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Cinéma : films préférés... et les autres
(Sujet créé par Caramon Bornhald l 03/11/03 à 18:22)
Topic déjà ancien, au nom légèrement modifié pour permettre un meilleur repérage (et qui de toute façon convient mieux ).
On parle ici de films (et donc aussi d'animation), mais pas de séries télé. Le but est de regrouper des avis personnels sur des films, de préférences sous forme de critiques construites, mais les annonces de sortie sont également acceptées.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
RAAAAAAAAAAAH Malick Si vous remontez quelques pages, vous trouverez des posts de moi qui détaillent plus mon amour pour lui. Là, j'ai la flemme
Je dis rien pour les discussions autour des 300, je sais que je peux être aussi un peu très beaucoup lourde quand j'adore un film (cf. cet été )... par contre, tu pourrais peut-être rassembler tes considérations sur le box office sur un seul post pour ne pas flooder, mister C., comme ça ceux qui ne veulent pas les lire peuvent passer plus vite et ceux que ça intéresse ont le droit à plein d'infos d'un seul coup.
Je me rallie au choeur de louanges autour de La vie des autres.
Pour ceux qui ne le sauraient pas... C'est un film sur la stasi, sur un de ses agents, qui doit surveiller un écrivain et sa compagne, actrice, pour prouver que l'écrivain a des opinions contraires au parti, et ainsi favoriser la toquade qu'un ministre a conçue pour l'actrice... C'est l'histoire d'une métamorphose, celle d'un homme vide, une vie de fonctionnaire caricatural, appliqué, comme inconscient de l'ampleur du désastre que provoque son application, acteur aveugle, terrible -la scène d'introduction, électrisante, nous plonge dans l'enfer des mécanismes d'un interrogatoire. Il se contente d'appliquer les cours, de conduire les interrogatoires, d'être scrupuleux dans ses écoutes.
Mais voilà qu'il découvre la vie des autres à savoir l'univers de deux intellectuels, leur humanité, leur humanisme, leu amour, la vie d'un homme bon, aimé de tous, qui n'ose pas s'impliquer de peur d'être privé de son art, de peur de compromettre ceux qu'il aime. De peur qu'on le baillonne, qu'on lui ôte tout moyen de souffler aux hommes : "tout finira par changer... ayez confiance en l'âme humaine".
Et peu à peu, l'agent creux et désespéré, prend conscience de ses béances,il se remplit de cet univers de pensées et de sentiments, de ces musiques et de ces poèmes de Brecht qui font les délices de l'écrivain ; il découvre la force de l'art, la force d'aimer. Il ôte toute fermeture à son regard bleu nuit, se désille les yeux quant à l'idéologie qu'il a jusqu'alors servi, et les manoeuvres tortueuses du pouvoir. Il s'oublie à rêver, à vouloir, à se faire le vivant témoin d'un pays fâché avec ses propres idéaux. Jusqu'à chercher à aider l'auteur, en cachant dans ses rapports la naissance d'un article qu'il conçoit pour l'Allemagne de l'Ouest, autour des suicides en RDA, plus particulièrement les morts d'artistes...
C'est l'histoire d'un homme qui découvre le goût de la vie, dans des conditions tragiques et bouleversantes. Il y a peu de mots de la part de cet homme. Juste un ressenti énorme, impressionnant. C'est une enquête policière sur la naissance d'un homme à sa bonté et à son humanité. Un film d'Histoire, un film d'Humanité. Aussi documenté qu'émouvant. Sobre, dans sa retenue et son intensité. Riche, à tout point de vue. Magnifiquement filmé et admirablement interprété.
Et c'est un premier long métrage... le cinéma allemand n'est donc pas mort ? En tout cas, depuis Goodbye Lenin, il semble se réveiller
Oh, Lumière ! Vous voulez pas ouvrir un thread "300", ça m'éviterait d'ouvrir ce topic en croyant y lire quelque chose de nouveau
Rassure-toi, j'ai presque fini (il reste l'annonce de la sortie du dvd) Je ne vais quand même pas parler de 300 à tout les jours, c'était pas trop sérieux ce que je disais à la fin de ma critique, c'est juste que je viens de le voir vendredi et j'ai adorer et que j'espérais que le film allait être un succès et c'était le premier week-end d'exploitation en salle (un évènement important)
par contre, tu pourrais peut-être rassembler tes considérations sur le box office sur un seul post
ça sera fait
*Mise à jour*
300 a fait près de 28 millions au box-office vendredi)
No Title Distributor Sites Daily Gross Avg Change Total Gross
1. 300 WARNER BROS. 3,103 27,688,000 8,923 n/a 27,688,000
300 a fait 24,512,000 au Box-Office hier samedi et 52,200,000 au total.
