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Ce matin-ci, j’avais sérieusement faim. Je trottinais, comme à mon habitude parmi les Gens, ces grandes personnes si étranges… Je me cachais de-ci, delà, pour ne pas qu’on me voit. J’allais en direction de la maison des Cruzh. Depuis quelques temps, je suivais leur histoire. Il y avait cette petite fille, Narghy. Je dis « petite », mais c’est bien sûr une jeune fille. A vrai dire, je ne peux pas tout à fait dire qu’elle est petite : sa taille est la mienne multipliée par cinq ou six. Narghy était touchante. Elle était très vive et perspicace. Elle devait avoir à peu près 15 ou 16 ans, d’après ce que j’en avais compris, et à mon avis, avait plus de bon sens que la plupart des « adultes » comme ils disent.
Cela faisait déjà quelques années que je m’étais mis à la contemplation féroce et scrutativement curieuse de cette espèce si imposante, si petite et si grande, si magnifique et si laide. Ce que j’aimais le plus, c’était les scènes d’ émotions (ce terme s’appliquent chez les Gens, dans mon peuple, cela se dit « grahihy » ). Ces moments où ces êtres si neutres laissaient surgir un peu de leurs essences de cœur , les vrais sentiments qu’ils enfouissent loin en eux.
Je m’arrêtais près d’un étal, une pomme rouge était tombée par terre. Je la ramassais, tirant sur mes reins douloureux et je la calais dans mon giron. Je continuais en vacillant sous le poids de la charge. Après quelques minutes où je peinais sérieusement, j’arrivais enfin tout près de mon poste d’observation. Je déposais la pomme dans un coin, après en avoir détaché un morceau à l’aide d’un caillou. Enfin, je m’installais, marchant vigoureusement, m’étouffant presque. Mais je m’arrêtai brusquement.
Narghy avait un air étrange sur le visage. Elle était assise sur son lit et regardait pensivement son tapis à rayures jaunes et noires. Je n’en étais pas tout à fait sûr, mais je crois qu’elle pensait.
Cette fille, je le savais, prenait des cours de « théâtre ». Bien sûr ce genre de choses n’existe pas chez les Balajahalah ( prononcer [x] ) alors j’avais beaucoup de mal à cerner la cause de cet engouement insensé. J’avais déjà mis au point plusieurs hypothèses. La première, celle qui vient tout de suite chez un Balajahalah qui se respecte, c’est qu’il y a un garçon qui lui plait. Seulement, j’étais bien évidemment allé vérifier, je n’avais trouvé qu’un espèce d’individu à peu près masculin et surtout doté d’une étonnante laideur. Il est vrai pourtant que les goûts des Gens ne sont pas ceux de mon peuple, mais enfin pour cette fois… La seconde hypothèse, était à peu près aussi recherchée : Elle n’a pas une santé mentale des plus excellentes. Là, je ne pouvais vraisemblablement pas vérifier. Mais cela ne me satisfaisait pas. La dernière était donc bien plus recherchée, et pour cause, elle m’avait coûté une inaptitude avec ma femme, au moins pendant deux soirs. J’avais passé ce temps à réfléchir ( j’ai été pardonné, mais pas facilement… ). Et le fruit de cette dure privation était donc : Elle s’enthousiasme inattenduement. Mais le Cher Lokolmse ( philosophe Balajahalah ) que je suis devenu depuis lors, a approfondi : Lorsqu’elle est née, sa mère l’a éjectée. Le bébé s’est tapé la tête contre le mur d’en face. Ce mur contenait des pierres antiques datant de l’apogée de Rome donc encrées d’un grand passé. Ce même mur, à l’hôpital, avait été modernisé pour ne point laisser passer cette faille temporelle : il était peint en jaune vif, recouvert de petits bonhommes à l’air niais et de grosses fleurs multicolores, probablement destinés à amuser les enfants ( les Gens pensent bizarrement ). Narghy avait atteint justement le plein milieu d’une grosse fleur (bien visé maman). Cette fleur s’était inscrite dans son cerveau avec un soupçon d’Antiquité : Voilà toute la base des éléments, voici l’ élément perturbateur . Ensuite, c’est assez facile à imaginer, elle avait grandit avec une fleur antique dans la tête, cela perturbe forcement. Sachant ceci, on ne peut plus être surpris par un comportement si inexplicable. Mais tandis que je poursuivais ma rumination autant mentale que buccale, je fus surpris de voir surgir à côté de moi Blibol, un vieil ami à moi, portant la sagesse d’une longue vie de Balajahalah sur ses épaules.
