La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
Voilà, après le grand succès qu'on connait, le sujet "Alexandrins à gogo" a sombré dans les tréfonds du forum.
Paix à son âme: laissons-le mourrir de sa belle mort, et léguons le aux générations futures.
Afin de maintenir ce haut niveau () de création qui fait le succès de La Pierre, nous, ménestrels, vous proposons de participer à la réécriture fantastique de ce classique de la littérature enfantine, j'ai nommé, "Les Trois Petits Cochons".
Seulement, avouez que des cochons, c'est pas bien fantasy, encore que ... (vous connaissez ma tendresse pour ces animaux, car "dans le cochon ...")
D'où l'idée des "Trois Petits Hobbits", réécrit en alexandrins, système, éprouvé, plutôt souple ...
juste une petite intervention pour saluer votre talent, et pour rappeler (oups, je devraisplutôt écrire: indiquer) que chaque posteur pourraait se limiter à un vers. Merci
Et par un jour d'automne, leurs destins changea...
Lorsqu'un vraiment horrible Orc tout crus les mangea.
Ils durent donc en sortir à coups de machette
....
Dans un pays depuis longtemps oublié,
Vivaient trois petits hobbits bien grassouillets,
Leurs vies étaient faites de rires et de gaieté
De petites joies, et de prospérité
Heureux, ignorés du monde et des grandes gens
Jour après jour ils cultivaient leur champs
Avec , à la bouche, toujours un joyeux chant!
Quand le seigneur des ténèbres fut avisé,
De cette insouciance et de cette liberté,
Il fit venir le meilleur de ses guerriers,
Il était sans pitié et tout de noir vêtu,
avec aussi la peau du ventre bien tendue
Sans attendre, il parti à leur recherche.
Tout en mangeant un sandwich à la ventrèche
Peuchère!il tenait une de ces pèches!
Il valait mieux que les trois se dépêchent!
Le premier petit hobbit cultivant la terre,
N'avait jamais eu l'occasion de voir la mer,
Le second petit hobbit brassant de la bière,
Ce dont il était très fier
Car elle était la meilleure de cette terre,
Le troisième était le bricoleur du village
Avec l'indien toujours dans les parages
Et le marin toujours en nage ?
Pendant ce temps Dom pleurait de rage,
Tout en observant les trois Hobbits forts sages
Qui ignoraient si bien les sombres présages
Et du mal les terribles ravages,
Car aux confins des Terres habitées
Les amis du ténébreux sont sans pitié,
Mais ils peuvent compter sur l'amitié,
Au cas où, un jour, ils ne savent plus où pieuter.
S'ils sont ,un jour, jusqu'au cou dans la purée.
Et par un jour d'automne, leurs destins changea...
Lorsqu'un vraiment horrible Orc tout crus les mangea.
Ils durent donc en sortir à coups de machette
Fuyant leurs agresseurs, ils chantèrent à tue-tête
Et finalement, ils retournèrent faire la fête,
En sautant partout, bousculant une belette
En courant,les coquins ,derrière une fillette!
Qui par ailleurs répondait au doux nom de Beth !
Et chantait joliment "cot cot cot cot codet"
Voyant tout ça, Dom contre un mur se frappa la tête,
Ayant eu vent de l'arrivée du guerrier noir,
Le premier construisit un véritable manoir.
Le second creusa un superbe dépotoir,
Et puis le troisième se saisit d'une mangeoire
Pleine d'eau glacée, une vraie patinoire!
Il se réchauffa avec l'eau de la bouilloire,
Et enfila, peinard, son plus beau peignoir
Avant de souffler sa bougie à l'éteignoir.
Quel crétin!Il se cogna le nez dans le noir!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
(Heu!j'ai du mal à comprendre le lien entre les 2 vers précédents:on donne dans le surréalisme ou l'hermétisme?A moins qu'il s'agisse d'un Cadavre exquis?)
Ainsi,nos trois pauvres petits Hobbits paumés
Se sont retrouvés parmi des choux pommés
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
(WAOUH!Vous avez vu la richesse de la rime! Euh!BON!Mais ce n'est pas de la frime!)* Et les trois petits hobbits dans tout çà?
Où étaient-ils quand Roméo toussa?**
Dans un pays depuis longtemps oublié,
Vivaient trois petits hobbits bien grassouillets,
Leurs vies étaient faites de rires et de gaieté
De petites joies, et de prospérité
Heureux, ignorés du monde et des grandes gens
Jour après jour ils cultivaient leur champs
Avec , à la bouche, toujours un joyeux chant!
Quand le seigneur des ténèbres fut avisé,
De cette insouciance et de cette liberté,
Il fit venir le meilleur de ses guerriers,
Il était sans pitié et tout de noir vêtu,
avec aussi la peau du ventre bien tendue
Sans attendre, il parti à leur recherche.
