La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
N'hésitez pas à rejoindre le Discord de la Pierre de Tear en cliquant ici: Discord Pierre de Tear
- L'équipe des Admins: Klian, Owyn et DS
Appel à téméraire aimant l'aventure et la castagne (le camp)
(Sujet créé par Aedmun Kigarin l 01/04/06 à 14:24)
A la frontière du Ghealdan et du Murandy.......
Et le RP évoluant, Aedmun s'est à un moment retrouvé avec son armée non loin du château et du village de Brent.
Voici le camp, le château est au nord-est.
Depuis le départ du gros de l'armée d'Aedmun Kigarin vers Lugard (10000 unités), le nombre d'hommes est trés limité dans le camp de base. Le recrutement se poursuit mais a très sensibement baissé, et c'est ainsi qu'après quelques jours, les effectifs atteignent à peine les 300. Il reste tout de même des éclaireurs, et quelques officiers d'expérience capables de communiquer rapidement avec l'armée principale.
L'armée d'Aedmun se compose comme suit:
Quelques 6000 fantassins, 2500 archers, 1500 cavaliers. Ces chiffres sont approximatifs.
Suite à l'attaque imprévue des Enfants de la Lumière, les partisans d'Aedmun restés au camp de base se sont réfugiés dans la demeure du seigneur Brent, toute proche. L'armée d'Amadicia, commandée par le Seigneur Capitaine Haesur Lassadar, a pris possession du camp et encercle totalement le chateau, forte de ses 5000 hommes. "La région est en voix de pacification" (selon le jugement des Blancs Manteaux).
Composition de l'armée des Enfants de la Lumière :
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Six cent déja...et qu'ais-je fait? Rien sinon laisser Jolen dire à la cantonnade que j'étais le Dragon et canaliser juste un peu pour allumer un feu assez impressionnant...Cela m'a donné la nausée d'ailleurs, mais ca n'était pas grand chose. Je suis capable de bien plus. Brrr rien que d'y penser cela me fait foid dans le dos. - Jolen, combien arrivent encore?
- Quarante ce soir encore Aedmun. Ils arrivent vite...Mais jamais trop vite pour le Dragon!
- euh...oui, oui, mais n'allons nous pas attirer l'attention?
- Mais c'est ce que nous voulons! Pas trop vite cependant, en effet.
Et tous me persuadent un peu plus que je suis bien celui qu'ils cherchent. Mais cela va trop mal dans le pays pour qu'il en soit autrement! Trop peu de récoltes cette année, pas de pouvoir solide, rien qui vaille, et trop de signes...On a tous entendu ici parler de cette faille immense dans le nord de Cairhien...Ca n'est pas si loin. Mais ici la région est calme. Le bouche à oreille marche, et quel pouvoir ici pourrait s'inquiéter de tout cela?
Mais j'ai peur. Je ne sais pas encore si j'ai eu raison de... - Il faut que tu ailles les voir Aedmun.
- Oui, en effet. Trop tard pour reculer maintenant.
Je me dirige vers le sud du camps.
Des pauvres hères pour changer. Ah mais non! Pas seulement! Derrière, là, à quelques mètres...Il m'a l'air d'un soldat expérimenté. Rien que la manière dont il tient une épée me le dit, car j'ai moi même appris son maniement alors que nous luttions contre les Andorans. Rien d'autre à faire que m'engager à ce moment là... - Toi là-bas! Qui es-tu?
- Danner.
- Pourquoi es-tu venu?
- Tout va mal, monseigneur, et j'ai appris que peut-être le Dragon serait...
Sans prévenir je puise dans le Saidin, et le soulève de quelque pas. Puis lentement le laisse retoucher le sol.
A peine a-t-il touché terre qu'il met le genou sur le sol.
- Je suis là pour vous, monseigneur.
Il faut que ma voix porte... D'une voix forte:
- Je suis bien celui que tu cherches! Et vous autres, si vous êtes là n'est-ce pas aussi pour ca? Que constatez vous? Regarder autour de vous! Seule la main du ténébreux peut-être derrière tant de malheurs réunis! Les récoltes, les mauvaises nouvelles, et personne n'y fait rien! Notre seul espoir est d'être tous unis face à l'adversité. C'est seulement ainsi que nous ne tomberons pas dans la main du Ténébreux! Si nous ne nous unissons pas derrière une même bannière, aucun espoir n'est permis!
Nous sommes tous pareils ici, nous voulons simplement notre salut et notre espoir de renaissance! Nous voulons survivre à la fin quand les Ténèbres nous encerclerons! Vous êtes les premiers de la plus grande armée que n'aura jamais vu cette terre!
Bienvenus parmi nous, et que les ténèbres craignent les milliers d'autres qui viendront encore!
Devant un concert de cris venus de toutes part, ceux déja présents encourageant les nouveaux venus, et alors que tous mettent genoux en terre, je les salue dignement et repars vers ma tente. Jolen s'occupera du reste.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Tout commence à s'organiser, c'est bien. J'ai bien fait de nommer ce Danner à la tête des hommes à pied comme me l'a suggéré Jolen. Il est ferme, tient bien ses hommes, et on peut lui faire confience. Il a d'ailleur un grand sens du terrain et des batailles. Un atout pareil est bien précieux.
J'ai fais le tour du camp ajourd'hui...Un homme m'a attaqué par surprise alors que je parlais avec Danner. Il n'était manifestement plus sur de savoir pourquoi il était là. Ou plutôt s'il avait raison d'y être. Pourtant nombreux sont-ceux qui arrivent. Cela commence à prendre de l'ampleur, et peut-être que ca lui a fait peur.
En tout cas il n'est plus là pour en parler. C'est le Saidin qui m'a sauvé. J'ai canalisé le feu et il est mort carbonisé avant de m'avoir atteind. Mais il s'en est fallu de peu. Je dois faire attention. Et je n'étais pas encore assez calme.
Je dois me montrer de pierre, montrer que je suis fort si je veux qu'on me suive, me dit Jolen. Il a raison.
Enfin, pour cette fois-ci cela a marché, ils me suivront de plus belle. J'ai immédiatement parlé haut et fort: - Nous devons être unis et fermes! Cet homme a payé le prix de sa couardise et de ses doutes. Je ne voulais pourtant tuer personne.
Souvenez vous de cela! Je suis le Dragon Réincarné, et je serais sans pitié pour quiconque se mettra en travers de mon chemin. Nous devons vaincre l'ombre, être prêt quand elle arrivera! Sans cela, c'en sera finit!
Nous sommes maintenant plus de huit cent. Plus de jour en jour. Demain, nous ferons mouvement vers la Manetherendrelle, a peine plus à l'est, et nous traverserons pour aller vers le Nord, non loin cependant. Il faut d'abord que je prenne pied dans ce pays, mais il me faut un endroit facile à défendre, mieux placé que celui-ci. Il est trop facile de nous surprendre ici.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Hier nous avons pénétré dans Santaro. La ville, d'une taille moyenne, est en ma possession.
Je suis sûr que maintenant nous avons été remarqués, mais ca n'est pas grave. Il ne sont pas encore prêts à réagir militairement. Et nombreux sont ceux qui nous rejoingnent encore tous les jours. Nous sommes plus de mille cinq cent depuis hier soir. Mais je crois que cette fois-ci il n y a pas eu seulement des volontaires: quand quelqu'un contrôle ta cité, tu t'y soumet, ainsi que me l'a fait remarquer Jolen. Et c'est vrai. Je ne suis pas cruel de plus, les gens voient ainsi que je ne suis pas quelqu'un qui veut le pouvoir. Je veux seulement unir. A ce rythme, nous avancerons vite.
La manetherendrelle est derrière nous, nous sommes à quelque kilomètres de sa rive ouest.
Nous n'allons d'ailleurs pas nous reposer longtemps...Je laisse seulement le temps aux hommes de reprendre des forces, et j'en profiterais pour organiser ici un point central de mon autorité. Si je laisse des failles dans le territoire que je contrôle, je ne pourrais tenir solidement face aux assaults exterieurs qui ne manquerons pas d'arriver.
En effet, le salut pour certains importe peu: seulement le pouvoir. Je vais m'attacher à contrer cela.
Aedmun est sous une tonnelle, il semble plongé dans ses réflexions. [small]hum hum[/small]
Seigneur Dragon, mon seigneur!
Aujourd'hui est arrivé encore un contingent de 45 hommes, mais je n'ai plus d'officiers disponibles pour leur formation.
Mon seigneur, est ce que je pourrais avoir la permission d'aller recruter un ou deux anciens compagnons d'armes, afin d'encadrer ces hommes qui arrivent chaque jour?
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*écarquille les yeux*
- Ah bonjour Jolen. Je vois que tu vas bien.
Oui, bien sur j'accède à ta requête. Tu es mon plus grand soutient et mon plus fidèle conseiller. Je te fais confiance pour cela, mais je veux les voir à leur arrivée et leur parler.
Jolen est vraiment un homme de confiance, heureusement qu'il est là. Mais je dois tout de même connaître directement chacun des gradés de mon armée.
Enfin, il est bien plus habile que moi en ce qui concerne le "militaire". Je peux commander, mais j'ai encore beaucoup à apprendre en ce qui concerne la stratégie.
45 hommes de plus donc...Et 60 le jour d'avant! Il en vient vraiment un flot continu, et ma position à Santaro se solidifie. Nous devrons cependant bientôt bouger. Il faut frapper vite et fort...
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Quelques jours à plus tard*
"Santaro est maintenant une base sûre."
Je met mon doigt sur la carte posée sur la table devant moi et les quelques officiers qui se sont joints à ce conseil - Nous devons bouger, mais nos marges de manoeuvres sont pourtant limitées: je ne souhaite pas trop m'approcher de l'Amadicia pour l'instant, et aller trop loin au nord nous mènerait en Andor.
On me rapporte que la cité de Mearna, a quelques 20 lieues au nord, est peu défendue et prête à tomber. On se bat déja en mon nom là-bas.
Cette ville est en outre plus importante que Santaro, et c'est donc un viver d'hommes, de vivres, et d'or. Nous pourrions donc encore y consolider nos positions, et de là, établir des plans plus ambitieux. Qu'en pensez vous?
C'est un très bon plan mon Seigneur!
Mais l'Amadicia ne doit pas restée encore longtemps sur notre flan sans la conquérir aussi, vous aurez bientot plus d'hommes que les troupes des Blancs Manteaux, et alors vous pourrez aussi entrer à Amadicia!!
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
L'Amadicia...pas trop vite tout de même, ou il va falloir être plus persuasif mon ami!
Je ne crois pas que se frotter à une armée entraînée et dont un des buts est l'éradication de tout ce qui touche au canalisage soit trés utile pour l'instant. Mieux ne vaut pas tenter le ténébreux. Ou alors tu as un plan?
Je ne sais pas encore trés bien ce que vaut mon armée...Si Jolen dit qu'on peut se frotter aux blancs manteaux, et bien c'est qu'elle doit être plus efficace que je ne le croyais... En même temps tu as raison, Amador est sur notre flan...
Nous pouvons aussi nous en éloigner et entrer au Murandy par le nord après notre arrivée a Mearna...
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
RP OFF réponse: je n'ais pas de carte détaillée!
J'invente des noms de ville au hazard, et j'ai donc pondu que Maerna était 20 lieues au nord d'où nous sommes, et qu'on se retrouverai au final a la limite du Murandy, assez au nord mais pas en Andor! Dans cette bande de terre qu'il y a en fait entre le Ghealdan et le Murandy, et qui n'est revendiquée par personne, mais trés près du Murandy.
En fait, j'ai été trompé au départ par la carte de mon édition de la RdT, ou n'apparaît pas le Mur de Garen, cette bande de terre revendiquée par personne entre les deux pays.
Enfin ca ne change rien, l'Amadicia est toujours sur notre flan, pas trés loin, et l'Andor au nord.
Mais invente toi aussi, balance ce que tu veux à notre rencontre, lance des events
Il est parti depuis plusieurs mois maintenant. Avec l'aide de la Lumière, son Aes Sedai ne s'est pas fourée dans les ennuis ! La spécialité des Brunes, comme il l'a appris au fil des années.
Chercher des renseignements sur le Dragon. Sa marotte. Avec les prophéties. Mais lui n'aime pas la laisser seule ! Enfin, elle n'avait pas tort, après tout. Après quelques pérégrinations, il a finalement trouvé un homme canalisant. Et avec une petite armée, qui plus est.
Sa cape et son épée, il les as laissé à Tar Valon. Ici, il s'appelle Danner, mais il n'est rien de plus qu'un ancien mercenaire. Ou plus, puisqu'il est aussi commandant. Ce Kigarin est si crédule, il suffit de s'incliner devant lui pour disparaître de la liste de ses ennemis. Et ce Jolen. Qui est-il vraiment ? Il semble avoir l'oreille du Faux Dragon. Il faut les surveiller jusqu'à ce que le messager atteigne la Tour ! Et qu'ils reviennent...
Le Lige passe la tête dans l'embrasure de la porte :
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Oh Danner! Entrez je vous prie!
Cet officier me plaît beaucoup, il respire la compétence et le calme necessaire à mon entreprise! Nous étions en train de discuter de l'opportunité de se frotter aux Blancs-Manteaux, et je suis sur que ca n'est pas ce qui est a faire pour l'instant. Les quelques 2500 hommes que nous avons seront écrasés à la première bataille sérieuse. Nous devons consolider nos positions.
J'avais projeté de prendre Mearna, et de pénétrer plus avant en Murandy par le nord. Qu'en pensez vous? Et vous Jolen alors?
2500 contre les Blanc-Manteaux ? Ce serait folie, Monseigneur, la plupart d'entre eux n'ont jamais tenu d'armes avant de vous rencontrer. Ils ne sont pas prets.
Mearna ? Ce n'est pas une très grande ville, ses défenses ne devraient pas être trop importantes. D'ailleurs, je venais pour vous prévenir... Les hommes s'agitent. Ils commencent à s'ennuyer. Il faudrait.. Leur donner de l'action, les calmer, ou sinon nous serons bientôt catalogués comme une bande de pillards et violeurs.
Et envahir le Murandy... Dos à l'Andor ? Une attaque pourrait renforcer le pouvoir du Roi, et s'il appelle Caemlyn à l'aide... Avec l'hiver qui arrive, nous devons être très rapides ou consolider nos positions. Peut-être tenir le Nord du Murandy, et attendre le printemps pour prendre Lugard.
Mais je ne suis qu'un mercenaire, Monseigneur, je connais les forces de nos hommes, mais je ne sais pas organiser une guerre !
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Vous avez raison Danner, attaquer les Blancs Manteaux est folie...Mais vous devez avoir une rancune particulière contre eux Jolen, pour parler de cette façon?
En tout cas, l'objectif suivant est clairement Mearna. Nous déciderons là bas de la suite des opérations.
Danner, allez annoncer aux hommes à pied que nous partons demain matin à l'aube. Jolen, vous irez parler aux cavaliers.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Le soleil était à peine levé, et l'armée d'Aedmun s'avançait vers le nord non loin à l'est de la Manetherendrelle. La marche était régulière, et ils atteindraient vite Mearna au nord. Réguièrement, ils croisaient des petits groupes venus venus de l'Ouest, mais aucun de l'est, le mur de Garenn coupant la route depuis le Ghealdan.
En arrivant à Mearna, nous serons 3000 pensait Aedmun.
Et il nous faudra du ravitaillement, car à ce rythme, il nous faudra bien 5 jours de marche, ce qui épuisera nos réserves ou presque. Ce combat il va nous falloir le gagner. Si combat il y a. J'éspère que les gens de Mearna seront assez sages pour s'allier à moi sans se battre. Et si je prend bien pied dans le nord du Murandy, j'obligerais ainsi le roi à parlementer. Le moins de batailles sera le mieux.
"Danner" cherche un moyen de ralentir la progression de ce Kigarin. Déjà, son entrainement sans pitié a fait fuir quelques pauvres hères. Les plus exités veulent absoluement se battre et commencent à piller les plus petites des fermes croisées. Tout ceci n'est pas bon !
Surtout, il ne faut pas qu'il y ait de bataille à Mearna... Pas de sang versé inutilement.. Ou peut-être que si... Peut-être que quelques morts donnerait un coup de pied dans cette fourmillière endormie qu'est la Tour !
Amyria a été prévenue, mais qui sait, elle a du oublier !
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
***Histoire en accéléré, vu que j'ai manqué de temps pour gérer Aedmun.***
Après quelques 7 jours de marche, et donc un peu de retard par rapport à ce qui était prévu, nous arrivâmes à Mearna, et la situation politique était dans un tel délabrement en Murandy que le noble du coin, un certain seigneur Thurin, avait fuit avant mon arrivée. Il avait été mis au courant mais n'avait pu obtenir de l'aide. La ville se randit sans résistance, la population trop préoccupée par la perspective de l'hiver approchant.
Comme prévu, nous nous installâmes à dans la ville, en faisant notre camp de base, et j'ordonnais à mes hommes, sur les Conseil de Danner, de s'organiser en divers corps pour assurer la sécurité, les ouvrages de fortification necessaires et tout les petits travaux suivant leur compétence. Nous passâmes plusieurs jours, deux semaines presque, à fortifier cette position quand je me rendit compte que le conseil de Danner avait un effet négatif: mes hommes s'ammolissaient, malgré les nouveaux arrivants (malheureusement le plus souvent des malandrins et autres pilleurs). Sur les Conseils pressants de Jolen, je mis alors en branle mes hommes pour le sud-est, en laissant une partie pour assurer le calme et l'autorité a Mearna. Ne surtout pas s'approcher d'Andor,me répétais-je régulièrement dans ma tête. Je ne suis pas encore assez fort. Jolen nous croit invincibles mais il se trompe. Cependant il a raison quand il dit que nous ne pouvons rester ainsi sans bouger.
A quelques lieues au sud-est, nous deux des seigneurs de la région qui avaient été mis au courant de mon avançée par leurs éclaireurs. Ils avaient rassemblé dans le temps que je leur avait laissé pendant ma pause a Mearna une petite armée, moins nombreuse cependant, de quelques 800 hommes à pied et deux-cent cavaliers. Alors que nous nous mettions en position pour les combattre, je me dis qu'il y avait deux solutions. Ou ils tenaient à leur terres, et les défendaient comme ils pouvaient sans l'aide d'un pouvoir royal affaibli et en constante lutte pour sa survivance. Ou ils escomptaient me vaincre pour leur profit personnel, et n'avaient pas été vraiment mis au courant de mes effectifs ni de ma capacité réelle à canaliser. Quoi qu'il en soit, c'étaient des ennemis, et je ne pouvais me permettre un échec. Sans cela point de salut.
Je me rapelai alors une phrase que j'avais prononçée quelque temps auparavant. Chevauchant devant mes hommes, je les galvanisais ainsi:
"Je suis le Dragon Réincarné! Qui d'autre cela pouvait-il être? J'étais le seul à m'être déclaré, nulle part je n'avais entendu parler d'un autre homme sachant canaliser...Nous sommes tous pareils ici, nous voulons notre salut et notre espoir de renaissance! Nous voulons survivre à la fin quand les Ténèbres nous encerclerons! Vous êtes les premiers de la plus grande armée que n'aura jamais vu cette terre!"
Et j'ajoutais:
"Combattez aujourd'hui pour moi, et vous combattez pour vous! Soyez fort et unis, et nous vaincrons! Je ne sais si l'armée ennemie est gangrénée d'amis du ténébreux ou non, mais peu importe: se rassembler est la seule voie! Suivez moi! Pour le Dragon Réincarné!"
Je remarquait alors que Danner avait l'air triste. Non loin Jolen au contraire leva le bras et cria "Pour le Dragon Réincarné!", cri qui fut repris par tous.
Quand la bataille s'engagea, je lançai des boules de feu par-ci par-là, éspérant que convaincus de ma capacité à canaliser ils s'avoueraient vaincus. Je voyais en effet quelques hommes moins sûrs d'eux...Mais le combat continuait et j'en conclus qu'ils devaient défendre leurs terres.
Lorsque tout fut fini, j'avais été protégé par ma garde et nous fimes le compte des pertes, des bléssés et des captures. J'avais emmené 2800 hommes, et j'en avais perdu 500 dans la bataille. Des deux seigneurs ennemis, il n'en restait plus qu'un et 600 hommes, le reste de prisonniers.
Immédiatement, quand j'appris sa capture, je le fis venir à moi. C'est un homme de haute stature qui entra, blessé au flan et le regard triste qui entra, alors que pour le déstabiliser je maintenant une sphère de lumière au dessus de ma main. Il se planta devant moi baissa les yeux mais ne se mit pas à genoux. Peu importe...Je ne veux pas de serviteurs, je veux des alliers... "- Je comprend ta tristesse lui dis-je, mais nous ne vous aurions pas fait de mal si vous nous aviez rejoins. Je suis le Dragon réincarné, en es-tu convaincu maintenant?
- Je ne sais que penser..., murmura-t-il.
- Tu dois me rejoindre! criais-je. Nous n'avons pas le choix! Je ne brûlerai pas tes terres, ne pillerai pas tes fermes, ne violenterai personne, mais nous devons nous unir face aux ténèbres."
Lentement je retrouvai mon calme, laissant le temps au seigneur nouveau venu de soupeser la situation.
Jolen pris alors la parole et dit:
"Vous n'avez pas le choix...comment vous appelez vous déja? Brent? Seigneur Brent? Vous êtes contre nous, ou avec nous. Dans la lumière ou dans les ténèbres.
- Je marche dans la lumière, répondit Brent avec une lueur de défi.
- Et bien suivez-moi, répondis-je calmement cette fois.
- Je vous suivrai.
Il ne montrait ni entrain ni aucun autre sentiment cette fois-ci. Il était devenu dur comme le roc.
- Quelles sont vos compétences, seigneur Brent?
- Militaires, monseigneur...Dragon. Militaires...et je connais la région. Vous avez assuré ne pas martiriser la population, le jurez vous?
- Je le jure. Je vais tenir encore un peu vos hommes prisonniers quelque temps, pour m'assurer de leur fidélité, vous irez leur parler, et vous reviendrez ici. J'aurais besoin de vous dorénavant, tant que je suis dans cette région. "
Voyant qu'il hésitait, je pris Danner à part et lui dit:
"Mon cher Danner, vous le suivez et ne le lâchez pas d'une semelle. Vous surveillez ce qu'il dit à ses hommes et s'ils se rallient bien à nous. Allez, emmenez-le."
Après une fin de journée difficile, les bléssés à porter étant nombreux, nous arrivâmes à Urge, cité de Brent. J'avais perdu des partisants, mais j'en avai gagné d'autre. Et autant que je pouvais en juger, je profitai grandement du fait que le lien entre le Lugard et son domaine n'existait plus: Brent avait été seigneur chez lui, ne devait rien à son roi, qui avait été absent alors qu'il aurait eu besoin de lui pour le défendre. Je ne doutait pas que bientôt il serait un des plus fervents à avancer vers Lugard pour abattre ce fantôche qui ne l'avait pas aidé. D'autant moins de résistance, d'autant moins de morts... Enfin installés dans une des salles de la deumeure de Brent, alors que j'avais demandé d'établir le camps en dehors de la ville, nous nous apprétâmes à discuter de la suite des évènements.
Pendant ce temps là, un bruit courrait et prenait de l'ampleur: le faux Dragon avait remporté une bataille, bataille qui grossissait à chaque fois que l'histoire était racontée, et il contrôlait une partie du Murandy, qui grossisait, elle aussi, à chaque fois.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Bon, me voila dans la région décrite par Kelenvor....Il est temps de sortir ma bannière.
Enfin! ce n'est pas facile a mettre en place comme dans les histoires, ce truc! D'autant plus que je me trouve parfaitement idiot avec....bah, tant que je n'ai PAS l'air idiot...enfin, suffisament intelligent pour que les hommes de ce "dragon" m'abordent....encore une journée a passer les nerfs tendu comme des cordes de violon....*soupir*
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Je commence a être singulièrement agaçé. Voilà six jours que je parade avec cete stupide bannière sans jamasi avoir été interpelé par un membre de l'armée du Dragon. Kelenvor, si jamais tes informations étaient erronées, tu en entendras parler, soit en sur!
Bah, pour l'instant, je peux bien prendre un peu de repos. Il est midi, mon cheval a chaud et moi aussi! Un peu de nourriture et d'eaux ne feraient de mal a personne, et surtout pas à nous!
J'espère qu'ILS n'aient pas la mauvaise idée de venir pendant que je me restaure...quand je mange, je ne suis pas d'humeur a discuter!
Un homme, portant la tenue de la garde royale du Lugard, arrive au triple galop devant le campement du dragon. Toujours du haut du sa monture, il s'écrie:
" Je cherche l'homme qui s'appelle Aedmun Kigarin, je me suis pas venu avec des intentions belliqueuses, je désirerais seulement lui parler. "
*C'est quitte ou double mais je n'ai plus le choix.*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
A peine arrivé aux abords du campement, un des gardes de faction à l'entrée s'avance et toise le nouvel arrivant.
Hum... - Le Seigneur Dragon n'est pas ici. Peut-on savoir qui vous êtes et ce que vous lui voulez? Si vous en valez la peine je vous mènerai peut-être à un officier...
Adossé au coin d'une fenêtre, Danner ronge négligemment un ongle rebelle, observant l'extérieur quand Brent jette un oeil sur lui, le regard fixé sur le Seigneur le reste du temps.
Son physique et sa tenue fatiguée donne exactement l'impression qu'il recherchait : un ancien paysan, vieux soldat émérite, solide mais pas particulièrement intelligent. Aedmun a tout de suite su voir au dessus des apparences, sur un point du moins, et le juge suffisament malin pour lui apporter son aide. Brent cependant... N'a pas cherché très loin.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
[RP OFF]
Shaevar, il aurait fallu que tu sois un peu plus précis Ou es-tu? Que fais-tu exactement? Que je sache OU t'intercepter!
Relis bien les posts au dessus et au dessous pour savoir où est qui
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Un fantoche!? Un marché?! Ahahahah vous entendez ça les gars!
En quelques secondes les dix gardes de ce côté-çi du camp entourent de leurs piques le nouvel arrivant, qui tente de garder son calme.
Entendant l'agitation, un officier sort du camp et s'approche:
- Hé là! Que se passe-t-il ici?
- Cet homme dit que le Seigneur Dragon est un imposteur et veut faire un march avec lui...On peut s'en occuper, si vous le voulez bien..., expliqua le premier garde avec un sourire malsain.
- Attendez. Tout d'abord mon brave, apprenez qu'il ne faut pas parler de cette manière su Seigneur Dragon devant cette bande de sclérat. (remarque qui fit éclater des rires gras et insistants parmi les gardes)
- Tout d'abord, qui êtes vous? Et que venez vous faire ici? Vous autres reculez un peu!
* Au moins je n'aurais plus à faire à ce brutes sans cervelle. *
" Que vos hommes rengainent leurs armes d'abord. "
L'homme avance doucement vers le gradé, une aura de prestance le devance rendant les lances plus vacillantes. Puis une fois arrivé à la hauteur de l'officier, il déclare:
" Allons dans un endroit discret, je ne souhaite pas que des rumeurs s'échappent de notre entrevenue. "
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Mais ils sont lourds! va-t-il falloir que je me présente avec des trompettes et toute la fanfare pour que leurs éclaireurs daignent me porter un coup d'oeil? D'autant plus que je ne suis pas chaud a l'idée de rester dans le Nord du Murandy.... Je ne sais pas pourquoi, mais ça me rends nerveux...D'autant plus que parader avec cette bannière dans l'espoir que ses cruches d'éclaireur me remarque ne fait rien pour améliorer mon humeur! Si il veut gagner la Dernière Bataille avec eux, je lui souhaite bien du plaisir....à
RP off: Est-ce assez clair? Envoi moi un MP si tu veut plus de précisions!
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
RP OFF: un éclaireur, c'est fait pour signaler. Si on veut t'embarquer on enverra un petit groupe. Mais pourquoi tu parades tout seul au lieu de venir te présenter?
RP ON
Un peu au nord du camp, près du chateau du seigneur Brent, deux éclaireurs remarquent un homme qui cavale d'un trot martial avec une bannière étrange, qu'ils n'ont jamais vu.
Un signal se fait alors entendre. Ils savent qu'un autre éclaireur du Dragon est dans les parages et a vu aussi l'homme à la bannière. Les deux éclaireurs se dirigent vers le bruit et rencontrent un troisième.
- Vous l'avez vu celui-là? Ca fait deux jours que je le vois parader ainsi, et seulement cela...Que veut-il à votre avis? Qu'on le remarque?
- Boarf, j'en sais rien...Et cette bannière, vous savez ce qu'elle représente? Mouarf il a pas l'air bien dangeureux...Si c'est un espion, et bien voila deux jours qu'il n'a pas approché vraiment du camps, et je vois pas ce qu'il pourra rapporter...Et s'il veut avoir à faire avec nous, il devrait venir se présenter! On ne va pas arréter et emporter tous les gens qui traversent la région tout de même...
- J'en toucherai un mot à mon officier, il connaître peut-être ce que représente le dessin sur la bannière! En attendant, s'il veut venir, on accepte tout ceux qui se rangent sous les ordres du Seigneur Dragon...
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Alors que je parade comme un imbécile, j'entends une sorte de cri d'oiseau, jusque là, rien d'étrange. Mais après réflexion, je me rends compte que c'est la première fois que je l'entends....étrange. Pus étrange encore, une sorte de bruissement fait suite à ce chant, comme si quelqu'un tenterait de se déplacer silencieusement. De plus en plus étrange, décidément. Je me dirige lentement vers la source du bruit...et j'entends quelque chose qui ressemble a un chuchotement. Bon, enfin! Je me lance repidement en direction du son et aperçois trois hommes, armés d'arc et habillé tout de vert.
Il était temps que vous indiquiez votre position! Aurait-il fallu que j'emmène une troupe avec fanfare avant que vous daigniez faire quoi que ce soit? Allez, ne restez pas comme ça les bras ballants, conduisez moi à votre camp! C'est que je n'ai pas que ça a faire, moi! Non mais, est-ce possible...? Les jeunes de nos jours...
RP off: j'ai a peu près trente ans, a toi de voir si la remarque s'appplique
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la campagne environnant le domaine de Brent et le camp de l'armée du Dragon*
Les trois éclaireurs se retournent alors comme un seul homme.
- Jeunes! dit le premier en fronçant les sourcils d'un air interrogateur. Il ne doit pas être de beaucoup plus vieux que nous, murmure-t-il à son compagnon.
- Doucement hein, ou tu vas avoir affaire à nous! Si tu voulais nous rejoindre plus tôt, tu n'avais qu'à trouver ton chemin tout seul! Un bon pisteur aurait trouvé lui....Mais ne t'inquiète pas, on va t'embarquer!
Et là dessus les trois hommes entourent le cavalier.
- Tout d'abord descend de cheval et dis nous qui tu es.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans le camp de l'armée du Dragon*
Hum ce n'est pas un homme du commun, cela se voit de suite. Se retournant vers les gardes:
- Vous deux suivez moi! Et vous aussi, dit l'officier en regardant le nouvel arrivant.
Les quatres hommes rentrent alors dans le camp, et se dirigent vers une tente plus massive que les autres.
- Vous gardez l'entrée de cette tente. personne n'entre, personne ne sort, c'est bien compris?
- Oui capitaine!
- Quand à vous, entrez donc et prenez place.
Les deux hommes s'assoient alors autour d'une simple table de bois, et après s'être regardé pendant quelques secondes dans les yeux...Quel regard dérangeant......le capitaine demande:
- Qui êtes vous donc pour vous présenter ainsi? Vous n'êtes pas un simple soldat ou mercenaire, cela je le vois.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la deumeure de Brent*
- Brent, Danner, approchez et asseyez vous. Bon, cette bataille m'a fait tout de même perdre un certain nombre d'hommes, dis-je en jetant un coup d'oeil vers le seigneur Brent.
- Pas encore assez pour ne pas continuer mon seigneur, réplique rapidement Jolen.
- Tout dépend du choix que vont faire les hommes de Brent...Mais de toute manière nous devons rester quelques jours ici pour que les hommes puissent se reposer.
Brent vous semblez préoccupé. Comment ont réagit vos hommes quand vous leur avez annoncé que vous me suivrez?
- Hum, cela dépend...Vous comprenez je les ais monté contre vous pour leur donner du courage avant que vous arriviez, à coup de...de...*faiblement* faux Dragon...
Enfin toujours est-il que certains ont cru que j'étais devenu fou. D'autres cependant, se contentent de la victoire que vous avez eu pour y voir un signe du destin. Je ne sais combien vous suivront.
- Bon...Il ne pouvait en être autrement. J'irai moi même leur parler plus tard. Danner, ce que dis Brent est juste? Comment interprétez vous la réaction de ses soldats?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Doucement hein, ou tu vas avoir affaire à nous!
Et pourquoi croyez-vous donc que je sois venu ici si ce n'est pour faire appel a vous? Je dois dire que vous avez un talent remarquable pour énoncer des évidences!
Faut-il leur indiquer qu'il faut mettre un pied devant l'autre pour marcher aussi?
Tout d'abord descend de cheval et dis nous qui tu es.
Bon, d'accord, si ça peut vous faire plaisir...
Je descend de mon cheval d'un saut svelte, faisant volontairement un peu de frime. Qu'ils me sous-estiment donc, en croyant que je ne suis qu'un frimeur. C'est toujours mieux qu'être sur-estimé...
Je m'appelle Shaevar, Bras Rouge de l'organisation des Shen An Calhar. Vous n'avez jamais entendu parler? C'est bien dommage...je dois rencontrer votre soi-disant Seigneur Dragon le plus rapidement possible.
" J'appartiens à la garde royale du Lugard et je suis venu en espérant sauver mon peuple du massacre qui l'attend. Les informations que je détiens pourraient l'aider, afin de mettre à terre le fantoche qui nous sert de roi. "
Puis il se léve, dépose ses armes sur la table.
" Je souhaite rencontrer votre seigneur, vous comprendrez que j'ai plus à perdre que personne ici en venant à sa rencontre, alors je vous prie de ne pas reporter ma sentence à plus tard. "
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la campagne environnant le domaine de Brent et le camp de l'armée du Dragon*
je dois rencontrer votre soi-disant Seigneur Dragon le plus rapidement possible.
- Soi-disant!
Immédiatement Shaevar se retrouve avec une épée pointée sur la poitrine et les deux autres largement sorties.
- Il va falloir être plus respectueux et coopératif si tu veux qu'on t'aide, sale mécrant! Quand on est si mauvais pisteur, on a au moins l'attitude humble qui correspond! Tu te prends pour qui!
- Nous sommes des pisteurs et éclaireurs du seigneur Dragonn reprend un autre éclaireur. Et nous allons te mener à son camp. Mais tu aurais gagné à être moins présomptueux. Maintenant, tu tiens ton cheval par la bride et tu nous suis.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans le camp de l'armée du Dragon, tente d'un officier*
- A la garde royale de Lugard...Cela pourra nous être trés utile. J'envoie immédiatement un messager, et ne soit pas si sûr de voir arriver une sentence! Le seigneur Dragon accepte toute aide disponible...Parfois même bien trop facilement je crois...mais qui suis-je pour dire cela hein?
L'officier se lève et parle quelques secondes à un des gardes à l'entrée de la tente. Puis il revient.
- En attendant son retour souhaiterais-tu m'acompagner sur une rasade de la gnôle du pays? Tu me sembles sympathique...
Et même trop! Il a un certain charisme...Boarf, un verre ne peut faire de mal.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Immédiatement Shaevar se retrouve avec une épée pointée sur la poitrine et les deux autres largement sorties.
- Il va falloir être plus respectueux et coopératif si tu veux qu'on t'aide, sale mécrant! Quand on est si mauvais pisteur, on a au moins l'attitude humble qui correspond! Tu te prends pour qui!
- Nous sommes des pisteurs et éclaireurs du seigneur Dragonn reprend un autre éclaireur. Et nous allons te mener à son camp. Mais tu aurais gagné à être moins présomptueux. Maintenant, tu tiens ton cheval par la bride et tu nous suis.
J'éclate de rire.
Mais que voila, des éclaireurs du Seigneur Dragon! Cela vous est il passé par l'esprit qu'il existe d'autres talent que la traque? Celui d'avoir un peu de prestance arme en main, par exemple.... ce dont vous sembler manquer singulièrement.
Rangez-moi ces épées ridicules, car si jamais vous tentiez une quelquonque action contre moi, non seulement cela serait très dommageable pour votre santée immédiate, mais de plus votre Seigneur Dragon comme vous l'appellez si bien pourrait se retrouver avec des complications imprévues....
Allez, j'ai une offre intéressante a lui faire, alors vousme conduisez a votre camp et je vous suit!
Je n'ai plus de temps a perdre
Bon, je me suis engagé dans une mauvaise voie avec ces gardes...mais je n'y peut rien, ce temps d'attente ne m'as pas fait de bien, et je suis un homme d'action, je n'aime pas être inactif trop longtemps...espérons qu'il me conduisent a leur camp le plus rapidement possible...
A l'avenir, je dois m'efforcer de tempérer mon caractère quelque peu impulsif, ne serait-ce que pour le bien de ma mission.
" Tu es bien brave, mais je suis trop préoccupé pour le moment et je dois garder l'esprit clair face à ton seigneur. Mais une fois notre entrevenue achevée serait un plaisir de trinquer avec toi. "
Danner, ce que dis Brent est juste? Comment interprétez vous la réaction de ses soldats?
Hé bien, Seigneur Dragon... Il est vrai, d'àpres ce que j'ai pu voir que les hommes de Brent ne sont pas particulièrement heureux de vous suivre. Ils ont peur.
Mais pour la plupart, bah, l'assurance d'une paie et d'une repas chaud tous les jours leur suffira.
*Et l'apparation du nez d'une Aes Sedai ou le manque de pièces sonnantes et trébuchantes les feront disparaître dans la nature...*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la demeure de Brent*
- Hum, bon bon...La corrélation immédiate est qu'il faut donc que les repas chauds arrivent sans faute...Jolen, vous voudrez bien vérifier où en notre ravitaillement et nos réserves?
La discussions se poursuit alors quelque temps sur la stratégie future à adopter, puis arrive un messager du camp.
- Entre donc, mon brave.
- Mon Seigneur Dragon!, répond l'homme, en s'incliant.
- Quel est ton message?
- Un homme est arrivé au camp mon Seigneur. Il dit...faire parti de la garde royale de Lugard...L'officier de garde m'a envoyé vous le dire...
- Oui, oui merci. Laisse nous quelques secondes.
Je me retourne vers Danner, Jolen et Brent:
- De la garde royale de Lugard! Vous entendez cela? Ca veut dire qu'on fait peur...que la situation politique du Murandy est pire que ce que nous escomptions! Pire que ce que vous m'aviez dit Brent...Nous allons tous les unir sous ma bannière! Il ne faut pas traîner! Vos craintes ne sont pas fondées Danner. Encore un peu de repos pour les hommes, et nous repartons.
Humpf, et nous ne voyons rien ici.
Le temps d'un regard, et d'un léger filet de pouvoir, les deux lampes de la cheminée s'allument.
C'est à chaque fois plus facile, je le fais presque même sans y penser...Et Brent qui ouvre de grands yeux! Il va falloir qu'il s'y habitue...
Je fait alors revenir le massager.
- Messager! Va chercher ce nouvel arrivant et ramène le moi ici.
- Bien mon Seigneur.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la campagne environnant le domaine de Brent et le camp de l'armée du Dragon*
Allez, j'ai une offre intéressante a lui faire, alors vous me conduisez a votre camp et je vous suit!
Je n'ai plus de temps a perdre
- Vous seul, un offre interessante à lui faire? Mouarf nous allons te conduire à lui, sois en sur. Il ne semble en effet pas totalement innoffensif... Mais TU passes devant. Et cesse de fanfaronner. Nous ne sommes qu'à quelques heures de marche du camp du Seigneur Dragon.
Nous marchons dans ce couloir depuis des heures me semble-t-il, quand une lueur apparait au bout. Nous parvenons dans une petite pièce faiblement éclairée munie d'une table et quelques chaises. Quelques hommes sont assis là. Celui qui nous a conduit jusqu'ici se retourne vers nous et avec un unique regard indifférent, sort de la pièce.
La première auberge que nous avions visité, semblait bondée de jeunes gens voulant rejoindre les troupes du 'Dragon'. On avait du s'inscrire sur une liste d'attente et patienter deux bonnes heures, sans la moindre possibilité de consommation, l'Auberge étant surchargée. Mais notre tour avait finit par arriver et cet homme nous avait fait signe de le suivre. On s'était renfoncé dans tant et tant de pièces, passages secrets, couloirs et ouvertures que je n'aurai su retrouvé mon chemin, l'obscurité toujours régnante n'améliorant rien.
La porte fermée, j'osberve, derrière Karion, les trois hommes qui à présent nous ont remarqué et nous regardent. Je devine que le chef est celui de gauche, il a quelque chose de particulier dans le regard... et surtout il a l'air de dominer les deux autres. Il est plutôt sombre, la mine de celui qui réfléchit et travaille beaucoup mais qui a de l'ambition et de l'espoir dans les yeux. Il est assez grand et mince, bien que sa tunique laisse deviner des membres fermes et musclés. Les épaules affaissées, il se tient pourtant droit. Il est acoudé à la table, qui elle est recouverte de ce qui semble un mélange de rapports à demi ouverts, de parchemins en vrac et de cartes de différents lieux.
Laissant le soin à Karion de prendre la parole, je n'en écoute et obsèrve pas moins tout ce qui peut se passer.
Après tout ce voyage nous voici enfin arrivés auprès de cet homme. Je vais enfin pouvoir en apprendre plus.
Nous nous retrouvons devant trois hommes. CElui de gauche semble être le chef.
Maintenant il faut rentrer dans ses bonnes grâces afin de pouvoir l'espionner facilement
Bonjour Messieurs, je me nomme Karion et je viens du Shienar et voici Ylnaa ma compagne. Nous avons entendu des rumeurs du retour du Dragon à Tar Valon et avons décidé de venir nous joindre à vos troupes. J'espère que vous nous accepterez parmis vous et que nous pourrons servir votre cause.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Après environ une heure de marche, nous arrivons en vue du campement. Bien installé, même si l'on remarque immédiatement qu'il n'est pas fait pour durer. Intéressant, ils ont donc l'intention de bouger...mais pour aller où?
Quand pourrais-je le rencontrer? dis-je aux gardes derrière moi
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*arrivé au camp du Dragon avec Shaevar*
- Tu ne pourras pas le rencontrer avant de passer par un officier...Nous ne sommes que des éclaireurs je te rapelle!
Et nous allons t'y emener de ce pas.
Les trois éclaireurs entrent dans le camp, saluant les gardes à l'entrée, et vont voir le nouvel officier qui s'occupe de la garde.
Il sort de sa tente, regarde le nouvel arrivant.
- Qui est-il? demande l'officier aux éclaireurs.
- Il paradait depuis quelques jours, et veut rencontrer le Seigneur Dragon...
- Tant que ça...Bon, vous restez devant la tente le temps que je l'interroge, et vous aurez bien gagné votre repos après cela.
- Merci mon Capitaine!
- Vous, vous me suivez, dit le capitaine en s'adressant à Shaevar.
Il entre dans sa tente.
- Alors, qui êtes vous, et que voulez vous? Il vous fait savoir que des farfelus se présentent souvent, et qu'il faut avoir une sacrée justification pour se présenter au Seigneur Dragon. Il n'est pas ici pour l'instant, qui plus est.
Si je dois faire l'intendant pour rester près de lui, soit!
Je sors des réserves du domaine de Brent, accompagné de son intendant,
je gribouille les différents comptes des denrées sur un bout de parchemin, pouvoir faire mon rapport à Aedmun.
Cela fait à peine de quoi nourir 2000 hommes tout ça!
l'intendant: mais messire, il y a de quoi nourir tout le personnel de Messire Brent pour tout l'hiver!
Et bien cela ne sera pas assez, y a t'il des entrepots ailleur? Dans une autre ville du conté, ou dans des fermes?
l'intendant: oui messire, mais cela représente le seul espoir de survit pour les gens de la région! si vous enmenez tout, ils vont mourrir!
C'est la guerre ! si ces gens ne veulent pas rester là en ayant faim, qu'ils suivent le seigneur Dragon!
Je m'éloigne de ce pleurnicheur, cela m'énerve les gens qui se plaignent. Il faut aussi contrôler les réserve au camp.
*Jolen rejoint les écuries pour récupérer sa monture et rejoindre le camp.*
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
- Alors, qui êtes vous, et que voulez vous? Il vous fait savoir que des farfelus se présentent souvent, et qu'il faut avoir une sacrée justification pour se présenter au Seigneur Dragon. Il n'est pas ici pour l'instant, qui plus est.
Je me nomme Shaevar et je suis bras rouge dans l'organisation des Shen An Calhar.
Vous ne nous connaissez peut-être pas....nous sommes une organisation dont le but est de se mettre au service du Dragon Réincarné lorsqu'il reviendras.
C'est pourquoi mon général m'as demandé de rencontrer ce soi-disant Dragon, afin de savoir si c'est véritablement le Dragon Réincarné.
Vous me semblez un hommes intelligents...on ne convaincs pas 500 hommes raisonnables sans avoir certaines preuves...et je suis ici pour obtenir ces preuves. Mes hommes ne sont pas de fanatiques ou des mystiques...ce sont des soldats qui croient en la cause du Dragon. Et je ne crois pas me tromper en disant que votre armée se compose principalement de fanatiques et de mystiques....
Avant que vous posiez la question, nous sommes une amée entraîné, totalement autonome et nous possédons tout l'équipement qu'il nous faut: chevaux, lances, arcs, épées...
Inutile d'être un grand stratège pour deviner que nous serion un très grand atout pour l'homme que vous servez.
Alors, ces raisons sont-elles suffisantes pour vous?
* dans le camp * Bon et bien le bilan n'est pas lourd, mais c'est un peu mieux que ce qu'il reste chez Brent. Les soldats du Dragon ont la technique pour trouver des vivres! Par contre essayez de ranger cela mieux que ça!! il faut faire attention au moindre pain, les temps vont être durs sans en plus faire du gachis!
Le garde de l'ordinaire: A vos ordres seigneur Jolen. je griffonne quelques chiffres sur mon bout de parchemin et me dirige vers ma tente personnel.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
* Dans une auberge, non loin du village du Seigneur Brent*
Voila des heures que nous sommes là et il en arrive encore...Le problème est que la pluspart ne sont pas formés. Une armée inexpérimentée, c'est rien de plus qu'un tas de bouches à nourrir en échange de rien...A moins de n'avoir aucune humanité et de les envoyer à la bataille comme chair à canon...
Le capitaine regarde son second à sa droite:
- Mouarf, on a encore juste assez d'instructeurs, mais va bientôt falloir en toucher un mot au Seigneur Dragon...Ca va pas pouvoir continuer longtemps. Bon, qui êtes vous vous deux? Des vagabonds? D'où venez vous? Ah et excusez mon ton brusque, mais ca fait trop longtemps que je suis derrière cette table...
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la tente d'un officier avec Shaevar*
Hum...il a dit..."ce soi-disant Dragon"...Hum hum...je ne vais rien dire pour l'instant, d'autant plus qu'il tient correctement son épée le bougre, mais je crois qu'il va comprendre. Car le Seigneur Dragon verra ces propos rapportés bien évidemment en intégralité! Et il apprendra à être un peu plus humble...
"Et je ne crois pas me tromper en disant que votre armée se compose principalement de fanatiques et de mystiques.... "
- Hum, au moins vous êtes franc...Bon, je vais l'aider un petit peu... Mon brave, méfiez vous de ce que vous direz devant le Seigneur Dragon, car vous allez trop loin.
Nous avons en outre des bons soldats, et votre prétention pourrait vous desservir. Je vous signale simplement que vous êtes ici entouré de 5000 hommes, et donc à notre merci.
Là où vous avez raison cependant, c'est que des hommes entraînés sont toujours un atout...Et bien nous verrons, je vais faire passer un message au Seigneur Dragon.
J'ai plusieurs questions tout de meme. Tout d'abord, vous êtes le chef de ces 500 hommes "raisonnables" dont vous parlez?
Ensuite, les bouches à nourrir sont un sacré problème, notamment parceque de nouveaux hommes arrivent tous les jours. Vous subvenez vous mêmes à vos besoins?
Enfin, possédez vous parmis les votres des instructeurs? Cela risque d'interesser le Seigneur Dragon...
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Tout d'abord, je ne suis pas le chef des Shen An Calhar, seulement un officier dans l'organisation. Mon chef est le général Kelenvor, et il est resté au camp, il as beaucoup a faire.
Comme je vous le disait précédement, nous sommes totalement autonome, que ce soit au chapitre des instructeurs, de la nourriture ou de l'armement, ce qui est très appréciable, vous en conviendrez. Et si nous en venons a joindre vos rang, nos instructeurs seront a la disposition de toute l'armée, bien évidemment.
Mais comme vous l'avez sûrement remarqué, je ne donne pas encore son titre à l'homme que vous servez...je le fait sciemment et je suis tout à fait conscient de ce qu'il peut en penser. Je voudrais que vous sachiez que je ne suis pas encore a son service, que notre organisation n'est pas encore a son service, mais que nous pourrions éventuellement le devenir s'il s'avère être le Dragon Réincarné.
Je ne le fait pas dans un souci de provocation, loin de moi cette idée, mais afin de rappeller notre position.
- Mouarf, on a encore juste assez d'instructeurs, mais va bientôt falloir en toucher un mot au Seigneur Dragon...Ca va pas pouvoir continuer longtemps. Bon, qui êtes vous vous deux? Des vagabonds? D'où venez vous? Ah et excusez mon ton brusque, mais ca fait trop longtemps que je suis derrière cette table...
Bah dis donc il est vraiment fatigué lui je viens de nous présenter et il me repose les mêmes questions
Nous nous nommons Karion et Ylnaa, Nous sommes venus ici pour nous joindre à vous, nous venons de Tar Valon ou nous étions allé recontrer des amis.
Un curieux personnage possédant des yeux couleur de feu arrive d'un pas lent vers le camp du "seigneur dragon". Une hache à double tranchant accroché à sa ceinture. Il est habillé comme un chasseur et semble ne pas avoir pris de bain depuis fort longtemps.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
* Dans une auberge, non loin du village du Seigneur Brent*
- Il vous a déja répondu mon capitaine...
- Ah...euh oui, bon bon...Vous dites Karion et Ylnaa?
Le capitaine se rend compte alors que l'auberge est bien plus pleine qu'avant. Et qu'il y a du monde dehors. Qu'est-ce que cela veut dire? Encore des recrues? Tous les hommes du coin se sont donnés rendez-vous ici? Bon, on verra bien après. Mais d'un coup, j'ai une sacrée forme moi! Et avec tout ça, le Seigneur Dragon pourra arriver à ses fins! Allez, y'a encore du boulot.
- Vous dites que vous venez d'où? Le brouhaha a couvert vos paroles. Bah, ca n'est pas grave! De toute façon, tant qu'ils ne viennent pas d'Amador ou de Tar Valon, pas de raison de se méfier... Et ils ne viennent surement pas de là. Et vous êtes deux...dont une femme! Mais que vient-elle faire ici?
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la tente d'un officier avec Shaevar*
Une organisation...une armée organisée...c'est un don du ciel! le Seigneur Dragon saura saura y voir clair, j'en suis sur! - Bon, je comprend. Mais sachez avoir un peu de tact...Je vais faire mettre au courant le Seigneur Dragon.
C'est d'ailleurs le second personnage non du commun qui arrive dans la journée...Et bien, au moins, le recrutement ne pose pas de problèmes! L'officier appelle le messager et lui transmet ce qu'il doit dire au Seigneur Dragon.
Il fait décidément beaucoup de chemin aujourd'hui!
- Parlez moi donc de ce Kelenvor! Comment est-il? Est-ce un bon stratège? Etes vous un de ses conseillers? Nous sommes aussi à la recherche d'un Etat Major solide et complet.
RP OFF: je dois gérer le membre de la garde royale de Lugard, Shaevar, Karion, la deumeure de Brent, Senek, ça fait du monde, et je suis en partiel. M'en veuillez pas si j'avance pas vite. De Toute manière, faut pas non plus que tout s'enchaîne trop vite, sinon on sera en décalage avec le nord . D'autant plus que Karion et Ylnaa vous êtes arrivés un peu trop vite de Caemlyn .
