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(Sujet créé par sylesis l 26/07/04 à 12:48)
non favori


Quand mon amour pour la nature et mon gout pour l'art anthropomorphique entrent en collision avec ma passion pour le cyberpunk et la SF, ca donne un résultat assez particulier. Une chose est sûre toutefois, je m'éclate comme une bête avec ce texte. Le texte n'est pas encore terminé ( là, je suis au début ... ) et je ne sais pas à quelle fréquence je pourrais le compléter, mais il ne restera pas inachevé .


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sylesis
26/07/2004 12:48
2 bras 2 jambes 2 roues

Taux d’adrénaline de la foule : maximal.
Estimation empathique : proche de l’hystérie.
Les dernières notes du virtua-synthé se perdaient dans l’oubli numérique de la Matrice alors que les masses connectées au Rézo poussaient une ovation à tout casser, et que s’achevait le concert.
Déconnexion.

Tandis qu’il débranchait le câble de son implant datajack, Donovan Rayleigh demanda un diagnostic instantané à son unité médicale qui lui confirma ce qu’il ressentait. Les heures qu’il venait de passer sur la Matrice en immersion totale l’avaient vidé de ses forces encore plus sûrement que s’il avait travaillé pendant un mois dans un bar de ChinaPort. S’approchant de la baie vitrée de son appartement situé au somment de la plus haute tour de la megacité Atlantis II, Donovan percevait déjà les effets réels de son concert virtuel. Un sourire découvrant ses canines se dessina sur son visage : son troisième appel à un retour aux sources avait eu l’impact voulu, et il demeurerait encore le sujet de l’adulation de ses millions de pauvres mélomanes avides de son talent pour un long moment !
Se détournant, il alla vers le bloc pharmacie et s’y prépara un cocktail léger de morphine et d’un dérivé de tétra-cocaïne, de quoi planer agréablement quelques heures. Une personne normale aurait déliré d’une telle concentration, mais étant donnée la fréquence à laquelle Donovan en faisait consommation, les effets étaient fortement atténués chez lui et n’engendraient chez lui qu’un agréable sentiment de paix profonde. Sa constitution générale n’y était pas pour rien non plus. Le mélange commençait justement à faire effet lorsqu’il s’enfonça dans un fauteuil confortable, tandis que le vieux soleil se couchait. Prenant la petite harpe qui se trouvait sur la table basse toute proche, symbole de son rang, il égraina quelques notes, tandis qu’il savourait son succès et se laissa aller à une douce rêverie.

A une époque ou la musique est reine, la carrière de prédilection des jeunes était bien souvent celle de star mondiale, et le jeune Rayleigh n’y avait pas échappé. D’un tempérament individualiste et volontaire, son statut d’orphelin de naissance avait depuis toujours accru son ambition et sa soif de gloire. Le fait que ses parents ne soient pas morts, mais l’aient abandonné avant de disparaître comme par enchantement avaient forgé en lui au fil des années une glaciale résolution et il avait juré d’éclipser ce manque d’affection parentale par l‘adoration inconditionnelle de la populace des mégacités. Il n’avait pas été placé dans un de ces centres gouvernementaux pour orphelins, mais avait vécu dés sa naissance chez une femme d’âge mûr –environ quatre vingt ans- à qui soit disant ses parents l’avaient confié. Elle avait tenté de l’éduquer comme le fils qu’elle n’avait jamais pu avoir, mais avec un succès mitigé, le jeune garçon étant presque entièrement tourné vers la réalisation de son but.
La musique étant l’élixir qui avait sauvé la Terre. Ressuscitée d’un retour à un âge du chaos après la guerre contre les Nathians - la première et seule forme de vie extraterrestre qu’avait rencontré l’humanité – le gouvernement mondial se révélait un extraordinaire mécène pour les artistes, et savoir jouer d’un instrument était une qualité très utile pour la progression sociale.
Au-dessus de toute cette masse se détachaient les élites, La Pléiade, ces artistes dont les qualités de composition et d’interprétation surpassaient de loin le commun des mortels. Ces hommes et ces femmes avaient le statut de maîtres ménestrels et étaient royalement entretenus par le gouvernement mondial. Leur nomination est simple : tous les musiciens professionnels sont référencés et participent constamment à une sorte de lutte de popularité. Les cinq artistes les plus populaires étaient proclamés Maîtres Ménestrel, et recevait une petite harpe comme marque de leur rang.