Au total pour le week-end, 70 millions, ce qui fait de 300 le meilleur démarrage pour un film sortant en mars
Le succès s'annonce bien pour la carrière de Zack Snyder, car malheureusement aux yeux des producteurs et des studios, c'est le succès au B-O qu'ils considèrent en premier et non critique la pour qualifier un film et un realisateur de "bon" et pour lui confier des projets de films intéressants et les moyens
J'espère aussi qu'avec le succès, Warner sortira une édition collector du film digne de ce nom car ici c'est la même chose: en général, ils ne prendront pas la peine de sortir une bonne édition dvd d'un film qui n'a pas marché au cinéma.
Le réalisateur ne voulait pas que les méthodes de combats soient historiquement correcte, il voulait les rendre d'un air plus "cool"
Ben voila déjà un film qui est mal barré en ce qui me concerne
Est ce que c'est du genre "gladiator", ou on se fout de toute realité technique et historique au profit des jooolies images de syntése?
(je me souviens quand quelqu'un a demandé a Scott: "vous etes sur que les arcs avaient la meme portée que les balistes?" "Non, on sait q'elle etait bien moindre, mais avec les images de syntése, on peut y remedier, alors, on l'a fait".)
Je sais, je sais: je suis un mauvais spectateur: mon gros defaut devant un film, c'est d'etre perturbé par les petits details qui me paraissent des bourdes inacceptables (surtout quand commises sciemment).
Il ne faut pas oublier que le film est inspiré d'un roman graphique. Pour la phalange en question, ça ne m'a pas du tout pertubé, c'est moins remarquant que je le pensait: les spartiate lèvent leurs laces et pousse leur cris de guerre et se place en phalange.
on ne se fout pas de la réalité historique, mais il faut plus regarder ce film pas comme péplum ou un "historical epic" mais plutôt comme la légende, le mythe de la bataille des thermopyles. Le but de ce film n'est pas d'adapter Hérodote à l'écran ou de faire un documentaire, mais d'en faire un divertissement
J'ai du mal cela dit a voir le souci..
La formation en phalange n'existait pas a l'epoque??
(geographiquement au moins, ils ne se trompent pas de pays ni de peuple )
"Le but de ce film n'est pas d'adapter Hérodote à l'écran ou de faire un documentaire, mais d'en faire un divertissement "
c'est justement ce qui me gene en fait dans pas mal de films: pourquoi sur ce principe peut on faire n'importe quoi et sortir les plus gros anachronismes ou impossibilités techniques en toute connaissance de cause (ex: ou se trouve la rétine sur un squelette???)
Mais bon, je sais que c'est moi qui ai un regard trop critique et culturé
Cela dit, Il existe des films ou les plus grosses enormites ne me font pas sourciller (dans "chevalier" par exemple)... question de feeling avec le film peut etre.
J'ai du mal cela dit a voir le souci..
La formation en phalange n'existait pas a l'epoque??
La formation phalange existait, mais elle ne se faisait pas exactement de cette manière, du moins, selon les historiens. Moi ça ne m'a pas choqué ni trop paru.
c'est justement ce qui me gene en fait dans pas mal de films: pourquoi sur ce principe peut on faire n'importe quoi et sortir les plus gros anachronismes ou impossibilités techniques en toute connaissance de cause
Mais je te rapelle c'est une adaptation d'un roman graphique, donc on peut se permettre quelques libertés. Si s'aurait été l'adaptation d'un roman historique disons, "Gates of Fire" de Steven Pressfield (roman sur la batailles des thermopyles) ou encore l'Iliade, l'a je t'aurais parfaitement compris, il faut rester fidèle a l'oeuvre et la réalité historique le plus possible.