Tout en mangeant un sandwich à la ventrèche
Peuchère!il tenait une de ces pèches!
Il valait mieux que les trois se dépêchent!
Le premier petit hobbit cultivant la terre,
N'avait jamais eu l'occasion de voir la mer,
Le second petit hobbit brassant de la bière,
Ce dont il était très fier
Car elle était la meilleure de cette terre,
Le troisième était le bricoleur du village
Avec l'indien toujours dans les parages
Et le marin toujours en nage ?
Pendant ce temps Dom pleurait de rage,
Tout en observant les trois Hobbits forts sages
Qui ignoraient si bien les sombres présages
Et du mal les terribles ravages,
Car aux confins des Terres habitées
Les amis du ténébreux sont sans pitié,
Mais ils peuvent compter sur l'amitié,
Au cas où, un jour, ils ne savent plus où pieuter.
S'ils sont ,un jour, jusqu'au cou dans la purée.
Et par un jour d'automne, leurs destins changea...
Lorsqu'un vraiment horrible Orc tout crus les mangea.
Ils durent donc en sortir à coups de machette
Fuyant leurs agresseurs, ils chantèrent à tue-tête
Et finalement, ils retournèrent faire la fête,
En sautant partout, bousculant une belette
En courant,les coquins ,derrière une fillette!
Qui par ailleurs répondait au doux nom de Beth !
Et chantait joliment "cot cot cot cot codet"
Voyant tout ça, Dom contre un mur se frappa la tête,
Ayant eu vent de l'arrivée du guerrier noir,
Le premier construisit un véritable manoir.
Le second creusa un superbe dépotoir,
Et puis le troisième se saisit d'une mangeoire
Pleine d'eau glacée, une vraie patinoire!
Il se réchauffa avec l'eau de la bouilloire,
Et enfila, peinard, son plus beau peignoir
Avant de souffler sa bougie à l'éteignoir.
Quel crétin!Il se cogna le nez dans le noir!
Il ralluma tant bien que mal, le bougeoir
Et remit les allumettes dans le tiroir.
Patatras!il broncha dans le crachoir
Et se fracassa la gueule dans le miroir.
Avant de sombrer dans le désespoir.
Et pendant se temps les deux autres faisaient...
Et il y trouva un canard !
Ainsi,nos trois pauvres petits Hobbits paumés
Se sont retrouvés parmi des choux pommés
Et se demandaient qui pourrait les sauver
De la lame aiguisée du terrible guerrier
Mais nul ne répondait à leurs cris de terreur
Car ils avaient commis une fatale erreur:
Ils avaient oublié de mettre un téléphone
Dans la poche droite de leur pantalone
Si,ils étaient originaires de Vérone
Et avaient bien connu Juliette et son minet
Le même qui rimait en bas d'un balconnet
Avec son Batonnet
Avec les Capulet,il voulait fusionner.
Mais l'OPA a bêtement échoué !
Il aurait pas du se lever !
Les Capulet indigné
De l'entendre ainsi chanté
Lui hurlèrent en choeur "monte,aigu!
Ou on te castre,jeune Montaigu!"
Et les trois petits hobbits dans tout çà?
Où étaient-ils quand Roméo toussa?
Peu importe : car un curieux vent se leva
Et ce vent les attrapa
Et l'ont vit trois hobbit planer à travers champs
Tout en chantant joyeusement
Qui se dirigeaient,hardis,vers le repaire
D'un de leurs plus dangereux confrère
Mais à peine retombèrent-ils sur le sol gelé
L'un d'eux glapit:"La sole je l'ai!"
Ils étaient completement allumés !
Ces pauvres petit hobbits n'étaient pas ailés
Et ils voulaient s'en aller
alors ils se mirent à patiner
Mais comment faire avec de si grands pieds??
Facile! il suffit de les couper!
Ils reprirent donc leurs petites machettes
Et les travaillèrent en jolies tranchettes
Les pieds bien taillés, et hurlants à la mort
Ils réussirent à atteindre le bord!
Malheureusement,ils avaient perdu le nord
Et ne risquaient pas d'arriver à bon port.
Alors,ils partirent acheter une boussole
Quand ils trouvèrent un p'tit vieux près d'un saule
Le vieux fumait sa pipe bien installé à l'ombre
Mais pourquoi les regardait-il d'un air si sombre?
Peut-être était-ce créature de l'ombre ??
Va savoir! de toutes façons ils n'étaient pas prudent
Ils s'adressèrent donc à lui poliment et gaiement!
Dis donc petit montre? crois tu m'effrayer?
Avec ces dents très affutés ??
Pas du tout mon vieux pépé!
Répondit celui ci avant d'éternuer
Balançant des postillons,une vraie nuée!
Mais pour qui se prend-il ??
Il se croit tout permis !
Pensa le p'tit vieux, "tu va regretter d'être en vie!"
