La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Oui je les ai vu il y a deux ans aux Décibulles (festival de la musique et de la bière ).
Moui c'est sympa mais bon, sans grand plus. Disons que ça reste très rébarbatif, et leur concept "métal celtique" à la base interessant devient à force... assez chiant
Pour moi, ce n'est pas une question de métal ou pas métal, même si c'est vrai que ça fait longtemps que j'ai décroché...
Mais bon, on aime ou on aime pas.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Ah tiens, Maneero, je m'étais promis de répondre à ton questionnaire et j'ai oublié à force de réfléchir Je vais essayer de caser un album par genre musical que j'aime...
Dans la catégorie « musique néo-réaliste/nouvelle scène française » :
Irfan (joué aux dés selon un système très compliqué qu'il n'y a que moi à comprendre contre Le bout du toit des Têtes Raides Ouvert à double tour de la Rue Kétanou, Des singes et des moutons de Debout sur le Zinc , Le vent t'invite de la Tordue, et Le café des jours heureux des Hurlements d'Léo) : finalement, ça tombe bien que ce soit tombé sur lui... Pourquoi cet album des Ogres de Barback plutôt qu'un autre ? D'une part parce que c'est à travers lui que j’ai découvert les Ogres qui est mon groupe culte à moi. Que c’est l’album qui les a fait exploser. C’est un superbe voyage musical, entre musique guillerette et douces mélancolies, entre musette et fanfare, influences tziganes et esprit de famille ou de bistrot (dont on entend les bruits sur Rêves d’enfant, par exemple), le tout véhiculant des paroles magnifiques : des morceaux de poésie pure, des portraits tendres, des paroles manifestes ou douces, entre gravité (peuple du moment, superbe chanson que toute femme devrait connaître par cœur ;p) et humour (Little gentleman ), entrecoupées de quelques « pures » instrus à se pâmer (l’intro d’Irfan le Héros, raaaaaaah !)..
Dans la catégorie pop/rock/rock indépendant (le truc fourre-tout où l’on case dame Björk, par exemple, quand on ne la classe pas en électro, ou Radiohead)
OK Computer de Radiohead (toujours avec le même système de dés qui a mis en compétition : 666.667 club de Noir Désir, Absolution de Muse, Amnesiac de Radiohead –je n’arrive jamais à choisir mon album préféré, alors j’ai mis les deux-, Homogenic de Björk –mon préféré des préférés, même si je suradore aussi Vespertine, mais il y a quelques morceaux un peu plus convenus dedans qui font que… c’est Homogenic qui le surpasse-, London Calling The Clash, The Wall des Pink Floyd, A short album about love de Divine Comedy et White Bloods Cells des White Stripes ; j’ai laissé de côté les Beatles et les Doors, parce que voilà quoi, c’était déjà trop dur de faire des choix, donc j’ai essayé de me limiter à ceux que j’écoutais le plus souvent) : que dire ? J’ai autant de mal à être critique avec Radiohead qu’avec les Ogres, je suis en extase à chaque fois que j’écoute cet album. Quelque part, c’est amusant, c’est aussi un album qui a marqué un tournant dans l’évolution musicale de ce groupe là (comme Irfan). Originalité, prise de risques, expérimentations sonores, refus des schémas, chansons belles à tomber, mélodiquement et harmoniquement très riches. Des mélodies aussi envoûtantes et entêtantes qu’un rêve, une magie rare qui vous poursuit pendant longtemps et se renouvelle à chaque écoute. La voix sublime et éthérée de Thom Yorke.
