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Je suis Fëanor qui créa les Silmarils (comme ca je vois dans la nuit!)
La fête battait son plein dans le royaume sous la Montagne, à Erebor, pour le déjeuner.
Après que le festin se fut terminé, les Nains vaquèrent à leurs occupations habituelles, qui consistaient soit à se reposer, soit à digérer, ou encore à parler avec des cousins ou des amis.
Le calme regagna les cœurs, et il était environ 15h lorsque la peur glaça à nouveau les esprits.
Des tambours se laissaient entendre dans la vallée. Le son grave fut d’abord lointain et indistinct, mais devint bientôt plus audible.
On aurait dit qu’une armée foulait la terre, munie de bottes en pierre, ce qui parut tout d’abord aux Nains comme impossible.
Mais alors que tous se précipitaient aux fenêtres ou sur les murailles, on vit apparaître à l’horizon une foule noire, une masse informe d’individus immondes qui se rapprochaient dangereusement.
Bientôt, un Nain s’approcha à toute allure du mur extérieur et cria d’une voix forte et claire :
« -Préparez vous, frères, les armées d’Orques et de Wargs arrivent pour nous combattre. Ils pillent tout sur leur passage, et si nous ne nous défendons pas, nous finirons dans les assiettes de ces créatures !! Ouvrez-moi, et préparez-vous pour la bataille !! »
Le Nain Barleg était respecté dans toute la région, et l’on obéit très vite à ses paroles.
Chacun alla se préparer à la guerre, enfilant le plus vite possible cotte et habits, et prenant ses armes.
On laissa entrer Barleg dans la forteresse par l’unique et seule porte située à l’ouest.
On ne pouvait l’emprunter qu’après avoir marché sur une chaussée de plusieurs mètres, protégée par des meurtrières et autres surplombs construits par les Naugrim.
La forteresse était tenue par plusieurs milliers de Nains. Le mur d’enceinte s’élevait sur une hauteur de cinq mètres, et on aurait pensé qu’il était taillé à même la roche, tant la qualité du travail accompli était excellente. Jamais l’ennemi n’était parvenu à franchir la voûte de la première salle lorsque des défenseurs tenaient les murs.
Les armes étaient d’une grande finesse, conçues par le meilleur orfèvre que l’on ait jamais vu, élégamment sculptées et ornées de décorations diverses, dorées ou argentées. Les Nains ne portaient pas d’armure. Ils s’en dispensaient car leurs talents dans l’art guerrier étaient grandement développés.
Ils utilisaient généralement des cottes, certaines fois de mithril, et des vêtements en cuir serrés au corps. Sous le commandement de Dàin II Pied d’Acier, tous s’alignèrent sur le mur, munis de leurs haches.
Ce dernier les exhorta au combat en leur parlant de ses exploits. Ses soldats aimaient en effet que leur chef les mette en confiance, et le seul moyen que trouva Dàin fut de leur raconter la bataille d’Azanulbizar, au cours de laquelle il avait planté la tête d’Azog sur un pieu.
Tous regardaient les Orques et les Wargs, puis apparurent de gigantesques Trolls, mesurant deux fois la taille d’un homme.
Les étendards brandis portaient la marque de l’œil rouge de Sauron, et on commença à se demander pourquoi il venait faire la guerre jusque dans cette contrée éloignée de son royaume.
Mais pendant que tous murmuraient, l’espoir de feu qui brûlait en eux se dissipa avec le bruit de sabots venant au loin. On pensa que d’autres serviteurs du mal arrivaient, mais ils se trompaient tous car ces bruits provenaient des hommes de Dale, qui venaient renforcer les défenses d’Erebor. Certains étaient à pied, d’autres à cheval, mais tous étaient forts, fiers et grands, armés d’épées et d’arcs, de lances et de couteaux. Il passèrent à quelques centaines de mètres des Orques, et les contournèrent. Alors les Nains comprirent qu’ils devaient ouvrir leur porte aux nouveaux arrivants qui venaient se réfugier, et trouver une place forte à défendre. Dwalin et Dàin coururent en hâte jusqu’à l’entrée et accueillirent leurs alliés. Après avoir salué leurs hôtes, ces derniers, commandés par Brand, allèrent se placer sur les hauteurs pour ceux qui possédaient des arcs, et derrière la porte et à d’autres endroits pour ceux qui combattaient au corps à corps.