« - Tu as tout faux. Je suis venu parce que je sais que ça te turlupine. Tu vas être interessé je crois. »
Inutile de préciser que mon excitation fût immédiatement secouée.
Il laissa encore un silence avant de me révéler :
« - Narghy revient d’un de ses cours de…
- « Théâtre », fis-je.
- Oui… Elle a eu une révélation. C’est assez drôle d’ailleurs.»
Il sait beaucoup de choses, Blibol, et surtout, il sait interpréter .
« - Tu sais, elle devait aller à son premier cours avec ce nouveau groupe… de…. adultes. Elle est arrivée… Elle ne s’est pas sentie bien tout de suite, mais cela est venu au fur et à mesure. Mais, chose étrange pour des Gens, elle a observé (c’est l’Antiquité ça, pensais-je). Exactement comme nous avec eux. Mais ce n’est pas le meilleur. Je crois qu’elle avait passé une sorte de « seuil » dans son âge, par rapport à… ah c’est si compliqué chez les Gens ! Elle n’est plus la même qu’il y a quelques temps, je pense que c’est ça. Et comme elle observait ces personnes plus vieilles –enfin, pas autant que moi, évidemment !-, elle s’est aperçue… tiens-toi bien… -tiens-toi mieux !- que ces personnes… avaient gardé cette jeunesse, enfantillage, oui enfantillage en eux. Ou plutôt… retrouvé C’est du moins son impression. Et je crois que ça l’a fascinée. Regarde sa tête, fit-il en désignant de sa petite main à travers la vitre Narghy, on dirait une patate ouverte avec deux trous. Tu aurais du la voir quand elle sortait de son… théâtre , elle avait des yeux… on aurait cru voir le firmament en entier, dans deux ronds soudain redoublés de volume. Mais elle souriait. D’un sourire innocent, savoureur, étonné, songeur. Je pense même que cette découverte –cela doit être la première fois qu’elle s’en rend compte- lui a fait revenir cette âme enfantine, je ne suis pas sûr, ou bien elle a prit conscience qu’elle la retrouvera un jour… ou qu’elle ne l’a jamais perdue… ou encore que tout son travail pour bannir d’elle-même ce côté là, sera vain, puisque inévitablement cette âme la retrouvera, de la même manière qu’elle deviendra « adulte ». Mais je ne suis vraiment sûr de rien, qui sait ce que pensent les Gens ? »
Je restais pensif, observant cette fille, Narghy, toujours assise sur son lit. Mon morceau de pomme était inactif, dans ma main retombée.
TEXTE B: Les Balajahalah SCENARIO: Alors là… merci pour ce joli moment ! Bravo . Que dire ? Rafraîchissant, drôle, touchant, optimiste ! Ce texte ne présente pas de trame de scénario à proprement parler, il est à la fois une tranche de vie et une réflexion sur les retrouvailles avec soi-même (ou plutôt, les retrouvailles avec son âme d’enfant par le biais du théâtre). Personnellement, ça ne me pose aucun problème, mais je reconnais que c’est là un exercice périlleux, car ça risque de ne pas plaire à tout le monde. Moi, ça m’a plu .
