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Joute 18 - Texte F
(Sujet créé par Nayla l 02/07/07 à 07:51)
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Nayla
20/06/2007 23:17
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Texte F
Aie aie aie
par Nayla

Aujourd’hui je ne préfère pas penser. En réalité j’ai quelque chose à faire. Demain tout cela sera terminé…
Mes compères écailleux sont à peu près tous aussi joyeux que moi. Bah, on verra, après tout on peut pas savoir.
A vrai dire, ça ne pouvait enchanter personne. Ils avaient décidé comme ça. Les Truites Fallâces et les Chèvres Moribondes s’étaient déclaré la guerre. On avait quand même l’avantage du nombre et de la rapidité. Bah ! Uliop soit béni, me semble-t-il que j’mérite pas ça, mais qu’est-ce que j’peux bien y faire ? Je suis une simple truite guerrière, j’ai pas droit à la parole. Tant pis comme on dit, non ?

Le début sonna. Ca commençait. Bon qu’est-ce que je fais ? Je combat et je me cache ou je me cache puis je combat ? Une Chèvre s’élança. Elle me rata de peu. Un bruit de tonnerre. Non ! son cri ! BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEH ! Oui c’est ça. Horrible ce cri !
Ensuite je bondis à la charge après une reconversion à l’euro furtive. Je me démasquait dans un geste de grande puissance et dévoilait la Face Cachée du Monde.
Peu après, je réalisai que j’étais vivant. J’étais dans un endroit mousseux. J’étais allongée et l’air était empli d’une odeur de… chèvre. CHEVRE ! VIIITE ! PARTIR ! Dans un rebond (après James vient le Re, c’est bien connu) je me levai et me trouvai nez à nez avec une truffe… de chèvre.
« - Tu béééh restes là, béééééta. Ok ?
- … Ok. »

Je découvrai un jour plus tard que cette chèvre m’avait recueilli au cœur de la bataille. Je ne m’en souvenais pas, ma mémoire me faisait défaut. Mais des bribes me revenait par flash sous cutané. Ainsi, en me forçant à manger les haricots que me donnait Bykebrelle, mon hôtesse, des scènes me revenaient en mémoire.
Fred, un de mes amis d’enfance, à côté de moi, se faisait énucléer devant moi, tandis qu’à son tour il infligeait une blessure à son adversaire, remplissant ma vision d’écarlate. De ma gauche vint telle une flèche, un de mes fils. Il volait, propulsé par un pied de Chèvre féroce.
Je regardais fixement mes petits pois. C’était pas des haricots tout à l’heure ? Non, un jour avait passé. Ma notion du temps dépassait l’entendement. La Chèvre me parlait de temps en temps. Je ne savais pas vraiment quel était son but au juste. Je lui demandai, un jour ou elle revenait de sa promenade.
« - Euh dites. Madame Bykebrelle, vous… comptez faire quoi de moi ? Fin j’veux dire euh. Vous m’protegez ou vous m’sequestrez ? Vous avez un regard de serpent. Alors j’me d’mande vous voyez. A la fois vous paraissez gentille, mais parfois j’sais pas trop.
- Me prend pas pour n’importe quoi, Petite. J’suis pas impliquée dans une affaire de trahison ou je n’sais quoi. Nos peuples se font la guerre depuis trop longtemps. Alors j’ai décidé de prendre un individu d’votre race pour vous étudier, pour voir ou s’qu’on pourrait s’entendre, tu piges ? Bon j’vais faire à manger.
- Ah euh, ben alors j’peux peut-êt’ me permettre de vous signifier un détail.
- Quoi ?
- Ahah ! Euh ben déjà moi les haricots euh… Les Truites ça mange pas d’petits pois vous voyez ? Ca serait plutôt du genre… aquatique, vous voyez ?
- … Hum. »

En réalité, elle n’était pas méchante cette Chèvre. Elle Oeuvrait pour la Paix comme on dit. Laissons faire les choses, me disais-je.
Je commençais à me sentir sérieusement bien dans cette maison de Chèvre. Elle se dépatouillait pour me trouver quelque chose de comestible pour une Truite, me racontait des Légendes et ce genre de choses. C’était très bien en fait. Mon peuple me manquait un peu quand même, mais ça allait.

