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Éric le Tueur de Dragon[small](Inspiré de la légende des Nibelungen)[/small]
Il était une fois, il y a longtemps, très longtemps, vivait un dragon qui semait la terreur dans un royaume. Fafner, il se nommait, et le fléau brûlait tout sur son passage : les villages se consumaient les uns après les autres et le peuple vivait dans le chaos. Des années plus tard, le roi était mort, sans fils. Le royaume, sans héritier, sombra dans l’ombre. Les plus grand seigneurs se combattaient avec leur armée les uns contre les autres pour réclamer le trône et cela malgré la présence du dragon. Un des anciens fidèles serviteurs du roi mit au défi le royaume tout entier : celui qui réussirait à tuer Fafner se verra roi. Mais durant plus de cinq-cents ans, aucun candidat n'y parvint car tous voulaient la gloire sans partage, jusqu'au jour où l'élu naquit.
L’enfant, Éric, fut né dans la misère, comme tous ceux qui naquirent les cinq-cents dernières années. Sa mère était morte peu de temps après sa naissance. Son père l’éleva alors seul et lui apprit le métier de forgeron depuis son plus jeune âge. L'enfant devint l’un des meilleurs forgerons du royaume déchu. Lorsqu’Éric eut vingt ans, un soir, une étoile tomba du ciel. Le lendemain, il alla à l’endroit de l’impact et trouva une grande pierre d’un grand éclat dans la forêt. Les arbres aux alentours étaient brûlés. La pierre était faite d’un métal plus dur, résistant à tout autre métal qu’Éric connaissait. Lorsqu’on le regardait, on sentait quelque chose de surnaturel. Ce métal était le Métal des Dieux. Éric décida de forger une épée avec la pierre. Une épée qui pourrait tuer le dragon qui semait la désolation. Mais le métal était si solide qu’il lui fallut huit lunes pour finir de forger l’épée. Quelques jours plus tard, son père mourut. Éric construisit un bûcher funèbre et les cendres du défunt se mêlèrent dans les cieux. Éric prit un bouclier, une chaîne de mailles qu’il les avait forgés quelques années plus tôt, une cape et son épée et partit à la recherche du dragon.
Il marcha, marcha et marcha. À la tombée de la nuit, il se rendit dans un village et chercha une auberge où dormir. Il en trouva une, elle était grande de quatre étages et lorsqu’il y entra, une jeune femme l’accueillit. Elle était belle et Éric tomba tout de suite amoureux d’elle. Maria, c’était son nom. Elle était la fille de l’aubergiste. La jeune femme le conduisit à une chambre où il y s’endormit en passant à elle et à sa mission…Et il se réveilla en sursaut en entendant des cris. Le soleil n’était pas encore levé. Il regarda par la fenêtre et il vit des gens fuir, apeurées. Plusieurs maisons étaient en feu et il y avait plusieurs morts un peu partout. Certains étaient morts écrasés par la foule et d’autres brûlés. Éric vit une immense ombre un peu plus loin dans le village. Il leva les yeux et vit le dragon en train de cracher du feu : Fafner avait frappé de nouveau. Le village, presque entier était incendié. Le jeune homme se ressaisit et il remarqua que l’auberge était aussi en feu. Il sorti de la chambre avec son épée et partit à la recherche de Maria. Le monde courrait dans les couloirs en hurlait. Éric demanda à quelques passants où était la fille de l’aubergiste. L’un d’entre eux lui dit qu’il l’avait vue au troisième étage. Le jeune homme grippa les escaliers à toute vitesse et vit Maria piégée au milieu des flammes auprès de son père qui était allongé par terre. Elle pleurait : son père était mort. Éric traversa les flammes et enveloppa Maria dans sa cape et la libéra de sa prison de feu. Tous les deux sortirent de l’auberge et ils virent le dragon presque au dessus d’eux.
Éric ne savait pas si c’était de la chance ou un cadeau des Dieux, mais il vit quelques mètres plus loin un arc et un carquois par terre. Il les saisit et dit à Maria de se mettre à l’abri. Il alla dans l’écurie, prit un grand étalon noir, le monta et partit au galop à la poursuite du dragon. Éric tira quelques flèches sur le ventre de la bête, mais sa peau était impénétrable. Alors il décida de tirer sur une partie plus faible : les ailes. Cela marcha, les flèches transpercèrent les ailes du dragon. Mais immédiatement après, Fafner cracha du feu sur lui en le manquant de peu. Mais Éric d’abandonna pas pour autant. Il continua sa poursuite. Il encocha deux flèches enflammées et tira. Les deux projectiles atteignirent les deux ailes et celles-ci se mirent à brûler. Le dragon s’enfuit, mais il était toujours vivant.
