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Les Quatre
(Sujet créé par Galldrenn l 09/07/04 à 01:08)
Histoire d'avoir quelques critiques pour savoir ce qu'il faut que je reprenne (je sais je fais chier avec mes sujets inutiles lol) mais bon si vous avez un peu de temps lisez et critiquez ça me fera plaisir...thanks
(et merci à Gondar pour le prologue qu'il a bien voulu rédiger )
Sarah marchait d’un pas vif, évitant de regarder en arrière. Elle regrettait d’être partie si vite, mais elle se savait assez proche d’Alexis pour que celle-ci découvre sa fragilité malgré tous ses efforts pour garder son calme et son ton posé. Son rêve était encore trop présent, le sang sur ses avant-bras qu’elle avait fait disparaître semblait toujours brûler sa peau. Ou peut être était-ce parce qu’elle avait frotté ses bras avec tant d’ardeur qu’ils avaient pris une teinte rouge vive.
Elle atteignit la place peu après ; son souffle s’accéléra sans qu’elle puisse le maîtriser. Son cœur battait la chamade. Elle sentait sa présence aussi sûrement qu’elle avait conscience d’elle-même. Elle n’avait pas réellement pensé qu’elle retrouverait un jour celle qui était à l’origine de son existence même, celle qui par son sang lui avait donné vie…
Elle se souvenait de chaque bataille des Quatre, dans les moindres détails, jusqu’à la dernière qui leur avait valu la mort et leur entrée dans ce monde. Elle n’avait jamais trouvé étrange ce don qu’elle avait de sentir leur présence, pas avec sa tête remplie des souvenirs de sa mère. Elle n’était pas humaine, cela elle l’avait compris depuis longtemps. Elle avait été crée en vue d’une nécessité, et chargée d’une mission qu’elle seule pouvait remplir. Elle devait apprendre aux Esprits Elémentaux leur véritable nature, les appeler à redevenir ce qu’ils étaient, afin de briser les armées d’un tyran. Elle avait été envoyée pour les réveiller et leur ôter leur innocence…
Elle le ferait, bien sûr. Elle ne pourrait pas le leur cacher indéfiniment, d’ailleurs ils découvriraient bientôt leurs pouvoirs seuls, et alors ils auraient besoin d’un guide. Et elle serait présente. Elle aurait du réveiller leurs âmes de guerriers au lieu d’attendre qu’ils se découvrent d’eux-mêmes, elle était censée les avoir déjà formé ; pourtant elle en avait décidé autrement. Ils n’étaient pas des soldats. Pas seulement. Avant tout, ils restaient ses amis, et elle rechignait à leur enlever ce qu’ils étaient. D’ailleurs, elle n’était pas une machine, et elle refusait de se laisser diriger par les souvenirs d’une autre, fusse-t-elle sa propre génitrice.
Lorsque Sarah pensait au monde dont ils étaient originaires, elle se sentait coupable cependant. Ces gens-là attendaient une délivrance qui tardait à venir de par la volonté d’une petite fille…Mais après tout, qu’avait-elle à voir avec ces personnes ? Elle n’avait pas choisi. Elle n’était pas responsable. Sûrement que non…
Et puis, pourquoi aurait-elle du sacrifier le fragile équilibre qu’elle avait réussi à maintenir jusque là ?
Elle avait une vie paisible, avec des parents qui l’aimaient et un cercle d’amis qui l’acceptaient telle qu’elle était et avec qui elle se sentait bien. Au nom de quoi aurait-elle du tout perdre ? Du devoir , murmura une voix dans sa tête. Elle refusa d’écouter. Ils n’avaient pas le droit d’exiger cela d’elle. Elle n’avait rien décidé. Elle les informerait lorsqu’elle considérerait le moment venu. Et le plus tard serait le mieux…
Avec un peu de chance, elle n’aurait pas à trancher de toute façon. Sa mère était de retour à présent, et elle voudrait probablement s’occuper elle-même des Quatre. Le choix ne lui appartiendrait plus alors. Cela même lui donnait envie de se précipiter pour l’accueillir. Elle ne le ferait pas, bien entendu. Sa mère était peut être accompagnée, et si elle l’était, certainement pas d’une personne qu’elle aimerait rencontrer. Elle se devait d’être prudente.
