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Jeu Crétin à signification aproximative
(Sujet créé par Nayla l 07/01/05 à 22:49)
Il s'agit d'un jeu, qu'on va nommé Jeu Crétin, pour plus de facilité à l'usage. Alors il s'agit que quelqu'un (moi) va vous poser des questions bien bêtes, et c'ui qui répond bien, il a droit a un point. Alors on part sur le principe des jeux de rôles.
Points disponibles :
Vivacité : répondre le plus rapidement à la question avec une réponse un peu juste au moin.
Intelligence : une réponse dotée d'intelligence, un peu longue, avec une bonne explication.
Dextérité : tout rapport avec les sorts, la magie.
Force : dans une situation donnée, vous prouvez votre force ^^.
Charisme : dans une situation donnée, vous usez de charmes ^^.
Endurance : la réponse la plus longue.
(cette époque de points est révolue, les points ont plus encore de catégorie, inventée sur la tas selon le besoin, et je ne comptabilise plus. )
Voilà ! A vos Poumps (c'est les poumps sur quoi faut taper pour pouvoir repondre)
[big]IL FAUT UN [big][b][jaune]POUMPS[/jaune] AVANT CHAQUE REPONSE POUR LA VALIDATION DE CELLE CI !!![/big][/big][/b] [big][big]OUI MONSIEUR[/big][/big]
COMMENT CELA SE PASSE T-IIIIL ?
Les questions, c'est moi qui les poses. ça se déroule avec une sorte de round. Je pose UNE quesssstion, que je gueule, pour que tout le monde entende, et les réponses afluent (au confluent du Tarn et de la Garonne). Et quand je gueule une autre question, Ô magie, c'est à celle là qu'il faut(/que tu peux, si t'en as profondement envie) répondre, et non plus à celle d'avant. Logique.
* Ouvre un oeil*
* Reçoit un caillou dans l'oeil sus-cité...*
* Va chercher du collyre en se demandant "comment Pug savait que je passais ici de temps en temps pour voir si il y avait du monde?"*
* Copie sur Pug*
Lilla Mu ! Bizarreland........ Das ist das Land der begrenzten Unmöglichkeiten
Eh ! Balaise la question cette fois ! Enfin, je tente : POUMPS !
Il semble qu'il y ait quelqu'un en effet, et même qu'il n'y ait qu'une personne (je cite : "un"), trompeusement dédoublée par l'écho.
Ses paroles, houhou, le classe dans la catégorie des fantômes ou esprits (c'est bien connu que les revenants font "houhou", sauf chez Ibsen). A moins que ce ne soit une chouette.
Cette chouette fantôme a évidemment un problème identitaire grave, à savoir la méconnaissance de sa présence, voire même de son existence (à preuve, la question répétée : "il y a quelqu'un ?")
D'autre part, si l'on considère que l'inconscient s'exprime dans ses paroles (bien malgré elle), on peut conclure que cette chouette fantôme désirerait se nommer Kinkin, c'est-à-dire, si elle existait.
Enfin, les chutes intempestives de graviers semblent indiquer que cette oiseau nocturne n'est pas si absent que ça, OU BIEN, qu'il se trouve en fait une autre personne, à savoir un médium capable de faire se manifester l'esprit-chouette !
Pour conclure, mon cher Watson, le cas me semble fort suspect. Nous voici en absence d'un fantôme de rapace à l'identité problématique, à l'imagination inconsciente ridicule et aux instincts avalanchomane.
A moins que tout ça ne soit qu'un énorme canular (ce que semblerait prouver l'absence de présentatrice). Tout ça demande l'intervention de Scotland Yard, voire même de la CIA (oui, vous les Complètement Imbibés d'Alcool )
Un poisson de mai débarque à cloche pied. Mais où va t-il ? C'est la question que tous les netspéctateurs se posent. Il avance toujours sur Toutou des jours tel un mammouth en ruth d'amour.
Soudain, les lumières s'éteingnent. Oh ! Mékeussepasstilll ? Une musique intracirculaire et semi apocalyptique se faufile à petit pas feutrés de laine 100% alpaga des neiges. Elle se frimousse un chemin de son et de notes crochues aussi bien que dodues.
