La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Ah ? Je l'ai pas écouté celui-là encore. Moi j'ai eu un immense coup de coeur pour Wait for sleep : en fait, j'étais repartie à la recherche d'un souvenir... et je me suis retrouvée avec des larmes pleins les yeux en écoutant les paroles (je ne connaissais que le piano, qui était déjà splendide ). Une pure merveille. D'où trois heures à l'écouter en boucle. Au bout de la première, j'ai arrêté de pleurer, c'était pas pratique pour bosser
Ce matin, j'ai bossé avec l'album Images and words (autant dire que j'étais très concentrée, entre le "wow, le guitariste est un Dieu, le bassiste est un dieu et... mais c'est les meilleuuuuuurs " ; mélodique et varié, tout ce que j'aime) en fond sonore et j'ai découvert il y a quarante six minutes -le temps de l'écouter deux fois quoi - Change of seasons. Le moins que l'on puisse dire est que je suis complètement ravagée d'admiration. Le prochain qui me dit qu'une chanson de plus de vingt minutes, c'est chiant, se prend une baffe.
We can learn from the past
But those days are gone
We can hope for the future
But there might not be one
The words stuck in my mind
alive from what I've learned
I have to seize the day
To home I returned
Vous m'excuserez, mais j'y retourne
EDIT: c'est normal que ça me donne irrésistiblement envie d'écouter du Led Zeppelin par moments ?
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Bah, je sais pas, y'a un truc dans l'esprit qui doit me le rappeler. En même temps, depuis que j'ai lu Le temps du twist, un excellent roman de SF de Joël Houssin, je vois Led Zep partout
Ca me rend les révisions un peu plus "légères" en tout cas (j'adore travailler avec de la musique), même si c'est un peu ennuyeux de se frotter les yeux sans arrêt sur certains morceaux parce que les larmes me montent aux yeux, comme à chaque fois que je suis particulièrement touchée par quelque chose (musique, film, livre). J'ai l'impression de flotter, dans un état second, d'être complètement submergée par un dédale d'émotions et d'admirations diverses et variées. Misunderstood me met dans tous mes états, Sacrificed sons me bouleverse complètement (le début si calme et les paroles si fortes qui... raaaah, ça y est, les yeux se re-mouillent )... Oui, je sais, j'écoute dans le désordre, dans une véritable boulimie de découvrir, c'est pas bien mais c'est comme un coup de foudre ou la montée du désir, je ne contrôle plus rien. J'aime beaucoup le mélange de violence et de tendresse de certains morceaux, leur façon de s'inscrire dans ma chair (maintenant je sais ce que c'est que d'être un shaker, j'ai les mains qui vibrent sans arrêt depuis hier après-midi), la pureté puissante, forte et désarmante de l'ensemble... Cet univers porté par une perfection technique et harmonique qui me fait frissonner... Je sens qu'il y a des paroles qui vont rester gravées en moi pendant très longtemps.
Là, y'a Lost without you qui vient de partir et j'en peux déjà plus, je tremble comme une feuille morte.
(bon, d'accord, j'avoue, j'ai aussi un début de crève marqué par une -assez- forte fièvre, ça doit jouer )
Mortel!!!
Cette année je regarde l'eurovisions c'est sur!!!
Je m'explique: je fesais un petit tour sur un très bon site(Encyclopaedia Metallum) que m'a conseillé quelqu'un de très bien aussi(il se reconnaitra ), je fesais une petite recherche sur Lordi quand j'ai lu "Lordi is going to represant Finland on the Eurosongvision 2006.".
Pour être sur d'avoir bien compris je vais voir sur un site sur l'eurovision et voila .
[rouge][big]LORDI représentera la finlande a l'eurovisions le 20 mai prochain!!![rouge][big]
Ca fait trois heures que j'écoute Wait for sleep de Dream Theater en boucle (ça me rappelle un très bon souvenir, ça : coucou Olivier ! )
Coucou.