Elle frissonna malgré la chaleur ambiante. Elle craignait que Darla n’apprécie pas qu’elle les ait laissés dans l’ignorance, et ne comprenne pas ses raisons. Elle avait fait ce que lui dictait sa conscience, mais sa mère le verrait–elle ?
Elle ralentit le pas. Ce n’était plus très loin à présent. Pourquoi était ce si difficile ? Ne pas réfléchir. Elle est encore ta mère, elle saura. Elle comprendra... Ici. Elle n’avait nul besoin de la sensation qui l’avertissait, elle aurait reconnu cette femme, et ce même si elle ne l’avait encore jamais rencontrée. Ses souvenirs se faisaient plus précis, comme si la proximité de sa mère les avait attisés. Elle revoyait le champ de ruines de Trehan et la rage de son grand-père devant l’affront des Quatre. Les cris de souffrance d’Erion résonnaient encore à ses oreilles, suscitée par la perte de ses amis. La cavalière du Leviathan avait été désarçonnée, et la puissance d’Arlam avait annihilé ses dernières forces. Puis le feu avait dévoré le palais, et le jeune homme qui en était la source s’était précipité sur le roi, lame au clair. L’image de son corps inerte sur le sol marbré était encore nette dans son esprit. Erion avait déchaîné ses armées sur la citadelle, des hommes morts depuis des siècles qui s’étaient relevés, appelés à combattre de nouveau. Lui aussi avait péri, car lui et Arlam luttaient au Palais, qui était la source même des pouvoirs de son grand-père. Ici rien n’aurait pu l’atteindre, pas même la volonté des Quatre. Erwan avait découvert le carnage et la tempête qu’il avait créée s’était éteinte. Des larmes avaient coulé sur son visage, qu’il avait ensuite tourné vers son roi, la souffrance déformant ses traits. Et ivre de haine et de rage, ses bras levés vers le ciel, il avait appelé à lui le courroux du tonnerre, et la ville avait sombré dans les ténèbres.
Les jours étaient passés, et les ruines avaient été en partie relevées.
Les partisans des Esprits Elémentaux avaient fui le pays, poursuivis par les espions d’Arlam. Darla avait alors envoyé les âmes défuntes en ce monde. Et à présent avait elle-même était envoyée ici, de l’avis de Sarah. De là à découvrir pourquoi, il n’y avait qu’un pas. Un pas qui se révélerait peut être le dernier…
Elle suivit sa mère dans les dédales de la ville. Celle-ci marchait d’un pas pressé, comme si elle savait où elle se rendait. Fait plus qu’étrange pour une femme qui était censée tout ignorer de cet univers. Voyons, où pouvait-elle bien aller ? Les rues étaient étroites et peu occupées à cette heure, une chance, sinon les habits qu’elle portait n’auraient pas manqué de provoquer quelques froncements de sourcils. Une robe de velours rouge au décolleté plongeant n’était certes pas ce dont les gens d’ici étaient accoutumés. Peut être même l’aurait-on arrêtée pour l’interroger sur le spectacle qu’elle donnerait probablement, étant donné son accoutrement, et alors cela aurait vraisemblablement tourné au désastre.
Elle dépassa le monument aux morts sans y accorder ne serait-ce qu’un regard et traversa la cour qui menait au théâtre. Une bien étrange attitude, pour sûr. Ce chemin ne la mènerait nulle part, c’était une impasse, seuls les étudiants l’empruntaient parfois lorsqu’ils étaient en retard pour se rendre au…Le lycée.
Sarah étouffa un hoquet de saisissement. Stupide qu’elle était pour ne pas avoir compris plus tôt ! Si elle pouvait percevoir leur présence, sa mère en était certainement capable !
Elle éprouvait d’étranges sentiments, comme si la part de son esprit qui appartenait à sa génitrice voulait l’avertir d’un danger.
