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Commentaire du texte H : Boafy (13)
(Sujet créé par Zacharias l 26/04/06 à 19:28)
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Zacharias
26/04/2006 19:28
Ménestrogier

Boafy de Nayla

Sur les marches… les marches… Pfff ! Je sais pas moi…euh… Ah oui ! Ils organisent des ‘processions’ là… Des trucs bizarres… Arf faudrait que je me documente. Mais je peux pas aller au Réservoir à Connaissances à cause de mon âge, mais si je…Bon. Faut compter que sur soi-même ici. Humf. Que sais-je donc au juste ? Sur les ‘marches’. Eh ! Je me souviens d’un truc… Maintenant que j’y pense, c’est aussi une sorte de bâtiment en dur là… Oui le Maître a dit « tu prendras garde, les chemins sont nombreux, et torves » oui j’y suis ! C’est ça qu’il voulait dire ! Ca ressemble à nos Echelles à nous mais… en différent. C’est tout dur… Et puis…
Boafy laissa échapper sa plume, qu’il tenait mollement de la main : Un Balajahalah venait d’entrer en trombe dans son Recoin, sans prendre la peine de frapper.
Il avait l’air affolé, il était encore plus jeune que Boafy, la figure rouge et le souffle court, il se vida d’une traite :
« - Vite ta mère et deux autres sont bloqués sur les marches de ‘l’Eglise’ – Il prononça mal ce mot qu’il ne connaissait pas vraiment – au centre du village ! »
Il repartit aussi vite qu’arrivé, sans doute pour avertir d’autres personnes.
Boafy était blême. L’espace de trois secondes, il avait même arrêté de respirer. Il vibrait désormais d’une folle angoisse. Puis soudain, un déclic. En un bond il fût hors de son Recoin, il se précipita. Il descendit en hâte l’Echelle menant à terre.

Il ne savait qu’approximativement où se trouvait ‘l’Eglise’, car ce village bien que considéré comme petit par les humains, semblait immense pour les Balajahalah. De plus, il n’avait pas été souvent à l’espiondage, étant donné son jeune âge.
Pendant que ses jambes s’emballaient, ses doigts s’agrippèrent à son pendentif qui tombait sur sa poitrine et à l’heure qu’il est, faisait un boogie-woogie des plus scandaleux. C’était une sphère en flak (équivalent de l’étain) habilement travaillé. Les ornements étaient si fins, si harmonieux, Boafy passait des heures à s’y extasier. Son contenu, qui grelottait à l’intérieur, était un mystère. Il était sensé le protéger et lui donner du courage. Le secret ne pouvait être percé qu’en brisant la boule, car aucune fissure, aucun éclat, n’offrait la possibilité de l’ouvrir autrement : elle était d’une seule pièce. Sa mère le lui avait offert il y a quelques années, et c’était l’objet le plus cher à ses yeux.
Il parvint à un carrefour. Déjà épuisé, Boafy se permit une pause, le temps de s’orienter et de reprendre son souffle. Dressé comme un chien de prairie, il analysa les détails, les relia à des éléments dans son esprit. Une grande perche éclairante ici… avec au pied cet animal maléfique niaiseux –Boafy ne les supportait pas– qui miaulait d’un air exaspérant, une patte avant et arrière cassées, il ne bougeait jamais de là, vivant de l’aumône des clauchards. C’était somme toute, un parfait point de repère : il indiquait, par sa position dans le carrefour, telle une girouette affriolée, le nord, le sud, l’est et l’ouest. Boafy hésita un instant… tout droit ou à gauche ? Puis ses jambes s’emballèrent à nouveau, espérant ne pas faire erreur, à gauche. Il croisa une boémienne qui l’envoûta au passage de ses grands yeux suprémaciens. Il ne saisit que quelques mots, car ses pieds ne pouvaient s’arrêter : « …danser la Mariana ? C’n’est vraiment pas très compl… ». Heureusement elle ne l’avait pas vu et s’adressait à un passant. Boafy jonglait entre discrétion et rapidité, se cachant le plus possible.
Il déboucha enfin par une longue ruelle tortillante sur une place. A sa gauche trônait ‘l’Eglise’. Son cœur galopa à la vitesse de l’étincelle. Dans un recoin, à l’ombre d’une ‘marche’ justement, se tenait deux petites formes étranges. Replètes, d’une peau rude, presque écaillée, à reflet vert, vêtu extravagamment, et dotées de tête rieuse (d’habitude) recouvertes d’une abondante chevelure extrêmement fine, et particulièrement étrange, elles se serraient l’une contre l’autre. Leurs cheveux ondulaient comme un tissu, mais semblait être en même temps liquide. Quant à leur couleur, dans l’ensemble, ils n’en avaient pas, et les avaient toutes. En réalité, elle changeait. C’était une particularité de la nature : Elle changeait par rapport au visionneur, et par rapport à l’arrière plan de la créature. C’était un grand avantage quand on était un peuple observateur comme celui des Balajahalah.