Éric retourna auprès de Maria. Il lui dit qu’il l’aimait et qu’il devait tuer le dragon. Il lui promit de revenir vivant et l’épouserait. Plusieurs personnes ayant assistées à la scène du combat l’entendirent et décidèrent de lui prêter allégeance et de combattre à ses côtés. Maria dit au jeune homme qu’elle l’attendrait jusqu’à son retour. Et la rumeur courut dans tout le pays que le jeune Éric avait réussit à infliger des dommages mortelles au dragon. Des gens de partout venaient lui prêter allégeance et Éric réussit à se constituer une armée forte de plus de cinq-cents hommes. Même si chacun d’entre eux savait qu’il allait sans doute à une mort certaine, Éric et ses cinq-cents soldats allèrent dans la caverne où s’était réfugié Fafner. Dès la première seconde il eut des pertes énormes et dès la deuxième seconde des volés de flèches s’abattirent sur le monstre et de coups d’épées retentirent. Mais tout cela n’était qu’une diversion : durant se temps, Éric grippa sur la parois arrière où était le dragon. Lorsqu’il fut assez haut, le guerrier se jeta sur la tête de Fafner, plongea son épée et elle transperça le crâne. C’était la seule et unique épée qui pouvait pénétrer la peau du dragon. Le dragon bascula de tous les côtés et après quelques secondes, il tomba. Fafner était enfin mort et avait fini de terroriser le monde. Mais cela a dût coûter la vie à plus de trois-cents des hommes d’Éric.
Éric coupa la tête du dragon et le reste de ses hommes le placèrent sur un chariot. Ils la recouvrirent d’une couverture et elle fut en route pour la capitale de l’ancien royaume. Éric alla d’abord retrouver Maria et tout deux rejoignirent la troupe. Rendu au cœur de la cité, Éric dévoila la tête du dragon Fafner à la foule. Le peuple était soulagé, le dragon était mort il en avait la preuve. Le pays tout entier fêta la victoire.
Le héros fut nommé «Éric le Tueur de Dragon » et fut couronné roi et épousa Maria. Quant au reste de ceux qui ont combattu à ses côtés, ils furent nommés soldats de la Garde Royale. Éric fit construire un immense monument en souvenir de tout ceux qui sont morts en combattant Fafner. Éric eut un fils et le royaume connut une aire de paix et de postérité…jusqu’au jour où un nouveau fléau se lèvera pour semer l’Armageddon dans le royaume…mais lorsque se jour arrivera, Éric et son fils seront là pour protéger le royaume.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je n'ai lu que le premier paragraphe, je ne te parlerai pas du fond (qui m'a l'air standard) mais de la grammaire qui est comme ton royaume, chaotique et rend le texte quelque peu difficile à lire. Je te mets entre crochets mes commentaires
Il était une fois, il y a longtemps,[L'un ou l'autre, les 2, ça fait lourd] très longtemps,[ Pas la peine de répéter] vivait[Soit tu écris : Il était une fois, dans le royaume de ****, un dragon qui semait... ou Il y a très longtemps, dans le royaume de ****, vivait un dragon. Il semait...) un dragon qui semait la terreur dans un royaume[préciser le nom du royaume]. Fafner, il se nommait,[Il se nommeit Fafner] et le fléau [on a l'impression que tu parles d'un autre perso ou plutôt d'un incendie] brûlait tout sur son passage : les villages brûlaient[répétition] les uns après les autres et le peuple vivait dans le chaos[terreur (plus approprié)]. Des années plus tard,[plus tard que quoi ?] le roi était mort,[mourut] sans fils[héritier]. Le royaume, sans héritier,[ne pas répéter] sombra dans l’ombre[je trouve la formule malheureuse, la sonorité peut-être, je dirais plutôt s'enfonça. Sombrer se réfère à l'eau. Mais c'est là que tu peux utiliser le chaos :sombra dans le chaos]. Les plus nobles[l'expression se réfère plus à la noblesse d'âme qu'à la caste. Donc " les (plus) grands seigneurs] se combattaient avec leur armée les uns contre les autres[maladroit : "se" ou "les uns contre les autres", et les armées peuvent rester sous entendues ]pour réclamer[inutile, d'ailleurs ils se battent pour le trône pas pour le droit de le réclamer, ce qu'ils font d'ailleurs en se battant.] le trône et cela malgré la présence du dragon.[Fais une phrase séparée, genre. Ils en oubliaient même la présence du dragon][Il manque là des mots de liaison, une rupture, puisque tu fais rebondir l'action : Ce fut alors... Comme il ne semblait plus y avoir d'espoir...etc Un des[supprimer] anciens fidèles serviteurs du roi mit au défi le royaume tout entier[lança un défi à travers le royaume] : celui qui réussira [réussirait] à tuer Fafner se verra roi[serait le nouveau roi]. Mais durant plus de 500 [en lettres] ans, personnes ni parvint car chacun voulait la gloire à eux seul, jusqu’au jour où l’élu était né… [aucun candidat n'y parvint car tous voulaient la gloire sans partage, jusqu'au jour où l'élu naquit.]