Alors entre chefs, il fut décidé d’envoyer un appel au secours aux Elfes de la Forêt Noire. Mais comment ? Par quel moyen ?...
Les deux Nains se souvinrent des corbeaux d’antan, et décidèrent d’envoyer un message par les airs. Ils savaient parler à ces oiseaux, et alors que l’un d’eux guettait quelques mètres au dessus, Dwalin l’appela dans un dialecte étrange, puis écrivit un mot en hâte, qu’il attacha à la patte du corbeau.
Il le lança dans un coup de vent, en lui parlant, lui ordonnant certainement d’aller vers la Forêt Noire, et de porter ce message aux Elfes. Tous espéraient qu’ils accepteraient de leur prêter main-forte, face à l’armée Noire et Rouge qui se faisait toujours plus grande devant leurs yeux ébahis.
Chacun retourna à sa place, sur le mur, pour tenir tête dignement face à l’envahisseur.
Les défenses étaient maintenant renforcées de plusieurs centaines d’hommes de Dale, et chacun avait espoir de remporter la victoire.
Les forces ennemies s’arrêtèrent à portée des arcs des Humains, et le grand chef Burzum s’avança. Plutôt massif pour une personne de sa race, il avait la peau sombre, et les yeux rouges de sang, ainsi qu’une armure délicatement forgée. Il maniait l’épée mieux que tous ses suivants et possédait un grand savoir sur ses ancêtres, tels qu’Azog ou d’autres encore.
Il alla jusqu’au pied du mur et parla dans le langage commun.
« -Voyez la grande armée que vous allez affronter. Vous savez que vous n’avez aucune chance. Rendez-vous, et nous épargnerons vos misérables vies !! »
Cela faisait environ une heure que le message avait été envoyé aux Elfes. En effet, l’armée adverse était longue à se mouvoir. Certains Wargs devenus incontrôlables tuaient leurs monteurs, ce qui posait des problèmes de coordination. L’Orque parla à nouveau :
« -De plus, je viens d’intercepter ce corbeau que vous avez envoyé il y a une heure environ. Il portait un message n’est-ce pas ? Je pense que le fardeau était trop lourd pour lui ! » dit-il avec un sourire moqueur.
« Il est écrit dessus : Vos problèmes ne sont pas les nôtres, tant que nous ne serons pas en péril. Débrouillez-vous, avec l’aide de vos murailles et de vos si belles armures. Nous, les Elfes, ne vous aiderons pas dans cette bataille. »
Burzum surenchérit : « Il faut croire que vous avez été abandonnés par votre dernier allié, mes amis ! »
Dàin bouillait intérieurement et aurait voulu décapiter cet Orque comme il l’avait fait pour son aïeul quelques années auparavant. Il lui répondit :
« - Si tu tiens à ta vie, va, sinon une flèche te transpercera ! Tu viendras m’affronter au plus fort de la bataille ! Et je te tuerai, avec tout le mépris que j’ai pour ton maître et ta race ! »
Le roi Nain contenait sa fureur, et il savait qu’il allait affronter Burzum durant la bataille.
Bientôt, le chef Orque monté sur un Warg défila devant toutes ses troupes, les encourageant au barbarisme, puis l’armée se mit en marche. Son mouvement résonnait dans toute la vallée, et elle avançait doucement, mais régulièrement. Certains portaient des arcs, faits de corne, d’autres de simples épées de qualité médiocre, mais tous avaient des corps différents : des crânes hydrocéphales, d’autres avec des bosses, d’autres encore avec des yeux déplacés ou une seule oreille, et toutes sortes d’horreurs que cette race pouvait engendrer.
Il n’y avait désormais plus d’échappatoire. Erebor était encerclée de toute part et la bataille était maintenant inexorable. Au loin s’élevait une fumée noire, et de grandes flammes. Dale avait été pillée, mise à sac et détruite. Après la désolation de Smaug, cette si belle cité pour laquelle il avait fallu fournir des efforts titanesques en termes de reconstruction, était maintenant réduite en cendres.