« - Maman ? tu … ça va ? que se passe-t-il ?
- Qu’est-ce que tu fais là toi ? Tu te mets en danger pour rien. As-tu une Autorisation ?
- Euh… non. Mais on m’a dit que tu étais coincée ici et…
- Tais toi ! Tu vas retourner tout de suite à ton Recoin et poursuivre tes devoirs !
- Mais Maman !
- Ne discute pas ! »
Boafy commençait à partir… Mais non. Il n’en pouvait plus, il devait parler : il gueula.
« - Tu me considères comme moins que rien ? Pour qui me prend tu ? Ce n’est pas parceque je suis jeune, que je n’ai pas atteint l’Âge, que je ne suis pas capable de réfléchir, que je ne suis pas digne d’amour, ou que je ne sois pas capable d’amour ! J’étais inquiet ! Je suis venu ! Maintenant j’aimerai savoir ce qui te retient ici, toi et les autres !
- … Tu… Boafy…
- Je veux savoir !
- … Soit. Une ‘petite’ humaine nous a regardé. Elle est partie depuis, mais nous ne pouvons bouger. Nous avons trahis le Serment de l’Obi, notre Esprit à tous.
- Non ! Je … Alors c’est ça la Punition Absolue ? Mais… Comment peux tu t’en sortir ? Je ne sais pas… Y a-t-il un …remède ?
- Non justement.
- Je … ! Ce n’est pas possible ! Il… il FAUT trouver quelque chose !
- Ecoute Boafy. Je reçois ton amour, et je m’en satisfait pour vivre. Accepte le. Bientôt le Chef sera là, et il nous tuera toutes les trois. Ce n’est pas grave Boafy, une vie, tu sais c’est éphémère. N’ai pas peur, je t’aime moi aussi… Je … J’aurais voulu… Enfin ce n’est pas grave. Tant pis.
- Mais…
- Ecoute moi Boafy. Tu sais tu ne dois jamais baisser la tête. Garde toujours ce collier autour de coup, et tu vivras longtemps, avec des enfants et…
- Maman ! Mais on PEUT faire quelque chose ! Et si… et si je te cache avec un tissu, je me met devant toi, on te verras pas ! ou bien… On peut te dissimuler avec euh un tas de feuilles ! les gens ne te verront plus ! Il y a forcément une sollut…
- Ca suffit ! Tais toi. TU ne sais pas de quoi tu parles. Si c’était aussi facile, penses-tu ! Mais c’est compliqué, de nombreuses choses sont en jeu. Et en premier lieu, notre devoir, notre honneur… Nous avons permit à cette fille de nous voir… c’est impardonnable ! Nous avons dévoilé notre existence ! Pense un peu aux conséquences ! Notre pacte est clair : Nous pouvons les observer, à la condition de ne jamais, JAMAIS, être dévoilé. Nous avons failli… C’est notre faute et la punition est trop faible. Ils devront user d’énormes moyens, et au prix de gigantesques efforts pour que cette fille ne parle à personne, ils ont du aller directement chez elle. Il faut qu’elle oublie, et vite. Les enfants sont si rapides, imaginatifs… pfff. En tout cas n’oublie pas Boafy ! N’ôte jamais, sous aucun prétexte ce pendentif ! C’est compris ?
- Je… euh… »
Boafy entendit les Balajahalah arriver. Il sentait l’agacement, la consternation et la colère immenses, entremêlés, dans l’air, c’était palpable. Il tourna la tête pour les voir, ils étaient là dans deux secondes et demi.
« - BOAFY ! Promet le moi ! Tu entends ?
- Je.. oui Maman ! je le promet ! Je … MAMAAAAAN ! »
En un bref éclair, une fraction de seconde, elle n’était plus là. Elle avait disparu. Il se retourna, et se vit confronté aux visages graves des vieux Balajahalah.
« - Petit, tu ne devrais pas être là. Retourne immédiatement au Feuillage. »
Boafy se tourna pour voir une dernière fois où sa mère se trouvait juste là il y a quelques instants… Ses larmes ne s’arrêtaient pas. Il se rendait vaguement compte de son humiliation, mais la douleur et le chagrin l’emportait. Il n’entendait plus rien. Les humains d’existaient plus, plus rien ne comptait, il ne savait plus où était la mer, la terre, le ciel… Il… Perdit connaissance.


