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Lugard (et ses environs)
(Sujet créé par Aedmun Kigarin l 11/10/06 à 16:07)
L'armée d'Aedmun est pour l'instant aux portes de Lugard. Danner est à l'interieur avec quelques groupes pour déstabiliser ce qui reste des forces de l'ordre dans la cité.
La musique est souvent plus expressive que les mots (multi mutique)
Tristan tente de se relever, échoue, une femme vient de bander son bras pour arrêter le flux de sang. Maintenant, elle secoue Erylin, en vain. Tristan a envie de fermer les yeux et de se laisser sombrer. Malgré le bandage de fortune, son sang coule encore. Il ne faut pas céder. Alors, maladroitement, il extirpe sa flûte de sa poche et de manière incongrue, mais en a-t-il conscience, il se met à jouer. Faible d'abord, puis de plus en plus assurée, la musique s'élève.
[d10]
Mais elle ne parvient pas à dominer le chaos, juste à donner un peu de force au musicien qui se met à genoux.
Il a fait le Vide en lui, et chacune de ses perceptions est considérablement accrue par le Pouvoir Unique, c'est comme un feu qui court en lui, aiguise sa conscience, sa force. Une sensation délectable. A peine a t-il lancé vers Karion ses flèches de feu qu'il devine derrière lui un pas de course. Un coup d'oeil, puis il éclate de rire alors que le pauvre frémissement de la Saidar court sur sa peau.
Minables Aes Sedai !
[d10]+6+2= 10
Une onde de choc, une énorme masse d'air balaie tous les êtres qui osent essayer de s'interposer dans leur combat. Et ternir ainsi sa gloire ! Il ne tue personne, cependant, que tous puissent assister à la victoire du Grand Seigneur.
Mais très vite, tous n'ont plus que la possibilité de rester spectateurs face à ce déchaînement de Pouvoir. Les deux combattants s'élèvent dans les airs, au-dessus de la ville, sans qu'aucun d'eux ait donné l'impression d'y être pour quoi que ce soit !
Alors qu'Alienor se dirigeait vers l'homme en blanc avec toute la force qu'elle avait, elle fut repoussée violemment par une force qu'elle ne put identifier que comme étant le saidin, même si elle était incapable de voir les tissage de l'homme.
Elle s'écrasa brusquement sur le sol à coté du musicien, qui curieusement s'était mis à jouer de la flute, et des deux femmes.
Sous le choc, elle parvint néanmoins à se redresser et saisit le jeune homme pour le remettre sur ses jambes pendant que la femme de l'auberge s'occupait de l'autre encore à terre. A présent, mue par la peur, elle ne pensait qu'à s'éloigner au plus vite de cet enfer. C'est alors que, tout en entrainant le musicien, elle remarqua que l'homme en blanc et celui de l'auberge c'étaient élevés dans les airs.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*le garde de Lugard Meridin* Le garde de Lugard, Meridin, voyant Aedmun tomber l'a emmené en le trainant vers un endroit qui semble plus sur, éloigné de cataclysme. Meridin est désorienté, il ne sait trop que penser de tout cela. QUI est QUI??
Une onde de choc le fait trébucher et souffle. De l'air...une masse d'air qui m'emporte!!! Il fait un plongeon de quelques metres, tenant toujours Aedmun. Brièvement celui-ci ouvre les yeux.
*Aedmun* J'ouvre les yeux quelques secondes, dans un moment de lucidité. Dans le ciel, je vois deux figures, deux hommes, qui se battent...ou qui se jaugent plutôt. Ils grandissent...grandissent, entourés d'une sorte de brume...Cela paraît irréel, mais quiconque est à Lugard peut le voir. Je reconnaît là-haut Karion. Ce jeune homme...Il cachait bien son jeu! Mais...qui est l'autre!!!??? Sang et cendre, nous sommes ici trois canalisateurs...ou au moins 3 que je conn... Je retombe dans les ténèbres.
*le garde de Lugard Meridin* Après avoir roulé sur quelques mètres avec Aedmun, il tombe au pieds d'une femme encapuchonnée. Elle semble observer la scène avec horreur. Difficilement, Meridin se relève.
Mon blessé a repris conscience : au plein milieu de cette bataille démentielle, une musique ténue me fait me retourner vers lui : incroyable, malgré sa blessure, il joue. En plein cataclysme... Du monde ou de moi, l'un perd la raison...
"Vous... pouvez vous déplacer ? Rester ici est trop dangereux ; je peux tirer une personne à l'abris, mais pas plus."
