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association de paroles
(Sujet créé par ysandell l 12/09/05 à 16:38)
Sur le même principe que l'association d'images, l'association de chanson par les paroles...
quelqu'un poste des paroles et une autre enchaine avec les paroles d'une autre... on peut aussi bien posté une partie que la totalité de la chanson. N'oubliez pas de préciser à chaque fois le titre de la chanson et son auteur (qui n'est pas forcément son interprète, attention ).
Tous les styles sont évidemment autorisés mais il serait mieux de demander les traductions pour les langues étrangères en plus des paroles originales... pour éviter les Je commence
bonne partie, la musique adoucit les moeurs... et les coeurs!!!
Je bois pour oublier
mes années d'infortune,
et cette vie commune,
avec toi mais si seul,
je bois pour me donner
l'illusion que j'existe,
puisque trop égoïste
pour me péter la gueule!!!
et je lève mon verre à tous les coeurs en faillite,
aux illusion détruites
à ma fuite en avant...
El pueblo unido jamás será vencido,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
De pie, cantar, que vamos a triunfar.
Avanzan ya, banderas de unidad,
Y tú vendrás marchando junto a mí
Y así verás tu canto y tu bandera florecer.
La luz, de un rojo amanecer
Anuncia ya la vida que vendrá.
De pie, luchar, el pueblo va a triunfar.
Será mejor la vida que vendrá
A conquistar nuestra felicidad,
Y en un clamor mil voces de combate
Se alzarán, dirán,
Canción de libertad,
Con decisión la patria vencerá.
Y ahora el pueblo que se alza en la lucha
Con voz de gigante gritando : ¡ Adelante !
El pueblo unido jamás será vencido,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
La patria está forjando la unidad.
De norte a sur se movilizará,
Desde el Salar ardiente y mineral
Al Bosque Austral,
Unidos en la lucha y el trabajo, irán
La patria cubrirán.
Su paso ya anuncia el porvenir.
De pie, cantar, que el pueblo va a triunfar
Millones ya imponen la verdad.
De acero son, ardiente batallón.
Sus manos van llevando la justicia
Y la razón, mujer,
Con fuego y con valor,
Ya estás aquí junto al trabajador.
Y ahora el pueblo que se alza en la lucha
Con voz de gigante gritando : ¡ Adelante !
El pueblo unido jamás será vencido,
¡ El pueblo unido jamás será vencido !
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Du vent, du sexe et de la sueur
Du sang, de la fête et de la peur
Des partisans dans ma tête
Qui s'arrachent à la douleur
Que croyez vous ? Je suis comme vous.
Mes refrains ne changent pas tout
Y'a pas grand monde dans le train
Y'a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d'ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des imageries
C'est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j'ose encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Travail famille Sarkosy
C'est la compassion pour les nantis
Mais si t'as rien à offrir
Prépare toi à souffrir
Au rendez-vous du MEDEF au fond d'un trou
Il a des planches et même des clous
T'as intérêt à tenir debout
Car si demain tu sers à rien
On va te j'ter comme un chien
Pour qu' tu puisses une fois dans la rue
Épouvantail aux mains tendues
Effrayer le salarié
Fermer ta gueule et pas bouger
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l'amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d'un instant
Pour comprendre la force d'être unis
Y'a pas grand monde dans le train
Y'a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d'ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des imageries
C'est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j'aime encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l'amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d'un instant
Pour comprendre la force d'être unis
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l'amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d'un instant
Pour comprendre la force d'être unis
Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien là
Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s'il ne sert à rien va
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Et cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génetique en bandouillère
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant dis ?
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Lien joyeux ou lien plus mélancolique... ?
Lien mélancolique :
Pendant que la marée monte
Tout en volutes, en ellipses de soie,
S'évaporent mes humeurs,
Le sommeil a sonné et m'assomme de son toit
Où les heures, les quarts d'heure, se prélassent.
Laissant mes chairs aux porches de l'éther,
À la vague frontière,
Mes chimères se subliment, s'abandonnent
À la mer
En écume, sur les dunes, et s'effacent.
Glissant sur l'onde,
Sous les yeux de la blonde,
Je m'éloigne des falaises,
De lianes en trapèzes,
Les embruns mènent le bal,
Dansent les feux de bengale,
Et je déploie mes ailes
Immaculées au ciel, aux étoiles.
Soudain une ombre, à l'horizon des songes
Semble avaler la mer,
Des éclairs craquent le ciel et déchirent
L'atmosphère ;
Ils abondent, font la ronde, et s'enlacent.
Hypnotisé par la blanche dentelle,
Je m'approche à tire-d'aile,
Les remous sous mes voiles s'enveniment
Et s'emballent,
Et le vent, plus violent, me menace.