Une bonne dose d’humour vient faire un pied-de-nez au thème sérieux de la retrouvaille avec soi-même (son enfance), et le cocktail est séduisant. En lisant ce texte, j’avais le sourire tout du long, et ce sourire s’est transformé en ricanement jouissif en lisant le passage décrivant le bébé qui se fracasse le crâne contre le mur à sa naissance. Un moment de pur délire ! Attention, cela aussi peut être dangereux car ça peut ne pas plaire à tout le monde mais après tout… écrit-on vraiment dans l’unique but de séduire le plus grand nombre ? Vaste débat que celui-ci… Lors de ma première lecture, j’avais trouvé le lien avec le thème imposé des retrouvailles un peu tiré par les cheveux. Et puis finalement, je me dis que certes l’interprétation du thème était osée, mais on reste tout à fait dans le sujet.
Par contre, il y a un petit souci de rythme narratif : le Balajahalah ramasse une pomme au pied d’un étal et l’instant d’après il se retrouve à observer Narghy qui est assise sur son lit ? Ce n’est que quelques paragraphes plus loin qu’il est mentionné que les deux Balajahalah sont derrière la vitre. Avant cela, j’ai cru que le Balajahalah s’était téléporté dans la chambre de la jeune fille. Il aurait peut-être fallu éclaircir un peu ce point…
PERSONNAGES : Lors de ma première lecture, j’ai ressenti une petite frustration : mais qui sont ces Balajahalah ? comment interagissent-ils avec les « Gens » ? les Gens connaissent-ils l’existence des Balajahalah ? Mais en relisant… je me suis dit « après tout, je m’en fiche ». Et ça, c’est fort : nous avons deux… euh… bestioles dont on ignore tout et qui se fondent parmi les humains pour les observer, et finalement en savoir plus sur eux ne servirait à rien, peut-être même que ça gâcherait le plaisir. Que cela reste comme c’est, personnellement mon imagination a fait le reste .
J’ai bien aimé aussi l’interaction entre les deux Balajahalah, en peu de phrases on arrive à se faire une idée des relations qu’ils entretiennent.
Quant au personnage de Narghy, il est entièrement vu par le regard des Balajahalah, et je trouve que c’est une réussite.
STYLE : Bon, je ne peux pas non plus passer mon temps à faire des compliments, il fallait bien que ce texte pèche quelque part, non ? Il y a plusieurs points qui, à mon sens, pourraient améliorer le style.
Tout d’abord, DZE gros problème, c’est le problème d’unité temporelle. On passe sans cesse du présent au passé, et ça casse beaucoup la fluidité du style. Il y a aussi une très grosse confusion sur l’emploi des différents temps du passé : attention à ne pas confondre le passé simple et l’imparfait, ces deux temps ne s’utilisent pas dans les mêmes conditions et surtout, ils peuvent donner un sens totalement différent à la phrase !
Un autre souci, c’est la structure du texte : où sont les paragraphes ? Les paragraphes sont, à mes yeux, essentiels : ils aèrent le texte, permettant ainsi d’en faciliter la lecture, mais aussi pouvant aider à donner plus de force à certaines phrases et plus d’intensité à certains mots. Cette nouvelle a une forme surprenante : en gros, on a un énorme bloc, suivi d’un tout petit bloc de deux lignes. Je dois dire que c’est assez décourageant pour l’œil, et au prime abord ça ne m’a pas donné envie de lire ce texte.
Cà et là, quelques tournures maladroites et quelques soucis de musicalité (répétition de mots au sein de la même phrase, par exemple) cassent également la fluidité du style.
Quelque chose qui m’intrigue : Bien sûr ce genre de choses n’existe pas chez les Balajahalah (prononcer [x]) . Uh ? Prononcer [x] ? Kesako ???
Orthographe : Bon, il y a quelques fautes, essentiellement de conjugaison, mais dans l’ensemble ça ne gâche pas la lecture .
Un petit point de détail (je sais, je pinaille) : dans une nouvelle, les chiffres sont à écrire en toutes lettres, et non en chiffres (Elle devait avoir à peu près quinze ou seize ans).
