœur ne fit le moindre commentaire. Sylointe m’a dit plus tard que j’avais une expression si déterminée en t’amenant à ma cabine que personne n’avait oser ne serait-ce que chuchoter une question de peur de se voir envoyer aux sentines.
Tu pleurais encore quand nous sommes arrivés dans ma cabine et cela à durer plusieurs heures. Je t’ai consolé tout durant et tu as finis par t’endormir dans mes bras.

Le soir même une femme s’est présentée. Elle disait qu’elle avait perdue sa fille lors d’une bousculade dans une ruelle non loin et demandait si on ne l’avait pas vu.

Je vois que les yeux de Liliana se sont illuminés à la mention de cette femme.

Elle te décrivit avec beaucoup de précision, ton physique, tes vêtements et jusqu’à ton médaillon que tu portes encore aujourd’hui.

Je tends une main vers le pendentif de Liliana avant de lui caresser doucement la joue

Elle a même beaucoup insisté sur ce médaillon, disant que tu ne le quittais jamais. J’ai l’impression qu’il avait une grande importance ou une grande signification pour elle.
J’étais à deux doigts de lui dire que tu étais là, pour soulager son inquiétude maternelle.
C’était peut-être égoïste et injuste de ma part, mais intérieurement j’étais effondrée de devoir te rendre à elle.
Cependant, cette femme ne m’inspirait pas confiance. J’avais l’impression qu’elle jouait un rôle.
Son inquiétude se lisait littéralement sur son visage et ses mimiques étaient parfaites, mais ses yeux étaient si froids, si durs…
Aussi lui ais-je mentit, et dis que personne ne t’avais vus par ici.

Je vois Liliana réagir vivement à cette déclaration. * Elle doit croire que je l’ai enlevé à sa mère…*. Je continue mon récit avant qu’elle puisse dire quelque chose.

Seulement je ne du pas être très convaincante ou alors quelqu’un m’avait vu te recueillir, car cette même nuit deux hommes montèrent de mon rakeurs. Il tuèrent trois de mes marins et seraient de peu arriver jusqu’à ma cabine si un de mes hommes ne les avaient pas repérés et avaient donné l’alerte.
Ils blessèrent deux autres membres d’équipages avant de succomber à l’assaut et je regrette de ne pas avoir pu les interroger pour découvrir qui était leur commanditaire.
Nous étions en mer l’heure suivante, Mayenne était devenu dangereux pour nous.

Le lendemain matin suivant, j’ai constaté avec stupeur que tu semblais te rappeler que très peu de chose sur ta vie à Mayenne. C’était comme si ton esprit ne voulait pas dévoiler ton passé parce que quelque chose te terrifiait trop dans celui-ci.
La seule chose que je réussis à tirer de toi fut ton nom, mais je me suis dit que ce n’était pas plus mal.
Avec moi tu devais commencer une nouvelle vie avec moi.

Pendant quatre mois, tu vécu avec moi. Tu étais une fillette adorable, toujours souriante et l’équipage d’adopta aussitôt.
Tu appris rapidement à bien te comporter sur le rakeur et adopta nos coutumes à une vitesse stupéfiante.
Tu étais merveilleuse et j’étais fière de présenter à tous comme étant ma petite sœur.

Pour moi tu étais le plus beau des dons, mais je devais découvrir que tu possédais ton don propre.
En effet un soir tu m’annonças avec des mots qui n’étaient pas ceux d’un enfant, que je sacrifierais ma liberté pour le bien de mon peuple.

Je souris tendrement à Liliana

J’ai bel et bien sacrifié ma liberté lorsque j’ai accepté ma charge de Maîtresse-des-Navires quand à savoir si c’est pour le bien de mon peuple, seul le temps le dira.

Ce ne fus pas la seule de tes prophéties qui devaient se réaliser et mise à part celle qui m’a conduit à toi, se sont déjà vu exaucées.
C’est une de celles-ci qui me poussa à aller à Tear et à te confier à une guérisseuse locale.