Mais ça va bouger, vous inquiétez pas!
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Devant le camp du Seigneur Dragon*
"Je veux voir votre chef!!!"
Les gardes du camp, voyant arriver Senek:
- Encore un! Et bien armé qui plus est...Il a d'ailleurs quelque chose de dérangeant que je ne saisis pas... - Le Chef! Mouarf, le Seigneur Dragon déja...Ah, et bien évidemment, on ne peut voir le chef comme cela! Sais-tu au moins où tu es? Et d'ailleurs, qui es-tu? Et d'où viens-tu comme cela? Les gens normaux arrivent par les routes, par le village....
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
RP OFF: Prends tout ton temps, je ne suis pas spécialement pressé
RP ON:
- Parlez moi donc de ce Kelenvor! Comment est-il? Est-ce un bon stratège? Etes vous un de ses conseillers? Nous sommes aussi à la recherche d'un Etat Major solide et complet.
Kelenvor est le général le plus accompli que j'ai rencontré jusqu'a présent... mais il faut avouer que je n'ai pas rencontré une tonne de généraux. La plupart était des nobliaux à la solde d'un roi, et tout ce qu'ils avaient accompli se résumait à de la théorie.
Quoi qu'il en soit, grâce a Kelenvor, nous avon pu mener nos missions de financement a bien avec relativement peu de perte.
Hé oui, il fallait bien que nous trouvions de l'argent pour nous entretenir..nous accomplissons régulièrement des missions pour le compte de rois et de reines divers...pour autant que cela concorde avec notre éthique.
Enfin, pour en revenir a mon chef je crois qu'il est née en Arafel, mais je ne suis pas certain. En fait, a ma connaissance, personne ne connaît ses véritables origines...mais je serais prêt a parier mon cheval qu'il vient des Marches.
Quand a moi...je suis un officier, et il m'utilise comme homme de main. Une mission doit être faite a l'étranger, c'est généralement moi qu'il envoie. Il a d'autres officiers, bien sur, mais je suis celui qui voyage le plus.
Et vous êtes deux...dont une femme! Mais que vient-elle faire ici?
Je m'avance légérement et regarde l'officer dans les yeux. Ja parle un peu plus fort que le monsieur, histoire d'être sûre qu'il m'entende.
- Je l'accompagne. Mais surtout, je suis désireuse de me joindre aux troupes du Dragon, car sa cause me touche, et je pense qu'une femme peut être tout aussi utile à votre chef. Je peux négocier, influencer, infiltrer les rangs d'ennmis, servir d'appat... Bref, je saurais me rendre utile. N'en doutez pas.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
RP OFF: Pas de smileys en RP Senek, on raconte
*Devant le camp du Seigneur Dragon*
"Comme tu peuX le voir, je ne suis pas "normal".....
Et te moquer de moi ne t'amenera à rien de très bon, crois moi. "
- Et prétentieux qui plus est!
Neuf gardes sortent alors leur épée, la pointant dangeureusement vers le jeune homme.
- Que les choses soient bien claires, gamin: tu arrives ici, parceque tu veux nous rejoindre? Et bien pour cela, il faut se plier aux règles et ne pas faire le malin dés le départ. Tu iras, comme tout le monde si tu souhaites rester, dans le camp des nouveaux. Et le Seigne Dragon viendra vous voir, ne t'inquiète pas!
Maintenant, explique nous ce que tu as de pas "normal"...Et sache que personne ici n'est embêté pour cela: le Seigne Dragon l'a bien dit, quand il faut s'unir pour vaincre, les différences s'estompent et la necessité l'emporte. Je te répète ici ses propres paroles. Personne ne te tiendra donc riguer de tes particularités!
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
* Dans une auberge, non loin du village du Seigneur Brent*
"Et maintenant, que faisons nous ?"
- J'en doute pas ma p'tite dame, que vous saurez vous rendre utile ahahah. Vous m'plaisez, je vous prend, on vous amènera à Saloma, elle vous trouvera bien quelque chose. Vous dites savoir infiltrer, négocier, influencer? J'en parlerais à mon supérieur, soyez en sûre...
Quand à vous jeune homme, vous paraissez solide, et vous irez donc dans un premier temps rejoindre les autres au camps des nouveaux. Le Seigneur Dragon vous verra tous, et on vous testera pour savoir ce qu'on peut faire de vous. Allez voir mon lieutenant, qui se trouve là-bas.
Le capitaine montre alors l'autre porte de l'auberge.
- En la passant, on passe la première étape pour entrer dans l'armée d'Aedmun, mon gars!
RP OFF: Shaevar, Karion: les Shen An Calhar ont ils un signe distinctif quelconque?
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la demeure de Brent*
Un homme arrive en courant:
- Monseigneur Dragon! C'est la cohue à l'auberge de recrutement! Tous les gens du village de Brent veulent s'enrôler! Nous ne comprenons pas pourquoi, si vite, d'un coup...Et mêmes des hommes âgés! Et des trés jeunes aussi! On dirait qu'une tornade est passée dans le village...
- Brent, vous avez une idée? Allez, vous avez bien une vielle idée quoi?
Les yeux encore plus éberlués si c'était possible après le canalisage, Brent répond par un haussement d'épaules impuissant.
- Bon bon...Vous m'envoyez chercher des officiers au repos, et vous les mettez au recrutement. On prend tout le monde, J'ai mon idée pour le problème des vivres, et de toute manière j'attend le rapport de Jolen... au moins pour les tests.
Avec ça, nous pourrons partir encore plus vite que prévu! On m'a rapporté hier soir qu'avec les quelques 2500 hommes qui me restait après la bataille d'il y a quelques jours maintenant, les 1000 hommes de Brent en comptant les prisonniers de son ancien collègue, et les 1000 hommes arrivés depuis, me voila avec 4500 hommes valides. J'aurais bientôt 5000 hommes dont 600 cavaliers, autant qu'une légion de Blancs Manteaux, et nous allons pouvoir avancer sur Lugard! - Bien mon seigneur!
C'est sur ces entrefaits qu'arrivent l'officier et le membre de la garde royale de Lugard. Quelques secondes plus tard, Jolen fait son entrée pour le rapport logistique.
==>Continue dans le topic "Dans la deumeure de Brent" (ici)
- En la passant, on passe la première étape pour entrer dans l'armée d'Aedmun, mon gars!
Ben c'est ce que je veux faire, ça tombe bien tout ça
*Je me dirige avec Ylnaa vers la porte désignée précédément par l'homme. Je me retrouve de nouveau a attendre pour pouvoir parler à ce lieutenant.
*Je m'adresse à Ylnaa à voix basse.
J'espère que nous ne serons pas séparés, en tout cas, si celà arrivait, essaye d'en apprendre le plus possible et je viendrai te chercher dès que j'aurais appris ce qui m'interesse
Je lui lance un petit regard affectif et chuchote sur le même ton.
- D'accord. Mais je me rend compte... On a jamais été vraiment séparés depuis que... Hum. Fais vite alors dans ce cas. Le mieux serait qu'on soit pas du tout séparé... Mais ça m'étonnerait. Et toi, repère toutes les catégories de gars qui font partis des suivants du 'Dragon', et ceux qui veulent l'être. D'où ils viennent et pouquoi, ça peut être très interessant.
rp off : Klian, tu faislelieutenant aussi ou bien on s'en occupe comme des grands ?
Shaevar : tu veux dire que mon mec a la main rouge et noire ? Ah ben nan alors
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Devant le camp du Seigneur Dragon*
Le nouvel arrivant a toujours les 9 gardes autour de lui, et il continue à faire le malin. Et bien il va au moins un peu le regretter... Cinq des neuf gardes pointent leurs épées directement sur la poitrine ou le dos du jeune homme, pendant que deux autres le désarment. Le dernier prend les devant, et la trouve rentre dans le camp.
Un officier est appelé, et l'anecdote lui est racontée.
Il prend alors les armes du jeune homme, qu'un soldat vient de lui donner.
- Hum, une bien belle arme, bien équilibrée...Alors comme ça, tu arrives en fanfaronnant. On te reprend, on te dit que tout n'est pas si simple, que le Seigneur Dragon ne se rencontre pas comme cela, et tu fanfaronnes encore.
On m'a dit de plus que tu n'étais pas tout à fait "normal"...Ou plutôt que tu avais dit ne pas l'être!
L'officier regarde alors droit dans les yeux le jeune homme, solidement maintenu par trois gardes.
- Deux questions donc, et je te conseille d'y répondre sagement: à quoi joues-tu? Et qu'as-tu d'anormal?
Sache en outre que tout les nouveaux sont visités par le seigneur Dragon.
Voyant qu'il est solidement pris par les trois gardes, il commence à s'énerver puis il réfléchis: Si j'assome les deux zigotos qui me tiennent, je ne sais pas si je pourrais m'enfuir après.... Le mieu reste, je pense de garder son calme.
Pardon...... Qui fanfaronne???*
Je n'aime pas être insulté, surtout par des humains un peu trop hautain à mon goût. Je te conseille de dire à tes hommes de me lacher.
Quoi qu'il en soit, puisque vous m'avez dit qu'il viendrais me consulter, je vais rester là et l'attendre... Mais ne vous attendez pas à ce que je vous oublie. Votre attitude désinvolte ne convient pas à un officier.
Et n'oublier pas de me rendre mon arme. Elle m'est très chère.
RP OFF : je sais pas s'il faut faire un multi pour le lieutenant ou pas, si c'est juste pour nous ça vaut pas le coup, par contre si plusieurs personnes créent des multis pour se joindre a cette armée ça pourrait être sympa
RP ON
Je fais signe à Ylnaa
Allos voir ce lieutenant.
Nous passons la fameuse porte qui nous fait faire le premier pas dans son armée. Esperons qu'il sera possible d'en sortir facilement s'il s'averait que nous servions un faux dragon.
Je cogne a la porte.
Un homme en armure vient m'ouvrir. Il a l'air fatigué de celui qui ne dors pas beaucoup. Sa barbe mal rasée montre qu'il n'a pas beaucoup de temps pour lui. Celà signifie qu'il a beaucoup de travail et qu'un grand nombre de personnes viennent se présenter ici.
Ah, encore des nouvelles recrues, c'est mon collegue qui vous envoie ?
Oui il nous a dit de venir vous rejoindre en attendant de pouvoir rencontrer le seigneur Dragon pour qu'il puisse venir tester nos aptitudes
Bon vous allez aller rejoindre les autres, en sortant de l'auberge vous prennez la quatrième rangée a gauche, vous devriez trouves deux places dans une des tentes. Faites attention où vous mettez votre dame, elles sont rares par ici.
Vous commencerez l'entrainement demain à l'aube. Allez au terrain d'entrainement lorsque vous entendrez le cor sonner
Je sors alors de cette pièce et me dirige avec Ylnaa vers la rangée qu'il nous a indiqué. Après avoir ouvert deux tentes pleines a déborder, la troisième tentative nous révèle un seul homme entrain d'aiguiser son épée. Son aspect n'est pas très rassurant mais je décide quand même de rentrer, suivi par Ylnaa
Salut, on peut s'installer ici?
Ouais, allez y , si ma compagnie vous dérange pas. Les autres ont peur de moi, y disent que je suis fou. Enfin moi j'y crois pas, et je m'appelle Gardor.
Moi c'est Karion, et elle Ylnaa, c'est ma compagne. on va se mettre de ce côté ci et ça se passera bien entre nous.
Je jette mon sac dans un coin puis m'allonge sur le lit avec Ylnaa pour me reposer
Allongée je soupire un grand coup. *ça fait du bien tout de même* Puis je m'étale le plus possible sur Karion qui pousse des grognements pendant que je pouffe discrètement de rire. Je lui mord le gras du ventre et trifouille dans ses bouclettes.
*** Quelques temps passent (par là, oui ils avaient envie de boire un coup)***
Après réfléxion, je croisis le Dromé noir au lieu du Girk Bleu. J'abbas superbement ma carte sur le sol et remporte le pli, à la grande consternation des deux hommes. Cependant je me rend compte qu'il me manque deux atouts pour mettre à bien la technique que j'avais prévue. Je ne souris plus, tout à coup. Je reste perplexe, j'ai foiré mon coup ! Raaaah je suis pas contente là. Je tente quand même et jette la carte suivante, le 5 d'ac noir.
***
Nous nous promenons, Karion et moi, dans le camp... On nous regarde pas toujours d'un bon oeil, surtout moi. Mais alors des oeils c'est fou ce qu'ils en jettent pourtant ! Surtout sur moi, etrangement. Nous nous écartons quelques peu du campement, nous nous enfonçons dans les bois qui sont autour. Dès que je pense que nous sommes à l'abri des regards et des oreilles, je plaque brusquement, sans prévenir, Karion contre un arbre et lui dit d'un air grave :
"- J'ai peur. Tu sais qu'on court de graves dangers, et tout ça pour quoi ? ...
J'aime pas cet endroit, j'aime pas ces gens, je suis morte de trouille à l'idée de rencontrer l'autre illuminé ! Je le sens, c'est pas lui ce fichu Dragon !..."
Je le regarde et lui lance des tonerres de braise. Une petite larme coule le long de ma joue droite, pourtant mes yeux sont noirs, graves, les sourcils froncés. Toujours stupéfait, il n'a pas le temps de réagir : Je l'embrasse furieusement. Puis je l'enlace avec une grande tendresse, désirant disparaître avec lui, en lui. Je ne souhaite qu'une chose : oublier un instant où et qui je suis.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Dans la tente d'un officier avec Shaevar*
- Kelenvor n'a donc pas fait "que du théorique", comme vous dites...Et bien tant mieux! Il pourra sûrement nous êtres utile si vous vous joignez à nous.
Après une pause que quelques secondes:
- Et vous, vous êtes celui qui voyagez le plus, et vous acceptez les missions à risque...Vous semblez en tout cas dévoué au général Kelenvor... Enfin, moi même je ne peux parler plus avant avec vous de tout cela. Je ne suis qu'un officier du Seigneur Dragon, et lui seul décide.
Quelques minutes passent, autour d'une discussion sans intérêt particulier, puis le messager revient.
- Shaevar, on me fait dire que le Seigneur Dragon interroge un autre homme. Vous pouvez cependant avancer vers le château du Seigneur Brent et il devrait pouvoir vous recevoir après. Messager? Prenez deux gardes et accompagnez l'homme ici présent jusqu'au chateau.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Autour du camp du Seigneur Dragon*
Un éclaireur voit veux jeunes gens s'embrasser contre un arbre. Il s'approche, puis, par politesse, les interpelle d'assez loin.
- Hey, que faites-vous là, vous deux? Qui êtes vous! Si vous êtes des nouveaux-venus, sachez que trop s'éloigner du camp n'est pas autorisé! Si vous voulez vous balader, vous, jeune homme, tentez de devenir éclaireur!
Voyant que les soldats n'en démordent pas, je décide donc de changer d'attitude.
Bon......
Je suis désolé d'avoir été aussi arrogant...
Mais pourrais-je quand même lui parler au plus vite???
Ou même à qulqu'un de son entourage histoire que je cerne un peu les gens avec qui je risque de travailler, mais comme je vous l'ai dit je ne veux pas faire d'erreur et servir un faux dragon pourrait bien en être une... Alors????
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Vous pouvez cependant avancer vers le château du Seigneur Brent et il devrait pouvoir vous recevoir après.
Très bien, je vous remercie léger signe de tête en guise d'au revoir. Je me retourne et suit le messager a l'extérieur de la tente.
Sympathique, cet officier. C'est rassurant de voir que des gens compétents ont des grades appropriés. Enfin, on peut toujours espéré que tout ses ifficiers sont ainsi....
La demeure du Seigneur Brent se profile a l'horizon..
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Devant le camp du Seigneur Dragon*
- Merci jeune homme, c'est déja mieux. Sachez simplement, et je vous le répète encore une fois car vous semblez vous être calmé et que j'apprécie cela, que si le Seigneur Dragon rencontre tous les nouveaux, il ne peut leur parler un à un. Savez vous combien arrivent chaque jour? Mais il viendra vous voir. En attendant, vous allez vous diriger, avec ces deux soldats *le sous-officier désigne deux hommes de la main*, de l'autre côté du camp et aller voir l'officier de recrutement. Ne vous inquiétez pas, vous rencontrerez Aedmun Kigarin bien assez tôt.
RP OFF: Senek, Karion et Ylnaa, vous gérez et construisez les choses comme vous le souhaitez dans le camp d'entraînement et de recrutement.
Rp off:
Quand tu dit qu'on peut construir les choses comme on le souhaite, tu veux dire qu'on peut diriger des PNJ pour faire avancer l'histoire????
Rp on:
Ahhh, le problème semble régler, cependant, j'espère qu'ils ont compris que je ne peux pas risquer de m'engager xhez un homme dont j'ignore complètement la nature..."
Officier!!! et pour ma hache, j'aimerais bien la récupérer, elle m'est très importante...
Hey, que faites-vous là, vous deux? Qui êtes vous! Si vous êtes des nouveaux-venus, sachez que trop s'éloigner du camp n'est pas autorisé! Si vous voulez vous balader, vous, jeune homme, tentez de devenir éclaireur!
Eclaireur, pourquoi pas... m'enfin on verra ça demain.
-Ylnaa, nous venons d'arriver et je pense qu'ils vaudraient mieux que nous ne nous fassions pas remarquer, rentrons au camp.
Nous prennons la direction du camp et rentrons dans la tente. Nous nous retrouvons face à Gardor entrain d'aiguiser on poignard avec un regard sadique. Je sens les doigts d'Ylnaa se cripser sur ma main.
L'idée de dormir dans la même tente que cet homme ne m'enchante pas mais je vais essayer de m'en faire un allié.
Dites, vous savez si on peut dormir tranquille ici? Y a pas des gars qui trainent pour essayer de piquer des choses dans les tentes des autres ? Vous croyez qu'il faut monter la garde
*lève la tête , semblant sortir d'un état de transe* Hein ? des voleurs? non aucun risque, des gardes tournent dans le camp, personne oserait sortir. Vous pouvez dormir tranquille
A moitié rassuré je me couche dans un coin de la tente Avec Ylnaa et je m'endors au son de la lime qui crisse contre la pierre a aiguiser.
***
Je suis réveillé en sursaut par le son d'une corne dans laquelle quelqu'un s'époumone.
Gardor est assis a la même place que hier soir, toujours entrain d'aiguiser son poignard. A t-il bougé durant le nuit
C'est quoi ce bruit ?
C'est pour le lever, ça veut dire que vous devez être le plus rapidement possible sur le camp d'entrainement.
Je réveille Ylnaa et lui explique la situation. nous nous préparons rapidement et nous dirigeons vers le terrain d'entrainement. Un officier nous y attend sans doute pour nous repartir.
RP OFF = si y a un membre du conseil ou un multi qui veut jouer l'officier ça serait plus drole
EDIT : je prends !
Et pour les balises, c'est [ rouge ], in french please .
Tenez et faites attention à ne pas vous couper...
"mode officier off."
Ne vous inquiétez pas pour ça...
petit sourire malicieux
Se dirige vers la tente de recrutement où il appercoit l'officier chargé du recrutement.
C'est vous qui êtes chargé du recrutement???
"mode officier de recrutement on:"
Mouai... Qu'est ce que tu veux??
"off "
Je voudrais m'engager dans l'armée du vrai dragon...
"on"
Qu'est ce que tu insinue???
Si tu l'avait vu ne serait-ce qu'une fois tu n'aurais plus le moindre doute. Ne t'inquiète pas pour ça, il est le vrai dragon et tout les peuples jusqu'à la grande dévastation courberont l'échine devant lui.
"off "
Comment un homme peut-il croire autant lui... Il n'y a plus de doutes possible, ce doit être lui le véritable dragon!!! "On"
Et qu'est ce que tu sais faire???
Quelles sont tes compétences je veux dire...
"off "
La forêt n'a pas de secret pour moi, je connais un peu le secret des plantes médicinales et je me débrouille plutôt bien avec ça.Montre sa hache à double tranchait, toujours accroché à sa ceinture. "on"
Je pense que tu pourrais faire un bon écaireur, va te présenter demain matin au terrain d'entraînement, quelqu'un te testera et nous verrons bien où te caser... En attendant, trouve toi une tente et va dormir.
"Off "
Se dirige vers la première tente qu'il voit.
********************
levé tôt ce matin je me suis dirigé vers la forêt en attendant le signale du réveil.
En entendant le son de la corne, je me dépêche de me diriger vers le terrain d'entraînement, on dirait que je ne suis pas seul.
Une rangé d'homme est au garde à vous devant 5 ou 6 personnes qui d'après leurs vêtement devraient être les instructeurs. A ma vue, certain hommes eurent un sursaut, on dirait qu'ils n'ont jamais vu quelqu'un avec des yeux jaunes, c'est déséspérant de savoir qu'il y en a encore pour croir que je suis une engeance du ténébreux, enfin, on si fai à la longue... Je me place à côté d'un jeune garçon et d'une femme qui semble bien se connaître(Karion et Ilnaa, pour ceux qui n'ont pas compris, lol) Eh bien, il y a de l'ambiance par içi...
PARFAIT MES LOULOUTES !
Je suis le Sergent d'armement Ma'hn et votre chef instructeur ! A partir d'aujourd'hui, vous ne parlerez que quand on vous parlera et les premiers et derniers mots qui sortiront de votre sale trogne, ce sera "Chef", tas de bouseux !
Oulà ça commence bien, je le sens bien celui là. C'est en partie pour ne plus me faire traiter comme un esclave que j'ai fui du shienar et voilà qu'en arrivant ici je tombe sur un mini dictateur. Sans doute encore quelqu'un qui complexe et qui se rassure en usant d'autorité
Alors que tous les hommes répondent unaniment je me contente de bouger les lèveres sans leur faire produire le moindre son
J'ouvre un peu la bouche, histoire de faire croire que je cri un minimum mais je baisse la tête pour ne croiser le regard de personne et me aire oublier si possible. *pas envie de faire des pompes ou autres choses ridicules dans ce genre.*
*Le sergent Ma'hn s'approche d'Ylnaa et Karion. Sa voix mélodieuse parvient à vos oreilles tel un crissement d'ongle sur de l'ardoise.*
Tiens tiens, mais qu'est-ce que j'ai là ? Alors mes louloutes, on croit qu'il suffit de rester debout tranquillement pour attendre que ça se passe ? Est-ce que vous savez au moins tenir une épée ?
ALLEZ, MONTREZ MOI ÇA DEVANT VOS PETITS CAMARADES !
*Il vous empoigne et vous pousse devant les rangs, en vous plantant une épée d'entrainement dans les mains.*
Je relève lentement la tête et jette un regard aussi chaud que la braise, aussi froid que la glace, tadam, le truc du tueur intempestif vagabond supra méchant, bref, le regard qui en jette à l'officer. ('videmment) Puis je serre mon point sur l'épée. Un silence passe, un bruit trépasse et l'épée vient en douceur, se planter aux pieds de l'officier. Puis là, je parle.
Moniseur l'Officier. Je suis une femme, point un barbare. Et je servirai le Dragon de façons plus fines, si vous me permettez. J'ai des talents utiles à déployer pour lui. Pour cela je devrai le voir, car je ne veux rien divulger à personne. Cependant, malgrès la demande de le voir, de mon ami et moi, nous ne l'avons pas vu. J'attendrai donc de lui parler pour mettre en place mes talents, pour son service. *ksss autant de servitude, ça me gèle les entrailles dites donc* Mais cela dit, si pour l'instant je n'ai rien à faire de mieux que de retourner dans ma tente et attendre, Karion, ici présent se fera sûrement un plaisir de vous défier aux armes. Veuillez m'excuser, messire.
Je m'incline bas, poliment, et après un bref regard de conclusion déstiné à l'officier, et un autre d'encouragement à Karion du style "je compte sur toi mon ptit père, fais gaffe", je tourne les talons et me dirige vers la tente où nous avons dormi, Karion et moi, du pas le plus rapide qui soit possible en essayant d'avoir l'air digne et de faire une sortie royale.
*Le sergent te laisse parler, ce qui semble surprendre la plupart des habitués qui assistent à la scène (et qui regrettent de ne pas avoir de pop corn à portée). Lorsque tu as terminé et avant que tu t'en ailles, il éclate de rire.*
AAAHAHAHAA ! J'AIME LES FEMMES QUI EN ONT !
Allez cocotte, file donc du terrain et laisse les hommes y remplir leur rôle !
*Alors que tu t'apprêtes à sortir, le sergent fait un rapide signe de tête à l'un de ses assistants, dans ta direction. Tu dois faire 3 ou plus pour éviter le croche-pied qui t'est destiné .*
argh. La figure rouge, qu'heureusement pn ne voit pas, puisqu'elle est couverte de boue, je me relève lentement, souffle à celui qui m'a fait le croche patte
Ksss, un coup bas, c'est un coup de lâche. Un coup d'amis du ténébreux.
Puis je pars avec le peu de dignité qui me reste.
Arrivée à la tente, je me change rapidement, puis, assise sur quelques couvertures, je finis par somnoler, roulée en boule, comme pour me proteger des rires gras qui me poursuivent.
Je suis dans un grand lit. Une peur, mélée d'angoisse poignante et d'un profind dégout m'habitent. A côté de moi un homme. Il dort. Je sais que ce n'est pas réélement un homme... Il a des *pouvoirs*... Je sens l'acre de la bile dans ma bouche, je sors discrètement de mon lit pour aller me laver, si je trouve de quoi... A peine ai-je fait deux pas qu'une voix m'interpèle. "Ou vas tu comme ça, petite ?" ... J'avale difficilement ma salive, perclue d'horreur, je suis figée et tendue sur un enorme ressort. Je commence à avoir des tremblements... Je me redresse tant bien que mal, essayant de recouvrer de la dignité... "Allez viens" Mes yeux s'agrandissent, mon coeur s'arrete, un haut le coeur...
***
Je suis sur une pelouse. La pelouse emplit tout. Elle s'étend de l'horizon à l'horizon. Elle est d'un vert presque surnaturel, si éclatant... Je suis allongée, je suis bien, je suis baignée de soleil. Je suis vétue d'une robe légère d'été, dévoilant quelques formes par ci par là, ma peau, souvent à l'air, est chauffée délicieusement par le soleil. J'ouvre les yeux et me tourne vers Karion qui est à côté. Il m'observe, allongé aussi, torse nu et vétu d'un pantalon léger. On échange un sourire complice... Tout à coup je sens quelque chose dérrière moi. Je me retourne, mes entrailles sérrées... Du coin de l'oeil je vois une forme qui fuit. Je la vois à peine, elle est déjà partie. Une violente peur me saisit. C'était noir... Informe... Et cela m'observait... Je cherche partout, je ne la vois plus, elle a disparue. Je regarde Karion, pour lui en parler, il n'a rien vu, il continue de me sourire en me regardant, comme si de rien n'était. Je lui parle, il ne m'entend pas... Il me sourit... Je craque, je cris....
***
Je me reveille en sursaut. Je suis trempée de la tête aux pieds, je tremble entièrement.
Les larmes ruissèlent sur mes joues, je me roule en boule, mais cette fois je veille à ne pas m'endormir... Les sanglots me secouent doucement...
Suite à l'intervention du dictateur je ne sais pas comment réagir mais heureusement Ylnaa s'en sort avec dignité. Je ne peux pas m'empécher de sentir la rage monter en moi lorsqu'un des hommes lui fait un croche pate mais je suis trop seul pour réagir. suite à l'annonce du sergent je ne peux qu'espérer que mon adversaire ne sera pas méchant. Surtout que dépourvu de mon sabre, avec cette épée très lourde je ne vais pas être capable de grand chose
Mmmmmmm... La place d'une femme n'est pas sur un champ de batail et je m'étonne que cette officier est tenter de la faire combattre... Enfin bon!!! Il est tant de montrer mes talents.
Moi je veux bien l'affronter mais suis-je obliger de le combattre avec une épée ou puis-je prendre ma propre arme????
T'es obligé de prendre ça ma louloute, ici c'est un entrainement de base, on veut voir ce que vous valez, ensuite seulement on essaiera de vous différencier les uns des autres, bande de larves ! Mais pour le moment vous êtes tous les mêmes, tous issus de la même boue !
*Pendant que tu t'approches, le sergent remarque tes yeux jaunes et semble hésiter un instant.* [d10]
*Il te tend finalment une épée d'entrainement dans un état pitoyable, avec un regard où se mêlent mépris et crainte.* ALLEZ ! C'EST PARTI !
Karion, tu es à +1 à l'épée, une arme qui est proche du sabre mais avec laquelle tu n'es pas aussi habile.
Senek, tu es à +1 également, mais tu tomberas à 0 si tu fais 1 ou 2 au dé (sans bonus ajouté, score de base donc).
Si tu refais un score identique, elle se brisera.
Je prend doucement "l'épée" puis me dirige maladroitement vers son adversaire.
MODO : Petite explication Senek, le principe du dé c'est de faire [ d10 ] (sans les espaces), et de laisser le hasard faire le reste . On ne choisit pas ses résultats de lancer . OK, ça y est j'ai modifié mon post, on peut donc continuer tranquillement.
PS: merci pour le conseil Gablebo, lol.
RP OFF : là je suis au ski sans accès a un ordi a part maintenant, donc je rentre lundi porchain, attendezmoi, désolé
J'attrape l'arme que me tend le sergent. Humf, c'est lourd, ça ne vaut pas, et de loin, mon sabre. Va falloir que je la tienne a deux mains pour me battre, enfin je me prépare au combat avec l'homme qui s'est proposé.
[d10] + 1 = 9
Curieusement je me sens plutot bien et confiant avant d'aborder ce combat et je décide de lancer l'assaut sur l'autre qui avançait timidement. Je lui porte une botte au niveau du genou, tentant de l'handicaper pour ses futurs déplacements.
J'évite de justesse la botte porter à mon genou puis repart à l'attaque
MODO : en effet, on ne peut pas jeter le dé plusieurs fois dans un même post, tout simplement parce que le résultat sera toujours le même .
*MODE CONTEUR ON*
Tu devrais relire le post ci-dessus : tu n'as plus de bonus . De plus, avec un score inférieur à celui de ton adversaire, tu ne peux raisonnablement pas bloquer et repartir à l'attaque tout de suite après, c'est incohérent. A la limite que tu bloques de justesse, d'accord (ton score est assez correct pour ça), mais à mon avis tu ne prends pas l'initiative, et restes donc sur la défensive.
Karion, je l'aurais précisé si tu avais eu droit à un quelconque bonus. Le fait qu'il soit sur la défensive veut simplement dire qu'il ne peut pas attaquer, et qu'il est obligé d'attendre que tu le fasses. Il est encore bien sur ses pattes hein quand même .
Donc je résume le dernier assaut pour que tout le monde soit d'accord :
- Karion tente une attaque (4 + 1 = 5) vers la poitrine de Senek mais dévie finalement vers le coude ;
- Senek contre l'attaque (5 aussi = réussite). Il peut donc s'il le souhaite attaquer au prochain assaut.
Enfin, je peut donc attaquer et le mettre sur la défensive...
Je décide donc de lui faire une botte sur la main afin qu'il lache son épée et conclure ainsi ce combat. [d10]
Mon adversaire vise ma main mais j'évite assez facilement son coup. Emporté par son élan il continu et je le coutourne pour me placer dans son dos. J'attaque alors tout de suite en visant les jambes avec le plat de l'épée essayant simplement de l'envoyer à terre.
je me retourne de justesse mais obtient tout de même une petite entaille au niveau du genou. (je ne pense pas que mon résultat me permette de contre-attaquer alors je me remet sur la défensive.)
Il s'est retourné juste à temps mais il n'a pas pu contre attaquer, je repasse a l'attaque en visant cette fois ci son bras pour lui faire lacher son épée
"Mais c'est pas possible d'avoir autant de chatte!!!!!!!!!! Le créateur doit être avec lui...
Je lache mon épée et m'avance lentement vers mon adversaire."
Tu viens de prouver ta bravour et ta valeur; tu mérite aujourd'huis d'être le vainqueur et sache que tu viens également de gagner un amis. Mais ne te méprend pas, j'aurais ma revanche un jour ou l'autre...
Je retourne dans ma file en rendant à mon sergent le débris qui me servait d'épée ainsi qu'en prenant soin de le saluer.
Cela fait un long moment que je marche, je commence à fatiguer. Bon, au moins il fait un peu moins froid, mais seule sur les routes, je n'arrête pas de repenser à Sambre, et à... la Ménestrelle, Ysandell... Lumière, pourquoi ont-ils fait ça ?
Peu à peu, alors que j'avance, un campement apparaît entre la végétation. *Tiens ? Je peux toujours tenter ma chance par là...* Je me dirige alors vers les gardes de la porte la plus proche, l'air plus assuré que je ne le suis vraiment.
*Oh lala, ils n'ont pas l'air spécialement sympathiques...*
Oups, j'ai dû m'assoupir un peu, il faut vite que je retourne à la demeure de Brent pour faire mon rapport à Aedmun.
Je me lève, défroisse un peu ma tunique, des bruits d'épées proviennent du terrain d'entrainement des recrues.
Je sors de ma tente, le soleil brille chaudement, je me dirige vers l'enclos pour y récupérer mon cheval, je jette un oeil au combat la-bas, tout en marchant.
Deux jeunes recrues se mesure à l'épée. Je parie un dragon sur le plus gros......, j'attends un peu..............., ah, ben perdu.
Allé, assez trainé, il va m'attendre.
Je récupère mon cheval et file vers la ville, jusqu'au domaine du seigneur Brent.
Tu me surprend, tu n'a pas l'air de beaucoup t'y connaître en maniment d'épée, portant tu m'a explosé... Je pense que tu renferme beauoup de secrets et que tu t'y connait mieux que tu désirerais le faire croire, enfin bon je ne suis pas de nature curieuse et je ne t'importunerais plus avec cela. La prochaine fois, si le detin nous pousse à nous rerencontrer lors d'un combat, tu n'auras pas autant de chance...
Sinon, quel est ton nom et le nom de celle qui semble t'accompagner???
Et bien peut être celà vas t-il te paraitre bizarre, mais c'est tout simplement le désir d'aider le dragon Enfin je suppose que je ne suis quand même pas le seul ici à vouloir soutenir le dragon ? vous êtes venu pour une autre raison ?
*La journée se poursuit, vous vous occupez aux ateliers avant d'aller goûter la formidable cuisine de la cantine. L'après-midi ressemble à s'y méprendre à la matinée, et vous rejoignez vos quartiers lorsque la nuit tombe.*
- Ben, vous savez m'zelle, ici c'est un camp de guerre... on n'a pas grand chose pour des jeunes filles comme vous... ça serait même un peu dangereux, si vous voyez ce que je veux dire...
*Il rougit et baisse un peu la tête, se racle la gorge.* Enfin... je peux toujours vous trouver quelque chose à manger si vous voulez, au moins pour ce soir. Hum... et selon ce que vous savez faire, je peux aller en parler à mon chef... si vous tenez vraiment à entrer.
Je rougis au moins autant que le garde en comprenant son allusion, ce qui ne m'empêche pas d'insister d'un air suppliant :
Oui, il faut vraiment que je reste avec vous. Je me débrouillerai.
Ce que je sais faire, euh... ben, il y en a peut-être qui ne savent pas écrire, parmi vos soldats, je peux m'en charger ! Ou aider le cuisinier, j'ai travaillé un moment dans une auberge. Ou je peux jouer de la musique le soir. Je m'adapte.
En fin de journée, après une après midi passée a travailler sur plusieurs ateliers, je rentre à la tente et retrouve Ylnaa, seule. Je m'approche d'elle et la prend dans mes bras.
Je suis désolé mais je ne pouvais pas t'aider ce matin, si on se fait trop remarquer, jamais on arrivera a apprendre des choses interessantes. Ce soir je compte aller faire un tour dans le camp lorsque tout le monde dormira Ca t'interesse de venir avec moi ou j'y seul ? Je pense me diriger vers la grande demeure un peu à l'écart du camp
rp off : ouah l'autre vas y exhibitionne ta femme tant qu't'y est
Alors que je commençais juste à compter jusqu'à 100 pour sortir de la tente aussi, je vois Karion revenir et me lancer un regard négatif. Je l'attire vers moi et lui chuchote
Bah, un autre soir, on vient juste d'arriver. Mais enfin ... pendant que l'autre dors...
J'embrasse Karion et le pousse sur la couverture étendue par terre. Je lui lance un regard ... chaud et le rejoins au sol...
[d10]
Les ronflements s'arretent précipitament, en un ROKL retentissent... Soudain immobiles, on écoute...
Silence...
...
Quelques voix d'hommes dehors qui discutent...
...
Puis un froissement de tissus, notre compagnon de tente se retourne, et les ronflements repartent, en puissance.
Je regarde Karion, rigole doucement et reprend ce que j'avais commencé...
N'appréciant vraiment pas de dormir sous la tente, je décide de partir discrètement dans les bois pour y dormir à la belle étoile avec mes chères "amis"... [d10]
Malheureusement, arrivé à la lisière du camp, un guetteur me voit et se précipite vers moi:
_ POURQUOI ESSAIES TU DE NOUS FAUSSER COMPANIE CAMARADE????
_ Vous vous tromper, c'est juste que je ne supporte pas de dormir sous une tente...
_ Mmmmmouai, je veux bien te croire, avec tous ces bouseux qui ronfle, moi je préfère aussi bien la belle étoile.
écoute, j'accetpte que tu dormes içi mais je veux pouvoir avoir un oeil sur toi.
_ Aucun problème, quel est ton nom???
_ Artouf et toi??
_ Senek. C'est un plaisir de te rencontrer Artouf.
La soirée se continue sans encombre ou autre problème et le matin venu, Artouf réveil Senek pour qu'il ne soit pas en retard à l'entrainement. Et ce dernier se dirige d'un pas lent vers le terrain d'entraînement avec l'espoir de montrer enfin ses réels capacités.
Je me réveille à nouveau à la sonnerie du clairon. Je me lève et m'apprète a sortir.
Ylnaa, je ne sais pas si tu dois venir aujourd'hui, fais comme tu veux, je ne pense pas que quelqu'un viendra te chercher ici.
Après être passé me rincer la tête dans un bac d'eau pour me réveiller, je vais récupérer mmon déjeuner. Je vois alors l'homme contre qui j'ai combattu hier assis à une table.
Comment vas tu aujourd'hui ? En forme, j'espère qu'on ne devra pas recombattre ensemble, et surtout j'espère qu'on va faire autre chose que se battre, je suis pas venu pour ça.
Je dors encore un peu après que Karion soit parti (bah quoi ), puis je me lève et me prépare tranquilement. Je ne compte pas rester inactive encore toute une journée ! Je compte bien faire un tour du camps si possible, histoire de repérer où est quoi, qui est où... Puis j'essairai d'aller voir la tête qu'à ce cher monsieur soi disant Dragon. Je n'y crois pas du tout. Mais bon, hein.
Je suis enfin prette. Je me poste devant la porte de la tente, écoute attentivement...
[d10]
J'entend deux soldats qui passent, puis trois personnes passent dans l'autre sens en courant. Quelques voix dans les tentes avoisinantes...
Je décide d'attendre que ça se calme un peu...
[édit : ouais j'avais complétement oublié... Je refais donc ]
La foule passante ne fait qu'augmenter en bruit, en nombre bref, le fouilli. Je décide finalement de m'introduire parmis eux, esperant passer inaperçue.
Je sors alors, et prend une attitude sereine, d'une femme qui sait ce qu'elle est, ce qu'elle fait, où elle va et qui est assurée de son plein droit à le faire.
J'ai l'air de savoir où je vais, mais en réalité je ne sais pas réélemnt, je découvre. Ici les latrines, ok, ça peut être utile. Ici, ah, eux c'est les casse pieds, ne pas trop passer par là. Ok.
Voyant mon nouveau compagnion s'oissoir à ma table et m parler poliment, je décide de mettre ma mauvaise humeur matinale de côté et de lui répondre avec le sourire.
Tu sais, içi, tu es quand même dans une armée alors on sera forcémen obligé de combatre pour prouver nos valeurs afin qu'ils sachent où nous mettre...
Je me réveille un peu tard, le lendemain matin, guère gênée par le bruit du campement. Personne n'est venu me déranger, j'ai pu manger et dormir tranquillement dans un coin sans qu'on vienne me demander quoi que ce soit. Aujourd'hui, il va falloir que je me fasse un peu de pub si je veux qu'on me fiche la paix, sinon ils me mettront à la porte. Je ne pense pas qu'une armée en guerre s'encombre d'inutiles.
Tout en marchant dans le campement, enveloppée dans mon manteau, les épaules voutées pour ne pas attirer l'attention, je remarque une autre femme, qui elle marche d'un air très sûr d'elle. (Ylnaa)
*Tiens, peut-être qu'elle saura me guider dans mes démarches...*
Je me dirige donc vers elle et lui adresse un sourire hésitant :
Hum... bonjour ! Je viens d'arriver dans le camp, est-ce que... vous pourriez m'aider ? Je suis un peu paumée.
Euh, je... je m'appelle Erylin. Bonjour. Merci. Et vous ?
Je souris un peu plus devant l'air avenant de la demoiselle, rassurée.
Eh bien, déjà je voudrais savoir ce que je pourrais faire pour me rendre utile. Ca m'embêterait un peu qu'on me fiche dehors, quand même. Vous faites quoi, vous, par exemple ? Où est-ce que je peux me renseigner ?
Vous renseigner... Euh. Vous n'avez qu'à demander à un officier, je suppose qu'ils savent... Vous... Vous êtes là pour quoi en fait ? Vous savez où vous êtes ?
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
J'entre dans le camp, suivit de Jolen et Danner. Je regarde un peu autour de moi. La matinée suit son cours, et l'activité bat son plein, je remarque les éclaireurs et messagers qui partent et reviennes, les soldats encore au camp qui s'entraînent et affûtent leurs armes. Je décide de m'arrêter un moment dans ma tente, pour prendre le temps de réfléchir.
- Jolen, Danner, occupez vous de ce que vous avez à faire, ne traînez pas trop, et revenez me voir à midi. Nous irons voir les nouvelles recrues, et je veux que vous soyez là. Danner, vous irez me chercher Shaevar. Jolen, vous amènerez avec vous le garde royal de Lugard. Vous surveillerez et discuterez ainsi chacun avec l'un des deux, afin que je puisse en savoir plus. Laissez moi seul, maintenant.
Je peux compter sur ces deux là...Heureusement! Car être bien entouré, surtout pour moi qui ne connaît que peu la stratégie, c'est indispensable.
Bon, résumons les derniers évènements...Un capitaine des gardes royaux de Lugard est arrivé, me proposant son aide dans l'attaque de son Seigneur. Il s'inquiète manifestement pour son peuple, et c'est une chance que je compte bien saisir. Les informations qu'il apporte sont précieuses.
Ensuite est arrivé ce Shaevar...Il dit avoir des compétences en matière de stratégie, peut m'apporter une armée, et dit connaître le pouvoir unique! Ca fait beaucoup pour un seul homme...Je dois le surveiller de près. Il peut être un trés bon allié, mais je ne veux pas prendre de risque. Outre la longue discussion que j'aurai avec lui plus tard, j'ai bien fait de demander à Danner de l'évaluer pour moi. Mon objectif est clair: l'amener à avoir confiance en moi et à ramener ses amis sous ma bannière. Je dois rassembler tout le monde sous cette bannière. C'est notre seule chance!!!
Bon...Aedmun calme toi...C'est pas bon de s'exciter comme ça de bon matin. L'autre évènement des derniers jours a eu lieu à l'auberge où se sont installés les sergents recruteurs: une avalanche de prétendants...La question est pourquoi, tout d'un coup! Il va falloir interroger les hommes présents à ce moment là. Je veux savoir...Ah que ne donnerais-je pas pour avoir quelqu'un d'érudit qui pourrait m'en enseigner plus sur les prophéties et ce qui entoure le Dragon! Je saurai ainsi plus précisément quel est mon rôle en ce monde...
Vous renseigner... Euh. Vous n'avez qu'à demander à un officier, je suppose qu'ils savent... Vous... Vous êtes là pour quoi en fait ? Vous savez où vous êtes ?
Je considère la jeune femme d'un air sceptique :
Où je suis ? Euh... dans un camp militaire ? Et je suis là, euh... parce que je passais dans le coin je suppose.
Pourquoi ? J'ai raté un truc ? Je suis bien dans le Murandy au moins ?
*Ohlala, cette question. Elle va me prendre pour une folle...*
Nan parce que y'a quelques heures on m'a dit que j'étais à Tar Valon, alors voilà.
Je considère la femme d'un oeil étrange. Puis lui répond lentement.
A la frontière du Ghealdan et du Murandy plus présisement, mais oui, bien dans le Murandi. En réalité vous êtes dans le camp du Seigneur Dragon, ou celui qui revendique ce titre en tout cas. Et cette armée se construit voyez vous, ils s'entrainent, il testent les nouveaux, tout ça. Moi je suis venu avec mon homme... Il s'entraine là normalement, enfin, ou un truc dans le genre, vous voyez. Des trucs d'hommes. Quand à moi euh, je me promenais là. On poursuit notre marche ?
En même temps que je dis cette dernière phrase je recommence à marcher, l'air de visiter une ville passionante.
Alors y a plus ou moins de gens sensés, si vous voulez savoir. On voit pas mal de choses... c'est rigolo. Bon et vous... hum ! Vous faites quoi dans la vie ?
Vous n'avez pas l'air méchante, juste un peu perdue quoi.
Je lui jette un regard en coin pour observer sa réaction
Rassurée par les paroles d'Ylnaa, je la suis quand elle se remet à marcher, puis regarde un peu les environs. *Oui, on voit toutes sortes de gens, dis donc...*
Bon et vous... hum ! Vous faites quoi dans la vie ?
Vous n'avez pas l'air méchante, juste un peu perdue quoi.
Un peu honteuse, je lui souris, avant de répondre dans un haussement d'épaules :
Oui, je ne sais pas trop où je vais, je dois dire. Avant ça, j'étais serveuse dans... une auberge, à Tear, mais je suis partie et depuis je fais office d'écrivain public, ou alors je joue du violon dans les villages que je croise en chemin, la plupart du temps. Mais je sais faire quelques autres trucs, si besoin est.
Je prends un peu de temps pour réfléchir aux informations données par Ylnaa. *Oula, attends... Dragon, Guerre, frontière... Eh mais.*
Heu, hum, vous parliez du Dragon ? Il va attaquer quelqu'un, là, bientôt, avec son armée ? Et votre, heu... mari ? est dans ses rangs, c'est ça ?
Je roucoule doucement à la première réplique d'Erylin sans la regarder.
Puis à sa seconde je perd mon sourire, que je regagne difficilement, légérement coincé, c'est d'une voix légérement teintée de doute et d'anxiété que je répond à sa seconde remarque.
Mon -mari- ne fera pas trop de bêtises je l'espère. Quand au Dragon, ma foi, je n'en sais vraiment rien.
Vous savez, j'y pensais, pour qu'on ne vous trouve pas bien vite inutile et qu'on ne vous expluse d'ici, si néanmoins vous tenez à y rester je lui lance un regard en coin vous pourriez faire des animations, le soir plutôt, un jour sur deux, ou tous les jours je ne sais pas trop. Il faudrait en parler à un officier, ou peut être pas... Mais ... Hum, vous devrez témoigner d'une certaine dose de confiance en vous, de culot comme on dit, de charisme quoi, pour envouter ces chers messieurs, me semble t-il. Je pense que ce n'est pas necessaire, mais si vous ne voulez pas les lassez au bout de quelques jours... si.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Par le créateur! Commence a faire chaud ici! Sang et sacrées cendres! Ca s'rait-y pas qu'y s'rait midi? Faut aller voir les nouvelles recrues...Boarf, réfléchir ça m'a fatigué...J'ai dû dormir un peu, et là j'ai l'esprit embrumé...
Je sors de ma tente, demande un baquet d'eau au garde, et me plonge la tête dedans. Je m'essuie rapidement et fait appeler Jolen et Danner. Je vois le garde royal et Shaevar venir avec eux.
- Messieurs, allons-y.
J'ai quatre signes de tête affirmatifs, et nous partons vers le terrain d'entraînement. Il y'a du monde, sur ce terrain...j'espère que Jolen a transmis nos capacités logistiques aux recruteurs...
Je me place sur le bord du terrain avec mes quatre compagnons, et regarde le combat en cours se terminer. Tout le monde semble plutôt absorbé.
En voyant le dragon arriver, je m'empresse d'aller sur le terrain d'entrainement en n'oubliant pas de faire un signe de la main à mon nouveau compagnon pour qu'il me suive. Je me dirige vers l'endroit où le dragon semble aller et lui dit d'une voix calme:
Mon seigneur dragon nous faits l'honneur de nous rejoindre; Bienvenu chez vous seigneur et j'espère avoir un jour le plaisir de pouvoir entretenir une conversation avc vous...S'incline maladroitement n'ayant pas l'habitude des courbettes et autres singeries de courtisans. puis se dirige vers la colonne rangée qui était en train de se former sur le terrain comme pour les habituels tournées d'inspection,les plus expérimentés montrant aux nouveaux comment se tenir.
Vous savez, j'y pensais, pour qu'on ne vous trouve pas bien vite inutile et qu'on ne vous expluse d'ici, si néanmoins vous tenez à y rester je lui lance un regard en coin vous pourriez faire des animations, le soir plutôt, un jour sur deux, ou tous les jours je ne sais pas trop.
Euh... oui, enfin, je ne sais pas. Si ça se trouve je ne fais que passer. Je verrai. Mais merci pour l'idée. C'est gentil.
*Je n'ai jamais eu l'occasion de jouer devant tant de gens, si je me trompe ou... enfin, je devrai sans doute en venir là, ou alors je me ferai virer...*
Alors que nous marchons, nous arrivons à proximité d'un terrain d'entraînement. Cinq hommes observent le combat.
Ils contrastent un peu avec les autres, ceux-là. Vous savez qui c'est ?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
[i] Hmmpph, c'est très inégal tout ça...je vois des soldats qui semblent à l'aise avec une arme dans les main, alors que certaines personnes ont l'air de se demander par quel bout tenir une épée.
Je plains leur instructeur, il doit avoir du pain sur la planche...
Mais pourquoi Aedmund nous a-t-il emmené ici? Je ne sais pas ce qu'il as derrière la tête, et ça me rends nerveux...
Alors que nous commençons à nous entrainer une délégation importante arrive au bord du terrain d'entrainement
Vu l'escorte qui accompagne ces hommes, le dragon est surement parmis eux. Une personne de ce groupe semble tout de même possèder une aura particulière, une impression bizarre se dégage de lui vers moi. Mais alors que je m'interroge sur ce sentiment, j'aperçois Shaevar a ses côtés!
*Mais que fait-il ici ?* Enfin pour l'instant je ne dois pas montrer que je le connais. J'espère qu'il fera la même chose si l'on veut obtenir d'autres renseignements. Il faudra cependant que j'arrive à le rejoindre pour que nous puissions parler.
RP OFF = Senek, faut que tu édites ton post, on saute pas sur le dragon comme ça
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Hum, Shaevar a l'air nerveux...Ca ne semble pourtant pas le caractériser, vu ce qu'il a osé me dire tout à l'heure! Il semble en même temps dubitatif...Et en effet, on ne peut pas monter une armée entraînée et efficace en quelques semaines! Mais je finirai par y arriver...
Tient...mais qui c'est ce gars avec les yeux jaunes qui vient me parler directement?
- Merci Capitaine.
Je m'approche alors de celui qui est venu me parler directement, et lui pose une main sur l'épaule.
- Tu sais mon jeune ami, si je devais m'entretenir avec tous les nouveaux individuellement, je ne m'en sortirai pas! Mais je viens pour vous voir tous, en effet, lui dis-je avec un sourire.
Je me recule alors, et vient debout à côté du capitaine, qui baisse la tête à mon arrivée.
- Relevez vous, capitaine. Je devrais lui dire d'être plus calme et moins violent avec les recrues, mais je ne peux pas le faire ici...Ne pas décrédibiliser en public la hiérarchie est indispensable. On verra ça plus tard. Alors, qu'avez vous à dire sur ces nouvelles recrues?