Glissant sur l'onde,
Sous les yeux de la blonde,
Je m'approche du malaise,
De lianes en trapèzes,
Les embruns sèment le bal,
Meurent les feux de bengale,
Et je déploie mes ailes
Immaculées au ciel, aux nuages.
Sur mon balcon, survolant les baleines,
Fuyant les eaux d'ébène,
Les sirènes s'égosillent en alarmes inutiles,
Plus de chant, plus d'amant, elles trépassent.
Aux premières loges, un géant de ferraille,
Flottant sur son brancard,
Lentement se soulage en nappes
De cauchemar ;
Et la mer, maudissante, laisse place.
Glissant sur l'onde,
Sous les yeux de mes blondes,
Je m'éloigne du malaise,
De lianes en trapèzes,
Les embruns pleurent le bal,
De la coulée de gale,
Et je déploie mes ailes
Miraculées au ciel, aux étoiles.
Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie,
Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris,
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie,
Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d'éternels étés,
Mais j'ai tout essayé,
J'ai fait semblant de croire,
Et je reviens de loin,
Et mon soleil est noir,
Mais j'ai tout essayé,
Et vous pouvez me croire,
Je reviens fatiguée,
Et j'ai le désespoir,
Légère, si légère, j'allais court vêtue,
Je faisais mon affaire du premier venu,
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance,
A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse,
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare,
J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart,
Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir,
Avec l'œil alangui, vague de souvenirs,
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre,
Et j'étais le torrent et la force de vivre,
J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard,
Que la vie était belle et folle mon histoire,
Mais la terre s'est ouverte,
Là-bas, quelque part,
Mais la terre s'est ouverte,
Et le soleil est noir,
Des hommes sont murés,
Tout là-bas, quelque part,
Les hommes sont murés,
Et c'est le désespoir,
J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli,
J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui,
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire,
Que la vie était belle, fascinant le hasard,
Qui me menait ici, ailleurs ou autre part,
Où la fleur était rouge, où le sable était blond,
Où le bruit de la mer était une chanson,
Oui, le bruit de la mer était une chanson,
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
J'entends le glas qui sonne,
Tout là-bas, quelque part,
J'entends le glas sonner,
Et c'est le désespoir,
Je ne ramène rien, je suis écartelée,
Je vous reviens ce soir, le cœur égratigné,
Car, de les regarder, de les entendre vivre,
Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre,
Je ne ramène rien, je reviens solitaire,
Du bout de ce voyage au-delà des frontières,
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire,
Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire,
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes,
Et si je pouvais, seule, faire taire les armes,
Je jure que, demain, je reprends l'aventure,
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures,
Je veux bien essayer,
Et je veux bien y croire,
Mais je suis fatiguée,
Et mon soleil est noir,
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir..
Il s'est levé à mon approche
Debout, il était bien plus petit
Je me suis dit c'est dans la poche
Ce mignon-là, c'est pour mon lit
Il m'arrivait jusqu'à l'épaule
Mais il était râblé comme tout
Il m'a suivie jusqu'à ma piaule
Et j'ai crié vas-y mon loup
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Envole-moi au ciel... zoum!
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Moi j'aime l'amour qui fait boum!
Il n'avait plus que ses chaussettes
Des belle jaunes avec des raies bleues
Il m'a regardé d'un oeil bête
Il comprenait rien, le malheureux
Et il m'a dit l'air désolé
Je ne ferais pas de mal à une mouche
Il m'énervait! Je l'ai giflé
Et j'ai grincé d'un air farouche
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Je ne suis pas une mouche... zoum!
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Moi j'aime l'amour qui fait boum!
Voyant qu'il ne s'excitait guère
Je l'ai insulté sauvagement
J'y ai donné tous les noms de la terre
Et encore d'autres bien moins courants
Ça l'a réveillé aussi sec
Et il m'a dit arrête ton charre
Tu me prends vraiment pour un pauvre mec
Je vais t'en refiler, de la série noire
Tu me fais mal, Johnny, Johnny, Johnny
Pas avec des pieds... zing!
Tu me fais mal, Johnny, Johnny, Johnny
J'aime pas l'amour qui fait bing!
Il a remis sa petite chemise
Son petit complet, ses petits souliers
Il est descendu l'escalier
En me laissant une épaule démise
Pour des voyous de cette espèce
C'est bien la peine de faire des frais
Maintenant, j'ai des bleus plein les fesses
Et plus jamais je ne dirai
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Envole-moi au ciel... zoum!
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Moi j'aime l'amour qui fait boum!