Ravi d'apprendre que j'ai contribué à te donner envie d'écouter Dream Theater. Et que tu aimes leur musique autant que moi (j'ai eu la même réaction que toi quand j'ai écouté Images And Words tranquillement pour la première fois et que je suis tombé sur "Wait For Sleep"... j'étais ému, subjugué, "'notisé" )... ou plutôt devrais-je dire : "que nous" (non je ne vous oublie pas, comment pourrais-je).
Je vois que tu as déjà découvert plusieurs perles dans les coffres à bijoux que sont leurs albums... Je note toutefois l'absence cruelle d'"Hollow Years" et de "Disappear" (que tu trouveras respectivement dans Falling Into Infinity et Six Degrees Of Inner Turbulence).
Puisque tu connais déjà "A Change Of Seasons" et que tu as écumé Images And Words, je te conseille de t'attaquer au plat de résistance avec Metropolis Part 2, l'un des meilleurs albums-concept que je connaisse, qu'il est interdit d'écouter par petits bouts (et quand on aime "Finally Free", ça veut dire que l'on aime tout l'album, si si je t'assure Ithilarin, réécoute bien ), ainsi qu'à Train Of Thought, mon préféré, génialissime de bout en bout (mais plus agressif que les autres, et qui te séduira donc peut-être moins globalement).
Ensuite... il te restera encore cinq albums à écouter (Falling et Six Degrees en tête), sans compter les 'live'. Je pourrais alors revenir te parler des innombrables side-projects qui entourent le groupe et ses membres, et qui fourmillent tout autant de merveilles...
c'est normal que ça me donne irrésistiblement envie d'écouter du Led Zeppelin par moments ?
Ca fait partie de leurs grandes influences (comme 95% des groupes de rock de leur génération) et ça s'entend par endroits, donc oui, c'est tout à fait normal. Cette fois c'est sûr, la fièvre n'y est pour rien (bon rétablissement et bon courage avec tes révisions, en passant).
Lordi is going to represant Finland on the Eurosongvision 2006
Je veux voir ça. Le 20 mai, c'est soirée télé. [small]Ecoutez Vai.[/small]
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Merci pour tous ces conseils
Quand j'aurai passé le choc de la révélation, je ferai une petite critique suivie des pistes vers lesquelles tu m'envoies, promis !
Et merci pour Led Zep, je commençais à me faire peur : pour résumer le principe de ce Temps du Twist (folio SF) qui m'a beaucoup plu, imagine(z) une terre futuriste où les hommes sont obligés de se pinter pour lutter contre les virus qui pourrissent l'atmosphère, une fin de XXIe siècle où pullulent les morts vivants. C'est dans cet environnement qu'a grandi Antonin Hofa, qui, avant de se suicider pour fêter ses seize ans, se voit offrir le plus fantastique des cadeaux par un ami, loup-garou de son état : une Buick Electra immatriculée "Led Zeppelin" qui, pareille à la Delorean de Back to the future, va le faire voyager dans le temps avec ses amis selon un principe bien amusant. C'est l'auto-radio diffusant des concerts de leur groupe fétiche qui servira à les propulser dans le temps, pour leur offrir une balade musicale des plus excitantes. 10 décembre 1968, le mythique Marquee, Led Zep doit y faire ses premiers pas... Mais où est donc passé Jimmy Page ?
Par peur de le(s) voir disparaître, je le vois partout maintenant. Voilà voilà.
EDIT à 18h et des brouettes : Olivier, tu veux me tuer/ que je me consume sur place d'admiration, c'est ça ? J'adore le concept de l'album, l'atmosphère, le mélange des genres (Through her eyes m'a beaucoup surprise... et charmée, après coup ; j'aime beaucoup beaucoup l'intro de Home... et puis Fatal tragedy me fait très peur...), et les changements de rythme, l'inventivité constante (Strange Déjà-vu, The Dance Of Eternity), les solos de fous (de tetra ouf guedin, même ), le piano bouleversant... et puis Petrucci est inhumain
Et ce ne sont que des impressions de deuxième écoute.
