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Je laisse Morgheuz et Llewella ensemble. Visiblement Llewella a réussi à quelque peu communiquer avec la singulière jeune fille. Chose que je n'arrive pas à faire. Je retourne donc au camps pour les derniers préparatifs avant la nuit.
RPOff: La description du camp n'est pas très clair alors je récapitule succintement.
En bleu les sentinelles PNJ, en vert les joueurs RP qui seront sentinelles pendant la nuit et en rouge moi-même bien au chaud dans ma tente Si vous n'arrivez pas à lire vos noms voici comment ça se présente:
Haakon fait parti des deux sentinelles surveillant les chevaux.
Deus patrouille dans le camp et Llewella et Morgheuz sont à la sortie.
Voilà.
Louveteau, réincarnation d'Elvis<br> - <b>Multi de com</b>
Dans la soirée alors que le camp s'installe, les chevaux s'agitent et des ombres fauves passent et observent le camp avant de disparaitre dans les ombres du soir.
Multi<center> Chef de comm' des Frères Loups</center>
Aenor avait suivit le louveteau qui les avait menées à l'orée du camp. Camoufflées parmis les arbres et les buissons de la forêt, Aenor observait de le camp au loin. Proche d'elle, Maelyne ne semblait pas s'y interresser pour le moment.
- Maelyne! Je pense qu'une fois la nuit tombée nous devrions nous séparer et aller chacune de notre coté. Nous serons moins facilement repérables si nous sommes seules.
*Et ça m'évitera de me faire piéger si elle commet quelque maladresse!*
Voyant passer un homme qui semble être le chef d'après la déscription de Perceval, Aenor le signal à Maelyne.
- Nous devrons attendre la nuit pour agir et être sure qu'il est seul dans sa tente.
Aenor se prépara donc à attendre, tout ces sens en alerte.
Maelyne se tient aux cotés d'Aenor, elle est prise d'une drole de sensation, elle est vraiment différente de la jeune fille qui à été sortie de la Tour. Elle sait qu'elle peux faire aussi bien que cette sauvage qu'elle a appris à apprecier au cours des épreuves que ce vieux grizly de Perceval leur a imposés.
- Nous attendrons la nuit, j'ai vu l'homme a impressionner. Tu veux y aller seule, fait attention a ne pas te prendre les pieds dans les tendeurs des tentes... La pique amicale est donnée avec un sourire, l'humour des jeunes filles semble s'être affirmé lui-aussi.
Le visage de la jeune femme redevient grave :
- Comment passer au travers de ces hommes ? Je voulais passer par les chevaux, quoique je ne suis pas sure de l'effet qu'auront nos odeurs fauves sur ces animaux craintifs...
Qu'en pense tu ?
Louveteau, réincarnation d'Elvis<br> - <b>Multi de com</b>
Une humaine, qui sait parler ? Encore ? ici ? Bon, restons calmes mais Orage d'été doit être prévenu. Pour l'instant on ne doit pas savoir ce qui vient. Je refuse le contact malgré ma curiosité.
- Mouron rouge, il y a une humaine qui sais parler parmi les habitants du camp.
La surprise marque les pensés de Mouron rouge l'espace d'un instant.
- Continue comme prévu, garde les arrières des jeunes femmes et reste silencieux. Le jeu deviens intéressant, c'est toujours drôle de jouer avec les humains...
Multi<center> Chef de comm' des Frères Loups</center>
Aenor réfléchit au meilleur moyen de pénétrer dans le camp. En effet passer par les chevaux serait risqué. A moins que ...
- Maelyne, es-tu capable de nous camouffler d'une manière ou d'une autre avec le pouvoir ? Si nous pouvions masquer notre odeur ou faire comprendre aux chevaux que nous ne sommes pas une menace cela nous faciliterait la tache. Evidemment notre ami à quatre pates ne pourrais pas nous suivre par là.
Le regard de la fille devient lointain. Elles les contactent. Que peut bien dire un loup? Le repas fini, je lui fait un signe de main pour lui montrer que je reprend mon poste, à la sortie du camp.
La nuit sera longue.
- Maelyne, es-tu capable de nous camouffler d'une manière ou d'une autre avec le pouvoir ? Si nous pouvions masquer notre odeur ou faire comprendre aux chevaux que nous ne sommes pas une menace cela nous faciliterait la tache. Evidemment notre ami à quatre pates ne pourrais pas nous suivre par là.
- Je pense qu'il sera repéré par les chevaux si le vent leur apporte une éffluve de sa tignasse... Perceval m'a dit de ne pas utiliser le pouvoir, qui sait si il n'y a pas de canalisatrices dans ce camp?