Tu es jeune je crois, alors tu as devant toi de nombreuses années pour t'améliorer. L'important c'est d'avoir l'envie d'écrire et aussi se faire plaisir en écrivant. Travaille la concordance des temps.
Je viens de lire la suite avec un peu de peine, je dois l'avouer mais tu as dû le remarquer, je ne pratique pas la langue de bois ni avec mes élèves ni avec personne. Il y a d'insignes maladresses, dans l'usage des temps (pas de futur dans un texte au passé, par exemple). Relis tout soigneusement et n'hésite pas à t'autocorriger.
Harmaggédon est une bataille ultime, on ne sème pas Harmaggédon.
C'est bien sympa ton histoire mais c'est du plaggia gros boulet (excusez-moi mais ça me met hors de moi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
Putain je rêve, et dire que c'est soi disant toi qui l'a écrit!!!!!!!!SORTEZ-LE!!!!!!
C'est une légende du Nord (Norvège il me semble) et ils en ont fait un film...dommage pour toi que je l'ai vu ce film...!!!
RAHHHHH mais....allez shin' calme-toi...respire, respire
Siegfried (mythologie). Nom utilisé pour le film sorti en 2004: Eric, le tueur de Dragon
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Siegfried est un héros légendaire de la mythologie nordique, ainsi que le personnage central de la saga de Völsung (Völsungasaga), de la chanson des Nibelungen et de l'opéra de Richard Wagner, Siegfried.
Il est le tueur du dragon Fafner et amant de la valkyrie Brünhild, il est le seul à l'avoir battu au combat. Siegfried est victime de la malédiction de l'anneau des Niebelungens, peuple gardien et possesseur de ce trésor, pour l'avoir dérobé après avoir tuer Fafner. Siegfried ne tient pas compte des avertissements des fantômes et prend l'anneau, pièce maîtresse du trésor. L'anneau attire les convoitises et, rendu invulnérable par le sang de Fafner, il venge son père des rois jumeaux saxons. Puis à cause d'un philtre d'amour, il tombe amoureux de la sœur du roi de Burgondie et en oublie Brünhild. Il meurt à cause de Brünhild qui se suicidera sur le bûcher funèbre de l'homme qui l'avait battue. Siegfried est le nom germanisé de Sigurdr le Volsungr, et le nain Mime est en fait le forgeron Regin. c'etait un des vikings La légende ressemble à s'y méprendre à la légende d'Achille et d'Atalante.
C'est vrai que je me suis inspiré un peu de la légende des Nibelungen, pour le dragon, le nom du dragon(J'ai toujours été nul pour trouver des noms^^) Mais l'histoire est complètement différente. Désolé Shinje, mais ce que tu dis c'est la même chose de dire que La Roue du Temps c'est du plaggia du Seigneur des Anneaux, ce qui est complètement FAUX! Je te parie que tu as lu que la première ligne, rien d'autre. Si on ne li que le tome 1 de la rdt, on dirait le Seigneur des Anneaux, mais si on continue, on se rend compte que l'histoire est de loin d'être la même.
