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Yep ! C'est un bon texte. L'écriture est très agréable (j'ai cru repéré deux/trois fautes ou termes inexacts). Etant un habitué de SF, j'ai trouvé que quelques termes sont superflus ou peu nécessaires si ce n'est pour souligner le style SF : senso-mémo, semaine ou mois standard, holo-diffusés, pochettes statiques. Je reconnais que tu as su ne pas trop abuser de ces termes techniques (contrairement à pas mal d'auteurs de SF) mais sont-ils vraiment nécessaires au vu de l'histoire que tu racontes.
La transformation mentale et physique est bien décrite. Tu as abordé l’aspect biologique de cette mutation sans trop être technique. Toutefois je pense que tu aurais pu pousser un peu plus loin cette analyse sans que ça devienne fastidieux. Encore faut-il, je le reconnais, avoir les connaissances adéquates.
L'aspect dialogue avec la planète me gêne un peu. Peut-être était-il possible de rendre la même idée à travers des impressions, des images. Après tout la planète ne connaît rien de la physiologie humaine et de son langage. La voix du songe est la plus facile mais une sorte de tâtonnement pour établir la communication aurait pu être intéressante. Cela-dit cela risquait d’être un peu incompréhensible pour le lecteur…
L'explication de la disparition du vaisseau ne me satisfait pas vraiment et à mon avis n'apporte rien à l'histoire. Mais bon, fallait bien trouver quelque chose.
La fin est peut-être abrupte, on a envie de savoir qui ou quoi elle va rencontrer. J'ai pensé qu'elle revivait son propre atterrissage puisque tu as évoqué des flux spatio-temporels.
Je chipotes un peu, mais comme tu voulais des critiques...
C'est un bon texte, une histoire intéressante et une écriture très agréable.
Bravo !
J'ai bien aimé le côté elliptique de la conclusion, à la fois par la méconnaissance de la personne qui va atterrir, et par la liberté d'interprétation des dernières lignes que PC... laisse au lecteur.
Et bien je vous remercies pour les critiques et quand on chipote, ca ne me dérange pas du tout. Au contraire.
Pour ce qui est des termes techniques, je dois avouer que je voue un culte à Jack Vance, qui arrive à vous présenter des univers de SF extraordinairement crédible sans quasiment jamais utiliser le moindre néologisme ou terme scientifique, et j'essaie de faire un peu comme lui ( en passant, le Locateer est un modèle de vaisseau qu'utilise un de ses personnages, Kirth Gersen, au début de la Geste des Princes Démons ). En ce qui concerne la discussion avec la planète, j'avais dans l'idée que c'était véritablement une déesse, que Janah prend pour la personnification de le planète.
ca ferait un bon theme de roman. c'est pour ca que je n'aime pas les nouvelles, je préfere que ca dure plus longtemps. on a ici on tres bon début d'une histoire potentiellement sensationnelle.
léger défaut : l'acceptation de la condition végétale est un peu rapide, mais encore plus l'acceptation que le vaisseau a disparu et que janah est condamnée sur la planete.
c'est bien ce qui me semblait . Je viens de lire Poétesse electrique et j'ai aussi beaucoup aimé. Pour ma part Hypérion est mon oeuvre de sf préféré. Et je n'ai pu m'empecher d'y voire des références: ARNiste, Androide et poète, le Reve et le Verbe ...
sinon ton style me plait vraiment mis a part quelques expressions de temps en temps et quelques fautes mais bon ...
continue c'est vraiment un plaisir de lire tes nouvelles
Là, je suis pas tout à fait d'accord. Ne pas insister dessus, ok, mais ils ont leur utilité dans la narration: il fallait que la planète soit pour ceux qui atterrisent dessus une voie sans issue ( sinon, qu'est ce qui aurait empêché l'héroïne de repartir, et comme je n'aime pas le coups des coincidence ), que cela ne viennne pas de la déesse ( sinon, on pourrait dire que c'est une sal... ). On peut dire que c'est grâce à ses champs que la planète garde sa beauté et la protège des envahisseurs humains.
. Je viens de lire Poétesse electrique et j'ai aussi beaucoup aimé. Pour ma part Hypérion est mon oeuvre de sf préféré. Et je n'ai pu m'empecher d'y voire des références: ARNiste, Androide et poète, le Reve et le Verbe ...