Lorsqu’il avait compris le chemin qu’il avait à suivre, Donovan s’y était appliqué avec ardeur et avait commencé à gravir les échelons, porté par son style inimitable, jusqu’à se retrouver propulsé dans les sphères qu’il visait, dés l’âge record de vingt ans. Dés lors, sa principale et unique occupation avait été de maintenir sa place dans l’élite, comme les autres élus : par exemple, Callista Aldébran avait pour habitude de paraître sur une scène de cristal posé sur l’océan Thétyr, habillée de voiles d’argent comme une antique prêtresse, et de chanter, sa voix transmise au monde par les micros de sa plate-forme marine. Egan Brysley pour sa part, n’était jamais aussi bon que dans l’enceinte d’un opéra gargantuesque, embrasant l’esprit par sa voix de ténor…
Chacun de ces virtuoses avait ses techniques et ses préférences qu’il entretenait avec passion. Rejetant les méthodes traditionnelles des quatre autres ménestrels, Donovan avait inventé son propre style. S’étant fait poser une broche jack dans la nuque, il avait trouvé dans le cyberespace une salle de concert à sa mesure et avait ainsi inventé la musique matricielle.

Le jeune virtuose avait eu l’idée de son style de musique alors qu’il parcourait les salons de discussion avec son ordinateur : sur l’un d’eux, une personne avait lancé une application musicale, et avait commencé à s’en servir en improvisant. Si la musique n’était pas d’une grande qualité, Donovan avait apprécié le coté irréel que le support (la Matrice ) avait donné à la composition. Quelque semaines plus tard, il avait programmé ses propres applications musicales, de manière à pouvoir les utiliser comme l’on joue d’un instrument. Puis il s’était poser une prise datajack dans la nuque, s’était entraîner à plonger dans la matrice en immersion totale, et avait finalement organiser un concert et s’était lancer dans l’ivresse de la musique, ne jouant pas avec ses doigts sur des touches ou des cordes, mais avec ses pensées sur des amas de bytes. Le succès avait été immédiat, et la foule l’avait acclamé aussi bien pour son originalité que pour la qualité de son interprétation.
Donovan Rayleigh 1 , le reste du monde 0 .

Après sa première diffusion, toutes les attentions avaient été tournées vers ce jeune virtuose provocateur qui refusait d’utiliser les instruments physiques pour privilégier les sons virtuels. Chacun se demandait s’il parviendrait à surpasser son premier spectacle…
Et il l’avait fait avec son retour aux sources, clamant que l’avenir de l’homme consistait à retrouver ses racines, de retourner dans les forêts, et courir à quatre pattes, la truffe - enfin le nez- au vent et à savourer la paix primitive. Non qu’il croyait vraiment à ces bêtises (c’était bon pour les néo-ruralistes), mais quelque chose en lui lui avait dit que c’était un filon à exploiter, et s’il devait son succès, c’était précisément à cette petite voix.

___________

« Hé merde, encore un de ces foutus flash-back à la noix ! ! Terminé, j’arrête la tétra-coc ! »

Les effets de la drogue commençaient à se dissiper, mais Donovan refusa pourtant de replonger dans ce monde restreint à quatre dimensions que symbolisait son appartement et chercha plutôt à tâtons un des câbles d’accès et se brancha : direction le cyberespace en immersion totale, sans escale !

La diffusion d’aujourd’hui était la troisième de ses concerts sur le thème, et avait été organisé de manière totalement spontanée, sur une saute d’humeur du jeune virtuose. Sans aucune publicité ni annonce, Donovan avait commencé à jouer de son virtua-synthé et à chanter dans un petit coin isolé de la matrice. Quelques jackers l’entendirent, et cela mit le feu aux poudres, conformément à ses prévisions : en moins d’une minute, près de cinq cent millions de câblés s’étaient rassemblés pour l’écouter, suivis de près par deux milliards de personnes dépourvues de l’implant matriciel qui avaient commencé à l’écouter par l’intermédiaire d’ordinateurs et de consoles à électrodes.

Satisfait, le musicien se débrancha. Le soleil étant couché depuis longtemps, il se dit qu’il allait suivre le même chemin, mais décida de faire un détour par la case pharmacie. Après l’excitation, il sentait encore la poussée d’adrénaline, malgré le mélange pris deux heures auparavant. D’un geste de connaisseur, Donovan mesura les quantités de psychotropes avec précision et se fit un comprimé à action lente, de quoi s’envoyer dans de jolis rêves roses pendant un moment.


[Chapitre deux]


Donovan s’éveillait, tandis que les fenêtres de sa chambre altéraient leur polarité afin de laisser pénétrer la lumière. Quittant son lit trois places, il se dirigea vers la salle, mais eu une surprise quand il se regarda dans le miroir. Selon l’artefact réfléchissant, le jeune homme possédait dans le dos, prolongeant la colonne vertébrale, une queue rousse à l’extrémité blanche.

« Illusion d’optique, rien de plus », maugréa t’il tandis qu’il tenta de toucher le membre surnuméraire afin de prouver son coté irréel.

Il sentit la fourrure sous sa main, et une sensation à un endroit dont il n’avait jamais eu conscience jusqu’alors.