LE POINT FORT DE CE TEXTE : La fraîcheur et l’optimisme !
Par contre, il y a un petit souci de rythme narratif : le Balajahalah ramasse une pomme au pied d’un étal et l’instant d’après il se retrouve à observer Narghy qui est assise sur son lit ? Ce n’est que quelques paragraphes plus loin qu’il est mentionné que les deux Balajahalah sont derrière la vitre. Avant cela, j’ai cru que le Balajahalah s’était téléporté dans la chambre de la jeune fille. Il aurait peut-être fallu éclaircir un peu ce point…
Oui ! Alors là, en fait c'est une pure flemme de ma part. A la fin, je me suis en effet rendu compte que je ne l'avais pas situé, mais dans ma tête c'était clair, il était devant une fenêtre à raz de terre comme ça arrive parfois, et il voit en contrebas à travers la vitre. L'autre arrive par surprise euh .. je ne sais pas comment Il était déjà tard, et j'ai eu une honteuse flemme de réctifier.
personnellement mon imagination a fait le reste
Tu es une bonne lectrice
Tout d’abord, DZE gros problème, c’est le problème d’unité temporelle. On passe sans cesse du présent au passé, et ça casse beaucoup la fluidité du style.
Oui j'ai toujours du mal à me fixer et je ne sais jamais si ça peut être compatible ou pas... Alors j'essaie de faire à l'oreille, mais mon oreille doit être faussée
Il y a aussi une très grosse confusion sur l’emploi des différents temps du passé : attention à ne pas confondre le passé simple et l’imparfait, ces deux temps ne s’utilisent pas dans les mêmes conditions et surtout, ils peuvent donner un sens totalement différent à la phrase !
J'en ai fait la reflexion dans un commentaire sur un texte d'un ami ^^
En fait, j'aimerai si possible, que tu me donnes des exemples. Ca m'aiderai à percuter le problême... Parceque là j'avoue... Je saurais pas comment mieux faire.
Un autre souci, c’est la structure du texte : où sont les paragraphes ? Les paragraphes sont, à mes yeux, essentiels : ils aèrent le texte, permettant ainsi d’en faciliter la lecture, mais aussi pouvant aider à donner plus de force à certaines phrases et plus d’intensité à certains mots.
Ah ben oui, ça tu viens de me faire percuter quelquechose là ! En effet... Hum !
J'y ai pas pensé (ça se voit ), mais en y reflechissant, c'est vrai que les paragraphes me donnent l'impression qu'ils doivent avoir une espèce de formule d'acroche qui justifie un nouveau paragraphe, et une fin qui justifie donc la fin de celui ci. Et c'est là que j'ai du mal ! Je pense un peu trop souvent que si je fesais des paragraphes, ce serait soit des gros moches, soit des petits maigres, tout aussi moche.
Mais j'y songerai !
Uh ? Prononcer [x] ? Kesako ???
Ce n'est qu'une annerie de ma part Je voulais mettre "(prononcez à l'espagnol)" (le J je parle) mais à la reflexion j'ai pensé qu'un Balajahalah ne pouvais raisonner comme ça, qu'il ne pouvait pas connaître l'Espagne et même l'idée qu'il y ait des pays tout ça... Donc j'ai cherché dans le dico et j'ai mit le signe phonétique correspondant Je me demandais si on allait comprendre... Personnelement j'aurai pas compris !
Orthographe : Bon, il y a quelques fautes, essentiellement de conjugaison, mais dans l’ensemble ça ne gâche pas la lecture .
Un petit point de détail (je sais, je pinaille) : dans une nouvelle, les chiffres sont à écrire en toutes lettres, et non en chiffres ( Elle devait avoir à peu près quinze ou seize ans ).
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je serai bref, Feldwyn comme d'hab a dit l'essentiel.