Alors le siège commença. Tous se ruèrent vers le mur d’enceinte : on voyait apparaître des échelles et autres outils destinés à prendre d’assaut une forteresse. Une première échelle fut hissée, puis une seconde. Dix Orques montèrent comme cela, et les tout premiers atteignirent la muraille, mais ils périrent sous les coups des haches à double tranchant des Nains. Cependant, lorsque les assaillants se firent plus nombreux, les défenseurs éprouvèrent plus de difficultés. En effet, ils étaient peu habitués à la défense d’un mur et l’ennemi arrivait toujours en plus grand nombre.
Le passage fut aisé pour les attaquants. On décida donc de se retirer pour attirer les Orques dans un combat de salle - les Nains y étant davantage à l’aise. Dàin, de sa voix forte cria la retraite vers l’intérieur, et en quelques minutes, tous furent à l’abri, couverts par les archers.
Ils purent reprendre leurs forces, mais le répit ne dura pas longtemps. Les deux Trolls observés auparavant avaient été appelés afin de détruire la grande porte. Des bruits sourds se laissaient entendre, mais elle tenait bon. Au dessus d’elle se trouvait un surplomb prévu pour assaillir l’ennemi si celui-ci tentait de détruire l’entrée principale, et c’est comme cela que de nombreux Orques furent tués, par des pierres, des flèches et différents projectiles.
La porte se fragilisait sous les coups, et l’on se plaça derrière elle, tandis que les hommes arrivaient en hâte, munis de leurs arcs.
La porte finit par céder et vola en éclats, emportant avec elle plusieurs Nains. Des Wargs se ruèrent sur eux pour les dévorer et attaquèrent tout sur leur passage. Les Nains reculaient sous leurs crocs et une première volée de flèches partit, tuant plusieurs de ces monstres. Alors, la hargne gagna les cœurs, et les Nains se battirent durement, lançant d’énormes coups, tournant et broyant ces immondes créatures, qui bientôt perdirent du terrain dans le couloir qui menait à la première salle. L’un des deux Trolls entra et balaya tout sur son passage avec sa massue. Tandis que dehors les assaillants recevaient des projectiles, à l’intérieur une nouvelle salve de flèches fut décochée, le blessant profondément.
Les Nains reprirent courage, vinrent affronter cette créature attaquée de toute part, et le tuèrent. Sa mort laissa la place à de nouveaux Orques et ce fut tel un combat de rue qui s’engagea.
Les défenseurs furent pris d’une furie soudaine et se déchaînèrent, gagnant à chaque seconde de nouveaux mètres sur les Wargs et sur les autres attaquants. Ils finirent par sortir d’Erebor en tuant tout sur leur chemin et n’épargnèrent personne.
Alors Brand, voyant que ses alliés allaient mourir dans cette sortie, les appela. Bientôt, tous furent encerclés. Ils semblaient voués à une mort certaine lorsque tout à coup, une puissante sonnerie de cor fit vibrer la montagne.
Une centaine de cavaliers avaient été laissés en retrait, sur une colline toute proche. Ils reconnurent immédiatement ce son, qui n’était autre que l’ordre de charge sur le flanc de l’ennemi, ce qui permettrait un repli. Les cavaliers savaient qu’ils se sacrifiaient en lançant cette charge désespérée, mais ils acceptèrent leur destin avec honneur et courage, à l’instar de leurs ancêtres.
Alors, le brouhaha de l’attaque laissa place aux hurlements des Nains, qui comprirent que ces hommes se sacrifiaient par leur faute. Mais ils ne purent prendre le temps de pleurer, et retournèrent à toute allure dans la montagne, tentant tant bien que mal de défendre la première salle. Celle-ci tomba malheureusement sous l’emprise de l’ennemi. Se retirer était le meilleur moyen pour ne pas perdre trop de troupes, d’autant que la porte conduisant à la deuxième salle était très résistante.