La musique est souvent plus expressive que les mots (multi mutique)
Tristan se sent mieux, juste un peu. Suffisamment sans doute pour donner son accord d'un signe de tête. Il se lève péniblement et fait comprendre d'un geste à la demoiselle qu'il est prêt à la suivre. C'est à ce moment qu'il apreçoit Karion et l'homme en blanc prêts à s'affronter, tous deux dotés d'une stature surhumaine. mais il importe avant tout de sauver Erylin. Il propose à la secourable jeune femme de l'aider à porter celle-ci.
Tout n'est que Chaos autour de moi. Comment tout cela a-t-il pu déraper aussi vite ? Il y a à peine quelques secondes de cela nous parlions avec Stered et Karion puis tout s'est précipité avec l'arrivée de ce petit groupe... Tout se déchaina...Karion...les flèches...cet homme en blanc...le feu
Je reprends enfin mes esprits et me met à agir.
Comment ai-je pu faire preuve d'autant de faiblesse dans un moment pareil ! Ca ne me ressemble pas !
Je vois Stered qui aide ce groupe à se mettre à l'abri, moi-même encore secoué et légèrement blessé je décide d'aller les rejoindre. Sur mon chemin je vois la jeune femme que Karion tenait dans ses bras avant de s'élever dans les airs comme par miracle.
"Venez mademoiselle éloignez-vous un peu c'est trop dangereux ici !"
L'écoute du groupe d'Aes Sedaï n'a pas été un total échec, j'ai réussi à saisir dans leur conversation qu'elles avaient un camp à l'extérieur de la ville. Je continuais d'écouter quand soudain un fracas assourdissant cassa ma concentration, je laissa filer la source. Et là je le sentis, le Pouvoir. Je n'en avais senti autant. Quelques Aes Sedaï quittent l'auberge, j'en fais autant. Une jeune fille se dirige tout droit vers deux hommes au centre du chaos.
Il y a deux canalisateurs ? Je vois les flots de Pouvoir autour d'eux ! Pourtant aucun n'est Aedmund. Je ne le vois même pas.
La jeune fille crée une épée mais se fait balayer aussitôt par des flots de Pouvoir, puis les deux combattants s'élèvent. Un troisième entre en jeux ce n'est toujours pas Aedmund.
Mais que se passe-t-il donc ?
Je ne dois pas oublier pourquoi je suis là. Attendons de voir qui est dans quel camps avant de se précipiter. L'observation est une arme, sachons l'utiliser correctement.
"Ce qu'il se passe ?" Je dois hurler pour me faire entendre, tout en portant plus qu'à moitié la jeune femme "J'hésite entre la fin du monde et... Des hommes qui canalisent, partout."
Avisant Ylnaa :
"Est-elle consciente ? Elle semblait connaître Karion : c'est elle et ses compagnons qu'il faut interroger pour avoir une ébauche de réponse. Je suis aussi perdue que vous, Jibaï"
Non loin, l'auberge ... Mais, cette femme ! "Attention, c'est l'Aes Sedaï de tout à l'heure ! Mieux vaut ne pas se mettre entre elle et les canaliseurs, Dragon ou pas !"
[d10] :
Nous arrivons à nous abriter sous un porche qui n'est pas trop ébranlé par le chaos ambiant. Je le surveille néanmoins nerveusement : la Lumière sait ce que la prochaine secousse lui fera subir et je n'ai aucune envie de finir réduite en charpie par ces blocs de pierre.
Je me repenche vers le blessé : pour l'instant, mon bandage devra suffir. Je porte vers nos nouveaux compagnons un regard lourd de questions que je ne sais comment formuler.
Le jeune homme du nom de Karion ainsi que son adversaire poursuivent leur combat dans les airs. Les gens poussent des cris et s'enfuit un peu partout, certains restent comme fascinés ou paralysés par le spectacle.
Kearan observe avec attention, il analyse les moindres tissages tout en restant attentif à ce qui l'entour. Le Saidin bouillonne en lui.
Un des hommes du groupe est resté près de Karion et son adversaire. J'avais beau affirmer le contraire, mais le Saidin me terrifie. Le voir se déchaîner comme ça tout autour de moi m'affole, je contient difficilement mes émotions mais y arrive avec un peu d'effort. Trop de monde a cédé à la panique pour que je perde mon calme moi aussi. Stered a l'air plus sereine que je ne l'aurai cru, elle cache des ressources insoupçonnées.
"Il faut mettre ces personnes à l'abri Stered, ces deux là, en haut m'ont l'air bien en colère et ça m'etonnerai qu'ils s'arrêtent là. Nous ne sommes pas en sécurité ici et nous ne pouvons pas intervenir dans le combat, je suis désemparé. Quand même qui aurait cru que le jeune Karion canalisait ? Je me demande si lui-même le savait."
L'eau qui dort fait plus de dégâts qu'un chien qui aboie mais ne mord pas. Multi.