Tu m’annonças en effet que le malheur frapperait le monde si de la terre tu étais trop longtemps séparé.

Oh que j’aurais aimé que jamais tu ne prononces ses paroles. J’ai longtemps hésité avant de t’accepter de me séparer de toi.
J’avais peu de continentaux et encore moins en qui j’aurais pu avoir confiance. La seule qui me vain à l’esprit fut cette guérisseuse de Tear, qui avait soigner ma mère lors de ces dernières heures de vie.

Mais avant de te confier à elle, j’ai décidé de t’imposer ce tatouage que tu portes dans ta nuque. C’est la marque de mon clan avec certains détails qui en font mon emblème personnel.
Je pensais que si jour ta route croisait des membres de mon peuple cette marque te conduirait directement à moi.

Même si je croyais en tes prophéties dure comme fer, j’ai toujours regretté de d’avoir suivie celle-là. Je n’ai jamais cessé de penser à toi, à ce que tu devais être en train de faire, à quoi tu devais ressembler maintenant

Des larmes roulent doucement sur mes joues et je me sens pas assez de force pour les essuyer.

Pourtant à travers mes larmes, un pâle sourire effleure mes lèvres.


Mais tu es là désormais…
Barberousse
25/11/2004 13:14
Téorël Al'Torean
Lié à Lux Sedai

Sihaya est de nouveau partie rejoindre Liliana au chevet de Dorilys. Mon Rayon de Soleil m'a affirmé qu'elle aimait beaucoup la Maîtresse-des-Navires, et même si elle ne la connaissait pas depuis plus de quelques jours elle l'a considérait un peu comme une grande soeur.

Quand à moi je trouve ça complètement idiot, mais je me garde bien de le dire en tout cas pas à proximité des oreille de mon cher coeur.

Ce matin, dans la cabine, elle m'avait presque sauté dessus pour avoir un câlin juste avant de d'essayer de m'étriper parce que je l'avais malencontreusement appelé encore une fois appelé Serenla, après cela elle était tombé en sanglot parce qu'elle trouvait horrible la façon dont elle me traitait avant d'éclater de rire parce que selon elle j'avais une tête à faire peur.
Le tout n'avait pas pris plus de dix minutes.

Aussi je décidais de laisser tomber pour Dorilys et au contraire même de l'encourager à passer plus de temps avec elle.
D'une part parce que ça l'éloigne pendant une bonne partie de la journée ce qui permet de ne pas être obligé de surveiller les doubles ou même triples que pourraient avoir mes paroles et qui pourrait être éventuellement mal interpréter par l'amour de ma vie.
Et d’autre part j’ai certaines affaires à traiter et je préférais qu’elle n’y fourre pas son joli petit nez.

Pendant que ces dames parlaient chiffons et autre dans la cabine de Dorilys, je me rend à la cabine de Noral.

Il est là, en compagnie d’un jeune garçon que j’ai aperçu le matin même de notre départ pour la bibliothèque. L'Atha'an Miere comme l’enfant semblait pour le moins inquiet.

Je décide d’aborder un sujet qui me tarabuste depuis quelques temps.


J’ai été envoyé au Cairhein avec l’acceptée Sihaya dans le plus secret pour vous rencontrer et amené jusqu’à mon AS.
Malgré le mystère qui entourait notre mission, nous avons été attaqué en chemin par une bande Trolloc que conduisaient deux demi-hommes.
Arrivé au Cairhein nous rencontrons Elann et damoiselle Liliana, cette dernière ayant un passé commun avec Dorilys din Dannaë.
Mais au retour de Bibliothèque celle-ci se fait empoisonné mais est secouru par Liliana qui comme par hasard étudier pendant de longues années les simples afin de devenir une grande guérisseuse.