La femme s’arrêta alors au beau milieu du chemin, apparemment hésitante. Lentement, elle fit demi-tour et ses yeux rencontrèrent les siens. Des yeux qui exprimaient une haine et un mépris d’une intensité telle que Sarah n’attendit pas de savoir si ses craintes étaient fondées. Courir. Courir et espérer atteindre avant elle ceux dont elle avait la charge. Dont elle aurait toujours la charge, pour autant qu’elle le savait, maintenant que Darla n’était plus. Car cette femme n’était pas sa mère. Une étrangère, au regard de glace qui exprimait seulement la malveillance. Possédée…
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
On attend la suite !
Quelques remarques
ligne 3 Plutôt : bien qu'elle l'eût fait disparaître
ligne 4 : rouge vif ( les adjectifs de couleur composés ne s'accordent pas
qui ne tardait à venir de par la volonté ???
Le passage "Elle se souvenait ... génitrice " me paraît un peu confus, avec quelques contradictions, mais peut-être ne sont-elles qu'apparentes ?
Alors voyons voir...J'ai corrigé les erreurs, changé ce que tu as relevé, et je te remercie bcp encore une fois de prendre la peine de lire et de me conseiller Pour ce qui est de "ne tardait pas à" c'était une erreur de frappe, le "ne" n'avait aucune raison d'être là.
En revanche je ne comprends pas trop ce que tu entends par"contradictions" dans le passage cité. Tu veux bien développer un peu, que je vois ce qui va pas et puisse le changer? Parce qu'à moi il m'apparait plutôt clair, mais c'est normal puisque j'en suis l'auteur j'me comprends encore (quoique pas toujours en fait )...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Woui! je viens de relire le passage que j'avais incriminé, sciouze-mi seur!
Je ne devais pas être trop au top ! à moins que, avec tes coups tordus d'adt, tu ne les ais fait disparaitre, il n'y a pas de contradictions !
Non non juré j'ai rien touché sauf pour corriger ce que tu m'avais indiqué...Dis donc avec toute cette histoire vous devenez tous paranos...j'adore! Bon la suite dès que je l'écris...ce qui veut dire dans un petit moment vu que je vais commencer cette semaine le vrai boulot des vacances! le plus dur est à venir, soyons motivééééééééééééééé
Je crois que tu me reconnaitras malgré le pseudo puisque tu es en quelque sorte mon créateur sur ce site lol. Je viens de lire la suite et je peux te dire que tes descriptions valent le coup, encore un peu et tu deviendras un grand Zola lol (c'est un compliment pour la L que je suis).Au fait Aelghir tu as raison il a choisi S alors que son talent pourrait être utilisé à bon escient en L tu peux le constater avec ses écrits , on lui fait remarquer tout le temps mais bon on ne peut rien changer!!!
Grosses bises à tous.
J'ai le droit d'en remettre une couche?
comment ça non tu n'as pas arrêté depuis la seconde???
/mode "je te l'avais dit"
"Je te l'avais dit! Vala ce qui arrive quand on écoute personne hein? Maintenant, tu es dans la classe à "Ghislain" et c'est bien fait pour toi petit frippon!!"
/mode "je te l'avais dit" pas si off que ça
Par contre, pour revenir à l'histoire, ne balise pas parce que tu ne penses que ça ne va pas assez vite, au contraire, je trouve que ce que tu fais n'est pas mal du tout alors continue, si tu veux qu'on te critique encore
EDIT : au fait, coucou Alisea! Tu passes de bonnes vacances?
Salut à tous.
merci Jibrille de ton édit malgré le fait que les vac sont finies je tiens le coup comme tout le monde je crois.
Eltharion c vrai que c'est un S mais il fait quand même du bon boulot sinonje crois que tu ne serais pas là!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Arrêtez d'occuper son topic, j'aimerais lire la suite! Galldrenn, au lieu de faire ton grincheux d'Adt, continue à écrire, tard dans la nuit, s'il le faut, comme moi! La littérature réclame des sacrifices!!!
oui Galldrenn je sais que tu as un emploi du temps surchargé mais j'aimerai bien que tu fasses la suite stp .j'aimerai bien savoir ce que nous réserve ta tête!!! pour l'histoire je veux, j'ai pas envie de passer a ton bureau lol
Aliséa!!