Quatre jours plus tard, Boafy se reveilla. Il vit une grand lueur blanche et puis plus rien. Soudain il ouvrit les yeux et le monde chavira. Il était vivant. Il n’en avait pas envie, mais il l’était bel et bien. Il respira plusieurs fois. L’ombre d’une infime partie minutieusement oubliée d’une pensée, avança à petit pas feutrés dans son esprit, menaçant déjà l’immersion… Il se prit en main. Il ferma les yeux, s’imagina une énorme machine et repoussa la pensée tout au fond, au lointain fond de son esprit. Il ne fallait pas y penser. Pas maintenant. Il ouvrit les yeux. Son Maître était à son chevet. Il le regardait avec un sourire bienveillant, ce qui était rare. Rien que par cette image, le cœur de Boafy s’en trouva un peu mieux. Mais ce mouvement rappela une douleur, vite, vite, vite écartée.
« - Alors mon garçon, comment te sens-tu ? Tu sais que tu nous as fait une sacrée peur !
- ahhghthgtuhgfh
- Bois un coup, je comprend rien. »
Il lui tendit un verre de nectar d’arbre. Boafy bu d’une traite, et se senti mieux d’un seul coup.
« - Ca va à peu près. Que… Pourquoi suis-je au lit ?
- Tu es tombé sans connaissance figure toi !
- Sans connaissance ! Mais !
- Ah ben oui mon garçon, ça arrive ! Mais tu es encore tout pâle. Bois un autre verre de nectar et puis rendors toi. Demain tu descendras à terre pour ta leçon.
Il poussa un grand soupir de vieil homme fatigué. La petite créature serrait inconsciemment son pendentif dans ses mains. Le sommeil vint rapidement.

Il marchait sous les étalages de légumes au marché humain. Les senteurs l’enveloppaient, et le faisaient chavirer. Il adorait les tomates. Quand soudain, au détour d’un cageot de haricot, il vit… Il vit sa mère. Son cœur s’arrêta, ses pieds aussi. Puis il prit une grand inspiration et s’exclama :
« - Maman !?
- Oui mon petit… Ce pendentif est plus précieux que tu ne le crois. Il te lie à moi. Mais c’est l’unique fois où tu pourras me voir dans tes rêves. Je voulais juste dire… Boafy… n’oublie jamais que… tu comptes pour moi plus que ma vie, plus que la lumière du jour, et ma force te servira, à travers cette boule en Flak autour de ton cou.
- Oh maman ! Moi aussi je…
- Au revoir Boafy ! »
Elle s’effaça lentement, laissant un sourire presque magique, persistant dans la mémoire.