Un combat de hobbit ça vaut bien des batailles
" Je te tranche le lard d'un brillant coup de taille "
Glapit le fier vieillard, entre ses dents branlantes .
Une de ses dents tombe et sautille, bondissante
"ah houtre hieu, hai enhore erdu uh ent !!"
Les hobbits se marraient comme des chats-huants .
" And Ous au'ez ini de ous ayez ma eule !
...A suivre (j'ai repris la structure et le recapitulatif de Dom...)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ignorant Caldazar, pourquoi négligez-vous
Le vers alexandrin, étincelant bijou ?
Mais loin de moi l'idée de vous chercher des poux .
Comptez donc douze pieds, une fois à genoux !
beuhar comme qui dirait on leur remonte un topic on leur remet toutes les betises tapées en ordre propre et tout et en plus on s'essaie a produire quelque chose (je comprend pas au passage tout a l'heure j'avais compté ca faisait 12 en torturant un peu les syllabes...) et tout ce qu'on recois c'est des insultes et des brimades! pour la peine je dirais pas que tes textes ils sont super bien ecrit et tout et tout...(meme si je le pense tres fort...). et puis de toutes facon suffit de dire que je continue a la mode XK qui a bien fait un vers "Avec son Batonnet " et toi meme tu as inscrit "L'un d'eux glapit:"La sole je l'ai!"" qui si je compte bien fait fait 9 oui j'ai bien dis neuf! pieds de long ...j'ai deja vu mieux comme alexandrins
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Ces trois escogriffes nains et au vrai si odieux
Qu'on ne peut, les croisant, que s'écrier : " O dieux ! " ,
Prirent et leurs bâtons et leurs jambes à leur cou .
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pour les sauver de leur sort terrible qu'est LE FOUR!
C'est ainsi que finirent les trois petits hobbits
Tout aussi cuits cuits cuits que des croustillants rabbits .
Franchement je vous l'avoue, cette histoire est un four .
Dans un pays depuis longtemps oublié,
Vivaient trois petits hobbits bien grassouillets,
Leurs vies étaient faites de rires et de gaieté
De petites joies, et de prospérité
Heureux, ignorés du monde et des grandes gens
Jour après jour ils cultivaient leur champs
Avec , à la bouche, toujours un joyeux chant!
Quand le seigneur des ténèbres fut avisé,
De cette insouciance et de cette liberté,
Il fit venir le meilleur de ses guerriers,
Il était sans pitié et tout de noir vêtu,
avec aussi la peau du ventre bien tendue
Sans attendre, il parti à leur recherche.
Tout en mangeant un sandwich à la ventrèche
Peuchère!il tenait une de ces pèches!
Il valait mieux que les trois se dépêchent!
Le premier petit hobbit cultivant la terre,
N'avait jamais eu l'occasion de voir la mer,
Le second petit hobbit brassant de la bière,
Ce dont il était très fier
Car elle était la meilleure de cette terre,
Le troisième était le bricoleur du village
Avec l'indien toujours dans les parages
Et le marin toujours en nage ?
Pendant ce temps Dom pleurait de rage,
Tout en observant les trois Hobbits forts sages
Qui ignoraient si bien les sombres présages
Et du mal les terribles ravages,
Car aux confins des Terres habitées
Les amis du ténébreux sont sans pitié,
Mais ils peuvent compter sur l'amitié,
Au cas où, un jour, ils ne savent plus où pieuter.
S'ils sont ,un jour, jusqu'au cou dans la purée.
Et par un jour d'automne, leurs destins changea...
Lorsqu'un vraiment horrible Orc tout crus les mangea.
Ils durent donc en sortir à coups de machette
Fuyant leurs agresseurs, ils chantèrent à tue-tête
Et finalement, ils retournèrent faire la fête,
En sautant partout, bousculant une belette
En courant,les coquins ,derrière une fillette!
Qui par ailleurs répondait au doux nom de Beth !
Et chantait joliment "cot cot cot cot codet"
Voyant tout ça, Dom contre un mur se frappa la tête,
Ayant eu vent de l'arrivée du guerrier noir,
Le premier construisit un véritable manoir.
Le second creusa un superbe dépotoir,
Et puis le troisième se saisit d'une mangeoire
Pleine d'eau glacée, une vraie patinoire!
Il se réchauffa avec l'eau de la bouilloire,
Et enfila, peinard, son plus beau peignoir
Avant de souffler sa bougie à l'éteignoir.
Quel crétin!Il se cogna le nez dans le noir!
Il ralluma tant bien que mal, le bougeoir
Et remit les allumettes dans le tiroir.
Patatras!il broncha dans le crachoir
Et se fracassa la gueule dans le miroir.
Avant de sombrer dans le désespoir.
Et pendant se temps les deux autres faisaient...
Et il y trouva un canard !