Je suis en train d'écrire la suite mais à vrai dire j'ai quelque mal...Bon ok la vérité c'est que je suis beaucoup sorti, qu'après avoir bossé j'ai décidé de m'aérer Mais bon, la suite s'écrit je vous promets très bientot ce topic renaitra ! Galldrenn, qui va s'enfermer avec une feuille et un crayon
Declan répondit à la remarque moqueuse de Clara par un sourire. Maria avait encore gagné la partie bien sûr, il avait eu de la chance qu’elle soit dans son équipe. Celle-ci profita du silence des perdants pour distribuer les cartes de nouveau, mais lorsque les autres refusèrent poliment, elle rangea le paquet en adoptant une moue dédaigneuse et déçue. Elle était infatigable, surtout lorsqu’elle dominait le jeu. Peu l’avaient vaincu, et de ces défaites seules quelques rumeurs avaient été répandues. Maria n’aimait pas perdre, et les rares fois où elle avait faibli elle s’était assurée que nul ne puisse se vanter de pareille victoire.
Lucas était absorbé par ses propres réflexions. Il avait du mal à se concentrer sur la conversation. Ses propres pensées étaient fixées sur Sarah, et sur la raison de son départ précipité. Qu’avait-il bien pu arriver pour qu’elle ne prenne pas même la peine de prévenir qu’elle ne les rejoindrait pas ? Son attitude était pour le moins étrange, et il n’aimait pas l’idée qu’elle pût avoir des ennuis. La voix d’Alexis l’arracha sans douceur à sa méditation.
« _ Voilà Sarah. Elle a l’air pressée de nous rejoindre. On va peut être enfin savoir ce qui lui arrive ! »
Lucas nota la pointe de rancœur qui transparaissait dans le ton de son amie. Alexis était très susceptible, et le départ mystérieux de Sarah n’était pas fait pour améliorer son humeur. Ignorant la remarque, il leva une main pour se protéger du soleil et aperçut enfin la jeune fille qui courait vers eux.
Vêtue d’une jupe violette enfilée par-dessus son pantalon beige, Sarah était l’image même de la jeune femme marginale. Généralement, elle arborait une expression joyeuse qu’Alexis qualifiait de « happy joy joy », mais aujourd’hui bizarrement son visage était fermé et triste. Et elle était paniquée, si Lucas se fiait à son instinct. Ses cheveux châtains libérés battaient l’air au gré du vent tandis qu’elle se précipitait vers eux…
Il n’y eut pas d’avertissement. Un instant la cour du lycée était silencieuse, la plupart des élèves rentrés chez eux, celui d’après un grondement sourd ébranlait les fondations du bâtiment. La pierre crissa horriblement, et le temps d’un battement de paupières Lucas était débout. Haletante, Sarah atteignit finalement le groupe, et sans jeter un seul regard à la femme qui se dirigeait vers eux dans son dos elle lança d’une voix sèche :
«Suivez-moi ! Ne vous retournez pas et ne me perdez pas de vue ! Surtout ne vous arrêtez pas ! »
Les autres ne l’écoutaient pas. Paniqués, ils s’étaient levés précipitamment et observaient la femme qui approchait. Elle était magnifique, tout simplement. Ses vêtements rouges semblaient venir d’une autre époque, et ses cheveux blonds rayonnaient sous ce soleil d’été. Elle ne se pressait pas bien sûr, cela aurait éveillé leurs soupçons. A cette distance, ils ne pouvaient pas discerner cette lueur de démence que Sarah avait découverte quelques instant auparavant. Ils seraient morts avant de se rendre compte de leur erreur, et alors elle pourrait retourner dans son propre monde, et son père lui pardonnerait. Il l’aimerait et la chérirait parce qu’elle aurait sauvé son royaume.