Quand il se réveilla, il vit qu’il était déjà en retard. Il se dépêcha de s’habiller, manger quelque chose et filer à sa leçon avec le Maître.
« - Mais si tu t’avises encore une seule fois d’arriver en retard, mon garçon, je te pend par la peau des fesses au Monticule Central ! Prend garde ! Ce n’est pas un jeu l’Espiondage. C’est un art. Et d’ailleurs, comme tu le sais, tu ne dois pas te rendre dans le village humain sans permission de ma part, comme tu l’as fait l’autre jour ! Et tu recevras d’ailleurs pour cela une petite punition.
- Mais …
- Tut tut tut. Point de mais avec moi mon enfant. Maintenant, on va à la salle des herboristes. Nous avons besoin de quelques petites choses pour aujourd’hui. Allons ! Ne traîne pas. Et ne fais pas cette tête là avec moi mon garçon !
- Rrrr. »
Le Maître partit avec un sourire : il avait retrouvé son élève grincheux.


Quelques mois plus tard, il devînt un remarquable Observateur. Cela était sans doute dû à l’ensemble étrange qui constitue souvent le cœur des Balajahalah, au point qu’on les caractérisaient ainsi : Une douleur étonnement grande mêlé d’une formidable et inépuisable gaîté, qui leur donnait une force incroyable. Certains disaient que ce mélange avait un nom commun : l’Amour.
Nayla
26/04/2006 19:45
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

(oui je me suis autocritiqué, eh ben quoi ? )

Texte H : Boafy

Il manque pas mal de chose à ce texte. Le cadre spatio-temporel en tre autre est assez peu présent. Si, assez pour suivre l'action à peu près bien, mais des indices supplémentaires ne serait pas de trop. Il faudrait peut être develloper un peu ce monde de Balajahalah... Et puis même, au niveau de la syntaxe, c'est un peu baclé. Surtout vers la fin, comme si elle avait été moins revue. C'est là aussi que le récit se désuniformise, se désharmonise un peu. Certaines choses seraient à reprendre, car elles sont incorrectes, ou peu précises, ou carrement mal dites. Je parle au niveau de la ponctuation, entre autres, mais aussi au niveau du choix des mots, et que sais-je encore ? Un des plus long, il reste tout de même assez léger à la lecture : ce n'est pas un truc prise de tête, ça détend. (quoique)
Elora
27/04/2006 14:26


On retrouve avec plaisir l'univers original des Balajahalah (obligé de faire un copier -coller pour pas faire d'erreur ). Le style est toujours aussi léger et plein d'entrain

Mais, comme tu le dis, il n'a pas été assez soigné pour être vraiment tres bien.

Mis à part ca, ca reste toujours un plaisir de te lire.
Nayla
27/04/2006 15:35
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Merci
Owyn
28/04/2006 08:25
Fantôme gaidin
Admin

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé les... *copie-colle...Gnn, vala* Balajahalah et leur univers étrange et sympathique. Le texte est agréable à lire, drôle, mais aussi touchant, j'ai même ressenti un petit pincement lorsque la mère de Boafy disparaît. Et le point de vue Balajahalah (décidément c'est pratique le copié collé^^) est franchement rafraîchissant.
On voit cependant que tu n'as pas vraiment eu le temps de fignoler. Le premier était plus harmonieux. Là, on ressent quand même quelques petites discordances et c'est dommage.
Mais bon, ça ne m'a pas empêché d'apprécier ce texte, où se mêlent humour et émotions.
Nayla
28/04/2006 18:48
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

où se mêlent humour et émotions


Comment ça me fait plaisir ça !

C'est exactement ce que je recherche Le prenant teinté d'humour qui casse un peu le rythme, mettre le lecteur dans une espèce de terrain instable... Ca me plait (aussi parceque je trouve que ça 'déchire' quand je le trouve dans ce que je lis, vois... )

Et oui encore un texte envoyé à 'l'arrach'' Mais je prendrais peut être le temps de le fignoler par la suite... à mes prochaiens vacances

Je ne pense pas que je reprendrais les Balajahalah (ouais ! du premier coup) dans la prochaine joute, parceque c'est un peu de la 'triche' quoi... Enfin ça m'empeche pas d'apronfondir mon ptit univers dans d'autres textes Il me plait vraiment (c'est rare ça, très rare!) alors je vais vraiment garder cette piste pour mes prochains coup d'inspirations

Kror
29/04/2006 11:07
Pourquoi remettre à demain ce que l'on peut faire le sur-lendemain?