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Il avait de grands yeux très clairs
Où parfois passaient des éclairs
Comme au ciel passent des orages.
Il était plein de tatouages
Que j'ai jamais très bien compris.
Son cou portait : "Pas vu, pas pris."
Sur son cœur on lisait : "Personne"
Sur son bras droit un mot : "Raisonne".
J'sais pas son nom, je n'sais rien d'lui.
Il m'a aimée toute la nuit,
Mon légionnaire !
Et me laissant à mon destin,
Il est parti dans le matin
Plein de lumière !
Il était minc', il était beau,
Il sentait bon le sable chaud,
Mon légionnaire !
Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux blonds
De la lumière !
Bonheur perdu, bonheur enfui,
Toujours je pense à cette nuit
Et l'envie de sa peau me ronge.
Parfois je pleure et puis je songe
Que lorsqu'il était sur mon cœur,
J'aurais dû crier mon bonheur...
Mais je n'ai rien osé lui dire.
J'avais peur de le voir sourire !
J'sais pas son nom, je n'sais rien d'lui.
Il m'a aimée toute la nuit,
Mon légionnaire !
Et me laissant à mon destin,
Il est parti dans le matin
Plein de lumière !
Il était minc', il était beau,
Il sentait bon le sable chaud,
Mon légionnaire !
Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux blonds
De la lumière !
On l'a trouvé dans le désert.
Il avait ses beaux yeux ouverts.
Dans le ciel, passaient des nuages.
Il a montré ses tatouages
En souriant et il a dit,
Montrant son cou : "Pas vu, pas pris"
Montrant son cœur : "Ici, personne."
Il ne savait pas...Je lui pardonne.
J'rêvais pourtant que le destin
Me ramèn'rait un beau matin
Mon légionnaire,
Qu'on s'en irait seuls tous les deux
Dans quelque pays merveilleux
Plein de lumière !
Il était minc', il était beau,
On l'a mis sous le sable chaud
Mon légionnaire !
Y avait du soleil sur son front
Qui mettait dans ses cheveux blonds
De la lumière !
Mon légionnaire - Raymond Asso (interprètes : Marie Dubas, Edith Piaf, Serge Gainsbourg...)
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Toutes ces conneries qu'on raconte sur l'amour
Toutes ces sornettes comme quoi ça fait du bien
Il paraît même que c'est l' propre des humains
Il paraît qu' ça rend heureux, qu'on a rien trouvé d'mieux
Et moi j'y crois
Quand j' te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j'y crois
Embrasse moi!
Il paraît qu' l'amour, ça t'aide quand t'es triste
Il paraît même que ça rend complices
Il paraît qu' ça fait des trucs profonds
Qu'on efface pas d'un coup d' torchon
Que ça va même jusqu'à la passion
Que des fois ça fait mal mais y'a qu'ça qu'est bon
Il paraît qu' l'amour, ça change tous les jours
Que tu l' croies mort, et même il bande encore
Et moi j'y crois
Quand j'te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j'y crois
Embrasse moi!
Mais j'ai vu un gars, dans un bistrot
Un peu tristounet, et tout pâlot
Qui m'a dit qu'un coeur pouvait battre si fort
Que d'un coup il s'arrache de son corps
Et il t'laisse là sur le bitume
Empli de vide et d'amertume
Il paraît qu'l'amour, c'est un truc dangereux
Que ça va faire chialer tes jolis p'tits yeux
Il paraît même que ça fout la fièvre
Il paraît qu'y'en a certains, y'en a certains qu'en crèvent
Mais moi j'y crois
Quand j'te vois
En face de moi
Que ma tête me crie tout bas
"Embrasse la! Embrasse la!"
Et moi j'y crois
Embrasse moi!
Moi j'y crois - Mano Solo
C'était ça ou positive attitude pour te remonter un peu le moral .
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
I'm thinking of you
In my sleep
And I could talk
The worst kind of sound
I've noticed things
Can not be repaired
When I wake up
I'll be in despair
Cause I know I've got to say
I know I've got to say
Goodbye
Baby goodbye
Goodbye
Baby goodbye
You're my sweetheart
Goodbye
You're my sweetest
Goodbye
I know I'm gonna look
So so so so bad
But there's no easier way
For me to have to walk away
But I don't wanna hear this no more
And I don't wanna feel this no more
And I don't wanna see this no more
And I don't wanna experience this no more
Cause I know I 've got to say
I know I've got to say
Goodbye
Baby goodbye
Goodbye
Baby goodbye
You're my sweetheart
Goodbye
You're my sweetest
Goodbye
Goodbye
Goodbye
Goodbye (you're my sweetest)
Ca dégouline d'amour,
C'est beau mais c'est insupportable.
