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Un mur? et alors, il est ou le problème? Hop par dessus
Alors que Sordon atteignait la ruelle, une voie retentit dans les airs. Il frissonna. Un élu responsable de tout ça? Au moins, il semblait être du même coté que lui. peut être qu'il s'en sortirait sans trop de problèmes. toutefois, il se retourna pour parler à l'ami de la jeune fille. et d’ailleurs, même s'il avait voulut parler parler avec l'autre homme, il n'aurait pas pu. Celui-ci, n'était plus visible. il n'avait pas suivit le mouvement. quel imbécile! enfin, si il vulait mourir seul dans une ruelle sombre, libre a lui.
"Vous je ne sait pas, mais même si nous avons semblé être du même coté que le seigneur Berislav, je ne tient nullement à être mêler aux affaires des élus du grand seigneur. Je vous propose donc de filer en douce avant que quelqu'un remarque que tous les trollocs n'ont pas été carbonisés. Et Je me fait du soucis pour votre jeune amie, elle n'est pas retourner à l'auberge comme je le lui avait suggérer. Et cette nuit n'est vraiment pas fait pour une jeune fille seule. Bien que je me doute qu'elle aie plus de ressource qu'il n'en parait. Je me nomme Sordon, je je suis un guerrier andoran envoyé en mission au Tear. Comment puis-je vous nommer Aes Sedai? Ah oui, et encore, j'ai quelques talent pour les soins, je vais vous conduire dans un endroit su au nord de la ville, là je pourrai penser vos blessures et vous laisser vous reposer pendant que je retrouverai votre amie pour vous. Et avec un peu de retard, il ajouta : Si cela vous convient, bien entendu!
"Vous je ne sais pas, mais même si nous avons semblé être du même coté que le seigneur Berislav, je ne tient nullement à être mêler aux affaires des élus du grand seigneur. Je vous propose donc de filer en douce avant que quelqu'un remarque que tous les trollocs n'ont pas été carbonisés. Et Je me fait du soucis pour votre jeune amie, elle n'est pas retournée à l'auberge comme je le lui avait suggéré. Et cette nuit n'est vraiment pas faite pour une jeune fille seule. Bien que je me doute qu'elle aie plus de ressources qu'il n'en parait. Je me nomme Sordon, je suis un guerrier andoran envoyé en mission au Tear. Comment puis-je vous nommer Aes Sedai? Ah oui, et encore, j'ai quelques talent pour les soins, je vais vous conduire dans un endroit sur au nord de la ville, là je pourrai panser vos blessures et vous laisser vous reposer pendant que je retrouverai votre amie pour vous. Si cela vous convient, bien entendu!" Dit l'homme qu'il suivait.
Sordon disait-il donc s'appeler. Il rit intérieurement en entendant cet homme parler. Il prirent à gauche à une intersection, et après avoir fait quelques pas, il se rendit compte que l'épéiste avait disparu.
*Mais où est-il allé? On le sauve des Trollocs, et il s'éclipse sans dire un mot... J'aurais dû le laisser là où il était*
Il se tourna vers Sordon avant de lui répondre
"Pour quel genre de mission avez-vous été envoyé à Tear? Je ne savais pas que cette région employait des mercenaires étrangers. Et vous me semblez bien loin de l'Andor et du Tear..." Dit il en souriant. "Ne vous inquiétez pas pour mes blessures, je m'en sortirai. Tant que je peux marcher, cela devrait aller. Avec Berislav dans la ville, nous ne devrions plus avoir de souci à nous faire des Trollocs. Vous pouvez m'appeler Velar. Si vous voulez retrouver "ma jeune amie", libre à vous. Moi, je m'en vais voir Berislav. Peut-être pourrais-je être d'une quelconque aide pour lui."
*Pour qui croit-il que les Aes Sedai travaille? Même si je n'en suis pas un, il me croit en faire parti, et devrait donc mieux prendre garde à ce qu'il dit, s'il veut survivre longtemps*
Il espérait que Sordon allait fouiller la ville pour retrouver Niedjan, tandis qu'ils repartiraient vers Cairhien.