« Ok, je plane encore méchamment, ca peut être que ca. L’autodiag va me le confirmer, et je vais retourner me coucher pour finir ce méchant trip. Une queue, franchement ! »

Malheureusement pour Donovan, l’appareil médical ne décela aucune traces de stupéfiants dans son sang. Pris de panique, il appliqua contre sa peau l’analyseur génétique de poche et lorsqu’il se mit à trembler, ce n’était pas en raison d’un état de manque : l’écran indiquait un pourcentage d’ADN non humaine, certes encore inférieure au seuil légal, mais en lente et constante augmentation.

« Je suis dans la merde ! ! », se dit t’il en se prenant la tête dans les mains.

Respirant un grand coup, il se força au calme. L’heure était à la réflexion, pas à la panique que diable !
La première chose à faire était d’identifier clairement la nature du corps intrus : si c’était une dégénérescence connue et non une mutation, ca pourrait être soigné sans souci, enfin sûrement. Dans le cas contraire, il faudrait aviser. Donovan se connecta au rézo, en ayant activé le mode de configuration de la personna : il se dit qu’il devrait être prudent sur ce plongeon, afin de me pas éveiller les soupçons : des années de paranoïa qui refaisaient surface. La configuration fut rapide, et le jeune musicien n’appliqua qu’un brouillage autour de sa représentation informatique, mais l’artifice était suffisamment complexe pour que seuls des jackers expérimentés puissent percevoir la véritable personna. Lorsqu’il fût prêt, Donovan lança une diffusion sur le tissu électronique de la matrice, demandant des informations sur une image, qui était en fait la visualisation de sa queue. Une réponse lui parvint juste après – la politesse des jackers n’était plus à démontrer.

« Salut fiston, ici le vieux Tim O’Deal. J’ai des infos pour toi, rapport à la petite image que tu as fait passer. Je comprends pas pourquoi tu persistes à brouiller ta liaison : vu la nature des données que j’ai déniché -- et j’ai tout choppé, crois moi p’tit -- , y a vraiment pas de quoi alarmer les mastars de Septième Ciel. Enfin c’est toi qui vois.
Bon, pour en revenir au sujet d’origine, voilà le topo : ton image est la queue d’un animal appelé Renard Roux, ou Vulpe Vulpes. Mammifère, quadrupède, c’t un canidé assez atypique car selon les spécialistes, sa mentalité est plus proche des félins que des autres clebs, mais l’est assez sympathique aussi, parait’il. On en trouvait pas mal y a quelques siècles, y compris aux abords des villes, mais après que ces foutus Nathians nous aient mis sur la gueule, ils ont presque disparus. Pourtant, il paraît qu’ils sont résistants, enfin ce que j’en sais… C’est les fichiers qui le disent. Sembleraient que maintenant on puisse en trouver que chez les néo, mais ca m’étonne pas du tout de la part de ces pecno qui vivent tous dans des maisons en bois : tout l’espace qu’ils réservent aux forêts alors qu’on pourrait faire des belles villes… Quel gâchis. Enfin, je déraille un peu, ‘scuse moi fiston.
Donc, oui je disais qu’on en trouvait des vrais chez les néo-ruralistes, mais tu peux aussi trouver des copies chez certaines animaleries de Heaven’s Door, Kipple et Shibuhya, mais ceux là ont été tellement clonés, bidouillés génétiquement pour leur changer le caractère et en faire des animaux de compagnie qu’ils n’ont plus rien avoir avec le modèle d’origine, à part la carrosserie, si tu vois ce que je veux dire !
Ah, attends, je viens de capter d’autres tuyaux. Apparemment, y a pas que ces animaux qui aient une queue pareille. On aurait chopper ces dernières années des mutants qui auraient eu la même. Pas d’autres infos là dessus : c’sont y parvenus à se barrer ou z’ont y été ‘régulés’ par les autorités ? J’en sais rien, la piste s’arrête net.

Alors, elles t’ont plu mes infos ? J’t’avais prévenu : Tim’O Deal est un Bill pour ce genre de trucs. Maintenant, mon gars, j’suis sûr que t’es pas un trait plat, et si j’ai bien décodé ton karma, tu vas devoir te casser triple sec. Non parce que même si t’es loin d’être King of The Matrix, t’es pas le newbie comme jacker non plus, et ca serait dommage de te voir finir dans les hachoirs des régu de Septième Ciel. Surtout que tu chantes bien et que c’était sympa hier. T’inquiètes donc pas pour le traçage, ton mess a jamais été émis sur la Toile, si tu vois ce que je veux dire : y a pas de souci à avoir !»
Donovan se déconnecta.

