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Vie de tous les jours (6)
(Sujet créé par Eléa l 13/10/10 à 17:15)
Le topic le plus utilisé du forum revient dans une sixième version au titre toujours aussi explicite et fourre-tout.
Source de nombreux débats, il n'en voit jamais le développement, car les modérateurs veillent et les redirigent ailleurs Lâchez-vous, anecdotes, annonces, récits de vie... c'est ici !
Il est vraiment bien donc, Arrietty? Je comptais y aller de toute manière...
Les studios Ghibli, c'est vraiment une valeur sûre. A chaque fois que je vois un film qui en est issu, je le trouve magique. Ca n'a jamais raté.
C'est gentillet, tout mignon, un peu enfantin. Disons que ça vole moins haut que Princesse Mononoké ou Le Château ambulant... faut dire, c'est pas Miazaki aux commandes ! Mais ça fait pas de mal quand même .
Je l'ai vu hier et j'ai le même avis sur la question. C'est un très bon film, un excellent dessin animé japonais mais... c'est pas Miyazaki. Il manque un petit quelque chose, presque rien. Et je n'ai pas trop accrochée à la musique, parfois trop présente.
Par contre, ce que j'ai beaucoup aimé, c'est la gestion de la différence de taille entre les chapardeurs et les humains. Les gros plans sont réservés aux seconds, lorsque les chapardeurs se retrouvent chez nous, les sons les plus petits sont accentués... On se retrouve vraiment dans un univers étranger, bien que familier. Et ça, c'est très réussi
Petit moment de stress aujourd'hui ; je reçois une enveloppe du Ministère de la Justice et des Libertés avec des mises en garde du genre : "seul le destinataire de cette enveloppe est autorisé à l'ouvrir sous peine de sanctions pénales", et autres joyeusetés du même style. Un peu perturbé et me demandant s'ils ont fini par repérer mon trafic de drogue, j'ouvre...
...
Ce n'était que ma casier judiciaire - vierge - que j'avais demandé pour voir.
Depuis peu, et pour des raisons de sombres groupes de pression je suis l'heureux - ou malheureux - possesseur de ce que l'Académie Française exige qu'on nomme "terminal de poche" (smartphone pour les intimes). Or, et je viens de l'apprendre à mes dépends, le terminal de poche cache derrière son ravissant patronyme un visage mesquin de vice et de sadisme à peine voilé. Le smartphone exige en effet une certaine éthique, un certain ethos qui, si elle se révèle être relativement intuitive, reste, dans ses arcanes, trouble et difficilement exprimable.
Si j'avais compris - assez rapidement, et j'en suis fier - qu'avoir un smartphone entre les mains dans la rue exigeait de moi un air pressé d'homme-d'affaire-prit-dans-les-affres-d'une-transaction-difficile, je n'avais pas encore saisi les subtilités de cet art de jouer à l'occupé - alors qu'on est juste en train de regarder les dernières photos envoyés par une grande tante du dernier mariage en date d'une arrière-petite-cousine dont on ignorait jusqu'alors le nom.
Aussi, et malgré les nombreuses recommandations écrit en petit sur la notice, j'avançais péniblement dans la rue déserte et grise, sans regarder où j'allais, porté par les morceaux de joies d'arrière-arrière-petit-cousin souriant à l'objectif fébrile d'un arrière-grand-oncle parkinsonien ou au nuque chatoyante d'une mariée inconnue dans une mairie plein d'ailleurs et de promesses de voyage. Tout allait bien jusqu'à ce que, surgissant de nulle part - et par soucis de décence je n'ajouterais pas "comme un aigle noire" ; ne voulant entériné la nullité de cette anecdote dans des boutades aussi usées que l'ait le visage tiré d'une Barbara méconnaissable (amen) - un poteau. La chute est faible, je l'avoue et vous vous demandez pourquoi diable avoir lu tout cela pour un si stupide chute...mais que voulez-vous. Pour moi, du moins, la chute fut rude et peu s'en fut que mon smaaaartphôôôneuuh - comment ça c'est pas comme ça qu'on dit ? - ne crevasse, blême, sur le bitume chew-gumé de la rue de l'Université.