C'est un pudding bien lourd
De mots doux à chaque phrases :
"Elle est bonne ta quiche, amour"
"Mon coeur, passe moi la salade"
Et ça se fait des mamours,
Se donne la becquée à table.
Ce mélange de sentiments
Aromatisé aux fines herbes
Me fait sourire gentiment
Et finalement me donne la gerbe !
Je hais les couples qui me rappellent que je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}
C'est un épais coulis
Ca me laisse le cul par terre
Autant de mièvrerie
Nappée de crème pâtissière
"Coucou qu'est ce que tu fais mon coeur ?"
"La même chose qu'y a une demie heure... "
"J' t'ai appelé y a cinq minutes mon ange mais ça répondait pas...
Alors j' t'ai rappelé... pour la douzième fois de la journée...
En niquant tout mon forfait...
Mais qu'est ce que tu fais mon adoré ?
Ouais je sais on se voit après...
Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non c'est toi... C'est toi ... Bon d'accord je te rappelle... "
Je hais les couples qui se rappellent quand je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}
Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été.
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant.
Châtaignes dans les bois, se fendent, se fendent,
Châtaignes dans les bois, se fendent sous nos pas.
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Nuages dans le ciel, s'étirent, s'étirent
Nuages dans le ciel s'étirent comme une aile
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone, tombe en tourbillonnant
Et ce chant dans mon coeur, murmure, murmure
Et ce chant dans mon coeur appelle le bonheur
Posté devant la fenêtre
Je guette
Les âmes esseulées
A la faveur de l'automne
Posté devant la fenêtre
Je regrette
De n'y avoir songé
Maintenant que tu abandonnes
A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies
Rivé devant le téléphone
J'attends
Que tu daignes m'appeler
Que tu te décides enfin
Toi, tes allures de garçonne
Rompiez un peu la monotonie
De mes journée de mes nuits
A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies
A la faveur de l'automne
Tu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de super-scopitone
A la faveur de l'automne
Comment ai-je pu seulement
Être aussi bête ?
On m'avait prévenu
Voici la vérité nue
Manquerait
Plus que le mauvais temps
S'y mette,
Une goutte de pluie et
J'aurais vraiment tout perdu
Ah, look at all the lonely people
Ah, look at all the lonely people
Eleanor Rigby picks up the rice in the church where a wedding has been
Lives in a dream
Waits at the window, wearing the face that she keeps in a jar by the door
Who is it for?
All the lonely people
Where do they all come from?
All the lonely people
Where do they all belong?
Father McKenzie writing the words of a sermon that no one will hear
No one comes near
Look at him working, darning his socks in the night when there's nobody there
What does he care?
All the lonely people
Where do they all come from?
All the lonely people
Where do they all belong?
Ah, look at all the lonely people
Ah, look at all the lonely people
Eleanor Rigby died in the church and was buried along with her name
Nobody came
Father McKenzie wiping the dirt from his hands as he walks from the grave
No one was saved
All the lonely people (Ah, look at all the lonely people)
Where do they all come from?
All the lonely people (Ah, look at all the lonely people)
Where do they all belong?
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
La voiture avançait
Dans la pénombre humide,
L'homme avait choisi son quartier.
Un carillon sonnait
Pour dire que la nuit se termine,
Mais pour un fêtard
Il est trop tôt pour rentrer.
La nuit a été chaude
En alcools, en farines légères,
Ces gens-là ont tout ce qu'ils veulent.
Mais lui, il s'était inventé
Un jeu supplémentaire :
Surtout, surtout
Ne jamais rentrer seul.
C'est pas un jeu précis,
C'est plutôt son envie de plaire,
Quelque chose comme passer du bon temps.
C'est pour ça qu'il a choisi
Ce quartier ordinaire,
Cette fin de nuit parmi les pauvres gens.
Lui, c'est un noceur, un noceur, un noceur
Un dandy, un rouleur.
La première fille qu'il croise,
Il sait qu'il doit faire vite
Alors il lui sourit pour ne pas qu'elle s'inquiète,
Une sorte de jazz monte
Comme il baisse la vitre,
Elle n'a même pas tourné la tête...
Il reste un bar ouvert
Où quelques soûlards se cramponnent
Et où la serveuse ne s'étonne de rien.
Il laisse la voiture devant,
Il est sûr que ça l'impressionne,
Mais elle a répondu en retirant sa main,
Elle a dit : "no sir, no sir,
La vie a fait de toi un dandy, un rouleur.