D’abord secoué par le fait d’avoir été découvert si aisément, il se dit qu’il pouvait faire confiance à ce type—ou cette fille—qui disait s’appeler Tim’O Deal (un pseudo, bien évidemment, mais était ce si évident, au fond ?). L’autre l’avait percé à jour très rapidement, et s’il-elle avait voulu, il aurait pu appeler la cavalerie, et les régulateurs seraient déjà arrivés. Il avait juste surestimé ses talents. A moins que ce ne soit justement une manœuvre destinée à le mettre en confiance pour pouvoir le cueillir plus facilement, et que les régul était déjà sur sa piste ?
Quoiqu’il en soit, il était de se lancer dans une petite réflexion personnelle.

*Question un : Que faire ?

>Hypothèse première : mon adn subit une mutation dont les effets étaient visibles.
>Hypothèse deux : le taux d’adn anormale est inférieur au seuil critique, mais semble augmenter régulièrement.
>Hypothèse trois : les mutants sont exterminés dans les megacités, d’où les serrures génétiques et autres dispositifs de vérification.
>Hypothèse quatre : mon rang ne changera rien du tout.
=Conclusion une : Je dois faire quelque chose ou partir d’ici !

*Question deux : Partir où ?

>Hypothèse cinq : Les faubourgs comme ChinaPort ou Heaven’s Door fourmillent de trucs pas légaux, mais subissent quand même des contrôles d’ADN.
>Hypothèse six : les néo-ruralistes sont complètement autonomes et détachés des mégacités et de leurs politiques de pureté génétique.
=Conclusion deux : Si je ne trouve pas une solution dans les conurbs, direction les néo-ploucs

*Question trois : comment subvenir à mes besoins à présent ?

>Hypothèse sept : mon compte en banque est superbement bien garni, mais requière un accès génétique.
>Hypothèse huit : les conurbs utilisent toujours de la monnaie non-électronique, selon ce que j’ai capté sur la matrice.
>Hypothèse neuf : les drogues que je possède ici devraient pouvoir se renégocier un bon paquet en certains lieux.
=Conclusion trois : utiliser le contrôleur génétique de poche pour vérifier régulièrement que je ne suis pas repérable et transformer ce que je peux de mon compte en monnaie palpable et puis se débrouiller.

Ayant établi une ligne de conduite, Donovan se sentit quelque rassuré : la situation était grave et franchement étrange, mais pas désespérée. Dans le pire des cas, il pourrait compter sur son intelligence et sa ruse, attribut que possédaient apparemment les renards auxquels il commençait à ressembler, se dit il en riant sardoniquement. Se forçant à quitter ses réflexions, il se rendit compte qu’il était en train de remuer la queue et fit un effort conscient pour arrêter cela. Un tel membre était déjà humiliant, inutile d’en rajouter en se mettant à réagir comme une bête !

Consultant sa montre dermique, Donovan se dit qu’il était plus que temps de se lancer et de replonger dans le vertige de la cité. Il fut prêt au bout d’une petite demi-heure était vêtu d’un pardessus imperméable noir à haut col, d’un pantalon en cuir de la même couleur et de robuste chaussure également noire. Il avait suffisamment fréquenté les quartiers extérieurs quelques années auparavant pour savoir qu’il ne se ferait pas remarquer ainsi habillé, une ombre parmi les ombres. Ce qui lui avait pris le plus de temps avait été le fait de devoir adapter ses tenues à sa nouvelle condition : le jeune homme avait d’abord imaginé pouvoir fourrer sa queue dans les pantalons le long de la jambe, mais le processus s’était révélé aussi inconfortable que douloureux après essai, aussi s’était-il résigné à découper un trou afin de laisser passer son membre surnuméraire. Le pardessus bien serré au niveau de sa taille suffirait à le cacher.
Un sac de vêtements de rechange et sa ‘trousse à pharmacie’ remplis, l’artiste s’apprêta à franchir une dernière fois le fois le seuil de sa résidence, puis se retourna finalement et revint chercher sa harpe, symbole de son rang. Tandis qu’il la rangeait dans un étui, il pensait qu’il pourrait en jouer à ses moments perdus, et puis... Il avait travaillé dur pour l’obtenir, la laisser derrière lui aurait été comme s’il avait tiré un trait sur tout ce qu’il avait fait et tout ce qu’il avait été, et cela, il ne le pouvait pas.

Lorsqu’il sortit et tendit la main pour fermer la serrure, il se retint de justesse et se força à utiliser le contrôleur génétique avant. Lumière verte tirant sur le jaune : il n’y avait encore aucun danger, mais autant commencer dés maintenant à prendre les bons réflexes.

Aelghir
26/07/2004 16:16
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !

Surprenant, le coup de la queue de renard . Maintenant, la suite !

La phrase qui commence par " Ressuscitée d'un retour à l'âge du chaos" ,me semble mal construite et attention à l'orthographe ! se relire, il n'y a que ça
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