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association de paroles
(Sujet créé par ysandell l 12/09/05 à 16:38)
Sur le même principe que l'association d'images, l'association de chanson par les paroles...
quelqu'un poste des paroles et une autre enchaine avec les paroles d'une autre... on peut aussi bien posté une partie que la totalité de la chanson. N'oubliez pas de préciser à chaque fois le titre de la chanson et son auteur (qui n'est pas forcément son interprète, attention ).
Tous les styles sont évidemment autorisés mais il serait mieux de demander les traductions pour les langues étrangères en plus des paroles originales... pour éviter les Je commence
bonne partie, la musique adoucit les moeurs... et les coeurs!!!
Je bois pour oublier
mes années d'infortune,
et cette vie commune,
avec toi mais si seul,
je bois pour me donner
l'illusion que j'existe,
puisque trop égoïste
pour me péter la gueule!!!
et je lève mon verre à tous les coeurs en faillite,
aux illusion détruites
à ma fuite en avant...
Ah parlons-en! Tu les as pêchées où les paroles de Fleur de Saison? Transformer "entre septembre et mai" en "de février à juillet", faut le faire quand même.
[small]Et moi qui était prêt à t'envoyer un colis prioritaire contenant un T-Shirt et un porte-clés [/small]
Nothing suffocates you more than
the passing of everyday human events
Isolation is the oxygen mask you make
your children breath into survive
But I'm not a slave to a god
that doesn't exist
But I'm not a slave to a world
that doesn't give a shit
And when we were good
you just closed you eyes
So when we are bad
we'll scar your minds
Fight, fight, fight, fight
You'll never grow up to be a big-rock-star-celebrated-victim-of-your-fame
They'll just cut our wrists like
cheap coupons and say that death
was on sale today
And when we were good
you just closed you eyes
So when we are bad
we'll scar your minds
But I'm not a slave to a god
that doesn't exist
But I'm not a slave to a world
that doesn't give a shit
The death of one is a tragedy
The death of one is a tragedy
The death of one is a tragedy
But death of a million is just a statistic
Oh l'enfoiré m'annoncer ça comme ça de but en blanc
J' sais même pas qui c'est
cette foutue Christina cette pute en blanc...
Une infirmière nan mais j' te jure
Bah faut qu'on t'opère ça c'est sûr
Je verrais bien une ablation
Sans tes couilles tu sera p'tête moins con...
Oh j'ai du rimmel plein les yeux Et en plus y pleut...
Et merde chui en r'tard
Faut qu' j' les prévienne... bah où est mon portable?...
Ah nan!...j' l'ai laissé au bar...
C'est bien ma veine il était sur la table...
A tous les coups on m' la piqué
Ou un mec saoul l'a embarqué
J'dois être au bureau dans 10 min
J'y s'rai pas à cause de cette pute..
Aïe ...mon talon a foutu l'camps...
Et 'pleut à torrent...
Y'a pas une cabine téléphonique
dans ce putain de quartier de merde?!
Ah ben super l'bar est fermé
J'ai raté mon rendez-vous
Quoi?! Qu'est-ce t'as toi?
T'as jamais vu une nana sans parapluie?!
Pourquoi tu m' regardes comme ça?
T'as rien d'autre à foutre cet après midi?...
"Excusez moi madame mais vous allez vous faire renverser
Montez sur le trottoir, c'est moins risqué..."
Mademoiselle! C'est mademoiselle!
Et puis d'abord de quoi j' me mêle?!
Nan mais c'est vrai ça hein? De quoi j' me mêle?!
De quoi j' me mêle?! Manquait plus qu' la grêle...
Pourquoi ces murs blancs?...
J'crois qu' j' peux plus bouger...
La douleur s'étend...
J'arrive à peine à respirer...
Qu'est-ce qui s'est passé? Qu'est-ce que j'ai mal...
Qu'est-ce qui s'est passé? Mon dieu j'ai mal...
"Bonjour je m'appelle Christina,
Je suis l'infirmière qui s'occupe de vous Madame,
je vous apporte votre petit déj.."
Christina...Petit déj...
J' crois bien qu'il neige...
Christina...Petit déj...
J' crois bien qu'il neige...
C'est la belle nuit de Noël
La neige étend son manteau blanc
Et les yeux levés vers le ciel,
A genoux, les petits enfants,
Avant de fermer les paupières,
Font une dernière prière.