T'avances comme au volant d'un cargo, d'un croiseur,
J'aime pas comme tu claques des doigts"
Elle a dit : "no sir, no sir,
T'es tombé du côté des nantis, des menteurs.
Dans ta poitrine j'entends le battement d'un compteur,
Faut pas que tu comptes sur moi.
On n'a pas la vie facile,
Hey, mais on a tout ce qu'il faut.
On a rangé les évangiles,
On fera plus de cadeau.
On voit venir le jour,
C'est comme la chance qui nous quitte,
Il faut partir avant que tout ne se complique,
Dans cette chasse à cour
Y a quand même une limite :
Celle de rentrer avant que ne s'éteigne l'éclairage public.
Il revient vers chez lui,
Le portail électrique
Et les allées de graviers entre les massifs de fleurs,
Faire un peu de café
Mettre un peu de musique
Oublier ce que cette fille lui disait tout à l'heure...
Quand elle parlait d'un noceur... d'un noceur...
Et puis elle a parlé de dandy, de rouleur,
Et aussi de cargo, de croiseur,
De gens qui claquent des doigts.
Elle a dit : "no sir, no sir,
T'es tombé du côté des nantis, des menteurs.
Dans ta poitrine j'entends le battement d'un compteur,
Il faut pas que tu comptes sur moi."
Elle a dit : "no sir, no sir,
La vie a fait de toi un dandy, un rouleur.
T'avances comme au volant d'un cargo, d'un croiseur,
J'aime pas comme tu claques des doigts."
A quatre sur la banquette arrière
A six dans une petite voiture
On tourne maintenant depuis deux heures
Cette fête elle est bien quelque part
L'itinéraire est formel
On aurait dû depuis longtemps
Quitter la Nationale
Qu'est-ce qu'on fout à Orléans
C'est bon gare-toi, fais demi-tour
Je te parle sur l'ton que je veux
A cause de toi on fait un détour
D'une centaine de bornes, si peu
Quoi ? J'arrête pas de me plaindre
C'est complètement faux
J'aimerais étendre mes jambes
J'crois qu' je fais de la rétention d'eau
Si on reconnaît quelqu'un à ses copains
J'espère que les miens sont très très bien
J'espère surtout qu'ils savent où on va
Parce que moi vraiment, les gars, je sais pas
Une fois quitté la Nationale
Faut aller jusqu'au rond point ?
Prendre à gauche direction Bonneval
Il est où ce putain de rond point
ça déprime le conducteur
Qui n'avait déjà pas le moral
Une femme lui a brisé le coeur
Nous on le soutient c'est normal
Elle n'était pas digne de toi
Faut surtout pas que tu la regrettes
En plus elle te trompait
On le sait on se l'est tous faite
Vraiment tu mérites mieux
Elle ressemble à Jean Gabin
Nous remercie pas mon vieux
C'est fait pour ça les copains
A gauche entrer dans le bourg
Après l'église, deuxième à droite
J'ai l'impression qu'on se goure
Qu'est-ce qu'on fout sur l'autoroute ?
On a bien sûr tenté d'appeler
On n'a laissé que des messages
J'imagine les portables bien rangés
Dans les blousons sur un lit à l'étage
Tant pis pour cette fête, on la trouvera jamais
L'itinéraire par la fenêtre, va tout droit
On verra bien
Serrés à six dans une petite voiture
J'échangerais pas ma place
Même si on va dans l' mur.
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Vous les avez connus ceux qui
Dans un élan de poésie
Mal contrôlé
A cent à l'heure sur les boulevards
Sur les banquettes de moleskine
En s'en remettant au hasard
Sans plus se soucier de Lénine
S'aimaient à l'arrière des taxis
Ils s'aimaient a l'arriere des taxis
Tant que les heures passent
Tant que les heures passent
Peu importent les années
Et peu importent les villes
C'est Paris, Moscou Berlin
Berlin l'enchanteresse...
Et le déjà vieux règne de l'électricité
Partout même sous nos peaux
La cicatrice aux néons
Et les égouts qui debordent
En pensant à Lili Brik
Et Volodia Maïakovsky
Ils s'aimaient à l'arriere des taxis
Ils s'aimaient à l'arriere des taxis
Tant que les heures passent
Tant que les heures passent
Vous les avez connus ceux qui
Emportés par leur fantaisie
Ludique
Mais en pensant à Lili Brik
Et Vladimir Maïakovsky
Et leurs sourires à peine éteints
Et les cent-vingt croix de leurs mains
Leurs mains qui glissaient sur leurs skins
Se perdaient sur la moleskine
Ils s'aimaient à l'arriere des taxis
Ils s'aimaient à l'arriere des taxis
Tant que les heures passent
Tant que les heures passent...