Ainsi,nos trois pauvres petits Hobbits paumés
Se sont retrouvés parmi des choux pommés
Et se demandaient qui pourrait les sauver
De la lame aiguisée du terrible guerrier
Mais nul ne répondait à leurs cris de terreur
Car ils avaient commis une fatale erreur:
Ils avaient oublié de mettre un téléphone
Dans la poche droite de leur pantalone
Si,ils étaient originaires de Vérone
Et avaient bien connu Juliette et son minet
Le même qui rimait en bas d'un balconnet
Avec son Batonnet
Avec les Capulet,il voulait fusionner.
Mais l'OPA a bêtement échoué !
Il aurait pas du se lever !
Les Capulet indigné
De l'entendre ainsi chanté
Lui hurlèrent en choeur "monte,aigu!
Ou on te castre,jeune Montaigu!"
Et les trois petits hobbits dans tout çà?
Où étaient-ils quand Roméo toussa?
Peu importe : car un curieux vent se leva
Et ce vent les attrapa
Et l'ont vit trois hobbit planer à travers champs
Tout en chantant joyeusement
Qui se dirigeaient,hardis,vers le repaire
D'un de leurs plus dangereux confrère
Mais à peine retombèrent-ils sur le sol gelé
L'un d'eux glapit:"La sole je l'ai!"
Ils étaient completement allumés !
Ces pauvres petit hobbits n'étaient pas ailés
Et ils voulaient s'en aller
alors ils se mirent à patiner
Mais comment faire avec de si grands pieds??
Facile! il suffit de les couper!
Ils reprirent donc leurs petites machettes
Et les travaillèrent en jolies tranchettes
Les pieds bien taillés, et hurlants à la mort
Ils réussirent à atteindre le bord!
Malheureusement,ils avaient perdu le nord
Et ne risquaient pas d'arriver à bon port.
Alors,ils partirent acheter une boussole
Quand ils trouvèrent un p'tit vieux près d'un saule
Le vieux fumait sa pipe bien installé à l'ombre
Mais pourquoi les regardait-il d'un air si sombre?
Peut-être était-ce créature de l'ombre ??
Va savoir! de toutes façons ils n'étaient pas prudent
Ils s'adressèrent donc à lui poliment et gaiement!
Dis donc petit montre? crois tu m'effrayer?
Avec ces dents très affutés ??
Pas du tout mon vieux pépé!
Répondit celui ci avant d'éternuer
Balançant des postillons,une vraie nuée!
Mais pour qui se prend-il ??
Il se croit tout permis !
Pensa le p'tit vieux, "tu va regretter d'être en vie!"
Un combat de hobbit ça vaut bien des batailles
" Je te tranche le lard d'un brillant coup de taille "
Glapit le fier vieillard, entre ses dents branlantes .
Une de ses dents tombe et sautille, bondissante
"ah houtre hieu, hai enhore erdu uh ent !!"
Les hobbits se marraient comme des chats-huants .
" And Ous au'ez ini de ous ayez ma eule !
Mais ensemble ils le raillent et tous le veulent
Traiter de vilain groin et d'escogrife veule !
Mais se moquer est aisé et faire rire ardu
Malgré qu'on s'ébaudisse à vos rimes tordues .
Ils s'en vont donc laissant leur ennemi vaincu
De peur que le sombre guerrier ne les ai vu
Ces trois escogriffes nains et au vrai si odieux
Qu'on ne peut, les croisant, que s'écrier : " O dieux ! " ,
Prirent et leurs bâtons et leurs jambes à leur cou .
Mais se faisaient jetter et raillés de partout
Si bien que devant le mechant ils furent debout
Celui-ci s'esclaffa :" Mais que font ces trois bouts !
Où pensent-ils courir et fuir et se cacher ?
il dit alors "de mon courroux ils vont gouter,
puisque c'est pour les tuer que suis envoyé"
Je vais les toucher à la fin de l'envoi, Yé !
Je vais les tronçonner en tout petits morceaux .
A mon grand plaisir, ils crieront comme des pourceaux,
Et ils ne reverront pas le jour de si tot
Je les accrocherai dos à dos
Et je les jetterai à l'eau
En vain ils hurleront dans leur portable " Allo ? "
Ni pompier, ni police n'accourront au secours !
Puisque tous arriveront bien trop à la bourre,
Pour les sauver de leur sort terrible qu'est LE FOUR!
C'est ainsi que finirent les trois petits hobbits
Tout aussi cuits cuits cuits que des croustillants rabbits .
Franchement je vous l'avoue, cette histoire est un four .
Je viens de le faire en français je m'y connaît moi maintenant. La césure c'est ce qui partage le vers en 2 hémistiches. 5 J'attends déjà le c'est quuoi un hémistiche. alors c'est la moitié d'un vers ).
Et donc rime à la césure ca veut dire que tu fait aussi rimer les césures .
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre .
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outre-mont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Mais cette histoire finit, car on l'a oubliée.