Un seul mot, enfin deux : Paranoid Android . Ca marche aussi avec Let Down et No surprises, remarque…
Dans la catégorie chanteur/se français à textes :
Barbara pour l’ensemble de son œuvre est tout particulièrement son concert à l’Olympia le 4 février 1969 (en lice contre Brassens pour l’ensemble de son œuvre parce que je suis infichue de dire à quel album appartient telle chanson, Brel pour l’ensemble de son œuvre pour les mêmes raisons, Juliette Gréco itou, Triplex de Thomas Fersen, Je sais pas trop de Mano Solo, Le fil de Camille, Bénabar pour l’album éponyme et Baiser de Miossec) : pour sa mélancolie, son humour, ses noirceurs, ses soleils, sa voix qui se brise, son piquant, ses clins d’œil, ses douleurs, pour le « concept » de femme-piano, ses brumes en échos aux miennes, ses amours tumultueuses, ses amours tendres, ses déceptions, ses nostalgies, les piqûres amères de sa plume, ses reprises de Brel, Brassens, Scotto et les autres, pour la chanson de Jean-Louis Aubert, pour Pantin, pour Lily-Passion avec Depardieu, pour sa vie d’errances et sa plus belle histoire d’amour… un live particulièrement émouvant et fort, entrecoupé d'explications de la dame brune quant aux choix des chansons.
Dans la catégorie celtisante :
Enez Eusa de Yann Fanch Kemener et Didier Squiban (battant à plates coutures La découverte ou l’ignorance de Tri Yann, La symphonie celtique de Stivell, Les litanies pour l’an 2000 de Servat, Et voici bien ma terre de Glennmor, Irvi de Denez Prigent, Hep diskrog du Bagad de Kemper, An Naer O Nijal de Wig a wag, Le phare de Yann Tiersen, L’héritage des celtes de Dan ar Braz et The mask and the mirror de Loreena McKennit) : la rencontre inespérée entre l’un des derniers bardes bretons et un pianiste de formation jazzy qui aime à forger des images de la Bretagne ou à réadapter des airs du répertoire traditionnel de façon… jazzy. Entre reprises de grands classiques (éternels Gwerz Ker Ys et me zo ganet e kreiz ar mor) et improvisations, beaucoup d’élégance et de mystère, les sons sont patinés et envoûtants, la voix de Kemener est d’une ampleur et d’une profondeur étonnante. J’ai eu la chance de les voir en concert, ça n’en est que plus savoureux : Squiban danse avec son piano, Kemener semble vibrer chacune des intonations de pierres et d’onde du breton, le spectacle est magnifique. C’est toute l’âme de la Bretagne qui vibre dans ce CD mélancolique et enchanteur.
Dans la catégorie BO de films :
le Voyage de Chihiro de Joe Hisaichi –à écouter également, sa compo pour le film de Buster Keaton dont le nom m’échappe pour l’instant et toutes ses compositions pour les films de Kitano- (battant ainsi John Williams pour l’ensemble de son œuvre, avec une prédilection particulière pour les BOs de Star Wars, Hook, ET, Jurassic Park et la Liste de Schindler, Danny Elfman pour l’ensemble de son œuvre et une prédilection particulière pour la BO de Batman, Big Fish et le génialissime thème de Gremlins, Michael Nyman surtout pour La Leçon de piano , Parle avec elle d’Alberto Iglesias, In the mood for love, L’homme est une femme comme les autres (avis aux amateurs de clarinette !!), l’ensemble des BOs des films de Tarantino, les compositions de Jon Brion pour PT Anderson, Tous les matins du monde car j’y ai découvert la viole de gambe, Barry Lindon parce que voilà quoi, Haendel, et Magnolia) : notes épurées et graciles, soyeuses et liquides, entre lyrisme et pudeur, charme fragile de rêves à demi-étreintes, des mélanges de styles (des instants plus « occidentaux » d’autres plus orientaux), de chaque recherche de dissonance se dégage une sensibilité hors du commun et des instants éthérés, envoûtants. La chanson du générique est une belle réussite, aux paroles qui vous poursuivent longtemps après la fin du film…