Après avoir assisté à l'attaque désastreuse de mes congénères, je reste médusé devant le prodige qui se déroule devant mes yeux: Deux des hommes, jusque là considérés comme quantité négligeable, sont devenus des géants et se regardent dans les yeux.
Je reprends mes esprits et remonte le courant de la foule apeurée vers le lieu de l'évènement.
Ce prodige ne pouvant être que l’œuvre du Saidin, et aucun des hommes n'étant le faux dragon, cela signifie qu'il y a 4 hommes capables de canaliser dans cette ville! Les deux géants, le faux dragon et l'homme que les autres enfants pourchassent.
Arrivé à proximité de la place en ruine, je reste scié par l'horreur de la situation: La place n'est plus qu'un tas de cendre et des cadavres de ses congénères, reconnaissables uniquement à leur capes blanches, parsèment le sol. Des hommes sont cachés sous un porche et d'autres tentent de se mettre à l'abris.
Mais le pire reste les deux géants immobiles, capable d'écraser n’importe lequel des spectateurs sans même le faire exprès.
Je me surpris même à espérer que le Faux dragon n'intervienne, lui au moins, on est sur qu'il est encore sain d'esprit!
Balayant ces pensés hérétiques de ma tête, je me décide à intervenir. Je cours vers le seul endroit qui me semble sur: le porche.
La musique est souvent plus expressive que les mots (multi mutique)
[d10]
Tristan se laisse tomber plus qu'il ne s'assied. La perte de sang et la souffrance pulsant dans son bras lui ôte les quelques forces que le stress lui avait procurées. Il doute de pouvoir faire quelques pas de plus même pour fuir ce lieu dévasté par le Pouvoir Unique. Il a une pensée pour son cheval puis pour Erylin. Avec un soupir, il s'appuie contre le mur et fixe les deux silhouettes gigantesques qui dominent la cité.
Pourquoi remettre à demain ce que l'on peut faire le sur-lendemain?
Alors que nous attendons patiemment le moment de rejoindre la ville, de la fumée s'élève peu à peu de Lugard, et un terrible brouhaha parvient à mes oreilles.
Je calme alors ma monture, pensant que ceci est dû aux soldats du Prétendu Dragon qui doivent piller et détruire.
Mais quelques secondes plus tard, deux formes grandissent dans le ciel : de minuscules points à peine visible de là où je suis ils passent à des géants dont je peux dire la couleur des yeux.
Pensée: Que le Seigneur m'emporte! Qu'est-ce que?... Le Pouvoir Unique.
Et dans un geste inconscient, je tire ma lame noire, cadeau qui témoigne de mon rang au sein des Amis du Ténébreux.
Pensée: Il me faut m'approcher. Je dois savoir de quoi il en retourne...
Restez là, sauf Kylahn, vous venez avec moi.
Jol, je vous tiens comme responsable du groupe. Attendez moi ici jusqu'à mon retour.
Et je m'élance vers la ville, dont l'entrée par la route est bouchée par nombre d'hommes du Dragon, dont je devine pour la plupart leur tête levée au ciel.
[d10]
Ma monture me permet tout d'abord de me frayer un chemin parmi ces fantassins, seulement ma progression se voit vite ralentie jusqu'à ne plus être. Enrageant, j'injurie ces bougres qui m'empêchent de pénétrer dans la ville, mais ils ne semblent pas m'entendre. Certains commencent à fuir alors que les autres restent passionnés par ces hommes -oui c'en sont bien- qui flottent au-dessus de la ville.
L'eau qui dort fait plus de dégâts qu'un chien qui aboie mais ne mord pas. Multi.
Rpoff: je commence bien moi!
Je débarque sous le porche abritant un petit groupe. J'avise un instant les femmes étendues à terre et le blessé puis me tourne vers ceux qui tiennent debout:
-Au nom de tout ce en quoi je crois, qu'est ce qui se passe ici! Qui sont ces monstres et... *Se masse les yeux.* Plus tard les questions, il faut filer d'ici au plus vite! Ces géants pourraient nous écraser sans même s'en rendre conte!
Sans que je ne comprenne plus qu'auparavant ce qu'il se passe je me retrouve entrain de grandir et de m'elever dans le ciel. Je suis ainsi d'une taille bien supérieur à la normale et je contemple Lugard de haut. Peut être un jour aurais-je l'occasion d'essayer de comprendre les évènements qui se déroulent actuellement. Pour l'instant la seule chose qui me préoccupe est de retrouver Ylnaa. Et il y a en travers de ma route un élément perturbateur pour la rejoindre, cet homme en blanc qui s'adresse à moi comme si nous avions quelquechose en commun. Il est en blanc, il fait partie de ces chiens !