En ces temps indécis, où tous sont concentrés
sur les textes de joute, au point même de laisser
tomber dans la choucroute, des vers de qualité.
Je sais, c'est nul, mais ça me faisait marrer. Comme je le dis tjrs, l'important, c'est de se faire rire soi-même.
Afin d'aller quérir un bien vieux messager
qui pourrait avertir son fils bien aimé?
ou encore:
pour qu'il prévienne bien vite sa famille adoré
qu'il y a des termites dans les fond du grenier
et qu'il faudrait changer les canalisations
peut-être même restaurer le reste de la maison
avant d'pouvoir appeler l'agent immobilier
chargé de refiler la piole au plus offrant.
Oula, je suis fatiguée, là. Ca devient n'importe quoi, et ça rime même plus.
Il faut des faire de douze syllabes, qui riment à la fin ET au milieu:
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage,il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
vraiment, Owyn!
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri!
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie,pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière!"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Il faut que ce soit la moitié qui rime non? Là, la moitié du premier vers, cest "par" et le deuxième "trot". C'est ça, Aelghir? Je voudrais pas lui dire de bêtises.
Puis "sur ces mots" ça implique que c'est lui qui parle, pas sa mère.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit
Triste pour ne dire amer, de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot
De sa baronnie, loin, mais pour rev'nir bientôt.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Faire rimer un vers vraiment à la césure
Demande à être expert car il faut qu'on assure! Le vers en son milieu tu dois couper, c'est clair!
Entre deux mots, c'est mieux. Les rimes vont par paire.
Divise douze en deux pour faire six et six
Pour un son bienheureux sois prêt au sacrifice.
Termine la césure par un mot bien sonnant
Et trouve lui bien sûr dans le beau vers suivant
Un compère rimant de façon poétique.
Tous iront te louant: " Un poète attique! "
( Ouf!)
Edit: heu! sa baronnie, loin, bizarre un peu c'est!
De plus loin ne rime pas avec entrain
Peut-être avec train ?
Comme ça? :
Et même à fond de train,pour revenir bientôt.
Sinon "triste pour ne dire amer" bizarre et en 7 pieds,je te propose:
Triste autant que amer
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot
De sa baronnie, loin, mais pour rev'nir bientôt.
Menant son destrier,en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier,était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillament
La veille il était saoul,a cause de sa maman.
Trist/au/tant/qu'a/mer/
Si on prononce comme ça, ça ne fait que 5 syllabes, non?
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
C'est mieux? On garde ceux de Shimi aussi, hein?
Aelghir, comment tu fais pour dire tout ça en vers? Il me faudrait bien un quart d'heure pour trourner toutes tes phrases comme ça.
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre .
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outre-mont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage,il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri!
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie,pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière!"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
Menant son destrier,en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier,était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillament
La veille il était saoul,a cause de sa maman.
Quand il fut réveillé,n'ayant pas tout cuvé
Son cerveau embrumé lui dit de s'en aller
Il partit en courant sans reprendre son cheval
Il voyage en chantant,rien n'entache son moral
Ses esprits revenus,il reprend son chemin
Il voit qu'il a trop bu,et se dit"quel crétin"
Sur la route du castel,il rencontre des armées
La guerre des mines de sel est enfin terminée.
A sa destination il ne trouve que cendres
Une protestation,un râle se fait entendre
Au milieu des ruines,se dresse un survivant
Il tremble sous la bruine,et semble parler au vent
Le noble chevalier voudrait vraiment l'aider
Mais il est fou a lier,on ne peut le sauver.
Shimi,il me bloque un peu ton dernier vers. "On ne peut le sauver" ça sonne comme une finalité. Enfin, j'essaye:
Le prenant en pitié, le chevalier lui donne
Un manteau bien épais, du vin de Carcasonne,
Et lui dit"t'inquiète pas, je t'emène chez un vieux,
Il prendra soin de toi, et tu seras heureux."
Ce disant il conduit le fou jusqu'au vieillard.
Le vieux poussa un cri et parut tout hagard.
Pfiou.
Au fait, je viens d'y penser. "Bourré", ce n'est pas terrible, dans un poême, il me semble, Shimi.
Notre cher chevalier,était bien trop pété? C'est encore pire.
Notre cher chevalier était bien trop paumé?
Pour la suite, ce n'est pas tout à fait ce que j'imaginais, mais bon.
Mais un jeune soldat franchit soudain le seuil.
A sa main un haubois, et dans ses yeux le deuil.
Avec une grande joie, mais mêlée de tristesse,
Il se jeta au cou du malheureux vieillard.
Et pleurant comme un fou, il dit d'un ton geignard:
"Me revoilà mon père, après ma longue absence.
Je reviens de la guerre, et j'ai eu de la chance.
Autour de moi j'ai vu, périr tous mes amis
Mais moi j'ai survécu, pour le bien et le pis.