La lumière se ralume, les anglais ont chu, les arméniens défendent la cause neucanuéptiste et les biélorusses se mielent des rustres accents du nord. Une chenille unijambiste, pourtant énorme, (souvenez vous, ne nous emmelons pas les pinceaux avec des conjonctions. Pourtant ne signifie pas la contradiction, elle signale simplement la singularité de la proposition qui suit.) se dandine à coup de colt 418 et vient se poser sur l'oreille gauche, pourtant si petite, de Michael Doubleglasses qui se trouve actuellement en piste. Et là, un netspéctateur s'effondre, il s'écroule latteralement.
La question est donc : Mais pourquoi ?
Vous avez 3 jours et 1 semaine pour résoudre cette énigme. Bon courage John.
* Rentre doucettement et salue John aux prises avec le poisson de mai qui tente de lui soutirer son écharpe de cachemire pour en faire un linceul à la mémoire de ce pauvre Bubulle et dit timidement : *
La réponse à cette question de saurait être "Parce queeeeeeeeeeeeee", en partie parce que si c'était vraiment une réponse, le type déguisé en grosse bouteille rouge n'aurait pas à le répéter sans cesse à sa tronçonneuse.
Par contre, une réponse simple, limpide et ubuesque s'impose d'elle même, sautillant vers nos cerveaux embués telle une libellule bicéphale : grande présentatrice, POUMPS, si je puis me permettre, la réponse à LA question (et aux autres) est [big][big] 42[/big][/big]
Poumps:Parce qu'il lui est arrivé ce qui a failli m'arriver a force d'essayer de comprendre ce texte surrealiste: Son cerveau a implosé.
(Je le sais car je connais ce netspectateur: c'est le Chat du Cheschire.)
« Minet du Cheshire (…) Quelle espèce de gens trouve-t-on dans ces parages ?
– Dans cette direction-ci, répondit le Chat, en faisant un vague geste de sa patte droite, habite un Chapelier ; et dans cette direction-là (il fit un geste de sa patte gauche), habite un Lièvre de Mars. Tu peux aller rendre visite à l’un ou à l’autre : ils sont fous tous les deux.
– Mais je ne veux pas aller parmi les fous, fit remarquer Alice.
– Impossible de faire autrement, dit le Chat ; nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle.
– Comment savez-vous que je suis folle ? demanda Alice.
– Tu dois l’être, répondit le Chat, autrement tu ne serais pas venue ici. »
Lilla Mu ! Bizarreland........ Das ist das Land der begrenzten Unmöglichkeiten
POUMPS
La question étant "mais pourquoi ?", ma réponse est : NON.
Les Iroquois portaient des crêtes (comme les punks). Ces crêtes étaient "collées" avec de la graisse de castor. Or, un pou qui chercherait à se frayer un chemin là dedans mourrait très rapidement étouffé. Il n'aurait sûrement pas le temps d'atteindre le cuir chevelu.
Les Iroquois n'avaient pas de poux. CQFD.
Le poisson part au Cinéma de Rockefort la Bédoule, seule disposant d'un aquaruin VIP, pour visionner une fois de plus "Retour vers le Futur" afin d'apprendre comment voyager dans le temps car le poisson de Mai à 1 mois de retard pour faire une farce à son Toutou !
Et si il boite, c'est parce qu'il part de Tartiflette-la-Garigue et que les chutes de fromage Kiri de ces derniers temps lui ont congelé la nageoire.
Si j'ai bien compris, il me faut assumer l'identité de John pour répondre à cette énigme.
POUMPS
John Shadok avait pourtant choisi le bon côté. Son ombre se démesurait à partir de ses deux pieds en direction de la double silhouette de Michael abritoreillant la chenille. Le premier problème, c'était les lunettes, qui donnaient un avantage certain à Michael, pourtant face au soleil, pourtant portant un pourpoint pourpre. le second problème, c'était bien le colt 418 que portait la chenille et dont le canon était pointé vers John.
Les mains crispées de part et d'autre de sa ceinture, une goutte de sueur perlant sur son front, - un poisson de mai déboule tel un harmonica dans une symphonie - il tente d'agripper son propre lance-pierres dans une fulgurance poignante. Las, c't'héros achève son geste dans un maladroit double demi-tour du à la rencontre inopinée avec le sus-introduit poisson.
Il s'écroule donc littéralement et latéralement. Voilà pourquoi.
Mais la véritable question c'est: pourquoi un double demi-tour?
Bon, mes chers fougueux paillassons énigmatiques, je vous suggère désormais de passer à la [jaune]TRENTE-HOUITIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEME QUESSSSSSSSSSSTIOOOOOOOOOOON ![/jaune]
yeah !