Un mur? et alors, il est ou le problème? Hop par dessus
"Pour quel genre de mission avez-vous été envoyé à Tear? Je ne savais pas que cette région employait des mercenaires étrangers. Et vous me semblez bien loin de l'Andor et du Tear..." Dit il en souriant. "Ne vous inquiétez pas pour mes blessures, je m'en sortirai. Tant que je peux marcher, cela devrait aller. Avec Berislav dans la ville, nous ne devrions plus avoir de souci à nous faire des Trollocs. Vous pouvez m'appeler Velar. Si vous voulez retrouver "ma jeune amie", libre à vous. Moi, je m'en vais voir Berislav. Peut-être pourrais-je être d'une quelconque aide pour lui."
Rejoindre Berislav? bon, après tout, c'est un Aes Sedai. Toutefois, il n'était pas convaincu de la sagesse de cette décision. Mais il se garda bien ses pensées.
"Très bien Velar, comme vous le souhaitez... Vous êtes Aes Sedai, donc je ne m'étonne pas que la compagnie des élus ne vous gène guerre. Je vais de mon coté tenter de retrouver votre amie, mais puisque vous rejoignez le seigneur Berislav, peut-être vaudrait-il mieux que je ne vous dérange pas. Nous irons à "l'auberge du repos satisfait" [hrp : celle de la rencontre avec Taenad] au Nord de la ville. Et dans le cas ou nous ne nous rencontrerions pas, je vous laisserai toutefois un message là bas.
Pour ce qui est de ma mission, je craint de ne pouvoir vous révéler plus que le fait qu'il s'agit de porter un message dans le but de conclure un éventuel traité de libre commerce. Mais je ne vais pas vous retenir plus longtemps."
Sur se, Sordon sortit de son sac un petit paquet de papier qui contenait son mélange de simple contre la douleur.
"tenez, c'est le moins que je puisse faire, si vous avez trop mal, prenez en une bonne cuillère avec un peu d'eau. Et si vous pouvez trouver de l'eau chaude, laissez infuser 2 minutes". Je vais commencer de chercher près de la place, car votre amie n'a pas du aller bien loin. Bonne chance!"
sur ce, Sordon reparti par là ou ils venaient. évitant les cadavres carbonisés de trollocs.
Durnik prit le paquet de simples et vit l'étrange homme repartir vers l'auberge.
*Après avoir passé tant de temps à vouloir se mettre en sureté, voila qu'il se rend vers l'endroit d'où venait une des hordes de Trollocs...*
Alors qu'il disparaissait à un tournant, Durnik se remit en marche, et après quelques minutes, retrouva Niedjan, adossée contre un mur. Elle avait changé, reprenant ses cheveux d'un blanc de neige encadrant un visage d'une pâleur rare, il s'approcha vivement d'elle, et posa une main sur son épaule.
"Tout va bien? Vous semblez totalement épuisée... Que s'est-il passé? Nous avons entendu votre voix résonner dans toute la ville, et je vois maintenant le sol couvert d'Engeances..." Il regarda la scène qui se déroulait devant ses yeux. Il y avait des lambeaux de Trollocs jonchant les pavés, ainsi que des choses étranges, comme des chaussures d'hommes, ou des fourches, laissées sur le sol comme pour fuir précipitamment.
"J'ai des simples, mais je ne crois pas qu'elles puissent être utiles pour vous dans cet état... Voulez-vous que je vous porte?"
Il ne savait pas vraiment s'il en serait capable avec ses blessures, mais cela l'importait peu à vrai dire
En entendant des bruits de pas se rapprocher, Niedjan redressa la tête et tourna ses yeux sombres vers l'homme, qui s'avéra être Durnik. Elle lui adressa un sourire fatigué lorsqu'il posa une main sur son épaule. Personne d'autre n'aurait osé une telle familiarité. Sa petite main enserra brièvement l'avant-bras du Tairien, et elle répondit d'un ton monocorde :
"Je les ai tués... tous. Et j'ai trouvé de quoi obtenir plus d'informations sur ce qu'il s'est passé."
D'un signe de tête, elle désigna Krohrst toujours inconscient. Prenant appui sur l'épaule de Durnik comme ses jambes tremblaient légèrement, elle s'arrêta cependant après avoir brièvement considéré son état.
"Tu es blessé... ouvre-toi au saidin."
Il lui resterait probablement assez d'énergie pour le guérir et ouvrir un portail, à condition que Durnik l'aide. Du moins l'espérait-elle. Exaspérée par sa propre faiblesse, elle fronça les sourcils et s'ouvrit à la source, posant une main sur la tempe du tairien. Tissant les cinq éléments, elle entreprit de refermer les blessures de Durnik.