{Refrain:}
Petit Papa Noël
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers
N'oublie pas mon petit soulier
Mais, avant de partir,
Il faudra bien te couvrir
Dehors tu vas avoir si froid
C'est un peu à cause de moi
Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si tu m'as apporté
Tous les beaux joujoux que je vois en rêve
Et que je t'ai commandés
{Refrain}
Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des églises
Ta distribution de surprises
Et quand tu seras sur ton beau nuage
Viens d'abord sur notre maison
Je n'ai pas été tous les jours très sage
Mais j'en demande pardon
{Refrain}
Petit Papa Noël...
Petit Papa Noël Paroles: Raymond Vincy. Musique: Henri Martinet 1946
autres interprètes: Tino Rossi, Dalida (1960)
Je suis un missionnaire de la drague je l'avoue
Le kiki au toutou en espadrilles à clous
Elle craquait sur les sièges, les pendentifs
J'ai la poupée d'ET dans ma Golf GTI
Elle était émotive en parlant de Jean Yves
Un amant incompris qu'elle quitta pour Henri
Et oui!
Mais j'me foutais de sa vie
Et surtout de son avis
Beaucoup moins de on envie
Tu veux pas, je reste en vie
Refrain:
Tu sais pourquoi cocotte
Je suis un machistador
Je sais qu'elle m'adore
Non non non
Y a pas d'error!
Machistador
Je me brise au Whisky glace
Mais je courtise avec classe
Je m'allume au Malibu
Malade, pas beau quand j'ai trop bu
Les magazines nous contaminent
J'préfère encore les fanzines
Pour la télé y a pas photo
J'préfère Hervé qui fait l'idiot
Point de vue Image du Monde
A votre âge c'est immonde
De vivre sur le cul de ces individus
Qui n'ont pas plus à dire
Que Raoul sur sa tire
Refrain
Dans le mouvement d'approche
J'ai le mou membre en poche
Et d'un pas pragmatique
Je pratique la drague
Mais ma poitrine est imberbe
Il faut y remédier
Pour jouer au salaud
Comme les fils de John Wayne
Avec un long manteau, un chapeau
pas la peine!
Même les jours difficiles
J'ai toujours les mots pile!
Il y a des millénaires l'homme ne savait faire que krumpf
Il n'avait pas plus de vocabulaire qu'un schtroumpf
Il a fallu qu'il en forge des onomatopées
Qu'il cherche dans sa gorge d'autres sonorités
Il distingua les mots pour mieux se faire entendre
Et de là le cerveau, balbutia le comprendre
Mais la pensée étant dépendante du langage
Du grammaticalement de la structure des phrases
La langue ne permet pas en toutes circonstances
A moins penser ce qu'on dit pour pouvoir dire ce qu'on pense
Il y a des choses qui, quand on les exprime
Dans les mots s'abîment
Comme, quand le verbe est trop sourd
Pour dire les preuves d'amour
Qu'il y avait dans tes gestes et dans ton sourire
Et dans tes caresses avant de dormir
Dans ce matin froid au fond d'un lit chaud
Je n'me souviens pas avoir dit un mot
Je n'me souviens pas avoir dit un mot
Adam a dans la bible donné des noms aux bêtes
Est passé sous le crible de la pensée abstraite
Chaque chose a un nom, chaque chose a un son
Et chaque chose se classe, chaque chose a sa place
Tout ce qui nous entoure, dans les mots se divise
Et se fixe en contours que la pensée maîtrise
Par la langue on possède, par les mots on désigne
Les choses qui se succèdent, en succession de signes
Y'a des abus de langage, des manières de parler
Des façons de prendre l'image pour la réalité
C'est facile de mentir, d'inventer des histoires
Et à force de les dire de finir par y croire
Par la langue on dit vrai, tout aussi bien que faux
Si l'erreur est humaine, c'est que l'homme a des mots
Et y a des choses qui, quand on les exprime
Dans les mots s'abîment
Comme, quand le verbe est trop sourd
Pour dire les preuves d'amour
Qu'y avait dans tes gestes et dans ton sourire
Et dans tes caresses avant de dormir
Dans ce matin froid au fond d'un lit chaud
Je n'me souviens pas avoir dit un mot
Qu'y avait dans tes gestes et dans ton sourire
Et dans tes caresses avant de dormir
Dans ce matin froid au fond d'un lit chaud
Je n'me souviens pas avoir dit un mot
Je n'me souviens pas avoir dit un mot
Il y a des millénaires l'homme ne savait faire que krumpf
Ma fille Lucy
Me donne bien du souci,
Un peu bipède, un peu bimane,
Super hypertrophiée du crâne.
Elle refuse de grimper aux branches.