Le moral des hommes était de plus en plus faible, et Brand sentit qu’il devait le leur remonter. Il entama un discours, en criant et parcourant tous les rangs :
« -Frères d’épée, je sens que vous n’avez pas espoir devant cette armée immense, mais sachez que nous sommes les meilleurs guerriers de tout l’est, et que jamais un ennemi ne pourra nous chasser de notre bonne terre !! Prenez courage, et combattez avec bravoure ! »
Il y eut un éclat dans les yeux de ces soldats, qui admiraient leur chef et étaient sensibles à la confiance qu’il plaçait en chacun d’eux. Ce moment de joie laissa cependant place au silence lorsque le bruit omniprésent qui venait de derrière la porte cessa. Le sol se mit à trembler, inspirant la crainte à tous.
De nouveau la porte vola en éclats, et les défenseurs hurlèrent, ce qui eut pour effet d’effrayer durant un court instant les Orques. Puis après réflexion, ils se jetèrent dans la mêlée. Alors le combat fit rage : à chaque seconde des Nains, des Orques et des Wargs, mouraient. Le sol commença à être jonché de cadavres, et l’atmosphère se fit plus morbide. Des duels s’engageaient, les haches étaient brandies toujours plus haut, et tombaient toujours plus bas sur leurs cibles. Les Wargs firent une poussée vers l’intérieur des salles, mais une compagnie restée en réserve les massacra, redonnant ainsi l’avantage aux peuples libres, qui luttaient avec acharnement. Dwalin, Dàin et Brand, les trois chefs, combattaient côte à côte, et partout où ils passaient, ils semaient la terreur et détruisaient littéralement les flancs de l’armée. Là où il fallait du soutien, ils passaient et redonnaient espoir à leurs combattants. Mais l’armée adverse ne décroissait pas en volume, et toujours plus d’ennemis se déversaient dans les couloirs. Ils perdirent peu à peu du terrain et se replièrent dans la quatrième salle. Les Orques passaient maintenant par toutes les galeries, et on organisa de petits groupes pour les combattre : ainsi, une compagnie était envoyée dans l’une pour retenir l’assaillant, alors qu’une autre se chargeait d’un endroit différent. Le combat continua jusqu’au soir, car ce type d’affrontement donnait les meilleures conditions de défense possibles aux Nains. Ils stabilisèrent bientôt l’assaut, scellant toutes les portes secondaires menant aux salles, et tout en se défendant héroïquement, parvinrent à repousser l’ennemi.
Une décision capitale fut prise à ce moment : les chefs purent se réunir pendant quelques minutes, et décidèrent de s’enfermer dans la salle du trône, qui se trouvait au centre de tout. Les portes étaient solides, et durant ce temps, ils pourraient remonter le moral de leurs troupes et lancer une charge héroïque vers la sortie. Ce fut l’occasion pour Dàin de parler une dernière fois à ses soldats :
« -Mes frères, cousins et amis, je vous prie de ne pas perdre l’espoir qui de tout temps brûle en nous. Vous êtes effrayés par ces immondices, mais que pensez-vous de mourir sans honneur ! Ces créatures sont venues nous provoquer jusque dans notre pays, alors nous allons leur montrer qui sont les NAINS !! Brandissez vos haches, et combattez à mes côtés ! »
La porte se brisa, et de là se déversa l’armée. Dàin cria :
« -CHARGEZ !!!!!
Tous répondirent :
- POUR EREBOR !!! »
Et ils se lancèrent dans un dernier assaut. Malheureusement, au moment où Dàin allait fondre sur ses adversaires, l’un d’eux surgit et lui planta son couteau dans la jambe. Il répondit en lui lançant une hache, mais sa blessure était profonde. Il mourut sous les yeux de tous, qui en devinrent furieux. Les deux adversaires gisaient par terre, et tous combattaient sur leur dépouille.
Les peuples libres gagnèrent du terrain, mais après avoir repris plusieurs salles, leur courage et leurs forces s’épuisèrent à nouveau. Ils semblaient voués à subir le destin de leur chef, lorsque enfin dans le lointain, la sonnerie d’un cor de la race Elfique retentit. Tous reconnurent ce son mélodieux qui ferait oublier les milliers de morts qu’allait causer ultérieurement ce peuple.