"Je les ai tués... tous. Et j'ai trouvé de quoi obtenir plus d'informations sur ce qu'il s'est passé." Dit elle avec un signe de tête vers une des engeances. Durnik coryait que ce Draghkar avait péri comme les autres, mais avec un examen plus attentif, il vit qu'il était dans un sale état, mais encore en vie.
"Tu es blessé... ouvre-toi au saidin." Dit-elle ensuite.
Il ne savait pas pourquoi elle lui demandait cela, mais il le fit sans rechigner. Il saisit le saidin, et alors que Niedjan posait sa main sur sa tempe, il sentit une douche glacée parcourir son corps alors qu'elle tissait les cinq Pouvoirs dans un enchevêtrement complexe de flux. Peu à peu, il sentit ses blessures se refermer, et ses bleus s'estomper. La douleur disparut, s'estompant au fil de la Guérison.
"Merci beaucoup" Dit-il simplement. Niedjan semblait encore plus épuisée qu'avant. "Attendez, je vais vous aider". Il l'attrapa par la taille pour la soutenir, et l'aider à se tenir debout. Ses frêles jambes semblaient encore plus faibles qu'avant la Guérison. Cela avait du lui en demander beaucoup. Pour sa part, il ne se sentait pas très affaibli, mais il sentait poindre une faim à laquelle il lui faudrait remédier.
Le contact de Durnik avec la source lui facilitait la tâche, mais elle avait déjà épuisé ses réserves dans toutes ces effusions de flammes, malgré sa maîtrise du pouvoir qui lui permettait d'économiser son énergie. Des tâches rouges et jaunes apparurent un instant devant ses yeux comme elle retirait sa main, et malgré un soupçon d'orgueil blessé, elle accepta sans rechigner le soutien de Durnik, s'accrochant à son épaule. Les yeux dans le vague, elle dit :
"Rentrons à Cairhien... Nous interrogerons ce draghkar, puis... il y a quelqu'un que je dois voir."
Deux quelqu'un en vérité. Mais pour l'heure, le programme était déjà de rentrer... Elle fixa le vide devant eux, comme si elle s'attendait à ce que l'air réponde à ses ordres et s'ouvre de lui-même sur les salles de sa demeure du Cairhien.
[d10]
Par miracle, elle parvint une fois encore à canaliser, puisant dans ses dernières ressources. L'air se fendit, et le portail s'étira devant eux, dévoilant la pièce plongée dans une semi-obscurité. S'appuyant un peu plus sur Durnik l'air de rien, elle lui demanda d'un signe de tête de s'occuper du draghkar.
Un mur? et alors, il est ou le problème? Hop par dessus
Après être retourné sur la place, Sordon passa deux heures à chercher la jeune fille. Il crût bien voir une ombre se déplacer en direction du nord, mais lorsqu'il arriva au coin de la rue, personne n'était en vue. Voyant qu'il ne trouvait personne et que le soleil commençait à poindre à l’horizon, il retourna furtivement sur la place, récupéra les bijoux volé et se rendit au repos satisfait.
Arrivé sur place, il demanda sir Velar. Ce dernier n'étant pas sur place, il laissa un mot pour ce dernier, indiquant qu'il n'avait pas retrouver la jeune fille, qu'il souhaitait une bonne chance et qu'il devait malheureusement repartir pour le Tear pour terminer sa mission.
Ensuite, il se rendit à sa planque. la trouvant déserte et sans un mot, il s'en alla sans regarder derrière lui.
Il retourna rapidement à l'autre auberge, évita les restes carbonisés des trollocs, subtilisa un cheval dans l'écurie et se mit en route pour Tar Vallon, où il espérait pouvoir faire de bons profits.
En route, il repensa à sa rencontre avec l'étrange homme-loup. et décida de l'aider même si il ignorait presque tout de l'homme.
Il changea ses plans sur le futur et décida qu'il était temps de rêver à la grandeur. Et c'est la tête pleine d'idée pour le futur qu'il arriva en vue de la cité blanche quelques huit jours plus tard, grâce aux sous gagné sur les bijoux volé et un aimable capitaine.
Niedjan ouvrit un Portail, à travers duquel il reconnut le salon du Manoir de l’Élue à Cairhien.
Il sentit Niedjan s'appuyer contre lui, sentant son corps frêle et tremblant contre le sien. "Allons-y" dit-elle tout simplement.