Capitaine:en parlant doucement pour que les nouvelles recrus autours ne les entendent pas. ...... C'est a dire que j'aurais préférer vous en parler en priver pour ne pas baisser le morale des troupes mais pour vous résumer brièvement, même si certains d'entre eux peuvent être promu à un bel avenir, pour la plupart ils ne sont que des paysans sortient de leurs cambrousse qui n'ont jamais tenu une arme de leurs vie... Peut-être devriez vous leurs parler afin de leurs donner un meilleur morale... à moins que vous ne préféreriez que je le fasse moi-même mais je pense que l'impacte sera moins important.
A voix haute
J'espère que vous serez fier de vos nouvels recrues, il vont devenir votre prochaine élite!!!!
HJ: J'espère que ce post est meilleur que le précédent et que vous n'aurez plus de reproches à y formuler.
Alors qu'on s'approche sans trop se rapprocher () des quatres hommes d'allures un peu nobles pour certains, un homme adresse la parole à l'un deux, et celui ci le rembarre apparement comme un noble snobe un paysan. *tiens donc...*
Nous arrivons lorseque Senak dit :
... Si ils ne meurent pas avant bien entendu.
Vous voulez peut-être assistez à un entraînement???
A moins bien entendu que le temps vous manque mais je pense, sans vouloir vous commandez bien entendu que ce serait une bonne expérience pour les troupes que de voir leur chef s'interressé à eux; ça leur donnerait de l'areur au combat et nous montrerait leur réels capacités...
*C'est son chef ? ... le... naaaaaaaaaaaan ben nan. le 'Dragon' éh ? Pfff pas possiiiible ! En tout cas il se prend pas pour une crotte de mouton lui hein ! Dis doooonc quelle impertinence, brrrr ça m'énerve moi*
Je chuchote à Erylin :
Leur chef apparement... croyez vous qu'il s'agit du -Dragon- ? En tout cas ce jeune ho...Lumière ! Eh oui ! je me souviens de lui, *c'est le petit ... tsss qui hum s'est proposé pour affronter MON Karion. Pfff nan mais franchement. Quel .. mais quel ! Raaaah* L'homme qui ...Je vois Karion là bas... puis je détourne la tête, comme si je regardais tous les hommes, mais pas lui en particulier. Je ... sais plus ce que je voulais dire. En tout cas vous avez vu comment il s'adresse à son chef ! Quelle impertinence ! Il a pas peur du fouet lui.
Leur chef apparement... croyez vous qu'il s'agit du -Dragon- ? En tout cas ce jeune ho...L'homme qui ... Je ... sais plus ce que je voulais dire. En tout cas vous avez vu comment il s'adresse à son chef ! Quelle impertinence ! Il a pas peur du fouet lui.
Non, en effet... Le Dragon ?
Je considère l'homme qui s'adresse au capitaine. Il ne manque pas de prestance, c'est le moins qu'on puisse dire. Je ne peux m'empêcher de le regarder, tant il semble sûr de lui, mais je n'irai pas jusqu'à jurer qu'il est bien celui qu'il prétend. Comment savoir ?
Je ne sais pas... En tout cas c'est certainement celui qui prétend l'être. Pensez-vous qu'il a le...le pouvoir ?
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
D'une voix forte, portée par le pouvoir et qui monte en puissance.
- Ma prochaine élite hein? Concernant le statut d'élite, nous verrons bien...Mais vous n'êtes pas MON élite!
*A ce moment précis, Aedmun fait naître dans sa main une épée enflammée, qu'il tend et manie au rythme de son discours*
Vous êtes des soldats de la lumière, vous êtes la base d'une armée qui seule sera apte, par son envergure, à tenir tête aux ténèbres! Vous vous battez pour VOUS et non pour moi! Cette épée que je tiens n'est là que pour indiquer la route. Elle éclairera les Ténèbres quand le Ténébreux sera sur nous. Elle nous redonnera à tous espoir et nous permettra de voir au loin. Mais ce sont vos armes qui seront la véritable force de cette armée!
Notre devoir, ce que nous devons faire, c'est nous unir. En ce domaine, nous n'avons pas le choix. Cela seul nous donnera assez de force pour tenir tête au Seigneur des Ténèbres! J'attend de vous que vous donniez votre vie pour que le monde que nous connaissons survive.
Je ne suis pas là pour guerroyer contre les autres hommes, je ne suis pas là pour nourrir des querelles de pouvoir...Je suis celui qui va vous unir, celui qui vous mènera à la victoire. Mais cette victoire, chacun de vous en sera l'artisan! Il y a peu, nous étions cinq-mille. Aujourd'hui, nous sommes huit mille. Et demain, nous serons plus encore! Lugard est notre prochaine étape. Vous avez encore la journée pour vous entraîner, nous partirons demain à l'aube. Battez vous pour moi, battez vous pour vous, et surtout, battez vous pour la lumière!
*La dernière phrase est quasiment criée*
Des vivats...C'est bien! Comme à chaque fois, j'ai peur de ne pas arriver à les galvaniser...le pouvoir est un outil, utile pour impressionner, et s'ils sont venus là c'est en connaissance de cause. Mais il faut aussi trouver les mots adéquats, et c'est souvent là le plus dur...
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
[i] Joli discour.Un brin mélodramatique, mais c'est ce qu'il fallait pour encourager ces..recrues.
Ce qui est intéressant, c'est qu'il compte partir demain. Cela ne laisserait que peu de temps pour la stratégie du garde royal de Lugard. Bien. Très bien.
Et maintenant, que compte-il faire? Allons-nous rester ici, à regarder les recrues s'entraîner?
Je réfléchis à une méthode pour contacter Shaevar mais comme je ne dois pas approcher de lui la meilleure solution me semble être de passer par l'intermédiaire d'ylnaa. Je l'aperçois sur le bord du terrain d'entrainement et je profite du fait que tout le monde regarde le dragon pour aller lui parler.
Lorsque j'arrive auprès d'elle je constate qu'elle n'est pas seule.
Bonjour mademoiselle.
Puis me tournant vers Ylnaa Il faut que je te parle, j'ai besoin de toi s'il te plait
Rp off:
Je vais devoir m'absenter pour une durée encore indéterminée, en attendant, Vous pourrez considérer que je suis le groupe.
Je pense pouvoir revenir d'içi à peu près un mois. Faites comme si j'étais là et bon jeu!!!
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
RP off: pas de prob Senek! A bientôt , passe de bonnes vavances si c'en est!
RP on:
Voyant que tout le monde me regarde encore, je fais grandir puis exploser l'épée dans un sifflement.
- Le sergent instructeur s'occupera de vous donner vos ordres. Faites attention à vous demain, et rappelez vous: le but est d'amener tout le monde sous notre bannière, non de tuer des Lugardiens! Ce sont des gens qui seront comme nous tous sous les ténèbres à un moment ou un autre. Il nous faut faire d'eux des alliés!
Je regarde alors les quatres qui étaient venus avec moi.
- Suivez moi, nous allons préparer le départ. J'ai diverses choses à vous dire. Le seigneur Brent devrais nous y avoir rejoint.
Je les emmène alors vers la tente qui sert de lieu de conseil, non loin de ma tente personnelle.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
[i] Pourquoi nous avoir emmené avec lui?
La réponse la plus évidente me vient a l'esprit: pour la démonstration de Pouvoir Unique. Haranguer des troupes, à peu près n'importe qui peut le faire. Par contre, la démonstration avec l'épée...et tout de suite après cette demande d'aller préparer le départ dans la tente du conseil...définitivement, il avait un but.
Nous intimider, nous mettre mal à l'aise? Ou m'intimider et me mettre mal a l'aise? Je ne dois pas oublier que je suis le nouveau venu ici. Je ne dois faire confiance a personne.
D'ailleurs, en ce qui concerne les questions de confiance, j'ai aperçus Karion dans la foule, et il as eu l'intelligence de ne pas montrer qu'il me connaissait. Bien, très bien. Il faudras que je rentre en contact avec lui. Je ne sais pas quand je pourrais avoir besoin de ses services d'espion ou......d'assassin.
N'importe qui capable de s'approcher sournoisement d'un individu sans se faire remarquer est capable de planter une lame dans les omoplates dudit individu.
Enfin, il serait bon de savoir jusqu'où ce garçons serait prêt à aller...
J'allais répondre à Erylin que je n'en savais foutre rien, quand Karion s'approche *quel gredin lui* puis je m'écarte un peu de la ménéstrelle et demande en un chuchotis à peine perceptible :
- Quoi ?
Je ne le regarde aps et suis plutôt le mouvement des 5 monsieurs, et repère la tente où ils s'infiltrent. *quand il sera seul, j'irai lui faire une visite !*
Je dois voir Shaevar mais je ne peux pas m'approcher de lui, je ne dois pas attirer de soupçons. Est-ce que tu pourrais essayer de le croiser et de lui donner un rendez vous pour moi?
*Bien conscient que je lui demande quelquechose de difficile je m'approche d'elle et l'embrasse pour lui donner du courage*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Les six hommes se tiennent atour d'une table carrée, plutôt grossière, parsemée de cartes et autres outils de repérage. Aedmun est le centre de l'attention.
- Vous avez entendu il y'a un instant: j'ai l'intention de partir demain. Je ne veux plus tarder. J'ai réfléchi à vos arguments, Gile *c'est le nom du garde royal de Lugard* et Shaevar, et j'estime qu'une synthèse est la meilleure solution. Vous Gile, vous l'avez proposée. Vous Shaevar, vous y avez aussi souscrit, en quelque sorte, en expliquant qu'il fallait donner l'impression au peuple de la ville qu'il ne se bat pas pour sa survie.
Nous formerons deux groupes. Danner, vous irez à l'interieur des murs, avec les hommes que vous choisirez et les effectivfs que vous choisirez et me soumettrez, et ferez en sorte de déstabiliser une garde royale déja peu sûre d'elle, voire peu attachée à son souverain. C'est un travail d'infiltration, et ne doit pas amener à une série d'échauffourées bruyantes en ville. Vous emmènerez avec vous Gile.
De notre côté, Brent avec ses hommes, Shaevar et Jolen avec moi, nous ferons en sorte d'étaler la puissance de l'armée du Dragon et de jouer sur l'intimidation.
Quelques précisions tout de même: attaquer au Sud est un pari, car nous attaquons une capitale. Si jusqu'ici on s'inquiétait peu de moi, cela ne sera alors plus le cas. Nous devrons donc travailler aussi trés rapidement sur les moyens de garder nos arrières et d'assurer notre survivance et notre défense à Lugard. Ca ne sera pas chose facile d'après ce que j'ai compris, hein Gile?
Nous laisserons en tout cas, comme dans les précedents points d'appui, quelques sergents recruteurs, des éclaireurs, et quelques troupes. Ils auront à charge d'accumuler les hommes, et surtout les provisions, afin de prévaloir à nos besoin à Lugard. La chaîne de vivre devra s'organiser. Jolen, c'est plutôt votre domaine, pensez donc à tout cela, nous en discuterons.
Enfin, je n'ai pas encore les détails de ces deux stratégies séparées mais complémentaires, et je suggère que nous en discutions dans quelques heures.
En effet, vous avez tous divers préparatifs à mener, mais surtout je veux m'entretenir avant tout d'abord avec Jolen et Danner, puis avec Shaevar.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Mouais, une synthèse...a moins qu'ils ne veuillent assassiner le Roi en personne, nous perdrons surement des hommes pour rien.
La bonne nouvelle, c'est qu'il emmène Danner avec lui...S'il meurt, Aedmund perdra un de ses favoris conseiller. Une perte tragique. Qui pourrait jamais le remplacer? Je crois que le choix est évident..
rp off: Chuis pas vraiment ménestrelle, juste citoyenne libre.
Voyant un homme se rapprocher de nous, je réponds à son salut, puis m'écarte pour le laisser discuter avec Ylnaa, comprenant plus ou moins de qui il s'agit.
Tout en m'asseyant sur une caisse retournée, dans un coin, je réfléchis au discours du "Dragon". *Qu'il le soit ou non, il a tout de même un sacré charisme. Et cette épée de feu doit aussi y être pour quelque chose. Brr...* Je frissonne légèrement, imaginant ce qu'il pourrait faire avec un tel Pouvoir.
Dans un soupir, j'ouvre l'étui de mon violon pour m'assurer qu'il n'a pas trop souffert de mes derniers trajets, puis commence à le raccorder. *Si je dois jouer, autant que tu émettes autre chose que des horribles grincements. Enfin... je ne vais certainement pas rester trop longtemps, l'endroit n'est pas très sûr... Mais en même temps y'en a t-il encore qui le sont ?*
Me positionnant, j'entame en sourdine un petit air Tairen, léger et joyeux. "De retour à Tear".
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
[i] Je sors lentement de la tente, tentant en vain de capter des bribes de conversations alors que je leurs faits dos. Tactique de débutant, mais on ne sait jamais ce que ça peut donner. Une fois dehors, je prends une grande bouffée d'air. J'ai besoin de réfléchir calmement, avant de retourner 'affronter' Aedmund.
Alors que je me perds dans mes pensée, une jeune personne s'approche de moi...hein? Elle?
Très bien, Karion, très bien. Je vois qu'il as du bon sens ce gamin...
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
[i] Alors qu'elle s'éloigne, je laisse mes pensée vagabonder. Beaucoup de choses à penser, trop d'implications où d'imprévus, et si jamais je me trompais?
Je verrai cela plus tard. Pour l'instant, je dois décider de ce que je vais demander à Karion lorsque je le verrai. Assassiner...ce garçon est-il prêt? Ce seras son ultime test, et peut-être aussi son dernier geste.
Qu'importe, ce ne seras pas mon premier homme de perdu s'il échoue. Et ce ne seras pas mon dernier.
Bon, assez réfléchi, je suis un homme d'action plus que de réflexion. Je me tourne ver la tente, et entre de nouveau.
Après avoir laissée Erylin à sa chanson, je suis allée voir Shaevar pour lui transmettre mon message, le plus discrètement que j'ai pu, puis je vais vadrouiller. Pas très loin de la tente, mais comme si c'était un hazard. Erylin n'est jamais loin non plus. Je surveille toujours du coin de l'oeil si Aedmund sort...
Je sifflote le refrain de l'air qu'à entonné Erylin, puis je me perd dans mes pensées, ou le simule, qui sait ? Puis la musique change, et c'est une chanson de ma terre natale qui arrive jusqu'à mon sifflotis *comment connait-elle cette chanson ?* , puis peu à peu... se répend dans mes membres, les agite, un peu, de plus en plus... Toute la grâce en moi ressort par les gestes en rythmes que j'exécute et je me met à danser... danser...
Le premier morceau achevé, j'entame une mélodie tarabonaise apprise récemment. Une mélodie suave et prenante, qui m'avait marquée à la première écoute. Un petit sourire nait sur mes lèvres, mes doigts parcourent plus vivement les cordes vibrantes, presque rageusement. J'essaie de rendre au maximum les émotions du morceau, où se mêlent séduction languide et vive allégresse.
Mes sourcils se haussent brièvement de surprise lorsque je vois Ylnaa se mettre à danser. Mon sourire s'agrandit, légèrement embarrassée. Je commence à jouer plus fort, et le mince murmure prend peu à peu de l'ampleur en un long crescendo.
Quelques types, non loin de là, commencent à jeter quelques coups d'oeil dans notre direction. Je m'efforce de les ignorer.
* Ylnaa revient de son entrevue avec Shaevar et m'indique le lieux de rendez vous. Je m'assied ensuite par terre et profite de la musique jouée par la jeune femme tout en regardant Ylnaa danser *
Danner s'est éxécuté, et a proposé une liste de noms à Aedmund, quelques bons éléments, et une masse de normaux. Pas un incroyable équipe, mais qui devrait faire l'affaire, et ne pas trop perturber la Garde Royale. Il ne devrait pas trop s'en rendre compte, aucun n'est réellement mauvais. Tout dépendra des ordres qu'ils recevront.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Aedmun a dit a Danner qu'il ne fallait pas emmener trop d'hommes, et lui q renouvelé sa confiance en ces termes:
"Danner, vous comptez parmi mes plus fidèles conseillers. Maintenant que l'attaque est lancée, j'attend que cette opérations fasse le moins de morts possible et cela dépend en grande partie de votre travail. Je sais que vous vous en acquiterez."
Jolen a de son côté affirmé a Aedmun que les vivres étaient largement suffisante pour aller jusqu'à Lugard, et même un peu après. Et que de nouvelles ressources seraient trouvées là bas en abondance. Aedmun a aussi renouvelé sa confiance a Jolen.*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Alors que les deux conseillers sont sortis, Aedmun voit entrer Shaevar.
Et bien, il n'a pas traîné...il avait envi de parler. Et en effet, nous allons discuter... - Avancez vous et prenez place, Shaevar, dis-je avec un visage inexpressif au possible.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
- Avancez vous et prenez place, Shaevar,
Très bien, comme vous voudrez. Je m'asseois sur un siège assez confortable, et tente d'adopter une attitude des plus détendue possible. Difficile, avec tout les conséquences que pourront avoir notre entrevue en tête, mais j'essaie.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- J'ai deux questions essentielle à vous poser. Comme vous le savez, mon but est d'unir le plus possible de peuples et hommes sous ma bannière, afin d'être prêt pour la dernière bataille. Vous sentez comme moi qu'elle approche. Tout va mal, on entend des rumeurs venant du Nord, les récoltes sont mauvaises et la situation politique souvent catastrophique. Tout va contre nous et j'ai l'intention de changer cela.
Commençons donc par le début. Je ne suis pas là pour vous menacer, je n'ai pas que cela a faire et sais que vous ne parlerez pas de force. Quelle est exactement cette organisation, la Bande de la Main Rouge? Que cherche-t-elle, qui la guide? Comment puis-je vous persuader de vous joindre à moi?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
-Qui sommes nous? Mais des hommes, mon Seigneur, des hommes.
Certains d'entre nous ont eux leur vie détruite par des trollocs, d'autres on seulement une famille qu'ils veulent préserver.
Et certains, certains n'ont rien d'autre a faire en attendant la mort.
Le Dragon Réincarné nous sauveras, et se faisant il nous tueras. Du moins, une majeure partie d'entre nous. Parfait, la mort n'est pas un obstacle pour nous. Car, voyez-vous, ce qui nous distingue de tout autre organisation, c'est notre but!
Nous ne cherchons ni la gloire, ni les honneurs, ni les richesses. Nous sommes la pour accomplir une tâche, et celle-ci est d'aider le Dragon dans ses démarches. La moitié de notre organisation doit y laisser la vie? Soit! La totalité? Avec joie! Ce qui doit être fait tenteras d'être fait.
Notre but, c'est de faire en que, même si aucun être humain ne voit le soleil se lever au lendemain de la dernière bataille, nous aurons quand même gagné si le Ténébreux n'as pas le même privilège.
Pour cela, nous sacrifirions la moitié du monde, le monde entier! Tout ce a quoi nous aspirons, tout ce a quoi nous tendons, c'est d'empêcher le Ténèbreux de revenir.
Nous sommes la Bande de la Main Rouge. Nous ne sommes pas des chevaliers, ni des aristocrates. Les chevaliers sont restreints par leur code d'honneur, les aristocrates restreints par leu éthique.
Nous ne sommes restreint que par une seule chose: notre but.
Je me suis levé, emporté malgré moi pas ma palabre. Une passion a peine contenue voile mes paroles, et je suis plus animé que je ne l'ai pas été depuis longtemps. Les mots sortent de ma bouche et reflètent le vide de mon existence. Ce vide, j'en ait fait mon mantra, ma raison de vivre. Ce vide guide mes pas, me dis comment manger, respirer, boire, penser. Ce vide me conditionne et m'étreint, ce vide, je le garde en remplacement de mes émotions, beaucoup trop dangereuses. Ce vide, je le chéris comme ma famille perdue, comme mes camarades morts et comme....
[i] Je me resaissis, et reprends le contrôle de moi même. Ce n'est pas le moment de perdre mon calme! Je dois rester en pleine possession de mes moyens. Pour l'insant, j'observe ses réactions. Dans mon emportement, j'en ait peut-être trop dit..
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
J'ai écouté, plus interpellé à chaque parole prononcée.
A son tour de faire un beau discours. Une chose dont je suis sûr: il y croit. Voila un homme qui sait ce qu'il veut! Ou alors c'est le meilleur acteur que j'ai jamais vu. Non, il vibrait trop pour cela. Il a été sincère...Je le serai moi aussi. Mais auparavant...Il ne m'a pas tout dit sur son organisation je suppose, mais c'est normal. Tâchons d'en savoir un peu plus. peut-être trouverais-je des pistes pour me guider moi même...
- Et bien et bien! Nous avons le même but! Mis à par pour ce qui est de vous détruire...Votre passion vous fait toucher au fanatisme. En êtes vous conscient? en tout cas, avant de vous poser une autre question importante, je voudrais savoir qu'est-ce qui vous fait dire que je vous détruirez? Nous détruirez? Mon but est bien que notre monde survive à la dernière bataille. Vous avez des prophéties, des indications?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
qu'est-ce qui vous fait dire que je vous détruirez? Nous détruirez?
Voyons, vous ne croyez certainement pas que la Dernière Bataille se feras sans heurts? Il y as les Réprouvés, qui peuvent faire des dégâts, le Ténébreux lui-même qui as souillé le Saidin lors du dernier affrontement..il n'est donc pas totalement impuissant. Sans compter ses myriades de trollocs et d'Engeances de l'Ombre...même avec toutes les nations derrière le Dragon, je prévois des pertes énormes.
Et en ce qui concerne les prohpéties, j'ai lu le cycle de Kareathon en long, en large et je ne sais combien de fois dans chaque sens. Sans compter que j'ai eu accès a une certaine...source différente de prophétie. Oui, je connais bien les prophéties mon Seigneur. C'est pourquoi mon général m'as envoyé ici, bien évidemment.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Hum, je comprend. La bataille nous détruira...le ténébreux nous détruira. Il n'aura pas besoin de moi pour cela. Mais ce qui est écrit est que le Dragon détruira le monde, en effet. J'aimerai comprendre pourquoi. Ce que cela veut dire exactement...Comment l'interprétez vous?
Vous dites de plus avoir lu le cycle de Karaethon, et d'autres sources! Vous semblez savoir beaucoup de chose dans beaucoup de domaines. Il y a peu, le pouvoir unique, maintenant les prophéties...Expliquez vous, Shaevar.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Mais ce qui est écrit est que le Dragon détruira le monde, en effet. J'aimerai comprendre pourquoi. Ce que cela veut dire exactement...Comment l'interprétez vous?
Mais tout simplement que le Dragon deviendras fou, comme le sont devenus les hommes maniant le Saidin lors de la Destruction du Monde.
Il y a peu, le pouvoir unique, maintenant les prophéties...Expliquez vous, Shaevar.
Et bien, on ne reste pas longtemps à la Tour Blanche sans avoir appris une où deux choses, n'est-ce pas?
Non, je ne suis pas un Lige. Je n'ai jamais voulu être Lige. Simplement...il y as beaucoup d'avantage au fait d'avoir été entraîné à la Tour, et la connaissance n'est pas le moindre.
Je suis installé non loin de la tente du dragon, assis par terre entrain de tailler un baton assis par terre. Je guette la sortie de Shaevar pour pouvoir ensuite le rejoindre au lieu de rendez vous
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Bon, et bien une chose est sûre, il en sait bien plus que la moyenne des gens sur tous cs sujets là. Il est renseigné, et son passage à la Tour Blanche y est évidemment pour quelque chose. Il ne s'est d'ailleurs même pas demandé si j'allai me méfier de lui...Cet homme m'intrigue de plus en plus. Ses connaissances et ses capacités pourront bien évidement me servir, et j'ai envi de lui faire confiance...mais je ne sais si je le dois...
- Que je deviendrais fou, nombreux sont ceux qui le disent. Les prophéties ne sont pas si évidentes que cela sur ce point il me semble! Mais j'ai eu ma réponse.
Ainsi vous avez été entraîné à la Tour...Vous connaissez donc leur stratégie, leur manière de penser et d'agir?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
RP OFF: mon personnage a 28 ans. Il a quitté la Tour il y as huit ans.
Ainsi vous avez été entraîné à la Tour...Vous connaissez donc leur stratégie, leur manière de penser et d'agir?
Malheureusement, je n'ai reçu que l'entrainement de Lige, et celui-ci, à la Tour, consiste sensiblement à savoir manier une épée dans le bon sens.
Les liges ne sont pas des stratèges, mais des combattants solitaires au service une dose de mépris que je ne peut retenir ponctue ce mot des Aes Sedai. Ils ne donnent donc pas d'enseignement sur la stratégie.
En ce qui concerne la nouvelle Amyrlin, je crains de ne rien connaitre d'elle, sinon qu'elle est très jeune. J'ai quitté la Tour il y as huit ans de cela et suis donc dans l'impossibilité de vous la décrire plus en profondeur.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Hum, pas d'enseignements sur la stratégie...Trés bien, mais qui alors, s'occupe des gardes de Tar Valon? Il me semblait en outre que les liges avaient une vie avant de devenir les esclaves des Aes Sedai, et qu'en conséquence il doit bien y avoir quelques experts en stratégie parmi eux non?
Vous m'excuserez de vous poser toutes ces questions, mais vous comprenez qu'au vu de ma situation, je me dois d'en apprendre le plus possible sur la Tour Blanche et ses manières d'agir. Vous semblez la haïr et pouvez m'aider en ce sens.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Pardonnez-moi, je me suis mal exprimé.Je ne voulais pas dire que les Lige ne sont pas de bons stratège, simplement qu'ils ne reçoivent pas d'enseignement de stratégie à la Tour. Les connaissance qu'ils ont dans cette matière est due à l'expérience qu'ils avaient avant de venir à Tar Valon.
le Protecteur actuel de la Tour est Eltharion Gaidin, du moins aux dernières nouvelles. Je le connais un peu mieux que la majorité des gens, mais ne peux me vanter de le connaitre personnellement.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Merci de ces renseignements Shaevar. Ils me seront utiles le moment venu. Nous nous reverrons plus tard pour parler de la manière d'être des liges.
Je comprend en outre maintenant pourquoi vous disiez connaître le pouvoir unique. Croyez vous qu'un séjour à la Tour permet de vraiment savoir ce qu'il est? Même sans avoir été lige?
edit: toutes mes excuses pour le retard. J'ai eu un sprint en terme de taf cette semaine
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Croyez vous qu'un séjour à la Tour permet de vraiment savoir ce qu'il est? Même sans avoir été lige?
Non, bien sûr. Du moins, si on se contente seulement de suivre l'entraînement de Lige. Néanmoins, si on consulte la bibliothèque qui s'y trouve et qu'on dialogue avec de bonnes personne, on commence a en avoir une meilleure idée. Si en outre nous faisons quelques expériences personnelles, nous obtenons une bonne idée en général de ce qu'est le pouvoir unique.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Hum, je vois. vous n'êtes pas une personne sans ressource Shaevar. Voila mon avis: vous m'avez d'abord inquiété, puis convaincu de la valeur de votre organisation par ce que j'ai vu et entendu ces dernières heures. Maintenant, à vous de juger si vous souhaitez ou non m'apporter votre aide. Mais sachez une chose: si vous n'êtes pas avec moi, ne vous mettez pas en travers de ma route. Je compte unir le plus de peuples et organisations possibles sous ma bannière avant la tarmon gaidon, notre survie en dépend.
Mieux vaut poser les conditions et ma vision des choses tout de suite. Il ne faut pas qu'il se croie indispensable. En outre, je suis toujours prompt à donner ma confiance, mais mieux vaut ne pas jouer avec: il n'est pas encore un Danner ou un Jolen...Nous verrons bien.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Vous pouvez Shaevar. J'ai beaucoup à faire moi aussi. Tentez tout de même de convaincre vous amis le plus vite possible!
Shaevar et moi nous saluons rapidement. Il sort, je le suis. Je remarque alors une jeune garçon, assi non loin de là, qui regarde Shaevar, puis lève les yeux sur moi. Il me fait une drôle d'impression celui là... Je l'interpelle.
- Je vous ai vu tout à l'heure au terrain d'entraînement, même si je n'en ai rien laissé paraître. Que faites vous ici, jeune homme? Demain vous combattrez peut-être, même si nous allons tout faire pour que le moins de monde possible soit confronté à cela...
- Je vous ai vu tout à l'heure au terrain d'entraînement, même si je n'en ai rien laissé paraître. Que faites vous ici, jeune homme? Demain vous combattrez peut-être, même si nous allons tout faire pour que le moins de monde possible soit confronté à cela...
Je vois le fameux dragon s'approcher de moi. Je vais devoir jouer la soummission pour ne pas éveiller ses soupçons.
Seigneur Dragon, je me repose après notre entrainement pour être capable de vous servir du mieux que je peux dans le cas ou je devrais combattre. Mais si ma position vous dérange je peux aller me reposer plus loin, je ne voudrais pas vous géner.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Jeune homme, vous ferais-je peur? Vous n'étiez pas soumis sur le terrain d'entraînement avant que j'arrive, à ce qu'on m'a dit...Ne jouez pas les faux semblants, j'ai besoin d'hommes bouillants et convaincus, pas de valets ou de lèches-bottes!
D'ailleurs vous ne me gênez pas...sinon je nous ne vous aurions pas recruté, mon jeune ami.
Il a l'air assez mal à l'aise...Ce que je suis est effrayant, mais je dois en porter la responsabilité.
Mon violon sur les genoux, j'assiste de loin à la conversation entre cet Aedmun et Karion, que je vois finalement s'en aller. Rassemblant tout mon courage, je finis par me lever et, terriblement intimidée, dédie une profonde révérence au Dragon Réincarné. *Si c'est bien ce qu'il est...*
Mon Seigneur Dragon. Je... je regrette de ne pouvoir combattre en votre nom, mais si vous me le permettez, je me ferais un honneur de jouer de ce violon pour vos hommes... et vous-même.
Ce disant, je me redresse et ose le regarder brièvement dans les yeux, le plus fièrement possible. *Qu'il ne me prenne pas lui aussi pour une enfant perdue tout juste bonne à être mise à la porte !*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Hum, il était pressé de partir...Il n'a même pas attendu mon accord. Il semble me respecter, mais ne serait-ce qu'une façade?
Ah, une jeune fille...mais que font les sergents recruteurs? Ca peut distraire les hommes et créer des dissentions tout cela...J'ai peu de temps à perdre, mais un peu tout de même pour une jolie fille. Tâchons d'en savoir plus.
Vous dites que vous jouez du violon? Comment vous appelez vous, demoiselle?
*Il n'a pas l'air franchement satisfait de me voir ici, sur le coup, là...* Dans un sourire, je réponds le plus calmement possible :
Je m'appelle Erylin, Seigneur. Et effectivement, je joue du violon. À l'approche d'autres batailles, vos hommes sont bien nerveux. Rien ne réchauffe les coeurs comme la musique du Sud !... si je puis me permettre.
Je me tais sur ce murmure quelque peu gêné, et attends en silence sa réponse. *Espérons qu'il aura pris ma petite exaltation comme un ralliement à sa bannière...*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
A bien y réfléchir, elle a sûrement raison, ça leur donnera chaud au coeur...
- Qu'en pensez vous Shaevar? Peut-être, jeune demoiselle, que si vous restez "inaccessible", cela peut avoir un trés bon effet et leur faire oublier un peu ce qui se profile...Peut-être même viendrais-je moi même vous voir Erylin!
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Humph, elle est encore jeune, et pas seulement de corps. Je ne voudrais pas que certains officiers aient, disons, des idées....mais d'un autre côté, il est essentiel de maintenir un bon moral parmis les troupes.
Il est toujours bon d'entretenir le moral de ses hommmes, mon Seigneur, et particulièrement à l'aube d'une bataille. Je ne vois que des avantages à ce qu'elle reste.
Par contre, je suggèrerais de la placer dans la tente d'un couple, ainsi, elle serait plus à l'abri de certains....actes que vos gens pourraient regretter.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Hum...oui...Ou dans la mienne hein? Non, je plaisante. Si je commence à m'arroger de genre de prérogatives, comment les hommes croieront en moi? Et puis c'est à elle d'en décider: je me bat pour la liberté et la lumière. Erylin, où dormez vous? Et y a-t-il en endroit que vous préfèreriez?
En tout cas la fin de la journée approche. N'oubliez pas de me faire signaler à quel feu vous chanterez ce soir.
Embarrassée par les propos du Dragon et de ce Shaevar, je me sens rougir légèrement *Ils parlent de moi comme si je ne pouvais comprendre !*, mais conserve néanmoins mon sourire. Aux questions d'Aedmun, je réponds d'un ton hésitant :
Je ne sais pas... j'ai dormi seule la nuit dernière et il ne m'est rien arrivé... Mais si vous le préférez, j'ai rencontré une femme, Ylnaa, qui acceptera peut-être de m'héberger sous sa tente.
Je fais une nouvelle révérence, heureuse de ne pas être repoussée.
Ce serait une joie pour moi de jouer en votre présence, mon Seigneur, je vous remercie. Je serai très certainement non loin des tentes de commandement.
À présent puis-je me retirer ? Je m'en voudrais de vous retenir plus longtemps...
Mon sourire se teinte d'amusement pendant mes derniers mots. *Que de courbettes et de politesses... mais c'est à un Dragon que je m'adresse, ne pas l'oublier.*
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Ylnaa vous dite? Et bien ma foi, si cela vous satisfait...Vous ne me retenez pas, ne vous inquiétez pas. Les journées ne sont pas de tout repos, et se reposer l'esprit avec des questions d'organisation et de maintient du camp me fait du bien. A ce soir, demoiselle Erylin.
Je m'engage alors entre les tentes. L'heure du repas approche, c'est un bon moment pour aller encourager les hommes. Nous partons tôt demain, c'est le moment de montrer que je suis là...
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Ylnaa, parfait!! Exactement ce que j'espérais. Ainsi, Karion seras prêt d'elle, et il est toujours utile d'avoir des yeux et des des oreilles qui surveillent des personnes....différentes.
Mais il est temps pour mon rendez-vous. Je dois me hâter vers l'endroit prévu, sinon Karion partira après quelques minutes. Rester plus de temps de sa part pourrait éveiller la suspicion.
Si mon Seigneur le permet, je vais maintenant disposer. Les journées à venir risquent d'être éprouvantes....
Je me dirige maintenant vers le lieu contenu, par un chemin détourné, bien entendu. Ha, le voilà. Espérons qu'il reste fidèle à la cause, car ce que je vais lui demander ne va certainement pas lui plaire.
Après avoir laissé le Dragon, je cherche Ylnaa à travers le camp, et la trouve heureusement assez vite. Je me précipite vers elle :
Ylnaa, s'il vous plaît ! Puis-je vous demander une faveur ? Je n'ai aucun endroit pour dormir ce soir et l'on m'a conseillé de trouver un lieu où je ne risquerai rien. Est-ce que... enfin... est-ce que je pourrais rester dans votre tente ? Je ne voudrais pas vous déranger.
Je la regarde avec de grands yeux tout suppliants en attendant sa réponse.
*Après une courte attente ( ), Shaevar arrive à notre lieu de rendez vous.*
Il nous faudra faire vite car les gardes patrouillent souvent. Il serait facheux de se faire surprendre.
Alors Karion, comment ça va?
Ca va Shaevar, je m'acquitte de la tache que vous m'avez confiée du mieux que je peux. J'avoue cependant avoir été surpris de vous retrouver ici et auprès de cet homme. Ne devions nous pas nous assurer qu'il était bien le dragon avant de nous joindre à lui. Pour l'instant je n'ai pas appris grand chose si ce n'est que la plupart des hommes sont entièrment dévoués à sa cause, on pourrait parler de fanatisme...
Vous savez des choses sur les évènements à venir ?
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
C'est exactement pour m'assurer qu'il est bien le Dragon que je suis ici. Ainsi que toi. Un seul observateur situé à un niveau précis de la hiérarchie ne peut suffir.
Et il y auras une attaque. Très bientôt. Un groupe se rendra dans Lugard et seras chargé de fomenter des troubles. C'est a dire éliminer discrètement des garde à des postes-clé et créer un sentiment d'inquiétude. Danner se chargeras de cette mission.
Je veut que tu fasse parti de cette expédition. Débrouille-toi comme tu peux. Une fois dans la cité, je veux que tu assassine Danner, et que SURTOUT cela ait l'air d'un accident.
Alors, est-tu prêt? Voilà l'instant de vérité...je me demande comment le gamin va réagir. Seras-t-il surpris, indigné, flatté, avide? C'est maintenant que je peux voir jusqu'où va sa loyauté.
Les hommes nécessaires à l'expédition étaient sur le pied de guerre. Danner en avait choisi des bons, aucuns d'excellents, et quelques pas vraiments doués, en jouant sur la fierté qu'il avait a entrainer de jeunes recrues, qu'il avait confiance en elles et qu'il fallait faire du bon boulot. Tout en sachant qu'ils risquaient forts de se débiner au premier incident sérieux. Suffisament peu pour que l'on doute de lui, toutefois.
Aux autres, il reporta le but de la mission.
Tenez-vous prêts. Quand le Seigneur Dragon en donnera l'ordre, nous partirons.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Il est stoïque, je n'aime pas trop ça. Une réaction franche aurait été préférable, mais bon, je dois lui daire confiance. Pour cette fois
Il s'occupe de l'aspect militaire un peu trop à mon goût. Que ce soit clair, le militaire est MON domaine, le seul avec lequel je puisse être d'une quelquonque utilité à Aedmund. Il me faut des bases plus solide, car avec Danner, il lui est plus facile de se débarasser de moi.
Je m'occuperai de lui. Maintenant nous devons nous séparer.
* Je rentre au camp d'entrainement où l'on me confirme ce que viens de m'annoncer Shaevar, c'est à dire que je vais accompagner l'expédition menée par Danner.
Je rejoins ensuite la tente où je retrouve Ylnaa accompagnée de la violoniste*
Les préparations pour l'infiltration de Lugard suivent leur cours. Je termine mon inspection générale du campement, puis je vais rejoindre Aedmun juste au moment où la nuit tombe.
Bonsoir Seigneur. Tout est prêt pour l'opération de demain. Vous pouvez faire confiance à Danner pour réussir notre entreprise, et ensuite vous pourrez marcher sur Lugard avec votre armée. Nos vivres sont bien suffisants, et nous trouverons de nombreuses ressources sur place.
La nuit est tombée depuis longtemps. J'erre dans la forêt sombre, inconnue. Un bruit me fait sursauter. Un homme vêtu de blanc se tient devant moi, sortant de nulle part. Il a relevé son capuchon et son visage n'est pas visible. Je commence à courir, mais il me suit. De plus en plus vite, mais il est toujours là, juste derrière moi. Je trébuche, tombe. Il me prend le bras, me pousse contre un arbre. Il prend son épée et la lève. Dans le mouvement, sa capuche dégage son visage. Un cri retentit dans la nuit ...
Je me réveille en train de hurler à côté de mon feu de camp. J'espère que personne n'a entendu ce cri. Je commence à rassembler mes affaires. Je dois me déplacer, partir.
Peut-être tomberais-je finalement sur ce fichu camp ? Je ne ferai plus de cauchemar si je suis avec d'autres
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Bonsoir Jolen. Je suis content de voir que vous avez confiance en Danner et que mes capitaines semblent bien s'entendre. Une chose cependant.
Vous pensez que les ressources de Lugard seront importantes alors? Ne pêcheriez vous pas par excès de confiance? Je me suis laissé dire que si la situation politique était si noire là bas, les gens ne devaient pas avoir tant que cela à manger...la relation entre les deux est souvent ténue!
Combien de temps je reste ? Eh bien, je ne sais pas trop... jusqu'à ce que je ressente la nécessité de partir sans doute.
Je hausse les épaules, puis souris.
La nuit est déjà tombée, on dirait. J'ai dit au Dragon que je jouerai pour ses hommes, ce soir. Si vous veniez, j'en serais ravie. À plus !
Je les laisse tous les deux sur un signe de la main *ils ont sans doute des choses à se dire*, puis me dirige vers l'un des feux de camps, le plus proche des tentes de commandement. *C'est certainement là que je trouverai le moins d'individus douteux.*
À mesure que je m'ouvre un passage à travers les soldats, je me sens de plus en plus nerveuse, et manque même trébucher une fois. Heureusement, personne ne semble le remarquer, manquerait plus que ça, mais lorsque j'atteins enfin le centre du cercle, tous ont bien vu l'instrument que je tiens à la main. Un grand silence se fait, durant lequel je me sens toute petite minuscule rien du tout devant ce groupe de...oh, heu... eh bien d'un certain nombre de personnes. Et la plupart me regardent avec des yeux suspicieux. Je remarque cependant le soldat qui m'a laissé entrer dans le camp et lui adresse un sourire embarrassé. *Bon, eh bien allons-y.*
Pour le Dragon Réincarné !
Certains ont l'air de vouloir répondre à ce cri. Je préfère ne pas leur en laisser le temps et entame le morceau sur un grand coup d'archet. Ils doivent pour la majorité venir du Murandy, c'est donc un air de ce pays que j'interprète, très connu, vibrant, joyeux. Lorsque Revient l'Eté. Où l'ai-je entendu déjà ? Dans une pauvre auberge sur la route, je crois... Ils n'avaient rien mais ils dansaient.
Les notes résonnent haut et virevoltent autour de moi, du feu, j'en ai la tête qui tourne. Brèves durant le refrain, puis voluptueuses, profondes et graves lorsque vient le couplet, elles vibrent sous l'archet bien plus vite qu'elles ne le devraient normalement. De nouveau le refrain si entraînant, et puis facile en plus, ils doivent tous connaître la mélodie. Il ne reste plus qu'à espérer que je ne me ferai pas huer... Du regard, je cherche brièvement Aedmun Kigarin. Puis de nouveau m'entraîne dans sa danse la vive valse de mes doigts.
La sueur perlant de tout mon corp, je m'entraînait lorsque tout à coup, je commence à entendre un hurlement de loup, comme si ils avaient trouver quelque chose digne d'intérêt.....Sans m'arrêter de frapper sur le manequin je me dit alors en moi même qu'il me faut absolument aller dans la forêt ce soir afin de comprendre ce qu'il se passe....
"Sergent instructeur": NE DETOURNEZ PAS VOTRE ATTENTION ET FRAPPEZ PLUS FORT, BANDE DE LAVETTES!!!! LES AMIS DU TENEBREUX PLEURERAIENT DE RIRE RIEN QU'EN VOUS VOYANT!!!!
Bonsoir Jolen. Je suis content de voir que vous avez confiance en Danner et que mes capitaines semblent bien s'entendre. Une chose cependant.
Vous pensez que les ressources de Lugard seront importantes alors? Ne pêcheriez vous pas par excès de confiance? Je me suis laissé dire que si la situation politique était si noire là bas, les gens ne devaient pas avoir tant que cela à manger...la relation entre les deux est souvent ténue!
C'est justement le moment d'agir Seigneur. En ces moments de troubles, une attaque ne sera que plus facilement réussie. Ne vous inquiétez pas pour les ressources : nous avons suffisamment de vivres pour mener un rapide siège s'il le faut, même si je pense que cela ne sera probablement pas nécessaire. La plus grande agitation est politique. Les problèmes agricoles ou même économiques qui pourraient nous ralentir doivent au contraire nous servir pour mieux rallier les foules.
Votre Pouvoir doit leur redonner l'espoir !
Je progresse lentement dans la forêt lorsque j'aperçois des feux de camp.
Je m'approche en essayant de ne pas faire de bruit. Mais une brindille casse et je me retrouve entourée par des gardes
Un garde
-Que faites-vous là ?
-Cela ne vous regarde pas
Le garde place son épée sur ma gorge et repose sa question, l'air pas commode
- Que faites-vous là ? Vous nous espionnez ?
-Je recherche le campement de celui qui dit être le Dragon Réincarné
- Eh bien vous l'avez trouvé. Les gars, continuez votre ronde, je conduis cette fille à un officier. Il décidera de ce qu'on fera d'elle.
[i]Je decide de suivre le garde sans rien tenter. Ce serait du suicide, il est entrainé au combat et pas moi. Et puis, c'est là que je voulais aller
Après que le garde m'ait emmené à son sergent et l'ait révaillé, que le sergent ait réveillé son supérieur qui ait à son tour réveillé son supérieur, qui à son tour, ...
Finalement, ces messieurs, ne sachant pas trop quoi faire de moi, décident de me conduire à un des adjoints du Dragon.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
RP OFF: Un peu facile Jehane, mais pas réaliste . Faudra justifier plus amplement le fait que tu sois présentée à un de mes subalternes directs. Tu apportes qqch de spécial? Une compétence, une connaissance? Parceque bon, des commes toi a priori, Aedmun il en recrute tous les jours sans le savoir!
/RP OFF
- Hum...Vous avez raison Jolen, même si c'est profite de la misère. Tout est bon pour rassembler les hommes sous ma bannière hein? ... *réfléchit d'un air soucieux quelques secondes puis...*
Bon, suivez moi, nous allons voir Erylin danser, puis j'annoncerait le départ aux hommes et nous partirons tous prendre une nuit de sommeil necessaire avant les évènements qui nous attendent...si j'arrive à dormir...
En voyant s'approcher le Dragon, je joue avec deux fois plus de zèle, lui dédiant des airs plus glorieux, mais non moins enjoués. Pas quelque chose de trop martial, surtout.
Enfin, après plusieurs autres morceaux, j'écarte vivement l'archet des cordes encore vibrantes, recule sur un petit pas de danse, plonge dans une gracieuse et profonde révérence à l'adresse d'Aedmun. Le voyant s'avancer, je m'efface précipitamment pour le laisser parler.
Après reflection, les soldats décident, sagement, de ne pas ennuyer leurs supérieurs. Après tout, je ne suis qu'un des nombreux nouveaux arrivants du camp, même si mon arrivée s'est faite de nuit et entre deux gardes.
Une fois laissée à moi-même, je me promène dans le camp. J'entends au loin de la musique et je m'approche. C'est une jeune femme qui joue du violon, très bien d'ailleurs. Elle s'interrompt quelques instants après mon arrivée et s'incline devant un homme. J'ignore qui il est mais il semble être très respecté ici.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Je vous remercie, dame Erylin, de nous divertir avant la dure journée qui nous attend demain. Cela donne du baume au coeur, et vos morceaux étaient bien choisis. Ma parole après votre musique va vous paraître bien peu mélodique, mais elle est necessaire. Peut-on aller chercher les officiers qui ne sont pas encore là, et les recrues les plus récentes?
*J'embrasse alors les alentours du regard. Le feu brule faiblement. Je m'approche des braises, me concentre quelques secondes, fais le vide à l'interieur de moi : le feu prend alors une dimension des plus gigantesques. Quelques 3 mètres de haut. Mais il ne brûle pas. Je m'adresse alors à ceux qui sont présents, de plus en plus nombreux, constatant un mélange de malaise et d'admiration dans leur regards.*
*D'une voix forte et décidée*
- Il y a quelques mois a commencé une aventure qui ne verra son terme que lorsque nous verrons la fin de ce trop long hiver qui ronge nos terres. D'un petit groupe parti de l'est du Murandy, nous sommes aujourd'hui une véritable armée. Jolen me dit que nous approchons les quelques dix-mille hommes.
Le seigneur Grent nous a rejoins. Nous avons dans nos rangs de grands stratèges, et je sais que je peux compter sur votre fidélité à tous. Nous sommes bien implanté à l'interieur d'un pays dont l'unité ne tient plus qu'à un fil. Les Murandiens, comme tous les hommes de ce côté du rempart du Dragon, ont besoin d'union. Ils veulent une bannière, car chacun sent dans l'air la vile odeur du ténébreux s'approcher.
Regardez autour de vous! Nous sommes en juin, et quel temps fait-il? Le printemps ne se lèvera-t-il donc jamais? Cela ne tient qu'à nous, et nous ne sommes restés ici que trop longtemps! Il ne nous faut pas douter, il faut avoir confiance en notre force, et agir au plus vite.
Vous l'aurez compris, nous levons le camp demain matin à la première heure, et nous partons pour Lugard. Ca n'est qu'une première étape, mais elle est necessaire. Le Roi ne peut rien, ses seigneurs se battent entre eux et contre lui, et on ne peut laisser ce pays tomber dans la guerre civile alors que le Ténébreux est à nos portes!
Je vous vois trembler à chaque fois que je prononce ce mot: il ne faut pas. Nous ne devons pas en avoir peur, nous devons le combattre, et cela commence par la maîtrise de nos craintes. Préparez vous pour demain, soyez surs de notre force, mais sachez tout de même que nous essayerons de ne pas nous battre. Si Lugard peut tomber simplement devant la démonstration de notre force, sans bataille ni blessure, ça ne fera que plus d'hommes sous notre bannière. La cruauté est du côté du ténébreux, et pour rassembler, il nous faut être fermes mais justes. Tout homme qui nous rejoindra sera un pas de plus vers la victoire!
Allez vous reposer mes compagnons, soyez sereins, et demain nous vaincrons!
Je regarde alors autour de moi, et l'assistance explose en vivats, sûre de la victoire du lendemain.
Ce qu'il faut, c'est qu'eux soient surs de vaincre. Le moral est en ces circonstances le nerf de la guerre.
Un homme s'approche du feu. Il a une présence ... imposante. Les flammes montent d'un seul coup à plus de 3 mètres. Une Aes Sedai est présente, c'est la seule solution. Un homme qui canalise devient fou, il ne peut pas faire CA volontairement quand même. Je chasse ces pensées de mon esprit pour l'écouter.
A la fin du discours, je reste songeuse. Il pense que la Dernière Bataille est proche et il veut unir tous ceux qui se battent pour la Lumière.
Et nous partons demain, pour Lugard. Il espère prendre la ville sans perdre d'hommes. Je ne sais pas pour la noblesse mais s'il offre de rétablir l'ordre, le peuple va probablement le suivre. Mais il y aura des troubles, tous ne le suivront pas. Enfin, Dragon ou pas, cet homme semble savoir ce qu'il fait.
Je ferai bien de trouver un coin où dormir moi. Je commence à être fatiguée.
Je me dirige vers les tentes à la recherche d'une place ...
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Je sors de ma tente alors que le soleil n'est pas encore levé, et qu'une faible lueur éclaire la forêt à l'est. Au moins, le Ténébreux ne peut pas nous enlever cela....
Il fait frais, mais pas trop froid. J'enfile tout de même une cape, et file vers la tente des premiers officiers et stratèges, où je trouve Jolen et Danner déja d'aplomb. Je les salue, puis nous restons tous trois silencieux, perdus dans nos pensées, attendant l'arrivée de Grent et de Gile, le garde Royal de Lugard.
Jusqu'à tard hier soir, nous avons paufinés notre stratégie.
Nous sommes à quelques 45 lieues de Lugard, et une armée en campagne peut en parcourrir 4 sans être coupé de son approvisionnement. Cela veut dire qu'il nous faudra au moins 11 jours pour arriver à Lugard en bonne forme et en bonne position.
Nous allons constituer deux avant gardes, et c'est là que réside la stratégie adoptée. Une première avant garde, conduite par Jolen, de quelques centaines d'hommes, suivie par l'armée et l'arrière garde, conduites par Grent, Shaevar et moi-même, composeront l'armée classique.
Danner a choisit ses quelques dizaines de compagnons, et avec Gile, qui l'accompagne, ils ont établis les plans pour déstabiliser la garde royale et l'empêcher de se mobiliser. L'absence de celle-ci, l'effacement du Roi, fera que la population va tomber dans mes bras comme une fleur, sans une goutte de sang...Enfin j'éspère....
L'armée avancera lentement vers la cité, au pas, et défilera...ou combattra, c'est selon...Cette seconde éventualité a bien évidemment été envisagée, et nous éspérons que le groupe de Danner aura tout de même bien affaiblit les défenses si elles se présentent.
Brent, Shaevar et Gile sont arrivées, ainsi que les capitaines des quatres compagnies à cheval et des 16 compagnies à pied (20 compagnies pour un total de 10 000 hommes). Ils ont tous fait lever leurs hommes, chacun se prépare au départ.
Nous laissons sur place quelques dizaines d'hommes, qui se chargeront de tenir ce qui reste du camp, et de continuer le recrutement.