Un Elfe à l’armure d’argent s’avança en haut d’une côte et brandit son épée. Il lança un cri et fut immédiatement suivi par ses guerriers. Ils s’élancèrent dans la vallée, et les Elfes, réputés meilleurs archers, balayèrent l’armée faisant face, puis bousculèrent ses rangs. Ils étaient de fins épéistes, mais pas en assez grand nombre. Ils attirèrent sur eux toute la foudre des ennemis, ce qui permit aux Nains de les poursuivre, puis d’éradiquer tous ceux restant dans le royaume sous la Montagne, pour arriver à l’air libre, et se lancer une nouvelle fois dans la bataille. Bien qu’ils fussent en mauvaise position, le chef des Orques ordonna le repli vers le sud, d’où ils lancèrent une attaque, pour revenir devant Erebor. Dwalin affronta Burzum. Au début ils s’observèrent, mais très vite se ruèrent l’un sur l’autre. Leurs armes se touchaient mais aucun ne blessait l’autre. Alors Dwalin saisit sa hache comme jamais auparavant et se lança de toutes ses forces sur Burzum. Il ébrécha son épée et le tua. Pour la mémoire de Dàin, il planta sa tête sur un pieu. Les Orques étaient encerclés, pris en tenaille, mais continuaient à résister. Leur fin sonna avec des rugissement d’ours : les Béornides arrivèrent sur la plaine de la bataille, et tous luttèrent ensemble jusque tard dans la soirée, afin qu’aucune créature ne puisse en réchapper.
Au petit matin les Béornides partirent, après avoir incinéré les corps ennemis. La tristesse gagna les cœurs, et pour oublier cela au plus vite, on se dépêcha d’enterrer amis, cousins et frères avec tous les rituels d’usage. Dàin rejoignit Thorin dans sa tombe, à l’issue de toutes les cérémonies spécifiques aux Nains.
Les Elfes vinrent s’excuser pour leur première réponse, qu’ils pensaient trop crue.
« - Nous sommes désolés de ne pas avoir accepté de vous venir en aide tout de suite, vous auriez perdu moins de frères. Mais lorsque nous avons réalisé que si nous ne nous étions pas tous unis, nous aussi aurions fini par périr, alors nous avons fait route jusqu’ici. »
Les Nains leur répondirent : « -Nous comprenons votre regret, et vous en êtes excusés, puisque sans votre arrivée in extremis nous ne pourrions vous parler à l’heure qu’il est. Merci à vous. »
Puis ils serrèrent les mains de leurs amis et à présent alliés, les Elfes. Ainsi furent-ils tous réconciliés.
Bon alors pour ce qui est du style je ne peut rien dire je n'y connais rien,par contre des Nains dans leur forteresse,comme batie dans la montagne et pas préparé a un siège?sans arcs sans machines de siège c'est surtout ça qui me parait pas réaliste mais j'ai quand même aimé la lecture,c'est juste en y réfléchissant que j'ai trouvé ça un peu bizare,mais je dois avouer que la description d'un siège durant plusieurs année ça doit pas être très palpitant.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
J'aime pas les Nains
La fête battait son plein dans le royaume sous la Montagne, à Erebor, pour le déjeuner.
Après que le festin se fut terminé, les Nains vaquèrent à leurs occupations habituelles, qui consistaient soit à se reposer, soit à digérer, ou encore à parler avec des cousins ou des amis.
Le calme regagna les cœurs, et il était environ 15h lorsque la peur glaça à nouveau les esprits.
TU dis que le calme regagna les coeurs, que la peur glaça à nouveau ... mais auparavant tu n'as parlé que de la fête, je ne saisis pas.
J'aime pas les Elfes non plus
Le style est plaisant, mais je me suis un peu ennuyé; dans une nouvelle la fin doit être plus inattendue
Je suis Fëanor qui créa les Silmarils (comme ca je vois dans la nuit!)
Pour les elfes, ce n'est pas de ma faute! Pour ce qui est de la fete, ce n'est que le début, donc pas besoin d'en faire tout un récit, c'est l'introduction...On fait la fete, on est joyeux, on se repose, et d'un coup on entend les tambours au loins ect...
La fin, c'est vrai que dans ce genre de nouvelle, elle est prévisible, puisqu'on sait que les Nains ont tenu le siège.