Arlam avait été déconcerté par tout ce qu’elle avait oublié. Il pensait que son amnésie était le résultat de la manipulation d’une trop grande quantité d’énergie. A la vérité, elle ne le savait pas. Elle avait beau tenter de se rappeler des choses de son passé, l’unique résultat auquel elle était parvenue était le déclenchement de nausées et de maux de tête. On lui avait volé son passé comme son présent, et seul comptait cela. Les Esprits Elementaux devaient mourir, ils étaient une menace pour Arlam ; elle les avait Envoyés et à présent elle devait réparer son erreur. Quelque part, elle avait envie de connaître la raison pour laquelle elle avait risqué le royaume, mais elle ne voulait pas s’y attarder plus longtemps. Chercher à savoir n’amènerait à rien si ce n’est à rendre les choses plus difficiles, et elle voulait en finir rapidement afin de rentrer au plus vite recouvrer sa propre vie. Elle avait eu peur de ses pouvoirs, au début. La puissance qui résidait en elle la terrifiait, alors même que son père l’avait assurée qu’elle ne connaissait encore qu’un dixième de ce qu’elle savait à l’époque. Au départ, cela s’était peu manifesté. Des carreaux de ses fenêtres qui avaient implosées sans qu’il y ait aucun souffle de vent ; le pot de chambre qui s’était brisé sans qu’elle en ait seulement approché….Le pire avait été le chat mort qu’on avait découvert devant la porte de sa chambre, la colonne vertébrale brisée, alors même que la veille elle avait voulu faire cesser les miaulements incessants devant sa porte gardée.
Son père avait voulu la rassurer en lui parlant des possibilités qu’il y avait à manier l’énergie, l’on pouvait détourner des tempêtes, former des océans, ceci n’était rien encore. Cela était loin d’avoir eu l’effet escompté. Ceci n’était pas naturel, elle n’était pas humaine, elle n’avait pas voulu cela. On ne pouvait tout simplement pas faire cela. Qu’était-elle au juste ? Un monstre ?
Son père n’avait pas répondu. Il s’était contenté de la prendre dans ses bras, et de lui affirmer qu’avec le temps sa mémoire reviendrait. Ce malgré le fait que les médecins n’avaient non plus aucune idée de l’origine de sa maladie. Un choc émotionnel, probablement, avaient-ils répété à longueur de journée. Le temps résoudrait cela. Le temps était remède à tout, pour eux. Elles les détestaient. Elle détestait ces gens et elle détestait ceux qui l’avaient éloignée de son père, et ceux qu’elle avait été cherché. Tout était leur faute. Elle leur ferait payer ! Elle….Le ciel prit soudain une teinte grise, les nuages s’amoncelèrent et un vent glacial de leva. Etonnée, elle se demanda comment elle s’était prise pour déclencher ceci quand son attention fut attirée par les cris désespérés de la fille en violet. Elle connaissait cette enfant, cela elle en était certaine. De là à découvrir pourquoi et comment, c’était une autre histoire ! Si seulement elle pouvait fermer les yeux et se concentrer, peut-être cette fois pourrait-elle découvrir…non. Elle avait essayé maintes fois, et à chaque échec les crises dont elle était atteinte étaient plus violentes, les nausées plus désagréables. Elle ne recouvrerait pas la mémoire de cette manière. Elle devait les éliminer. Tout redeviendrait ainsi à la normale. Elle leva les bras et sans avoir aucunement conscience de la manière dont elle s’y prenait, elle déchaîna les éléments sur le monde…
Je sais la suite arrive, j'ai du m'interrompre du coup j'ai posté en vitesse !! Pour ce qui est du dixième,elle n'a réapprit qu'un dixième de ce qu'elle connaissait à l'époque, tout simplement. Elle a encore beaucoup à découvrir sur ses pouvoirs, et son père essaie de le lui faire comprendre...Il pense la rassurer, alors que cela ne la terrifie que plus.
C'est vrai qu'en relisant je trouve aussi que le passage action pensée de Darla (Arlam c'est son père hein, on est d'accord ou c'est pas clair?) n'est pas assez marqué. Je rectifierai ça très bientôt.
Bon la suite soit ce soir soit demain, y a déjà une bonne partie d'écrite, je vais essayer de la poster dans la soirée.
PS : Au fait, j'ai appris que t'allais pas super...ça va mieux?