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Joute 17 - Commentaires du texte E
(Sujet créé par Nayla l 09/04/07 à 23:02)
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Vous pouvez ici commenter ce texte, mais veillez à ne pas faire de supposition ou d'allusion à l'auteur, encore dans l'anonymat. les resultats tomberont bientôt.



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Maneero
19/03/2007 17:42
Immortel
Mettra un jour fin à l'humanité

Texte E
Un prix à payer

C'est une horrible nuit de mars qui s'annonce. Une nuit blanche de lumière mais une nuit dépourvue d'étoiles. Toute la journée, de lourds nuages violacés ont envahi le ciel. Des nuages à la panse gonflée de trombes d'eau glaciale, et chargés d'une promesse d'éclairs roses et blafards. Des nuages venus de l'Ouest et par delà les terres de cet océan maudit. Depuis plus d'une heure le jour décline et les premières gouttes de cet orage imminent viennent de s'écraser sur mon pare brise.


Alors que la pluie se fait torrentielle, je m'engage dans l'allée de ma propriété. Ma maison. Une vie de travail acharné a été nécessaire pour l'obtenir. Une vie de travail acharné et de lutte contre la folie qui me guette à chaque instant. Alors que j'éteins les phares, le premier éclair frappe la campagne, à quelques lieues d'ici. La forme noire et massive du manoir se découpe dans la lumière blanche et écoeurante. Je remonte le col de mon manteau et me décide à parcourir les quelques mètres qui me séparent du perron en courant.



Enfin chez soi, et au sec. Cette pluie m'a gelé jusqu'à la moëlle. Un plongeon dans de l'eau brûlante me fera le plus grand bien. Lentement je gravis les deux étages qui me séparent de la salle de bains. Une si grande maison. Tant de richesses accumulées durant de toutes ces années. Voilà un an que je consomme et savoure ma retraite dans ma belle demeure. Un an à déguster lentement ma fortune. Largement suffisant pour me rendre compte de son goût amer. Celui d'un thé trop longtemps infusé. A quoi bon avoir vécu cette horreur qui me taraude depuis quarante ans, à quoi bon en avoir gardé le secret comme un trésor précieux, si c'est pour en récolter seul les fruits? Et crever comme un rat dans un trou doré. Peut être que ce sacrifice de mon temps, de ma vie, de ma santé mentale, et de la seule amitié sincère que j'aie jamais partagée était bien vain. Peut être...


Peut être pas après tout. L'eau chaude remplit ma baignoire aux pieds griffus dorés à l'or fin. Une belle pièce. Elle m'a coûté cher. La fortune a un prix J'éclate d'un rire étrange en me glissant dans les bulles. Un rire que d’aucuns qualifieraient de démentiel... Je me laise couler sous l’eau. Dehors, la foudre tombe, de plus en plus proche.


Mais on frappe à la porte. Des coups sourds et un peu trop violents à mon goût. Qui ose venir déranger mon repos? Sûrement un de ces villageois jaloux. Irrité, je suis tenté de faire la sourde oreille mais l'intrus insiste et frappe de plus en plus fort. Il va finir par abîmer le verre délicatement travaillé de ma porte. Et d'ailleurs, pourquoi ne sonne-t-il pas? C'est curieux, mais ça me rappelle quelque chose. Je sors de mon bain, m'habille sans hâte, et me couvre d'un peignoir de velours rouge sombre. Dans le long couloir qui mène à l'entrée, je n'allume pas les lampes. Inutile de rendre la maison chaleureuse. Ainsi, le malotru se rendra peut-être compte qu'il me dérange.