C'est ça qui m'a choqué avec Troy. Le film ne respecte pas du tout l'Iliade. Même si cette oeuvre est loin d'être historique, cela reste l'une des plus grande de l'histoire et il ne faudrait pas détèriorer sa qualité. Le film est très américanisé, c'est vrait les gentils troyens contre les méchants grecs alors que dans l'Iliade, seul Agamenon pourrait être considérer comme "Mauvais". Aussi les batailles, les grecs attaquent la ville sans tour de siège (s'ils ont réussi à construire un cheval de trop, ils sont bien capable de construire une tour de siège, non?) ni même bélier. Et bien sur, les troyens super puissant sort de la ville pour la défendre et foncent dans le tat...ridicule.
Je me souviens ce qu'ils avaient sorti come arguement pour Troie (que je n'ai pas vu justement pour les raisons que tu évoques)
Homére n'y etait pas, donc il a déformé la realité, donc nous aussi on a le droit de deformer son récit, car pour ce qu'on en sait, Notre version sera aussi proche de la realité que la sienne.
Ah, ces étatsuniens, quels grands enfants...
"alors on va dire que les playmobils pirates, ils se battent contre les indiens, et qu'ils sont aidés par goldorak et par le tyranosaure..."
lol
"alors on va dire que Maximus, le romain republicain, il se reincarnera dans le petit chien de marie-antoinette l'heroinomane en baskets... mais comment insérer le T-rex dans l'histoire?"
modérateur Aes Sedai Co-resp de la Tour Blanche demi-Fluffy
Cela dit, Il existe des films ou les plus grosses enormites ne me font pas sourciller (dans "chevalier" par exemple)
Chevalier est un film ouvertement décalé et les anachronismes renforcent ce second degré qui court tout le long du film... les énormités comme tu dis sont voulues... heureusement que tu n'as pas sourcillé... ca serait comme demander a Mel Brooks de faire dans le réaliste
Je viens de voir la bande annonce du film Ecrire pour exister sur Allociné. Ca m'a l'air pas mal en tout cas après m'être renseigné sur l'histoire originale (car le film est tiré d'une histoire vraie) j'espère que le film sera bien retranscrit au cinéma car cette prof et sa classe on vraiment fait beaucoup pour une cause qui en a vraiment besoin dans ce quartier de Los Angeles.
Le film sort le 14 j'espère que j'aurai l'occasion de le voir car je rate plein de films que je voulais voir en ce moment
Le dernier film avec Leonardo di Caprio que j'avais vu est, je crois, Roméo et Juliette. Il était tout mi-mi mais pas très adulte. Là, il est devenu grand.
Un bon film, dur, qui n'adoucit pas la réalité de la situation africaine (les milices, la façon dont sont conditionnés les enfants-soldats, les profits qui passent avant tout).
La mise en scène suit l'action au plus près et alterne les scènes très dures avec des paysages de rêves.
Je n'ai, par contre, pas aimé la fin, trop "morale" à mes yeux.
Je crois que d'autres l'ont vu ici ?
PS : rien à voir, mais j'ai vu les affiches pour la Cité Interdite (sortie le 14 mars) et les Contes de Terremer par le studio Ghibli (sortie le 4 avril)
PS 2: demain soir, Batman de Tim Burton à la télé, on relance le débat ?
J'appuie Jehane pour BD . Le film tient ses promesses et le scénar, très rythmé et très clair permet au spectateur de s'immerger totalement dans le récit. Quant à la fin trop moraliste, peut-être oui, mais ça ne m'a pas choqué (sans doute sachant d'avance que le film, fait par des américain, sera donc américain par essence... cf Lord Of War). Ce qui, en revanche m'a gavé dans ce film, c'est la fin (décidément cette fin fait bcp parler d'elle^^), avec SPOILER l'autre taffiole là, filmé pendant 15mns, avec ralenti, musique tristounette, et zolis paysages en fond... "Non mais c'est bon, depuis le début, le film avance prolepse par prolepse -attention, Dicaprio va mourir, sortez d'avance les mouchoirs-, alors qu'il crève qu'on passe sur le visage de Jennifer"
La vie des autres de Florian Henckel von Donnersmarck
Au début des années 1980, en Allemagne de l'Est, l'auteur à succès Georges Dreyman et sa compagne, l'actrice Christa-Maria Sieland, sont considérés comme faisant partie de l'élite des intellectuels de l'Etat communiste, même si, secrètement, ils n'adhèrent aux idées du parti.