Dans l'armée de mon roi, j'étais un musicien .
Je jouais du haubois et je crois assez bien
Car je fus capturé, mais que notre ennemi
Choisi de m'épargner. Sans embage il m'a dit
Que soit je jouais pour lui, soit je me ferais tuer.
Je n'sais pas c'qui m'a pris, parce que j'ai accepté.
Pour revenir un jour je dus pour lui chanter,
Quand je vis cette tour,je me mis a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
Shimi, j'ai dit qu'il jouait du haubois. C'est une sorte de flûte, il ne peux pas chanter. Faut quand même que ça garde une certaine logique.
Pour revenir un jour je dus pour lui jouer,
Quand je vis cette tour,je me mis a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
"Il", c'est le roi ou le fils du vieux? J'aime bien tes vers, mais j'avoue que j'ai du mal à saisir.
C'est le fils bon je modifie,c'est le changement de personne le problème.
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour,il se mit a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
ça existe pas non plus.
Donc je laisse comme c'était tant pis
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour,il se mit a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
Tu aurais peut-être dû tout mettre à la première personne, pour continuer mon dialogue. Ou alors, il faut que je ferme les guillemets. Comme tu préfères.
On approche de la fin, non?
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assis.
Son fils et revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charetier, tant il avait raté
Sa quete de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regard fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y etre reçu par le nouvel aman
De cette derniere qui était l'homme fou
Et sur son derriere heureusement bien mou
Le chevalier chutat, se faisant un brin mal.
Oula, je commence à m'emmêler. Bon, je reprends tout depuis le début:
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre .
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outre-mont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage,il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri!
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie,pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière!"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
Menant son destrier,en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier,était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillament
La veille il était saoul,a cause de sa maman.
Quand il fut réveillé,n'ayant pas tout cuvé
Son cerveau embrumé lui dit de s'en aller
Il partit en courant sans reprendre son cheval
Il voyage en chantant,rien n'entache son moral
Ses esprits revenus,il reprend son chemin
Il voit qu'il a trop bu,et se dit"quel crétin"
Sur la route du castel,il rencontre des armées
La guerre des mines de sel est enfin terminée.
A sa destination il ne trouve que cendres
Une protestation,un râle se fait entendre
Au milieu des ruines,se dresse un survivant
Il tremble sous la bruine,et semble parler au vent
Le noble chevalier voudrait vraiment l'aider
Mais il est fou a lier,on ne peut le sauver.
Le prenant en pitié, le chevalier lui donne
Un manteau bien épais, du vin de Carcasonne,
Et lui dit"t'inquiète pas, je t'emène chez un vieux,
Il prendra soin de toi, et tu seras heureux."
Ce disant il conduit le fou jusqu'au vieillard.
Le vieux poussa un cri et parut tout hagard.
Il ne conaissait pas cette personne la
L'espoir l'abandonna et alors il pleura.
Mais un jeune soldat franchit soudain le seuil.
A sa main un haubois, et dans ses yeux le deuil.
Avec une grande joie, mais mêlée de tristesse,
Il se jeta au cou du malheureux vieillard.
Et pleurant comme un fou, il dit d'un ton geignard:
"Me revoilà mon père, après ma longue absence.
Je reviens de la guerre, et j'ai eu de la chance.
Autour de moi j'ai vu, périr tous mes amis
Mais moi j'ai survécu, pour le bien et le pis.
Dans l'armée de mon roi, j'étais un musicien .
Je jouais du haubois et je crois assez bien
Car je fus capturé, mais que notre ennemi
Choisi de m'épargner. Sans embage il m'a dit
Que soit je jouais pour lui, soit je me ferais tuer.
Je n'sais pas c'qui m'a pris, parce que j'ai accepté."
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour,il se mit a pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assis.
Son fils est revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Damar, ya pas de "t" à "chuta", mais yen a un à "amant". C'est mieux, sinon, les rimes sont bien en césure, seulement, le dernier vers reste tout seul. Ce serait mieux s'il y avait une paire.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Dut ( Passé simple) pas dû ( participe passé) ni du (article contracté ou première syllabe de Durandal)
Pendant mon absence, vous écrivîtes fort
J'eus donc la patience d'admirer vos efforts
Allez donc, jeunes gens et que la poésie
Vous emporte en rêvant tout comme elle m'a saisi!
"Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charetier, tant il avait raté
Sa quete de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regard fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y etre reçu par le nouvel amant
De cette derniere qui était l'homme fou
Et sur son derriere heureusement bien mou
Le chevalier chuta, se faisant un brin mal.
En pleurs il éclatat et s'enfuit à cheval."
Libre de toute attache mais sans lieux ou aller
Il erra dans le monde et se fit massacrer.
Il fleurit sur sa tombe un splendide lys violet
Que personne n'arrache si grande est sa beauté.