Après un rapide résumé de la situation aux capitaines, qui bien évidemment ne dévoile pas le fond de la stratégie adoptée (si les hommes peuvent croire que ma seule présence suffit à la victoire, c'est encore mieux...), et que ceux-cis feront à leurs subordonnées, et ainsi de suite, je demande de se préparer au départ incessamment. Nous restons quelques minutes dans la tente avec mes stratèges et conseillers, et résumons une dernière fois les choses.
Une fois sorti, je monte sur mon cheval que me présente un palfrenier à l'air peu réveillé, et part faire quelques tours parmi les tentes pendant que se déroulent les ultimes préparatifs. Venir voir soi-même ses hommes est essentiel. S'ils vous connaissent, s'ils vous sentent proche d'eux, ils vous défendront et vous aurez leur loyauté.
Voilà le jour du départ est enfin arrivé et tous les hommes sont rassemblés en lignes. Une armée de 10 000 hommes qui suivent cet Aedmun et qui ont foi en lui. Ils pensent tous que cet homme est notre unique espoir de survie. Mais est-il vraiment ce dragon que nous attendons?
Je retrouve la petite compagnie emmenée par Danner, nous sommes à l'avant des troupes et nous partons sans attendre l'armée. Nous allons essayer de semer le trouble dans la Garde Royale.
J'aperçois au loin Ylnaa à qui j'ai fait mes adieux un peu plus tôt. J'espère la revoir bientôt. La jeune femme qui a dormi dans notre tente a demandé à se joindre à notre expédition afin de pouvoir composer un chant qui contera nos exploits. C'est le seul visage ami que je connais. J'espère qu'il ne lui arrivera rien au milieu de la bataille.
[i]Je regarde les hommes en rang. Ils ont fier allure même si la plupart semblent encore un peu endormis. Ils se préparent au départ. Les civils comme moi restent au camp avec une poignée de soldats.
Je me dirige vers les tentes où sont regroupés les blessés. Le lendemain de mon arrivée, j'ai rejoint le groupe des guérisseurs du camp. Des milliers d'hommes ne peuvent pas rester longtemps en groupe sans reussir à se blesser, surtout lorsqu'ils apprennent à se battre.
En arrivant vers l'hopital, je croise le Dragon qui fait le tour du camp à cheval. Les hommes semblent apprecier de le voir ainsi circuler parmi eux. et c'est vrai qu'il a fière allure ainsi et une présence qui me laisse sans voix.
Je me retourne et le regarde s'éloigner, longuement ...
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Voila 8 jours que nous chevauchons, et nous avons traversé le moins de villages possibles. Cependant, certains évènements bizarres s'y bizarres déroulaient, comme des groupes importants de personnes qui voulaient rejoindre la troupe, ou des mariages trop nombreux pour que cela soit compréhensible.
Je ne sais que penser de tout cela, mais ça met mal à l'aise. Quelle maléfice du ténébreux ou bénédiction du créateur peuvent produire ce genre de choses?
Comme nous n'avançons pas trop vite, les hommes sont en forme. Nous prenons soint de ne pas nous arrêter dans les endroits ou la beuverie est trop facile, et établir le camp chaque soir prend du temps. Mais même en marche, notre nombre augmente.
Autre chose me gêne aussi...les rumeurs persistante de mouvements de troupe des Blancs Manteaux quelque part entre l'Amadicia et le Murandy. Il va me falloir envoyer des observateurs et en parler au Conseil... J'aperçois alors Jolen, non loin derrière, alors que mes pensées vagabondent à ce sujet, et alors qu'il arrive près de moi, lui demande de manière à n'être entendu que de lui:
"Jolen, que pensez vous des rumeurs qui concernent la présence des Blancs Manteaux à l'ouest du Murandy? Que faudrait-il faire selon vous?"
PS: Si Danner ne poste pas on ne va pas avancer trés vite. J'ai attendu quelques réactions supplémentaires, notamment la sienne, mais maintenant faut se bouger un peu. Sihaya, are you here?
"Jolen, que pensez vous des rumeurs qui concernent la présence des Blancs Manteaux à l'ouest du Murandy? Que faudrait-il faire selon vous?"
Les guetteurs que j'avais moi-même fait poster à l'ouest de notre camp de base n'ont jamais pu confirmer ces rumeurs. Pour moi Seigneur, il ne s'agit là que de racontars de sous-officiers un peu ivres pour effrayer les nouvelles recrues. Cela peut avoir des conséquences bénéfiques, en augmentant la vigilance de nos troupes, mais j'ai peur que cela tourne à la paranoïa si ces rumeurs persistaient sans raison. Les dernières campagnes des armées d'Amadicia n'ont apporté aucune victoire, et aussi incroyable que cela puisse paraître, elles ont même tenté une offensive sur Tar Valon. Leur déroute fut sans appel, ce qui montre deux choses évidentes Seigneur : les Blancs Manteaux ont besoin de temps d'une part pour reformer une armée en nombre, capable de mener une campagne d'envergure, et d'autre part pour trouver des officiers efficaces. Même si nous ne sommes pas si loin de leurs terres, ils sont incapables, dans l'état actuel des choses, de s'attaquer à une armée de plus de 10000 hommes, comme celle que nous formons actuellement.
Aussi Monseigneur je vous conseille de tout tenter pour mettre fin à ces rumeurs avant que leurs conséquences ne s'aggravent.
Tout est calme, le camp s'est installé dans une routine confortable depuis le départ du gros des troupes. Les hommes s'entrainent, montent la garde et fanfaronnent. Il y a chaques jours de nouvelles arrivées. Ils viennent d'un peu partout même si la majorité est originaire des territoires voisins.
Les patients des guerrisseurs se remettent bien. La plupart n'ont pas de blessures graves : des entailles, des bosses, des coups sur la tête. La plupart des hommes ne sont pas soldats de métier et ils fanfaronnent avec leurs armes neuves.
Les musiciens jouent tous les soirs, pour tenter de chasser le mal du pays qui touche certain. Les bagarres de la soirée font plus de dégats que les entrainements.
Mais tous le monde est nerveux, des rumeurs circulent. Une armée de Blancs Manteaux serait dans la région, prête à nous attaquer. Je ne sais si elles sont vraies. Le temps nous le dira. Mais ce sera peut-être ma chance.
Mes travaux avancent bien. J'ai pu préparer discrètement la liqueur d'absinthe et la teinture de belladone. Je dois encore m'occuper des colchiques et des baies d'if. Il faudra sans doute que je les prépare de nuit, pour pouvoir être seule. La belladonne peut s'utiliser pour les problèmes de coeur, je n'ai pas eu besoin de me cacher mais les autres ne servent pas à soigner. Si on me surprend ...
Je ne devrais même pas en parler dans ce journal. Mais il faut que je l'écrive, comme si je le disais à un autre. Ma mère, mon père, mon mari, vous serez vengé, un jour ou l'autre, je vous le promets. Je n'oublie pas, je n'oublierai jamais.
Les hommes sont entrés facilemement dans la ville, ayant dissimulé dans des baluchons ou sous quelques chariots toutes leurs armes.
Divisés en petits groupes, chacun s'est établi dans une auberge différente, prenant le plus de renseignement possibles sur les habitudes des soldats. En peu de temps, tout est prêt. Ne manque plus que le signal du Seigneur Aedmund.
Klian : on lance l'attaque apres le GN ?
avec plan de la ville + forteresse ?
Je me suis aventurée aujourd'hui à la lisière de la forêt pour trouver des champignons avec quelques autres femmes, escortées par deux gardes. J'en ai profité pour en cueillir certains pour mes réserves personnelles. Ils rendront les plats moins ... digestes pour ceux qui les mangeront. Les rumeurs sur la présence de Blancs Manteaux circulent toujours mais de moins en moins. Toujours aucune nouvelle de l'armée partie pour Lugard, les seuls messages sont reçus bref. « Nous avançons vers Lugard, RAS. ».
Les miens me manquent. Leur absence brûle dans mon âme et les nuits sont toujours emplies des mêmes cauchemars. Maudits soient les Blancs Manteaux, et maudites soient les Aes Sedai. Si ils n'existaient pas, j'aurai toujours mon ancienne vie. Et vous seriez toujours là. Toi et moi ensemble, mon amour. notre maison serait terminée et peut-être déjà nous aurions déjà un enfant. Oh , mon amour tu me manques tellement. Pourquoi a-t'il fallu que cet idiot croit que Mère utilisait le pouvoir. Ce maudit pouvoir. Cent fois maudit soit-il, ce pouvoir qui attire le malheur. Celles qui l'utilisent sont bien à l'abri dans leur tour et ce sont les autres qui trinquent. Au moins, les hommes payent le prix un jour. Maudits soient-ils tous, Aes Sedai et Blancs Manteaux. Bientôt tous payeront, bientôt vous serez vengés ... Et alors mon tendre amour, tu pourras reposer en paix.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
- Hum, vous avez raison Jolen, l'important est que les hommes ne s'inquiètent pas de cela. Il paraît tout de même si sur de lui! Les gens comme ça m'impressionnent...Mais il avait envoyé SES guetteurs? Il ne m'en avait pas parlé. Passons pour cette fois. Je vais juste lui en toucher un mot. Si les Blancs Manteaux étaient assez près pour nous inquiéter avant notre arrivée à Lugard, nous les aurions déja bien évidemment repérés. Nous arriverons en vue de la ville demain, et mes éclaireurs ainsi que l'avant-garde me disent que le moral y est bas d'or et déja!
J'ai reçu un message de Danner. J'ai confiance en cet homme, il mènera a bien l'opération. Je lui ai envoyé le signal necessaire, et normalement, Lugard va subit encore quelques troubles ce soir et jusqu'à demain.
Ah, et mon cher Jolen, quand vous envoyez des guetteurs, prévenez moi, que je sache un peu ce qui se passe dans mon armée...
Les hommes ont l'air de voguer entre de naviguer entre une vague inquiétude et une envie d'être reconnus en sauveurs...Qui sait exactement de quoi sera fait demain? C'est une étape décisive...
Alors que Jolen s'est éloigné, je sens un léger toussotement derrière mon dos. C'est Grent, qui souhaite aparemment me dire un mot.
- Monseigneur, j'ai un uluberlu qui dit avoir vu quelque chose, mais qui ne souhaite parler qu'à vous...J'en fait quoi? Mes officiers lui ont dit qu'on ne pouvait vous déranger pour cela, mais il dit que c'est important, et il ne veut rien nous dire. Il résite étonamment bien aux menaces..., termine-t-il avec un sourire en coin.
- Ahahahah, je reconnaît là votre sens de la négociation mon cher Grent. Amenez moi cet homme, et qu'il soit bien entouré. Je ne veux pas subir une tentative d'assassinat. Et renseignez vous sur sa présence au sein de l'armée: depuis combien de temps est-il là? Quelqu'un le connaît? Merci Grent.
Ah, et mon cher Jolen, quand vous envoyez des guetteurs, prévenez moi, que je sache un peu ce qui se passe dans mon armée...
Pardonnez-moi mon Seigneur, je pensais appliquer vos ordres concernant la sécurité du camp. Vous disiez que nous devions faire le maximum pour empêcher toute mauvaise surprise, je pensais donc que la disposition de guetteurs allait de soi... mais vous avez raison, j'aurais dû vous avertir.
*S'inclinant.* Pardonnez-moi Seigneur Dragon. Voulez-vous donner vous-même de nouvelles instructions à ce sujet ?
Pendant ce temps, un cavalier (moi) vetu de noir, monté sur un cheval noir a ses mesures (plutot barraqué), se présente a l'entrée sud du camp.
Il descend de son cheval, laisse pendre les renes, et se poste là ou il vient de mettre pied a terre, face a l'entrée, les bras croisés, le capuchon de sa cape cachant ses yeux dans l'ombre.
Il attends.
(RP Off: le titre du sujet etant Appel à téméraire aimant l'aventure et la castagne (le camp), je me presente. j'ai survolé les derniers posts pour me faire une vague idée, mais j'essaie de la jouer "je me jette a l'eau dans l'inconnu" ah, si: Aedmun serait apparament un draon reincarné (vrai, faux... je me ferais mon idée )
ps: j'ai posté un petit background dans le sujet approprié)
RP OFF:
Pas de problème Harfang, on peut s'intégrer comme cela dans le jeu! S'il y'a quelque chose qui cloche, le conseil RP te le dira de tte manière. En attendant ton BG me va, mais j'aurais quelques remarques à faire sur ta fiche. Confère le topic approprié .
Je passe vers l'entrée sud du camp lorsque qu'un homme arrive, grand et massif, tout de noir vêtu. Il met pied à terre mais garde son capuchon baissé alors qu'un garde s'approche.
Je me joins au garde pour voir qui est cet inconnu.
Garde (un petit jeune pas très sûr de lui) en bleu
HF, ignorant totalement le garde: "Dame, je souhaiterai un entretien avec un officier de ce camp" (petite inclinaison de la tete, toujours a demi cachee, au moment de dire le "Dame")
----------------------------------------
RPOff: je m'adapte: comment changer la couleur d'un texte? est ce une balise en particulier?
Une dame, moi ? Il n'a pas de bons yeux celui-là. Enfin, mieux vaut le conduire à un officier avent que le garde ne perde son sang-froid
Je ne suis pas une dame. *Sourire indéfinissable* Les officiers sont logés dans les tentes au centre du camp. Je vais vous conduire si le garde n'y voit pas d'objection.
Le garde n'a bien sûr aucune objection. Nous nous dirigeons ensemble vers le centre du camp. Je m'adresse à lui en essayant d'ête aimable.
Qu'êtes vous venu faire ici ? Nous sommes loin de tout ici.
Vos services ? *avec une accentuation sur ce mot* A celui qui s'est proclamé le Dragon, je suppose, Aedmun Kigarin. Il y a tout les jours de nouvelles recrues, ici. Beaucoup de jeunes rêvant d'aventures. *Son ton laisse penser qu'elle ne le met pas dans cette catégorie* Peut-être pouvez-vous m'aider, toutefois ? J'ai besoin d'entrainement au poignard. J'ai quelques bases mais je manque de pratique ...
Je me tais car nous sommes arrivé devant les tentes des officiers. Un planton entre pour prévenir l'officier de garde.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
Voulez-vous donner vous-même de nouvelles instructions à ce sujet ?
- Je comprend Jolen. Vous avez voulu bien faire. Faites passer aux capitaines le message que les éclaireurs n'ont rien vu. Et envoyez quelques hommes de confiance, qui viendront me faire un rapport directement. Oh...et je veux voir les hommes que vous envoyez! Nous allons les...motiver...Je veux absolument savoir ce qu'il se passe. J'ai peur de ces blancs manteaux...Sous couvert du bien, ils agissent pour le mal et le Ténébreux...Je les hais! Fauteurs de troubles, diviseur des hommes, ils sont un des fléaux de ce monde. Je vous fait confiance Jolen, pour les trouver, les traquer, savoir où ils sont.
Il en sera fait comme vous l'ordonnez Seigneur.
Mais... si vous me permettez mon Seigneur... voulez-vous que les nouveaux guetteurs que vous allez envoyer reviennent vraiment jusqu'ici pour chaque rapport ? Même à fond de train, il y a au moins deux jours entre Lugard et notre camp. Si vous établissez un roulement, cela nécessitera deux voire trois fois plus d'hommes, et si vous ne le faites pas, la surveillance sera inefficace.
Quoiqu'il en soit, ils devront partir immédiatement pour relever les hommes que j'avais choisi auparavant. J'amène pour vous les meilleurs guetteurs dont nous disposons ici, pour qu'ils reçoivent votre assentissement.
*Part puis revient, une vingtaine de minutes plus tard, accompagné par 21 éclaireurs, à n'en pas douter les meilleurs de l'armée. Légèrement essouflé, reprend en s'inclinant*
Désirez-vous que j'en recherche davantage mon Seigneur ?
Le nouveau venu semble observer les alentours avec attention. *Je me demande ce qu'il vient faire ici. Il est si différend des gamins exaltés qui arrivent ici.*.
Un officier sort de la tente.
Votre nom et les raisons de votre présence ?
J'observe attentivement l'inconnu, pour voir sa réaction.
*Un assassin mercenaire, interessant. Je le voyais comme un soldat ou un officier déserteur. Il pourrait m'être utile. Par contre, le payement risque d'être un problème*
Je décide de rester à proximité pour lui parler quand il en aura fini avec l'officier.
*Ce cri d'alarme retentit soudainement depuis les palissades ouest et résonne rapidement dans tout le camp. Les soldats se mettent tous à courir en tout sens, et les moins expérimentés semblent céder à la panique tant leurs courses paraissent vaines. Les officiers laissés sur place par Aedmun Kigarin tentent d'organiser les forces.*
ALERTE ! ALERTE ! LES BLANCS MANTEAUX ! UNE ENORME LEGION !
*Peu à peu, un bruit de cavalcade, d'abord lointain, se rapproche. Dans une poignée de minutes, le camp de base du Dragon se changera en champ de bataille.*
Dans l'émotion du moment, je ne me rends pas compte que j'ai parlé à voix haute. Je remonte mes jupes, sors un poignard de mon corsage et me saisit de la lance oubliée par un soldat.
Me placant à côté de Han, je me prépare au combat à venir
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
*Officier Y.Celebred*
- Vous dites, éclaireur, qu'ils sont à 1 heures du camp? Une énorme légion, qu'est-ce que cela veut dire? Une légion, c'est mille hommes mon brave...
Celebred regarde les gradés qui l'entourent:
- Dans l'immédiat, vous allez voir les quelques hommes qui sont sous vos ordres, vous les rassemblez, et les calmez. Vous revenez ici rapidement, et on va faire un choix de stratégie. Je reste ici pour y réfléchir, quand à vous tous je vous veut ici dans quelques minutes tout au plus! Réunir et calmer 300 hommes ne devrait pas être difficile...Allez y, plus vite que ça!
Les officiers partis, Celebred se retourne vers le messager qui vient d'arriver, et deux autres qu'il a convoqué.
- Vous trois, vous allez porter ce message au Dragon: "Camp de base attaqué par les Blancs Manteaux, tentons de résister, sommes repliés dans la demeure fortifiée de Brent"
C'est au tour des messagers-éclaireurs de partir. Yann Celebred est seul, les sourcils froncés sous le poid de la charge et de la reflexion.
Nous ne tiendrons jamais face à une armée entraînée, et qui plus est bien plus nombreuse que nous. Il y a des vivres chez Brent, la seule solution est le repli. Les Blancs Manteaux s'attaqueront-t-ils à la population? Prendrons-t-ils le risque de faire un massacre, ce qui pourrait leur coûter cher politiquement? Nous pourrons tenir quelques jours chez Brent, si le siège n'est pas trop offensif. Je ne vois pas d'autre solution. Il faut éspérer que la célérité des messagers suffira.
Y.Celebred s'asseoit, et attend le retour des officiers, perdu dans ses reflexions.
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
*Après le discours d'Haesur devant nos hommes je m'approche de lui pour lui faire part de mes réflexions.*
Ecoute je ne pense pas que les quelques soldats restant au camp vont essayer de nous tenir tête. Ils disposent de l'accès à une forteresse, ils vont sans doute se retrancher. Je pense que nous devrions essayer d'envoyer un petit groupe de 50 hommes le plus vite possible vers ce camp pour tenter de capturer les officiers. Les hommes restant au camp ne sont pas organisés et lorsqu'il verront arriver des soldats montés ils ne résisteront sans doute pas. De plus si nous neutralisons leurs chefs leur replis sera beaucoup plus désordonné et celà laisse une chance à notre armée de les cueillir.
J'avais pensé à Mayran pour diriger cette expédition afin qu'il fasse ses preuves après la démonstration de l'autre jour. Qu'en penses tu ?
La panique des premiers instants se calme. Je suis les autres vers le manoir du Seigneur, tout proche. J'ai pris le temps de passer sous ma tente récupérer quelques affaires irremplaçables comme mes herbes, mes poisons et mon journal. J'ai également pris mes couteaux de lancer, ils sont anciens et assez mal équilibrés mais c'est mieux que rien.
*Enfin, après de long mois je vais pouvoir commencer ma vengeance. Et ils viennent à moi,...*
Après quelque minutes, la majorité des hommes se dirigent vers le manoir. Certains sont à la traîne car ils ont voulu récupérer toutes leur affaires.
On commence à entendre le tonnerre des chevaux dans le lointain. La tension grandit. Pour beaucoup, c'est le baptême du feu.
*Je réponds à Ehoral sur un ton qui mêle l'ironie au doute.* Un caporal d'infanterie au commandement d'un détachement de cavalerie ?
Allons cousin, même si la victoire est acquise, je ne pense pas que cela puisse contribuer à entretenir la sérénité qui règne au sein de notre légion. Que penseront les cavaliers ? Tu sais bien qu'il y a toujours une certaine rivalité entre les hommes montés et les fantassins.
Ceci dit, je pense que ton idée bonne, dans un sens. Envoyons immédiatement un groupe de 50 cavaliers en avant vers le camp, accompagnés par 30 fantassins dont ce Mayran aura le commandement, distinctement. Ils seront chargés de prendre le contrôle du camp en capturant les retardataires.
Pendant ce temps, tentons d'encercler nos ennemis rapidement pour en couper le maximum de leur refuge, tout en semant la panique dans leurs rangs.
*En pleine chevauchée, nous donnons nos instructions rapidement. Le plus gros des troupes commence donc à contourner le camp pour couper la retraite adverse, pendant que Mayran et les autres s'apprêtent à entrer dans le camp.*
En pensée: "hé, mais ça me va pas du tout moi de devoir me battre sans être payé! ça ote la moitié du fun! et j'ai horreur des négociations express!
J'attrape le bras de l'officier pour attirer son attention:
"on dirait que vous allez avoir besoin de moi plus tot que prevu.
on peut faire:
- les blancs manteaux
- tout de suite
- peut importe
et vu que c'est pour consommer sur place et immediatement, je vous fais une super promo: 100 pieces d'or"
A ce prix là, c'est donné, mais je préfére tenter ma chance a milieu d'un tas de types qui distraieront les blancs manteaux et me laisseront plus de chances de m'en tirer que si je par au galop du camp, seul... quoique...
"Cela dit, si vous avez quelqu'un a evacuer, je peux aussi l'escorter en lieu sur" (en disant cela, je jette un coup d'oeil vers mon escorte dans le camp.[/rouge]
RPoff: pour le prix, je me fie a ce que je sais de la valeur d'une piece d'or dans new spring. si il existe des exemples de valeur afin que je puisse ajuster mes tarifs, je suis preneur.
en l'occurence, 100 pieces, c'est cher (prix que fait payer a une Aes Sedai, pour 20 robes (moitie soie moitie laine), la meilleure tisserande de Tar Valon mais ça peut donner a l'officier une idee de ce que mon perso estime etre ma valeur (sans compter que sa situation est desesperee )
RPoff: ps: et voila, moi qui venait pour un eventuel job ponctuel pour entrer dans le RP du forum, je sens que je vais me retrouver embringué dans une cause a l'insu de mon plein gré...
"Cela dit, si vous avez quelqu'un a evacuer, je peux aussi l'escorter en lieu sur" (en disant cela, je jette un coup d'oeil vers mon escorte dans le camp.[/rouge]
[i]J'entends le nouveau venu suggerer à l'officier qu'il pourrait m'évacuer.
*A quoi il pense le petit nouveau ? M'évacuer,et puis quoi encore ? Que je reprise ses chaussetes ? Alors que je rêve depuis des mois d'affronter ces ******* ** ****** de BM. M'évacuer ! Comme si j'étais une gamine incapable de se battre. Il veut que je lui mette un coup de couteau dans le ventre ou quoi ?*
Je sors ostensiblement mon poignard pour l'inspecter. Puis je le rengaine et leur tourne le dos, hautaine, et marche d'un pas assuré vers le manoir, sans un mot.
Bon, j'aurais pas eu beaucoup le temps de réfléchir. On les entend déja au loin mais tout le monde s'est mis en route, et en ordre. Je vois quelques femmes, mais bizarrement, et chargées qui plus est (!), mais elles ne traînent pas non plus. Heureusement que nous ne sommes qu'à quelques centaines de pas. Si j'en juge pas le bruit dans le lointain, et ça ne peut-être qu'une avant garde, nous ne pouvons atteindre la demeure de Brent qu'avant eux. Peu de choses peuvent se cacher entre le camp et la demeure, et j'ai moi même placé des éclaireurs...Ceci dit, nous avons été surpris. Y aurait-il des traitres parmi nous? Je n'ose y croire, mais je vais mettre pour l'instant cela dans un coin de ma tête...
- ALLEZ! DEPECHEZ VOUS, ON EST POURSUIVI ET CA S'ENTEND! BANDE DE MOLASSONS, ON SE BOUGE LES MICHES OU ALORS VA FALLOIR SE BATTRE! LE HOMMES, AIDEZ LES FEMMES CHARGEES, ET LES OFFICIERS VOUS ME FAITES PASSER CE MESSAGE!
Je me dirige vers une des femmes du camp, lourdement chargée de sacohces et de ballots.
Venez, vite, il faut atteindre le manoir rapidement. Donnez-moi une partie de vos affaires, je vais vous aider.
Je lui prends une partie de ses paquets sans lui laisser le temps de protester.Je trébuche sous le poids un instant puis je me mets en marche. J'aperçois dans un ballot, un lot de petites boites de bois scultées et des bouts de robes ornées d'un d'un peu de dentelle. Etais-ce vraiment nécessaire qu'elle emmène absolument toutes ces affaires ? On est avec une armée, pas à un grand bal.
Nous avançons maintenantt rapidement vers le manoir
Aprés avoir entendant ce qui semble etre l'officier commandant du camp crier, l'officier en face de moi, aprés avoir regardé partout autour de lui, tachant de maitriser sa nervosité face a cette attaque qui les a tous surpris (ils ne connaissent pas les guetteurs et les eclaireurs avances ici? ils n'ont pas de taupes dans les villages alentours??) prends soudain conscience de ce que je viens de lui dire et me fixe d'un air incredule.
Edit Le Conteur: l'officier, c'est moi qui m'en occupe . Tu peux éditer tes actes en conséquence.
"Mais vous ne voyez pas qu'on est en pleine attaque?!? remuez vous donc! Et puis on embauche pas de mercenaires ici! Les hommes croient en le Dragon Réincarné, et y'a pas de place pour ceux qui vendent leur âme au plus offrant, sang et sacrée cendres! Ou vous vous barrez, et tant pis pour votre peau, ou vous irez voir Y.Celebred pour lui demander ce qu'il en pense, mais ne vous attendez pas à être bien reçu! Oh et puis...et mince, pourquoi j'discute de ça maintenant moi? Pas que ça a foutre bourdel! En selle!"
En ayant assez entendu, je lui donne une parodie de salut militaire et me precipite vers mon cheval.
Arrivée a portée d'oreille, je pousse un sifflement, et celui ci vient à ma rencontre au galop. (on est pas saldaean pour rien.)
Quand nous nous sommes rejoints, j'ote rapidement ma cape et la glisse dans un des sacs de selle.
Je passe mon épée par dessus mon épaule droite, puis décroche mon bouclier rond de l'arriere de mon cheval et l'accroche dans mon dos, ceci afin de le proteger et de garder les mains libres. je passe la main le long de mon avant bras gauche, puis verifie que mon fleau d'armes joue librement dans la boucle qui le retient a l'avant gauche de ma selle. Enfin, passant de l'autre coté, je decroche ma Claymore (grande épée a deux mains) et l'accroche du coté droit, puis, laissant la lance attachée ou elle est, je monte en selle et fait un tour d'horizon de la situation
J'entends une cavalade venant de l'ouest, une quarantaine de chevaux au bas mot. pas de quoi s'affoler pour l'instant donc, vu la situation: Je suis au milieu d'un grand camp, et il y'a quelques centaines d'hommes en armes pour les occuper. (A ce sujet, vu la taille du camp, celui ci fait plutot dépeuplé...) Quoique... on dirait que tous les occupants du camp ont décidé de filer de façon plus ou moins organisee vers le nord est, vers un village flanqué d'une contruction plus imposante. Autant me joindre a eux et meriter ma paie en protegant leurs arrieres. je retourne donc, monté a cheval, vers le centre du camp pour me joindre à la retraite.
En pleine sieste, je me reveille péniblement, des cris résonnent tout autour... Un moment de panique s'empare de moi... *quéssissepasse ?* Je sors de la tente, je suis tout de suite informée : des blancs manteaux, partir, vite vite !
Je reste plantée encore une seconde, un calme incroyablement serein m'envahit, je rentre précipitament dans la tente, boucle toutes nos affaires *en plus je me tape son linge, ksss, ces hommes !* en trois minutes.
Je m'apprete à aller chercher ma jument... *merde ! mon poignard ! j'allais oublier mon poignard !* Je jette tout par terre, et moi même aussi, je me mets à creuser au fond de la tente rapidement avec mes mains. Je finis par retrouver mon poignard, toute émotionnée, je me coupe avec la lame, *MERDE! RAH BORDEL ! SANG ET CENDRES ETC ! RAH* BON !
Je reprend les sacs en vrac, le couteau entre les dents. Je sors finalament ... et pile net. Je pousse un cri de frustration puissant, ce qui ressort de façon assez moche, avec un poignard dans les dents. Je re-rentre ! Je prend le dernier sac, cette fois j'ai tout ! et vade retro le reste !
Je cours à demi vers là où est tanquée ma pauvre jument toute affolée, et là, problème... Mais OU placer les affaires ? Je finis par faire un énorme baluchon que j'accroche à la selle, et ... essaye de monter. La jument, avec ces cris, ne veut pas se laisser faire ! Elle se cabre, avec le baluchon qui fout le camp... j'arrive ENFIN à la maitriser, en pestant contre tous ces abrutis qui gueulent à plein poumon *genre leur vie est menacée ! pfff*, je parviens à arriver sur ma monture et file.
Je n'arrête pas de me faire doubler par des cavaliers. Dans leur course fuite désespérée vers le manoir, ils doublent les piétons et n'hésitent pas à les bousculer. Une jeune femme avec une jument surchargée me double au grand galop. Sa monture, paniquée, s'est emballée. J'apperçois le nouveau venu qui va passer vers moi. Son cheval, contrairement à beaucoup d'autre, n'a pas l'air affolé. Un autre cheval me double à ce moment et m'envoye une énorme motte de terre dessus.
*Ils pourraient quand même prendre les piétons en croupe au lieu d'essayer de nous assommer. Nous n'atteindrons jamais le manoir à temps sinon.*
Je m'adresse assez peu courtoisement au petit nouveau :
Vous pourriez me prendre en croupe tout de même. Je veux me débarasser des Blancs Manteaux pas être tuée par eux
En plein galop fougueux, un peu à la traine derrière les autres, qui cavalent en tous sens, ou plutôt dans le même sens mais de manière franchement désordonée, je... chute lamentablement et me prend le sol en plein dans le nez : Ma jument a trébuché dans sa précipitation. Assomée autant par le choc que par la douleur, je me rend compte seulement quelques secondes plus tard que je me fais misérablement trainer à toute allure. Parceque la jument elle, n'a rien perdu de sa frénésie et ce n'est pas une petite anicroche qui va lui faire obstacle ! Je panique, je panique, secoue mon bras acroché aux rennes, et réussi à me détacher.
Soudain, le monde tourne, mais en réalité c'est simplement le mouvement qui s'est arreté, juste moi qui suit enfin immobile. Etalée de travers, je tente péniblement de me relever... AIEUH ! Bon... Ouh ça tourne là...
Et puis les Blancs Manteaux me reviennent en mémoire, l'energie revient, je me lève pour m'enfuir, je vois que les autres sont déjà loin...
Je m'écroule.
Je parais surpris par la demande de celle qui m'a escorté dans le camp.
Je regarde la file des fuyards qui s'etiole vers le nord est, puis jette un oeil vers l'ouest pour voir ou en sont les blancs manteaux... il nous reste du temps.
Je reflechis, pese le pour et le contre, (si je dois me retrouver enfermé dans une batisse assiegee (ce qui n'entrait nullement dans mes intentions), autant avoir des contacts.)
Je retire mon bouclier de mon dos (la pointe au milieu pourrait gener la cavaliere, lol), le tiens de la main gauche tout en tendant la droite a la pietonne, pour l'aider a monter.
Une fois celle ci en selle, je lui donne le bouclier en lui disant de faire au mieux, et donne des eperons pour relancer mon cheval, a une alure un peu plus rapide que precedemment.
je tourne la tete vers l'arriere: Les autres occupants du camp achevent (peniblement, me dis je en voyant loin derriere une retardataire trop lourdement chargee chuter de son cheval et se faire trainer par celui ci) de quitter celui ci.
*La course poursuite prend fin, les deux colonnes de la légion se rejoignent au pied de la demeure de Brent. Le camp est totalement encerclé, les ultimes fuyards ferment les dernières ouvertures de leur refuge. Un sous-officier galope vers Ehoral et moi.*
- Messeigneurs, nous avons pu capturer une jeune femme.
Parfait, vous lui trouverez une tente pour "l'héberger" en compagnie de quelques gardes lorsque nous arriverons au camp.
*Tandis qu'il repart, je me tourne vers Ehoral.*
Nous n'avons pu rattraper que cette donzelle, la peur les a poussés plus vite que prévu. Mais elle a parfois l'effet inverse et coupe les jambes. Peut-être qu'alors ton favori aura eu plus de chance que nous à l'intérieur du camp *lui dis-je d'un ton amusé tout en me redressant pour m'adresser à nos lieutenants*.
Lieutenant Darache, votre détachement surveillera ce manoir sous tous les angles et empêcherez toute fuite.
Lieutenant Lidan, vous et vos hommes êtes chargés de pacifier la région. Depuis le temps que cet illuminé *ce mot est prononcé avec un mépris teinté de l'ironie du jeu de mots* s'est installé ici, il va falloir ramener la populace vers la Lumière.
Avec le reste de la légion, nous allons prendre possession du camp et l'aménager.
[NOTE] : chaque Lieutenant a à sa charge un millier d'hommes.
Nous sommes en fin au manoir, en relative sécurité pour l'instant. Les milliers de blanc manteaux n'ont encore abattu aucun des nôtres.
Je me tourne vers mon sauveur.
Merci de m'avoir pris en croupe, vous m'avez sauvé la vie. Je n'oublierai pas.
Je poursuis d'un ton plus sec
Une chose cependant. Les hommes et les femmes que vous voyez ici sont peut-être des "amateurs" comme vous le marmonnez si peu aimablement mais, eux, au moins, se battent pour une cause. Ils ne sont pas là par amour de l'argent.
Je me retiens de justesse de lacher "Certains se battent pour l'honneur, d'autres pour l'argent... Chacun se bat pour ce qui lui manque le plus", mais inutile de changer une alliee potentielle en ennemie.
Une fois dans la cour de la batisse, nous demontons, et apres avoir attaché mon cheval et retirés mes fontes, je fais un tour d'inspection des lieux et en profite pour rechercher un certains officier.
RPoff: Si je trouve une couche inoccupee au dernier etage du dongeon accessible aux soldats ou mieux dans une des tours d'enceinte si celles ci sont habitées, dans une piece le moins peuplee possible, pres d'une fenetre, j'y pose mes fontes.
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
*Je ne cache pas ma déception quand au fait que nous soyons arrivés trop tard pour bloquer les officiers. Nous devrons nous contenter d'une jeune femme. J'essaierai d'en apprendre le maximum mais elle ne devrait pas savoir grand chose à moins que cet AdT soit assez bête pour partager ses plans avec une femme.*
*Je me tourne vers le chef des éclaireurs*
Je veux que vous envoyiez des hommes vers Lugard afin de savoir tout ce qui se passe du côté de Lugard. Je veux connaitre le nombre d'hommas qui attaquent la ville, et dès qu'aura eu lieu l'attaque le nombre de survivant.
Je me tourne vers Ehoral
Je pense que nous devrions envoyer un emissaire au propriétaire de cette forteresse. Proposons lui de lui laisser la vie sauve ainsi qu'à ses gens s'il nous livre les officiers et les hommes du Dragon. Bien sur si tel est le cas nous saurons profiter de l'ouverture des portes que cette action necessitera.
S'il refuse nous devons lui faire comprendre que nous avons largement les moyens de nous emparer de cette place par la force.
Je pense que tenir une place forte sur nos arrières avant d'attaquer le gros des hommes du dragon pourrait être un bon point pour le ravitaillement ou un éventuel replis même si je doute que nous en ayons besoin.
RP OFF= il est grand comment ce chateau ? on rentre combien de personnes dedans ?
Ayant trouvé une chambre à mon gout (au dessus des appartements seigneuriaux, au dernier etage du donjon, et avec vue sur le nouveau camp de BM, mais suffisament petite pour que je risque au maximum un ou deux collocataires) et m'etant approprié un des lits, je referme la porte, garde la clé et redescends m'assurer que mon cheval soit admis a l'ecurie et pansé. En chemin, je m'enquiers aupres des soldats que je croise de l'identité et de la localisation d'un certain officier.
Au troisieme essai, un sous off a l'air plus degourdi que la moyenne me dit d'apres ma description que je pourrais trouver le lieutenant "Giuse" sur le rempart, à surveiller les activités des BM.
Ayant mis mes affaires en ordre (et ayant discretement enterré quelque chose dans le sol de la stalle de mon cheval) et munis de quelques armes, j'entre donc dans une des tours d'enceinte et emprunte l'escalier afin d'acceder au chemin de ronde, ou l'on me confirme la presence du Giuse avec d'autres officiers.
RPoff: j'ai cherché, mais n'ai pas trouvé de description du chateau de Brent. cela a t'il ou non déjà été posté?
edit: et apparament, je ne suis pas le seul a me poser la question
Une chose est sure, je ferais mon possible pour ne serait ce qu'assister aux negociations (y'aura t'il une convention de siege façon moyen age, par exemple?)
Ayant pris possession du camp -vide- avec ses hommes, Mayran rajusta sa cape d'une main, le poing crispé de frustration que le "combat" ait été aussi... inexistant. Pas vraiment une occasion pour montrer sa valeur à ses supérieurs, mais enfin, il aurait d'autres chances de le faire avant que tous ces Amis du Ténébreux soient exterminés. Après avoir donné quelques ordres à son groupe, il se dirigea vers la porte principale du campement.
Le Capitaine et le Lieutenant général venaient dans cette direction, il s'approcha et s'inclina très bas devant eux, sur son visage une expression de profond respect.
Capitaine, Lieutenant Général... Le camp est entièrement vide ! Tous les Amis du Ténébreux ont fui comme des lapins devant votre radiance! Mais leur lâcheté nous vaut un campement en parfait état.
Il eut un sourire curieux, puis ajouta :
Autre chose : j'ai découvert dans une tente une fille avec un violon. Mes hommes la surveillent en attendant vos ordres.
Une femme ? C'est peut-être moins intéressant qu'un officier sur le plan tactique, Caporal, mais je suis sûr que vos camarades sauront apprécier votre trouvaille à sa juste valeur.
*Mon large sourire entendu est aussitôt imité par tous les hommes présents autour de nous.*
Bien. Répartissez-vous tous dans les quartiers ! Même organisation que d'habitude, je veux que tout soit à sa place avant la tombée de la nuit ! ET COUPEZ-MOI TOUS LES ARBRES TROP PROCHES DES PALISSADES !
EXECUTION !
Enfant Mayran, vous êtes personnellement chargé de la surveillance de nos deux hôtesses. Laissez les se reposer tranquillement pour le moment dans une tente privée. Nous les... interrogerons un peu plus tard.
*Tous les soldats s'activent pour installer au plus vite les répères immuables de la tradition militaire d'Amadicia. Je me tourne alors vers Ehoral.*
Eh bien cousin, si nous allions "parlementer" avec ces gueux, tapis dans leur terrier ?
*Nous nous mettons en route vers la demeure de Brent, assiégée par la légion du Lieutenant Darache.*
Arrivé sur le chemin de ronde, j'avise un groupe de cavaliers qui finit d'encercler notre position.
Je continue mon chemin, et tapote le dos du lieutenant Giuse, lequel etait penché entre deux moellons pour mieux voir les cavaliers. (l'epaule etait hors d'atteinte)
"Me revoila, et plus embringué dans votre cause que je ne l'avais souhaité... Comme vous m'avez engagé, autant que je commence dés à présent à mériter ma paye.
Je vais donc vous demander de me designer votre officier commandant. Je peux lui etre utile immediatement, et (regardant les cavaliers en contrebas) vous conviendrez que le temps presse."
Giuse me devisage, indecis et quelque peut surpris, puis prenant sa decision, me montre un officier qui lui aussi observe l'exterieur, quoique de façon moins "enthousiaste".
Je me dirige vers lui et m'arrete a ses cotés.
"Bonjour Monsieur" Il tourne la tete, m'observe un instant, puis m'ayant jaugé et ayant adressé un signe de tete negatif aux gardes qui commencaient à s'approcher de prés, re regarde le campement et les activités de ses nouveaux occupants
"Un beau cadeau que vous leur avez fait... mais c'est justement ce qui m'amene à vous.
Je viens il y'a quelques instants d'etre embauché par votre lieutenant Giuse, et, souhaitant meriter ma paye et ayant une experience certaine du genre de situation dans laquelle vous vous trouvez presentemment, je viens vous proposer quelques conseils.
J'espere que vous ne m'estimerez pas trop presomptueux, mais j'estime moi, pour ce que j'ai pu voir et entendre jusqu'ici dans les alentours, dans votre camp et ici, que nous n'avons pas trop a craindre dans l'immediat.
Regardez: nous avons en face de nous une troupe de cavaliers et de la pietaille, qui ne dispose pour l'instant d'aucun du materiel necessaire a inqueieter une place forte comme la notre.
Ni echelles, ni Belier, et cela leur prendrait du temps de contruire tout cela. Rien que pour le belier, son support et sa protection contre nos archers, il leur faudra bien jusqu'au milieu de la nuit.
De notre coté, nous avons ce chateau, ses effectifs normaux renforcés par vos propres hommes, et une armée alliée qui pourrait plus ou moins rapidement revenir.
Tout ce que nous avons a faire, c'est tenir le coup d'ici là, et je suis plutot optimiste a ce sujet." L'officier se retourne vers moi "poursuivez..." Merci.
Pour commencer, il faut determiner qui de vous deux, du seigneur du lieu ou de vous doit avoir l'autorité supréme. Il faut un commandement unique pour eviter le chaos.
Ensuite, je recommande dés a présent de reunir derriere la porte et la herse tout ce que le chateau peut compte de pierrailleet de poutres, afin de condamner l'acces et de renforcer votre defense. a partir de maintenant, Nul n'entre et Nul ne sort.
Faites aussi un inventaire des hommes, armes vivres et materiels a votre disposition ici."
(RPoff j'aurais aussi besoin d'une description du chateau hors RP, afin d'avoir une vue globale de nos moyens )
Faites faire un maimum de reseerves d'eau
Faites regrouper les non-combatants au premier et deuxiemes etages du donjon, et faites descendre les meubles de ces etages au rez de chausse afin d'en encombrer les pieces et de pouvoir condamner les acces au plus vite au cas ou.
Comme je n'y ai pas vu de pierres volumineuse, il faudrait faire transorter une partie des tonnelets d'huile a lampe en haut des escaliers du donjon, et une partie sur les remparts, en particulier ici, au dessus de la porte. joignez ici aussi de quoi allumer du feu rapidement.
Il faudra aussi organiser les veilles et tours de garde, mixtes entre votre troupe et celle du seigneur.
Voila pour le plus pressé. L'officier me regarde toujours, mais j'avise deux cavaliers qui viennent droit vers la porte.
Voyez, meme eux ont conscience de ne pas etre totalement en position de force: ils cherchent a parlementer (je ricane)
Laissons les patienter, mais parlez d'ici meme, afin que tous vous entendent et sache a quoi s'en tenir a votre et leur sujet. pas de negociations privees, ce serait desastreux pour le moral de vos hommes, qui pourraient douter de vous.
Rappelez vous: tout ce que nous avons afaire, c'est tenir le temps que votre armée revienne. Nous ferons alors l'enclume et eux le marteau.... Nous voyons les deux cavaliers s'arreter juste en contrebas
Une derniere question: Vu le nombre de jours depuis lesquels ils sont partis, dans combien de temps estimez vous leur retour?
RPoff j'espere que Y.Celebred saura m'ecouter et ne pas m'avoir trouvé trop impertinant,
Désolé aussi d'avoir tapé autant de texte, mais...
J'ai pas envie de tomber entre les pattes des BM, moi, ni les autres avec moi
Après avoir trouvé une coin où mettre mes affaires, je monte sur le rempart pour observer la situation. Les Blancs Manteaux sont en train de prendre place.
J'aperçois mon sauveur en discussion avec Celebred mais je les ignore pour observer nos assaillants. On distingue un petit groupe de cavaliers venant du camp avec des étendarts.
Je es observent avec attention mais ils sont loin. Une silhouette retient toutefois mon attention. *Se pourrait-il que ce soit ...? Il lui ressemble en tout cas. Ce serait trop beau; qu'il se jette ainsi dans mes griffes*
Mayran s'inclina, puis se retira sur un sourire, retournant à grands pas vers le camp. La première jeune femme -Ylnaa-, inconsciente (rp off: ??), reposait par terre aux pieds d'un soldat, tandis que l'autre -Erylin-, luttait faiblement contre celui qui la serrait avec fermeté contre lui. Il leur jeta un coup d'oeil, puis annonça :
Emmenez-les dans une tente, attachez-les et laissez-les seules. Juste deux gardes à l'entrée. Le Capitaine ne veut pas qu'on y touche pour le moment.
Il y eut quelques grognements, mais les Enfants s'exécutèrent sans trop rechigner, traînant sans douceur les jeunes filles derrière eux. Mayran attendit qu'elles soient installées, pieds et poings liés, puis partit avec les autres aider à l'installation du camp.
Rassembler les Hommes sous ma bannière<br> <i>multi</i>
[RP OFF]
Comme vous m'avez engagé, autant que je commence dés à présent à mériter ma paye.
Harfang! J'avais changé le texte plus haut, et refusé de payer...ce qui était logique au vu de la situation et au vu du fait que l'officier auquel tu t'adressais n'avait aucun droit de le faire. Tu peux venir discuter avec Celebred pour cela, et lui faire tes commentaires en effet, mais attention: tu n'as aucunement été payé!
[/RP OFF]
[RP ON]
*officier Y.Celebred*
J'étais parti en même temps que les autres du camp, mais j'avais envoyé deux officiés en avant pour les préparatifs et l'ouverture immédiate des portes. La retraite s'est relativement bien passée au vu du fait que nous ne nous attendions surement pas à cela, et que nombreux sont les personnes à ma charges qui ne sont pas des combattants.
Arrivé au camp nous fîmes un compte rendu de la situation évidemment après que j'ai posté provisoirement quelques groupes d'hommes sur les remparts du château et rassemblé les éclaireurs revenus à temps dans la cour principale sous la surveillance de quelques hommes en armes.
- Nous avons eu une perte, mon capitaine. Une jeune fille aparemment. Je l'ai vue quelque fois avec un garçons que j'ai moi-même commencé à entraîné. Par chance je me rapelle du jour de leur arrivée (il n y pas si longtemps, il faut bien l'avouer), et il me semblent qu'elle s'apelle Ylnaa. Et lui Karion. Il est parti avec le Dragon à Lugard.
- Bien Giuse, je vois que vous avez tenu à jour vos registres. Maintenant nous avons plusieurs autres choses à voir. Cette jeune femme...et bien il faudra en informer le jeune homme si vous l'estimez necessaire, je vous laisse faire. Vous pourrez voire le messager que j'enverrai sous peu à Aedmun.
- Mais...comment comptez vous faire cela?
- Et bien...disons que j'ai eu accès alors que Brent était encore là à quelques plans...Pensez bien que nous sommes au Murandy. Au fin fond du Murandy. Les batailles entre seigneurs sont régulières, fréquentes mêmes, car le roi ne peut assurer l'ordre. Chacun essaye de se tailler la part du lion - tant qu'ils ne s'attaquent pas au lion d'Andor, ah ah. Bon, jeu de mot pourri en effet. Toujours est-il qu'en plus d'être méchamment fortifiée, avec des remparts épais et hauts, et de quoi tenir quelques temps, il y a une certaine cave du château qui mène vers l'exterieur par le biais d'un corridor, un peu plus loin au sud. Nous allons allègrement l'utiliser. Le tout est de bien choisir ses hommes. Si je vous dis cela Giuse, c'est que je vous connais bien, que je vous fait confiance, et que j'ai besoin de votre concours: je ne peux tout faire ici. Le Dragon le saura si vous avez bien servit sa cause.
- Oui mon capitaine!
La réunion terminée, je suis sortit m'assurer que tout se déroulait comme prévu et fortifier la garde. Continuant mon tour je suis alors accosté par ce qui me semble être un mercenaire, et qui souhaite aparemment que je lui fasse spontanément confiance. Il me fait alors son compte rendu de la situation, et elle est tout a fait correcte. Certaines suggestions seront même à prendre en compte. Ceci-dit, tenir le temps qu'Aedmun revienne...encore faudrait-il qu'il revienne!
-Harfang, je vous remercie pour ce compte rendu détaillé, et souvent judicieux, mais il y a une chose que vous ne saisissez pas. Croyez vous qu'Aedmun revienne? Croyez vous que c'est son intérêt? Croyez vous d'ailleurs que c'est vraiment le notre? Quand les BM seront avertis de ce qu'il se passe dans le sud, à Lugard, croyez vous qu'il traînerons ici, dans ce coin paumé, juste histoire de prendre un château avec 300 péquins dont un bon sixième ne sont pas des combattants?
Ils vont au pire nous tester quelques jours, et nous avons de quoi tenir. Pour l'instant, j'ai quelques idées en tête, et je ne peux pas vous faire spontanément confiance, vous le comprendrez. Le fait que vous n'ayez pas fui parle en votre faveur, mais j'ai besoin de mieux vous connaître. Vous semblez être un homme d'éxperience, et il se pourrait que nos discussions futures soient interessantes, et débouchent sur quelque chose.
Quand à ces émissaires...oui, je pense comme vous: ils veulent tester notre détermination et note bêtise...Rira bien qui rira le dernier. Ils sont tombé sur moins aveugle et aveuglé qu'eux.
[RP OFF] Harfang, si tu modifies ton post en conséquence par rapport à ce que j'ai dit au début du mien, je modifierai le mien aussi dés que possible.
Harfang et moi sommes momentanément interrompus par un officier qui vient me demander ce qu'il faut faire au sujet de ces messagers et de leur demande.
- Rien, dis-je. Ignorons-les, ça va les mettre dans une colère pas possible, ce qui m'apportera une petite satisfaction au vu de la situation actuelle.
*L'impatience laisse peu à peu place à la colère, et c'est furieux que je m'adresse à Ehoral avant que nous nous en retournions au camp.*
Ah les chiens ! Oser nous ignorer ainsi !
VOUS REGRETTEREZ VOTRE ATTITUDE, LÂCHES A LA SOLDE DU TENEBREUX !
*Nous retournons au galop à l'intérieur du camp qui poursuit à se réorganiser très rapidement.* Si nos deux captures n'étaient pas ces pucelles, j'enverrais leurs têtes au milieu de la cour intérieure de ce château misérable !
Ah cousin, je fulmine trop, j'ai besoin d'expulser ma rage. Prends la direction des opérations pendant que je vais rendre visite à nos prisonnières.
*J'entre d'un pas décidé dans la tente où sont retenues Ylnaa et Erylin. Vous constatez immédiatement ma fort méchante humeur, ce qui évidemment ne vous rassure pas.*
Sachez que vos "amis" là dehors sont dans le même état que vous, terrifiés et enfermés ! Et ce sont des lâches, des pleutres, et ils ont osé m'insulter personnellement ! Et... aaaaah par la Lumière, ils mourront tous !
*Je m'arrête alors comme pour reprendre mon souffle et quelque peu mes esprits, semblant contenir une haine extraordinaire en moi. Ma voix est plus neutre, et surtout plus froide, lorsque je reprends.* Mais n'ayez crainte, vous ne connaîtrez pas ce sort. En tout cas pas directement, cela dépend de vous, de votre robustesse, et du choix que je viens vous offrir. *A ces mots, un sourire sadique commence à naître sur mon visage.* Vous ne serez pas torturées dès maintenant, en effet. Car vous êtes toutes deux à mon goût. Cependant, pour garantir l'unité de mon armée, je ne peux évidemment vous garder toutes deux pour moi.