Elle a pas de poils, elle est toute blanche
Pis elle a de drôles de manières,
Debout sur ses pattes de derrière.
Foi d'animal, c'est pas normal
De se tenir à la verticale.
C'est pas logique, c'est pas joli.
C'est pas pratique, c'est malpoli.
Ce qui manque à mademoiselle,
C'est l'autorité paternelle.
Son père, son père, n'en parlons plus:
Y'a longtemps que j'ai fait une croix dessus.
Y m'avait dit: "Bouge pas, attends.
Je n'en n'ai pas pour bien longtemps.
Je vais au mammouth et je reviens."
Et depuis ce jour là, plus rien.
Ma fille Lucy
Me donne bien du souci.
Il faut que je fasse bien attention
A surveiller ses relations.
Avec son cousin elle fricote.
Y font que traîner dans les grottes.
Ils s'amusent avec la peinture
A faire des dessins sur les murs
Mais partout où ils sont passés,
Je les oblige à tout effacer.
Une caverne, on doit la laisser
Dans l'état où on l'a trouvée
Et ce cousin, moi, il m'inquiète:
Lui aussi, il a une grosse tête.
Quand il la prend entre ses pattes,
Que dubitatif, y se la gratte,
Il reste inactif accroupi.
Alors, il dit qu'il réfléchit.
Y voudrait que sa vie ait un sens.
Môssieu cogite, Môssieu pense!
Elle est jolie,
La jeunesse d'aujourd'hui.
A part barbouiller les parois,
Ça veut rien faire de ses vingt doigts.
Ils trouvent qu'un coït trop furtif,
C'est dépassé, c'est primitif.
Ils parlent de préliminaires.
Les voilà allongés par terre,
Assis, de dos, en suspension.
J'ai compté trente-deux positions.
En voilà des acrobaties,
Tout ça pour nous faire un petit.
Je risque d'être la grand-mère
D'un factieux révolutionnaire,
Un singe savant, un surdoué.
Ça serait pas prudent de le garder.
Pas de sapiens, pas d'erectus.
Tuons dans l'oeuf le processus.
Pour nos générations futures,
Il faut préserver la nature.
Ma fille Lucy
Me fait des facéties.
Elle joue les apprenties sorcières
Et prétend qu'il faut changer d'ère.
Je la freine dans ses expériences,
Histoire de lui faire prendre conscience
Que, si on n'arrête pas le progrès,
Ça risque de dégénérer.
Je suis son comité d'éthique
Paléo-déontologique,
La sagesse réactionnaire
Centriste du quaternaire.
J'assure la pérennité
De notre subhumanité.
Si je ne veille pas au grain,
L'Apocalypse est pour demain.
Aussi vrai que la terre est plate,
L'avenir est à quatre pattes.
On maîtrisera le feu des volcans
Quand les poules n'auront plus de dents.
D'un coup précis,
J'ai trucidé Lucy.
J'en aurai bien fait un gueuleton
Mais j'ai peur de l'indigestion.
A mon avis,
C'est pas demain l'autopsie.
Son cadavre, où je l'ai planqué,
On n'est pas près de le retrouver.
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Léa
Elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste
Elle est pas intégriste, elle est pas seule sur terre
Elle est pas commode, non elle est pas comme Aude
Elle est pas froide, elle est pas chaude pour nu réaliste
Elle est pas créditeur
Elle est pas méchante, mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante
Léa
Elle est pas intérimaire, elle est pas comme ma mere
Elle est passagère, elle est pacifiste,
Elle est pas d'accord, elle est passionnée
Elle est pas fute fute, elle est pathétique, elle aime pas tous mes tics
Elle est pas solitaire, elle est pas solidaire, elle est paresseuse
Elle est pas réciproque, elle est pas en cloque
Elle est pas d'la region PACA, elle a qu'à s'envoler
Léa
Elle est parisienne, elle est pas présentable,
Elle est pas jolie, elle est pas moche non plus,
Elle est pas à gauche, elle est pas à droite,
Elle est pas maladroite
Léa
Elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste
Elle est pas jolie, elle est pas moche non plus
Elle est pas toujours drôle, elle est pas libre
Elle est pas tentée, elle est paternaliste
Elle est pas inspirée, elle est patiente
Elle est pasticheuse elle est pas cible, elle fait pas la politique
Elle l'a pas volé, elle passing-shot
Elle est passe-temps, elle est passable
Elle est pas stable, elle est pas partout
Elle dit qu'elle partira ou elle est même pas venue
Elle est partisane, elle est pas pas pas sortable
Et ça j'vous l'ai pas pas déjà dit
Qu'elle est parisienne, elle est parisienne
Elle est pas terroriste, elle est pas terroriste
Elle est blanche fraîche la matin
elle est douce tendre elle est
sereine elle est excellente elle
dit ce soir "allez on va danser"
ce soir au matin couché elle est
désespérante elle a de la suite
dans les idées soudain elle te dit
"bonsoir à demain" mais quand
elle danse, belle, franche une
reine, elle est pour moi tout ça
pour moi un ange qui tourne autour
de moi et pourtant elle dit
toujours bonjour comme ça elle dit
toujours au revoir comme ça elle
dit toujours j'veux ça ça ça elle
est fatigante, fatigante,
intelligente, négligente,
excitante, désespérante,
attirante, pas très galante,
souriante, affligeante,
rassurante, désobligeante,
souriante, énervante, sur la
bonne pente, un rien méchante,
surprenante, menaçante,
militante, parfois charmante, très
très changeante, très
importante, imposante,
correspondante, suffisante,
alléchante, intéressante.