Un soir, la Chèvre ne revenait pas. La Truite commençait à s’inquiéter un peu. Puis elle décida de partir à sa recherche, voir sa rencontre. Elle la trouva près d’un arbre, un peuplier qui n’avait rien à faire là au milieu d’une forêt de non-peuplier. Mais de la Chèvre ne restait que la tête, ma léchée, la peau et les pattes. Un Gent de la Haute Gastronomie Autoritaire avait fait ici son affaire pour le dîner du soir.
La Truite se sentit faiblir. Cette Chèvre représentait des Rêves oubliés de paix et de tranquilité. De Cohabitation. Mais après tout, résidait d’autres espèces. Un peu brisée, la Truite partit lentement. Se laissant dériver jusqu’à rejoindre un ruisseau qui mènerait chez elle. Elle rentra, dépitée. Un moment elle y avait presque cru. Elle avait été bercée quelques jours.
lugh
02/07/2007 07:51
Samildanach

Texte decale, plaisant a lire mais auquel il manque, d'apres moi, de la coherence interne et une direction plus claire. On a l'impression de s'eparpiller et une suite sans queue de truite ni tete de chevre, c'est un peu dur a suivre.
Quelques petites erreurs de francais qui sont destabilisantes vu le "style" choisi car on sort brusquement du burlesque pour entrer dans l'aridite grammaticale. Ex : "Un soir, la Chèvre ne revenait pas." Passe simple plutot non?
Aelghir
12/07/2007 16:13
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !

Trop bizarre, décalé mais absurde. Comment des chèvres et des truites peuvent-elles entrer en conflit et se battre ? Pourquoi d'ailleurs ? Des fautes d'orthographe, de temps, des expressions qui n'ont pas grand chose à voir avec l'histoire (la drôle d'histoire !) comme reconversion à l'euro et après James vient le re. (Une phrase pas comprise à la fin : Mais après tout résidait d'autres espèces)
Le texte est écrit à la première personne (heu, à la première truite, veux-je dire) mais soudain, il se termine à la troisième.
J'ai l'impression qu'il y a eu urgence d'écrire et peu ou pas de relecture.
Maneero
12/07/2007 16:28
Immortel
Mettra un jour fin à l'humanité

Gâché par une nuée de grosses fautes d'orthographe (aïe aïe aïe les conjugaisons - pour ne parler que de ça) et un style dont la désinvolture de circonstance ne suffit pas à excuser le manque flagrant de soin en des endroits répétés, voici un texte qui... dépayse, pour le moins. C'est bien là sa seule réelle qualité, avec bien sûr son sens aigu de l'absurde servi par une ribambelle d'idées qui relèvent de la psychiatrie - ou du sixième degré. Heureusement, je raffole de ce genre de choses, et quoiqu'on en dise, c'est déjà pas mal. Mais qu'est-ce que ça pourrait être mieux si le tout était un peu plus soigné... A bonne entendeuse...

Nayla
12/07/2007 19:02
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Je suis une artiste incomprise


Surtout préssée pour le coup mais enfin bon. Disons que j'avais pensé que le côté pas retouché ne serait pas si pénalisant. Tant pluiche !
DarkShadok
15/07/2007 16:58
Ménestrel
"Mais je suis funky!"

C'est frais, c'est vivant... aaah ça bouge!
Ce texte part un peu dans tous les sens, mais il n'est pas dénué de poésie, saupoudrée d'absurbe (oui, oui, d'absurbe, et de brocolis).
Nayla
15/07/2007 22:02
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Ahhh Mon seul admirateur
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