La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Gada, parceque Gada, molon, parceque molon. Il était une fois, un Gadamolon très... molon. Gada était tout petit, tout crochu, tout poilu, lustrucru, cru comme une vachelette ! Va, Chelette ! poil aux claquettes ! Il était morphondu dans le dû qu'il devu au Comtu du Tutu.
Ce Comtu du Tutu lui avait prété trois chaussures (parceque trois c'est un chiffre cool) pas très sûres, il y avait une dixaine de siècles (les molons sont des créatures fort lente, phorlantes, dit-on scientifiquement (poil aux cancans) mais pour eux le temps Pastrovitte est un phénomène assez étrange qu'ils ne saisissent pas tout à fait). Cependant il avait perdu les chaussures et ne lui avait donc rien rendu. Alors Tutu le Comtu avait entreprit de le poursuivre partout pour avoir son dû.
Du coup, Gadamolon, au cou très... molon, devait se cacher dans les serrures des portes. Or un jour un malicieu Malin eu la triste idée de crocheter la serrure où était Gada. Il en ressortit bien vite, et bien vite il en ressortit, avec un trou au ventre, une chaussure à chaque pied et une autre sur l'oreille gauche(elles venaient de se téléporter). Mais dans son malheureux déstin, Gadamolon, le molon très... molon, au cou très... molon ! fût mordu par le Comtu du Tutu et il pu enfu lui rendru son dû.
- Chroniques de Molon - Sure, Su Mujustu lu Rune des Molons
j'ai changé le titre, l'idée de chroniques me plait
Un texte que j'ai adapté un peu et qui a encore besoin de réctifications, mais je le met ici quand même comme ça ... enfin voila quoi.
à Althéa et Lirkae !
Don Juan Molon
Un jour, est né Juan. Don Juan. Parce que ses parents lui ont fait le don de juaner. Un magnifique don ! Des parents merveilleux ! Des Molons merveilleux même ! Et ils pouvaient se le permettre, ils avaient beaucoup plus de point de Don que la plupart des molons de Donville (à prononcer en fesant rebondir les sillyabes). Juan était petit. Ensuite il a grandit, et maintenant il est grand (pas trop, les molons, c'est petit comme créature). Mais il a une tare. Oui. Il est taré ! Oui, comme les Raies de l'île de Ré ! Mais heureux. Parce que si on est pas taré, on est pas heureux ! Alors un jour il a décidé de partir à l'aventure. Il est partit. Il a suivit la route prés de la rivière et il est arrivé a un carrefour. Et là, dans son indéscision la plus complète, il eut une envie. Et n'écoutant que ses envies, parce que la vie est faite d'envies parcequ'on est en vie et qu'on envie les vivants heureux, il se décida à accomplir son envie. Il alla prendre quelques cailloux sur le coin de la route et les disposa au centre du carrefour (parcequ'il positive) pour écrire en gros quelque chose d'insignifiant .... DOG. Et il dit à mi-voix : parce que j'aime bien les chiens.Et là un poteau volant atterit sur le carrefour, et effaça méchament le DOG de Juan. Tout contrarié, il regarda les cailloux éparpillés en fesant la moue et lança un regard méchant au poteau volant. Celui-ci eut un sourire éspiegle et avec une étincelle dan les yeux, rattrapa le regard méchant pour le lui renvoyer. L'instant d'après, il était derrière Juan et lui tapota l'épaule droite du deuxième doigt de la main gauche en partant de la gauche. Le poteau enfonça son vilain doigt dans son ventre. Et là dans un éclair de foudre, il pensa qu'il pouvait utiliser son Don, son don de juaner. Alors il prit son élan, fit un salto arrière et se posa, légèrement vascillant et des étoiles dans les cheveux, devant le poteau volant. Et là Juan juana. L'autre fut fort surprit, lui qui considérait Juan comme un gredin. Il s'arreta tout net (il avait une bonne lessive) et se gratta la tête. Juan, tout fier, lui fila une taloche. Mais comme il ne savait pas coudre, il fit une cagoule et s'en fut se perdre dans les bois mysterieux de la sombre vallée de la mort et des larmes que font sans fin surgir l'oeuvre du malin. Et puis là, il mangea, parcequ'il avait faim.
Finallement il décida de s'installer dans la forêt d'ombre mystérieuse des larmes du malin et il devint un redoutable Juan-des-Bois-Sombres. Il reva souvent de Peter Pan, même s'il préférait les westerns. Et il vécu taré mais heureux, révant de voler comme PP et de marcher comme un cowboy jusqu'à son humble mort.
- Chroniques de Molon - La Papillon Jaune
AN 44 (c'est à dire 33 + 11, parceque trois c'est un chiffre cool)
Rebondissante, une boule visite un village. S’approchant du marché aux puces, elle demande à l’une d’elles :
« - Faites-vous des rubans multicolores au parfum d’œillet ?
- Ah non madame, mais si vous insistez, j’en aurai.
- Je n’insiste donc pas ! »
Et la boule repartit en riant, laissant une puce coite. Un bond sur une pierre, un bon de travers, Boule atterrit dans les vestiaires du club de handball municipal et demande aux joueurs de rouler pour elle. Ils le font, par courtoisie. Ils ont tous un mouchoir dans la poche. Un pingouin débarque et caquète au nez d’un des sportifs. Celui-ci répond qu’il n’a pas de mouchoir, merci. Alors le pingouin, furieux, s’en va avec la Boule. D’habitude, elle n’aime pas les pingouins, mais elle supporte celui-là, par une raison qui lui échappe. On ne devrait jamais laisser les raisons s’échapper.
Une puce débarque avec un ruban multicolore au parfum d’œillet et déclame sur air de banjo enjoué :
« - La Boule et le Pingouin devinrent amoureux et fondirent une banquise en Amazonie. Mais ce qui étonnant, c’est que Boule était une molon. Et les molons n’aiment jamais personne d’autres que les molons ! Ce fut donc le début d’une grande famille de molons métisses. »
Chroniques de Molons - Sur les ronds d’amour
AN 22 (33 - 11 ! Parceque le 3, c'est un chiffre cool.)