"Now it is time to see how you died. Remember that death is not the end but only a transition."
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Deux écoutes plus tard, j’ai de nouveau envie de m’épancher… C’est un groupe qui me donne très très très envie d’écrire, et ça… merci Dream Theater
D’ailleurs, j’oublie toujours de le dire… mais j’adore le nom du groupe. Il correspond bien au bouleversement d’images oniriques, à la fois vaporeuses et intenses qui jaillissent en ruissellements électriques dans ma tête déjà malmenée par la fièvre – ayant du mal à me concentrer plus de deux heures de suite sur mes révisions… je me « détends » en musique et me laisse emporter par mes émotions, c'est très agréable.
Metropolis-Pt 2, scenes of a memory… Rien que le titre, c’est tout un programme ! On reprend les personnages de Metropolis part one si j'ai tout bien suivi (dans l’album déjà mythique dans mon cœur –oui, c’est une passion foudroyante- Images and words), on développe et on crée… Une véritable histoire… un album conçu comme une bande-son de film, découpé en actes et en scènes, un scénario structuré, méchamment fouillé (j’ai été chercher les paroles sur le net, pour être sûre de ne pas passer à côté de quelque chose), dont le principe n’est pas sans me rappeler le Dead Again de Kenneth Branagh (pour qui, il faut bien l’avouer, j’ai plus qu’un gros faible. Presque autant que pour Dupontel, c’est dire). Une histoire de cauchemars énigmatiques… Une fille dans un miroir, morte d’étrange façon... Nicholas, le rêveur harcelé, consulte un hypno -thérapeute pour chercher à comprendre qui est cette femme, découvrir les circonstances de sa mort…. Découvrir qu’elle est une incarnation de lui-même dans une vie antérieure… Le présent et le passé se chevauchent, s’entrelacent sous la splendide voix de James Labrie qui, j’ai mis du temps à le comprendre et j’ai dû farfouiller sur le net pour m’en assurer, interprète tous les personnages. Si, si. Ils veulent me faire mourir sur place d'enthousiasme.
Rien que le principe, partir à la recherche de sa mémoire, de sa mort, entrelacer la passion amoureuse, la folie et le meurtre, offrir à nu une conscience déchirée… ça serait suffisant pour m’époustoufler… 'fin c’est terrible, quoi, zut
Mais y’a pas que ça… J'aimerais bien trouver des éclats de beauté propres à exprimer ce que je ressens à me laisser engloutir par ce ruissellement électrique de guitares époustouflantes ("fatal tragedy" passe en ce moment dans mes oreilles extasiées)... Je parle des guitares, je pourrais citer tous les instruments, tant chacun semble aller ici au devant de son apothéose Ithilarin a parlé de la batterie sur Finally free (pour une fois que ce n’est pas la batterie qui fait la base du morceau mais les autres instruments, c'est terrible), je pourrais parler du lyrisme de Petrucci sur une piste dont j’ai la flemme de chercher le nom, mais boudiou ça en jette ! J’ai été envoûtée, aussi, par les arrangements symphoniques avec les choeurs féminins… C’est simple, à chaque fois que j’ai l’impression qu’ils ont atteint leurs limites, ils sortent un son auquel je ne m’attendais pas, multiplient les virtuosités techniques avec une espèce de désinvolture ou de naturel qui me fiche(nt) un peu les jetons, ils poussent plus leurs recherches harmoniques et techniques et me font pousser un nouveau râle d’exaltation un peu plus long –variante : les larmes me montent aux yeux tellement mon esprit s’engadouille dans un « c’est bôôô quand même ».