Raaah, j’en suis déjà à 5 et je n’ai pas mis de musique classique et de jazz (bien que ce dernier genre musical soit peut-être celui que je connaisse le moins… juste un :up : particulier pour cette grande dame qu’est Billie Holliday). Alors en vrac : la sensibilité liquide des Nocturnes de Chopin sous les doigts de Cyprien Katzaris, le Bach de Gould dans les Variations Goldberg, l’Ile des Morts de Rachmaninov et sa façon de fendre les brumes avant de renouer avec le lyrisme, les envolées de la 10e de Malher dont Danny Elfman s’est tant inspiré et qui s’accorde si bien avec certaines nouvelles de Lovecraft, la géniale Symphonie fantastique de Berlioz à laquelle Muse a repris tant d’accords, le Requiem de Mozart servi par les Arts Florissants de W.Christie et sa façon de déchirer la lumière, les Gymnopédies de Satie entre pudeur et poésie sous les doigts de Daniel Varsano, Yehudi Menuhin interprétant le concerto pour violon et orchestre en mi mineur de Mendelssohn, les angoissants et fascinants Miroirs et Gaspard de la Nuit de Ravel (par Anne Queffélec, c’est un régal), la huitième Bachianas Brasileiras de Villa-lobos pour ses violoncelles, le Fidelio de Beethoven parce qu’il a tant bercé Kubrick, Les Noces de Figaro de Mozart (voi que sapete que causa i amor… traduction phonétique, soyez indulgents ) parce que c’est une partie de mon enfance, les Sonates et Partitas de Bach (interprétées par David Grimal, en particulier) pour les heures passées sur les partitions à déchiffrer, jouer, chercher les doigtés…
Oui tout à fait. On trouve de la musique orchestrale, des compositions au piano, des choeurs...c'est assez varié. Cette compilation contient une bonne partie de morceaux au piano (un bon tiers).
Si ca t'intéresse je peux la mettre en ligne (mais chut c'est illégal )
Hep Monsieur le Naeblis, j'ai une requete !
J'aime beaucoup la musique des differents FF, j'ai entendus quelques morceaux deja, mais pourriez vous en mettre quelqu'uns sur un chti FTP, pour nous faire partager cela ?
EDIT : A la demande du modérateur j'ai supprimé les liens directs. Vous retrouverez les titres en allant sur cette page.Merci.
Bien pour ceux qui seraient intéressés, vous pouvez découvrir quelques morceaux des BO des jeux Final Fantasy, en téléchargeant les liens ci-dessous :
Final Fantasy Theme genre - orchestre Commençons par LE thème Final Fantasy, que l'on retrouve dans la plupart des épisodes, avec des variantes. Une musique dans la tradition du classique, qui retranscrit bien le coté épique et lyrique de la saga.
FF8 - Liberi Fatali genre - orchestre + choeurs Ceci est le thème d'introduction de Final Fantasy 8. Des choeurs magnifiques, une musique entrainante qui rythme l'une des plus belles cinématiques en images de synthèse de l'époque. Un morceau rythmé et très poétique qui donne des frissons.
FF10 - To Zanarkand genre - piano Voici l'une des plus belles compositions de Nobuo Uematsu. Une mélodie très simple qui fait ressentir toute la tristesse, la mélancolie et la résolution presque fataliste des personnages de la scène qu'elle souligne. L'un des plus beaux moments du jeu, qui prend grâce à ce morceau une autre dimension.
FF7 - Main Theme genre - orchestre Le thème principal de Final Fantasy 7, l'épisode le plus sombre et adulte de la série, le premier sorti en france, celui qui a fait connaitre le RPG oriental dans le monde entier. Un morceau très lourd en sentiments, et très majestueux.
FF10 - Sending off to a different world genre - musique traditionnelle orientale, chant Un morceau très court, joué pendant une cinématique de Final Fantasy 10, ou l'héroine effectue une cérémonie censée accompagner l'âme des morts dans l'Au-delà. Encore un morceau triste (décidément !), à la beauté indescriptible. Le chant des Priants (celui qu'on entend ici) est utilisé plusieurs fois, lorsque l'on rencontre des Priants, ces hommes et femmes qui ont choisi d'emprisonner leur âme dans un temple, afin d'aider les vivants à combattre une menace millénaire.