J'ouvre lentement la porte, et découvre un petit homme vêtu d'un large capuchon. Je le gratifie d'un glacial :

« Que puis-je faire pour vous? Si c'est pour les oeuvres du village, j'ai déjà donné. »


L'inconnu ne bronche pas. Intrigué, j'essaie de découvrir son visage à la faveur d'un éclair, mais si son manteau ne l’avait pas déjà dissimulé à mes yeux, l'ombre de la maison aurait suffi à celer son identité. Je regrette à présent de ne pas avoir fait plus de lumière dans l'entrée. Mon visiteur ne bouge toujours pas, mais j'ai la désagréable impression que lui aussi scrute mon visage. Mon agacement est sur le point de se muer en colère. Soudain, l'homme sort de son mutisme:

« Samuel Danner? »

Interloqué je recule d'un pas... Samuel... Ce prénom n'a pas été utilisé depuis bien des années. L'homme profite de mon trouble pour gravir la dernière marche qui le séparait du seuil. Je me ressaisis et rétorque sèchement:

« Ce sera Lord Danner pour vous, Monsieur... Monsieur?

- Lord Danner? Eh bien on ne se refuse rien... » L'importun éclate d'un rire sinistre... Et sa voix... cette voix! Je n'en ai jamais entendu de pareille, à la fois éraillée et gargarisante. On jurerait que des bulles d’un liquide visqueux lui emplissent la gorge. Et pourtant cette voix est fluette, une voix de jeune homme. On dirait… Non.



Je déglutis péniblement.

« Que… que voulez vous ?

- Parler avec Samuel Danner, bien sûr. Oh pardon. Lord Danner. »


La raillerie est presque palpable dans sa voix gluante. Je devrais être furieux, mais il ne me reste qu’un petit résidu d’énervement, mêlé de curiosité et surtout de terreur. Oh non, le petit bonhomme dégoulinant ne me fait pas peur. Je m’étais simplement juré il y a quarante ans de ne plus jamais me montrer curieux. J’ai toujours su que cela n’apporterait que des ennuis, mais Flint… Oh Seigneur ! Je m’étais également juré de ne plus jamais évoquer ce nom, même en pensée. L’orage s’intensifie et semble ne plus vouloir jamais s’arrêter.



« Eh bien, entrez donc ! »

Il me semble apercevoir un sourire dans les ténèbres de son capuchon. Je mets un instant à comprendre. J’ai encore reculé de quelques pas, et l’inconnu a franchi la porte. Mon invitation à entrer est déjà obsolète. Je sens la colère sourdre à nouveau dans mes veines. Comment ose-t-il ? Et comment ai-je pu me laisser troubler au point de laisser ce malotru pénétrer chez moi ainsi ?

« Hum eh bien, puisque vous êtes déjà entré, il ne me reste qu’à vous débarrasser de votre manteau.

- Inutile. Allons nous asseoir.»



Je l’emmène au petit salon. Sans attendre d’y être invité, l’homme s’installe sur mon meilleur fauteuil en chintz. Consterné, je regarde son manteau ruisselant ruiner mon mobilier. Un éclair vient illuminer la pièce. Le tonnerre roule à travers les marais proches. Le grondement est à présent continu. Sale temps. Je me tourne vers mon « hôte ». J’allume quelques lampes afin de donner à la pièce une lumière plus constante et moins sinistre que celle de la foudre. Et qui sait ? Peut être que cela me permettra de voir enfin le visage de mon visiteur parasite. Mais l’ombre jetée par son manteau paraît vouloir absorber toute lumière, et l’homme semble regarder avec intérêt les motifs de mon tapis persan. Quel sombre secret dissimule-t-il sous son capuchon ? Non, je ne veux pas savoir. Plus de curiosité. Jamais.

« Il est tard. Je ne vous propose pas de thé. »

Qu’il me dise ce qu’il veut de moi, et qu’il aille au diable !




L’étranger doit lire dans mes pensées car il me lance, sans autre forme d’introduction :

«Je suis venu vous questionner à propos de la Baie de Kröhon ».



Mon sang se glace. Atterré, je m’assieds dans un fauteuil, face à lui. Ainsi donc, même les secrets les mieux gardés finissent par être ébruités… Mais comment ? Inutile de mentir. Cet homme SAIT, sinon il ne serait pas venu jusqu’à moi, jusqu’ici… Les voix se font à nouveau entendre dans ma tête. La Richesse… La Mort… Vivre avec le secret… Tel est le prix…

Ma foi, je peux peut être essayer d’éluder ses questions. Plus vite il sera parti, plus vite je serai soulagé. Plus vite ils se tairont.