Il y a quelque chose de très fluide dans la composition de cet album qu’il ne faut effectivement pas écouter en petits morceaux (merci du conseil ) tant il serait sacrilège de briser cette magnifique architecture musicale, cohérente et inventive à la fois… C’est peut-être ce qui m’a le plus bluffée lors de mes écoutes : la structure (tant du point de vue du scénario que de la musique, d’ailleurs) dans un réel souci de variété et de recherches musicales sur chaque piste, et ce parfois de façon poussée à l’extrême – The Dance of eternity, espère de pur délire musical de plus de dix minutes, me plonge dans une transe respectueuse… ponctuée de petits sauts d’admiration parce que bon, hein, le passage du jazz au rag-time, ça me…Raaaaaaaaaaaaaaah, bandes de dingues J’ai eu l’impression d’assister à une espèce de joute musicale qui m’a mise hors de moi et m’a tétanisée de respect en même temps. Ils sont forts quand même
Ca sera tout pour ce soir, je suis épuisée à force de jubiler... Je vais passer un long bout de temps avec cet album et mes premières découvertes avant d'aller plus loin... histoire de ne pas rater quelque chose dans ma boulimie de découvertes...
Et puis je sais pas quoi dire d’autre… si ce n’est que ça se confirme... Je suis amoureuse
Olivier, tu veux me tuer/ que je me consume sur place d'admiration, c'est ça ?
C'est vrai que c'est un peu violent, je suis sincèrement désolé de t'avoir causé tant de souffrance.
Ca sera tout pour ce soir, je suis épuisée à force de jubiler... Je vais passer un long bout de temps avec cet album et mes premières découvertes avant d'aller plus loin... histoire de ne pas rater quelque chose dans ma boulimie de découvertes...
Sage décision. D'autant qu'une fois que l'on a écouté Metropolis Part 2, on ne s'en débarrasse pas comme ça... C'est un album qui, de par sa personnalité très particulière et sa profondeur exceptionnelle, te suit longtemps et entraîne des "crises d'écoutes frénétiques". Vu la façon dont tu en parles, il est clair que cet album est déjà, ou va devenir bientôt, culte pour toi. Mais maintenant, il va te falloir du temps, à n'en pas douter, pour l'"assimiler" et être capable de l'oublier dans un coin pendant plusieurs mois... Terrible n'est-ce pas ? Oui, je sais...
J'aurais plein de choses à dire, à préciser, à révéler mais... n'anticipons pas. Tu es encore sous le choc de la découverte et je préfère te laisser le temps de savourer ce moment plutôt que de l'éclipser en levant le voile sur ce qui t'attend, tapi derrière. Que des bonnes choses, rassure-toi. On en reparle bientôt.
Sinon ça a l'air bien guilleret comme il faut, Le temps du twist... Merci pour la présentation, je retiens le titre et je le lirai à l'occasion, ça devrait me plaire. Ecoutez Vai.
Parce que j'aime bien mettre un peu de différence et un peu provoquer aussi je vais vous parler du nouvel de DIAM'S.
J'entends déjà certains d'entre vous s'exclamer : "quoi !! mais le rap c'est de la merd*". Je ne sais quel chanteur ou groupes vous viennent à l'esprit quand on vous parle de rap mais si un jour vous avez l'occasion écouter IAM, Kool Shen et même DIAM'S et prenez le temps d'écouter les paroles. Certes j'ai grandit dans une banlieue donc je suis certaineemnt plus touché par leurs propos.
Mais je m'égare! Revenons à DIAM'S.