Je vous laisse donc vous décider entre vous. L'une sera à ma propre disposition et à celle de mon cousin, qui commande en second. Avec tout ce que cela implique : confort, propreté, tente personnelle, protection directe contre le reste des hommes, repas riches, etc.
L'autre ira, chaque nuit, entièrement nue, dans un baraquement tiré au sort. Avec là encore tout ce que cela implique...
Vous avez vingt minutes pour me dire ce que vous avez choisi. Sinon, vous connaîtrez toutes les deux un sort pire que n'importe laquelle des deux propositions honnêtes que je viens de vous faire .
*Je sors en riant, et je reste tout proche de la tente afin d'entendre les premières réactions. Je me sens de mieux en mieux.*
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
*Je fais immédiatement convoquer le lieutenant qui dirige nos archers.*
Deux minutes plus tard il se tient devant moi
La nuit sera tombée d'ici deux heures, dès qu'il fera assez noir pour que vous ne soyiez pas vus je veux vos mille archers prêts à tirer sur ce chateau. 5 flèches chacun, pas plus, des tonneaux d' huile à portée de chaque archer. Nous verrons comment vont réagir ces chiens avec 5 000 flèches pour éclairer leur chateau.
Et dites aux hommes de ne pas faire de feu de feu ce soir avant d'enflammer leurs flèches. Je veux absolument que ce soit une attaque surprise afin de faire le maximum de victime. Celui qui se fera repérer aura le même sort que les flèches, trajet et huile.
RP OFF = edit pour pas avoir à faire deux posts la prochaine fois
Et coupez moi deux gros arbres afin de servir en tant que beliers
Bien éveillée, je me recroqueville aussitôt quand s'écarte le rabat de la tente, tirant vainement sur les liens qui enserrent mes poignets dans mon dos. Un Blanc Manteau de haute taille vient d'entrer, apparemment haut gradé si l'on en croit sa tenue, et fulminant de colère. Un frisson me parcourt alors qu'il crache ses violentes et haineuses paroles. Mais peut-être est-ce encore plus horrible quand, d'une voix glaciale, il décrit les différentes propositions qui s'offrent à nous. Je blêmis. *Ce sourire qu'il a... cet horrible sourire... ô Lumière !*
Puis le voilà sorti, sur un rire en tous points démoniaque, et je tourne vers Ylnaa un regard où commençent à perler quelques larmes, bien que je m'efforce de les retenir. La gorge me brûle, je peine à parler. J'ai peur.
Ylnaa, c'est... c'est horrible... qu'allons-nous faire ? Peut-être que... que si on lui explique...
*Je ne suis pas une Amie du Ténébreux ! Pitié !* Mon esprit hurle mais aucun cri ne peut jaillir de mes lèvres tremblantes. Je serre les poings. *Jamais je n'aurais dû venir ici, jamais ! J'aurais dû rester... à l'auberge, continuer mon chemin... On a refusé que je parte pour Lugard... pour ma sécurité... et voilà que... Lumière, je t'en prie, il doit y avoir une autre solution... toujours !
Vingt minutes... c'est à la fois si long et tellement court... Je ne veux pas... ne peux pas choisir. Aucun choix ne s'offre à moi qui ne soit tourné vers l'horreur... à l'aide !*
Une larme roule silencieusement sur ma joue. Ne pas céder... pas déjà... Peut-être un brin d'espoir. S'il m'écoute, il saura que je ne suis pas du côté de l'Ombre, ni Ylnaa... peut-être qu'il m'écoutera, oui.
Je suis sur le rempart en train d'observer les émissaires des Blancs Manteaux. Oh, Lumière, enfin, je l'ai retrouvé. Et il payera, il payera longuement pour les miens.
Je m'assieds dans une sorte de brouillard. L'émotion est tellement forte que je suis comme engourdie. Je n'entends plus rien, je ne sens plus rien. Revoir ce visage, après si longtemps, savoir mon but si proche ...
Dès le reveil (quand on m'a trainé lamentablement...), et après une courte période où je me suis affolée, j'ai pleuré, puis je ne sais plus quoi dans les abysses de la tristesse... Je flotte dans une humeur sombre, cinique. Etrangement, j'ai retrouvé toute mon assurance, même si je ne suis pas en position élégante, dans tous les sens du terme. Je ris presque de l'ironie de la situation, oui je broie de noires pensées avec un rictus aux lèvres. Quand le ... l'homme est rentré, il m'a fait tout de suite impression, mais je ne lui ai pas laissé voir, ou du mieux que j'ai pu. J'écoute sans lever un sourcil, sans le regarder, puis quand il sort, je regarde Erylin commencer à pleurer en bégayant une absurdité. J'ai soudain un élan de vive compassion pour elle, pour le sort qu'elle va subir. Oui c'est étrange, j'ai de la compassion pour elle, mais pas pour moi. *Tout ce bonheur n'était sans doute pas réél, ça ne pouvait pas durer n'est-ce pas...*
D'une voix calme
Allons, soyez réaliste, ma chère. Les Blancs Manteaux ne sont pas réputés pour leurs respectabilité et leur écoute. Non c'est plutot dans le genre à se poudrer de "lumière" pour mieux assouvir leurs pulsions bestiales, le tout dirigé par deux ou trois psycopathes intelligents... On est mal foutues, je vous le dit ! Ouais. Bien mal.
à voix très basse, le regard sec, respirant avec de petits sanglots pour nous dissimuler aux gardes à la porte Ca ne sert à rien de discuter, Erylin. Le mieux, c'est que nous restions ensemble, vous et moi. Soudées, vous voyez ? Je ... Nous allons essayer de les convaincre de nous prendre toutes es deux pour .. lui et son cousin. Jouez les aguicheuses... S'il refuse eh bien... Je... Vous seriez d'accord pour euh... *se racle la gorge* [small]alterner[/small] ? Non parceque comme ça... Déjà c'est plus équitable, et puis nous pourrions essayer de les tromper... si nous avons les hommes de pouvoir en main... euh je ne sais pas encore comment mais... Il FAUT trouver un moyen... Vous êtes d'accord ? Il faut s'acrocher, ça ne sera pas facile mais... Un peu de dignité, de courage et de l'aplomb et nous serons peut être un peu respectées...
*Pendant que tout est déjà à sa place à l'intérieur du camp et qu'Ehoral gère le reste, je retourne à l'intérieur de la tente des prisonnières lorsque le délai est écoulé.*
Alors mesdemoiselles ? Quel est le résultat de vos délibérations ? J'espère que vous n'aurez pas la mauvaise idée de me contrarier...
Aux premières paroles d'Ylnaa, j'éclate en sanglots discrets, la gorge en feu. Alors que mes derniers espoirs semblent s'effondrer sous mes yeux, j'écoute le vague plan murmuré par ma compagne d'infortune. Une vague de peur me submerge, mais je hoche néanmoins la tête, le regard brouillé de larmes, avant de bégayer :
Mais si... s'ils refusent ?
Mais elle n'a pas le temps de répondre, voilà déjà le capitaine Blanc Manteau qui entre à nouveau dans la tente, avec toujours son horrible et terrifiant sourire. Mon coeur palpite douloureusement à ses paroles, mais je trouve néanmoins le courage de lever vers lui un regard suppliant, où transparait encore la peur que je n'ai pu dissimuler :
Noble Seigneur, je... je vous en supplie... gardez-nous... toutes les deux. Nous, nous saurons vous satisfaire.
Je baisse les yeux dans un mélange de soumission et de crainte, le coeur saturé de terreur.
*Je fixe durement les deux jeunes filles, une à une, gardant le silence pendant quelques secondes. Je soupire lègèrement avant de reprendre la parole.*
Je ne demande pas mieux ma chère, mais je dois tenir mes hommes. Plusieurs milliers de soldats en pleine campagne militaire, loin de leur patrie... malgré le respect que je sais leur inspirer, je suis sûr que beaucoup seraient très frustrés par mon attitude si j'accédais à votre requête. Si nous pouvons nous permettre, de part notre haut statut à mon cousin et moi-même, de garder pour nous une femme, nous sommes dans l'obligation de satisfaire du mieux possible nos subordonnés par la même occasion.
Aussi avez-vous quelques secondes supplémentaires pour prendre une meilleure décision.
Je lance un regard à Erylin, et bien qu'elle soit en train de pleurer, je sens qu'elle est d'accord. Puis je tourne lentement la tête vers le capitaine, avec un regard angélique, sourieur et innocent. D'une voix douce, je commence
Monsieur... Vous êtes... Lieutenant ? colonel ? petit rire Je ne connais pas bien les grades militaires. Dites moi... Comment un homme tel que vous peut soustraire ses désirs, ses propres désirs, ses désirs profonds... à... de simples soldats ? J'imagine qu'ils doivent recevoir le respect des femmes, lorsqu'ils passent dans les villages... Et puis ils vous respectent profondement, d'après le bref aperçu que j'ai pu en avoir. Si... si vous êtes parvenu jusqu'ici, c'est que vous devez être un grand homme, respectable, et de qualité, je n'en doute pas. Comment vos hommes pourraient ils vous reprocher de récompenser enfin les durs labeurs que vous avez encourus, les frustrations sûrement, les difficultés... que vous avez du surmonter au prix d'énormes efforts...
Bien sûr, je n'y connais pas grand chose moi là dedans ! petit rire Mais il me semble que ce serait bien dommage. regard un peu plus appuyé Bien dommage pour vous... Surtout que nous sommes deux... Et... comme vous avez dit, vous partagez avec votre cousin... les jours...
Petit sourire en coin, presque maternel
Je n'ai pas l'habitude de revenir sur les décisions que j'ai prise, et encore moi de me laisser corrompre par des gens qui ont abandonné la Lumière.
Puisque vous persistez dans votre attitude, je vais prendre des mesures plus radicales.
Et partager les maladies qui peuvent trainer parmi mes hommes ? L'hygiène n'est pas le fort de la plupart d'entre eux vous savez... De plus cela gâcherait deux beautés lorsqu'une seule peut être sacrifiée.
Est-ce là votre dernier mot ?
Non...
je ne souris plus et je regarde par terre, bien que ma tête est droite Cette jeune fille ira avec vous. ... Et moi j'irai attraper les maladies de vos soldats... Je lève le regard vers le capitaine
Occupez-vous de leur fournir un repas. Qu'elles ne manquent de rien. Lorsque votre caporal viendra aux nouvelles, dîtes lui de se procurer les plus beaux effets féminins qui puissent être trouvés dans ce camp et de les amener dans ma tente.
Le dialogue se déroule sous mes yeux sans que j'arrive à caser un mot, dépassée par les évênements. Puis le Blanc Manteau sort de nouveau, et me voilà seule avec Ylnaa, encore une fois. Un silence pesant s'installe. La déclaration de ma compagne a tari mes larmes et mes sanglots, je n'ose pleurer de la voir soudain si ferme, alors que... alors que... j'en oublie même la douleur de mes poignets, meurtris par les cordes, et mes propres peurs, mon propre sort.
Ylnaa... Le nom quitte avec peine mes lèvres comme engourdies, et d'un coup, je ne sais plus que dire. Pourquoi... avoir dit ça ? Vous auriez très bien pu... vous...
Je me tais, ne trouvant plus mes mots. Puis un soldat entre dans la tente, déposant devant nous des écuelles de ragout plus qu'appétissant avant de détacher nos poignets. Assise, je baisse la tête et regarde mes poignets meurtries, honteuse tout en attendant la réponse d'Ylnaa. Je n'ai rien mangé depuis longtemps, mais la vue de la nourriture me soulève le coeur plus qu'autre chose.
Allons, vous avez quel âge ? Non, je ne fais pas ça par pitié. J'ai mes propres raisons...
Je me masse les poignets et commence à manger Bon eh bien mangez, vous aurez besoin d'energie.
Un moment après...
Vous... n'aviez pas une harpe ? Vous pourriez tanter de troquer votre harpe contre votre corps, non ? Enfin moi ce que Gendy !
*Ses propres raisons ???* Je me retiens de poser les questions qui me viennent à l'esprit, stupéfaite, et regarde manger Ylnaa, sans pour autant toucher de suite à mon propre plat. Rien que l'idée me révulse. Je me force néanmoins, au bout de quelques minutes, à prendre une ou deux bouchées, mais la terreur qui m'emplit est telle que je peine à avaler, la gorge serrée. Mains tremblantes, je repose finalement la cuillère lorsque Ylnaa prend à nouveau la parole :
Une harpe ? Euh... non, je... j'avais un violon, mais je ne sais pas ce qu'il est devenu, on me l'a pris lors de ma capture.
Ce souvenir m'afflige soudain d'un horrible sentiment d'inquiètude. *Cette brute qui me l'a arraché... j'espère qu'il ne l'a pas brisé !* Très pâle, je commence à torturer mes cheveux, tirant nerveusement sur quelques mêches à ma portée, murmurant plutôt pour moi que pour Ylnaa :
Peut-être... je ne sais pas...
Un bruit de pas à côté de la tente. Je tressaille, relève la tête, mais non, les bottes s'éloignent. Ce n'est pas lui. Pas encore... Quand viendra t-il ? Pas tout de suite j'espère. Peut-être plus tard... demain ? Un frisson me parcourt, et je me recroqueville sur moi-même, entourant mes genoux de mes bras.
J'observe par dessus mon assiète que je finis rapidement, la jeune femme. *seize ans... éh bien, peut être qu'elle aura plus de chance que moi à son âge.*
Je n'ai que les mains de libre, ce n'est donc pas simple de m'approcher d'elle mais j'y parviens en me donnant des airs de chenille-limace. Je lui passe un bras sur le dos en murmurant quelque chose qui se veut réconfortant. Puis plus fort :
Ne vous inquietez pas pour votre violon. Si vous vous débrouillez bien, vous pouvez faire en sorte d'en jouer pour les hommes. Vous avez des morceaux un peu.. rustres ? Enfin du genre à convenir à des hommes comme ça vous voyez... Si vous chantez aussi ça sera encore mieux. Affirmez vous auprès du chef là. Vous avez peur, mais vous savez ... si vous avez assez d'aplomb, vous vous en sortirez bien. Essayez de voir votre sort du côté positif... Oui je sais ça semble un peu grossier. Mais je vous assure, vous pouvez toujours trouver une solution pour améliorer vos peines. Allons, mangez un peu, il vous faut quelque chose dans le ventre.
Et qu'est-ce que ça changera, que je joue du violon ? Il... il ne renonçera pas pour si peu à ses... projets.
Je frissonne, au bord des larmes, puis tâche de reprendre quelque peu contenance, redressant imperceptiblement la tête.
Mais vous avez raison, je... j'essaierai de suivre vos conseils. Mais vous ? Qu'allez-vous faire ? Oh, si seulement je pouvais vous aider comme vous le faites !
Je la serre soudain dans mes bras. Rien que d'imaginer le sort qu'on lui réserve me fait frémir d'horreur, et elle semble pourtant si... pleine d'assurance. Si bien que j'en ai l'impression d'avoir peur à sa place, mais peut-être sait-elle simplement mieux que moi dissimuler ses craintes.
M'écartant, je suis son conseil et commence à manger avec difficulté, très lentement. Et bien que j'attende sa réponse, je guette néanmoins en même temps les pas au dehors, sursautant au moindre bruit un peu trop proche de la tente.
Je ne vous aide pas vraiment. Non mais si vous remplaciez l'élément euh distrayant pour les hommes, et que je me chargeais des seigneurs... soupir Enfin je ne compte pas là dessus, ne vous mettez pas la pression, c'était juste une idée.
Regarde autour d'elle sans trop d'espoir pour voir s'il n'y a rien de coupant à portée
rp off : je peux lancer un dé là ou c'est pas crédible ?
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
La nuit est enfin tombée et nous allons pouvoir passer à l'attaque
Je convoque le chef des archers de nouveau
Tenez vous prêt avec vos hommes, vous allez pouvoir passer à l'action. Je vais envoyer une cinquantaine d'hommes avec nos deux beliers pour s'attaquer à la porte. Les défenseurs devraient réagir en montant sur les remparts pour défendre la porte( rp off = les défenseurs vous évitez le coup du = ça sent le coup monté ce bellier laissons les faire ... pas trop crédible hein).
A ce moment là je veux voir 5 volées de flèches enflamées par homme.
Nous leur laisserons le reste de la nuit pour éteindre les incendies, pleurer leurs morts et réfléchir à notre puissance. Si demain matin ils ne sont toujours pas disposés à ouvrir les portes nous irons achever les survivants et prendre possession du Lieu.
Le lieutenant repart pour diriger ses hommes. Je fais alors signe au petit groupe qui se tient prêt avec les beliers et ils s'élancent vers la porte
RP OFF : je laisse la défense réagir avant de balancer les flèches, mais vous êtes pas au courant de ce qui vous attend hein je vous rappelle.
[RP OFF] Harfang, toujours là? Confère post précédent de 'Aedmun Kigarin dans ce topic ou c'est Yann Celebred qui parle!
[RP ON]
Je suis resté sur les remparts pour observer la disposition de ces foutus Blancs Manteaux, et ils nous ont encerclés. Les engeances du ténébreux, vouloir nous détruire, nous le dernier rempart face au mal! Ils ne comprennent rien!
Alors que je reste quelques temps à ruminer, l'air sombre, la nuit tombe, et je constate une chose étonnante. Il n y a pas de feux. Depuis quand une armée en campagne ne fait pas de feux pour le soir, surtout si elle fait un siège et n'a pas à se cacher? Cela n'augure rien de bon... Je fais alors chercher les officiers restants qui arrivent rapidement.
- Messieurs, nous avons répartis tout a l'heure les hommes en état de combattre sous chacun de vous. Vous allez vous répartir pour le début de la nuit au moins équitablement sur les murs, et plus tard nous aviserons. Pensez à prendre des boucliers: ce qui peut nous atteidre le plus facilement en haut des remparts, ce sont les flèches. Nous avons peu d'archers, ils doivent en avoir des centaines...Par contre, ils vont avoir bien du mal à entrer. Une défense du château n'a pas encore été actionnée, mais on va la mettre en place de suite: Grent me l'avait montrée il y a quelques temps, alors que nous faisions le tour de ce qu'il apelle "sa demeure"...Juste au dessus de la porte, encastrée dans le rempart, il y a des grilles lourdes, prévues pour faire face aux béliers...C'est à dire à la seule chose que les Blancs Manteaux peuvent avoire à leur disposition en l'état si j'en juge par le début de ce siège. En effet, s'ils avaient des engins lourds, on aurait déja pris des pierres, et nous serions en train de réparer les murs!
Enfin, nous allons faire tomber ces grilles et j'éspère sincèrement qu'ils avaient commencé à faire des béliers...! Lieutenants, à vos hommes, et donnez leurs du courage!
RP OFF Note: Monseigneur Alazur, pensez bien que Grent a un puit dans son château .
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
[RP OFF]
Je lance un dé pour la réussite générale de l'attaque, si le conteur a besoin de d'autres lancés, faut demander
[RP ON]
[d10]
*Le belier est à présent aux portes de la forteresse*
A mon signal le bras du lieutenant se lève et quelques secondes plus tard le ciel est illumé par un millier de flèches. Dans les 30 secs qui suivent d'autres flèches suivent et on commence à voir de la fumée remonter derrière les remparts*
- LIEUTENANT ABARAI, ABAISSEZ MOI CETTE PUT**** DE GRILLE! CA COUPERA LA ROUTE A LEUR BELIER! ET VOUS LA-BAS, LIEUTENANT NOLESSAN, VOUS ME RASSEMBLEZ DES HOMMES ET FAIRES UNE CHAÎNE DU PUIT A L'INCENDIE QUI PREND SUR LA TOUR NORD! FAUT M'ETEINDRE CA ET VITE!!!
Marre de gueuler...Mais on a pas le choix...Rhaaaa, j'aurais dû m'en douter, heureusement qu'on a ce puis. J'attrape au vol un groupe d'homme qui fonce vers la tour nord.
- Vous quatres là, au lieu de courrir au puit, rassemblez moi les femmes et les viellards dans la tour sud, et montez avec des couvertures tenter aussi de m'étouffer ce feu avant qu'il ne prenne trop fort.
- Bien capitaine!
Quelques secondes plus tard:
- Capitaine, Capitaine!
- Oué oué, calmez vous, ça sert a rien de s'exiter, c'est comme ça qu'on panique.
- Euh...oui, bon, on a eu 10 morts sur la porte nord et 20 blessés. Les hommes savent maintenant, et se protègeront des flèches. On a emmené les blessés à côté des écuries, et les femmes s'occupent d'eux. Des hommes ont remplacé les morts, et sont prêts à tirer sur les Blancs Manteaux en bas, avec leur bélier. Mais nous avons peu de flèches...
- Tirez quand même, ça leur montrera notre détermination. Que leurs chefs passent une mauvaise nuit aussi...Et puis ces flèches, elles ne seront utiles que pour cela, j'en ai bien peur.
[RP OFF] Edit: tir de flèches sur les hommes du bélier, j'avais zappé lol: [d10]
==> Ben y'a des branques, dans mes archers. Ou alors ils sont déconcentrés lol.
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
* Une fois la volée de flèche passée je fais signe aux hommes qui dirigeaient le bélier de se replier. Ils ont fini leur tache et ne servent plus à rien là où ils sont*
Dans la cour règne au premier abord une grande confusion. Après un moment, on voit que les cris et les courses sont organisés. Les blessés sont rapidement conduits vers la grande salle, transformée en infirmerie. Ils sont une douzaine, touchés par les flêches enflammés. Certains sont simplement brûlés mais d'autres sont gravement atteints, blessé à la fois par les flêches et le feu. Je me dirige vers un des blessés les plus graves, un des gamins du camp me sert d'aide et m'aide à porter mes affaires (cuvette d'eau, bandage, sac de simples)
Passez-moi de l'eau propre et des bandages. Deux hommes pour tenir le blessé, il va falloir arracher la flêche.
Je nettoie la plaie. Elle n'est pas très belle. La peau brûlée s'est fendue et le sang s'écoule lentement. L'homme se tord de douleur, alors que la flêche est arrachée hors de son corps. Les guérisseuses présentes épongent rapidement l'hémorragie et pansent la plaie. *Aucune hémorragie à première vue. Espérons qu'il n'y ait pas d'hémorragie interne.* Le blessé s'est évanoui de douleur. Je donne mes instructions d'une voix sèche.
Je ne sais pas s'il survivra. Seul le temps nous le dira. Donnez-lui de l'infusion d'écorce de saule lorsqu'il se reveillera, ça endormira la douleur. Si c'est vraiment insupportable, faites-lui boire de l'eau-de-vie.
*Pas le temps de réfléchir, pas le temsp de pleurer pour ceux qui sont tombés* Je m'éloigne et passe à un autre patient. *Ses sales chiens de Blancs Manteaux, ils payeront tous, tous autant qu'ils sont*
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
rp off: on va s'intégrer en douceur.
rp on
Occupez-vous de leur fournir un repas. Qu'elles ne manquent de rien. Lorsque votre caporal viendra aux nouvelles, dîtes lui de se procurer les plus beaux effets féminins qui puissent être trouvés dans ce camp et de les amener dans ma tente.
Je tressaille à cette annonce. Les deux prisonnières seraient donc fournies en amusement pour le Seigneur Capitaine et ses hommes.
*Des que les aides de camps emmènent le repas je jette un oeil dans l'embrasure de la toile, la surprise peu se lire sur mon visage 1/4 de seconde.*
Fichtre, l'une d'elle est a peine plus jeune que moi! Je sais ce que peu faire une horde de soldat en campagne loin de chez eux à de si jolie minois. Mais la Lumière la voulu ainsi, ou bien les hommes que nous sommes. En tout cas, je pourrai peut-être m’assurer de leur vertu discrètement après mon service.
Le Caporal arrive.
Mon Caporal, une demande du Seigneur Capitaine. Il vous demande de trouver des atours féminins et de les rapporter aux détenues, mon Caporal.
Je me demande bien ce qu'il pourra trouver de bien féminin dans un camp d'entraînement militaire
*je me replace devant la tente et essaye d'écouter ce qui se dit à l'intérieur*
Bon, c'est la galère. Le feu a du mal à s'éteindre, des flèches sont tombés partout sur la facade nord et de nombreux foyers menacent de se développer. Voila 1à minutes que je cours après mes hommes...enfin ceux qui restent...pour les envoyer éteindre et ramasser ces flèches. Mais sur les toits, c'est une tâche ardue.
- Lieutenant Nolessan: ils ne vont pas s'arrêter à une volée de flèche, et nous avons déja 14 morts...je viens d'apprendre que 4 des blessés avaient succombé. Cela porte nos effectifs à bien peu. Postez seulement quelques défenseurs sur les murs, pour voire s'ils tentent d'autres approches, et faites moi descendre les autres, qu'ils aillent s'occuper du feu. Si la demeure de Brent flambe, on sera sérieusement embêté...Déja qu'on va pas faire long feu...ahah, elle est bonne non? Oué, d'accord je craque...Que ça vous empêche pas de faire ce que je viens de vous dire!
Saloperie, on va passer la nuit à éteindre ces feux, si on y arrive. Cette première volée a été particulièrement meutrière, et l'idée des flèches de feu est redoutable. J'ai à peine eu le temps de réfléchir à quoi faire qu'ils nous attaquent déja. Sont rapides ces blancs-manteaux...Ca n'est que la première nuit du siège... Ils veulent nous faire peur, c'est manifeste, mais s'ils peuvent sérieusement nous amocher au passage, ça les arrange évidemment. Il est évident qu'on ne tiendra pas...
Parfait, voilà qui est fait... cinq mille flèches devraient leur avoir donné à réfléchir. Les morts, les blessés et le feu leur assurent une nuit blanche. Le moral sera au plus bas demain, on devrait avoir plus de réussite pour les "négociations". La nuit sera sanglante, une aube rouge s'annonce...
*J'ordonne le repli vers le camp et la mise en place de l'organisation nocturne. Nos éclaireurs n'ont rien rapporté de remarquable et de nouveaux se mettent en place pour la nuit. La vigilance reste très forte, comme pour une campagne en territoire ennemi. Les arbres proches du camp ont été abattus, ce qui permet déjà d'y voir bien plus clair. Le roulement des sentinelles se fait, les soldats s'organisent parfaitement entre les repas, le service, et le repos. Satisfait de la journée, j'entre dans la tente des prisionnières.*
C'est l'heure.
*Je constate avec surprise que les effets que j'avais demandé pour ma tente ont été amenés ici. Et qu'elles n'y ont pas touché.*
Je n'aime pas qu'on déforme mes ordres... bah, nous verrons cela plus tard...
[d10]
*A Erylin.*
Restez ici et habillez-vous.
*Sans un mot, je saisis Ylnaa et l'emmène dehors. Nous nous dirigeons vers le baraquement numéro 7. Nous y entrons, et je me retrouve face au caporal Mayran. Un silence respectueux et impatient se fait rapidement. Tous les hommes ont les yeux rivés sur la jeune femme.*
Soldats ! Voici votre récompense pour votre loyauté envers la Lumière ! Vous avez bien servi. Amusez-vous et reposez-vous !
Pas la peine que je précise de ne pas l'abimer... les plus violents savent que la majorité préfère regarder un visage et un corps gracieux, ils seraient punis par leurs camarades s'ils se laissaient aller...
*D'un coup sec de haut en bas, j'arrache les vêtements d'Ylnaa. Je la lance violemment devant moi, et elle tombe à quatre pattes, nue, sur le sol.*
Bonne nuit.
*Le rideau est à peine retombé derrière moi que le silence est rompu par les éclats de joie et de rire.*
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
*Je rentre me reposer dans mon baraquement*
Elles sont toutes les deux terrorisée.
Je commence de plus en plus du bien fondé de notre comportement, le viole est une activitée de l'Ombre pas de soldats marchants dans la lumière.
Ce soir, je tenterai de faire courir la rumeur de la souillure de ces deux femmes. En effet si elles sont des Amis du Ténébreux, elles peuvent alors corrompre la Lumière par la chair qu'elles offre. Cela devrai en freiner plus d'un (sourire en coin)
Les Enfants ne devraient pas user de la torture sans raisons, ces paysannes n'ont fait que fuir devant une force armée. Elles étaient certes dans le campement du Faut Dragon, mais rien ne prouve leur complicité avec lui. Cette conduite me révolte.
Je part dans le camps instiller ma rumeur en attendant de reprendre mon tour de garde des prisonnières et je murmure avec une pointe de déception : Que la Lumière illumine le Blanc Manteau !
Les rires commencent, et je profite de cet instant ou personne ne me touche encore pour me lever.
Je me tiens fierement, le port royal et le regard supérieur du vraie Reine. je les toise circulairement, puis mon regard tombe sur un timide. Avec un faible sourire ironique, je demande calmement.
Qui est le premier ? Je vous préviens, je refuse d'en accepter plus d'un à la fois. Démerdez vous, faites une file d'attente...
Je sens que j'en surprend quelques uns au moins. Mais ça ne les attarde pas bien longtemps.
Le Blanc Manteau a emmené Ylnaa. Je reste un instant figée, serrant contre moi les vêtements que l'on m'a donné, avant de me décider à les enfiler. Du moins la chemise blanche est-elle propre, et de tissu fin, mais la robe bleu sombre que m'ont apportée les soldats est un peu trop étroite au niveau du buste et des hanches, et terriblement échancrée. Je l'enfile péniblement, et resserre au maximum les lacets du corsage. *Peut-être que ça le retardera un peu...*
Du reste, une fois mes anciens vêtements pliés, je constate que l'on m'a même laissé une brosse, dont je me sers longuement, machinalement, mais mon esprit est ailleurs. Le coeur battant, j'écoute le moindre bruit venant du dehors, et quand j'entends les bottes du Capitaine crisser devant la tente, c'est à peine si je ne jette pas la brosse à terre. Retenant un cri, je me plaque le plus loin possible de la tente, mains posées sur ma poitrine haletante dans une tentative pour mieux la dissimuler. *Pitié...*
*J'entre à nouveau dans la tente. Je constate avec un sourire qu'Erylin s'est habillée.*
Si vous voulez bien m'accompagner par vous-même, je ne serais pas obligé de vous trainer.
*Nous nous dirigeons vers notre tente à Ehoral et moi-même. Une fois à l'intérieur, je sers une coupe de vin à la jeune femme.*
Essayez de vous détendre. Peut-être même y prendrez-vous un certain plaisir qui sait... ce ne serait pas la première fois en tout cas.
Et estimez-vous heureuse : généralement les gens comme vous sont brûlés ou pendus après avoir été torturés pour qu'ils avouent enfin leurs crimes.
Vous devriez desserrer votre corsage dès maintenant.
Il se glisse dans la forêt, se déplaçant d'arbres en arbres. *Ils ont commencé à déboiser autour du camp mais les troncs sont encore là. Cela va me faciliter la vie.* Il s'approche lentement du camp, avançant de tronc en tas de branches, de branches en rochers. Il est bientôt à la palissade. Il la longe discrètement, s'arrêtant souvent pour écouter les bruits à l'intérieur du camp. On peut entendre, en tendant l'oreille, des bruits de casseroles et, par instant, des rires gras. *Ils doivent être en train de manger. Je me demande ce qu'ils ont au menu.* Arrivé à proximité d'une porte, il se fait encore plus silencieux pour écouter les sentinelles. Celles-ci portent un uniforme blanc au soleil d'or sur la poitrine. Leur conversation tourne surtout autour des deux captives. L'une d'elle doit apparemment « divertir » leur unité ce soir, l'autre étant réservée aux officiers. Les poings d'Ammar se serrent. *C'est ainsi qu'ils traitent les femmes, ces types en blanc. Les Wetlanders ne suivent pas le ji'e'toh mais je pensait qu'ils avaient un peu d'honneur. Grâce à cela, je connais quand même le nom de deux de leurs chefs : Ehoral Alaisur et A-et-Sur Lassadair.* Traverser devant les gardes est impossible, l'espace dégagé est illuminé par des torches, aussi Ammar fait demi-tour et rejoint la forêt. Il se dirige alors vers le grand bâtiment proche.
Une attaque est en cours. Les hommes en blancs encerclent le grand toit. Du haut de l'arbre où il a grimpé, Ammar les observent en train d'emmener deux énormes troncs vers la porte. Ils veulent apparemment défoncer la porte avec. Des archers sont placés tout autour du manoir, leurs flèches sont prêtes à être enflammées. Répondant à un signal invisible, ils tirent. Cinq fois de suite. De la fumée monte du manoir. Les hommes, ayant terminé leur tache, se congratulent. Ils parlent des « hommes du faux Dragon » pris comme des rats dans une forteresse. Et ils se réjouissent de devoir chasser les Amis du Ténébreux demain. *On dirait qu'ils ne savent pas si celui qu'ils appellent Dragon est là.* Ammar fait un rapide décompte : il y a environ un millier d'hommes autour du manoir. Ils sont plusieurs milliers dans le camp, semble-t'il. Et ces soldats parlent d'un lieutenant parti avec ses hommes pacifier la région. Les troupes coincées dans le manoir sont beaucoup moins nombreuses.
Ayant terminé sa mission, et jugeant qu'il ne peut approcher du manoir sans risque, Ammar reprend la direction du campement Aiel. [/i]
Si Ylnaa et Erylin pouvaient me lancer un dé, cela serait gentil.
Je conseille, en tant qu'ami bien sûr, à la première d'éviter de faire en dessous de 7, et à la seconde de faire en dessous de 5 (strictement à chaque fois).
Vierge de la lance qui distille et pête une durite à l'occasion
[rp off] Arf... m'en parlez pas, c'est mon cours de bio cette année, et si, c'est possible... en une nuit comme quoi... sortez couverts .
message aux modos: Vous avez le droit de supprimer ce post ^^
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
*Après une heure de propagande au grès de ma balade nocturne je rentre dormir.*
Je me réveille dès les premières lueurs du jour pour prendre mon tour. Je me dirige vers mon poste, lorsque j'aperçois le Caporal Mayran.
Puis-je vous parler, mon Caporal? J'ai eu une idée au sujet de forteresse.
[rp off:] je confirme il est totalement justifier de leur faire tirer les des pour savoir si elles tombent enceinte ou pas. L'aléatoire du lancer indiquant leur période d'ovulation. Désolé les filles.
*Le jour se lève, et le camp retrouve rapidement son rythme diurne. Je sors de ma tente et respire un grand coup, observant avec satisfaction les hommes qui redoublent d'ardeur sous mon regard.*
Ce fut une bonne nuit, entre plaisir et repos... sans doute plus que pour ces amis des ténèbres en tout cas. Nous allons voir s'ils sont toujours aussi muets après plusieurs heures sans sommeil, à courir entre les incendies, parmi les morts et les blessés...
*Je repasse à l'intérieur de la tente.*
Ehoral, allons tout de suite voir où en sont les anciens compagnons de notre "amie".
*A Erylin* Quant à toi, fais tout ce qu'il te plaira à l'intérieur du camp, tu es sous notre protection. Mais souviens-toi que tu restes une prisonnière avant tout.
Après une nuit plutôt agréable, Mayran se lève et réveille ses hommes, lesquels finissent par se traîner au dehors dans un concert de grognements. Puis comme il songe à aller se raser, il voit Brihbald se diriger vers lui et pose sur le soldat son regard vert relativement ennuyé :
Une idée au sujet de la forteresse ? Vous ? (Il sourit d'un air indéchiffrable, peut-être méprisant.) Enfin, je vous écoute, Enfant Brihbald.
Achevant de lacer sa tunique immaculée, il croise les bras sans cesser de regarder le soldat en face de lui.
Le jour arrive enfin. J'en pleurerais presque si mes yeux n'étaient déjà brûlés à force de larmes contenues. C'est à peine si j'entends les paroles d'Haesur, à travers le brouillard sombre qui pèse encore sur mon esprit, mais je hoche néanmoins la tête sans oser les regarder, lui et son cousin.
Enfin, ils sortent. Mais la solitude elle-même ne semble pas vouloir me laisser un instant de paix. J'ai froid... Tirant un drap sur mon corps meurtri *souillé...* je me recroqueville en position foetale, parcourue de frissons qui se changent peu à peu en sanglots sporadiques. *J'ai... mal. Pourquoi mon coeur me fait-il si mal ? Je... je ne veux pas sortir, supporter sur moi les regards nauséabonds de ces... hommes. Mais ici, des images que je voudrais déjà oublier viennent sans cesse harceler mon esprit. Aucune issue.* Je sens malgré moi se contracter en une grimace de haine et de dégoût les traits de mon visage. L'acidité de la bile me prend la gorge. Et mes ongles, sans que je m'en rende compte, s'enfoncent profondément dans ma chair salie, cette chair qui me fait horreur. Je voudrais pouvoir l'écorcher vive, mais même pour cela, le courage me manque, comme il m'a manqué lorsque j'aurais dû me débattre. *Lâche... De quel droit es-tu encore en vie ?*
De révulsion, je sens mon coeur noirci se rétracter. Mais la nuit qui demeure en moi est encore un peu bienfaisante, puisqu'elle daigne enfin m'entraîner loin des souvenirs et de la conscience, dans des cauchemars plus doux. Bienfaisant épuisement...
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
Une idée au sujet de la forteresse ? Vous ? (Il sourit d'un air indéchiffrable, peut-être méprisant.) Enfin, je vous écoute, Enfant Brihbald.
Achevant de lacer sa tunique immaculée, il croise les bras sans cesser de regarder le soldat en face de lui.
Le regardant droit dans les yeux au garde à vous Merci mon Caporal.
La défense de ce fort me parait trop molle, je pense qu'ils attendent quelque chose. Si ils refusent de parlementer avec nous, c'est qu'ils doivent forcément avoir un moyen de trouver du secours. Ils doivent donc avoir une sorte de passage les emmenant plus loin dans les bois que nous n'avons pas encore découvert.
Je m’arrête est observe sa réaction, je reprend aussitôt pour lui éviter de parler. Ainsi, si mon hypothèse est bonne nous pouvons les attaquer par l'intérieur, ils seront tel des lapins dans leur terrier.
Les blessés ont tous été soignés. Il n'y a que très peu d'herbes contre la douleur dans les réserves des guérisseurs. Mais par chance, les caves du Seigneur Brent recélaient de nombreux tonneaux d'eau-de-vie et de vin. Abruti par l'alcool, les hommes somnolent dans l'infirmerie de fortune. L'état du jeune homme gravement brûlé ne s'améliore pas. Il gémit doucement, émergeant par instant avant de retomber dans l'inconscience.
Elle s'approche de lui et défait le pansement pour examiner la plaie. Aucun signe d'infection pour l'instant mais il est pâle et sa respiration est laborieuse. On dirait qu'il a une hémorragie. *Il est mourrant, rien ne pourra le sauver.* La jeune femme sort une fiole de sa sacoche. Elle reste pensive un instant, puis elle mélange un peu de son contenu à de l'eau. *Au moins il ne souffrira plus.* Elle le fait boire puis reste auprès de lui. Après quelques minutes, sa respiration s'arrête et son visage s'apaise, toute douleur envolée. Elle lui ferme les yeux puis se lève et quitte la pièce.
Elle s'avance dans la cour, le soleil se lève à peine. *C'est un beau jour pour mourir* pense-t'elle, mi-ironique, mi-sérieuse.
Elle repère l'officier Celebred et se dirige vers lui.
Nous avons perdu un homme aujourd'hui. Un des blessés de l'attaque d'hier soir. Ces blessures étaient trop grave et ...
Le bilan actuel est de dix-sept blessés légers, huit dans un état grave, deux qui ne survivront peut-être pas et un mort.
Pour l'instant, il n'y a pas d'épidémie. L'eau du puits est saine et les provisions en bon état.
A l'infirmerie, nous manquons de certaines herbes, surtout pour la douleur. Nous donnons de l'eau-de-vie à la place. Cela devrait suffire. Il nous faudra aussi préparer des pansements pour les brûlures si les Blancs Manteaux recommencent avec leurs flêches enflammées.
Je me tais et j'observe les dégats de la nuit passée.
- Demoiselle Jehane, je vous remercie de vous occuper de ces gens. Je sais que vous le faites bien. La situation est difficile, mais il faut tenir pour l'instant. J'ai peut-être une porte de sortie, mais nous venons de nous rendre compte cette nuit qu'un certain passage pouvant nous faire déboucher au sud du château était bouché. Je ne sais pas quel travail cela va necessiter, et les hommes qui creusent avec l'espoir de percer à nouveau un tunel précaire là ou celui d'origine s'est effondré n'en ont pour l'instant aucune idée non plus. Nous allons devoir continuer à nous battre, et il ne faut pas faiblir. L'espoir fait vivre, lui-dis-je avec un sourire que je voudrais apaisant. J'éspère qu'elle l'aura ressenti comme cela.... Heureusement Brent, ou son ancêtre, a eu l'intelligence de construire sa demeure là-où il y avait possibilité de faire un puit. Enfin vous me direz c'est le minimum necessaire dans ce genre de bâtisses en effet, mais on a pas toujours le choix. Il nous permettra de tenir quelques jours, si tout ne brûle pas avant...Concernant les pansements dont vous parliez, vous êtes libre de tout mouvement en la demeure afin d'aller chercher tout ce qui peut vous être utile. Quand a moi, je vais faire le tour de mes hommes et des dégâts...
Diable, les écuries sont presques entièrement détruites, mais heureusement on a pu éviter que le feu ne se propage immédiatement à côté. La Tour nord ne ressemble plus qu'au doigt du Ténébreux pointé vers le ciel, avec cette extrémité complètement brulée, et le toit s'est effondré: la défense est faible à cet endroit, je suis forcé de le constater. Je vais voir ce qu'on peut y faire.
La défense de ce fort me parait trop molle, je pense qu'ils attendent quelque chose. Si ils refusent de parlementer avec nous, c'est qu'ils doivent forcément avoir un moyen de trouver du secours. Ils doivent donc avoir une sorte de passage les emmenant plus loin dans les bois que nous n'avons pas encore découvert.
Ainsi, si mon hypothèse est bonne nous pouvons les attaquer par l'intérieur, ils seront tel des lapins dans leur terrier.
Bras croisés, Mayran écoute d'un air nonchalant le discours du soldat, mais peu à peu, un sourire étire ses lèvres minces, pouvant exprimer n'importe quoi. Puis il se redresse, et c'est l'air presque impressionné qu'il hoche la tête, sans quitter Brihbald des yeux.
Je vous félicite, Enfant Brihbald, votre hypothèse est très intéressante. Retournez à votre poste, j'en parlerai au Capitaine Haesur dès qu'il en aura fini avec les Amis du Ténébreux. Et croyez bien qu'il saura vous témoigner sa satisfaction. Allez.
Une fois Brihbald parti, il achève de se préparer, puis dirige ses pas vers le château. Il reste néanmoins en retrait, ne dépassant même pas les sentinelles postées à l'entrée du camp, et se place sur le chemin des Seigneurs pour attendre leur retour.
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
[rp off]: ok
Je me place devant la tente, prenant la relève de la garde de nuit. Je jette un coup d'oeil dedans pour prendre état des prisonnières. A ma grande surprise, je n’en voie qu’une ; l’autre doit sans doute servir de divertissement ailleurs. Elle me semble fatiguée, refermant le battant de la tente je lui dit d’un ton compatissant :
Allez dans la Lumière.
Que penser de la réaction du Caporal Mayran, je suis incapable de déchiffrer ce qu'il pense.
J'ai recu mes ordres directement d'un officier, ils connaissent tous mes compétences ici. Et puis, je connais les troupes du Dragon.
Brihbald est le seul Enfant de mon baraquement avec qui j'ai fait un peu connaissance. Il marche dans la lumière mais il laisse trainer des rumeurs qui risquent de destabiliser l'armée. Des rumeurs sur la pureté des femelles qui ont étés mises a disposition de nous autres Enfants et a celle des Deux officiers. Ce n'est pas bon ces rumeurs.
Néanmoins, je regrète tout de même de devoir partir maintenant, la jeune fille ne sera pas passé dans notre baraquement. Terminant de préparer mes sacoches de selle, je sors du baraquement, le grand 7 a l'entrée ne me distingue pas vraiment des autres. Je vais jusqu'aux écuries, fixe les sacoches de selle a Frina et la mène par la bride vers la sortie du camps, passant devant la tente ou les filles sont retenues.
Je salue mon compagnon qui est en faction.
- Puisses tu marcher dans la lumière Brihbald !
Décidement, cette mission bien que glorieuse si je réussit nous coûtera cher a tous si j'échoue. J'espère que la Lumière sera avec moi et que les Amis du Ténébreux qui suivent le faux Dragon ne sont pas trop loin.
Sorti de mes réflexion par la beuglante d'un Blanc-Manteaux qui semble être un gradé, je m'approche des quelques gardes en faction sur le rempart et les interroge sur ce qui vient d'être dit. Prenant alors ma voix la plus puissante, je beugle à mon tour.
- Vous désirez parler, mais c'est pour mieux nous tuer. Vous turiez des innocents si cela servait votre politique. Si nous parlementions avec vous, alors qu'il est bien clair que vous voulez simplement nous tuer au vu de votre attaque de hier soir, c'est que nous serions aussi stupides que vous le croyez! Je préfère pour ma part survivre quelques jours de plus, quelques heures de plus, plutôt que de tomber entre les mains de vos inquisiteurs qui me feront dire par la torture ce qu'ils ont envie d'entendre!
Haletant, j'attend sa réponse.
Pourvu qu'on débouche vite ce foutu tunnel! Je problème suivant sera que je ne sais pas trop comment il est fait à l'interieur...mais il semble se terminer par une grotte, ou quelque cavité naturelle. Y a-t-il plusieurs passages? Est-ce un simple corridor? Que trouvera-t-on au bout? Et surtout ne se refermera-t-il pas sur nous alors que nous serons dedans...
Zyred posa son livre et s'étira brutalement. Son baraquement était désert, les autres étaient sois partis vérifier leurs armes et leur matériel, sois prendre leur premier tour de cantine afin d'aller avaler l'infâme bouillie qui leur tenait lieux de repas depuis le début de cette campagne. Seul le flaireur était rester lire un peut avant de sortir de son baraquement. Quand il avait quitté son village, Zyred ne savait ni lire ni écrire, mais sur la route, il avait rencontré un ménestrel qui avait su lui donner le goût de lire. Bien qu'il penne à déchiffrer certaines phrases, Zyred avait tout de même réussis à lire l'autobiographie d'Arthur Aille de faucon et divers récit de batailles.
Après avoir planquer mon livre sous mon matelas, je me levât d'un geste brusque et me dirigea vers la sortie du baraquement. Après m'être habituer à la luminosité du soleil de midi, Je me tourna vers le fort assiégé. "Il à bien brûler!" remarqu'ais-je "L'attaque d'hier à plutôt bien fonctionner." Je sens un léger sourire retrousser mes lèvres comme je me souviens des cinq flèches que j'ai moi-même tirer. "Je pourrais même jurer avoir transpercé l'un de ces amis des ténèbres, Je me demande toujours si je dois le compter ou pas..." me dis-je en regardant le pommeau de mon épée.
Me détournant du spectacle réjouissant du fort calciné, je me dirige vers un groupe d'enfants de la lumière en train de jouer à la couronne. "Peut être aurai-je plus de chance cette fois-ci"
Et je m'installe, près à parier mon faible salaire.
Après avoir quitté Celebred, je traine un moment dans la cour. J'entends sa réponse aux Blancs Manteaux, soulagée. *Nous serons pas à la merci de ces chiens. Pour l'instant au moins ... Ils sont si nombreux.* En observant les autres autour de moi, je vois que je ne suis pas la seule à penser cela. Si le tunnel ne fonctionne pas, nous sommes perdus, sauf un miracle.
Pour me changer les idées, je prends mes couteaux de lancer et je rejoins les hommes qui s'entrainent. Je lance une première fois mes lames
[d10]
Ce premier essai n'est pas brillant. *Je manque vraiment d'entrainement moi.* J'entends quelques remarques sur les femmes qui feraient mieux de rester aux cuisines. Je récupère mes couteaux puis je fais une seconde série
[d10]
*Presque parfait, je n'ai pas perdu la main, tout compte fait.* Les remarques disparaissent, remplacées par un début de respect.
*Ma réponse fut aussi brève que silenciesue : je tournai les talons sans un mot. De retour au camp, je donnai les ordres pour accélérer la construction d'une première machine de guerre. Inutile d'en demander trop, il faut privilégier la vitesse et l'efficacité. Pas besoin d'une portée immense ni même d'une capacité de portage très importante, cet onagre devra avoir une fréquence de tir rapide et être le plus précis possible.*
Ce soir, nous disposerons d'une force de frappe qui devrait pouvoir mettre un peu d'agitation à l'intérieur du château, suffisamment pour limiter la résistance sur les remparts pendant que nous enfoncerons la porte... surtout si nous accompagnons le tout de quelques flèches.
*Satisfait à l'avance, j'observe les hommes au travail. Les alentours proches du camp sont désormais bien dégagés. La vision, auparavant obstruée par les nombreux arbres, est désormais convenable. Belle matinée.*
Après avoir miser trois pièces de cuivre, je me saisis du cornet à dés et les jettent le premier. Les dés roulent lentement sur le sol... avant de s'immobiliser sur une magnifique quinte de 1, les yeux du ténébreux, coup perdant. Je pousse un juron pendant que mon voisin ramasse les dés en souriant. Soudain, un soldat fait irruption dans le cercle des joueurs
-Hé les gas! le seigneur capitaine à demander la construction d'un onagre, le maître ingénieur à besoin d'homme pour couper le bois nécessaire.
Je me lève d'un bond, ramasse ma mise et quitte le cercle.
-Ok, j'y vais.
Je m'éloigne, poursuivit par les insultes de mes adversaires.
Une fois arriver au bois à proximité, l'ingénieur me charge de grimper au sommet d'un arbre afin d'y attacher une corde, corde qui seras ensuite utiliser pour contrôler la chute de l'arbre afin que celui çi ne s'écrase pas en bas. J'enlève ma cape blanche, crache sur mes mains et me prépare à l'escalade:
[d10]
Je parviens sans problème à la cime de l'arbre, y attache la grosse corde et glisse en bas avec aisance sous le regard méduser de l'ingénieur. La coupe de l'arbre peut commencer.
Aprés avoir demandé en suivant la voie hierarchique ET le protocole, un entretien avec Y Celebred, je fais en attendant la réponse un petit tour du camp, et arrive bientot au terrain d'entrainement.
Après avoir lançé mes couteaux plusieurs fois au centre de la cible, j'aperçois le nouveau qui m'avait pris en croupe pour arriver ici. Je me dirige vers lui et lui demande :
Vous maniez le poignard ? Je manque de pratique et aucun des hommes présent ici ne s'entrainer avec moi. On dirait qu'une femme combattante les mets mal à l'aise. *sourire ironique*
Je range mes couteaux de lancer et sors mon poignard pour l'inspecter en attendant sa réponse.
Je souris brievement, hoche la tête et vais poser ma cape, mon épée et ce qui peu m'encombrer sur la ballustrade la plus proche. j'enleve aussi mes bottes.
Je prends un poignard a l'air plutot lourd dans la main droite, et me dirige vers Jehane avant de commencer à tourner autour d'elle vers sa gauche.
"Voyons déjà voir comment vous maniez le poignard, et comment vous bougez" le tout avec le sourire
J'essaie de ratrapper tant bien que mal mon faux mouvement mais sans succès. Je me retrouve à plat ventre sur le sol avec un bras retenu vers l'arrière par mon adversaire
Après m'être redressée, je me prépare pour une autre attaque
[d10]
Quasiment parfaite, mon adversaire n'a plus qu'à tenter de répliquer
(RP off: waaaah addeddum: bon, je comprends pas encore toutes les subtilités du dé virtuel: j'avais un 10, je tape mon texte, et y disparait )
Alors que Jehane lance sa lame en avant, je passe mon poignard dans la main gauche, fait un pas en diagonale et l'attrape en lui placant le poignard a quelques centimetres de la gorge.
"Ne porte pas trop tes attaques. tu deviens vulnerable..."
[d10]
Profitant de la légére deconcentration et du desequilibre de Jehane dans la position ou elle est:
"... et tu perds l'equilibre"
elle parvient de justesse a conserver le sien.