..........Ah?????!!!! Parce que c'est pas du tout la même histoire????!!!Arrête t'as juste couper à la fin et c'est tout!! Rand n'est pas un hobbit, ça n'a absolument rien à voir.
Ici ton Eric est forgeron comme dans l'histoire, élevé par son père comme dans l'histoire, la bataille avec le dragon est exactement comme dans la légende(il lui saute sur la tête en montant sur la roche comme tu l'as si bien décrit), les hommes qui l'acompagnèrent pareil, la météorite c'est un point important de la légende..on la retrouve encore dans ton histoire, et c'est avec la météorite qui est tombée du ciel qu'il va faire la seule épée capable de tuer le dragon...
Mais l'histoire est complètement différente.
Je me marre
EDIT:
le tome 1 de la rdt, on dirait le Seigneur des Anneaux
Tolkien lui-même s'est inspiré de la légende des Nibelungen
Pour SdA et la RdT, il y a un ténébreux, un cavalier noir, de jeune gens innoncents qui s'embarque dans une folle avanture...ensuite ils arrivent dans un village...etc
et
Il me semble que Siegfried était orphelin, il me semble que Siegfried tua seul le dragon...pour la météorite, tu as raison. Mais as tu lu mon histoire au complet?
Et au lieu de discuter (comme d'hab'), fais comme je te l'ai conseillé: précise que tu t'es fortement inspiré (on dirait que ton texte est une fiche de lecture sur la légende elle-même).
Tu n'auras pas raison, alors arrête avec tes comparaisons SdA/ RdT... Il y a des sujets pour ça. Ici on est dans le forum grimoire, espace résérvé aux écrits personnels.
Et encore une fois, arrête de chercher des noises pour tout et n'importe quoi; ça rime à rien et ça saoûle tout le monde.
Je ne chercher pas des noises. Je me suis inspirer un peu de l'histoire, mais pas "fortement". Il y a de nombreuse différences:
Le dragon est là depuis 500 ans
Il n'y a pas d'Anneau
Il n'y a pas de trésor
Il n'y a pas de Valkyries
Il n'y a pas de roi, ni de prince, ni de princesse
Il y a ce qu'on peu appelé "des guerres civiles"
Éric n'est pas un prince
Éric est né dans la misère
Éric ne meurt pas à la fin
Éric avait une armée
Éric a attaqué d'abord le dragon avec un arc un flèche
Éric ne tue pas le dragon seul
Éric se marie avec une fille d'aubegiste, pas avec une princesse
Éric rencontre sa bien-aimée dans une auberge
Éric gagne son amour en la sauvant
Éric a un fils à la fin
Éric a sauvé la vie de celle qu'il aime
et il y a plein d'autre
Les ressemblances...
La présence et le nom du dragon
Le héros est un forgeron
La météorite
...
Je suis désolé mais je ne peux pas rester indifférent...
Éric n'est pas un prince
Éric est né dans la misère
Éric avait une armée
Éric a attaqué d'abord le dragon avec un arc un flèche
C'est dans l'original tout ça.
J'oubliais, la légende des Nibelungen, c'est germanique
C'est une légende du Nord (Norvège il me semble)
Apprends à bien lire chaque mot...
Oh et puis ça m'énerve, de toute façon quoiqu'on dise t'auras toujours raison, tu t'es inspiré d'une histoire pour en faire une se rapprochant énormément, et pourtant, tu continue à persévérer dans ta voie, qui est celle de comparer LoR avec la RdT ce qui n'est pas du tout mais alors pas du tout le sujet. Tu cherche le moindre détail pour montrer que ton histoire n'est pas la même mais ce ne sont que des détails.
Fin de la discussion. Un point final.
Je lis très bien chaque mot, toi? Pour ce qui est de la comparaison de SdA à la RdT, je ne faisais que répondre à ta question
EDIT:
le tome 1 de la rdt, on dirait le Seigneur des Anneaux
AH BON?!!!!!!!
edit: dans la légende des nibelungen, Siegfried est né dans la royauté, il est le fils de Siegmund, roi de Xanten. Il est un prince. Siegfried n'avait pas d'armé...il était le seul survivant de Xanten. Pour ce qui est des flèches, quand, pourrait tu le préciser?
Un peu de calme s'il vous plait !
Nous sommes ici dans le forum grimoire pas à la foire à la saucisse.