TAMBOURS PLLLLLEAZE !
badaboum, badaboum
...
...
...
Ca f'sait longtemps hein
Arret cardiaque du tambourg (ourg, ourg)
QUI décida, en 1397, devant un public estambourgué de Nutella Africain Rénovateur, sur la place St Marc (plus tard appellée Mr Propre) à Dreux, dans le Loir et Chère, qu'un chat s'appellerait "un chat" ? Aha !
"L'Éternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l'homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l'homme.
Et l'homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs; mais, pour l'homme, il ne trouva point d'aide semblable à lui"
Gènèse, in "La Bible", versets z'avez qu'à chercher où
Or donc l'homme (Adam pour les intimes, les croyants et les cultivés) nomma toutes les bêtes vivantes. A l'époque le chat s'apellais "lechat". Mais l'homme a la manie de rajouter des petits mots qui servent à rien partout et disait donc le lechat. Alors comme c'était long un jour sur la place St Propre -ou monsieur Marc (de café) je sais plus-, Dieu qui en avait marre d'entendre les gens dire viens le lechat, il est mignon le lechat, il aime ca le lechat et autre, a décidé que la répétition des sylalbes était mauvais pour son intellect d'omniscient et qu'on dirais donc UN chat en enlevant le le dans lechat. au lieu de dire le lechat on dit donc le chat ou un chat voire sale chat. Une fois qu'il eu brulé quelques récalcitrants qui avaient pas compris et continuaient à dire un lechat, tout le monde s'est habitué à dire un chat ou le chat sans le devant chat.
bien sûr cette version ne convient pas à ce qui disent qu'avant de s'appeler chat le chat (ou le lechat) s'appelais minet et que puisque c'était trop infantile ou a changé en le chat.
Les deversions s'opposant cela a causé une guerre civilo-nomino-religieuse, l'Intichatda.
QUI décida, en 1397, devant un public estambourgué de Nutella Africain Rénovateur, sur la place St Marc (plus tard appellée Mr Propre) à Dreux, dans le Loir et Chère, qu'un chat s'appellerait "un chat" ?
POUMPS
Plusieurs versions se confronte. La majorité des historiens se refère un écrit d'un certain Odile de la Tourbière qui dans son seul et unique livre (mémoire d'un moine raté) écrit :"Et ainsi fut, celui qui pourtant n'avais jamais eu de nom, et ainsi fut grace au Quandiraton."
Nombres d'historiens donc livre facilement la pérénité de se titre de "Chat" a un certain Quandiraton. Version que j'ai moi même pu mettre en doutes. C'est en effet après moult et moult recherches. Moult et moult bataille, que j'ai pu démontrer que ce Quandiraton (colporteur de sa profession) était justement en voyage d'affaire.
Bref.
Dévoilant ainsi a la face du monde la manipulation que les historiens avaient orchestré depuis plusieurs siècle je fut bien vite victime de pression diverse et variés. En effet pour beaucoup cette vérité qui avait tenu pendant près de 600 ans était un moyen facile et propre d'occulté la térrible vérité...
...
Vous voulez lire la suite?
Achetez la vérité qui CHATouille, écrit par Galain. En vente prochainement dans toute les bonnes librairies...
En l'an de grâce 1397, alors que le moteur à explosion n'était encore qu'une divagation issue de l'esprit d'un viticulteur ayant abusé de sa production, tout était différent. Certes les gens portaient des chapeaux. Mais c'était bien malcommode, comme nous allons le voir.
Le 12 janvier de cette année-là, Matourles Mistigriplin avait fort à faire. Il avait gagné le concours de craminet l'année précédente, et il lui fallait clore honorablement ce matoupitre de sa vie. Potron-minet, il enfila son manteau et son minoupeau et grimpa dans sa matourette vers la grand-place de la ville de Dreux. Arrivé au marché rempli de félinlands faisant leurs agreffiers, il se dressa debout sur sa matourette et s'adressa à la populace.
"C'estoit assez!" dit-il, dans un français moderne pour l'époque. "Foin de minourabia! Cessoyez de vous esbaudir devant maint mot alambiqué désignant chose courante!"
Et dans un élan d'inspiration qui faillit le faire minetvirer, il avisa un sourire de Cheshire qui traversait le marché à la poursuite d'un miquet. Pointant du doigt, d'une voix hystérique, il cria: "C'est un chat!!"