[bleu] RPoff: qui peux me dire de quel film est tiré ce dialogue?
(répondre dans les commentaires du RP )
Je reflechis, me disant qu'un coursier m'y trouvera aussi bien qu'ailleurs, et comme pour le sommeil, qu'il ne faut jamais dedaigner un repas en temps de guerre.
"d'accord, j'en profiterais pour vous donner quelques conseils."
Je ponctue le repas, frugal comme d'habitude, de quelques phrases qui me reviennent de mon enfance, du genre:
- Quand on doute de la surface, mieux vaut etre pieds nus.
- L'equilibre est la base de tout. Si vous le souhaitez, je vous donnerais quelques exercices a ce sujet.
- Le bon combattant pense simultanement a la poite, au fil et a la garde du couteau. La pointe peut aussi couper, le fil poignarder, trancher, et la garde bloquer la lame de l'adversaire.
- Gardez a l' esprit le couteau, pas la main. le couteau est plus dangereux et le couteau peut changer de main.
- Tuer avec la pointe n'est pas tres artistiquen mais ne retenez neamoins pas votre main si une ouverture se présente.
etc...
j'espére ne pas avoir l'air trop réveur en disant tout cela, mais quelques souvenirs de la personne qui m'a dit ces memes phrases me reviennent.
Je me recule un instant, admirant le travail qu'une centaine d'enfants de la lumière et moi-même avons fournit dans l'après midi. L'onagre se tient devant nous, prés à réduire les murailles ennemies en poussière.
Le maître ingénieur se tourne vers moi:
-Vous avez fait du bon travail, enfant Zyred, allez informer le seigneur capitaine que l'onagre est achevé et demandez-lui si nous devons en fabriquer d'autres. Je dois encore m'occuper des réglages de cette machine.
Je salue l'ingénieur et me dirige vers la tente du seigneur capitaine Lassadar.
Je le trouve, face à sa tente, en train de contempler le château ennemi. Après avoir signaler ma présence, je m'exclame:
-Enfant Zyred au rapport, seigneur capitaine. Le maître ingénieur m'envois vous informer que l'onagre est terminer. Il demande également si nous devons commencer la construction d'un deuxième.
- Très bien. Inutile d'en produire d'autres. Dites-lui de l'armer, je vais indiquer l'endroit où il devra se placer. Nous attaquerons dès que possible.
Nous sommes en avance, c'est parfait. Nous allons pouvoir attaquer avant la nuit.
TOUT LE MONDE A SON POSTE !
*En quelques minutes, les archers sont prêts. Les hommes chargés du bélier sont également en place. Nous nous mettons lentement en route vers le château, tout proche, l'onagre à l'avant. Rien ne presse. Tout sera terminé avant le coucher du soleil...*
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
TOUT LE MONDE A SON POSTE !
*A ce cri de ralliement, je sort de ma tente ( mon tour de garde s'étend terminer depuis le début de l'après midi). Je me hâte d'aller prendre mon poste de protection des Enfants chargés du bélier (grâce à nos boucliers).*
POUR LA LUMIERE !
*Cette fin d'après midi risque d'être palpitante.*
Je partage mon repas froid avec Han. Il parle surtout de ma façon de combattre et me donne quelques conseils. Mais ce n'est pas pour parler de ma façon de me battre que je l'ai invité.
Je me demande où vous avez appris à vous battre. Il est rare de rencontrer un homme avec vos compétences qui ... voyage seul. Vous venez de loin, à entendre votre accent. Qu'est-ce-qui vous a poussé à partir aussi loin de chez vous ?
Je me rends compte que je vais peut-être un peu loin avec mes questions et je poursuis embarassée.
Je suis indiscrète, je m'en rends compte. Ne répondez pas si mes questions vous gênent.
Je retourne en hâte vers l’atelier et rapporte le message du capitaine au maître ingénieur.
Puis, courrant presque, je me rend aux écuries de mon baraquement et scelle mon cheval. En tant qu’éclaireur, je suis automatiquement assigné à la cavalerie légère, moins puissante mais disposant d’une meilleure mobilité et d’une plus grande vitesse. Une fois mon cheval scellé et ses protections de cuir en place, j’enfile mon armure de maille, ma cape blanche, accroche mon arc et mon carquois dans mon dos, me saisis d’une courte lance et place mon fourreau à mon coté.
Puis, à cheval, je me retrouve mon équipe et me met en place, attendant les ordres. Personne ne parle, tous se concentrent pour la bataille qui va suivre, bientôt, le sang des amis des ténèbres rougira nos épées.
Mayran se dirige d'un pas vif vers Haesur et s'incline devant lui.
Seigneur Capitaine. J'ai réfléchi et il me semble préférable de vous exposer dès maintenant ma théorie. Si ces Amis du Ténébreux sont si peu enclins à parlementer, c'est qu'ils doivent avoir un moyen de trouver du secours. Il se peut qu'il y ait dans le fort un passage qui les emmènerait plus loin dans les bois et qui leur permettrait de nous filer entre les doigts. Si j'ai vu juste, il nous suffirait de découvrir l'entrée du tunnel pour les attaquer de l'intérieur, Seigneur Capitaine.
Il s'inclina encore avec respect, impassible malgré le sourire qui brulait d'étirer ses lèvres.
Je viens du grand nord, de Salaea, ou savoir se battre est une question de survie.
Quand à ma presence sur les routes... des evennements malheureux m'ont amener a m'exiler. Mon frere cadet a repris les terres familiales pendant que j'erre au loin pour ne pas lui faire d'ombre...
C'est possible caporal. Mais vous auriez dû nous faire part de vos réflexions avant que tout soit en place pour l'attaque. Nous allons entrer, en effet. Mais par la porte.
A votre poste.
*Le bélier s'approche de la porte, couvert par plusieurs hommes et leurs boucliers. Les archers sont en place, prêts à tirer sur tout ce qui pourrait dépasser des remparts. Le château est évidemment encerclé.*
Une alarme retentit soudain dans le manoir. Les Blancs Manteaux attaquent. Tous se lèvent et courent à leur poste.
Ma haine, un instant apaisée, flamboie à nouveau dans mon âme. Je cours vers le rempart. Ils sont là, lâchement cachés sous leurs boucliers. Mon poignard dans la main, je murmure enfin, enfin ils sont là.
Mais si nombreux, trop nombreux par rapport à nos hommes. Une fois que j'ai pris conscience de ce fait, je cours vers Celebred.
Le tunnel ? Est-il utilisable ? Où sommes-nous tous déjà des cadavres ?
Suite a l'alarme, je vais dans ma chambre m'equiper, puis m'assure que toutes mes affaires sont bien rangees dans leurs sacs, pretes a etre ramassées au cas ou.
Je redescend ensuite rapidement et cherche a rejoindre l'etat major et surtout celebred, afin de suivre ce qu'ils comptent faire.
L’attente est insupportable tendit que je vois le bélier s’approcher de plus en plus de la porte. Autour de moi, mes compagnons cavaliers sont tous anxieux et la peur déforme leurs visages. Par malchance, notre compagnie s’est vue affliger le rôle le plus ingrat : Dés que la porte seras abattue, nous devrons foncer jusqu'à elle et tenir la position jusqu'à ce que le reste des troupes arrivent. Ainsi, nous empêcherons les défenseurs de s’organiser autour de la porte, plus facile à défendre. D’ici là, nous avons un simple rôle d’archer, éliminer toutes personnes sur les remparts.
-Je me demande comment le seigneur capitaine à l’intention d’utiliser cet onagre ! me dis-je
Mais je suis interrompu dans mes réflexions par un homme qui vient de monter sur les remparts. Le fou !
D’un geste vif, je bande mon arc, vise et tire :
[d10]
Je pousse un juron tendit que ma flèche vint s'écraser sur les remparts, suivi par celle des autres archers. L'homme à juste le temps de descendre avant une deuxième salve.
Oubliant l'inopportun, je me concentre sur le bélier qui poursuit sa lente progression vers la porte.
Toujours a la recherche de Y Celebred, j'aperçois par dessus les remparts un bélier en approche.
Je demande aussitot à deux soldats de descendre aux cuisines s'assurer que de l'eau est en train d'etre chauffee en grande quantité et jusqu'a ebulition.
Si de tels ordres n'ont pas étés reçus par la cuisine, qu'ils fassent chauffer les chaudrons en quatrieme vitesse, et si l'eau est prete, bouillante, qu'ils la ramenent au dessus de la porte, afin de rechauffer nos chers amis imaculés.
Si ça ne suffit, pas, quelques gros caillasses balancés des remparts devraient achever le boulot.
A un autre soldat, je demande de verifier que la porte a bien été renforcée, et enventuellement si des meubles, des roches et autres encombrants ont étés entassés derriére. Si ça n'a pas été fait, il faudra que Celebred se dépéche d'y remerdier.
Je repars a la recherche de Y Celebred, encore plus pressé qu'avant.
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
Ah ces AdT ténébreux on vraiment cherché à finir sur un bucher. Pourquoi s'enteter alors qu'il est évident qu'ils ne tiendront pas longtemps.
Les archers sont prets à décocher flèche sur flèche jusqu'à ce que nous soyions entré dans l'enceinte et nous avons un bélier qui viendra bien vite à bout de cette porte. que peuvent -ils espérer.
J'interroge Haesur du regard et il me confirme que nous pouvons lancer l'attaque
A mon commandement une nouvelle volée de flèches enflamées s'envole vers l'autre côté du rempart et le premier choc du belier contre la porte retentit.
Cette journée sera sanglante.
Nous allons commander le début des opérations à l'arrière avec Haesur mais lorsque nous serons entrer j'irai me battre au côté de mes hommes. La bataille me manque
Au signal de mon caporal de cavalerie, notre compagnie range ses arcs, sort ses lances et se place en ligne, prés à charger. Le bélier a atteint la porte, il est temps d'attaquer.
Le caporal lève la main et l'abaisse au moment précis ou le bélier frappe la porte pour la première fois.
-Pour la lumière! Hurle le caporal et tous, nous reprenons son cri de guerre tout en lançant nos chevaux au triple galop.
Notre petite unité sort des rangs à toute vitesse en direction de la porte principale.
J'espère vraiment que les archers sont prés à nous couvrir. Me dis-je, je n'ai pas la moindre envie de recevoir un chaudron de poix brûlante sur la tête.
Entendant le Belier ebranler la porte, et voyant nos archers inactifs, je gueule a plein poumons.
"Tas de Babouins, qu'attendez vous pour tirer!!!! je veux tous les archers embusqués derriere les meurtrieres, et feu a volonté sur ces Maudits!!!! Execuuuution!!!!!!"
J'avise a ce moment les 2 soldats que j'avais envoyé aux cuisines et d'autres en train de monter vers le chemin de ronde un grand chaudron fumant au moyen d'un palan rudimentaire.
D'autres, plus loin sur le rempart, font rouler vers nous des roches de taille respectable... probablement des munitions de catapulte recyclees.
Le chaudron etant presque au niveau du chemin, et je me précipite vers cette partie du rempart qui surplombe la porte il me semble y avoir avisés des machicoulis lors d'une inspection de l'endroit.
Au passage, je note dans la cour des civils faire la chaine pour entasser tout ce qu'ils peuvent derriere la porte attaquée.
Bien!, trés bien!!
Si notre commandement a décidé de rester inactif, je vais leur montrer comment renvoyer ces BM pleurer sous leurs tentes!
Après avoir vainement cherché Celebred, je rejoins les autres guérisseurs. Il y a pour l'instant peu de blessés, l'assaut ne faisant que commencer. Les flêches enflammées n'ont fait que très peu de dégats cette fois, les hommes s'attendaient à les voir et ont pu s'abriter.
Les femmes qui se sont réfugiées dans la grande salle commencent à paniquer. Je me dirige vers l'une d'elle, en pleine crise d'hystérie et lui colle une bonne gifle. *Ca fait du bien, quand même.*
Très bien, je ne veux plus de plaintes, de larmes ou de cris. Si les Blancs Manteaux parviennent à entrer, nous nous battrons. Il n'est pas question de laisser ces chiens nous capturer sans combattre.
La première qui implore le créateur de lui envoyer une Aes Sedai, je lui en mets une. Ces sorcières ne nous aideront pas. Elles se terrent bien à l'abri dans leur tour pendant que les notres meurent.
La première qui geint ou pleure, je lui en colle une également. Compris ?
Quelques murmures d'acquiescement me répondent. *On dirait que j'ai réussi à les secouer un peu.*
Très bien, maintenant, sortez de là et amenez les blessés à l'intérieur. Ceux qui peuvent marcher retournent se battre dès qu'ils sont pansés. Les plus gravement atteints sur les brancards à gauche de la porte, les autres à droite. Et que ça saute !
Elles se dispersent et les premiers blessés commencent à arriver ...
Les mains protégées de chiffons, et alors que le belier s'elance pour un nouveau choc, les hommes font couler l'eau bouillante par les machicoulis.
Des grands cris de douleur retentissent...
Nous attendons que quelques BM se precipitent pour secourir les blessés et balançons quelques pierres sur eux, en meme temps que les archers continuent leur tir.
lors de mon premier lancer avec l'aide d'un soldat (lourds, les caillous...), je constate qu'une bonne partie des porteurs de belier ont étés ébouillantés, et que tous ont lachés leur engin.
J'envoie un soldat verifier que d'autres chaudrons sont sur le feu en cuisine, et reprends les lachers de caillous sur la tete des BM les plus proches, pendant que les archers, a l'abri des meurtrieres pour la plupart, les autres s'abritant derriere les crenaux quand ils ne tirent pas, alignent les autres BM.
Devant l'ampleur des pertes et les cris des blessés et des agonisants, on devine un flottement dans les rangs des BM les plus proches (enfin ,ceux qui restent) et le debut d'un mouvement de recul.
Je jette un oeil dans la cour du chateau: le tas d'encombrants (meubles, charettes et objets lourds) derriere la porte commence a etre consequant, et je me dis que ça me surprendrait que les BM arrivent maintenant a l'enfoncer.
Deja, un autre chaudron, porté précautioneuement par 3 soldats, sort des cuisines....
[Hrp :] Harfang, t’aurait peut être pu lancer un dé non ? Il y à des chances que les archers BM arrêtent les lanceurs de caillasses avant qu’ils ne lâchent leurs pierre, ou les cuisinier avant qu’il ne jettent l’eau bouillante ! Et encore un jet pour les dégâts, non ? De plus, si tu jettes l’eau depuis les meurtrières, il y à de très forte chance pour qu’elle ne se contente que de glisser inoffensivement le long des remparts ou, au pire, de s’écraser juste devant la meurtrière sans faire beaucoup de dégâts. Et de l'eau ne bout pas aussi vite, surtout avec les moyens de l'époque... Et en plus, les béliers ont généralement un "toit" en bois spécialement conçu pour parer ce genre de situation... Enfin, je suis nouveau alors… je dit ça, je dit rien… Mais, ça me semble un peut abuser de repousser une armée juste avec un post et sans jet de dé. [Hrp]
Je sors de la pièce qui donne sur le passage souterrain, ayant entendu que tout s'agitait en haut.
Je n'aurais pas dû aller m'assurer moi-même qu'on pouvait bien passer par là, j'ai laissé mes hommes à eux-mêmes! Enfin, une chose est rassurante: c'était un effondrement, et un petit passage est en train d'être creusé. C'est précaire et dangereux mais...nous n'avons pas le choix.
J'avance vers l'écurie, qui flambe à nouveau. Rha les salops, ils ont vraiment décidé de ne pas nous épargner. Quel intérêt de massacrer 300 péquins quand une grande armée est au sud et que, forcément, ils le savent??! Je vois alors Harfang s'affairer, s'agiter en tous sens, pour motiver et diriger mes hommes. Efficace celui-là, et il ne perd pas de temps...il a su se faire respecter. C'est révélateur. Abus d'autorité peut-être, mais que vais-je dire, moi qui étant ailleurs? Enfin, j'espère qu'il saura reprendre sa place.
"HARFAANNNG"
Puis, voyant qu'il s'approche:
"Bien joué soldat, vous avez pris la situation en main, et c'est ce qu'il fallait. Je vois qu'ils rattaquent...Nous n'avons aucune chance de tenir, et il est illusoire de croire que quelques meubles, qui vont bien vite brûler, vont les retenir trés longtemps. Il faut cependant gagner du temps: un passage se creuse en bas, et nous avons un échappatoire. C'est un lourd dilemne, car des hommes meurent à chaque seconde, mais à un moment donné, il faudra fuir. J'éspère qu'ils en auront finit vite en bas, et j'ai demandé qu'on me prévienne.
En attendant, expliquez moi la situation présente."
*Le projectile frappe la muraille presque pile au dessus de la porte, détruisant les créneaux à cet endroit et faisant chuter deux hommes. Les archers peuvent ainsi viser bien plus facilement les défenseurs qui s'efforcent de gêner le bélier dans leurs déplacements.*
[d10] +2 = 11
*La première salve de flèches est un succès total. Les trois hommes qui amenaient un chaudron s'effondrent à l'intérieur de l'enceinte dans un grand fracas. Le bélier reprend bien vite son action pendant que l'onagre est rechargé.*
[d10]
*Revigorés par les attaques à distance, les hommes chargés d'enfoncer la porte redoublent d'efforts, si bien que le bois commence déjà à se fendre, lourdement ébranlé. Ce n'est désormais plus qu'une question de quelques chocs...*
Je finis de bander un soldat lorsqu'on entend un bruit sourd, puis des cris. Les Blancs Manteaux utilisent leurs armes de siège finalement. On nous amène deux hommes tombés du rempart mais ils ont le dos brisé et sont dans un sale état. Je les examine rapidement puis leur donne à chacun une dose mortelle de poison. Ils s'éteignent rapidement. Je me lave les mains et passe au suivant, un homme blessé par flèches.
Puissent-ils tous crever, ces chiens. Que le Vieux Sinistre et sa meute emportent leurs âmes en enfer.
Nous nous contentons maintenant de rapidement nettoyer les plaies et les bander, pour que les soldats puissent rapidement retourner au combat.
On entend des craquements sinistres, la porte commence à ceder. Si le tunnel n'est pas utilisable, nous sommes tous morts.
Le devoir est plus lourd qu'une montagne, la mort plus légère qu'une plume.
[d10]+1 = 5
La bataille fait rage autour de nous, les archets des murailles nous mitrailles. Je lève mon bouclier une seconde trop tard, la flèche est déviée et effleure l'épaule du soldat manoeuvrant le bélier derrière moi.
Le tire de l'onagre les a bien amoché, ils ne tiendrons pas la cadence.
Nous parvenons rapidement à la porte. Celle çi est dans un triste état, à moitié enfoncée et percée de trous. A travers ces trous, on peut apercevoir un tas de meubles en bois. Ecartant les soldats sur mon passage, je suis saisi d'une idée.
-Une torche, est ce que j'ai une torche!
[d10]
Bien entendu, je n'ai emmené aucune torche, celles çi étant totalement inutiles lors d'une attaque en plein jour et plutôt encombrantes.
Pendant que le bélier poursuit son travail d'enfoncement, je me saisis de mon arc et vise à bout portant les défenseurs sur les remparts, chose rendu possible par l'effondrement des fortifications au-dessus de la porte.
[d10]
J'effectue deux tirs parfaits de suite et ce sont deux cadavres de sectateurs du faux dragon qui viennent s'écraser dans la cours.
Et de deux! Deux entailles de plus à ajouter à mon épée.
*Les hommes sont véritablement galvanisés par la réussite qui accompagne notre entreprise, et c'est comme s'ils puisaient dans leur propre énergie la force d'en déployer davantage, encore et encore. La porte, toute renforcée qu'elle soit, ne résiste pas à un ultime assaut du bélier.*
[d10]
*Un nouveau projectile de notre machine de guerre s'envole par dessus la muraille et tombe au milieu de la cour, sans blesser personne mais troublant la défense ennemie. Profitant de cette déstabilisation, nos premiers soldats pénètrent dans l'enceinte sans réelle difficulté, mais restent toutefois relativement prudents avec leurs boucliers. Il s'agit en effet de repérer les éventuels archers ennemis en évitant que la précipitation ne change une victoire facile en prise mitigée.*
Devant les deniers événements, je fait en deux trois phrases tres pressees mon rapport a Y Celebred:
""Les BM ont décidé de lancer un assaut général. Ils disposent comme vous voyez d'un belier et d'un Onagre là bas. (je désigne la direction a travers la muraille dont je reste a l'abri)
Comme il fallait parer au plus pressé, j'ai du usurper un peu d'autorité et organiser quelques défenses, aussi inefficaces soient elles actuellement.""
Comme pour confirmer cela un projectile vient demolir un creneau
[d10]
a environ 8 a 10 metres de nous.
"Désolé d'avoir pris un commandement sans votre ordre, mais comme vous etes là (grand sourire) c'est avec grand plaisir que je vous le rends
La porte céde, et regardant en contrebas, j'ajoute:
"Puis je disposer?"
Si je veux mettre en oeuvre mon plan, je n'ai plus beaucoup de temps moi!
RPoff: Attention, je me suis présenté au camp sous le nom de " Han Droukspered ", pas Harfang
RP OFF: Attend Han (), ne fait pas céder la porte tout de suite, on va ptet en avoir besoin un ou deux posts encore lol.
RP ON:
"Vous avez eu raison de vous lancer, mon bon. Je n'étais pas présent, et les hommes avaient besoin d'un chef, et d'un coup au moral. Maintenant il est temps d'organiser les dernières lignes de défense et de tenir le plus longtemps possible: un passage souterrain est en train d'être "re-creusé", et il nous mènera à l'exterieur. Mais ça n'est pas encore ouvert. Nous ferons passer le plus de gens possible mais...combien sommes nous?
De 300 nous sommes maintenant...je ne sais pas. La grange brûle, la tour nord brûle de nouveau, les soldats de la porte sont morts, et...ET JE NE M'ENTEND PLUS PARLER! HAN (je m'approche de son oreille)? Nous allons nous battre le plus longtemps possible, et dés qu'on est sent que c'est la fin, que nous allons être enfonçés, on fonce vers le passage."
Pour aller plus vite, les guérisseurs sortent de leur hall et vont traiter les blessés directement dans la cour. De plus en plus d'hommes sont mortellement blessés. La porte tient toujours pour l'instant mais ne resistera pas plus de quelques minutes. Si le tunnel n'est pas ouvert très rapidement, ce sera notre fin. Je cours vers un blessé lorsque je bouscule Celebred et Han.
Où en est le tunnel ? Nous avons des dizaines de blessés et au moins 40 morts.
Vous! Venez m'aider !
J'attrape Han par le bras et le traine vers un soldat blessé. Un flêche lui traverse la jambe.
Tenez-le pendant que j'enlève la flèche.
Je brise la pointe et retire la flèche pendant que l'homme se tord de douleur. Un peu d'eau-de-vie pour nettoyer la plaie, un bandage et je renvoie l'homme au combat.
Je n'ai plus de besoin de vous, Han. Merci *d'un ton froid*
Je reste heberlué quelques secondes a la regarder s'eloigner, puis secoue la tete en reprennant mes esprits.
Deux plans d'action s'offrent a moi... je decide de tester le deuxieme et vais voir en courant ou en est le tunnel et s'il sera pret a temps.
Au passage, je verifie comment mon cheval se porte.
RPoff: Jet de dé pour savoir si a l'époque, n'ayant pu poster car en vacances, j'ai pu le sortir a temps de l'ecurie incendiee ou s'il est blessé ou mort)
[d10]
Je le retrouve attaché dans le coin de cour ou je l'ai laissé, et quelque'un a meme pensé a le seller. je passe les affaires que j'ai laissé avec la selle en revue, tout est là, et le chaval a l'air au mieux de sa forme, frais comme un gardon, piaffant d'impatince en sentant l'action se rapprocher...
Apres deux tapes dans le cou, je repars vers le tunnel.
Apres une marche éprouvante depuis Amadicia, j'arrive finalement au camp avec une troupe d'Inquisiteur.
Une fois la compagnie entière entrée dans le camp, je met pied à terre et m'adresse à un Enfant qui me conduit à Haesur.
La bataille fait rage aux alentours, le belier martelant la porte à grand coups déstructeur.
-La marche s'est déroulée sans encombre, juste quelques vermines de l'ombre à faire marcher dans la lumière, nous sommes arrivés au plus vite. Il semblerait qu'il ne reste pas longtemps à vivre à ces fils de chèvres, avez vous des prisoniers? J'attends vos ordres mon Seigneur capitaine.
Voyant Jehane bouillonnante d'activité mais visiblement marquée par les évènements, je passe à côté d'elle au pas de course afin de rejoindre mes hommes et lui lance:
"Jehane? Je vous remercie de ce que vous faites. Tout n'est pas perdu, tenez bon. Quand je vous le direz, laissez tout tomber, emmenez ceux qui peuvent survivre, demandez de l'aide s'il faut, et en attendant dites aux non-combattants d'aller dans le bâtiment au sud du puits. C'est là qu'est l'entrée de ce fameux tunnel...on essayera de trouver la sortie!"
Je vois une quinzaine de soldats derrière la porte, alors qu'une partie du mur au dessus s'est écroulée. Je leur lance aussi un "TENEZ BON!" et fonce appuyer avec eux sur ce qui bloque encore les coups du bélier. Les murs tiennent pour l'instant mais je sais que nous allons devoir fuire. Prendre le pari du tunnel, et le risque de l'emprunter. J'explique alors d'une voix forte: "Quand je vous le dirait, laissez tout tomber et suivez moi. N'hésitez pas une seule seconde. Pour l'instant ceci dit, notre salut dépend du temps ou l'on pourra tenir fermée cette satanée porte. Mettez-y les dernières forces qu'il vous reste!"
Me retournant fugitivement, je vois Han m'aperçevoir et courrir vers moi. Prions pour qu'il m'annonce une bonne nouvelle...
RPoff.
je veux bien venir vers vous(toi?) mais moi j'allais vers le passage...
donc soit j'en reviens avec des infos, soit je ne fait que passer
j'ai d'ailleurs envoyé un MP/message sur le compte de Y Celebred (multi) qui couvre en partie ce sujet.
J'ai besoin de réponses pour determiner le sens de mes prochains posts
fin du RPoff et futur post eventuel ici (ou: comment recycler un post).
Visiblement, les défenseurs survivants se sont repris et leurs quelques archers nous décochent flèches après flèches afin de nous ralentir, mais malgré tout le bélier poursuit son travail.
Je tente de décocher quelques flèches au défenseurs...
[d10]
... Mais je ne parvint à toucher aucune cible.
Soudain, le bélier donne un coup violant sur la porte...
[d10]
Et la porte vole en éclats, laissant le passage une nuée de blancs manteaux qui se précipitent sur les défenseurs en hurlant des cris de guerre. Je me précipite à leur suite, me joignant au hurlement de tous mes poumons, mon épée levée prête à décapiter le moindre défenseur.
-Le fort est à nouscriait-je à de nombreuses reprises.
Après avoir prévenu toutes les femmes et les guérisseurs de se diriger vers le tunnel. Nous devons abandonner les blessés incapables de marcher. Je décide de leur donner à chacun une dose de poison. Après seulement quelques patients, je me retrouve sans. Je prends alors mon poignard et je me prépare à achever un soldat blessé quand,dans un grand craquement, la porte cède. Des Blancs Manteaux se précipitent à l'intérieur. Je lance mon poignard
[d10]
Je touche un soldat mais il a seulement une petite entaille au bras, sans gravité.
Je me détourne et cours le plus vite possible vers l'entrée du tunnel
RPoff: on va pas un peu vite dans les evenements??
Voyant la porte sur le point de ceder, je fait demi tour, retourne a mon cheval et l'enfourche, puis me precipite au galop (en ralentissant a certains passages pour n'ecrser personne ) vers le tunnel.
Au diable mon plan initial, je vais tenter ma chance avec eux par le tunnel.
Arrivé devant le batiment abritant le passage, je descends de cheval, et entre avec lui dans l'édifice.
Je demande a la premiere personne que j'aperçois: "ou en est on? le tunnel est il débouché?"
"oui, nous elargissons en ce moment meme la sortie."
"Alors filez vite donner cette info a Celebred! attendez: quelle est la largeur du passage? est il suffisant pour un cheval?"
[d10]
"Oui, largement... ils ont du prevoir a l'epoque l'envetualite de partir a cheval, car vous pouvez meme y passer monté dessus et au galop"
"Bien! Filez dire a Celebred que le tunnel est prét et que je pars en eclaireur verifier que la voie est libre a la sortie et qu'aucun BM ne nous y attends.
Envoyez ensuite les premiers réfugiés, et pressez vous"
RPoff. j'espere etre en accord avec ce qu'a preconise Celebred par Mp au sujet du tunnel.
Merci a lui de confirmer et de preciser la longueur du tunnel.
A peine entrée dans la cour de la forteresse qu'une fléche transperce l’œil gauche de mon cheval qui s'écroule dans un hennissement affolé.
Je parvint à m'en tirer sans dommage et me joins à un groupe de BM occuper à enfoncer une porte menant à l'intérieur du château. Une fois la porte enfoncée, mon nez de flaireur détecte un parfum que je reconnais comme l'odeur douceâtre et écœurante de l'assassinat. Devant nous une femme se tient, un poignard à la main, occupée à achever des hommes étendus sur le sol.
-Elle exécute les prisonniers! Hurlai-je!
Avant que nous n'ayons pu faire un geste, l'assassin lance son couteau d'un geste précis et transperce le bras de mon voisin avant de s'enfuir par la porte de derrière.
-Une dizaine d'homme ici pour s'occuper des blessés ordonne un gradé. Les autres, avec moi! Je me lance avec les autres à la poursuite de l'amie des ténèbres. Avec tous le sang qu'elle à sur les mains, son odeur ne s'évanouira pas avant une semaine.
Quittant la salle à l'odeur de mort, nous nous élançons dans les couloirs.
Au trot, je parcours le tunnel de terre battue, dont la paroi et le plafond sont regulierement renforces de madriers.
J'aperçois au bout d'un moment une lueur au loin, puis les excavateurs occupes a discretement finir d'agrandir l'ouverture (celle ci est deja d'une taille suffisante pour laisser passer 2 hommes de front) en rejetant discretement et precautioneusement la terre a l'exterieur.
De derriere moi, tres loin, me parviennent les echos de voix.
Surement les premiers evacues, me dis je.
RP OFF: Zyred, Harfang, vous allez un peu trop vite! Laissez les autres avoir un peu de contrôle sur le jeu, certaines choses ont été prévues, et Gab aurait dû t'avoir donné quelques indications, Zyred. Je posterai cet après-midi, mais cette entrée dans le château est un brin trop rapide: ça nous oblige tous à jouer en accéléré, on ne sait QUI a pu partir, ni quand. Et que font les commandants BM, ceux qui auraient dû mener cette attaque? Ou sont les blessés, les autres joueurs en dehors et dedans?
Je poste cet après midi, et en attendant, calmez un peu vos ardeurs . On est pas obligé d'aller à 100 à l'h! Et va falloir sûrement changer des choses.
Tout a fait d'accord. (je l'ai d'ailleurs fait remarquer plus tot, le 16/10 a 14h.)
Mais vu la vitesse des evenements, et bien qu'informé par MP par Celebred de la suite envisagee, je n'ai pas trop eu le choix que de m'adapter j'ai bien mis dans mon post (conforme au MP de celebred: je dois inspecter le tunnel et revenir faire un rapport) que j'entendais du bruit (des "voix") loin derriere et que j'etais parti avant que la porte ne cede.
ça laisse une grande marge
désolé en tous cas d'avoir contribué a accelerer un peu trop le rythme.
pret pour la suite en tous cas et a une cadence plus raisonnable (voire meme, plutot que de devoir utiliser cette echapatoire, je pourrais revenir a mon premier plan )
ps: ce post etant en RP off, il peut etre supprimé par les moderateurs si besoin est, pas de pb.
RP OFF: c'est surtout que t'as été obligé de t'adapter à Zyred ...et avancé bien vite dans le tunnel. On aurait pu se taper un trip "Moria" . Mais enfin c'est pas des reproches hein les gars, vous jouez bien. C'est surtout des remarques pour que tlm s'y retrouve et puisse avoir sa part de jeu. Ah et...c'est qui cet assassin?!
RP ON:
* avant que la porte ne cède*
- Vous me dites que c'est ouvert?
- Oui mon capitaine.
- Bien? ECOUTEZ-TOUS! Un passage est ouvert pour sortir du château de manière discrète. Il nous faut l'emprunter le plus vite possible mais on tente encore de rassembler le maximum de personnes. Ca a été un massacre...Ces volées de flèches...Et ils se prétendent le vecteur de la lumière??! Tenez-encore quelques secondes s'il vous plaît!
L'espoir renaissant, il viennent de retrouver une dose de courage et d'espoir. C'est une bonne chose, on va en avoir besoin...
Malgré nos efforts, la porte finit par céder. Les quelques soldats encore là se reculent et foncent le plus vite possible vers le passage. Le plus rapidement possible, je file vers ce qui reste des bâtiments de soin, et attrape au passage Jehane et les dernières femmes présentes. Jehane proteste qu'on ne peut laisser les blaissés ainsi, mais je lui explique qu'on a pas le choix. C'est ça ou la mort pour tout le monde. Les plus valides et mobiles ont déja été rassemblé dans la maison qui abrite le passage. Nous fonçons vers cet endroit et pénétrons tant bien que mal dans le tunnel.
[D10]
(cheval)
Je constate malheureusement que mon cheval est mort, et en suis réduit à courrir avec les autres. Voila pour la classe du capitaine...C'est pas demain qu'on m'apellera George Abitbol! Peu à peu, la lumière faiblit.
J'arrive près du tunnel avec les hommes blessés gravement mais pas mortellement quand Celebred m'attrape. Je ne veux pas les laisser car on peut encore les sauver . Seulement ils nous ralentissent. Nous fonçons dans le tunnel, courant chacun pour sauver sa vie.
La lumière du jour faiblit peu à peu derrière nous, les bruits de la bataille s'estompent. Quelques torches projettent une faible lueur vacillante. On n'entends plus que le souffle des hommes et parfois un juron ou un cri de souffrance. La faible lueur des torches nous permet tous juste d'appercevoir les silhouettes de nos compagnons.
Nous avançons dans l'obscurité ...Nous avançons vers l'inconnu ...
Mettant pieds a terre, sortant mon épée, je sors prudemment a l'air libre, le plus discretement possible, et explore les environs pour reperer une eventuelle presence BM.
[d10]
Je remarque des traces anciennes de passages de cavaliers, mais l'assaut actuel doit retenir toute l' attention des BM car je ne tombe personne ni n'en aperçoit venant de la direction du chateau.
Ayant soigneusement vérifié le périmétre, je reviens au tunnel, annonce que la voie est libre mais qu'il vaut mieux attendre le gros de notre troupe pour s'en aller.
Je demande aux hommes de sortir ramasser quelques feuilles, herbes seches et petits branchages et d'en tapisser le sol, d'en faire un tas ne genant pas le passage dans le tunnel (je leur explique pourquoi et ils sourient d'anticipation).
Puis je remonte a cheval et emprunte une torche pour aller faire mon rapport a Celebred.
RPoff: j'ai bien pris soin de ne pas décrire l'environnement (je verrais bien une forêt) et espére que ce post conviendra a la suite prévue des événements.
Il est modifiable si besoin est. (par un modo ce Week end ou par moi Lundi)
A-t-on réussi à cacher quelque peu l'entrée d'un tunnel que les BM trouveront de tte manière bien vite? [D10]
Bon, ben il est quasi visible qu'il existe une grande cavité sous le sol dans la maison au sud du château.
-----
Sachant qu'on nous suivra trés vite, je fais presser au maximum les gens autour de moi. Je passe en dernier aidant un homme qui peut marcher mais pas trés vite, et envoie Jehane faire presser les quelques civiles qui restent. Combien sommes-nous, maintenant? Au bout d'une marche qui nous paraît interminable, nous voyons poindre une lueur. Le noir semble moins lourd, la lumière des torches paraît mieux se diffuser. Combien de temps cela a duré? Il était intelligent d'utiliser des cavités naturelles pour prolonger le passage, mais...impossible de savoir où nous sommes, et il va nous falloir trouver un point d'eau! Au loin, j'aperçois des hommes qui s'agitent. Il me semble reconnaître la démarche de Han.
Nous courrons dans les couloirs à la poursuite de l'amie des ténèbres. Par chance, je sens encore son odeur et parvint, vaille que vaille à suivre sa piste.
Rpoff: Au fait, on est combien là? [d10] on vas dire 35.
En remontant le tunnel, je vois bientot devant moi un groupe de réfugiés.
Je ralentis mon cheval, puis l'arrete mais reste en selle.
Ils me rejoigent bientot, et je reconnais parmi eux Celebred.
[bleu]"pressez vous, le bout du tunnel n'est plus trés loin.
J'ai exploré les environs, mais il n'y a semble t'il pas de BM a proximité. ils doivent tous participer a l'assaut du chateau."
"J'ai demandé aux hommes, au cas ou vous seriez suivis, d'entasser sur le sol du tunnel, avant la sortie, des branchages et feuilles seches, bref, tout ce qui peut bruler en degageant un maximum de fumée.
Cela ne génera pas notre passage, mais une fois que nous serons passés, il suffira d'y mettre le feu (au besoin avec un peu d'huile) pour que les flammes et la fumée empéchent quiconque de nous suivre.
Avec de la chance, si le vent souffle dans le bon sens, nous n'aurons même pas a reboucher le tunnel pour que la fumée parte dans la bonne direction (j'indique du menton l'endroit d'ou ils viennent).
de plus, la fumée partant dans le tunnel, elle ne trahira pas notre positions aupres des BM du chateau."
"Sinon, le tunnel débouche sur une forêt, et il ne devrait normalement pas être trop difficile de prendre de l'avance avant que les BM se lancent eventuellement a notre poursuite.
Avez vous un plan pour la suite? un endroit ou aller? ou nous separons nous tous les uns des autres et chacun pour soi?"
Nous arrivons au bout du tunnel. Les autres femmes sont au bord de la crise d'hystérie, cherchant parmi les hommes qui un époux, qui un père, qui un fils ... Tous n'ont pas pu fuir. Et des pleurs apparaissent lorsqu'elles comprennent qu'elles ne le reverons plus. Combien sont restés là-bas, à la merci de ses brutes sans âme ? Puissent-ils rejoindre la lumière rapidement et sans douleur et leurs assassins périr dans une longue et douloureuse agonie et leurs âmes ne jamais connaître le repos. Je sens la haine monter en moi, douleur et colère brulantes dans mon âme. Pourquoi n'ai-je pu me battre, tuer ces chiens au lieu d'abréger les souffrances de nos blessés ...
Je m'éloigne de quelques pas vers la forêt. Tout semble si paisible, si loin du sang et de la fureur des combats. Je me demande ce que nous allons faire maintenant. Partir chacun pour soi ou rester tous ensemble ?
J'entends les hommes qui s'agitent à la sortie du tunnel ...
RP OFF: euh Zyred, pas trop vite hein. Pour l'instant, tu n'es pas entré dans le tunnel car tu n'en a pas informé tes supérieurs donc il faut le faire avant. De plus, y'a pas tant de réfugiés que cela pour être capturés, pas tant de couloirs, je suis le dernier donc tu me trouverais moi en premier le cas échéant, et t'en es pas encore à nous rattraper. Pour l'instant vous êtes dans le château, et n'avezAUCUNE connaissance de ce passage souterrain avant d'avoir exploré les bâtiments et de vous être posé des questions. Ce post, il va falloir le changer, machine arrière!
*La bataille est déjà terminée. Des dizaines de morts, ennemis dans leur immense majorité, gisent sur le sol. La clameur s'apaise peu à peu. Un soldat court vers moi, visiblement impatient de parler. Je le reconnais, c'est notre Flaireur.*
-Mon capitaine! Nous avons surpris une amie des ténèbres en train d'éliminer leurs prisonniers! Nous l'avons suivis grâce à mon don de flaireur jusqu'a un tunnel par lequel les sectateurs du faux dragon s'enfuient! Ils vont nous échapper seigneur capitaine!
Par la Lumière ! Aucun de ces chiens ne nous échappera !
Allez immédiatement réquisitionner en mon nom le sergent de cavalerie le plus proche, et guidez le avec ses hommes. Soyez vifs, sans pitié, mais essayez tout de même de ramener quelqu'un à interroger.
Allez !
Quand j'émerge du tunnel, je sens beaucoup d'émotion et une tension trés importante. Je tombe immédiatement sur un tas de branchages et autres feuilles mortes ou aiguilles à l'entrée de la caverne, et quelques hommes qui en ramènent encore. Je vois Han qui nsupervise tout cela et d'un coup...comprend son projet.
Je m'approche de lui.
- Han...excellente idée, franchement. Ca va sacrément les ralentir. Il faut se dépêcher. Maintenant que tout le monde est sortit, il faut allumer cela le plus vite possible. Je vous laisse finir de superviser cela, je vais réunir les quelques personnes qui composent notre groupe et nous allons voir le plus rapidement possible ce qu'il est possible de faire et où aller.
Pas de chance, il ne souffle pas dans le bon sens, il faudra donc reboucher en partie l'entree du tunnel afin que la fumée parte dans celui ci et ne révéle pas aux BM la position de la sortie du tunnel.
Je demande aux hommes de commencer a reboucher l'entree a la va vite, en laissant une petite aeration au niveau du sol (pour approvisionner le feu en air, mais, la fumee montant (air chaud), qu'elle ne sorte pas par cette ouverture)
J'entre dans le tunnel une torche dans chaque main (elles ne servent plus a rien maintenant que les refugiés sont sortis) et les jette sur le tas de branchages
[d10]
Le feu prends directement, (le bois doit etre bien sec) et les flammes commencent rapidement a s'élever, dégageant une fumée épaisse.
Je ressors du tunnel par l'ouverture deja en partie retrecie, et aide les hommes restés sur place à finir de la reboucher avec la terre qu'ils ont précédement déblayée pour l'ouvrir.
-A vos ordres Seigneur capitaine! Mais, si vous n'y avez pas déjà pensé, il pourrait être bon d'envoyer une patrouille tenter de localiser la sortie du tunnel.
Je file vers un groupe de cavaliers légers qui ne sont pas encore entrés dans la bataille et me dirige vers leur capitaine.
-Mon capitaine! Le seigneur capitaine m'envoi afin de vous indiquer l'entée d'un tunnel par lequel les amis du ténébreux s'enfuient!
Réquisitionnant un cheval, je me mets en charge de guider la petite troupe vers l'entrée du tunnel.
[d10]
En quatrième vitesse, nous pénétrons dans le château et, par une chance incroyable, nous pénétrons dans le tunnel moins de dix minutes après notre départ.
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
Enfin nous avons pris le controle de cette place. Je rejoins mon cousin pour faire un point stratégique
Penses tu vraiment qu'il soit utile de les poursuivre ? Nous risquons de perdre des hommes et de nous éparpiller. Nous avons ce que nous voulions, à savoir une place où installer notre base avant d'avancer vers Lugard pour prendre à revers l'armée de cet Ami du Ténébreux.
Je comprend que tu veuilles exterminer ces vermines qui ont osé nous tenir tête mais celà risque d'être du temps perdu. Si tel est ton désir occupe toi de les poursuivre, pendant ce temps je m'occupe de la fortification de notre base et je commence à organiser notre départ prochain vers Lugard.
D'ailleurs avons nous des nouvelles de nos éclaireurs partis dans cette direction ?
Me retournant, j'aperçois Yann qui sort du tunnel. Il échange quelques mots avec Han puis il cherche du regard parmi les rescapés ...
Je m'approche de lui et l'interroge d'une voix sourde :
Et maintenant ? Que faisons-nous ? Nous nous dispersons ? Chacun pour soi ? Ou nous restons en groupe ? Ces chiens de Blancs Manteaux ne mettront pas longtemps à trouver le tunnel
Nous avons une supériorité suffisamment écrasante pour nous permettre d'imposer notre force Ehoral. Je ne tolère pas qu'on puisse m'échapper, c'est vrai, mais je pense qu'il est bon que des rescapés ne puissent pas communiquer avec le reste de l'armée de ce fou. De plus, j'aimerais donner un os à ronger aux inquisiteurs qui nous ont rejoint pendant la bataille, or nous n'avons pas de prisonniers.
A priori nous n'avons aucun signe d'alerte venant du sud-est. Occupe toi de prendre le contrôle de la place. Je me charge de rappatrier des hommes dans notre camp pour répartir dès à présent les postes entre ces deux bases.
*Pendant ce temps, le groupe des poursuivants guidé par Zyred avance dans le tunnel, sous la direction du sergent de cavalerie.*
[d10]
*La progression est assez délicate, et les chevaux ne peuvent galoper comme ils le voudraient. De la fumée commence à se faire sentir, la respiration va devenir difficile.*
"Ils tentent de nous enfumer ! Flaireur, sommes-nous encore loin de notre objectif ? Si la sortie n'est pas proche, nous risquons la mort avant même de l'avoir atteint."
- Vous avez raison Jehane, mais calmez vous! Nous sommes encore vivants, et l'objectif est de s'en sortir. Se séparer voudrait dire abandonner un certain nombre de personnes. Emmener tout le monde nous ferait prendre des risques énormes...La situation n'est pas facile mais...j'ai ces gens à ma charge. Je me dois de les protéger au maximum. Combien sommes-nous?
D'un rapide calcul, je déduis: une dizaine de soldats dont 2 blessés, quelques femmes...4...5 avec Jehane...et moi.
Chevaux: [D10]
Hé ben c'est pas glorieux, celui de Han et un autre...Pas de quoi porter les blessés...Les Blancs Manteaux eux en ont...
- Nous sommes donc une quinzaine, avec deux chevaux. Il va nous falloir au maximum emprunter les chemins forestiers. Il est bien difficile pour les chevaux d'aller vite en forêt, et nous allons en profiter. Jehane, les blessés peuvent marcher facilement, ou pas?
Pendant que Jehane vérifie cela, je crie à Han qui vient de sortir de la grotte:
- REBOUCHEZ MOI CA DU MIEUX POSSIBLE, QU'ON LES EMPÊCHE UN PEU DE RESPIRER!
Je réflechis un instant. Seuls deux blessés ont pu venir avec nous, les autres soldats rescapés n'ont que des coupures et des bleus. Quatre femmes en plus de moi, dont deux au bord de l'hystérie et une en état de choc, insensible à tout ce qui l'entoure. Je réponds à Yann à mi-voix, pour qu'il soit le seul à m'entendre.
[d10]
Nos deux blessés ne sont pas en état de marcher. Il faudra les attacher sur les chevaux et veiller sur eux en permanence. Les autres femmes sont au bord de la crise d'hystérie et un rien peu suffir à les faire basculer. Je me charge de les secouer mais il faudra s'attendre à tout de leur part.
Après un instant, je poursuis :
Quelle direction prenons-nous ? La route de Lugard sera probablement surveillée mais je ne sais pas s'il y a d'autres villes dans la région.
- Bon, je vois que la situation n'est pas rose. Pourront-elles nous suivre? Tout au moins avancer? On ne peut se permettre de traîner trop tout de même...Est-il utile que j'aille leur parler?
Pour l'instant en attendant, nous attendons que le tunnel soit bien rebouché, encore quelques minutes, et quand tout le monde est prêt...nous nous enfonçons dans la forêt vers le sud, et évitent bien évidemment la route de Lugard qui la contourne. Il va falloir faire un détour et avancer vite.
Elles peuvent avancer, elles ne sont pas blessées. Elles ont peur, c'est tout. Leur vie a toujours été protégée. * On peut sentir une certaine amertume dans ce que je viens de dire.* Vous pouvez essayer de leur parler. Il faut les rassurer, leur dire que leurs époux vont bien. Ils sont à Lugard, avec les autres. N'hésitez pas à leur promettre qu'elles les reveront bientôt, que nous allons les rejoindre
- On se replie ! Vite, demi-tour ! Nous allons manquer d'air !
[d10]
*Malgré la situation, les hommes parviennent à faire garder leur calme aux chevaux qui montraient des signes de nervosité. Ce sang froid permet au groupe de réussir à quitter le tunnel par où il était entré, avec tout au plus quelques yeux rougis. En l'absence d'Haesur Lassadar sur les lieux, le sergent s'avance vers le Capitaine en second qui se charge d'organiser le prise du château, Ehoral Alazur.*
- Seigneur, nous avons dû rebrousser chemin, ces chiens avaient rebouché la sortie et fait un feu parfait. Nous aurions pu continuer si nous avions su la sortie proche, mais notre Flaireur avait perdu la piste.
Je décide de prendre la parole:
-Seigneur Lieutenant! Dans le tunnel, c'est la fumée qui m'a empêché de suivre leur trace! Laissez moi repartir avec quelques hommes à leur poursuite en fouillant les bois! Avec un peut de chance, je devrais être capable de les flairer. Ils ont sûrement des blessés et trop peu de chevaux. Laissez moi réparer mon échec, seigneur Lieutenant!
Une fois le tunnel rebouché, je remonte à cheval et me place à l'arriere du groupe de refugiés.
Jehane vient rapidement me voir pour me dire que certains blessés nécéssiteraient d'etre transortés à cheval...
Je la regarde d'un air tres surpris, puis je lui réponds que ne plus être a cheval si les BM parviennent a nous rejoindre ne me parait pas du tout une bonne idée.
Je lui propose à la place que je garde mon cheval, mais de confectionner un travois qui permettra a l'autre cheval de trainer les 2 blessés, ce qui presentera le double avantage d'etre a la fois plus sur pour ses blessés (ils ne risquent pas de tomber de selle) et de moins fatiguer le cheval que s'il devait les porter en selle.
Enfin, de rester a cheval me permettrais d'aller en reconnaissance devant nous.
RPoff: c'est vrai quoi, lol
Comme en plus j'ai toujours pas été payé, je vais pas me lancer dans le manitaire et le taratatif. (surtout pour laisser des paysans monter sur mon cheval (désolé, je viens dans le tome 5 de voir comment un noble saldean traite un paysan ))
bon, a toi Jehane de voir si tu peux arriver a me convaincre de renoncer a ma propre sécurité et de descendre de mon cheval
*Il commence à m'énervez celui-là avec ces airs de noble arrogant. Il sort d'on ne sait où, il sait tout mieux que tout le monde, il ne pense qu'à sa bourse et il me traite comme une gamine ignorante.*
Nous n'avons pas le temps de contruire un travois. De plus, nous sommes en pleine forêt, vous pensez que les blessés survivront s'ils sautent à chaque trou dans le sol ? Cela épargnerait les chevaux, peut-être, mais nous n'avons pas le luxe de perdre du temps et construire une litière.
Par ailleurs, vous préférez sans doute vous battre à cheval mais nous sommes dans une forêt, il est impossible de galoper, le sol n'est pas plat. Et les troncs d'arbres et les buissons vous empêcherons de manoeuvrer. Vous ne savez pas vous battre à pied ? Demandez à n'importe quel chasseur, vous serez repéré à plusieurs lieues avec tous ce harnachement. Ce n'est pas une bataille rangée ici, nous devons voyager le plus légèrement possible et sans nous faire remarquer.
Pour la reconaissance, je pense que les autres hommes feront mieux que vous, ils peuvent grimper aux arbres pour se cacher, au besoin. Comment ferez-vous avec votre étalon ? Mieux vaut mettre un blessé dessus en l'attachant à la selle
Pendant le discours, je parais de plus en plus estomaqué, voire suffoqué.
A la fin, je parais franchement en colére.
En rage, je dévisage Jehane deux trois secondes. prends une inspiration, souffle, regarde rapidement autour de moi, réfléchis (*c'est plus sur pour l'instant de rester avec eux, mieux vaut etre.... quel est le mot deja? "cooonciliant", et puis, qui sait si je ne peux pas etre payé a posteriori...*)
Je descends de cheval et me place entre lui et elle, puis en pointant un index devant sa poitrine, je dis "D'accord, mais JE tiens les rénes!"
Le temps qu'elle aille chercher le... le... le paysan(!), je décroche mon épée de la selle.