Quelqu'un connaît-il le secret des anges ?
Ou le chemin que suit le sage ?
La valeur oubliée du pardon ?
La richesse de croire que l'âge est un don ?
À l'aube des sentiments funestes, on voit
Surgir par-devant soi les voies,
Entrelacées, opposées, elles dansent,
Pour finalement se rejoindre en absence.
Mais toi tu dors comme un ange,
Et rien ne te dérange.
Toi tu dors comme un ange,
J'en oublie mes vieux voyages.
On voit nos corps faner à l'unisson,
On perçoit nos esprits éclore.
Les premiers au plus bas périront
Les seconds frôlent l'apogée à leur mort.
Mais toi tu dors comme un ange,
Et rien ne te dérange.
Toi tu dors comme un ange,
J'en oublie mes vieux voyages.
Moi je pleure sur mon sort,
Je ne vois pas mes trésors
Moi je pleure sur mon sort,
Je ne pardonne pas à la mort.
Lui, il songe au-delà de la mer,
Au-delà de son aire,
Au-delà du cimetière.
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Petite parenthèse orthographique toujours utile offerte par votre CHV préféré .
Ci-dessus on peut lire deux écritures différentes du même mot : fatig(u)ante.
Mais quelle est donc la bonne mon cher Gablebo vous entends-je gémir en trépignant.
Accrochez-vous : les deux existent.
MAIS ! Car il y a un mais, sinon ce ne serait point amusant voyez-vous...
Mais, donc, pas pour le même sens du mot. Eh vi.
Adjectif : fatigante.
Participe présent du verbe fatiguer : fatiguant.
Comment être sûr de ne pas confondre ? Simple : le participe présent est invariable, tandis que l'adjectif peut s'accorder.
"Léa est fatigante", nous avons là un adjectif. On peut le remplacer aisément par d'autres : chiante, emmerdante, méchante, blonde, âgée, prude... Et si vous prenez un sujet masculin, au hasard Paul, tout s'accorde !
"Cette solution, fatiguant plus que nécessaire les volontaires, n'était apparemment pas la bonne", voici un participe présent. C'est assez lourd vous noterez... en général il faut utiliser ces tournures avec modération, Aelghir ne vous dira pas le contraire . Le mot "fatiguant" ne s'accorde pas à la solution. A partir de là, vous vous dîtes "uuuuh ! un participe présent !" et le tour est joué !
Vous pouvez maintenant partir en balade l'esprit serein. A moins que... en ballade... ?
A qui parle-t-elle lorsqu'elle dort la nuit
prononce des onomatopées des petits cris
collée à moi et pourtant si lointaine
elle me manque déjà
je voudrais qu'elle revienne
elle a un grain d' beauté qu'a rien d'exceptionn...
...elle a un grain d' beauté qu' j'aime bien
peut-être parce que c'est l' sien
qui est le chanceux qui discute avec elle
parle couramment le langage de son sommeil
moi je sursaute leur dialogue me réveille
alors j'écoute aux portes et je tiens la chandelle
est-ce qu'elle m'oublie complètement ?
qui est son nocturne confident ?
lui dit-elle les secrets
qu'elle ne me confie jamais ?