[d10] + 6 (force) = 11/20 Il attrapa le Draghkar par le bras, et la sensation n'était vraiment pas agréable. Le cuir de la Créature était froid. Il le hissa du mieux qu'il pouvait sur son dos, son autre bras tenant Niedjan. Il n'avait pas beaucoup de chemin à parcourir, et la Guérison l'avait laissé assez épuisé. Au moins, la douleur disparue lui permettait de se mouvoir plus facilement...
Après avoir franchit le Portail, il laissa le Draghkar tomber sur le sol avec un bruit mat, et il s'approcha d'un siège proche pour y déposer Niedjan.
"Dois-je le faire porter dans une salle close et gardée?" dit-il en regardant l'Engeance inconsciente sur le sol, le regard inquiet face à l'état de Niedjan
Le portail de Brecq s'ouvre à quelques kilomètres au sud du village de Tremonsien, ainsi que vous l'apprennent les fumées que vous distinguez devant vous.
Melyna franchit le portail à la suite de Brecq.
Tremonsien est un petit village du Cairhien que Melyna n'a visité qu'une seule fois rapidement il y a de nombreuses années.
Tout ce qu'elle sait c'est qu'il abritait jadis un des plus puissants Angreal jamais construit mais maintenant détruit.
L'avantage de ce lieu était d'être entouré de villageois ce qui signifiait que l'Aes Sedai ne tenterait probablement rien d’insensé. Melyna se méfiait maintenant de ses rencontres après le comportement de Chasaline.
Cependant l'Aes Sedai serait sûrement en terrain connu et il faudrait donc rester méfiant.
"Ne perdons pas de temps, si vous le voulez bien" dit elle en s'adressant à Brecq.
J'ai mon chapeau et une épée, je suis prêt ! Alias de KenAcros
Elren arriva juste à temps pour suivre la petite procession, les yeux encore un peu lourd de sommeil. Il se sentait déjà beaucoup plus en forme qu'à la fin de l'entrainement.
Il s’émerveilla un peu en passant le portail, prenant pour la première fois la peine de l'observer. Les autres fois il était dans le Vide ou sous stress et n'a donc pas observer les portails. Cette fine ligne blanche qui semblait découper la trame ainsi que la plaine cairhienenne qui s'ouvrait de l'autre coté du portail. Et dire qu'il serait bientôt capable de faire cela lui aussi !
Il analysa rapidement son environnement une fois sorti du portail. Il était déjà venu au Cairhien auparavant. Mais il n'était pas resté très longtemps au vu de la manie de presque tout le monde de jouer au Daes Dae'mar. Certes il jouait lui aussi au Grand Jeu à l'occasion mais ces cairhieniens en faisaient beaucoup trop.
Il laissa les canalisateurs guider le groupe, ils semblaient tellement apprécier la chose qu'ils n'allait certes pas interférer. Une étincelle d'amusement apparu dans ses yeux à cette pensée alors qu'il se mettait en marche avec les autres.
Après la matinée passée à aider Brönn de diverses manière. Lara rejoint le groupe en route pour Tremonsien.
Elle passe le portail à la suite du jeune épéiste sans proférer un mot.
Elle arbore un air assuré et confiant, de marchand affairé.
A la vue du petit village miteux, elle esquisse un petit sourire dédaigneux. emboîtant le pas à Melyna sedai avant même que Brecq ne réagisse à son injonction, elle observe les environ.
Après un regard aux alentours qui ne l'avertit d'aucun danger, Brecq relâche le Pouvoir et le portail disparaît derrière le petit groupe. Il acquiesce aux paroles de Melyna, n'ayant lui-même aucune intention de traîner, et se met en marche à sa suite et celle de Lara. Dans la plaine dégagée seulement parsemée de quelques rares bosquets, Tremonsien se détache peu à peu, avec sa petite place centrale et l'auberge où ils sont censés retrouver la Sœur Brune.
Mais alors que le groupe rejoint la route apparemment déserte, une silhouette semble apparaître à deux ou trois mètres à peine dans l'ombre des arbres et s'approche d'un pas tranquille. Tandis qu'il retire sa cape aux couleurs changeantes, apparaît un homme d'une quarantaine d'années, à la chevelure noire en catogan parsemée de fils gris et aux larges yeux typiques de l'Arafel, portant deux épées au côté.
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