« Que voulez vous savoir ? Toutefois je crains de ne pas vous être d’une grande utilité. J’ai vécu seulement mes jeunes années à Kröhon, et celles-ci sont bien loin maintenant. Le temps qui passe ne vaut rien à ma vieille mémoire…

- Je n’ai pas été assez clair, je crois… Je voudrais en savoir plus sur l’origine de votre fortune… »


Convoitise… la Richesse et la Mort … Convoitise… C’est donc, ça… Cet impudent petit moins que rien ne veut que la Richesse ! Mais comment a-t-il su ? Après tout si c’est ce qu’il veut, rien ne m’empêche de lui raconter la Légende de Kröhon. S’il veut payer le prix… Le Prix… la Richesse et la Mort… Après tout peut être qu’il commettra la même folie que moi… que nous. Peut-être que je serais libéré de ces voix. Et de Tom Flint. Danner… Me laisse pas! Danner ! Samuel !

Ces voix soufflent sur feu de la folie qui couve en moi. Ses flammes deviennent ardentes de démence et de haine. Elles dansent au rythme cadencé de la foudre qui tombe sans relâche, à présent.



« L’origine de ma fortune, hein… J’ignore qui vous êtes, jeune homme, mais vous avez manifestement entendu parler de la Légende, n’est ce pas? Vous savez ce qui se raconte chez les jeunes gens de Kröhon ?

- En effet. Je viens moi-même de Kröhon… Ce pauvre village de pêcheurs perdu entre les falaises de la baie. Un trou sans avenir. Mais il semble que vous ayez eu le même raisonnement il y a quelques années et que cela vous ait réussi.


- Oui et non. Sachez que la richesse a un prix. »

Ma voix se fait plus basse, et grondante. J’ajoute, à moitié pour moi-même : « Trop élevé, peut être. »



« Je n’en doute pas. Néanmoins, parlez moi de votre… réussite. »

J’hésite un instant. Sa voix révèle son jeune âge, même si elle est étrange et lugubre. Après tout, il me ressemble peut être beaucoup. J’étais jeune et arrogant moi aussi. Moi aussi je voulais quitter Kröhon… à n’importe quel prix. Trop élevé ? Sans aucun doute. Mais c’était l’idée de Flint, pas la mienne. Et maintenant je suis maudit. J’ai payé trop cher, trop longtemps. Il est temps que cette malédiction tombe sur quelqu’un d’autre. Il n’aura que ce qu’il désire après tout. L’orage ponctue ma décision d’un éclair plus violent que les autres.



« Soit. Nous sommes assez semblables finalement. Je comprends vos motivations, je vais donc vous… aider. J’avais près de 17 ans le jour où mon meilleur ami est venu tambouriner à ma porte. Selon lui, il avait trouvé le moyen de nous sortir de Kröhon. Les pêcheurs parlaient beaucoup à la taverne de son père. Ils parlaient d’un endroit maudit au-delà de la falaise Ouest. Un maelström géant où on entendait des voix. On racontait qu’il s’agissait de l’endroit où la mer se vide, et que ce tourbillon ouvrait sur la porte des enfers… J’imagine que vous connaissez tout ça, n’est ce pas ? Mais la veille, Flint avait entendu un nouveau récit, celui du vieux Mar’ch. Sa barque avait été emportée par le courant près du tourbillon, bien plus près que de raison. Les voix s’étaient faites plus claires. Le vieux Mar’ch les avaient entendues parler de richesse et de convoitise, et de lui enjoindre d’approcher. »



Je m’interromps dans mon récit… Richesse… Convoitise… Richesse et Mort sont le prix à payer... Je dois convaincre ce gosse d’y aller. Je ne veux plus les entendre… Je ne veux plus ! J’ai près de soixante ans… mais j’ai l’impression d’en avoir le double… le triple… Laissez moi en paix !. Le tonnerre est assourdissant, ma tête tourne. Je parle plus fort, en partie pour couvrir le bruit, mais aussi parce que je me sens comme exalté... Il est temps d’en finir.