Le Ministère de la Culture commence à s'intéresser à Christa et dépêche un agent secret, nommé Wiesler, ayant pour mission de l'observer. Tandis qu'il progresse dans l'enquête, le couple d'intellectuels le fascine de plus en plus...
La vie des autres est le premier long métrage de Florian Henckel von Donnersmarck et l’on peut dire que le jeune réalisateur commence bien. Le film, d’une durée importante (2h17), ne perd pas de son intérêt au cours du temps, bien au contraire. Le spectateur est ainsi tenu en haleine dès le premier quart d’heure, étant en permanence sur le qui-vive. L’action ne faiblit pas et prends même de l’ampleur au fur et à mesure que l’histoire se poursuit, ce qui la rend captivante, prenante… Le film est tout simplement fascinant.
L’histoire, bouleversante, est riche et très bien élaborée. Tout est bien en place, il n’y a aucun manque narratif, tout cela renforcé par le jeu des acteurs, superbement juste. Les personnages trouvent leur compte et semblent être tout droit sortis d’un documentaire tellement ils ont l’air vrais. Ils ne sont pas traités de façon manichéenne, chacun ayant sa part de bon et de méchant, aucun n’étant « tout blanc » ou « tout noir » .
Certes, la réalisation ne fait pas preuve d’une virtuosité digne des plus grands, mais c’est dans le cœur que se trouve la véritable richesse du cinéma de Florian Henckel von Donnersmarck. Dans la sensibilité, l’esthétique, le sens artistique. L’atmosphère, les couleurs, tout est fait pour nous plonger dans l’Allemagne côté est du début des années 1980. L’ambiance, poisseuse, restitue l’univers implacable d’un système totalitariste tel que celui qui sévissait à cette époque. Des scènes, poignantes, nous procure un tel sentiment d’injustice, d’impuissance quand on viendrait à arracher le fauteuil sur lequel nous sommes assis par colère. Ces deux personnage, Georges et Christa, qui vont lutter contre un système, contre une organisation, vont le faire au travers de leur amour l’un pour l’autre. Nous sommes constamment sous pression, vacillant entre joie, colère, peine, empathie, désespoir… Et c’est cela, le cinéma. Cette chose, cet art, qui est capable de nous faire ressentir une dizaine d’émotions différentes en 120minutes, avec autant de force.
Lettres d’Iwo jima de Clint Eastwood
En 1945, les armées japonaises et américaines se battent sur l’ile d’Iwo Jima. Les armées japonaises, bien inférieures aux américaines, vont être complètement anéanties. Les soldats japonais savaient dès le départ que leur chance de réussite étaient proche de zéro, mais c’est avec bravoure qu’ils combattirent et purent tenir plus d’un mois, au lieu des quelques jours prévus par l’état major. Kuribayashi, alors général, sut exploiter avec ingéniosité le terrain, malgré des discordes avec les forces marines, discordes qui, participèrent, en parti, à la chute de l’empire japonais sur l’ile d’Iwo Jima.
Après Mémoires de nos pères, Clint Eastwood réalise Lettres d’Iwo Jima, second opus de ce dyptique consacré à la bataille d‘Iwo Jima, mais raconté du côté opposé. Dans ce film, Eastwood dénonce toujours plus l’absurdité de la guerre mais aussi les traditions militaires japonaises, notamment le suicide inutile au lieu de la rédition.
Le film, étonnant par son rythme toujours plus soutenu, captive notamment par le montage, incisif, et nous livre une alchimie parfaite entre action, réflexion, et ressentiment. La photographie décolorée à la limite du noir et blanc, ainsi que la dureté des combats permettent de nous plonger dans le film, de le vivre. A noter aussi la remarquable bande son composée par Eastwood Jr, s’alliant parfaitement à l’image, lui donnant vie.