FF7 - A One Winged Angel genre - orchestre et choeur Je ne pouvais pas décemment présenter un best of des musiques de Final Fantasy sans passer par ce morceau, totalement incontournable. Il s'agit du thème joué lors du combat final de Final Fantasy 7. Une musique qui tranche totalement avec les autres morceaux de ce jeu, par la présence de choeurs (FF7 ne contenait que des morceaux en midi, celui-ci faisant exception). Un thème qui sied parfaitement au "grand méchant" le plus connu du jeu vidéo, j'ai nommé Séphiroth. L'approche du dernier combat, avec Séphiroth sous une forme angélique inachevée, avec cette musique jouant en fond, et un moment inoubliable.
FF8 - Fragments of Memories genre - boite à musique L'ovni de ma sélection. Ca n'est certainement pas le meilleur des titres, mais j'ai un faible pour cette petite mélodie de boite à musique, qui ponctue des scènes de souvenirs heureux entre un père et sa fille adoptive. C'est vraiment trop mignon, j'adore.
FF8 - Don't be Afraid genre - orchestre Final Fantasy possède de nombreuses musiques de combat, une pour chaque épisode. J'ai choisi ce que je considère comme la meilleure d'entre tous, la plus travaillée et la plus magistrale. Elle a ce pouvoir de vous mettre en condition pour affronter vos ennemis, et souligne avec perfection les séquences d'attaque éblouissantes que vos personnages réalisent. Un thème grandiose, très épique.
FF7 - Aeris Theme genre - orchestral Un autre thème extrêmement connu, celui d'Aeris l'une des héroines de Final Fantasy 7. Nobuo Uematsu reprend la tradition inaugurée par Wagner qui consiste à assigner un thème musical pour chaque héros. Ce thème transmet toutes les facettes d'Aeris, cette jeune fille promise à un destin tragique...
FF11 - Main Theme genre - orchestre et choeur Final Fantasy 11 est le premier et l'unique épisode totalement "online" de la saga, permettant aux fans de jouer sur internet avec le monde entier. Le compositeur a ici voulu retranscrire ce caractère "universel" du jeu, et c'est pourquoi les choeurs sont chantés en Esperanto, une particularité tout à fait intéressante. Les premières notes que vous entendrez sont celle du "Crystal Theme", un morceau joué dans quasiment tous les FF.
FF9 - Frontier Village Dali genre - instrumental Bucolique, voila qui résume parfaitement ce titre, une musique "de village" typique. Le genre de musique qui donne envie de s'arrêter et s'allonger dans l'herbe pour profiter du soleil...
FF10 - The Sight of Spira genre - guitare Un petit morceau sympathique qui reprend l'un des thèmes normalement très tristes de Final Fantasy 10 et l'intègre dans sa propre mélodie, le transformant en quelque chose de très léger. Tout à fait étonnant. Une bonne musique "de fond" dans un jeu.
FF6 - Aria Di Mezzo Caratte genre - opéra Pour finir, l'un des plus beaux morceaux, un superbe chant d'opéra pour Final Fantasy 6. Je n'en dis pas plus et vous laisse découvrir...
Pour finir, j'aimerais préciser que tous ces morceaux prennent une autre dimension quand on joue aux jeux, car on peut en apprécier toute la portée et la signification. Alors n'hésitez pas, jouez à Final Fantasy !
EDIT : A la demande du modérateur j'ai supprimé les liens directs. Vous retrouverez les titres en allant sur cette page.Merci.
mais une fois entré dans cet univers, on se rend compte que cet album est le plus "calme" du groupe, le plus mélodique.
Si vous voulez un album calme et mélodique de Slayer, visez plutôt South of Heaven, qui a été perçu à l'époque presque comme une trahison du groupe, qui sortait après ses premiers albums aux rythmes de mitrailleuse lourde
Si vous voulez un album énervé et peu mélodique de Slayer, choisissez Undisputed Attitude [attention : c'est un album de reprises de morceaux punks, façon Slayer]
Si JB passe ici ...
Tu comptes bien aller voir Iron au Parc des Princes en juin ? J'ai envie de me laisser tenter. Et Maneero et les autres, si j'ai bien vu tout à l'heure dans le métro, Dream Theater en première partie [vont ils jouer "The Number of the Beast en entier ? - cf bootleg ]
ysandell : un énorme merci pour m'avoir fait une réponse comme j'en rêvais. Cela valait vraiment la peine d'attendre.