chut ! faut pas la réveiller
ses rêves sont pas étanches
mais elle cache en revanche
peut-être qu'elle-même l'ignore
à qui parle-t-elle lorsqu'elle dort
Je vous dirai ma vie dans son nu le plus blême
Dans les matins pâlis ou plus rien ne protège
Je vous dirai mes cris jusqu'aux plus imbéciles
Je vous livrerai tout jusqu'au bout de mes cils
Tous mes gestes promis tout ce que je pense
De mes coups de colère à mes coups de romance
En toute complaisance en toute impudeur
Compte rendu fidèle de toutes mes heures
J'avouerai tous les trucs interdits les méthodes
Je vous dirai les clés vous livrerai les codes
Les secrets inconnus à lire entre les lignes
Les talismans perdus les chiffres et les signes
Mes arrière pensées avec inconscience
Mes goûts et mes dégoûts et tous mes coups de chance
Même sans intérêt même un peu faciles
Mes fantasmes enterrent mes idées les plus viles
Mais je ne vous parlerai pas d'elle
Je ne vous parlerai pas d'elle
Elle est à côté de moi quand je me réveille
Elle a sûrement un contrat avec mon sommeil Je ne vous parlerai pas d'elle
Elle est mon sol elle est mon ciel
Elle est là même où mes pas ne me guident pas
Et quand je suis pas là elle met mes pyjamas
Elle est plus que ma vie elle est bien mieux que moi
Elle est ce qui me reste quand je fais plus le poids
Je ne vous parlerai pas d'elle
Je ne vous parlerai pas d'elle ~ Jean Jacques Goldman
Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle
Comme d'une bien-aimée,
D'une infidèle,
Une fille bien vivante
Qui se réveille
A des lendemains qui chantent
Sous le soleil.
Refrain
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Je voudrais, sans la nommer,
Lui rendre hommage,
Jolie fleur du mois de mai
Ou fruit sauvage,
Une plante bien plantée
Sur ses deux jambes
Et qui trame en liberté
Ou bon lui semble.
Refrain
Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle.
Bien-aimée ou mal aimée,
Elle est fidèle
Et si vous voulez
Que je vous la présente,
On l'appelle
REVOLUTION PERMANENTE.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Merci pour ce souvenir d'enfance inopiné
Une fille bien vivante ?
Returned from a hibernal dream
Voices fell like marble
No longer by my side
Gone all that would linger
Ripped from my embrace
Melinda reflected in shafts
Red line round her neck
Met the earth in silence
White faced, haggard grin
This serenity painted death
With a halo of bitter disease
Black paragon in lingering breath
White faced, haggard grin
This serenity painted death
With a halo of bitter disease
Black paragon in lingering breath
Saw here fading, blank stare into me
Clenched fist from the beautiful pain
Darkness reared its head
Tearing within the reeling haze
Took control, claiming my flesh
Piercing rage, perfect tantrum
Each and every one would die at my hand
Choking in warm ponds of blood
At last, weak and torn, I went down
Drained from strength, flickering breath
Came with the moon
The wayward in concious state
Flanked and barred in destiny's end
Underneath with hope in laches
Swathed in filth, any would betoken
Starlit shadows on the wall
Finally there to collect me
From the bowels of sin
Entends-tu le chant des morts
Et ce pavé battu cent fois
Le poing fermé jusqu’à s’en briser les doigts
Tu sais quand la vie elle vous dévore
Quand la vie elle vous dévore
Il n’y a plus que ça
Entends-tu ce cri dehors
C’est de l’amour scandé cent fois
Le chant des vauriens, des renégats
Et le sang qui prolifère
Qui donne son sein aux libertaires
Contre les rires et les renvois
Contre les rires et les renvois
Hasta siempre camarade
Hasta siempre camarade
Ne m’oublie pas
Contre l’horreur qui raisonne
Sous les sourdines des candidats
Crier de l’hymne jusqu’à s’en briser la voix
Il y a ce cri qui prolifère
C’est du sourire sans rivières
Contre les rires et les renvois
Hasta siempre camarade
Hasta siempre camarade
Ne m’oublie pas.
Aprendimos a quererte,
Desde la histórica altura,
Donde el sol de tu bravura
Le puso cerco a la muerte.
Aquí se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Che Guevara.
Tu mano gloriosa y fuerte
sobre la historia dispara,
cuando todo Santa Clara
Se despierta para verte.
Aquí se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Che Guevara.
Vienes quemando la brisa
con soles de primavera
para plantar la bandera
con la luz de tu sonrisa
Aquí se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Che Guevara.
Tu amor revolucionario
te conduce a nueva empresa,
donde espera la firmeza
de tu brazo libertario.
Aquí se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Che Guevara.
Seguiremos adelante
como junto a tí seguimos
y con Fidel te decimos :
"¡Hasta siempre Comandante!"
Aquí se queda la clara,
La entrañable transparencia
De tu querida presencia,
Comandante Che Guevara.