La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Je m’appelle Girgutuah, et alors ? Il est très beau mon nom. Je l’aime beaucoup moi, en tous cas ! Oh et puis ça n’a pas d’importance ! Je marche. Je m’en vais me promener dans les bois, pendant que le loup n’y est pas ! Oui, parce qu’aux heures de pointes, (des carnivores) on risque, si on est habillé trop flash, (genre en rouge) d’être repéré ! Ah ! Et si on est repéré, bah on est cuit à la casserole ! Comme Chantal Goya ! Une vraie casserole. Bref, donc je marche j’ai dit. Et là je tombe. Bah oui ce serait trop facile sinon. Je regarde autour de moi. Quelle est la raison de ma chute ? Ah mais oui ! Je regarde par terre. Une flaque d’eau ! La chute … d’eau !!! J’aurais du y penser, par Ulmo ! Ce n’est pas grave. Je me relève et remarche. Il faut avancer dans la vie, si on reste trop longtemps sur un échec (et mat), on stagne. Et si on stagne, on prend racine. Et si on prend racine, c’est qu’on est un arbre qui pousse vite. Et si on est un arbre qui pousse vite, on meurt vite. Et si on meurt vite, bah on ne profite pas de la vie. Logique non ? Bon. Donc j’avance. Devant moi j’aperçois un obstacle. J’analyse, c’est encore une chute d’eau. Arf, bon je dois décider quel choix faire. Je contourne, ricourne, je saute par-dessus, poil au tutu, ou je marche dedans, pataplan, et risque un nouvel échec, ptit pec ? J’ai trouvé ! J’esquive, pardive ! Très bien, une réussite ! Je progresse, poil aux tresses. Je marche. Devant moi j’aperçois un obstacle. Je réfléchis, il me semble avoir déjà connu ça. Mais oui ! Là, juste à l’instant, je viens de connaître Ca ! Mr. Ca ! Mais il y a un problème. Quand j’analyse, je n’arrive pas à la même conclusion, y a quelque chose qui ne va pas. Tant pis, je prévois pas, j’improviserai. L’impro, c’est cool, ça utilise tous les sens, ça perfectionne notre sens de l’impro, c’est chouette ça. J’arrive devant l’obstacle, je pile. Argh ! J’ai calé. J’ai du oublié une vitesse. C’est la peur du nouveau ça, à tous les coups. Le coup de poing de la peur qui frappe à l’improviste, c’est comme l’improvisation, c’est imprévu, imprévisible, d’ailleurs c’est pas pour rien qu’ils commencent tous pareil, poil aux orteils. Bon. Je prends du courage chez un page, hop je fais un bond, comme Bond, James Bond, monumental, comme la statue de Robert le Preux au creux du Mont Bleu. Donc j’arrive de l’autre côté de l’obstacle, ça doit être J. Bond qui m’a porté chance, ou alors Robert le Preux, mais ça n’a plus d’importance maintenant, j’ai réussi à surmonter ma peur ! Magnifique. Les bois où le loup n’y est pas, n’est pas loin à présent, je sens l’odeur des marguerites jaunes qui bordent la forêt, même si une marguerite ne sens pas habituellement… Si ? Oh je ne sais plus. Je vois les arbres qui se rapprochent, c’est alors qu’une question me vient. Et si les arbres m’étouffaient ? Bah oui, ils sont si touffu, ils pourraient me passer une sorte de touffade, j’ai entendu parlé de cette maladie qui vous étouffe, et soudain vous devenez l’ami des arbres, vous faites tout comme les arbres à barbe et vous êtes horriblement plus jamais le même ! Mais c’est terrifiant ça ! Ca vous terrifie en plus !! Non seulement des touffes vous rentrent dedans, mais de la terre aussi !! Scandaleux ! Par les Sandales de Patrik, qui dit ne pas tricher au poker, mon ongle ! Oncle Patrik est une autre histoire… Bref on devrait interdire l’accès des arbres dans les forêts, sous les raies de marée ! Seulement d’après le Traité Entique des Arbres Fôrèeux, ils ont le droit. Pff. Ridicule, Ris, dis la coule. Tout ça me met de mauvaise humeur, je décide de rentrer, j’ai un raccourcit magique, hic, j’ai bu ? Je me suis vu quand j’ai pas bu ? Vu, les lunettes vues ? Mais non, c’est un nettoyant lunettes, patete ! Euh pomme de terre, cuite au four. Ah ! Je me suis donc fait une cuite ? Oui mais à point ou saignante ? Ah c’est vrai j’aime pas le Sain qui glande, gland de chêne, hein ? N’importe quoi ! Je disais, la cuite stagnante de gland, la chaîne de l’amour, la danse du monde, un qui meure, un qui naît, et la ronde n’est jamais brisée, la danse continue, toujours, toujours. Je sais tout ça parce que quand j’étais petit, j’étais un Jedy. Je retourne d’ailleurs, reprendre mes cours avec mon maître ver vert vers un verre d’eau, oui parce qu’avec toute cette eau, j’ai soif maintenant. La Lune brille dans le ciel, je vais la rejoindre, elle scintille là-haut, elle reflète un trèfle dans la chute d’eau qui m’a tenu obstacle avant. Elle me nargue, c’est un coup de mon ver ça encore. Je vole jusqu’à la Lune.
Girgutuah
Note : Le titre, Monique, vient de Moi, Mon, Mon Hic, Monique .
Bon, c'est cours, je l'ai fait en deux fois. C'est un ptit délire que je voulais vous montrer, pour qu'on me dise ce que vous en pensez, c'est pas parfait, (heureusemeent) et il faut surement que je modifie quelques trucs, mais voila comme ça m'est venu ! Allez y, critiquez, je veux qu'on me dise ce qui ne va pas c'est un essaie aussi hein, je m'expérimente dans un style different !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Tu as fumé la moquette ?
Bon ,j'aime bien, d'ailleurs, de temps à autre je taquine le genre .les mots, il ne faut pas toujours les prendre au sérieux , il faut s'amuser avec .
Juste un peu touffu tout fou tofu peut-être ? Eclaircie, éclaire et scie !
ca c'et du texte qui fait du bien par ou il passe (les neurones)! il est simplement trop peu aeré pour qu'on puisse le lire facilement sans respirer, ce qui gache un peu l'elan de la prose...