D'abord je voudrais dire que DIAM'S ce n'est pas sa chanson DJ que vous avez surement entendu y'a 3 ans des toutes les radios. Dans son premier album [/i] Brut de femme [/i] elle nous dévoilait un peu de ses souffrances notamment dans la chanson Ma souffrance où elle raconte avec une émotion qui prend vraiment aux tripes qu'elle a été femme battue... Rien que celle là vaut le détour. Elle arrive à faire partager toute sa colère, sa rage de vivre malgré les épreuves. Son père qu'elle n'a aps connu dans la chanson Daddy
Son dernier album Dans ma bulle est beaucoup violent en émotion. On passe de sa vision de la France, de Jeune demoiselle qui dépeint ce qu'elle recherche chez un homme et les rencontres aujourd'hui qui se font via internet. Marine, une chanson surprenant sur Marine Le Pen , vraiment bien. Et bien sûr elle délivre aussi ses déceptions la menant jusqu'au désespoir toujours sa voix pleine de rage.
Voilà, je suis la première surprise en réalité. Le rap n'est pas vraiment mon type de musique de prédilections mais grâce à mon frere qui m'a fait écouter autre choses que ses titres qui passent à la radio ou la télé (qui sont les moins bons d'ailleurs...) j'ai pris le temsp d'écouter ses albums en entier et elle a réussi à me toucher.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
On en reparle bientôt, après trois nouvelles écoutes, j'ai encore trouvé des choses à dire, mais je les réserve. Ceci dit, j'ai un peu craqué (c'est comme le chocolat, le fameux principe de "juste un carré et puis je retourne bosser", c'est horrible ), j'ai été chercher Hollow years et Disappear...
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Ah ! Le rap. Mon premier amour adorait ça, donc j'en ai pas mal écouté à une période pour découvrir un peu plus son univers... en fait, il m'a eue en m'expliquant que c'est un sigle qui signifie "rhymes and poetry", alors forcément, j'étais intriguée. Et pis bon, à côté de ça il m'a fait découvrir Divine Comedy, the Cure et Leonard Cohen, alors je lui faisais confiance Ma petite cousine m'a fait écouté certaines chansons de Snipper (si je me souviens bien du nom) et j'ai testé Eminem, pour comprendre un peu le phénomène, par curiosité (j'avais d'ailleurs pas détesté mais pas assez accroché pour continuer à écouter ). J'aime beaucoup certains textes (J'appuie sur la gâchette de NTM, par exemple, qui est superbe, ou Laisse pas traîner ton fils et Le monde de demain des mêmes... bon, L'empire du côté obscur d'I Am, forcément -d'ailleurs, vous saviez que le clip de Je danse le mia a été réalisé par Michel Gondry ? - et d'autres dont j'ai oublié le nom, désolée)... mais la musique ne passe pas du tout. Ca m'embête beaucoup, parce que certains textes sont très forts, intelligents, engagés, aussi "authentiks" que le premier album de NTM... mais j'accroche pas à la base rythmique, ça finit par m'écoeurer au bout d'un moment
J'ai réessayé le hip-hop y'a quelques mois (toute une culture et philosophie de vie, si si). Encore à cause d'un garçon, d'ailleurs, même si le contexte était différent, je viens de m'en apercevoir, c'est rigolo . J'aime bien le côté "fusion" de certains groupes qu'il m'a fait découvrir, comme Jazzmataz (du rap et du jazz) et j'ai même eu un tit coup de coeur pour le groupe Java et son album Hawaï -voire un grooos coup de coeur pour la chanson Sex accordéon et alcool (ils parlent de star wars, alors forcément )... mais il me manque toujours un ptit truc qui fait qu'au final, je suis soit pas touchée du tout soit pas totalement convaincue/skotchée... ou alors le principe me plaît bien... mais j'accroche pas au résultat.
Voilà. En même temps, je ne suis pas irréductible, je n'ai peut-être pas encore trouvé le groupe qui me fera tilter. Jamais deux sans trois ?
Au fait, c'est vrai qu'on ne parle jamais d'opéra et de concerts classiques ici... dommage. Personne n'a envie de parler de la dernière représentation qu'il/elle a vu?