Lettres d’Iwo Jima est un film à la fois dur et émouvant, le réalisateur reléguant la guerre au second plan, réservant le premier pour un sujet lui tenant à cœur : la condition humaine. Certains moyens utilisés par le cinéaste pourraient sembler très classiques mais celui-ci opère avec subtilité, évitant ainsi les clichés, et délivrant un message humaniste très fort. Toute l’absurdité de la guerre est montrée ici au travers de ces soldats, persuadés de l’inutilité de leur combat, mais qui vont tout de même affronter l’ennemi, pour la patrie, car comme le dit le général Kuribayashi à ses soldats « Si nous tenons un jour de plus, ce sera un jour de plus où nos familles vivront en paix ». Là où nous ressentons le plus la présence et l’investissement d’Eastwood dans son film, c’est le passage où les soldats se suicident à la grenade. Scène dure, violente, où l’on peut lire les sentiments qui passent sur le visage de ces hommes, ressentant avec eux ce qu’ils endurent. Le visage de Saigo ce moment-là est sans doute le plus significatif: mélange de détresse, de terreur, de haine…
The Substitute de Fred Poulet et Vikash Dhorasoo
L'histoire commence le 6 avril 2006. Fred Poulet propose au footballeur Vikash Dhorasoo de lui confier deux caméras super 8, pour qu'il filme son quotidien jusqu'au 9 juillet, date de la finale de la Coupe du monde de football à Berlin. Ensemble ils écriront le film au jour le jour, au Havre, à Paris, puis en Allemagne, dans des chambres d'hôtel, dans le bus ou au téléphone. Un peu dans les stades aussi. Vikash Dhorasoo jouera 16 minutes lors de cette Coupe du monde à rebondissements qui verra l'équipe de France atteindre la finale pour la 2e fois de son histoire. 'Substitute' est le journal intime de ce 'douzième homme'.
Substitute est un film surprenant tant au niveau formel qu’au niveau du fond. Tourné en super 8, l’image est de qualité plus que médiocre, virant au vert dans les intérieurs -due à une absence du réglage des blancs (la faute au super 8)- , et possédant un gros grain. Le concept: un homme appartenant à une communauté doit filmer celle-ci pendant plusieurs mois. Le reportage ainsi crée se veut donc le plus réaliste possible, Dhorasoo n’étant pas une personne extérieure, les autres se comportant ainsi sans aucuns artifices.
Or Substitute est un film qui n’apporte rien, tant par la prestations de Dhorasoo que comme l’intention première du réalisateur Fred Poulet. L’acteur et auteur principal qui n’est autre que le footballeur semble n’avoir rien à dire (et ne dis rien), si ce n’est un monologue, s’adressant à Poulet, qui se veut émouvant. Durant tout le tournage, le spectateur va écouter Dhorasoo se plaindre, et lancer des phrases métaphoriques dignes d’un Jean-Claude Van Damme. Le réalisateur quant à lui, ne semble pas sûr de son entreprise, et de ce qu’il fait, en témoigne la réponse qu’il donne quand on lui demande pourquoi avoir choisi le super 8 « J’aime la pellicule ».
Substitute est un film au concept original et intéressant, mais mal exploité ici. Le film, plat, sans intérêt, amène le spectateur à se demander pourquoi le réalisateur a voulu projeter cela en public. Lutter contre l’insomnie?
PS: Pour tous les gayz qui parlent de 300 tous les jours depuis bien deux mois, sachez que moâ messieurs, je vais le voir en avant-première mercredi (J-2) au grand rex... nananèreuh
PS: Pour tous les gayz qui parlent de 300 tous les jours depuis bien deux mois, sachez que moâ messieurs, je vais le voir en avant-première mercredi (J-2) au grand rex... nananèreuh
Le 14 mars et en VOST en plus (tu éviteras le charcutrage du doublage français )
Juste comme ça hier soir j'ai regardé Payback sur la 2 en deuxième partie de soirée. Alors oui c'est tiré par les cheveux comme histoire mais il me fait trop délirer j'adore le personnage de Porter joué par Mel Gibson. Un sens moral déficient, une case en moins et quelques répliques vraiment bien choisies. Même si c'est pas ce qu'on pourrait qualifier de grand film, j'ai adoré le revoir.
Je suis allé voir Contre Enquête hier. Ben... louez le en dvd si vous souffrez d'insomnie!
Réalisation plate, pas de fausses pistes donc dénouement prévisible des le premier quard d'heure (en même temps, faire un film policier avec deux suspects ), persos lisses (c'est fait expres mais ça rend rien), boarf quoi!
...
Mais bon on nous l'avait chaudement conseillé, alors...
).
Si vous remontez quelques pages, vous trouverez des posts de moi qui détaillent plus mon amour pour lui. Là, j'ai la flemme 
), persos lisses (c'est fait expres mais ça rend rien), boarf quoi!