Je regarde Noral dans les yeux

J’en déduis deux choses, premièrement il y a beaucoup trop de coïncidence dans tous ceci. On dirait presque que le dessein se tisse autour de l’un de nous à moins bien sûr que quelqu’un ai organisé tout ça…
Et deuxièmement, quelqu’un de puissant se cache derrière les attaques dont nous comme vous avons été les victimes.
Quelqu’un de l’âme corrompue a assez de pouvoir pour dépêcher des engeances de l’ombre et des assassins contre nous et par-dessus tout, qui ne souhaite en aucune façon voir L'Atha'an Miere et la Tour Blanche se rapprocher.
Il nous faut savoir qui est derrière tout ça
Le Conteur
25/11/2004 13:44


Alias de Owyn
Anthon Dalcian a bien du mal à conserver une attitude de retrait à l'arrivée du Lige.
Il le dévore littéralement des yeux.

La force qu'il dégage, cette assurance, cette impression de pouvoir surmonter n'importe quel danger,...

Si seulement il pouvait être aussi puissant... peut-être pourrait-il accomplir sa vengeance ?
Dorilys
25/11/2004 13:54

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Noral

Un agent du père des tempête serait derrière la tentative d'assassinat de Dorilys?

Noral désigne le gamin

Ce gamin dit que le Roi était au courant de cette tentative et qu'il connaît l'identité du commanditaire.

Il prétend que Galldrain souhaitait marchander l'antidote pour Dorilys en échange de l'assassinat de comploteur....
Le Conteur
25/11/2004 14:03


Alias de Owyn
Ce n'est pas exactement cela.

Le Roi devait se douter des difficultés que vous rencontreriez. Il connait bien ses adversaires et leur efficacité.
Il doit penser, qu'ici, la seule personne vers qui vous pourriez vous tourner est lui.

Il attend donc tranquillement que vous veniez lui réclamer son aide.
Il sera alors en position de force et pourra négocier avec vous.

Maintenant que j'y réfléchis, c'est évident.
Barberousse
25/11/2004 14:15
Téorël Al'Torean
Lié à Lux Sedai

Soudain, je regrette de ne pas avoir Messire Aekar à mes côtés... les cairhieniens avaient vraiment le dons pour tout rendre compliqué et ces intrigues me passent largement au dessus.

Cependant je crois qu'une idée me vient...


Nous voulons simplement obtenir de lui le nom de l'agent de l'ombre qui s'acharne sur nous alors que Galldrien le veut mort.
D'après ce que je sais des cairheiniens il est probable que celui-ci savait que nous avons au final le même intérêt il se dévrouillerais pour obtenir aure chose de nous.

Après tout dépend de ce qu'il va réclamer en échange de l'antidote.... s'il va trop loin il se pourrait que nous n'ayons pas d'autre choix que de la lui voler.


Liliana
25/11/2004 16:41
Chercheuse de temps

"Tu te souvient pas beaucoup de moi n’est-ce pas Lili ? "
Elle me fait un petit non de la tête en même temps qu’une moue attristée



Malheureusement non, seules quelques sensations me parviennent de ce passé inconnu, trop peu pour répondre à toutes les questions qui m'assaillent.

Dorilys lutte contre la fatigue avec une déterminantion extrême. Je décide de la laisser se reposer mais avant que je n'ai le temps de me lever, elle reprend son discours. Je bois alors chacun de ses murmures, suivant avidement le fil menant vers mon passé.


Je vois Liliana réagir vivement à cette déclaration. * Elle doit croire que je l’ai enlevé à sa mère…*. Je continue mon récit avant qu’elle puisse dire quelque chose.


Puis une cassure se produit en moi, à la mention de cette femme qu'elle a insité partir, tout mon être est débranlé, ce doux bien être de la retrouver puis la peur de la perdre laisse la place à une sensation de trahison.
Donne lui une chance de s'expliquer, ne la juge pas trop vite
Elle poursuit alors son récit, mon visage restant figé en attente d'explication.