A l’image du 1er volet des Balajahalah, ce texte est bon ; mais peut-être pas autant que le précédent (celui de la Joute 12). Effectivement, j’ai été un peu déçu, peut-être parce que je n’y retrouve pas la même profondeur…
Sinon, il est agréablement bien écrit, d’une façon assez simple, et je ne dirais jamais assez à quel point j’aime la simplicité de la plume!
Malheureusement, on y trouve aussi bon nombre de fautes, dont certaines sont peut-être faites exprès (« extravagamment » par exemple). J’aime bien aussi l’idée d’inventer des mots propres aux Balajahalah, comme « l’Espiondage », mélange d’espionnage et de sondage.
Les passages en italique sont là où il faut, quand il faut, et permettent de mieux « comprendre » cette race imaginaire que sont les Balajahalah.
Le moment de la séparation obligatoire entre Boafy et sa mère est très bien réussi et exploité. On ne peut empêcher d’apparaître un sentiment de compassion quand on lit ce passage.
La chute est elle aussi bien trouvée.
Enfin, un bilan plutôt positif, même si je peux aussi te reprocher d’avoir par moment voulu faire trop bien et trop vrai : je parle des bafouillages et des onomatopées (« Pfff », « Arf » ou encore « Humf ») par exemple au début, qui sont vite lassants.

Point(s) fort(s):
Les sentiments que font ressortir ton texte.
L’idée de la mort par le châtiment des Balajahalah dès qu’ils sont vus par les humains, ainsi que l’idée du pendentif.
Point(s) faible(s):
Les fautes d’orthographe.
Nayla
29/04/2006 14:16
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Tout d'abord, merci pour la peine


Ensuite...

je n’y retrouve pas la même profondeur…


Je peux l'expliquer (et c'est pas une manière de ma justifier, mais comme tu as été déçu, j'essaie de te faire comprendre les raisons ) tout simplement par un manque d'inspiration. Ce texte m'est venu difficilement, par petits bouts, péniblement. J'ai eu quelque idées, que j'ai essayer de raccrocher au texte... Mais je n'avais pas un véritable 'message' à faire passer, comme dans le précédent (qui me tenait beaucoup plus à coeur, de ce fait).

on y trouve aussi bon nombre de fautes


Euh c'est possible qu'il y ait des fautes, mais... Pourtant il me semble y avoir fait un minimum attention... Peux-tu me citer des exemples, si ça ne te dérange pas ?

dont certaines sont peut-être faites exprès (« extravagamment » par exemple). J’aime bien aussi l’idée d’inventer des mots propres aux Balajahalah, comme « l’Espiondage », mélange d’espionnage et de sondage.


Alors là, t'es fort

J'aime bien 'inventer' des mots, mais le plus souvent je ne fais que les détourner . Il ne faut pas m'en vouloir. Pour le « extravagamment », eh bien je ne sais pas si ça existe dans le dico ou pas, mais... par dépit de ne trouver aucun adverbe pour exprimer l'extravagent... hein, eh ben je l'ai ajouté, pis voilà
Ensuite pour « l’Espiondage » , re !!! Je suis une génie sans le savoir Au risque de te décevoir (une fois de plus), ce mot vient de mon enfance : Mon frère et moi partions parfois à « l’espiondage » de ... mes parents, les chevaux d'en face, les canards... Bref Il vient d'ailleurs de mon frère je crois. Bref, rien à voir donc Je l'ai mis par fantaisie ! Mais j'avoue que ta définition n'est pas à jetter à la poubelle, je la trouve même interessante !

voulu faire trop bien et trop vrai


j'avoue que je ne vois que peu le sens de tes mots ^^

je parle des bafouillages et des onomatopées (« Pfff », « Arf » ou encore « Humf ») par exemple au début, qui sont vite lassants.


re re !!! Ca c'est parceque tu me connais pas En 'vrai', au téléphone, sur msn, et même sur le forum, je n'arrête pas ! Il ne faut pas m'en vouloir, encore une fois, mais c'est vrai que ça peut être moche à la longue, je vais tenter de faire un effort, pour mes prochain textes

hybrid
02/05/2006 18:17
errante......