Je me suis relevé sous les hués du public, les rires moqueurs des tigres et j'ai continué ma route, faisant fi du pouce baissé d'un César courroucé.
Morale : Prend garde qu'à force de Terminal tu ne termine mal ! - et c'est ainsi qu'il fini, sur une note de lourdeur qui, rehaussant la pauvreté d'une vie, faisait par là signe vers l'absurdité de sa condition.
Aujourd'hui je viens de recevoir un appel courroucé du pré inter bibliothèque de ma fac (une invention géniale qui permet d'emprunter gratuitement dans toutes les facs de France sans même payer le transport) qui exige que je rende un livre en retard.
Le livre, je l'ai rendu, et après explication, ils le retrouvent.
Mais des fois, je me dis que je suis trop honnête. Aurais-je du prendre le risque d'une pénalité, voire d'une interdiction d'emprunt temporaire et voler réellement ce livre ?
Parce que bon, on parle d'un livre qui n'existe que dans une fac de France, introuvable en librairie et sur internet et fondamental pour mes recherches.
L'honnêteté, c'est nul.
Lilla Mu ! Bizarreland........ Das ist das Land der begrenzten Unmöglichkeiten
Je crois que t'as oublié un petit détail, avant d'écrire ce post, ma chère Mélisande : moi.
Je vais te faire inscrire sur la liste noire des bibliothèques de France. Avec interdiction d'emprunter et même de franchir le seuil d'une bibliothèque. Même les BCD.
Et on te marquera au fer rouge : "Voler une bibliothèque c'est comme tuer une girafe".
Raison de plus pour le rendre si c'est un exemplaire quasi unique, non?
Le garder pour toi reviendrais à le faire disparaitre complètement, handicapant du coup tous les gens qui auraient pu en vouloir dans le futur.
Et je plussoie Lilla My, Voler une bibliothèque, c'est comme tuer une girafe.
Ne vous inquiétez pas Je suis bien trop respectueuse des livres, et des besoins des autres lecteurs pour faire réellement pareil crime.
Mais des fois, l'envie surgit. Surtout lorsqu'on m'accuse de ce crime alors que le livre a été renvoyé la semaine dernière à son domicile par ceux qui m'accusent
Edit : et d'ailleurs vous dite des bétises : voler un livre, c'est pire que de tuer des girafes. Mon livre, lui, n'a aucune chance de se reproduire et de perpétuer l'espèce
Et voilà, je me retrouve dans une scène de Kirikou et les bêtes sauvages désormais... fichue imagination une fois qu'on des enfants à la maison !
Vie de tous les jours... ou moments exceptionnels plutôt.
J'ai trouvé un éditeur !
L'un de mes jeux vidéo a enfin été sélectionné.
C'est un peu particulier, cela n'a pas encore été annoncé, donc je garde le reste pour plus tard.
Mais je le mets en gras hein, faut marquer le coup quand même, je ne pourrai sans doute pas l'écrire de nouveau pendant longtemps
Donc, la "machine à recherche d'éditeur" a fonctionné, mais entretemps je n'avais pas arrêté ma "machine à recherche de sous pour m'auto-éditer".
Et le problème c'est qu'elle aussi s'est mise à débiter tout à coup !
Qu'est-ce qui s'est passé en février ? Avant, je trainais des casseroles que j'essayais d'enterrer quelque part, et là c'est tout bizarre.
Je vais finir par croire aux horoscopes, c'est du délire ; du coup je me trouve soudain avec plus de 28 000 euros de contrats signés en un mois. Je n'ai pas l'argent bien sûr, j'ai juste plein de travail de signé partout.
Monstrueux hein ?
Je me demande qui a pris possession de mon corps..... j'aurai quand même à lui dire deux mots.
Du lundi au dimanche, tout est bloqué, chaque jour ou presque sur un projet différent, avec un planning genre 35h / homme par jour. hum....
Donc je recrute !
EDIT : Je "recrutais" en tout cas... mes effectifs sont déjà en chemin, mais je suis toujours preneur de candidats, particulièrement côté 3D.
Dans tous les cas, j'ai du mal à reposer le pied mais c'est une bonne nouvelle dans ma vie de tous les jours, donc je fais suivre !