Ca m'interesserait bien en tout cas
Avis aux Blaireautins Teariens que j'ai converti (ou qui l'étaient déjà)
J'ai quelques explications quant à la tenue des concerts assis... Je vous laisse juger par vous-même "Pour les places assises, le débat est complexe, mais sache que la fameuse petite boule au fond de la gorge que tu as ressentie apparait beaucoup plus facilement dans ce genre de configuration. D'abord, parce que l'écoute y est cent fois plus attentive - et ensuite, comme corrolaire, parce qu'on est moins distrait assis que debout, qu'on est moins dispersé, et qu'on suit le concert de bout en bout, comme un véritable spectacle à part entière. Pour ce qui est de danser, le public décide parfois de lui-même de se lever à la fin, mais ceci vous appartient. Dis-toi bien que pour cent personnes comme
toi qui peuvent suivre Natalia debout sans se lasser, il y en a une bonne dizaine qui piétinent, s'énervent, et risquent de pourrir le plaisir de tous les autres. Là, je te demande de nous croire."
Ils mûrissent les petits, les avertis aussi par conséquent. Force est d'avouer que ce n'est pas totalement faux ce que le Baron raconte
Sinon pour Karion : "Désolé pour le T-Shirt, tout cela va bientôt rentrer dans l'ordre."
Je me suis dis que je parlais tout le temps de groupes en les énumerant bêtement, alors maintenant j'illustre Voici la chanson que j'écoute tout le temps en ce moment (cliquez sur "Animals").
they descend upon the city like flies
spraying their eggs into a dead dog’s eyes
it’s England on a Saturday night
I wish I could be like them and I try
but I find it more rewarding to walk along the river
picturing my body discarded in the water
I wonder who will do it and I wonder what they’re doing right now
they opened up the sewers tonight
animals caged in their appetites
let loose upon the passer-by
and people like me are just parasites
take me to the river
I want to feel the water
closing in and helpless as you’re pushing my head under
I wonder if you’ll do it and I wonder what you’re doing right now
at four am you’re lying right there
with urine and wine dried in your hair
I take you to the river
I want to show you something
I’m making a map from all the flowers I’m collecting
I wonder if I’ll do it and I wonder what I’m doing right now.
Il y a certains morceaux qui me font un effet physique...
Quand j'écoute du Radiohead, du Garbage, certains Hooverphonics ou No Doubt, j'ai des frissons sur les bras, les jambes et le long du dos... et c'est la même chose quand je ne fais que _penser_ à ces morceaux!
Et quand j'écoute du Portishead, j'ai carrément une boule dans la gorge (aaah Wandering Stars... *glups*)...
You told me you don't love me
Over a cup of coffee
And I just have to look away
A million miles between us
Planets crash into dust
I just let it fade away
I'm walking empty streets
Hoping we might meet
I see your car parked on the road
The light on at your window
I know for sure that you're home
And I just have to pass on by
So no, of course, we can't be friends
Not while I'm still this obsessed
I guess I always knew the score
This is how our story ends
I smoke your brand of cigarettes
And pray that you might give me a call
I lie around on bed all day just staring at the walls
Hanging around bars at night wishing I had never been born
I give myself to anyone who wants to take me home
So no, of course, we can't be friends
Not while I still feel like this
I guess I always knew the score
This is where our story ends
You left behind some clothes
My belly somersaults
As I pick them off the floor
My friends all say they're worried
I'm looking far too skinny
I stop returning all their calls
And no, of course, we can't be friends
Not while I'm still so obsessed
I want to ask where I went wrong
But don't say anything at all
It took a cup of coffee
To prove that you don't love me
" ; mélodique et varié, tout ce que j'aime) en fond sonore et j'ai découvert il y a quarante six minutes -le temps de l'écouter deux fois quoi 
(ça me rappelle un très bon souvenir, ça : coucou Olivier ! 
)
), les solos de fous (de tetra ouf guedin, même 
), j'ai été chercher Hollow years et Disappear... 