J'ai bien aimé ton texte, j'avais déjà lu le premier volet (même si je n'ai pas commenté... *pars me cacher*) et j'avais bien aimé aussi. J'avais trouvé ça vraiment original comme idée, et là... bin j'avoue que comparé au précédent, j'ai été un peu déçue... mais il était tout de même très agréable à lire. J'adore les histoires complètement farfelues, avec des mots inventés et pleins de choses bizarres... donc là, rien qu'avec les *m'efforce d'écrire le mot sans copier-coller* "Balajahalah" *gagné * j'étais contente.

Les Arf, humpf et autres ne m'ont pas gênée, au contraire, je trouve que ça rend ton texte plus réel (je connais peu de personnes qui parlent sans jamais prononcer un "euh" ou un "humpf" ou aucun "mot parasite"). Et puis ça évite les tournures trop compliquées qu'on a du mal à comprendre. Au moins le "humpf" tout le monde le comprend


Et pis le passage avec sa maman....... sniiiiif...

Sinon pourquoi tu parles si peu des autres Balajahalah *yes* coincés avec la môman de Boafy ?

Vite ta mère et deux autres sont bloqués sur les marches de ‘l’Eglise’


Tu les décris vite fait et d'ailleurs, un peu plus bas tu marques :

Dans un recoin, à l’ombre d’une ‘marche’ justement, se tenait deux petites formes étranges


Je suis pas douée en maths, mais il me semble que maman de Boafy + 2 autres = 3... alors pourquoi "deux petites formes" ?

Bon bon j'arrête^^ (en fait c'est surtout parce que je n'ai plus rien à dire)

Nayla
03/05/2006 14:52
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Merci

Sinon pourquoi tu parles si peu des autres Balajahalah *yes* coincés avec la môman de Boafy ?


J'avoue qu'ils faisaient office de figurants

maman de Boafy + 2 autres = 3... alors pourquoi "deux petites formes" ?


Quand je l'ai écrit je me suis demandé qui le remarquerais

je savais que je faisais une erreur, mais ayant la flemme de corriger, je me suis justifiée en me disant qu'une ombre pouvait en cacher une autre
Kobiwan
05/05/2006 11:24
Allez hope !

A moi
Alors la première chose que j'ai aimé, c'est retrouver cet univers, comme les autres, plein de subtilité amusante. Il est bien trouvé, cohérent, et m'est assez plaisant. Le début de l'histoire est plutôt sympa, ça coule, c'est fluide, on lit ça pour se détendre et ça marche.
J'ai été en revanche un peu déçu par l'évolution du texte. Plutôt dans l'idée principale d'ailleurs. Cette mère, là. Je ne la trouve pas très originale et arrivant un peu "comme de l'huile sur le feu". Et plus je relis le texte, plus je me dis que ce qui me dérange, c'est que cette histoire ne va pas avec le monde dans lequel elle se déroule. Du moins selon moi. C'est que j'aurai eu envie d'autre chose, de rester dans un univers douillet, alors que là, ... ben je sais pas, ça sort du cadre. Je pourrai aussi reprocher le manque de relief, mais ce n'est pas "dérangeant". Et aussi, peut-être un peu de précipitation dans la rédaction, peut-être qu'un hurluberlu t'as un tant soit peu "déconcentré" pendant que tu écrivais à une heure somme toute tardive
Enfin, ce texte m'a dans l'ensemble détendu, bien que l'évènement principal m'est déçu. Mais ce n'est que mon avis
Nayla
05/05/2006 17:51
Jadis, Aes Sedai de l'Ajah Verte.
Gniéhéhé

Merci

Bon alors pour la mère... En fait, j'avais pas d'idée tellement et... Me fallait une "action" quelquonque, un truc perturbateur quoi, car c'est une des leçons que j'ai retiré des joutes. Cette idée n'était peut être pas très bonne, bon, ça m'a permit de fournir unt exte, j'estime que c'est déjà pas mal, mais tu sais à la base, ça m'emballait pas plus que ça

arf, j'ai l'impression d'être une star qui a déçu ses fans là, c'est horrible

peut-être qu'un hurluberlu t'as un tant soit peu "déconcentré" pendant que tu écrivais à une heure somme toute tardive


Tiens donc !

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