Le louveteau tu crois qu'il peux nous informer sur ce "détail" ? Si on en était sûr je pourrais au moins m'assurer que le vent souffle dans le bon sens tout au long de notre excursion, les chevaux ne nous sentirons pas.
J'essaye de ne pas trop bouger, comme on me l'a appris. La lune n'a pas entièrement disparu derrière les nuages. Pour l'instant, les bruits rassurant de la forêt sont présents. J'entend parfois le rire d'un homme que je commence à connaitre. Mais tous ont peu à peu regagné leur tente. Je commence à m'engourdir.
Je suis une fois de plus tout a mon ouvrage, tranquillement dans ma tente, une pipe à la bouche.
Nous serons dans moins d'une semaine dans le Ghealdan, et notre bannière sera prête.
J'étais impatient d'arriver à bon port, notre bannière flottant au vent.
Ouai, elle sera prête, et on sera beaucoup plus classe avec ça !
Bien sûr ce n'était pas un ouvrage de première qualité, mais j'y avais mis beaucoup de soin et le travail bien simple était de bonne facture. Les bruit à l'extérieur se faisait de plus en plus rare, les hommes profitaient toujours de leur soirée mais ils commençaient tout de même à se mettre en configuration de mission. Ce n'était pas plus mal, qu'ils prennent du repos tant qu'ils le pouvaient encore.
Merendon avait quitté Cairhien il y avait de cela quelques semaines maintenant. Il avait laissé derrière lui sa mère, le palais, tout ce qu'il connaissait. Emportant avec lui son épée, quelques vêtements, une bourse et quelques lettres de change, il avait galopé vers le Sud sur son cheval bai, tout de détermination vêtu. IL voulait savoir, il voulait être rassuré.
Suivant le cour de L'Alguenya, il avait ensuite pris vers l’est, traversé Caemlyn rapidement et pris vers le Lugard. Quelques jours plus tard, il traversait le cours de la Manetherendrelle et se dirigeait vers ce qu’il savait être le Ghealdan.
Lui qui n’avait jamais quitté Cairhien, il découvrait le monde en y errant pour y trouver une réponse, une simple réponse qui dissiperait tout doute et toute inquiétude. Quelqu’elle pouvait être, savoir lui serait un réconfort indéniable. Il se moquait de l’issue qui serait engendrée par la réponse, ce qu’il voulait était l’assurance de connaître, d’être fixé. Tout simplement. Encore fallait-il qu'il trouve l'endroit où se tenait cette réponse.
Mais c'est seulement à ce moment là, quand il découvrirait qu'il serait alors capable d’agir et de prendre en main son destin.
Il suit maintenant la route qui mène au Ghealdan, au pas, se laissant bercer doucement par le lent mouvement du cheval. Il se laisse aller à ses pensées, lui qui les avait repoussées depuis le début de son voyage, grisé par ce sentiment de liberté qui l’envahissait. Ses cheveux noirs lui tombent devant les yeux. Son épée au coté cogne contre sa jambe gauche, sa cape l’entoure de sa protection, ses mains repose sur le pommeau de sa selle, enserrant les rênes avec négligence non dénuée d’élégance.
- Ce visage me hante mais... en même temps, il me rassure. Oui, il me rassure...
Il sourit légèrement, avançant toujours lentement sur la route entourée de forêt .
Je me suis endormie? Je me lève, chancelante, et apperçois un homme à cheval. Il m'a dépassé et se dirige vers le camp. Par le créateur! Je me relève et le rejoins en trois bonds.
[HRP] Arg, désolé, j'avais mal lu ton post précédent en croyant que tu étais encore dissimulée dans la forêt, alors je l'ai modifié pour le rendre cohérent. :s [/HRP]
Merendon sort de sa rêverie brusquement. Il relève la tête lentement et regarde autour de lui, étonné d'être appréhendé sur cette route qui parait si déserte. Il arrête néanmoins son cheval d'une simple pression de ses genoux. Il commence à faire sombre mais il regarde dans la direction dont lui semblait provenir la voix.
IL voit alors une jeune femme courir vers lui et le rejoindre. Bien qu'étonné, il n'en montre rien. C'est bien la première fois depuis le début de son voyage qu'il avoue cependant être surpris.
"- Bonsoir. Je me nomme Merendon Al Drenduin."
- Les politesses d'usage ne doivent pas s'oublier, même en pleine forêt.