Je pense que l'on peut faire remarquer avec un peu plus de tact que la personne s'est inspiré d'une légende.
Ce qui importe est que ce soit bien Kulun qui l'ai écrit avec ses mots. Et peu importe que des noms connus aient été utilisés. le seul reproche que l'on peut faire est que l'auteur est qu'il aurait pu dire dès le début qu'il s'était inspiré du légénde ce qui aurait permis à tous d'apprendre des choses.
Il n'est pas trop tard pour préciser dans ton premier post Kulun.
Ensuite le débat par un peu en "couille". Nous assistons à un dialogue de sourds qui n'aboutira qu'a querelles et ennervement.
Je vous conseille vivement de continuer votre débat stérile en MP afin d'éviter de polluer le forum. Je vous conseille encore plus vivement de stopper ce débat tout simplement.
N'oubliez pas que nous sommes sur un forum littéraire. Le but est de faire partager des choses. Et puis sachez que dans toute part de créativité on s'inspire tout le temps de quelque chose qui existe.
Merci de faire des efforts afin que nous puissions continuer a lire dans une ambiance chaleureuse les textes de chacun.
...En fait, le film c'est pluttôt un téléfilm, le titre c'est "L'Anneau Sacré" réalisé par Uli Edel. Kristanna Loken joue le rôle de Brunnhild et Berno Fürman le rôle de Siegfried.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Tu sais, Kunlun, pour le plaisir d'écrire et pour t'améliorer dans l'écriture, tu devrais participer aux joutes (Remarque, tu l'as peut-être fait cette fois, on verra lorsque les textes ne seront plus anonymes). Comme dit Zac, on s'inspire toujours d'une histoire, d'un film, d'un livre oud'une somme de plusieurs sources parce que nous ne sommes pas des feuilles vierges et que nous avons un vécu plus ou moins important de lecteurs. Mais apprends à te détacher d'une source d'inspiration et à y mettre plus de toi. Immerge-toi dans le personnage, fais le vivre et ressentir. Ne reste pas extérieur à ton propre texte. Ce doit être une partie ou une extension de toi. Et attache-toi, un fois écrit, à retravailler la grammaire et la justesse du vocabulaire. As-tu Word ? N'hésite pas à utiliser les outils de correction. Attention, ils ont leurs limites. Et n'hésite pas non plus à demander des conseils.
Appelez moi <a href=http://www.lepetitprince.com/fr/>Prince</a>
Après avoir lu ton histoire, le seul mot qui me viens a l'esprit est: Déjà-vu!
Même si je ne connaissais pas la Légende de Siegfried, j'avais l'impression d'avoir lu la même histoire au moins cent fois! Quelques exemple pour étoffer mon propos:
-l'épée sortie de la météorite,classique
-le héros, forgeron (juste une fois, j'aimerais en voir un couturier! )
-l'amour au premier regard
-le héros sans peur ni reproche, on pourrait le remplacer par un automate
-le défi que lance un fidèle du roi mort: tuez le dragon et vous serez roi!
D'ailleur, en vertue de quel autorité il le lance, ce défi? Les seigneurs se font la guerre entre eux sans se soucier du Dragon, et parce qu'un fidèle d'un Roi mort leur dit de tuer le dragon, tous l'écoutent! Il y as ici une incohérence!
-le héros orphelin
-le héros s'amasse une armé comme si c'était tâche facile
-il épouse une fille de basse extraction, écoutant son coeur plutot que sa raison
-et la fin est prévisible au possible!
Je n'ai rien contre le déja vu (j'ai ADORÉ la belgariade et la mallorée), en autant que ce soit présenté de manière originale! (oui, il y as paradoxe, mais que voulez-vous, le paradoxe est le luxe des esprits inventifs ). Le fond est bon, le potentiel est la, mais il ne manque qu'a assaisoner la sauce et changer la recette, afin de donner une autre saveur à un plat laissé trop longtemp dans le four, et qui as dépassé le stade du réchauffé!
Maintenant, je vais peut-être écrire un autre texte, un projet un peu plus ambition, j'ai déjà une idée d'histoire, mais j'ai de la difficulté à trouver des noms de personnage(comme d'abitude)...
Ce site est fait pour toi. C'est un générateur de noms fantastiques. Tu donnes les caractéristiques et ça te sort une liste de noms au pif.
Moi je trouve ça marrant.
respire, respire