Bien écrit, très agréable à lire pour son humour entre autres. Bonne définition du théâtre.
je relève quelques formules qui m'ont fait sourire :
la contemplation féroce et scrutativement curieuse
ma rumination autant mentale que buccale
On aimerait continuer à fréquenter tes Balajahalah.
Comme Feld, j'ai été géné par une certaine incohérence au niveau du temps et du lieu. Il me semble que le texte n'a pas été suffisamment relu, peut-être.
J'avais aussi surligné en jaune 15 et 16 !
Pour l'emploi des temps du passé :
1) C'est soit imparfait/passé simple
Imparfait/ passé composé
Le passé simple est un temps écrit, le PC plutôt oral mais qu'on peut utiliser, à mon sens, dans un texte dont le passé n'est pas trop loin dans le passé, si tu vois ce que je veux dire
Le passé simple s'utilise pour des actions brèves et/ou achevées
L'imparfait pour des actions qui sont dans la longueur, se continuent pendant que se passe une autre action ou se répètent.
Ex: Le castor se mit (PS) à danser le menuet pendant que Zacharias soufflait (I) à s'en péter la sous-ventrière dans une cornemuse.
Soudain, Eltharion glissa (PS) sur une peau de banane.
La peau de banane gisait (I) depuis l'aube au pied de la Tour.
Tous les mercredis soirs, Eltharion faisait (I) un détour pour éviter le marchand de babanes.
Pourvoyeuse-de-Vent Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert
J’avoue que ma première lecture de ce texte m’a laissée perplexe, pour la simple et bonne raison que je n’y ai rien compris Je le trouve sympathique et surtout se détachant singulièrement des autres par son originalité et son côté amusant, mais je ne comprends toujours pas. Enfin, à partir du moment où on aime un texte, est-on obligé de le comprendre ? Je me le demande Toujours est-il que même après plusieurs lectures c’est resté assez flou (était-ce le but ou alors je ne suis pas très vive d’esprit ? ).
Bon, cela mis de côté (après tout ça n’a pas trop influencé mon jugement), comme je l’ai dit, j’ai trouvé ce texte vraiment original par rapport aux autres, rien à voir même ! Il y avait des passages aussi bien drôles que riches en émotions (« l’essence du cœur », j’ai adoré ) et inattendus, bref de tout. Tu as beaucoup d’imagination et une fraîcheur très agréable qui transparaît dans ton style et qui m’a énormément plue (comme souvent dans tes posts d’ailleurs ). Continue comme ça !
Ps : ah oui, j’ai relevé quelques erreurs d’expression (par exemple « scrutativement » qui n’est pas un mot français )
Peut-être que je suis lente d'esprit moi aussi, mais j'ai comme Isaeda eu un peu de mal à comprendre à la première lecture. Je pense que c'est principalement à cause du manque de paragraphes, c'est trop compact. Quelques phrases m'ont un peu gêné.
Cependant, c'est un texte que j'ai vraiment aimé, il est bien sympathique et joyeux.
Pourquoi remettre à demain ce que l'on peut faire le sur-lendemain?
Vraiment ce texte m'a beaucoup plu, principalement car il fait passer un message. Effectivement, dans certain texte, on a l'histoire, puis point. Dans le tien, c'est tout le contraire, il a un fond, il transmet quelque chose.
Je ne sais pas si c'est fait exprès mais un en plus si oui!
(Dans ce genre de commentaire je me comprends, mais il est possible que je sois le seul! )
Isaeda et Owyn, oui c'est sans doute du au manque de paragraphes, et peut être autre chose que je ne sais pas.
Scrutativemment, je sais bien que ça existe pas... mais c'était pour le fun, et puis je pense que tout le monde en a saisi le sens.
Kror, bien sur que c'est fait exprés tiens ^^Il est marrant lui ! Je vois pas comment pon peut mettre "un fond" comme tu dis, inconsciemment.
Enfin ça me fait tr§s plaisir