Je concentre alors toute ma haine vers lui
[d10] + 10 = 14
Je vois alors partir en éprouvant à la fois satisfaction et surprise des boules de feu en direction de l'homme en blanc.
Le vent soulève les pans de la vaste cape blanche, aura de lumière autour de la mince silhouette de Niedjan. Loin en dessous, toute la ville a les yeux tournés vers eux, il sent leurs regards pleins de peur et de fascination, devine les cris qui s'élèvent jusqu'à eux, mais lui ne fixe que son adversaire, ses yeux limpides brillants d'une extase contenue. La haine se lit sur le visage de Karion, mais c'est à peine si sa propre expression se modifie comme il voit arriver vers lui les boules de Feu lancées par son ennemi.
[d10]+6+2=18
D'un mouvement aussi grâcieux que négligent, il dessine devant lui un Bouclier d'Air, repoussant l'attaque de Karion comme si rien de plus naturel ni de plus facile n'existait au monde. Souriant, c'est d'une voix douce et presque nostalgique, amplifiée par le Pouvoir qu'il prend la parole.
Je suis presque déçu. J'imaginais que tu me donnerais un peu plus de difficultés... la gloire ne sera pas aussi grande.
D'une pression d'Air, il renvoie avec une force accrue son propre tissage au jeune homme, comme par jeu. Les boules de Feu filent maintenant vers Karion.
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off: j'ai du retard a rattraper au travail ...
Lorsque Krystel Sedai nous demanda d'aller avertir le camp Aes Sedai, je n'en crut pas mes oreilles. Je m'attendais davantage a ce qu'elle nous enferme à la cave pour qu'elles règlent ça entre elles. Ce qu'elle nous demandent montre que la situation n'est plus sous contrôle et je pense même assez grave.
Peu après ces réflexions, un grand vacarme se fait entandre. Il semblerait que la bataille se joue juste sous nos fenêtres. Par reflexe, je saisit la saidar. Rapidement, Krystel et d'autres Aes Sedai se ruent dehors. Alienor les suit. Plus prudente, je les suis de plus loin en observant bien ce qui se passe. Une fois dehors, il semble effectivement qu'une bonne partie de la bataille se déroule ici. Je frissonne. Le paysage est de cauchemar et j'ose a peine lever les yeux.
Alors que je cherche un coin discret et protégé ne serait-ce que pour voir ce qu'on va faire, je vois Alienor prise d'une rage meurtrière prendre une épée à terre et aller se jeter en direction d'un homme que j'ai du mal a distinguer. Mais elle se fait alors rejeter en arrière par une force invisible mais qui me semble familière. Après un instant d'hésitation, j'en déduis qu'il sagit de saidin, des flux d'air. Alienor ne semble pas blessée. Cet homme en blanc serait-il le faux Dragon ? je cherche a me faire de plus en plus discrète.
Après un instalt, je m'approche d'Alienor et d'un groupe de gens bizarre. L'un d'eux semble blessé et joue d'un instrument. Quel homme étrange. Je reconnais quelques personnes qui étaient dans l'auberge. Remarquant alors que tout le monde a la têve tournée vers le ciel, je regarde moi aussi dans cette direction et je remarque avec stupeur que l'homme que visait Alienor et un autre sont en train de se battre dans les airs.
Laissant ce spectacle que je ne comprend pas dans les airs, a sa place qui est la sienne, je m'approche davantage d'AAlienor et lui demande alors sur un ton légèrement énervé : « mais qu'st ce qui t'as pris ? Tu voulais te faire tuer ou quoi ? Et c'est qui d'abord ? »
[i]Lentement, je reviens à moi, la tête me tourne. Ouvrant péniblement les yeux, je distingue des visages flous tout autour de moi, des femmes, des hommes que je ne connais pas... Qui ? Méchants ? Blancs Manteaux ?
Dans un cri, je me redresse vivement et me débats dans le vide, recule. Mon regard levé vers le ciel distingue les deux silhouettes, le chaos qui tapisse les cieux emplis de fumées. Mon dos heurte un mur de pierre alors que tout me revient en mémoire. Le musicien, blessé... Rabaissant vivement la tête, je lance autour de moi un regard terrifié, glissant sur les visages à la recherche de celui de Tristan, d'Ylnaa, de...[i]
Ayant vu comment mon adversaire a bloqué mon attaque je produit inconsciement la même protection et je vois son attaque s'arreter devant moi.
Voyant qu'en utilisant ces nouveaux moyens je suis peu efficace ma main se porte instinctivement à mon sabre que je dégaine. Je dirige toute ma force et ma volonté dans ma lame et je m'élance vers l'homme désarmé