RPoff: pour l'argent, lol, ce n'est pas l'argent en soit, mais le principe: j'arrete pas de bosser gratis et ça me géne beaucoup, lol) (et en plus je plie devant une paysanne... je dois vraiement couver quelque chose moi)
Mon interlocuteur ne semble guère apprecier mes paroles. Il n'a jamais rencontré de femme de caractère, on dirait. Pourtant, c'est presque une obligation pour une sagesse. Finalement, il réussit à se contrôler après être passé par un joli teint rouge-violacé. Il met pied à terre et je vais chercher Alex, le soldat blessé. Je l'aide à monter en selle et je demande, d'un ton distrait, des sangles à Han. Je me demande comment il va réagir ...
En grommelant, j'attrape dans les fonte une longueur de corde et attache les poignets du blessé au pommeau de la selle.
De toute façon, au pas, il ne risque pas beaucoup de tomber.
(et en cas d'urgence, couper cette corde au couteau me permattra de recuperer rapidement mon cheval)
Alors que je l'attachen j'en profite pour discretemen evaluer sa blessure.
[d10]
Au moins a t'il effectivement une chance de survivre, mais cela ne modifie mon humeur que de façon infinitesimale.
Toujours en grommelant (on distingue par exemple les mots "paysans", "bouseux" et "qu'est ce que je suis venu .... dans ce ....") j'attrape les rénes et sans regarder en arriére, ni le blessé ni Jehane, me mets en marche d'un bon pas pour rejoindre la colonne.
Je finis d'installer l'autre blessé et je le confie à un des soldats. Puis je presse le pas pour rejoindre Han. Il semble se parler à lui-même et on entend parfois les mots paysans, bouseux émerger du brouhaha confus de ses récriminations.
Si la compagnie des paysans vous gènent tant, qu'êtes-vous venu faire dans cette région ? Il n'y a rien à part des fermes dans le secteur. Tout les nobles vivent à Lugard.
Il continue à m'ignorer Regardez-moi quand je vous parle. Et cessez de tous nous prendre de haut. Je ne sais pas si vous êtes un de ces fichus seigneurs ou un fils de paysans mais pour les Blancs Manteaux, cela ne fera pas de différence. Nous sommes tous des Amis des Ténèbres à leurs yeux. Et votre sang coulera comme celui des autres si nous sommes pris.
En continuant de marcher, je tourne un instant la tete vers Jehane, puis re regardant devant moi, je dis:
"Si "nous" sommes pris? Si vous etes pris oui. pour ma part, je ne compte pas l'être, surtout par ces clowns vaniteux de BM."
Quand à ma présence dans cette région plutot que d'être tranquillement chez moi, c'est justement des paysans et autres "vassaux" (j'ai l'air de cracher le mot) que je la dois.
Je pensais trouver un petit boulot distrayant dans votre damné camp, et voyez dans quelle panade je me retrouve.
Au passage, pourquoi etes vous là, vous?
Il suffit qu'un paysan ai des idées de grandeur et se prenne pour le Dragon pour que ce soit contagieux?
Vous ne seriez pas mieux dans l'une de ces fermes dont vous parlez?
J'écoute sa réponse et je souris intérieurement. J'ai frappé juste. C'est un noble déchu à ses paroles. Mais en entendant ces dernières phrases, je me raidit. Il a touché un point sensible.
Il y avait une ferme. Un endroit paisible et heureux. Les Blancs Manteaux ont accusé ma mère d'être une Aes Sedai. Ils ont tué mes parents et mon époux.Puis ils ont brûlé notre maison. J'étais sortie et je suis revenue trop tard. Tout les miens sont morts. Aujourd'hui il ne me reste que la vengeance. C'est tout ce qui me fait avancer.
Je ne sais pas si Kindarin est le Dragon ou pas. Et je n'en ai rien à faire. Ce que je sais, c'est qu'il peut canaliser et qu'il ne reste pas à l'abri d'une tour.
"Je vois.... c'est finement raisonné, et vous mets en position de faire plus de dégats aux BM que toute seule.
Mais un homme pouvant canaliser ne s'attire pas seulement les foudres des BM, mais aussi et surtout des aes sedai. (je fais la grimace involontaire en prononçant le nom).
Que ferez vous si celles ci se décident a l'attaquer?
Est ce que vous n'etes dans cette armée que parce que vous la voyez comme un moyen de tuer des BM en général? ou resteriez vous si des aes sedai (re grimace) se presentent?"
Les Aes Sedai, elles sont bien à l'abri dans leur tour. Elles n'interviendront que quand les armées des autres pays auront affrontés les notres. Elles ne risqueront pas leurs précieuses peaux pour des paysans.
Je ne sais pas ce que je ferai si elles arrivent. Je verai comment la situation se présente. Et vous ? Que ferez-vous quand nous serons à Lugard ?
"Je ne sais pas encore... d'un coté, c'est sur qu'avec vous il y'a de l'action,
Et puis, cette histoire de Dragon, vrai ou faux, peux m'importe, du moment qu'il me propose du boulot interessant (temps de silence) et qu'il paye en proportion (je ricane brievement).
Comme je n'ai pour l'instant nulle part ailleurs ou aller, si ce.... comment s'appelle t'il deja? Kindarin? peut me fournir aventure, fortune et gloire, alors pourquoi pas.
A mes yeux, il vaudra aussi bien que n'importe quel seigneur shienaran ou haut tearien."
Je ne peux pour ma part me permettre d'etre consummé par la vengeance, et n'ai pas l'esprit obscurci par l'idealisme. Je ne me bat pas pour l'honneur ni ne suis dans l'indigence. (je cite) "je suis le Chat qui s'en va tout seul et tous lieux se valent pour moi"."
Je réfléchis encore un instant: "oui, je verrais qua d nous serons a Lugard."
[bleu] RPoff: Pour la citation, elle est tirée d'un texte de Kipling. si certains sont curieux: Le Texte
Nous continuons à avancer en silence. Je vérifie régulièrement l'état des blessés
[d10]
Ils sont stables, aucun signe d'infection ou de problèmes quelconques.
*J'en profite pour repenser aux paroles de Han. Ce type est étrange, il est arrogant, se conduit comme un noble alors qu'il semble fauché. Enfin pas pauvre, mais sans la fortune qu'on associe en général à la noblesse. Je dois lui reconnaitre qu'il est un bon combattant, un meneur d'hommes... A Lugard, cela risque d'être interessant. Lugard. Il a raison dans un sens, je n'ai pas de projets, pas de vie en dehors de ma vengeance. Je décide de chasser ces idées noires de mon esprit.*
Je prends mon arc, que par miracle j'ai pu conserver et j'observe tout autour de moi. Je mangereai bien du lapin au diner, ce soir.
Je me rends compte que je viens de parler à voix haute
RPoff: jet de dé pour déterminer si j'ai pu entendre Jehane (qui a du s'eloigner pour verifier l'etat des autres blesses):
[d10]
Je vois Jehane revenir, aprés avoir fait le tour des blessés (trop nombreux a mon gouts, car ils vont nous ralentir), attraper une arme et faire un tour d'horizon.
Tendu, je regarde de suite moi aussi les environs: les BM nous auraient ils deja rattrapés?!? Je pose deja la main sur la garde de mon épée quand j'entends le mot "lapin".
Comme je ne vois pas pourquoi elle comparerai les BM a des lapins, je me detends et prends soudain conscience d'un creux a l'estomac.
j'ai bien une ou deux rations dans mes fontes, mais que des vivres séchées et du fromage, et surement pas de quoi nourrir frugalement plus de 2 ou 3 personnes.
D'autre part, je ne peux pas partir chasser moi meme: je ne peux pas abandonner mon cheval, et il vaut mieux pour l'instant mettre un maximum de distance entre nous et les BM.
Au mieux, je pourrais donner quelques conseils a Jehane, mais je pense qu'elle doit se debrouiller aussi bien sinon mieux que moi pour se procurer sa pitance en foret
Voire meme, ne vient elle pas de parler a voix haute pour faire passer je ne sais quel message? du genre "nous sommes autonomes et/ou competents et n'avons pas besoin de vous?" ou "allez me chercher a manger"... quoique non, elle a attrapé son arc pour chasser elle meme.. bah, j'ai plus important a penser vu notre situation actuelle.
Au pire, j'essaierai de trouver une riviere a proximite de l'endroit ou nous ferons notre premiere halte, mais il ne faudra pas compter manger autre chose que mes rations ce soir, car pas question de faire du feu...
En continuant de marcher, je me tourne vers le blessé et engage la conversation avec lui.
"alors, et vous, pourquoi avez vous rejoint le Dragon?"
Kearan s'approche de la jeune fille pour lui porter secour, une autre prisonnière est avec elle.
Des vêtements déchirés, arrachés. Une vision qui ne laisse aucun doute sur ce qui c'est passé ici. Il prend la jeune fille et l'allonge confortablement.
- Attendez moi, je vais revenir. Quoi qu'il arrive rester ici à l'abris.
Le jeune homme se retourne et se dirige vers la porte, la colère, le saidin, l'exaltation et le dégoût, mais par dessus tout la colère. Les trollocs dans les Marches, ils pillent, ils massacrent mais ils ne se cachent pas sous des dehors de défenseurs de la lumière... La colère... Takima doit la sentir maintenant... Où est-elle? En sécurité j'espère... La colère, la rage...
La porte vole en éclats emportant une partie du mur, le jeune homme apparait au milieu de la poussière. Les gardes alertés par le bruit se précipitent. Le premier arrivé s'embrasse aussitôt en poussant des hurlements, un second est soulevé dans les airs, son corps se plie en deux jusqu'à ce qu'un sinistre craquement annonce que la colonne vertébrale a cédé. La terre commence à trembler, des cailloux en sortent et sont projetés contre les autres gardes. Des boules de feu volent en direction des bâtiments qui cèdent un à un.
Un nouveau garde est soulevé puis empalé sur une poutre effondrée. Le dernier encore en vie tente de se remettre sur pied mais il se retrouve trés vite dans l'incapacité de bouger un muscle. Kearan approche dégaine une de ses épées et porte un coup circulaire remontant l'entre jambe du BM.
Alors que tout est en flammes autour de lui, l'arafelin se dirige vers l'endroit où il a laisser les jeunes filles. Il attrape celle qui est évanoui et se tourne vers l'autre:
je vois avec horeur ce dont est capable ce gars aux tresses. Je reste paralysée et le suit machinalement avec la seconde des deux jeunes filles -les blancs manteaux paieront- et loui fait un sourire le plus amical possible en disant -tout va bien maintenant.
Rp off: un sourire amical c'est unb sourire cruel et montrant toutes les dents -pas propres vu ma vie en forêt depuis l'âge de 10 ans-
- Dites, Han, cessez donc de parler, avec Jehane ou avec qui que ce soit, et laissez ce blessé se reposer, surtout si c'est pour poser des questions de ce genre: ça ne me donne pas confiance en vous, et j'aurais envi de pouvoir faire confiance à des gens comme vous. On a rejoint le Dragon parceque c'est notre seule chance de salut. Le Dragon ou plutôt la chance de nous unir qu'il offre hein...Ne me prenez pas pour un imbécile. Maintenant avançons.
Alors que nous avançons dans la forêt, tout le monde semble sur les nerfs. Les Blancs manteaux ne semblent pas à nous trousses, et la nuit semble sur le point de tomber. Nous ne pourrons ne pourrons pas faire de feu, et cela va être un sacré problème. Les blessés vont passer la nuit, mais un peu de chaleur ne leur feraît pas de mal. Marchons encore un peu, et nous réfléchierons à tout cela.
Alors que nous avançons, j'aperçois une légère pente, avec des congères.
Sans feu, sans bruit, en forêt, seront nous repérés? J'espère que non...
J'apelle Han et Jehane de la main.
- On s'arrête là pour aujourd'hui, ou peut-on continuer un peu? Les femmes vont mieux Jehane? Et les blessés tiennent encore debout?
*Alors que je pensais aller voir Erylin, j'arrive juste au moment où un homme s'enfuit avec les deux prisonnières. Avant même que j'ai le temps de crier mes ordres, le camp tout entier semble s'embraser autour de moi. Je reste figé en voyant l'homme à l'origine de tout ça partir avec les jeunes femmes.*
Par la Lumière... est-ce le fou que nous pourchassons ? Mais que ferait-il ici c'est impossible... ou alors... On réfléchira plus tard ! Il faut mettre fin à cet incendie !
ETEIGNEZ LES FLAMMES ! EMPÊCHEZ LA PROPAGATION DE L'INCENDIE !
Le seigneur lieutenant n'a pas le temps de me répondre car une grande explosion retentit dans tout le camp et je vois l'un de nos hommes voler par-dessus ma tête avant de s'écraser violemment.
Détournant son attention de moi, le seigneur lieutenant commence à donner des ordres à droite et à gauche.
Soudain, j'entends le seigneur capitaine:
-ENFANT ZYRED ! FLAIREUR !
Je cours vers le capitaine Lassadar:
-Enfant Zyred, à vos ordres seigneur capitaine!
Pouvez-vous suivre la trace de ce serviteur des Ténèbres ? Il s'agit peut-être de l'homme que nous pourchassons, ou d'un autre... Quoi qu'il en soit, il est de notre devoir de l'arrêter !
J'apelle Han et Jehane de la main.
- On s'arrête là pour aujourd'hui, ou peut-on continuer un peu? Les femmes vont mieux Jehane? Et les blessés tiennent encore debout?
Je vois que Yann me fait signe. Je m'approche, tant mieux pour les lapins, tant pis pour mon estomac. Il veut des nouvelles des blessés. Les femmes se reprennent. Elles commencent à accepter ce qui c'est passé. Pour les blessés, ils sont stables, ni mieux, ni pire. Je leur préparerai quelques remèdes ce soir mais l'idéal serait qu'ils soient dans un lit pendant un mois. Je ferai de mon mieux. Plus vite nous serons à Lugard, mieux ce sera. Enfin si c'est possible sans nous faire tuer.
Je dois avouer que je ne sais pas trop quoi penser du discours de l'officier... au depart, je me braque contre lui, mais la fin de sa phrase me rassure quand meme un tantinet sur ses pensees à mon egard.
Me voila interdit de conversation avec les autres??? ou plutot, a mieux y reflechir, il doit me signifier que certains sujets sont tabous... Quand meme bizarre, car si l'on fait partie d'un groupe d'interet commun, et encore plus d'une armée, autant savoir pourquoi les autres sont là.
Aprés tout, je ne fait pas mystére, moi, de mes motivations...
Donc, je me dois de conclure... certains sont là par interet personnel, comme "utiliser la force de frappe d'une armée pour s'aider a affronter un ennemi personnel" (je jette un oeil a Jehane et souris une seconde) ou voir ce Dragon et ses troupes comme un moyen de sortir de sa caste, du systeme, de faire sa revolution, de s'affranchir de sa vie precedente et d'esperer s'elever socialement, bref, le lot habituel d'opportunistes, dont moi par certains cotés.... ou simplement, en parlant de revolution, y voir un moyen de jeter a bas l'ancien monde... et pour les autres, comme ce Celebred... une vue d'ensemble beaucoup plus large, et esperer en soutenant le Dragon, sauver ce qui du monde peut l'etre...
Bon ,je comprends deja un peu mieux la raison d'etre de cette armée, meme si j'aurais aimé avoir plus de temoignages...
Je m'avise que Y Celebred vient de m'appeler, et me dirige vers lui d'un pas normal, sans montrer d'empressement.
"- On s'arrête là pour aujourd'hui, ou peut-on continuer un peu? Les femmes vont mieux Jehane? Et les blessés tiennent encore debout? "
Je le comprends decidement bien mal... le voila qui me demande conseil ou je me trompe??? et juste apres m'avoir dit ses doutes quand a ma fiabilité?? j'y pense: peut etre a t'il voulu dire qu'il ne veut pas avoir a me suspecter d'espionnage??
J'y pense... nous sommes dans le Sud... Dois je filtrer et intepreter toutes ses phrases selon leur "Jeu des Maisons"?
Les circonstances ne s'y pretent guére, mais avec ces gens de Sud, sait on jamais...
Revenant au monde exterieur, je m'aperçoit que Jehane a fini de lui répondre. Je regarde les alentours, et la pente un peu plus loin et ses congéres.
"Il y'a effectivement de quoi se camoufler ici pour la nuit, et nous n'avons pas etes rattrapes pour l'instant, on peut donc esperer qu'ils aient perdu nos traces ou n'aient pas trouve par la foret la sortie du soutterain"
"Je vous propose, si vous me faites assez confiance (j'accentue le mot) de revenir discretement a cheval sur nos pas pendant que les blesses se reposent, et de voir si des BM sont apres nous. Je pouurrais eventuellement en profiter pour faire un prisonnier, ce qui nous serais utile. "
Je me tourne vers jehane
J'ai un peu de nourriture, attendz moi et je vous en donne pour vos blesses. ça vaut mieux que d'aller chasser, et je ne pense pas que nous puissions nous permettre un feu, non?
En disant les derniers mots, je me suis tourné vers Y Celebred pour ajouter cette question aux autres.
RPoff: j'aurais besoin de savoir en quelle saison nous sommes et de la distance parcourue depuis le chateau, tunnel inclus, svp.
*Mais qu'est ce que j'ai fait... Trop tard pour revenir en arrière*
Nous allons conduire ces jeunes filles loin d'ici. Si les BM commettent l'erreur de nous suivre, ils mourront! Ou se sera nous, je ne peux pas arrêter une armée entière...
*Les hommes parviennent rapidement à contrôler les flammes. A défaut de les éteindre, ils empêchent le feu de progresser grâce à l'eau du puits et en écartant les combustibles potentiels. De quoi être fier de leur organisation rapide et efficace. Rassuré, je me tourne vers Zyred.*
Rassemblons des hommes pour la poursuite ! Une cinquantaine de cavaliers et une centurie d'archers ! Au pas de course !
Nous devons être rapides et efficaces : il nous faut un avantage conséquent mais sans être trop lents. Nous ne savons pas si cet homme est accompagné d'une armée ou non, même si nos sentinelles n'ont rien vu venir... si nous sommes assez vifs, tout sera réglé en une volée de flèches...
Je récupère un cheval frais et l'équipe le plus rapidement possible. Une fois équipé, je me place au coté des hommes qui se réunissent pour la poursuite et je hume la trace de mon gibier.
La traque sera fructueuse. Je réparerais l’échec du tunnel quoi qu’il m’en coûte !
Depuis un moment, je me suis mise à marcher, je ne sais pas bien pourquoi. Des gens autour. Qui sont ils, je ne sais pas. Je ne parle toujours pas. Mon esprit se perd. Ou suis je ? Ou allons nous ? Combien d'hommes à l'arrivée ?
Je me tourne vers jehane
J'ai un peu de nourriture, attendz moi et je vous en donne pour vos blesses. ça vaut mieux que d'aller chasser, et je ne pense pas que nous puissions nous permettre un feu, non?
En disant les derniers mots, je me suis tourné vers Y Celebred pour ajouter cette question aux autres.
Merci, je vais préparer le repas pour nous tous. Avez-vous un réchaud ou quelque chose pour réchauffer de l'eau ? Je voudrai préparer des remèdes en infusions pour les blessés. Et comme nous ne pouvons pas faire de feu ...
Nous commençons à nous installer pour la nuit. Les blessés sont couchés sur des lits de feuille et je distribue les maigres rations. A la fin de ma tournée, je me dirige vers Yann.
Que pensez-vous de Han ? Je me demande ce qu'il fait ici. C'est un mercenaire, tous ses actes et ses paroles en sont la preuve. Il y a des causes plus lucratives que celle du Dragon.
RPoff: pour la nourriture, il s'agit de viande séchée, de pain et de fromage a pate dure (genre hollandais), donc rien a rechauffer (et quand tu m'a parlé de feu et de rechaud, j'ai du te repondre qu'il valait mieux les eviter )
Sinon, pour les quantites... il y'a de quoi nourrir tres correctement 2 personnes (c'est la moitié de mes reserves), donc pour 15, c'est plus histoire d'avoir quelque chose dans l'estomac.
J'aide, avec l'aide d'une des femmes, le blessé a descendre de mon cheval, puis l'enfourche pour revenir sur nos pas.
Je gallope au depart, puis passe au pas au bout de quelques temps, par prudence, puis a cinq minutes de la sortie du tunnel, je laisse mon cheval (non attaché, mais les renes pendantes, car il est bien dressé et je pourrais avoir besoin de l'appeler).
Je continue a avancer vers le tunnel de la façon la plus discrete et silencieuse possible, mais j'arrive a celui ci sans avoir aperçu de signe des BM.
Le tunnel est exactement dans l'etat ou nous l'avons laissé, et je ne vois aucune trace de passage de BM.
Ils doivent avoir renoncé a nous poursuivre.
Progressant trés prudemment, Je me dirige vers la demeure de Brant et donc le camp des BM.
Tout parait calme, mais prudence est mére de sureté.
Maintenant, il ne me reste plus qu'a trouver une sentinelle ou un BM isolé...
[d10]
Ayant parcouru la moitié du chemin separant le tunnel du camp, et approchant de la sortie de la forêt, je repére une tache blanche dans la verdure.
Je me camoufle de mon mieux dans mon manteau noir (le soir comence a tomber) et observe les environs...
[d10]
Apparament j'ai de la chance, le BM parait seul...
Apres ces quelques instants de reperage, je m'approche subrepticment de ma cible en la contournant, pour arriver dans son dos, et sort silencieusement une dague...
Alors que je m'approche, je constate que ce que je prends pour une sentinelle (quoique c'est etrange de laisser une sentinelle seule) est..
[d10]
... endormie?!?! non... plutot tellement plongée dans ses pensées qu'il ne me repére a aucun moment.
décidément, la journée a due être dure pour le BM ou la discipline se relache.
Je n'ai en tous cas aucun mal a arriver dans son dos, a lever la dague et a en abattre le pommeau sur sa nuque, l'assomant pour le compte.
je lui retire sa cape, trop voyante, l'attache roulee autour de sa taille, le ligote et le baillone somairement et l'enroule dans ma cape pour camoufler sa cote de maille.
[d10]
Decidement, j'ai de la chance. en faisant tout cela, je realise que je suis en presence d'un officier. (pas un grand officier, mais un officier tout de même).
J'ignore ce qu'il faisait seul dans les bois, mais il est tombé a point en ce qui me concerne.
une fois les preparatifs faits, j'entraine ma victime au fond des bois, vers mon cheval ,mais pas en droite ligne, et en m'efforçant de laisser un minimum de traces (si par exemple je croise une riviere, ma victime est assuree de prendre un bain de queqlues minutes, mais de ne pas se reveiller (je le reassome au besoin) Un officier risque d'etre recherché, je ne prends donc toutes les precautions pour ne pas etre suivi.
Une fois arrivé a portée d'oreille de mon cheval, j'appelle celui ci d'un sifflement discret.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Rpoff: j'ai vraiment envie de commencer et ici ca me parait un bon départ. Maintenant est-ce que c'est crédible que je me retrouve comme par hasard parmis les blessers de Jehan et Han.
Ayant rejoint mon cheval, je verifie l'inconscience de mon prisonnier et renforce ses liens.
Puis je l'attache derriere la selle et me dirige vers notre camp de réfuiés, mais pas directement.
Plutot en suivant une route parralélle a cinq cents métres, pas en ligen droite, et en obliquant a la fin pour rejoindre le camp.
Arrivé là, je mets pieds a terre et descends mon prisonnier...
[d10]
... toujours inconscient, mais qui commence a s'agiter dans son "sommeil".
RP off: A Penaguila: moi je ne vois aucun inconvenient a ce que tu nous rejoigne.
Aprés tout, nous sommes dans une forêt, ce qui est ton "environnement naturel Cela dit, je suis le plus récemment arrivé dans ce sujet, je ne sais donc pas si je peux prendre la decision.
Je te conseile d'adresser un MP a Klian, qui saura mieux te repondre.
A Jehane: En fait, je viens d'arriver a notre camp
Je m'occupe de mes blessés et je calme tant bien que mal les crises d'hystérie débutantes de certaines des femmes. Tout le monde se repose, fatigué autant physiquement que moralement. Les quelques bouchées qui composaient notre repas n'ont que légèrement apaisés les tiraillements de mon estomac. Celebred semble préoccupé, il pense sans doute à notre itinéraire de demain. *Je me demande où est passé Han. Il est parti depuis plusieurs heures. S'il s'est fait prendre et qu'il parle, ou s'il a été suivi, ...*
J'attache mon cheval prés d'une etendue d'herbe pour qu'il puisse se restaurer a son aise, puis, Sous le regard des blessés et des réfugiés, j'attrape mon prisonnier par le col et le traine a l'ecart du camp.
Je passe a un moment devant Jehane et lui demande si ça l'interesse de venir m'aider, avec un sourire mi engageant mi sadique.
Je reste songeuse encore un moment. Puis je vois revenir Han, trainant un prisonnier. Il se dirige un peu à l'écart du camp et, au passage, m'invite à la rejoindre. Après un instant de réflexion, je me lève et je le rejoint un peu à l'écart, après avoir récupéré mon sac de simples.
Arrivé dans une clairiere a l'ecart du camp, hors de vue et de portée d'oreille, je repere un arbre suffisament solide (on va dire 50cm de diametre).
Je verifie que le prisonnier est toujours inconscient, le detache et le deshabille completement, en pliant soigneusement chaque affaire et en les rassemblant dans le manteau blanc. Elles pourront toujours servir pour plus tard. Je mets de coté son mouchoir.
Ceci fait, Je demande a Jehane de maintenir le prisonnier debout pendant que je l'attache a l'arbre, en nouant la corde autour de ses genoux, taille et cou et en attachant ses bras en arriere, la corde passant par ses coudes (ce qui lui empeche de s'en servir, mais laissent ses mains accessibles.
Je lui enfourne ensuite son mouchoir dans la bouche et le rebaillone (ceci pour eviter qu'il se coupe la langue ou autre chose du meme genre). aprés avoir verifié ses liens et qu'il respire correctement, je m'eloigne avec Jehane de quelques pas.
"Bon, je pense que vous devinez la suite.... Ca ne va pas etre agreable, mais c'est necessaire pour avoir quelques informations et c'est le moyen le plus rapide que je connaisse, surtout avec des fanatiques de ce genre.
Si vous souhaitez retourner au camp, pas de probléme, et aucun non plus si vous souhaitez rester.
Comme j'ignore de quelle façon vous entendez vous venger des BM, je vous propose de m'assister. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi rester a l'ecart jusqu'au moment de l'achever. Voire meme, je pourrais me charger de la chose.
Une chose est cependant sure: cet homme sera mort avant demain matin quand nous partirons.
Je jette un oeil au prisonnier, et vois qu'il comence peu a peu a reprendre conscience.
Le temps d'avoir la reponse de Jehane et l'on pourra commencer.
J'observe un instant le prisonnier. Il commence à reprendre conscience. Le visage des miens passe devant mes yeux, souillé de sang, comme lorsque des hommes comme lui ont jeté leurs corps dans les flammes. Je sens monter la haine en moi.
Ils ont tués tous ceux qui comptaient pour moi. Je reste. J'ai quelques substances qui pourraient être utile d'ailleurs. Cela permettra de le laisser sans trop de marques.
RPoff: les substances sont des champignons toxiques (effet comparable au LSD : hallucination, panique, confusion mentale)
Attention: Merci aux Ames Sensibles de ne pas lire ce Post et de passer directement au suivant.
"C'est une bonne idée, mais si on utilise ces herbes seules, ça ne sera pas suffisant, et si on l'utilise en meme temps que ma méthode, cela risque d'en diminuer le pouvoir "persuasif". Je propose de les garder pour la fin, pour desorienter le BM au cas ou ma methode ne suffirait pas.
Ah, mais je vois que notre ami est réveillé! (grand sourire, et je me dirige vers lui)
Bonjour Monsieur.... Oui, comme vous pouvez voir, vous etes a present mon prisonnier... oui, je reconnais ce n'est pas tres enviable....Je tiens d'ailleurs a m'excuser sur deux points...." (tout ce monologue se fait alors que le prisonnier est encore bailloné)
"Premierement, je crains de ne pas avoir a ma disposition tout l'equipement necessaire a l'entretien qui va suivre.... pas de tenailles, pas de rats, pas de pressoirs, et meme pas de feu pour faire chauffer l'outillage... on va vraiement devoir faire avec les moyens du bord (je sors un poignard).
Ah, mais je vous rassure, je pense pouvoir, si besoin est, trouver du sel. [d10] (le prisonnier reste de marbre derriere son baillon)
"Deuxiemement, je crains d'etre decidement un hote deplorable.... Nous ne sommes pas a la bonne saison, et je ne pourrais meme pas me montrer creatif ni buccolique en vous servant vos "parties" (viriles) accompagnées d'une fricassée de champignons.
Mais c'et pas tout ça. On papote, on papote et (d'un gste vif, je lui attrape et lui tranche une oreille) on en oublie l'essentiel." [d10] le BM n'a pas bronché ni laché un cri (!)
Je le regarde en haussant un sourcil surpris, puis considére un instant son oreille, puis fais un tour d'horizon des alentours plongés dans la nuit, avant de lancer l'oreille hors de la clairiere en disant bien haut "bon apetit".
J'observe Han l'air impénétrable, à peine un tressaillement lorsqu'il tranche l'oreille. Je reste encore un instant à observer puis je m'approche :
Dites-nous ce que nous voulons et cela n'ira pas plus loin. Sinon ... je crains de ne guère pouvoir modérer les ardeurs de mon collègue. Je vais vous préparer quelque chose contre la douleur.
Je prépare une banale infusion d'écorce de saule à laquelle j'ajoute quelques morceaux de champignons séchés. Je m'approche d'Han et lui parle entre les dents, de façon à être entendue de lui seule.
Calmez-vous un moment, je lui fait boire ça et dans moins d'une heure nous saurons tout ce que nous voulons. Je veux essayer de gagner sa confiance entre temps alors évitez les excès de zèle. S'il pense que je peux vous arrêter, il sera plus disposer à coopérer.
Je m'approche du prisonnier avec la tasse. Je lui ôte son baillon et le fait boire pendant qu'Han maintient son poignard contre sa gorge.
[d10]
Dommage ma mixture n'agit que très peu. Les champignons ne devaient pas être assez fort. Il se sent un peu plus angoissé mais pas d'hallucinations ou de délire.
Attention: Merci aux Ames Sensibles de ne pas lire ce Post et de passer directement au suivant.
Je prends Jehane a part.
je ne suis pas sur qu'un anti douleur soit bien indiqué... a la rigueur, comme je disais, on peut tenter de le droguer en fin de traitement.
mais au début.... c'est quand meme d'un BM qu'il s'agit, et il vous voit comme un AdT, quel que soit le degré de gentillesse dont vous lui temoignerez. Je souris
de plus, je ne lui ai pas encore posé la moindre question.
Je reviens vers le prisonnier, retire mon manteau, fait deux trois mouvement de gymnastique, puis lui dit
Bien... on va pouvoir a present passer aux choses serieuses:
Je me moque de savoir votre nom, et je connais deja votre grade, "centurion" (je mets dans l'inflexion du mot autant de mepris que possible)
Donc: J'ai besoin de connaitre toutes les intentions "lumineuses" des gentils BM a notre egard.
Je veux savoir quels ordres vous avez reçus, quels ordres ont reçu vos collégues, ce qui s'est dit dans les reunion d'etat major, si vous y avez assisté, ce que vous pensez que vos chefs vont faire, bref Tout!
A present, plus vite vous parlerez, et plus vous parlerez, moins je m'occuperai de vous.
Je coupe un doigt de la main droite, puis un deuxieme, et les balance dans les fourres autour de la clairiere puis regarde la reacton du prisonnier.
[d10]
Celui ci a a peine reagi, comme le laissait prevoir son comportement precedent.
Je continue avec les autres doigts de la main.
[d10]
Ah, les sourcils s'inclinent et des larmes commencent a couler de ses yeux.
Je me penche et lui coupe les orteils du pieds gauche.
[d10]
Il serre les dents et ne crie toujours pas.
Décidement, il est coriace!
je lui pose une main sur l'epaule:
Impressionant! dommage que vous soyez dans le mauvais camp, vraiment dommage... je lui tapote la joue, puis lui sort l'oeil gauche de son orbite, tranche le berf, et l'oeil s'envole.
[d10]
La vaaache, il sont forts ces BM.
Je me decouvre un nouveau respect pour eux et pour leur motivation fanatique.
Je ne peux quand meme pas changer a present de methode, et le melange "desinvolture" (pour le coté psychologique, pour lui faire perdre espoir quand a la valeur qu'il a pour moi) et decoupage (pour la douleur et la perte d'espoir pour l'avenir (apres tout, une mutilation est definitive))
Je dois donc poursuivre...
Je vais quand meme laisser a Jehane une deuxieme chance, sait on jamais.
Apres tout, l'image de la mere, l'eternel feminin... ils n'ont pas de femme dans leur armée ça doit les rende sensible a ce point.
Je recule de deux pas et fais signe a Jehane (sorte de courbette genre "aprés vous".
puis sort du champ visuel du prisonnier en me mettant a coté de lui.
ps: j'ai traduit Hundredman, trouvé dans BBoBA, par Centurion.
j'espére que ça conviendra.
RP off : l'écorce de saule c'est de l'acide salicylique (proche de l'aspirine) et donc anticoagulant ce qui n'est pas génial avec une plaie. et les champi, ils sont du style qui fait planer en fait ils auraient du le faire planer.
la stratégie bon flic - mauvais flic, il connait pas ton perso ?
Je poste la suite quand j'aurai le temps
RPoff
en fait, non il n'y pense pas (sorry)
il pense etre en face d'un fanatique qui n'y repondrait probabllement pas, et veut le faire vite parler.
Il fait donc vite et fort, pour le faire craquer rapidement.
Il veut lui faire perdre tout espoir, et non lui en donner comme avec la ethode BFMF.
(cela dit, j'essaie quand meme de lui faire appliquer cette methode en te laissant ton tour )
Hors RP, j'espere que je ne te choque pas trop.
Disons que mon perso fait ce qui, a ses yeux a lui, doit etre fait, meme si ce n'est pas propre.
(tiens, aurait il un coté Galad??? )
ps: mince, un anticoagulant, ça m'arrange pas, il risque de se vider de son sang (pas encore, avec ces "petites" blesures, mais a surveiller) et on ne peut pas faire de feu pour cauteriser.
pps: je suis quand meme bien content des resultats des dés:
meme si malheureusement, ça ajoute au coté gore, ça montre bien le devouement/fanatisme des BM pour leur cause.
Les PJ BM doivent etre fier de cet aspect.
Ayant passé un moment à réconforter avec Jehane quelques uns des blessés, je m'éloigne quelques temps pour réfléchir.
La meilleure chose à faire est de rejoindre Aedmun. J'ai échoué à garder le camp de base, mais nous avons des informations sur ces Blancs Manteaux, nous savons combien ils sont, et cela pourrait être précieux. La meilleure solution ne serait-elle pas d'envoyer un messager en avant? Le seul qui ait un cheval est Han. Je ne l'obligerais pas à partir, d'autant que cela nous délestera d'un précieux compagnon d'armes, mais de toute manière, avec ou sans lui, si des Enfants surviennent...
après quelques minutes, je retourne au campement de fortune et m'aperçois que ni lui ni Jehane ne sont présents.
Je demande alors une direction, qu'on m'indique vaguement.
Que font-ils ces deux là?
Arrivé sur les lieux, je suis devant un triste tableau. Un BM déja bien amoché est en train de se faire interroger de manière musclée...Deux armes: Han et son épée, Jehane et ses boissons...
"Vous pouvez m'expliquer? Valons nous mieux que ces gens là si nous agissons ainsi? Qu'y gagnerait-on vraiment? Quelle information voulez vous? Ils nous attaquent car à leur yeux nous sommes des amis du ténébreux, non? Ils veulent arrêter le seigneur Aedmun...Vous pensez qu'il y a autre chose?
En tout cas, mutiler quelqu'un ainsi n'est pas mieux que d'être l'un deux!"
J'ai le regard aussi froid qu'interrogateur.
RP OFF: Concernant Penaguila: j'aurais aimé avant que tu ne t'intègres ainsi que tu m'ais envoyé un background et que tu ais répondu à mes questions! Avant que tu ne joues, on va faire les choses dans l'ordre. Nous sommes déja de nombreux frères loups, et je souhaite avoir une idée de ce que tu proposes et qu'on en discute avant que tu ne joues.
Je fais Signe a Celebred et a Jehane de venir hors de portee d'oreille et hors du champ de vision du prisonnier.
J'essuie ma dague et la remet au fourreau, puis m'adresse a Celebred.
Effectivement, vous connaissez les motivations generales de ces gens, mais il vaut mieux toujours en savoir le maximum sur leurs actions immediates et dans un proche futur.
Par exmple: Comptent ils nous poursuivre? Avec quelle intensité? Quels sont leurs moyens? ou se contentent ils de nous avoir délogé du camp et du chateau?
Si on apprenait que nous sommes considéré comme du trop menu fretin, cela permettrai d'adopter un rythme de voyage plus adapté a l'état des blessés.
Si par contre ils tiennent a avoir chacune de nos tetes sur un piquet, meiux vaut il dans ce cas se separer en plusieurs petits groupes pouvant plus aisemment se fondre dans le paysage et les villages alentours...
Je reconnais que la methode n'est pas des plus propres, surtout aujourd'hui ou je dois faire vite et avec les moyens du bord, mais c'est a mon sens un mal necessaire.
Pour ma part, je ne connais guere d'autre methode d'obtenir des informations d'un ennemi que de les lui extirper par la peur, la douleur, le desespoir et les drogues.
Je peux vous dire que sur des trollocs, et meme certains myrddraals, c'est tout ce qui fonctionne. C'est d'ailleurs sur eux que j'ai du faire mon apprentissage.
Quand a Jehane inutile de la blamer: c'est moi qui lui ai demandé de m'accompagner.
[petit rire sarcastique et d'autoderision): voyez quand meme le bon coté: c'est moi qui fait le sale boulot pendant que vous pouvez garder vos mains propres.
Mais si ça vous arrange, je peux vous dire que la methode la plus brutale ne fonctionnant apparament pas, je compte en changer.
en pensée: allez, je ne vois guere d'enfant de choeur parrmi nous, alors laisse moi t'aider "malgré toi".
Aprés tout, si tu avais grandi dans les marches, peut etre t'embarasserai peut etre moins de principes.... ( )
Si leur Dragon est du meme acabit, peut etre est ce effectivement une bonne idée de lui proposer de faire le sale boulot a sa place.... que ce soit de l'assassinat ou autre.
Je pourrais pourrais peut etre devenir la main gauche que la main droite peut ignorer...
RPoff: si c'est la methode qui gene, je comptais de toute façon en changer (voir rencontre parisienne d'hier)
RPoff, totalement Off: je viens de lire un post de citations de Nayla d'il y'a 4 jours.... parmi celles ci: "Ce que je fais est UTILE, sinon j'irais chercher les champignons"
Lol (cf mon post ou je commence a causer au BM, ou je parle justement de champignons.
ReLol
Je suis ici de ma propre volonté. Je n'approuve pas les "méthodes" de Han mais je sais que les Blancs Manteaux ne nous laisseront pas partir tranquillement. Pour eux, nous servons le Père des Mensonges, ils nous traqueront et nous tuerons tous. Nous devons rejoindre Lugard avant eux. Une fois que nous aurons rejoint le gros des troupes, nous serons à l'abri. Même eux ne sont pas assez fous pour attaquer une armée.
Nous sommes en guerre. Et il n'y a pas d'honneur dans la guerre. Il n'y a que des vivants et des morts. Des vainqueurs et des vaincus.
RPoff : désolée pour le retard mais entre le boulot, le rhume et la famille
"Humpf, vous voulez dire que vous avez torturé des Mydraals Han? Cessez donc de vous foutre de moi, et justifiez vos actes autrement. En tout cas, les questions sont bonnes...mais comme Jehane je n'approuve pas les méthodes...Et je n'ai pas un vision comme la votre de la guerre. Il y a des actions que je ne peux employer ni pardonner. Posez lui donc vos questions, mais cessez de le mutiler. Quand vous en aurez fini, je veux un rapport. Lui, on le constituera prisonnier. Ah et...dépêchez vous, car on ne va pas tarder à repartir."
Me foutre de lui????? Il a jamais du aller pres du Blight.
Encore heureux qu'il ne prenne pas les Trollocs aussi pour des legendes.
Quoique, qui sait...
Et faire de ce BM un prisonnier, ça sous entends le laisser en vie, et ça ne fait du tout mon affaire. J'ai horreur de laisser un ennemi vivant derriere moi, et celui ci doit etre surmotivé. Pas question de lui laisser une occasion de me mettre une dague entre les cotes.
Aprés tout, c'est MON prisonnier. Si Celebred en veut un, qu'il aille se le chercher... ou me payer pour aller lui en chercher un.
Bon, j'y reflechirais plus tard. De toute façon, vu l'etat dans lequel il est et la quantité anormale de sang qu'il perd...
Je me redirige devant le prisonnier:
Et voila, maintenant, le Chef n'est pas content devant votre manque de cooperation. Comme je me fais enguirlander par votre faute, je vais devoir devenir méchant... Alors, allez vous parler oui ou non?
[d10]
Ah, apparament la pause que lui a accordé Celebred a du etre propice a la reflexion, je vois a son regard qu'il est bien plus disposé a se confier... et les bruits ettouffés qui sortent de son baillon ne pretent guére a confusion.
Je verifie rapidement ses signes vitaux et en profite pour enlever son baillon.
[d10]
Il est plutot trés mal en point. Il va falloir ne pas trop trainer.
Je me tourne vers Jehane, puis dit au prisonnier: Bien, nous vous ecoutons. Et sachez que j'ai horreur des mensonges...
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Je fus réveillé par des aboiements secs, une femme était en train de braillé des ordres à je ne sais qui. Crie-t-elle? Ma tête est douloureuse, où est la meute, j’appel la meute, le son est diffus, je me sens repartir, où suis-je?
Je me retournai sur ma couche. Quelque chose d'indéfini me titillait, sans que j'arrive à savoir ce que c'était, au juste. Pourtant, cette forêt était calme, et j'aurais dû la trouver reposante.
Calme. Calme comme l'eau qui dort. Calme comme la mort...
Les oiseaux. L'image jaillit d'un coup dans mon esprit. Je ne les entendais plus, ou à peine, et ça s'était pas normal. "Il a dû se passer quelque chose dans les environs...". En un instant, je remballai mes paquets et me trouvai prette pour explorer les environs.
C'est alors que je le vis, à une cinquantaine de pas de moi. Pour avoir vécu plusieurs fois avec des frères loups, je savais que ces animaux n'attaquaient pas facilement les humains. Peut être à cause de mes relations particulières que j'avais pu entreprendre avec un de leurs frères humains, je n'ai jamais eu de problème avec eux. Ce n'était donc pas de la peur que je ressentis, mais un étonnement certain. Un loup se tenait droit, hiératique, et semblait regarder dans ma direction comme s'il me juger. Cela ne dura qu'un instant avant qu'il ne se tourne et détale vers le nord, disparaissant derrière les arbres.
"Même les loups sont bizarres, ici." Mon sentiment de malaise s'accrue. Ne sachant pas où commencer à chercher pour comprendre les secrets de cette forêt, je décidai de suivre la direction prise par le loup.
La forêt est capable de nous envoyer des signes. Dans ce cas, il faut les suivre.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Je me réveille de nouveaux cette fois mon esprit est un peu plus clair.
"Mais où suis-je donc?"
"Nuit, où es-tu? Je ne te perçois que très faiblement."
"..."
"NUIT..."
"oui, mon frère, ne cris pas, une sœur arrive, ai confiance mais ne reprend pas contact avec moi pour le moment."
"Une sœur, qui est-ce?"
Je lance mon esprit a la recherche de mes frères.
"Llewella, elle, que fait-elle ici?"
Je cours quelques temps avant de me ressaisir. Le changement de la végétation m'indique que je vais probablement tomber sur une clairière. J'entends alors des voix indistinctes, mais aussi des petits cris et des râles de souffrance. S'il y a des blessés, il doit aussi y avoir leurs ennemis dans les parages. J'avance plus lentement, l'oeil au aguets et les sens en alerte. J'aperçois alors les premiers blessés. Je tente une approche discrète pour comprendre qui ils sont et qu'est ce qui s'est passé.
[d10]
Pas brillant. Un homme regarde dans ma direction, l'oeil hagard. Je ne sais pas s'il me voit et je n'ai pas envie qu'il donne l'alerte.
"Mais où est ce que je me trouve? Ils ont l'air d'avoir participé à un carnage"
Voilà pourquoi les oiseaux ont perdu l'envie de chanter. Je déambule parmi les blessés, tout en me demandant comment les aider. C'est alors que je le vois, et le reconnais aussitot. Si je m'attendais à ça, le beau et fier Frère loup Penaguila!Qui d'ailleurs a vraiment l'air moins fringant que d'habitude. Je tenterais bien un commentaire sarcastique mais il a l'air très mal en point. Aussi je ravale mon sourire et lui fait signe
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
"Llewella, c'est toi?"
"Oui, c'est toi, je reconnaîtrais ton odeur entre mille, toujours aussi jolie. Alors comme ça aujourd’hui tu t'inquiète de mon sort? Aurais-je pris de l'importance a tes yeux?"
Mais le regard que je lui lançais ne trompais pas je lui étais réellement reconnaissant d'être venu. « Sais tu où nous sommes ? et ai-je l’air si mal au point que je doive supporter ton regard plein de pitié ? »
« C’est incroyable, je pensais t’avoir idéaliser dans mon souvenir, mais en réalité tu es encore plus belle que l’image que j’avais gardé de toi. »
C’est plus fort que moi quand donc m’arrêterais-je.
Pas croyable, même pissant le sang, il est toujours aussi...
"Je pensais que c'était toi qui me dirais ou vous vous trouviez. Je suis arrivée si vite que je n'ai pas trop pris la peine de savoir où j'étais...*Eh, quoi, ne fais pas ta nouille, ne lui dis pas à quel point tu t'es dépechée* Je crois qu'on est près des terres d'un seigneur... Brent, c'est ça. Pour le reste c'est à toi de me dire ce qui se passe. Tout dans cette forêt à l'air bizarre."
Je m'accroupis vers lui, prête à examiner ses blessures et à bien en profiter.
Je vais commencer par des questions simples :
Combien êtes-vous ? Et qui commande ? Comment sont répartis vos forces ? Sont-elles bien expérimentées ?
[d10]
L'homme me répond, bafouillant tellement il veut aller vite. La peur fait son effet. Le nombre d'hommes, leur entrainement, ce qu'il sait de leurs projets, même le nom des sous-officiers, il dit tout. Un nom qu'il prononce explose dans mes oreilles.
C'est bien Alazur que vous venez de dire. Ehoral Alazur ?
L'homme bafouille une réponse, effrayé par ce qu'il lit dans mon regard.
(Pour moi-même) Je l'ai retrouvé, enfin.
(à Han) Je vais transmettre ce qu'il nous a dit à l'officier. Occupez-vous de le ramener au camp.
Je regarde Jehane s'en aller, souris brievement, puis me mets devant le prisonnier, et lui pose quelques questions qui n'interesseront que moi...
[d10]
Le prisonnier a l'air surpris des questions, mais y reponds... Du moins aux questions dont il connait les réponses.
Une fois cela fini, j'entreprends de le detacher.
Son état de santé semble pour mes intéréts plutot satisfaisant.
Au pire, je devrais légérement l'aider a rendre l'ame d'ici a notre arrivée au camp.
Je laisse quelques instants le prisonnier allongé au sol, dans mon champ visuel pendant que je réfléchis...
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Llewella, (soupir) je me contrains à extraire mon regard de son visage et me tint plus droit afin d’observer les alentours, j’ouvris mes sens.
Le tri se faisait maintenant automatiquement entre les conversations qui m’intéressait et celle dont je n’avais pas à me soucier.
« Un homme assez âgé certainement un militaire de carrière, une espèce de montagne que je percevais mais ne vis pas, et … une femme plutôt assez jolie bien que n’ayant pas l’aire engageante, voilà certainement à qui nous aurons à nous confronter. » Llewella met beaucoup de temps pour regarder ma blessure je ne suis pourtant pas dans un état si critique que ça.
Je ne pensais pas avoir été important à ses yeux, je n’ai même jamais rien fais pour, pourtant elle, elle le mériterait… Un jour peut-être…
"ça va aller. Je vois que tu as été en partie soignée. Mais qu'est ce que tu étais sensée faire ici? Qui sont tous ces blessés? J'aimerais quand même savoir pourquoi je suis venue."
Je regarde les alentours, pour voir à qui je pourrais avoir à faire. Des blessés... "Qui vous a soigné? OU sont les gens valides ici"
Ah, Penaguila, dans quoi vais-je encore être entraînée...
Je rapporte à Yann ce que m'a dit le prisonnier. Un homme a libéré les prisonnières que les Blancs Manteaux gardaient dans leur camp. Les Blancs Manteaux ont envoyé un détachement à sa poursuite. Cinquante cavaliers et le double d'archers. Cet homme peut canaliser apparement. Ils semblent que nous soyons passé au second plan.
Mais deux choses sont mauvaises pour nous, un de leurs hommes est un "flaireur" d'après lui, il sent ceux qui ont usé de violence même s'ils ne laissent aucune autre trace. Il n'aura sans doute aucun mal à retrouver notre piste
*Je reprends ma respiration* L'autre point est le commandant en second de leurs forces, il s'appelle Ehoral Alazur. Je le connais, il est dangereux, il tire son plaisir et ne tolère pas qu'on s'oppose à lui. Il faudra être très prudent.
Je remarque alors qu'une inconnue s'occupe d'un de mes patients et je plante l'officier là sans plus de cérémonie. Je m'approche du duo en sortant mon poignard
Je me redresse d'un bond, les mains vides écartées en signe de paix. Une jeune femme a surgi de nulle part, et, malheureusement pour moi, elle me menace d'un couteau.
"Je suis*La peste t'emporte, Penaguila* une vieille connaissance. Je faisais halte non loin et quelque chose m'a genée, j'aiv oulu en savoir plus. J'ai simplement entendu son appel (*si on peut dire que voir un loup ressemble à un appel, plutot un signe. Mais si Penaguila se bât à ses cotés, elle doit savoir quelque chose sur ses capacité*) Rangez votre couteau, ce n'est pas la peine. Regardez ses yeux si vous voulez vous en convaincre"
J'ouvre les mains en signe de paix, rassurée tout de même de la présence de mon arme à portée de main.
Je baisse mon couteau en voyant que l'homme, Penaguila je crois, a l'air de la connaitre. Mais je reste quand même sur la défensive.
Vous êtes une amie d'accord mais d'où sortez-vous ? *Ces yeux, quelle étrange couleur, doré comme ceux d'un loup, mais qui sont-ils ?*Vous n'étiez pas avec nous à la sortie du château. Et de quel appel parlez-vous ? Nous n'avons envoyé ni pigeon, ni messager.
La femme a baissé son couteau mais je reste inquète. Bon, elle n'a pas l'air d'un Blanc Manteau. Et Penaguila a du se battre dans son camp. Voila qu'elle parle d'un chateau maintenant. Moi qui pensais enfin vivre une periode plus calme.
Un pigeon?* Je souris en repensant à un vieux souvenir, un loup dévorant un de ces volatiles tout cru* Non, c'est plus compliqué. Je vis la plupart du temps dans la forêt, et je suis très receptive à ses moindres changements. Une forêt sans chants d'oiseaux ne vous trouble peut être pas, mais moi si. J'ai vu un loup. C'est bête mais il m'a conduit ici. Je pense maintenant qu'il a voulu m'avertir qu'il était blessé. Ou plutot, j'ai été attentive à signes de la vie sauvage. Ecoutez, je sais que c'est difficile à croire, mais je n'en sais pas plus. Je ne sais pas qui vous êtes ni contre qui vous vous êtes battu. Mais si Penaguila s'est battu à vos coté... Bon, je suis la maintenant. Je suis prète à aider comme je le peux si vous me donnez quelques explications.
Au bout d'un moment, la mine sombre, j'attache les poignets et chevilles du prisonnier et entreprends de le trainer hors de la clairiere...
Il laisse derriere lui une trainée de sang.
[d10]
Alors que nous sortons de la clairiere, il pousse un râle plus sonore, mais qui s'acheve soudaienement.
