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ça existe pas non plus.
Donc je laisse comme c'était tant pis
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour,il se mit a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
Tu aurais peut-être dû tout mettre à la première personne, pour continuer mon dialogue. Ou alors, il faut que je ferme les guillemets. Comme tu préfères.
On approche de la fin, non?
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assis.
Son fils et revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charetier, tant il avait raté
Sa quete de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regard fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y etre reçu par le nouvel aman
De cette derniere qui était l'homme fou
Et sur son derriere heureusement bien mou
Le chevalier chutat, se faisant un brin mal.
Oula, je commence à m'emmêler. Bon, je reprends tout depuis le début:
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre .
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outre-mont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage,il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri!
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie,pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière!"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
Menant son destrier,en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier,était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillament
La veille il était saoul,a cause de sa maman.
Quand il fut réveillé,n'ayant pas tout cuvé
Son cerveau embrumé lui dit de s'en aller
Il partit en courant sans reprendre son cheval
Il voyage en chantant,rien n'entache son moral
Ses esprits revenus,il reprend son chemin
Il voit qu'il a trop bu,et se dit"quel crétin"
Sur la route du castel,il rencontre des armées
La guerre des mines de sel est enfin terminée.
A sa destination il ne trouve que cendres
Une protestation,un râle se fait entendre
Au milieu des ruines,se dresse un survivant
Il tremble sous la bruine,et semble parler au vent
Le noble chevalier voudrait vraiment l'aider
Mais il est fou a lier,on ne peut le sauver.
Le prenant en pitié, le chevalier lui donne
Un manteau bien épais, du vin de Carcasonne,
Et lui dit"t'inquiète pas, je t'emène chez un vieux,
Il prendra soin de toi, et tu seras heureux."
Ce disant il conduit le fou jusqu'au vieillard.
Le vieux poussa un cri et parut tout hagard.
Il ne conaissait pas cette personne la
L'espoir l'abandonna et alors il pleura.
Mais un jeune soldat franchit soudain le seuil.
A sa main un haubois, et dans ses yeux le deuil.
Avec une grande joie, mais mêlée de tristesse,
Il se jeta au cou du malheureux vieillard.
Et pleurant comme un fou, il dit d'un ton geignard:
"Me revoilà mon père, après ma longue absence.
Je reviens de la guerre, et j'ai eu de la chance.
Autour de moi j'ai vu, périr tous mes amis
Mais moi j'ai survécu, pour le bien et le pis.
Dans l'armée de mon roi, j'étais un musicien .
Je jouais du haubois et je crois assez bien
Car je fus capturé, mais que notre ennemi
Choisi de m'épargner. Sans embage il m'a dit
Que soit je jouais pour lui, soit je me ferais tuer.
Je n'sais pas c'qui m'a pris, parce que j'ai accepté."
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour,il se mit a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assis.
Son fils est revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Damar, ya pas de "t" à "chuta", mais yen a un à "amant". C'est mieux, sinon, les rimes sont bien en césure, seulement, le dernier vers reste tout seul. Ce serait mieux s'il y avait une paire.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Dut ( Passé simple) pas dû ( participe passé) ni du (article contracté ou première syllabe de Durandal)
Pendant mon absence, vous écrivîtes fort
J'eus donc la patience d'admirer vos efforts
Allez donc, jeunes gens et que la poésie
Vous emporte en rêvant tout comme elle m'a saisi!
"Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charetier, tant il avait raté
Sa quete de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regard fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y etre reçu par le nouvel amant
De cette derniere qui était l'homme fou
Et sur son derriere heureusement bien mou
Le chevalier chuta, se faisant un brin mal.
En pleurs il éclatat et s'enfuit à cheval."
Libre de toute attache mais sans lieux ou aller
Il erra dans le monde et se fit massacrer.
Il fleurit sur sa tombe un splendide lys violet
Que personne n'arrache si grande est sa beauté.
(désolé je pense que je finit l'histoire)
Edit:ou bien il faut repartir sur le vieux.
Dans le chateau ardu tout en haut de sa tour
Le vieux débouche les futs,il fête le retour
De son fils bien aimé qui raconte son voyage
Qui l'aurait amené,jusque dans les nuages
A ce récit épique,le public réagit
par une ou deux répliques qui trahirent leur mépris.
Le vieux fut courroucé et les fit chatier
Les pauvres disgraciés furent executés.
C'est chouette, on finit l'histoire sur des rimes croisés après avoir fait que des rimes plates.
Moi, je suis d'accord pour que ça finisse sur les vers de Shimichou, mais si quelqu'un veut continuer... libre à lui.
je finit
Là, j'ai un fort doute sur la terminaison, quand même.
Par mesure de précaution, je vais copier coller le texte sur word pour corriger les fautes.
Et voilà, yen avait pas mal, quand même, mais le correcteur repprochait surtout à Aelghir de mettre des espaces avant et après ses points, et aux autres de ne pas espacer la ponctuations, par contre.
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre.
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outremont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage, il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri !
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie, pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière !"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
Menant son destrier, en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier, était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillamment
La veille il était saoul, à cause de sa maman. Quand il fut réveillé, n'ayant pas tout cuvé
Son cerveau embrumé lui dit de s'en aller
Il partit en courant sans reprendre son cheval
Il voyage en chantant, rien n'entache son moral
Ses esprits revenus, il reprend son chemin
Il voit qu'il a trop bu, et se dit "quel crétin"
Sur la route du castel, il rencontre des armées
La guerre des mines de sel est enfin terminée.