« Je me suis laissé convaincre d’y aller. Il faut dire que Flint n’était pas du genre à se laisser décourager par les racontars sur une éventuelle malédiction. Quant à moi, la promesse d’une vie meilleure et de richesse suffisait à me donner du courage. La nuit tombée, nous avons « emprunté » une barque au port… Nous nous sommes approchés du trou… c’était plutôt… terrifiant… Il semblait n’être ouvert que sur un vide infini… Mais les voix, elles étaient là, si… belles, en un sens. Elles nous promettaient la richesse si nous venions à elles et si nous voulions bien en payer le prix. Elles ont tenu parole, comme vous voyez…

- Qu’est il arrivé à Flint ? »

La Mort et la Richesse sont liées… tel est le prix… Un sourire dément se peint sur mon visage. J’essaie de lui donner un air aimable, craignant que mon visiteur ne se méfie.

« Eh bien... il a eu sa part…

- Sa part… hum… » La voix gargouillante du jeune homme, devient plus sèche et plus cassante. Elle a également… eh bien… quelque chose de bizarrement familier. Les voix… Elles reviennent, mais pas seules. Les images viennent s’y superposer, visions de cauchemar éveillé. Voilà pourtant plus de trente ans que je suis parvenu à les chasser… Les mains vertes et visqueuses qui empoignent Flint et l’entraînent dans les flots rageurs. Les visages décomposés de jeunes gens qui hurlent sous la surface de l’eau depuis des siècles et des siècles et leurs regards sans yeux qui me transpercent. La voix et les plaintes de ceux qui comme nous se sont laisser attirer par la promesse d’une richesse incommensurable…

Mais quelque chose cloche… Si ce jeune homme veut devenir riche pour quitter Kröhon, que fait il ici, à l’autre bout du pays, au fin fond de la campagne et loin de tout océan maudit ? Et comment m’a-t-il retrouvé ?




« Votre sens du partage est bien étrange, Lord Danner... »



Le prix à payer… La Mort… la Mort… Je comprends soudain. Mon interlocuteur doit l’avoir remarqué car il rejette enfin son capuchon en arrière. Ses vêtements dégoulinent toujours autant que lors de son arrivée, ce n’est pas normal, mais à présent cela n’a plus d’importance. Son visage putréfié et gonflé d’eau de mer apparaît dans la lumière d’un dernier éclair. L’orage s’éloigne. Tout est fini. Enfin. Les voix se taisent, apaisées, puisque je vais les rejoindre.



Je t’accompagnerai puisque tu m’as retrouvé, Flint, mon ami. Je t’accompagnerai une nouvelle fois. Là où la mer tombe.

Murmure
31/03/2007 10:40
Maintenant je suis vraiment un maître.
Recrue Lige à la poisse légendaire !

Là j'ai bien aimé, même si ça ne se passe pas dans un contexte médiéval comme je les aime. La tension est palpable, ça va crescendo. L'homme qui ne montre pas son visage parvient à installer une atmosphère de doute, renforcée par les pensées du perso principal. Un très bon texte donc. Un seul reproche toutefois : on voit venir la fin, c'est un peu dommage.
Phèdre
01/04/2007 00:52
Novice
Maintenant Multi d'Emin (à compter du 4 novembre de l'an de grâce 2007)

Ces voix soufflent sur (le) feu de la folie qui couve en moi. Ses flammes deviennent ardentes de démence et de haine. Elles dansent au rythme cadencé de la foudre qui tombe sans relâche, à présent.