DragonSlayer : depuis combien de temps attendais-tu une telle occasion de pouvoir parler de Final Fantasy dans ce topic, hmm ? Merci qui ?
Durandal :
[...] nous ne sommes a mon sens pas beaucoup a aimer Vai ou surtout a le connaitre !
Si je comprends bien, tu es donc fan de Vai toi aussi. Dis-moi en un peu plus s'il te plaît... (comment tu as découvert, ce que tu connais, à quel point tu aimes, et quels sont tes albums préférés le cas échéant)
[small]Ecoutez Vai.[/small]
Elann :
Si vous voulez un album calme et mélodique de Slayer, visez plutôt South of Heaven [...]
Le plus mélodique de tous, selon moi c'est "Divine Intervention" -même si c'est assez subtil. Ca se discute, mais de toutes façons, aucun album de Slayer n'est réellement 'calme' ni 'mélodique', alors...
Pour ce qui est du concert d'Iron Maiden au Parc des Princes, Dream Theater sont là en Guests, et la première partie est assurée par Within Temptation. Il est effectivement très possible que je me laisse tenter (même si je suis plus fan de Dream Theater que d'Iron Maiden). Pour ce qui est du prix des places, ça démarre à 45€...
Cher Maneero, j'ai été formé a Vai par un ami fana de guitare qui me montrait la technique hallucinante de Vai. J'ai vu pas mal de clips de lui et puis je me suis acheté son Cd "The 7th Song" et ma préférée c'est For the love of God
Et bien moi, en 1999, de plus en plus attiré par les "Guitar Heroes", et après avoir écumé les oeuvres de Joe Satriani et de Patrick Rondat (et juste survolé celles d'Yngwie Malmsteen), je me suis penché sur ce Vai dont j'entendais tant parler depuis si longtemps. Un ami venait alors de retrouver dans ses "archives" un vieux magazine datant de 1990 et dans lequel figurait une longue interview de Steve abordant ses croyances, sa conception de la musique, et ses aventures récentes au Tibet (où il étudiait la musique Tibétaine, baignait dans la drogue semble-t-il, et -phénomène lié ou non- commençait à pouvoir distinguer les auras des êtres humains ) juste avant de revenir chez lui pour enregistrer Passion & Warfare.L'album y était ensuite décrit comme étant phénoménal et j'ai donc décidé de l'acheter pour découvrir son style...
J'ai été conquis instantanément, et ai acheté depuis l'intégrale de ses oeuvres (sauf les archives, dont The 7th Songfait partie et dont la moitié des morceaux proviennent d'autres albums). Je le considère comme un véritable génie, à la fois pour ses compositions et ses interprétations (et pas seulement à la guitare). J'étudie sa musique régulièrement et m'évertue à adapter fidèlement certains de ses morceaux au piano. Excepté Passion & Warfare,mes albums préférés sont Alien Love Secrets,Fire Garden,et le double live ne contenant que des inédits : Alive in an Ultra World.Si tu aimes vraiment et que tu veux en découvrir un peu plus, toujours dans le même esprit de compilation que The 7th Song(qui est très réducteur), jette toi sur le double best-of sorti l'an dernier en parallèle à celui de Satriani : The Infinite Steve Vai : An Anthology.Il est réellement excellent (rien d'étonnant, les morceaux y figurant ayant été sélectionnés par les fans) et contient la quasi-totalité de ce que Vai a produit de meilleur depuis le début de sa carrière. Ceci dit rien ne vaudra jamais un "vrai" album pour rentrer réellement dans l'univers de l'artiste, et Passion & Warfarereste tout indiqué pour cela. [small]Ecoutez Vai.[/small]
Le plus mélodique de tous, selon moi c'est "Divine Intervention" -même si c'est assez subtil. Ca se discute
Bonsoir, ici Jean-Luc Delarue. Ce soir, dans Ca se discute, est-ce que "Divine Intervention" est plus mélodique que "South of Heaven" ? A ma droite, Maneero (...)