A sa destination il ne trouve que cendres
Une protestation, un râle se fait entendre
Au milieu des ruines, se dresse un survivant
Il tremble sous la bruine, et semble parler au vent
Le noble chevalier voudrait vraiment l'aider
Mais il est fou a lier, on ne peut le sauver. Le prenant en pitié, le chevalier lui donne
Un manteau bien épais, du vin de Carcassonne,
Et lui dit "t'inquiète pas, je t'emmène chez un vieux,
Il prendra soin de toi, et tu seras heureux."
Ce disant il conduit le fou jusqu'au vieillard.
Le vieux poussa un cri et parut tout hagard.
Il ne connaissait pas cette personne la
L'espoir l'abandonna et alors il pleura.
Mais un jeune soldat franchit soudain le seuil.
A sa main un hautbois, et dans ses yeux le deuil.
Avec une grande joie, mais mêlée de tristesse,
Il se jeta au cou du malheureux vieillard.
Et pleurant comme un fou, il dit d'un ton geignard :
"Me revoilà mon père, après ma longue absence.
Je reviens de la guerre, et j'ai eu de la chance.
Autour de moi j'ai vu, périr tous mes amis
Mais moi j'ai survécu, pour le bien et le pis.
Dans l'armée de mon roi, j'étais un musicien.
Je jouais du hautbois et je crois assez bien
Car je fus capturé, mais que notre ennemi
Choisi de m'épargner. Sans ambages il m'a dit
Que soit je jouais pour lui, soit je me ferais tuer.
Je n'sais pas c'qui m'a pris, parce que j'ai accepté."
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour, il se mit à pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assise.
Son fils est revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charretier, tant il avait raté
Sa quête de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regards fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y être reçu par le nouvel amant
De cette dernière qui était l'homme fou
Et sur son derrière heureusement bien mou
Le chevalier chuta, se faisant un brin mal.
En pleurs il éclata et s'enfuit à cheval.
Libre de toute attache mais sans lieux ou aller
Il erra dans le monde et se fit massacrer.
Il fleurit sur sa tombe un splendide lys violet
Que personne n'arrache si grande est sa beauté.
C'est chouette, on finit l'histoire sur des rimes croisés après avoir fait que des rimes plates.
C'est ce que je me suis dit aussi.(mais elles sont plutot embrassées mes rimes)
Par contre vu que je m'ennuyait j'ai continué,mais en fait c'est parcequ'il faut trouver un premier vers,pour une autre histoire,j'y réfléchit mais je ne voit pas trop pour l'instant.
En regardant la mer un démon soupira,
Une mélancolie incomprise de ses pairs
Il haissait l'enfer qui pourtant l'enfanta
Il voulait une vie différente de ses frères.
En regardant la mer un démon soupira,
D'une mélancolie incomprise de ses pairs
Ce serait pas mieux comme ça? Enfin, c'est juste une proposition, hein.
Soudain descend des cieux un ange magnifique
Entouré de lumière, mais il a l'air bien sombre.
Le démon pose ses yeux sur l'être bénéfique
Et lui dit"eh, mon frère, viens donc un peu à l'ombre.
Tu semble bien patraque, on peux en discuter."
Et l'ange fort surpris de sa grande bienveillance,
Crains un peu une attaque, le démon peut ruser.
Il s'approche de lui, sans trop lui faire confiance.
Bouaif, pas terrible. C'est pas facile, comme début, Shimi.
Serait-on obligé, de faire des rimes croisés
Ou alors s'il te plaît, pourrait-on alterner?
Non je ne voulais pas mettre une nouvelle condition,c'était juste comme ça.
Pour ce qui est de ce début je n'en était pas content moi même.
Un mortel ébloui les observe discretement
Se révelant d'un cri il leur dit vaillament
Que faites vous ainsi n'êtes vous pas ennemis?
Ce fut l'ange qui l'occit,le démon fut surpris.
En regardant la mer un démon soupira,
Une mélancolie incomprise de ses pairs
Il haissait l'enfer qui pourtant l'enfanta
Il voulait une vie différente de ses frères.
Soudain descend des cieux un ange magnifique
Entouré de lumière, mais il a l'air bien sombre.
Le démon pose ses yeux sur l'être bénéfique
Et lui dit"eh, mon frère, viens donc un peu à l'ombre
Tu semble bien patraque, on peux en discuter."
Et l'ange fort surpris de sa grande bienveillance,
S'approche un peu de lui, mais avec méfiance.
Il redoute une attaque, et n'est pas rassuré.
Mais le démon courtois, le salua bien bas.
Il lui donna à boire,un bon jus de Kiwi.
Sur une chaise de bois, l'ange morne s'installa,
Raconta ses déboires, à son nouvel ami.
Un mortel ébloui les observe discretement
Se révelant d'un cri il leur dit vaillament
Que faites vous ainsi n'êtes vous pas ennemis?
Ce fut l'ange qui l'occit,le démon fut surpris.
"Mais qu'est-ce qui vous a pris, espèce de malappris!
C'est pas l'ange qui occit, vous, vous êtes le gentil!
On a jamais vu ça, si c'est vous qui frappez,
Qu'est-ce que je fais faire moi? Tu me piques mon métier!"