Et tout fut plus clair, enfin.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Poumps !
Donc, chette année-là, en mille trois chent quatre vingt dix chept, un paysan franchais en chabot marcha sur la queue d'une drôle de bechtiole dotée de mouchtaches, de griffes achérées et d'un cri perchant qu'il n'avait jamais vue. Il faut dire que la bechtiole arrivait tout droit d'Egypte pour chasser les chouris mais l'autre bouseux croyait que ch'était un animal du diable churtout quand il était noir. Donc, la bestiole lui chauta à la fache en choufflant férochement et le gars che mit à hurler : "Qu'est-che que c'est que cha ?"
Le choir même, sur la plache chaint Marc, on déchida d'appeler la bestiole sans nom un cha.*
*Le T fut rajouté plus tard quand on découvrit que la bestiole était une femelle et qu'il était difficile de prononcer "chae".
*La porte s'ouvre et sous un halo lumineux magique entre une magnifique créature.*
*voix langoureuse et remuage de crinière blonde on*
-Booonjoour... *sourire étincelant*
C'est ici que se passe le jeu?
QUI décida, en 1397, devant un public estambourgué de Nutella Africain Rénovateur, sur la place St Marc (plus tard appellée Mr Propre) à Dreux, dans le Loir et Chère, qu'un chat s'appellerait "un chat" ? Aha !
-huuuum. ( plissement de lèvres) *démarche hanches de coté , de l'autre, de coté...* *remonte la machoire d'un mâle qui pend *
[big][big]P[/big]OUMPS !!!
J’ai l’honneur, en cette période diurne d’alternance solaire de souhaiter par voie orale et déclarative à l’encontre de votre personne physique et isolée, qu’icelle période vous soit, autant que faire ce peu, profitable et agréable au niveau de son déroulement général, ainsi que de ses conséquences éventuelles à court terme, nonobstant aucune implication concernant la prochaine période diurne d’alternance solaire dont au sujet de laquelle je ne vous entretient point. Ces propos n’engagent bien sur que ma seule personne physique, par l’expression simple d’une déclaration orale. Votre question ne manque aucunement de perspicacité, et je me ferais un honneur tout a fait digne dont je ne retirerais aucune fierté, je vous le dis sans aucune ambiguité ni sans aucunement engager de personne, ni physique ni mentale de vous répondre.
Or voici donc qu'il y a 610 circonvolutions de la Terre autour de son axe, nottament nommé un soleil ou même étoile, d'ou le nom de notre système solaire, "solaire", Un homme communément apellé homo habilis, ou homo sapiens, mon cerveau et sa matière grise étant en complète ébullition face à la phrase que je viens de prononcer en en oubliant le début et donc en oubliant la fin,un homme communément apellé Dédé, en langage séculaire "vieux françois" du latin Francus, franccocus, neutre, troisième déclinaison et génitif, déclara en sa personne physique et mentale au moyen de ses cordes vocale et de sa bouche ainsi que de son appendice nasal que ce qu'il apelait minet, minou ou mimi ou encore pompon devait, en sa personne, bien que l'on ne puisse pas dire que sa personne soit un terme approprié, un félin étant un animal, donc une chose, mais cet homme malheureusement manquant de culture générale et approfondie désigna cet animal sans même une pensée phylosophique même mineure sous le terme de "personne" , en sa personne donc, devait avoir son nom généralisé et approprié en fonction de sa race et décidat de l'apeller chou.
Le seul problème étant que ce mot était déja utilisé par un légume vert feuillu se mangeant en choucroute suivi parfois du mot -fleur provoquat une polémique sur la place Marc du village en quoi deux choses ne pouvaient certainement pas avoir le même nom, cela donc fut décidé après une assemblée de gourdins et de fourches, cet homme,Dédé donc, décida de changer la lettre du milieu du mot, cet homme étant également illéttré ne pouvant donc pas savoir que le son "ou" ne s'écrivait pas avec une , mais deux lettres,décida enfin de changer le "ou" en "a".
Et enfin le maire, la personne régente responsable des décisions majeures du village, lui sachant évidemment lire sans remuer les lèvres (grand savoir à cette époque et en cette région) décidat d'ajouter un "t" à la fin du mot , car sans cela, et je cite, cela ferais plus "style". en language familier peu approprié à un homme de loi,Il déclara "que c'était une sacrée bonne chose".
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