Voilà je n'ai pas de remarque très constructive à faire, à part peut être la même que Murmure... Je me contenterais seulement de communiquer ma profonde admiration (si si) pour l'auteur de ce texte, j'ai vraiment pris grand plaisir à le lire c'est vraiment bien écrit et s'il avait fait 90 pages j'aurais surement passé une heure à le lire sans décrocher tellement j'apprécie cette écriture fluide et l'originalité de ce personnage. Vive la prochaine joute que je puisse lire d'autres textes de toi ! (J'exagere vraiment pas j'ai lu des bouquins publiés pas aussi bien écrits que ça !!)

Ah oui ps, le quote, j'ai vraiment bien aimé cette phrase !

(J'espère qu'avec mon commentaire j'incite ceux qui n'ont pas encore lu ce texte à le lire parce qu'il le mérite vraiment !)
Mara
03/04/2007 19:02
Novice


j'ai beaucoup aimé,
c'est tout.
tu écris très bien!
Nayla
09/04/2007 23:02
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Commentaire du Jury :

Efficace, mais le texte manque de précisions sur le pourquoi de la mort de Flint et le marché passé par Danner (s'il s'agit bien de cela). La réflexion sur la richesse et sa contrepartie... oui, pourquoi pas, même si on peut lui reprocher d'être assez banal finalement. Nous avons là un conte horrifique certes classique et sans surprises, mais écrit dans un style fluide et très agréable. La fin est peut-être un peu prévisible, on la sent venir. Probablement rendu à la hâte, comme en témoigne les quelques fautes qui le parsème, cela ne parvient cependant pas à entâcher le plaisir que l'on éprouve à le lire. Les personnages sont travaillés, le déroulement des choses aussi, c'est pas mal. L'histoire est intéressante, intriguante, et nous tient en haleine jusqu'au bout. Bien présentée et bien racontée, parsemée de métaphores bien senties qui ajoutent encore à une ambiance angoissante particulièrement soignée, ne manque que du relief, le côté trop prévisible de l'histoire désamorçant complètement l'effet recherché dans les moments de tension. Voilà qui donne envie d'en lire d'autres.

Caldazar
12/04/2007 23:26
Le Blob attaque !

Juste une question géographique :
Est ce que le "charmant" () village de Kröhon est situé pas loin d'Innsmouth ?
Parce que je trouve un coté fichtrement Lovecraftien à ton texte
Peut être simplement au niveau de la peur de l'eau et de l'atmosphère, mais j'ai beaucoup aimé
Pin'shae
13/04/2007 09:17

Aielle ayant soumis un Champion.

Bouh!
Bah... euh... merci! Les compliments me vont droit au coeur (notamment le post de Phèdre, j'étais toute rouge en le lisant ), même si ils sont un chouia au dessus de la réalité. Caldou, grand merci pour le coté Lovecraftien, ca me fait rudement plaisir, et je mentirai si je disais que ce n'était pas [au moins un peu] voulu.

Avec le recul, je suis complètement d'accord avec le jury (et Murmure), on sent venir la fin . Ca fait deux textes d'affilée qui ont ce défaut... C'est vraiment un point que je devrais travailler, peut-être en commençant à écrire mes textes avant la date limite . J'ajoute que ce texte n'est pas exactement celui que j'avais en tête, j'aurai voulu y mettre plus de flashbacks et peut être un personnage supplémentaire. En tous cas c'était l'idée de départ.

En tous cas, je suis très contente que ça vous ait plu
Nayla
13/04/2007 19:47
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

je suis complètement d'accord avec le jury


Enfin une qui a compris comment on obtient des points
hybrid
29/04/2007 23:50
errante......

Un très bon texte. Je n'ai rien à dire de plus que les autres, l'écriture est fluide et claire, on ne butte pas sur les phrases ni sur les mots. Il y a quelques fautes, mais elles sont rares (deux ou trois, je crois, et on sent plus que c'est plus de la faute de frappe qu'autre chose). Tu arrives à créer une atmosphère sans passer quatre jours à nous détailler l'environnement...
Bien quoi
L'angoisse est bien là, malgré que l'on devine assez rapidement qui est cet homme qui se cache et comment va terminer l'histoire, mais en ce qui me concerne, ça ne m'a pas freinée dans ma lecture.
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