(désolé je pense que je finit l'histoire)
Edit:ou bien il faut repartir sur le vieux.
Dans le chateau ardu tout en haut de sa tour
Le vieux débouche les futs,il fête le retour
De son fils bien aimé qui raconte son voyage
Qui l'aurait amené,jusque dans les nuages
A ce récit épique,le public réagit
par une ou deux répliques qui trahirent leur mépris.
Le vieux fut courroucé et les fit chatier
Les pauvres disgraciés furent executés.
C'est chouette, on finit l'histoire sur des rimes croisés après avoir fait que des rimes plates.
Moi, je suis d'accord pour que ça finisse sur les vers de Shimichou, mais si quelqu'un veut continuer... libre à lui.
je finit
Là, j'ai un fort doute sur la terminaison, quand même.
Par mesure de précaution, je vais copier coller le texte sur word pour corriger les fautes.
Et voilà, yen avait pas mal, quand même, mais le correcteur repprochait surtout à Aelghir de mettre des espaces avant et après ses points, et aux autres de ne pas espacer la ponctuations, par contre.
Dans le château ardu, tout en haut de sa tour,
Un grand vieillard barbu attendait le retour
Du seul fils de sa chair, parti un jour en guerre.
Il guetta tout l'hiver, tant gelé et amer,
Quand le vent d'outremont soufflait à perdre haleine
Dans créneaux et merlons, plus fort qu'une baleine .
Mais il ne revint pas, et le vent persista
Le vieil homme s'alita, dépossédé de joie .
Il fit venir alors un jeune chevalier
Et lui donnant de l'or, le pria de rallier
Un vieux castel moisi de la Patagonie .
A ce moment choisi de sa longue agonie,
Avec un grand courage, le chevalier acquiesce
Mais en enfant bien sage, il va dans l'autre pièce
Afin de prévenir sa pauvre vieille maman
(et il ne faut pas rire, c'est un beau sentiment)
" Ma très chère mère, dit-il en s'inclinant,
Ne sois pas amère, le vieillard déclinant
M'expédie loin de toi comme un colis postal.
Mais loin de notre toit, rien ne sera fatal
A ton fils préféré, ton chérubin chéri !
J'ai ma canne ferrée, ma gourde de sherry
Et mon grand cheval bai bien dressé pour la guerre.
Alors de ton abbé, qui remplaça mon père
Dans ton lit et ta vie, pas besoin des prières.
Mais je serai ravi d'un bon tonneau de bière !"
Sur ce la vieille l'embrasse, s'empresse de lui donner
non pas de la vinasse, mais du vin d'qualité
Et lui tendant la gourde, elle lui dit en ces mots:
Mon fils, c'est p'têtre une bourde, de me quitter si tôt
Tu es jeune et petiot, tu vas attraper froid
Veille à te coucher tôt, et surtout reviens-moi.
Sur ces mots de sa mère, le chevalier partit,
triste, tout autant qu'amer de quitter sa patrie.
Mais pris d'un bel entrain, il partit au grand trot,
Et même à fond de train, pour revenir bientôt.
Menant son destrier, en plein dans le dans le fossé
Notre cher chevalier, était bien trop bourré
Pour mener son cheval a sa destination.
Un passant matinal rit de sa position
Il était dans la boue et ronflait vaillamment
La veille il était saoul, à cause de sa maman. Quand il fut réveillé, n'ayant pas tout cuvé
Son cerveau embrumé lui dit de s'en aller
Il partit en courant sans reprendre son cheval
Il voyage en chantant, rien n'entache son moral
Ses esprits revenus, il reprend son chemin
Il voit qu'il a trop bu, et se dit "quel crétin"
Sur la route du castel, il rencontre des armées
La guerre des mines de sel est enfin terminée.
A sa destination il ne trouve que cendres
Une protestation, un râle se fait entendre
Au milieu des ruines, se dresse un survivant
Il tremble sous la bruine, et semble parler au vent
Le noble chevalier voudrait vraiment l'aider
Mais il est fou a lier, on ne peut le sauver. Le prenant en pitié, le chevalier lui donne
Un manteau bien épais, du vin de Carcassonne,
Et lui dit "t'inquiète pas, je t'emmène chez un vieux,
Il prendra soin de toi, et tu seras heureux."
Ce disant il conduit le fou jusqu'au vieillard.
Le vieux poussa un cri et parut tout hagard.
Il ne connaissait pas cette personne la
L'espoir l'abandonna et alors il pleura.
Mais un jeune soldat franchit soudain le seuil.
A sa main un hautbois, et dans ses yeux le deuil.
Avec une grande joie, mais mêlée de tristesse,
Il se jeta au cou du malheureux vieillard.
Et pleurant comme un fou, il dit d'un ton geignard :
"Me revoilà mon père, après ma longue absence.
Je reviens de la guerre, et j'ai eu de la chance.