Il tuèrent trois de mes marins et seraient de peu arriver jusqu’à ma cabine si un de mes hommes ne les avaient pas repérés et avaient donné l’alerte.
Ils blessèrent deux autres membres d’équipages avant de succomber à l’assaut et je regrette de ne pas avoir pu les interroger pour découvrir qui était leur commanditaire


La mort me poursuit, ou que j'aille, je l'attire. Ma mère, l'équipage, même Dorilys. Je tourne ma tête un instant vers Elann.


Ce ne fus pas la seule de tes prophéties


Ce mot me heurte de plein fouet, j'avais presque réussi à l'oublier, à l'effacer.


Des larmes roulent doucement sur mes joues et je me sens pas assez de force pour les essuyer.
"Mais tu es là désormais"


Je m'approche doucement puis recueille avec mes doigts les larmes qui coulent sous ses yeux.

" Garde tes forces, tu as besoin de te reposer. C'est à moi de veiller sur toi à présent. Nous ne nous quitterons plus, je te le promets. Je dois aller rassurer Noral, il était mort d'inquiétude tu sais, même si les hommes ont besoin de ça de temps à autre, mieu vaut ne pas trop jouer avec leurs nerfs. "

Je m'approche d'Elann et lui murmure:

" Peux tu rester auprès d'elle, il faut que quelqu'un veille sur elle, on ne sait jamais. Si tu remarques quoique que soit d'anormal, préviens moi sur le champs. Si l'amie de Barberousse venait à présenter, pourras tu lui demandé de me rejoindre au plus vite, j'aimerai lui parler."

Je me rends alors dans la cabine de Noral.





Dorilys
25/11/2004 18:43

Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
Nage comme une pierre

Garde tes forces, tu as besoin de te reposer. C'est à moi de veiller sur toi à présent. Nous ne nous quitterons plus, je te le promets. Je dois aller rassurer Noral, il était mort d'inquiétude tu sais, même si les hommes ont besoin de ça de temps à autre, mieu vaut ne pas trop jouer avec leurs nerfs.


Sur ces paroles rassurante je plonge dans un sommeil paisible, un mince sourire persitant sur mes lèvres.

Dans la cabine de Noral



Noral

Ce e sera pas facile si nous devons arriver à cette solution. Le palais est bien gardé.

Noral s'aperçoit que cette nouvelle ne fait ni chaud ni froid à Barberousse.
Il admire la confiance que le lige à en lui-même


Cependant nous devrons quand même rencontrer le Roi et...

Après un coup donné à la porte de la cabine, celle-ci s'ouvre sur Lliliana

Damoiselle Liliana? Qui a-t-il? Dorilys...?
Elann
25/11/2004 19:13
<b>Wolfmaster</b>

La mort me poursuit, ou que j'aille, je l'attire. Ma mère, l'équipage, même Dorilys. Je tourne ma tête un instant vers Elann.


Oh ce regard ! Je sens sa douleur, le poids des drames de son passé. J'aimerai pouvoir lui dire "ce n'est pas ta faute" ou "tu n'y pouvais rien", mais ces mots sonnent déjà creux à mes oreilles.


"Peux tu rester auprès d'elle, il faut que quelqu'un veille sur elle, on ne sait jamais. Si tu remarques quoique que soit d'anormal, préviens moi sur le champs. Si l'amie de Barberousse venait à présenter, pourras tu lui demandé de me rejoindre au plus vite, j'aimerai lui parler."


Bien sûr.
Je n'aurai peut être pas du laisser mon épée dans ma cabine ... enfin j'ai toujours ma dague sur moi, cette bonne vieille dague avec laquelle j'ai survécu dans la forêt si longtemps. Cette époque me paraît si lointaine, j'ai donc déjà fait tant de chemin aux côtés de Liliana ?
Tu sais que tu peux compter sur moi.
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