Je m'arrete, attends 2 3 secondes plein d'anticipation, puis lachant le prisonnier, je me penche sur lui...
Il a finalement succombé a la perte de sang, on dirait. il est en tout cas bel et bien mort.
Voila qui m'evitera de faire un arret en cours de route pour régler le probléme, et je n'ai nullement a me soucier ds traces laissées sur le corps, puisqu'il est mort tout seul.
Bien, reste a decider si je l'enterre ou laisse son corps en pature aux betes sauvages.
D'un coté, il a bien resisté et mérite quelque peu mon estime.
De l'autre, c'est un ennemi, et j'ai déhà passé du temps a servir l'aperetif aux carnivores du coin...
j'hesite, j'hesite...
Je decide de le trainer vers un creux de terrain ou les roches abondent, et d'empiler sur son corps un petit tumulus de pierres.
Si les charognards ont assez forts pour l'en sortir, il n'aurait pas servi a grand chose de plus de l'enterrer. Et je n'ai de toute façon ni le temps ni les outils pour le faire.
Aprés avoir fini mon ouvrage, je reviens a la clairiere, ramasse le baluchon qui contient les vetements du BM et son equipement, le mets sur mon épaule et me mets en route pour rejoindre le camp.
Les betes sauvages se chargeront d'effacer le traces de sang que je laisse sur les lieux.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« Enchanté, moi c’est Penaguila, l’on s’est déjà plus ou moins croisés mais mon état ne ma pas permis de profiter pleinement de ses moments en votre compagnie, retard que je compte, bien évidemment, rattraper » dis-je avec le plus beau de mes sourires.
Avec ça, si elle continue a faire cette tête... On dirait que Llewella lui a volé son enfant. Remarque, elle est plutôt charmante avec son petit air courroucé et Llewella qui tente de la radoucir en lui expliquant des choses qu’elle ne seras jamais en mesure de comprendre. Tout cela avec un regard assez éloquent (t’approches, je te bouffes). Je lui transmis mon amusement par sentiment, a elle de deviner d’où il provient.
« Pourrions-nous s’il vous plait, Llewella et moi-même avoir quelques précisions quand à quel est la destination de se groupe et quel est exactement le but de se voyage qui ressemble fort a une fuite ? »
Il faudra que je pense à demander à Llewella si elle s’est fait accompagné de nos alliés, je n’en sens pour ma part aucun.
Je ne sais pas qui vous êtes ni contre qui vous vous êtes battu. Mais si Penaguila s'est battu à vos coté... Bon, je suis la maintenant. Je suis prète à aider comme je le peux si vous me donnez quelques explications.
*Mais d'où elle sort ? C'est quoi cette fille ?* Je prends une grande inspiration
Nous combattons pour le Dragon. Des Blancs Manteaux ont attaqués notre camp. Nous nous sommes réfugiés dans le manoir du seigneur Brent, un des notres. Nous étions quelques centaines mais les Blancs Manteaux ont pris le chateau. Ceux que vous voyez ici sont les seuls survivants. Nous essayons de rejoindre le gros de l'armée, à Lugard.
Regardant Penaguila Quand au jeune homme ici présent, il a besoin de repos sinon ses blessures ne cicatriseront pas correctement.
Je m'adresse à nouveau à Llewella Maintenant expliquez-moi
Des Blancs Manteaux? Dans le coin? Rhh Penaguila... Je lui lance un regard courroucé. C'est bien parce qu'il n'a pas l'air en forme que je ne le plante pas la, à proximité des Blancs Manteaux. M'adressant à Jehane
"Oui, des loups, pour faire simple, il peut communiquer avec les loups. C'est pour ça que ses yeux vous semblent bizarres. Si ça peux vous rassurer, les Blancs Manteaux n'aimes pas ses semblables à cause de cela, ils les prennent pour des amis du ténébreux rien qu'à la couleur de leur yeux. Quant à moi, je vis souvent dans la forêt, comme j'ai dit, c'est pour ça que je rencontre des amis comme lui quelquefois. Je ne vous demande pas une confiance aveugle. Mais s'il y a des Blancs Manteaux dans le coin, comme vous le dites, je me sens obligée de vous aider. Tous ces blessés... Ils ne doivent pas tomber entre leurs mains. Et je ne peux pas l'abandonner, lui* Mais il me paira cet aveux-là* Je peux vous aider, si vous ne me rejetez pas rien qu'à cause de ma soudaine arrivée. Je sens que je ne suis pas là par hasard. Je peux même m'averrer tres utile."
Les Blancs Manteaux considèrent que tout ceux qui ne les aiment pas sont des Amis du Ténébreux. Vous connaissez les plantes ? Alors vous pourrez m'aider. Mais allez d'abord voir Yan Celebred, l'officier avec qui je parlais tout à l'heure et expliquez lui cette histoire de loup.
Sur ces quelques phrases, je me dirige vers un des blessés et je commence à vérifier ses pansements
Edit RP Off : ne te vexe pas, c'est le caractère de mon perso
Arrivé au camp, je vais a mon cheval, y range les affaires du BM, considére un moment la cote de maille... non, la mienne est mieux, et elle brille moins Je la range avec le reste., puis m'assois au pieds de l'arbre ou est attaché le cheval, glisse une dague déguainée derriere moi, et...
[d10]
..m'endors relativement vite.
[d10]
Ah: j'ai le sommeil par contre trés agité...
Je dois faire de droles de réves
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Je regarde Llewella et lui fais signe que je ni peut rien.« Pas commode, hein ! »
Je lui sourie d’un de mes rares sourires sincères. Heureusement qu’elle est là parce qu’avec l’autre g**** là, j’aurai été dans la panade. « Certains de nos frères sont-ils dans le coin ? Tu n’aurais pas dut lui parler de nous et de nos capacités, les gens n’aiment pas ce qui est différent et elle m’a l’air du genre à éliminer ce qu’elle n’aime pas. »
Mon flaire m’indiqua un cadavre perdant beaucoup de sang partiellement recouvert par des pierres mouillées. J’irais jeter un coup d’œil tout à l’heure.
"Avec tous les blancs manteaux qui ont l'air de pulluler dans le coin, j'espere qu'ils sont loin. Ton ami Nuit est à portée d'appel, je crois que c'est lui qui m'a, hem, en quelque sorte indiqué la direction pour venir. Pourvu qu'il ait assez de jugeote pour ne pas trop se rapprocher"
Je regarde autour de moi, essayant d'évaluer la situation. La fille vérifie la pansement d'un autre blessé. Elle a l'air dure, mais juste. Je jette un dernier coup d'oeil aux pansements de Penaguila. Elle a fait du bon travail. Elle m'a plantée sechement mais au moins je peux reporter mon brin de frustration sur Penaguila. Tous cette souffrnace me gêne mais j'essaye de ne rien laisser paraitre.
"Ne rien lui dire. Mais tu as combattus à ses cotés ou pas? Elle a parlé d'un officier. Tu vois qui c'est?"
RP off:
Jehane, t'inquète pas, j'avais bien compris
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« De vue, mais lui non plus n’a pas l’air commode donc je ne suis, personnellement, pas pressé d’aller le voir. »
Je pris le temps de réfléchir à qui elle était et quelle importance elle avait pour moi. Il y a à peine six mois je n’aurais pas hésité, se n’est qu’une femme parmis les centaines que le ténébreux voudra bien me faire rencontrer. Mais en six mois j’ai vécu tellement de choses… « Llewella a-tu réellement envie que l’on reste avec ces gens, si les blancs manteaux les poursuivent, ils n’ont aucune chance alors que nous deux nous pouvons encore partir. Je suis reconnaissant à Jehane de m’avoir soigné mais je refuse de me laisser mourir. J’irais demain leurs proposer une solution, si tu me donnes ton accord. Nous deux pourrions appeler de nombreux frères, certainement assez pour semer la panique chez un régiment de blancs manteaux. C’est pourquoi l’on pourrait rester en retrait avec nos frères et fournir plus de temps a se groupe s’il est poursuivi. Ainsi j’estimerais avoir payé ma dette et nous serons libres alors de les rejoindre ou de poursuivre un autre chemin ensemble. »
J’attends beaucoup de ta réponse Llewella.
RP OFF: je réitère. Ca n'est pas une bonne chose que vous ayez joué des frères et soeurs loup avant que cela soit accepté par le responsable de communauté et par le Conseil. Ca n'est pas trés correct pour les autres joueurs qui se sont pliés aux règles. Et il va d'ailleurs falloir changer certaines choses dans vos post (cf tes MP Lewella).
Je précise puisqu'il semble que ça n'était pas clair: je n'ai rien dit quand au fait que vous jouyez: c'est super! C'est le fait de jouer des frères loups sans avoir eu l'aval du responsable de communauté, alors que les choses se passent ainsi normalement.
Je pousse un soupir. Penaguila proposant de telles choses, est-ce sa blessure qui le rend si sentimental? "N'oublie pas que c'est un Frère Loup, et que les Frères loups finissent souvent par chercher à être seul". La petite voix continue rapidement dans ma tête. "Tu ne fais pas partie des leurs, pas plus que tu ne fais partie des tuatha'an ou des villageois que tu as rencontré. Qui voudrait rester longtemps avec une Perdue? Les loups te tolèrent gentiment quand tu es avec lui. Mais tu n'es pas eux. Tu n'es rien. Tu n'as que ta bonne volonté et tes actions à offrir". Hum, se peut-il que ce fringuant et frivole jeune homme ai trouvé un peu de constance?
"méfie toi c'est Penaguila quand même...", ricane la voix avant que je ne la chasse de ma tête.
"Penaguila, je veux volontiers passer du temps avec toi. Le plus de temps possible si tu le désires. Mais pour l'instant, tu es blessé, et peut être pas tout à fait toi-même. Il y a des Blancs Manteaux dans le coin. Et leurs combats ont sali cette forêt. Maintenant que je suis là, je veux les aider. Je veux aider tes nouveaux compagnons. Ne vois pas trop loin. On peut mourir ici à ce que j'ai compris. Ensuite, on reparlera de tout ça"
Pour couper toutes tentatives de réponse, je l'embrasse sur la bouche. Puis me levant d'un bond, je tourne les talons.
"Repose-toi. Tu verras bien. Je vais trouver cet officier."
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« … pas elle, je sais que je ne pourrai jamais m’arrêter, c’est une sœur, je ne dois plus jouer, ou du moins pas avec elle. Elle me connaît pourtant elle sait qu’elle ne doit pas… oh et pis après tout on verra bien, je suis en train de changer…enfin je crois. »
Je ne retint néanmoins pas le grand sourire qui était suspendu à mes lèvres depuis maintenant quelques minutes.
« En tous les cas elle a l’air décidée à aider ce qu’elle appelle mes compagnons, bien que je ne les connaisse pas plus qu’elle… Bon si on allait voir ce fameux corps »
Je guettais discrètement si Jehane était occupé, « Il y a fort à parier que si elle me voit marcher elle m’assommera pour m’obliger a me reposer. »
J’avais néanmoins besoin de m’isoler un peu, je pris la direction du corps.
[d10]
Juste, elle tourne la tête vers moi à l’instant ou je disparais derrière un arbre. Je ne crois pas qu’elle m’ai vu.
Bon, je ne pensais pas trouver si vite autant de compagnons et d'action mais pourquoi pas. Et ça me fait plaisir de le revoir... Je jete mes affaires dans un coin, farfouille un moment dans une de mes sacoches, avant de retirer un paquet d'herbes médicinales, résultat de la cueillette des derniers jours dans cette même forêt. Et voilà pour la guerisseuse au couteau. Je les lui donnerai plus tard. Bon, il me faut trouver un officier encore debout. A quoi ça ressemble, un officier, dans ces contrées? Je me mets en quete d'un homme encore debout qui me semblerait capable de mener des hommes.
Juste, elle tourne la tête vers moi à l’instant ou je disparais derrière un arbre. Je ne crois pas qu’elle m’ai vu.
[d10](si je fais mieux que toi, je te repères)
J'ai fini de voir mes patients et je me redresse. J'inspecte le camp du regard et je pense voir un mouvement. J'observe à nouveau mais plus rien.
Je me dirige vers un arbre et m'assied, le dos contre le tronc. Je sombre bientôt dans un sommeil agité
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« Drôle de sépulture ! » Je m’approche du corps c’est le cadavre d’un homme… torturé à mort.
« Qui a pu faire une chose pareil ? » J’inspecte sommairement le corps.
[d10]
Mais ne trouve rien d'intéressant il s'est certainement fais dépouiller avant d'être abandonné ici.
Je repère une autre odeur, inconnu, celle d'un homme se dirigeant vers le camp.
"Alors le meurtrier fait partie de notre groupe." J’entrepris de suivre discrètement l’odeur.
Ils ont tous l'air de souffrir ou de dormir. Mais où est passé cet homme. La nuit, il faut croire que tous les guerriers sont gris. Autant passer du bon temps avec Penaguila et attendre de se faire reperer, c'est bien plus facile. J'essaye de trouver l'arbre de Penaguila mais je n'y arrive pas. Oh le fourbe... Il ne tient jamais en place celui là!
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« Voilà donc notre tueur. » Je me trouvais face à un colosse de près d’1m90, sa taille précise était dure à évaluer, en raison de sa posture couchée.
Il était néanmoins réellement très impressionnant, j’avais initialement prévu de réveiller le meurtrier et de l’interroger sur les raisons de son forfait mais à la réflexion je vais attendre son réveil.
-gragouilllllllllll
«Oula ! Je commence à avoir faim, si j’allai proposer une petite partie de chasse à Llewella. Ca nous rappellera le bon vieux temps. » Sur ce je partis à sa recherche.
La guerisseuse dort. Il y a pas mal de blessés. J'espere que leurs poursuivants ne sont pas dans le coin car aucun n'a l'air dru. Je retrouve le coin ou j'ai posé mes affaires, laisse le paquet d'herbes en évidence et prends un couteau à la place. Plus sûr avec tous ces guerriers, quand la nuit tombe. Sur-ce, je mets en quète de Penaguila.
[d10]
Les environs sont calmes, rien ne bouge. Je reviens sur mes pas
[d10]
Bon, s'il tient à me voir, qu'il vienne de lui même.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« Ah! Llewella… Je crois que je reconnaîtrai son odeur a 50 lieues…Tellement sauvage et en même temps tellement apaisante » Sur cette pensé totalement contradictoire je la rejoignis.
Je l’aperçu de loin et vit qu’elle ne m’avait pas repéré, j’arrivais avec le vent de face.
« Je vais essayer de la surprendre. » [d10]
Je lui souffle dans l'oreille et au moment où elle se retourne je lui rend son baisé.
Surprise mais ravie, je le laisse faire tout en essayant de ranger discrètement le couteau que j'avais sorti. Il fait nuit et je crois que j'ai longtemps manqué de compagnie. Ce camps qui dort n'a pas encore besoin de l'un de nous.
Laissant entrevoir un petit sourire, je lui prends les deux mains et l'entraine derriere les arbres. Je voux oublier un temps tous ces gens que je ne connais pas.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Quelle nuit ! Alors que je cherchais ma chemise, je ne pus m’empêcher de repenser à cette première fois où je l’on s’est vu. J’ai tout de suite sus qu’elle était une sœur et qu’elle était dangereuse…
Plus que je ne l’avais cru finalement… mais où est cet *** de chemise ? Le soleil se lève, le camp ne devrait pas tarder à se réveiller. Je m’étirais doucement, en essayant de me remémorer où j’avais laissé ma chemise.
Ah, la voilà mais le plus dur va être de la récupérer sans réveiller Llewella. [d10]
Ce a quoi je parvins à peine, elle me sourit mais je ne crois pas qu’elle était pleinement consciente.
Je finis de me rhabillé, jetais un œil à ma blessure et pris la direction du camp.
Les premières lueurs de l'aube me surprennent, seule, blottie contre un arbre. Mes affaires ont disparu. Non, c'est pas ça. Je mets quelques instant pour reprendre mes esprits. En effet, j'entend des bruits humains à proximité. La journée a été riche en surprise, Penaguila, les combattants, les blessés en mauvais état, Penaguila. Hum, une bonne nuit...
Tien, il n'est plus là, parti aussi discrètement qu'il m'a surprise.
Je réajuste ma robe en essayant de me rendre présentable comme les filles des villages. Ne pouvant garantir de l'effet, je me dirige tout de même vers mes affaires, prète, si nécessaire, à veiller des blessés.
La guerrisseuse est d'attaque, je lui apporte mon sac et lui offre mon aide
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
-Bonjour, Jehane, plutôt matinal a ce que je vois.
Lui dis-je alors qu’elle regardait ma blessure.
[d10]
Malheureusement elle c’était rouverte pendant la nuit. Jehane me sermonna pendant une bonne demi-heure sur la nécessité de me reposer si je voulais récupérer.
« Adorable cette femme elle n’est pourtant pas beaucoup plus vielle que moi et elle me parle comme si j’étais son fils. » J’ai été habitué à l’inverse à la cour pensais-je en souriant « je me faisais draguer par des femmes deux fois plus vielle que moi… Cette époque me manque la retrouverais-je un jour. » Je questionnais Jehane sur le programme de la journée.
Mais qu'est-ce qu'il a fait pour rouvrir sa blessure comme ça ? Lui et cette fille ont du ... Elle est inconsciente, faire s'agiter un blessé comme ça Reprendre la route je suppose. Nous devons atteindre Lugard rapidement et retrouver l'armée.
Mais nous serons sans doute pas très rapides. Avec nos blessés et les Blancs Manteaux qui nous poursuivent ...
Je termine les pansements de mon patient et je le laisse se reposer.
Reposez-vous tant que vous le pouvez et j'ajoute avec un sourire narquois, regardant Llewella et essayez de ne pas rouvrir votre blessure
Certains regards me donne des envies de meurtre. Je l'ai déja vu plus amoché, et il était d'attaque cette nuit. Non mais de quoi elle se mèle, s'il a un problème je peux très bien m'en occuper toute seule. Elle en a d'autre des blessés à soigner, que je sache.
Je me retiens de lui envoyer mon sac d'herbes à la figure, un reste de mon éduction non-violente. Je me contente de le lui tendre, ayant gardé quelques herbes pour soigner moi-même. Tandis que je les foudroie tous deux du regard, je pars vers un autre groupe de blessés pour les examiner
[d10]
La nuit en forêt leur a été dure mais je peux faire quelques petits trucs pour arreter l'avancée de l'infection. Je m'y attaque sans attendre. Que "le grand blessé" se repose!
Au matin, quand la lueur de l'aube éclaire progressivement la forêt, mon cheval me pousse du museau pour me reveiller.
Toujours assis, je m'étire, puis me léve, puis me reétire.
[d10]
Finalement, malgré certains réves, ça a été une plutot bonne nuit, et je sui bien reposé.
Je fais un tour d'horizon du camp: je vois a travers une brume... [d10]
Trés épaisse, donc plutot difficilement, quelques silhouettes s'affairer parmi les blesses.
Je commence par verifier mon materiel, mes armes, puis, adoptant la position du lotus au pied de l'arbre sous lequel j'ai passé la nuit,, je médite quelques instants sur ce qu'a pu m'apprendre le BM hier soir, sur mes réves de cette nuit et sur mon devenir au sein de ce groupe...
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
C’est dans des moments pareil, où fuir paraît la seul et unique solution. Est parfait celui qui me lancera la première pierre.
Je prétextai avoir besoin de repos pour me retourner et explorer un peu le camp. Je fis néanmoins l’effort de faire un grand sourire a chacune des parties présentes, agrémenté d’un clin d’œil à Llewella.
Ma blessure, bien qu’ouverte, ne me faisait que très peu souffrir, j’entrepris alors de trouver une personne bien disposée à me relater en détail les derniers évènements.
J'espere que leur poursuivants ne sont pas trop loin. Un type ou deux parait surpris de me voir. Eh oui, je ne suis pas la gueriseuse en chef, mais dans l'ensemble, ça se passe bien. J'aperçois un grand type valide. C'est lui leur commendant? Bah, j'en sais rien mais je suis curieuse de nature. J'ai envie de savoir qui c'est. Peut être qu'il sait où sont les Blancs Manteaux...
Alors que je suis plongé dans ma méditation, je vois approcher a travers la brume une jeune fille brune, plutot grande, et dont les gouts vestimentaires, au niveau des couleurs, choquent un tantinet mes sens...
les choquent meme tellement que j'emerge totalement de ma méditation.
En grommelant, je me redresse et regarde la jeune fille parcourir les derniers metres qui nous separent.
Je ne me souviens pas de l'avoir vu jusque là, et elle parait meme trop fragile pour etre passée par les epreuves que nous avons vecues depuis hier matin.
Bref, elle m'intrigue, et je me mefie instinctivement....
Posant la main negligement sur mon poignet gauche (on ne sait jamais: mieux vaut, sans que ça soit visible, avoir une arme a portée de main...), je lui demande:
Vous desirez quelque chose, mademoiselle...? Le silence en fin de phrase lui indique implicitement que j'ignore jusqu'a son nom.
En voilà encore un qui n'a pas l'air commode. Décidement. Bah, après ce qu'ils ont vécu, c'est normal.
- Bonjour, Llewella. La guerrisseuse m'a dit de me présenter à vous. J'étais dans la forêt quand j'ai vu que quelque chose clochait. Je viens pour aider, à guerir vos blessés par exemple * et à assomer un ou deux Blanc Manteau si l'occasion se présente, mais ça je ne vais pas le lui dire*. Mais je dois savoir si vos poursuivant sont proches, et s'il faut lever le camp dans l'heure.
Qu'elle sorte de la fortêt, je n'ai guére de mal a le croire vu ses vetements, mais que Jehane (si c'est bien elle cette "guerriseuse") envoie quelqu'un faire ses comissions a sa place???
Surtout qu'en fait, J'ehane est mieux placee que moi pour repondre a ces questions et prendre ces decisions.
Si je tente encore de prendre les choses en main, Celebred va faire une crise, et vu cette nuit, je ne pense pas que ce soit le moment de le chatouiller.
Bon, on va essayer de faire au mieux, et la donzelle semble sincére.... semble...
Autant lui lacher quelques infos sans importance et la conduire a qui de droit, qu'elle ne nous file pas entre les pattes..
Enchanté. Aux dernieres nouvelles, il semble que les BM aient d'autres chats a fouetter pour l'instant.
Savez vous ou est la "guerriseuse", et voulez vous me conduire a elle? oui, oui, de suite.
Je vous en prie, passez devant
Nous nous mettons en marche, moi la surveillant pour prevenir toute fuite, la main toujours posée prés d'une lame.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
J'observe Llewella parler avec cet ours. Il semble hésitant et … mais que fait-il ?
Il la conduit comme si elle était prisonnière, qu’a-t-elle encore fais ?
Une fois de plus... je me devais de lui porter assistance ou au moins expliqué à son gardien qu’elle ne représente pas une menace… j’aime pas mentir.
Je pris une intonation assez hautaine (naturel chez moi).
-Excuser moi jeune homme j’aurai quelques questions à vous poser si cela ne vous ennui pas. L’on vous a aperçu prés d’un corps d’homme… (il ne réagit pas) mort… (rien) torturé (cet homme est une pierre).
-J’aimerais connaître votre version des faits à se sujet si cela vous sied bien entendu.
Ma voie signifiant clairement que refuser serait signe d’une très grande inconvenance. (bien que j’ai des doutes de l’impact que cela peut avoir sur une tel personne)
Je termine de faire le tour de mes patients. La nouvelle a l'air de ne pas avoir fait un trop mauvais travail. Je la cherche et je la vois qui ... parle à Han ? Mais qu'est-ce qu'elle fout là cette gourde ? Je lui ai dit d'aller voir Celebred. Et l'autre idiot qui se pointe. Je ne sais pas si je devrai intervenir. Voir ces deux coqs de basse-cour se battre pourrait me changer les idées ... Mais nous n'avons pas le temps, et des blessures ne feraient que nous ralentir. Je m'approche donc
(d'abord Llewella) Que faites-vous-là ? Je vous avais demandé de voir Celebred, pas lui.
Aux deux hommes Vous avez fini de comparer la taille de vos jouets, messieurs ? Nous devrions nous préparer au départ, pas nous affronter
(Puis Penaguila) Je pensais vous avoir demander de vous reposer. Ou vous préferez mourir d'une infection sur votre plaie mal cicatrisée ?
(Enfin Han) Quand à vous, enlevez votre main de votre épée. (à mi-voix pour que lui seul m'entende) J'ai besoin de vous parler mais en privé, plus tard
Euh, ben je crois que je me suis trompée de personne. Mais visiblement j'ai ferré un gros poisson qui interesse tout le monde. Je suis un peu surprise -mais je l'ai vraiment effrayé ce type?- par leur intervention, mais plus encore par les question de Penaguila. Qu'il veuille me défendre un peu vite, soit. Mais parler de torture. C'est un frère-loup, il sait généralement de quoi il parle. Et la guerrisseuse, à quoi s'interesse-t-elle? Ils sont tous louches ici. Bah, je ne comprendrais jamais les habitudes des gens. Ils sont bizzares mais ils ont besoin d'aide. Ce n'est pas moi qui vais les juger.
(à la guerisseuse)- Celebred, oui, mais je n'ai vu que celui-ci. Si votre officier tient à me voir, qu'il vienne, je ne me cache pas.
(au géant méfiant)- Je crois que je me suis trompée de personne, désolée encore de vous avoir effrayé...
Je lance un regard à Penaguila, essayant de lui signifier que j'ai compris que quelque chose cloche, voir qu'il y a une menace dans l'air. Il sait que je vais vouloir en savoir plus... Mais pas pour l'instant, préparons d'abord la levée du camp.
Bon: entre les blessés qui me demandent des comptes (comment ça "on" m'a aperçu?), et les inconnues que tout le monde connait, ça en fait du ramdam pour une nuit.
Je me tourne vers l'ancien blessé: "Il ne me sied pas." puis, apres un temps de silence ou je me contente de l'observer attentivement, j'ajoute "puisque vous allez mieux, je vous laisse entre les mains de Jehane. Je suis sur qu'elle va vous trouver une occupation constructive" (je termine sur un sourire narquois).
Puis, vers Llewella. "Effrayé? noooon, intrigué tout au plus." je fais une breve reférence, puis ajoute "ravi en tout cas d'avoir fait la connaissance d'une si charmante personne". (hé hé, autant titiller un peu plus son si empressé chevalier servant)
Je me tourne ensuite vers Jehane, baisse les yeux vers ma main droite, prends l'air surpris et retire la main de la garde de mon épée.
La levant a hauteur de l'epaule, j'agite les doigts et lui fait un clin d'oeil..
Je la baisse et lui demande: "Au fait, puisque nos blessés, pour ce que j'en vois... (je jette un oeil du coté de Penaguila) "...semblent aller mieux, puis je aujourd'hui disposer de mon cheval? (le tout sur le ton de la plaisanterie.
Je me sens bien moi aujourd'hui, de bonne humeur
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
« Comment peut-on être aussi…primitif. A croire que le niveau d’intelligence est inversement proportionnel à la taille des muscles. Il n’empêche qu’il est encore plus impressionnant de prés. Cet ridicule tentative pour me rendre jaloux… l’autre qui a l’aire de savoir mieux que moi comment je vais… et elle qui est toujours où il ne faut pas quand il ne le faut pas. Il commence à m’énerver ce camp. »
-« Nuit, j’ai réellement besoin de toi… d’un ami. »
Avec le plus grand dédain possible je montre clairement à Han que je ne suis pas le moins du monde touché par ses petites piques je regarde longuement Jehane de la façon la plus neutre possible, me tourne et me redirige vers la foret.
Pourquoi ai-je toujours du mal à me familiariser avec tous ces rites de groupes. Ils ont combattus ensembles et n'ont pas l'air de s'apprecier. il y a un truc qui m'échappe.
J'ai au moins appris le nom de la guerrisseuse, Jehane. Est ce que ça compense le silence de mon frère-loup préféré, j'en sais rien. Tout va trop vite mais la journée promets d'être interessante.
"Bon, je crois qu'on peut retourner à nos activités. Jehane, je peux m'occuper de ces blessés là-bas, si tu veux. Il serait peut être temps de les préparer à repartir bientôt. Certains vont avoir besoin d'un peu de temps."
Bizzarement, le détachement du géant en arme me laisse un sentiment de malaise. Non loin, d'autres types tout aussi armés sont à leur recherche. A notre recherche,en fait, et l'état du groupe n'est pas brillant. J'ai envie de faire quelque chose, même si je ne sais pas quoi. Mais j'attend leur réponse. Pas envie de me brouiller avec les deux autres, il suffit qu'un seul boude. Je me force à ne pas regarder vers la foret.
Alors que je reviens de mon petit périple vers le nord pour voir si oui ou non nous sommes poursuivis, j'arrive au camp.
Tout semble calme Je tombe sur Jehane, et vois deux nouveaux arrivants. Qui c'est, ceux là? "Jehane? Bon, nous ne sommes pas poursuivis, et il semble qu'il y'ai eu quelque interférence qui ait obligé les Blancs Manteaux à abandonner la course. Mais ça n'est pas une raison pour lambiner. Nous repartons le plus vite possible.
Avant cela, pouvez vous m'expliquer qui sont ces gens...et...me les présenter? On a déja assez de mal avec nos blessés pour ne pas en récupérer d'autres, mais s'ils peuvent nous aider..."
RP OFF: excusez moi pour le retard, je suis vraiment désolé de tout cela. J'ai pas eu le temps d'assurer Aedmun et Celebred en même temps, c'est entièrement de ma faute. De fait, je propose qu'en peu de posts on arrive à rejoindre les hommes d'Aedmun, sans emcombre. Et qu'on tombe pile pour le combat dans le ciel et l'explosion dans Lugard. Comme ça, on saura, et c'est cohérent en terme de timing.
Ils sont arrivés hier soir. Lui s'appelle Penaguila, il a été blessé, par les Blancs Manteaux je suppose. Ses blessures sont en bonne voie, s'il ne s'amuse pas à les rouvrir Elle, c'est Llewella, elle sort de je ne sais où dans la forêt. Elle connait les simples, du moins les plus courants.
Je suppose que nous partons bientôt si nous ne sommes pas poursuivis. La plupart des blessés peuvent marcher mais je préfère que les plus atteints montent à tour de rôle sur nos chevaux, cela leur permettra de se reposer.
C'est lui alors leur chef? Bah il a l'air plus vieux, en effet. Je crois qu'ils se préparent enfin au départ, tant mieux. Les plus blessés sont chargés sur leur chevaux. Je vois qu'ils n'en ont pas beaucoup. J'espere que les Blancs Manteaux ne sont pas dans le coin. J'aide un peu par ci par là tandis que quelqu'un aboie l'ordre de ce mettre en route.
Maintenant que la menace des Blancs Manteaux s'est estompée, notre petit groupe progresse assez rapidement dans la forêt. La forêt s'éclaircit peu à peu, les champs et les haies remplacent les broussailles et les troncs. La cité est bientôt en vue
RP Off : Voilà, je nous ai fait avancer, dites-moi si c'est trop rapide
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Nous voilà repartis, plus moyen de faire demi-tour maintenant. Le chef est de retour, je ne sais pas pourquoi mais l’on dirait qu’il ne me découvre que maintenant. Je devais être trop blessé pour présenter un intérêt à ses yeux.
En tous les cas l’on progresse à bonne allure je profite de la marche pour parfaire ma connaissance de mes compagnons, mais ils sont plutôt réticents à parler d’eux-mêmes...et des autres. A croire que personne ne se connaît, seul Llewella est une compagne de voyage agréable. Même si cela me coûte de le reconnaître j’apprécie également Jehane, malgré son caractère difficile et le faite qu’elle ne me témoigne aucun intérêt, chose assez rare chez une femme.
Quand à l'ours je ne m'en approche pas et lui ne m'approche pas non plus.
- Blessé par les blancs manteaux vous dites...et la fille connaît les simples...Bon, de toute manière, deux de plus ne nous mettrons pas plus ou pas moins en danger qu'avant, et ils ne nous ralentiront pas. Et puis, ne sommes nous pas sensés rassembler tous les Hommes?
Au fur et à mesure que nous avançons, alors que la ville de Lugard approche et qu'il semble y avoir de l'activité (nd: la bataille des 500 hommes d'Aedmun contre les 300 gardes, flashback), je hèle le jeune homme blessé.
- Jeune homme, pouvez vous venir s'il vous plaît? Je voudrais savoir qui vous êtes, vous et votre amie.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
C’est moi qu’il appelle ? Depuis le début il ne s’est pas intéressé une seule fois a moi et maintenant que l’on est presque arrivé il veut me parler. J’espère qu’il ne me prend pas pour un soldat avec cette bataille au loin… c’est impossible il ne peut pas encore la voir même moi je ne la distingue que très mal. - oui, messire que puis-je pour vous servir ?
Tiens donc, voici le chef qui s'interesse à nous. J'écoute distretement ce qu'il dit, un peu préoccupée par la ville que nous tentons de rejoindre, Lugard. Ce coin aussi semble tourmenté. Je me rapproche de visages connus pour leur demander ce que nous devons faire dans cette ville.
- Cessez donc ces "messires". Je suis officier du Dragon, pas de salamalecs. Monsieur si vous voulez, ou alors capitaine, mais pas de messires. En outre, je viens de vous dire ce que je voulais: simplement savoir qui vous êtes, vous et votre amie, afin de savoir qui m'accompagne et qui je devrais protéger le moment venu. Je suis responsable de la survie de tous ceux que vous voyez là, et je ne veux courrir aucun risque, mais je veux bien accueillir tout ceux qui le souhaiteront.
Le ton du chef me surprend par sa dureté si bien que je me rapproche instinctivement de Penaguila. Pourtant, en me retournant, quelque chose attire mon attention. *Mais je rêve ou quoi*. J'attrape le bras de Penaguila:
"Regardez là haut. Vous ne voyez pas? Les deux hommes. Mais ils font quoi???"
Aprés avoir passé ces derniers jours a faire un peu bande a part, perdu dans des pensées que, depuis une certaine nuit au sommeil agité, je remache en boucle, (j'ai bien échangé quelques mots par ci part là avec Celebred et me suis un peu chamaillé avec Jehane qui ne veut toujours pas me laisser le libre usage de ma monture, mais ne me lie guére aux autres voyageurs), L'approche de Lugard me sort peu a peu de ma létargie.
Mes compagnons ne me connaissant pas, cet état a demi éveillé/ demi perdu dans mes pensées ne leur parait apparament en rien inhabituel.
Alors que nous approchons de la ville, des rumeurs de bataille se font entendre, et ce bruit familier dissipe les dernieres brumes qui encombrent mon esprit.
Soudain plus alerte que je ne l'ai été ces derniers jours, je m'approche de Jehane. Ce coup ci, je vais Vraiement avoir besoin de mon cheval.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
-Llewella ne t'éloigne pas de moi!
"Qu'est-ce que c'est que ce truc? Je n'ai jamais rien vu de pareil, seul Llewella doit le voir comme moi je le vois et je dois dire que c'est assez impressionnant. Le bruit de la bataille parvient également à mes oreilles, elle est proche, trop proche à mon goût, j'attends les directives mais à mon humble avis mieux vaux les blancs manteaux."
J'avance rapidement au milieu des autres, perdue dans mes pensées quand j'entends des cris. Je relève la tête pour voir ce que se passe et je vois deux hommes en train de se battre dans le ciel. Deux hommes en train de se battre DANS LE CIEL ????!!!!!!
Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Qu'est-ce qui se passe ici ? Qui sont ces hommes ?
"Ils volent..." Mais c'est pas vrai. Un éclair passe de l'un à l'autre. Ils ne se battent pas avec leurs poings, mais avec... Je repense aux contes et aux histoires de mon enfance." Ils se battent avec le pouvoir unique. Comme les Aes Sedai"
Je serre toujours le bras de Penaguila. Je marmone une excuse avant de le relacher, tout en restant pres de lui pour regarder ce combat. C'est pas le meilleur signe de la journée
Arrivé prés de jehane, je la vois le nez en l'air et l'air ébahi.
Je suis sont regard et recule de deux pas, tétanisé: Mais qu'est ce que c'est que ça?!?!?!
Jet pour voir si j'arrive a reprendre mes esprits apres le choc:
[d10]
Non, raté, je reste comme deux ronds de flanc pour l'instant, le nez en l'air.
Une terreur sans nom monte en moi, menaçant de me submerger. Un souvenir refait surface, une litanie, une phrase pour combattre la peur.
Je ne connaitrai pas la peur car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passé il n'y aura plus rien. Plus rien que moi.
[d10]
Peine perdue, je reste submergée par la terreur, incapable de bouger, de réagir.
[d10]
Je reste là, à regarder, incapable d'ajouter un mot. Des hommes et le pouvoir unique.
Rapidement, tout cesse, l'un prend le dessus sur l'autre qui tombe et disparait de mon champ de vision
[d10]
Je reprend mes esprits. Il faut s'activer là. On est sensé se battre pour le Dragon et en voilà deux potentiels dans le ciel. Soit. Il faut juste redoubler de prudence, voilà tout!
Le spectacle qui se déroule au dessus de nos têtes a fait s'arrêter tout le groupe. Nous sommes tous le nez en l'air, mais le danger n'est pas immédiat: droit devant nous, 9500 hommes d'Aedmun attendent aussi, plongés dans la terreur du combat des cieux.
[D10]
Aussi capable que les gens que je suis sensé protéger de résister à ce spectacle, je reste tétanisé, complètement atone. Mes pensées se brouillent.
QUI sont-ils? Qu'allons nous devenir? Qui suivre? Et ou est Aedmun? Ils canalisent aussi ces deux là? Qui ais-je servit?
[D10]
Après quelques minutes tout de même, j'arrive à reprendre mes esprits. Pfiuuuu, y'a encore des spectacles qui peuvent m'étonner, comme qui dirait... J'ai quand même les tripes assez nouées. Je constate que Lewella s'est remise trés vite, et qu'elle semble vouloir réveiller les membres du groupe. Je me joins à elle.
Des Blancs Manteaux, des blessés, un dragon, des faux dragons... Oui mais lequel. Il y a deux jour j'étais bien tranquille dans la foret. Mais dans quoi t'es tu fourée???
A voir la tête des autres, je sais que mes connaissances des legendes rétameuses m'aident. Des soldats si barraqués. C'est bizarre mais je pensais que s'il se battaient pour le dragon, il l'aurait vu faire ces trucs. Oh mince, j'espere que c'est quand même le vrai!
Je tente d'en reveiller un autre [d10]
C'est peine perdue là, ça me décourage.
Là j'apperçois le chef et Jehane, la guerrisseuse. Ils les connaissent surement mieux que moi. Et Penaguila, j'étais à coté de lui. Puis je suis partie... Oh j'en ai marre la, je veux que le chef me donne une bonne explication
J'arrive vers eux, énervée
"Ah on se bat pour le dragon?? Et là, on fait quoi??? Ces "faux dragon" (j'insiste sur le mot) il s'en charge lui même ou c'est à nous de le faire (et de mourir en route)?????"
Énervée par la situation, j'aide Llewella à faire réagir tout le monde. Je m'aperçois alors que Han reste toujours scotchée devant le spectacle. Je m'approches, je me prépare et
[d10] (désolée mais tu vas être dur à reveiller )
Je lui colle une gifle retentissante en pleine figure, puis une deuxième. Réveillez-vous maintenant, nous ne pouvons pas rester là.
Je recule de 2 pas, l'air assez hagard, regarde Jehane sans la voir, tout en surveillant le ciel.
[d10]
Je m'ebroue un grand coup, pousse un cri, attrape jehane par le bras en disant "Il ne faut pas rester ici!"
[D10]
Alors que je tente sans succes d'entrainer Jehane vers mon cheval, (mais pourquoi resiste t'elle???) je vois Celebred tenter d'organiser tout le monde, je demande a Jehane "Celebred a trouvé un endroit ou aller? lequel?"
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Pourquoi je n'ai pas bougé alors que toute mon ame ne voulait qu'une seul chose s'enfuire. Je crois que j'ai perdu les esprit au moment ou Llewella ma lachée le bras. Je percoit des gens qui s'agite autour de moi, mais je les laisses, moi je dois répondre à une question.
"Qu'est-ce que c'était que ca?"
-Llewella, où es-tu?
je murmure ces mots mais je suis incapable de bouger.
[d10]
Comme je continue d'essayer d'entrainer Jehane (elle resiste, la bougresse ( ) ), nous avons finalement parcouru quelques metres, et j'avise soudain Penaguilla qui est encore figé comme une statue.
Je m'arrete, fait signe d'une main a Jehane de ne pas bouger, et parcours les deux pas qui me separent de son dos dans lequel j'assene une grande claque et disant bien fort "Debout la dedans! Le petit déjeuner est servi!"
[D10]
Penaguilla part en avant, trébuche deux pas et s'affale par terre.
Moi, je regarde ma main, puis jehane, et la main encore levee, hausse les epaules d'un air de dire "oups, j'l'ai pas fait exprés de casser la chaise", le tout en souriant.
- Hein? Euh, oui, mais regardez! Ce sont les hommes d'Aedmun! Nous pouvons au moins nous fondre dans la masse, et je dois aller rendre compte à mes supérieurs!
HARFANG! Calmez vous, on part vers le camp! Jehane vous en a mis une belle, mais c'est pas une raison pour paniquer mon vieux! Hop, on file par là, vous me suivez.
Du doigt, je montre le camp provisoire devant Lugard. D'un pas rapide, je précède tout le monde, et le mouvement s'amorçe.
Bon, au moins maintenant, nous savons ou nous allons. J'observe ce camp provisoire, la taille de l'armee qui l'occupe et sa position par rapport aux deux apparitions. Je fais un tour d'horizon: pas de BM en vue... (le coup du camp quasi vide et du BM, on me l'a deja fait).
ça me va, je vais continuer a tenter ma chance avec eux.
Je rejoins mon cheval, l'enfourche, et tends la main a Jehane pour l'aider a monter.
Waou!!!!!! Des milliers de types. Notre camp donc. Mouais, le camp du dragon... enfin d'un candidat possible à cette appellation. Mais ils sont tout plein!!! Mais je vais faire quoi au milieu d'eux moi???
Bon, eux égal Gentil. Blancs Manteaux égal Méchants. Canalisateurs dans le ciel égal... euh je sais pas! Pff!
Je sais vraiment pas... Penaguila... où es tu? Je le cherche des yeux.
[d10]
Je l'apperçois au loin et me précipite dans sa direction. Le suivre, et c'est tout pour l'instant.
*Alors, il commence par essayer de me démettre l'épaule puis il tente d'assommer un de mes patients et finalement, il veut me prendre en croupe ? Mais c'est quoi ce type. Enfin vu la situation, je n'ai pas trop le choix.*
Je monte en croupe et je m'accroche à son manteau. Nous partons à une allure soutenue vers le camp
Que se passe-t'il ici selon vous ? Ces deux hommes, ils utilisaient le Pouvoir. Alors Kindarin n'est pas ... le Dragon ? Ce serait l'un d'eux ? Je crois que je suis un peu perdue
Mais qu'est-ce qu'il me prend de lui dire ça ? Pourquoi je laisse tomber ma carapace comme ça. Ce doit être d'avoir vu ces hommes se battre. Le monde change tellement, si vite. Je crois que je perds mes repères
Un cheval manque de me renverser et stoppe radicalement mn élan. Mais je les connais ceux là, en plus. RHAAAA!
Rien de tel pour remettre les idées en place qu'un cheval qui vous fonce dessus bien trop vite à votre gout. J'irai leur dire deux mots... plus tard. et les blessés, ils arriveront tout seuls dans trois jours?????
Non mais!
Tout en m'approchant de Penaguila j'en remarque un pas très dru
[d10]
Ah non il est même bien mal en point. La blessure ou la vision du combat? Je sais pas mais il est pret à tomber par terre. Je m'avance pour le soutenir tout en appelant Penaguila
Traversant nos rangs pour rejoindre Celebred (mon cheval manque a un moment de percuter une personne qui ne regardait pas devant elle: la petite jeune file qui nous a rejoint l'autre jour), je remarque que tout le monde s'active pour le depart.
Je ricane: Comme quoi, de sentir l'écurie, ça donne des ailes.
La bonne humeur que j'affiche depuis quelques heures viendrait elle aussi de là? Aprés tout, un camp militaire signifie de grandes chances d'embauche, et j'ai une ou deux idées a donner a leurs responsables me concernant... j'espére puvoir parveir a un accord mutuel satisfaisantavec eux.
En tout cas, si ils sont tous comme Celebred, ça ne vas pas etre facile de leur faire admettre l'assassinat ou la guerilla comme des moyens de combattre et d'augmenter les chances de victoire a long terme... c'est sur que ce n'est pas honorable, mais meme eux devraient voir que tuer dix ennemis sans honneur et en terrifier mille autres peut permettre de sauver cinq cents vies chez nous.
C'est sur que le concept de frapper a la tete dans un palais ou a l'etat major, plutot que la pietialle sur un champ de bataille, ça doit ne pas les rendre tranquille, mais la fin justifie les moyens, et ce sont les vainqueurs qui ecrivent l'Histoire.
Alors que je divague ainsi, mon cheval manque a un moment de percuter une personne qui ne regardait pas devant elle: la petite jeune file qui nous a rejoint l'autre jour. du coup, je realise que Jehane est en train de me parler.
Que se passe-t'il ici selon vous ? Ces deux hommes, ils utilisaient le Pouvoir. Alors Kindarin n'est pas ... le Dragon ? Ce serait l'un d'eux ? Je crois que je suis un peu perdue
Du coup, je reléve la tete et revois les deux hommes dansle ciel.
Je frissone, et me rapelle d'etre encore plus prudent ici que je ne l'ai jamais été auparavant.
Je réponds a Jehane:
Parfois, de faux dragons apparaissent, des hommes ayant accés a ce "Pouvoir", a qui cela monte a la tete et qui se persuadent, qu'ils sont le dragon.... par ambition, ou par folie.
Peut etre en voyons un là... ou deux, je ne sais pas.
Et puis, meme si je n'ai jamais trop lu a ce sujet, mes precepteurs m'ont autrefois bien inculqué que l'Ombre disposait aussi autrefois de sorciers, qu'ils menanient leurs armées lors des guerres trolloques. (je crache a terre).
Tout ça sans parler des réprouvés eux memes.. si l'un de ces deux (je montre le ciel) est vraiment le dragon, alors une terreur telle qu'ont en parle que dans les légendes va reapparaitre avec lui. oui, vraiment, ils auraient tort de faire la fine bouche devant toute forme d'aide proposée... je m'aperçois que mes mots ont dépassé ma pensée, et que nous avons rattrapé Celebred. je me demande s'il a entendu mes derniers mots, et a partir d'ou...
ps: rappel: pour l'instant, je ne suis toujours que Han Droukspered. on ne me connait que sous ce nom là.
(j'ai mes raisons pour ne pas que l'on remonte ma piste jusqu'a une certaine region de Saldaea)
Je réflechis un moment à ce qu'il vient de me dire.
Quand j'ai rejoint les troupes du Dragon, c'était pour ... Ce n'était parce que je pensais qu'il était le Dragon. C'était parce que je pensais que les Blancs Manteaux réagirait. Je ne pensais qu'à ma vengeance. Je n'avais pas pensé qu'il pourrait réellement être le Dragon. Les Réprouvés, les hommes qui canalisent, cela parait tellement irréel, comme sorti d'un conte ... Mais contrairement aux héros des contes, ni vous, ni moi ne sommes là pour la gloire ou l'honneur. J'ignore où tout cela va nous mener.
jeune seigneur et frère loup mon compagnon se nomme Nuit (c'est un loup)
Si cette espèce de cornichon à réouvert ma blessure, non ça a l’air d’aller. Bon, on se motive réfléchir, penaguila réfléchi, je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais avoir besoin de protéger mes arrières.
-« Mes frères, je suis avec une de nos sœurs nous aurons peut être besoin de votre assistance. Rejoignez-moi ! » Cela est fais, j’espère qu’ils ont entendu mon appel mais je n’ai pas le temps de le cibler.
« Llewella. »
-Ah tu es là, excuse moi j’ai été un peu sonné, je ne t’avais pas entendu. Tout le monde se dirige vers le camp de Lugard, après avoir vu ce que l’on vient de voir as-tu toujours envi de suivre ces gens, je comprendrais, tu sais… et je te suivrais quelle que soit ta décision.
Mais j'en sais rien. Il y a quelques jours je ne connaissais aucun de ces types. L'homme que j'aide semble aller mieux et je le lâche pour m'approcher de Penaguila. Je lui murmure:
"Je ne sais pas. Me battre ne me gêne pas, tu le sais, mais je veux que ce soit pour une cause... tu sais ... euh, juste. Et tout ça... Je ne veux pas me battre et tuer des gens sur l'ordre d'un canalisateur quelquonque. Je veux savoir si ton chef est LE dragon. Et je ne suis pas sure que les réponses se trouvent dans ce camp. Et toi, que penses tu d'eux? Veux tu toujours les suivre? Je suis venue poour toi. Je ne vais pas te forcer à deserter. C'est à toi de décider..."
C'est vrai, quoi, je suis un peu perdue moi. Mais pour une fois que les temps semblent interessants...
Alors que les membres du groupe discutent, tentant de se remettre de leurs émotions, j'arrive devant un sergent.
- Je suis le capitaine Yann Celebred, commandant du camp du nords. Malheureusement, nous avons essuyé une défaite face à des Blancs Manteaux. Nous étions trop peu. Je dois aller faire mon rapport.
- Bon, trés bien, qui sont ces gens, mon capitaine?
- Des rescapés.
- Bon courage, mais je dois avouer que...je ne sais pas à qui vous pourrez faire ce rapport! Aucune nouvelle du...du...euh de Aedmun Kigarin. Le seigneur Grent, seul, est présent içi.
- Je verrais bien...
<a href="http://www.pierre-de-tear.com/~amador/fiches/ehoral.php">Seigneur Lieutenant des Blancs manteaux </a>Multi
Alors que l'armée des Enfants de la Lumière est reconstitué et a pris possession de l'ancienne demeure du seigneur Grent en attendant des nouvelles de ses éclaireurs, l'un d'eux arrive. Un garde entre dans la tente de Ehoral et Haesur et leur annonce qu'un éclaireur souhaite les voir.
***
Ne cachant pas mon enthousiasme j'ordonne au garde le faire entrer tout de suite, il arrive quelques secondes plus tard.
Enfant Zyred, dites moi tout ce que vous savez, avez vu. Je veux avoir le maximum d'information sur la situation de Lugard
Nous nous sommes lancés à la poursuite du canalisateur qui avait attaqué notre camp. L'homme est visiblement fous, il détruisait et brûlait tout sur son passage. Malheureusement, il a été rejoint par des complices qui lui ont fourni des chevaux frais et ils ont pu gagner Lugard avant nous.
La ville de Lugard à été prise par les troupes du faux-Dragon, et une partie de nos hommes à pénétrer dans la ville, déguisé en partisans du faux dragon afin d'éliminer notre cible avant qu'elle ne détruise Lugard.
Nous avons croisé l'un de nos espions, L'enfant Ewing, qui m'a détaillé la chute de Lugard. Il est ensuite reparti poursuivre sa mission.
Quant à nous, nous avons suivi le canalisateur grâce à mes dons. Il s'est rendu sur la place de la ville où il à rejoint un autre groupe constitué d'au moins deux autres canalisateurs! J'ai donné l'ordre à une dizaine d'archers de se cacher et de les l'abattrent mais les canalisateurs ont brûlé les flèches en vol... Ainsi que les archers.
Poursuivi par la fureur des canalisateurs, nous avons du fuir... Une fois en dehors des murs de Lugard, nous avons assisté au spectacle le plus surprenant qu'il nous a été donné de voir: Deux géants se sont combattus dans la ville, Ils se battaient avec le pouvoir unique Seigneur Lieutenant! Au bout d'un certain temps, les deux duellistes ont repris leur taille normale et nous avons décidé de rentrer vous avertir.
Sur le chemin du retour, nous avons été attaqués par des sauvages qui se prétendaient Aiels. Malgré notre attitude amicale, ils nous ont agressés et ont tué le Sous lieutenant Vaymar. Etant légèrement inférieur en nombre et étant donner l'importance des informations que je détiens, j'ai jugé préférable de les laisser partir.