"- Pourquoi me sautez vous dessus, en pleine forêt, sur cette route déserte ? "
IL sourit quelque peu, calme et tranquille.
- Je n'ai rien fait de mal pourtant.
[HRP] Pas grave: Non seulement Llewella n'est pas très efficace, mais, mais en plus elle est imprudente.......[HRP]
Je m'approche de l'homme, toujours sur mes gardes. La nuit promet d'être rude. Cet homme m'a dépassé, certes, mais il est sur la route... qui appartient encore à tout le monde. Et heureusement. Ce n'est pas sa faute si m'a surveillance a été prise en défaut. Sauf que le camp est là, à deux pas. Enfin, à sa voix, l'homme n'a pas l'air belliqueux.
D'une voix calme, malgré mon coeur qui bât encore à la chamade.
- Vous êtes à l'entrée d'un des camps de la bande rouge, l'armée du Dragon. J'ai crû que vous vouliez entrer. * voix radoucie* Je m'appelle Llewella. Le camp peut vous acceuillir pour la nuit si vous le désirez. Vous aurez de quoi manger.
Regard vers la nuit, noire. Le soleil ne viendra pas avant longtemps.
Merendon écoute avec attention les paroles de Llewella.
A la mention de l'armée du Dragon, son esprit tique. Il a des doutes sur ses capacités, sur ce qu'il a lu en Cairhien le concernant, mais avoir l'opportunité de rencontrer cette armée qui se prévaut d'être celle du Dragon l'apaise. IL cherche sa voie et il semblerait que la roue tisse son destin vers ce qu'il croit être son chemin. Soit.
- Le Dragon, souvent les gens frissonnent à la mention de son nom. Et pourtant je n'ai pas bougé. Peut être que je m'habitue à ce dont je doute et crois...
Il incline quelque peu la tête et regarde Llewella.
"- Un peu de compagnie ne me fera pas de mal pour cette nuit. Mon cheval montre des signes de fatigue, autant accepter votre hospitalité."
IL l'ose pas poser des questions sur cette armée. Il a entendu des rumeurs lors de son voyage, mais attend encore un peu avant de s'interroger.
"- Je vous suis. "
IL espère juste recevoir aussi bon accueil que celui de Llewella dans le camp.
Je prends son cheval par la bride et le caresse doucement, avant de reporter mon attention sur son maître. En souriant:
- Nous devons prévenir mon supérieur, Kelenvor. Il aime savoir qui se promène dans son camp. Ensuite, je vous mènerai dans un endroit où vous reposer. A cette heure, vous n'aurez pas beaucoup de compagnie, je le crains. Mais il y a de l'alcool et de la nourriture si vous voulez.* la curiosité est un vilain défaut, mais...* Vous entreprenez un long voyage en solitaire?
Tout en conversant, je les enmène vers le centre du camp. On passe devant une ou deux tentes. Un ou deux hommes en poste de nuit me font signe. J'apperçois la tente de Kelenvor.
"- Je comprends pour votre supérieur. Ils n'aiment généralement pas trop les surprises dans un camp. "
IL sourit, se rappelant une farce que l'un de ses amis avaient faite un jour d'entrainement. La surprise n'avait pas été très bien accueillie par le maitre d'arme.
Merendon se laisse alors aller à l'insouciance d'un bavardage agréable. Cela faisait si longtemps. D'un tappe amicale, il flatte l'encolure de son cheval.
"- Le simple fait de savoir qu'il y a des gens autour de soi même endormis dissipe quelque peu la solitude, même si on ne les connais pas. C'est comme... rassurant. "
IL poursuit, calmement, dissimulant son inquiétude à parler de son voyage, aux conséquences que cela pourrait avoir sur son destin si jamais ses hypothèses et ses craintes étaient fondées.
"- Mon voyage, j'ignore combien de temps il va durer. Cela dépendra de la façon dont la roue tisse. Si elle le veut bien, mon voyage ne fait que commencer. Et vous comment se passe le votre ? "
Voilà qui n'est pas très détaillé. Enfin je ne suis pas là pour juger des raisons d'un homme à aller sur les routes.
- J'espère que vous trouverez ce que vous chercher. Notre voyage? *je ris face à la nuit* Il se déroule assez bien depuis que nous avons suivi les pas du Dragon. Il n'y a pas grand monde dans cette partie de la forêt. On rencontre essentiellement des corneilles ces temps-ci. C'est bien tout.
Je m'approche d'une tente assez grande et frappe trois coups bien distinct.
- C'est la tente de Kelenvor. Il ne dort toujours que d'un oeil.