Autour de moi j'ai vu, périr tous mes amis
Mais moi j'ai survécu, pour le bien et le pis.
Dans l'armée de mon roi, j'étais un musicien.
Je jouais du hautbois et je crois assez bien
Car je fus capturé, mais que notre ennemi
Choisi de m'épargner. Sans ambages il m'a dit
Que soit je jouais pour lui, soit je me ferais tuer.
Je n'sais pas c'qui m'a pris, parce que j'ai accepté."
Pour revenir un jour il dut pour lui jouer,
Quand il vit cette tour, il se mit à pleurer.
Il était revenu en sa terre adorée
Il dit que jamais plus il n'irait guerroyer.
A ces mots, tout ému, le vieil homme tombe assise.
Son fils est revenu. Il est là, lui sourit.
Alors levant les yeux, il commence à prier
Et remercie les cieux, de lui avoir épargné
La douleur d'un vieux père, à la fin de sa vie,
Dont le fils à la guerre est mort bien avant lui.
Le jeune chevalier, bien que fort dépité
Jurait en charretier, tant il avait raté
Sa quête de l'homme qui lui faisait face
Laissant pour sa pomme les regards fugaces
Des deux personnages qui voulaient un rapport
Et ce fut en rage qu'il leur rendit leur or
Puis s'en alla déçu chez sa pauvre maman
Pour y être reçu par le nouvel amant
De cette dernière qui était l'homme fou
Et sur son derrière heureusement bien mou
Le chevalier chuta, se faisant un brin mal.
En pleurs il éclata et s'enfuit à cheval.
Libre de toute attache mais sans lieux ou aller
Il erra dans le monde et se fit massacrer.
Il fleurit sur sa tombe un splendide lys violet
Que personne n'arrache si grande est sa beauté.
C'est chouette, on finit l'histoire sur des rimes croisés après avoir fait que des rimes plates.
C'est ce que je me suis dit aussi.(mais elles sont plutot embrassées mes rimes)
Par contre vu que je m'ennuyait j'ai continué,mais en fait c'est parcequ'il faut trouver un premier vers,pour une autre histoire,j'y réfléchit mais je ne voit pas trop pour l'instant.
En regardant la mer un démon soupira,
Une mélancolie incomprise de ses pairs
Il haissait l'enfer qui pourtant l'enfanta
Il voulait une vie différente de ses frères.
En regardant la mer un démon soupira,
D'une mélancolie incomprise de ses pairs
Ce serait pas mieux comme ça? Enfin, c'est juste une proposition, hein.
Soudain descend des cieux un ange magnifique
Entouré de lumière, mais il a l'air bien sombre.
Le démon pose ses yeux sur l'être bénéfique
Et lui dit"eh, mon frère, viens donc un peu à l'ombre.
Tu semble bien patraque, on peux en discuter."
Et l'ange fort surpris de sa grande bienveillance,
Crains un peu une attaque, le démon peut ruser.
Il s'approche de lui, sans trop lui faire confiance.
Bouaif, pas terrible. C'est pas facile, comme début, Shimi.
Serait-on obligé, de faire des rimes croisés
Ou alors s'il te plaît, pourrait-on alterner?
Non je ne voulais pas mettre une nouvelle condition,c'était juste comme ça.
Pour ce qui est de ce début je n'en était pas content moi même.
Un mortel ébloui les observe discretement
Se révelant d'un cri il leur dit vaillament
Que faites vous ainsi n'êtes vous pas ennemis?
Ce fut l'ange qui l'occit,le démon fut surpris.
En regardant la mer un démon soupira,
Une mélancolie incomprise de ses pairs
Il haissait l'enfer qui pourtant l'enfanta
Il voulait une vie différente de ses frères.
Soudain descend des cieux un ange magnifique
Entouré de lumière, mais il a l'air bien sombre.
Le démon pose ses yeux sur l'être bénéfique
Et lui dit"eh, mon frère, viens donc un peu à l'ombre
Tu semble bien patraque, on peux en discuter."
Et l'ange fort surpris de sa grande bienveillance,
S'approche un peu de lui, mais avec méfiance.
Il redoute une attaque, et n'est pas rassuré.
Mais le démon courtois, le salua bien bas.
Il lui donna à boire,un bon jus de Kiwi.
Sur une chaise de bois, l'ange morne s'installa,
Raconta ses déboires, à son nouvel ami.
Un mortel ébloui les observe discretement
Se révelant d'un cri il leur dit vaillament
Que faites vous ainsi n'êtes vous pas ennemis?
Ce fut l'ange qui l'occit,le démon fut surpris.
"Mais qu'est-ce qui vous a pris, espèce de malappris!
C'est pas l'ange qui occit, vous, vous êtes le gentil!
On a jamais vu ça, si c'est vous qui frappez,
Qu'est-ce que je fais faire moi? Tu me piques mon métier!"