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Medulla:
A ma première écoute, mes sentiments étaient mitigés: enchantés par moments et surpris, je n'ai cependant accroché que sur certaines chansons, les autres me plaisant mais sans plus, j'ai tout de même persévérée, et après chaque écoute, j'adhérais un peu plus, jusqu'à trouver cet album vraiment magnifique, un petit bijou, hors tout ce qu'on entend de nos jours. Tous les morceaux sont interprétés avec des voix comme unique instrument, cela donne un coté magique, ça m'a rappelé certains coeurs ayant le pouvoir de remouer vos tripes et faire s'hérisser vos poils. Les mélodies alternent constraste et harmonie, certaines étant douces, d'autres ryhtmées et entrainantes, certaines suréalistes.
Medulla est véritablement une place pour un voyage dans un monde étonnant qui, à chaque fin de morceau, vous conduit vers un univers différent. C'est un album que j'écoute pour m'évader, les yeux fermés pour réver, les yeux ouverts pour changer ma vision du monde.
Et bien, s'il faut tous vous héberger un par un pour qu'enfin vous compreniez ce que vous loupez en n'écoutant pas Vai...
Ok, faisons comme ça. [small]Ecoutez Vai.[/small]
Dagon :
J'ai pas encore eu le temps d'écouter le nouveau Apocaliptica(j ai un petit apriorie je pense que les voix doivent changer un peu l'ambiance)
Bon, donc à la demande générale (de Dagon ), voici une critique détaillée du dernier album d'Apocalyptica, le bien nommé 'Apocalyptica'...
'Apocalyptica', l'album, c'est une fois de plus un packaging soigné, avec une jolie pochette, un joli disque, un joli livret avec de jolies photos des musiciens et de leurs paysages favoris subtilement retouchées, très "design" et qui respirent la joie de vivre (très "vive les plaines sombres couvertes de brume"). En bref c'est aussi soigné que les précédents, avec en plus cette fois, au milieu de tout ça, de jolies paroles joliment écrites, avec la même joie de vivre, toujours.
Ainsi donc nos trois joyeux lurons, non contents de prouver à la face du monde qu'il est possible de jouer du Metal avec des violoncelles, ont décidé de pousser le mimétisme avec les groupes du genre un peu plus loin en débauchant un batteur pour les accompagner sur chacun de leurs titres et en invitant quelques chanteurs à habiller certains morceaux de leurs voix. Autant vous le dire tout de suite et couper court au suspense : c'est réussi. L'album démarre sur les chapeaux de roues avec chant et batterie présents dès le départ et il faut avoir une bonne oreille bien fine pour réaliser que les "gratteux" de service n'ont pas un médiator entre les mains mais bel et bien un archet.
Sur les 11 titres (14 pour l'édition limitée -mais les trois titres supplémentaires sont en fait des versions alternatives du deuxième morceau, 'En Vie'), seules trois compositions accueillent du chant : 'Life Burns!', 'En Vie', et 'Bittersweet', par ordre d'apparition. Chant masculin sur le premier, féminin sur le deuxième (en français -c'est Manu, du groupe Dolly qui chante), et en duo (deux hommes, avec contraste grave/aigu des tessitures) pour le troisième. J'ai dit trois ? Pardon, j'oubliais le surprenant 'Betrayal/Forgiveness', très trash (sur lequel Dave Lombardo -batteur de Slayer- débarque, le temps de ruiner quelques toms ), qui a des paroles... enfin surtout dans le livret, car dans les faits, c'est un violoncelle énervé dopé à la saturation qui s'exprime en lieu et place d'un possible chanteur (la technique avait déjà été utilisée par le groupe pour certaines reprises à leurs débuts -sur Refuse/resist de Sepultura par exemple, pour simuler la voix toute délicate de Max Cavalera ). L'occasion pour moi de préciser que cet album n'est pas avare en tempi élevés, et que l'omniprésence de la batterie n'est évidemment pas là pour calmer le jeu.
Je pense qu'un petit récapitulatif de ce que propose chaque morceau s'impose pour clarifier les choses :
1. Life Burns! (3:06)
Très "rentre-dedans", avec une voix très "FM" qui surprend de prime abord mais qui ne manque pas de personnalité. Peu d'indices que l'on a affaire à des violoncelles et non à des guitares. Titre formaté pour être un single diffusé en radio, sans aucun doute. Bon morceau, très accrocheur.
2. En Vie (3:28)
Mon préféré. La voix de la chanteuse de Dolly (qui n'est pas créditée dans le livret -???) surprend elle aussi, très douce et mélancolique, loin des clichés. Morceau mélodique mid-tempo, tirant pleinement parti du timbre des violoncelles, c'est LE single de l'album, là encore clairement formaté dans ce but.
3. Distraction (3:28)
Instrumental typique d'Apocalyptica (avec batterie), dont le tempo s'emballe par moment. Aurait pu se trouver sur 'Reflections' (leur précédent album). Sympa, mais sans surprise.
4. Bittersweet (4:26)
Longue intro acoustique n'impliquant que les cordes et les deux chanteurs. La batterie n'entre en scène que plus tard, discrète, pour marquer le tempo lent de ce morceau qui est certainement celui qui exploite le mieux tout le potentiel du groupe. Harmonies vocales, violoncelles joués tantôt en acoustique de manière tout à fait classique, tantôt en saturé avec l'agressivité que l'on attend, et batterie rock derrière le tout pour achever de brouiller les pistes. Unique.
5. Misconstruction (3:59)
Encore un instrumental typique avec batterie. Pas mauvais mais sans surprise une fois de plus.
6. Fisheye (4:09)
Batterie trash et violoncelles très chantants. Un instrumental qui se distingue grâce à la batterie, chose que le groupe ne pouvait se permettre avant. Fin apocalyptique proche de ce que donnerait celle de 'Raining Blood' (morceau culte de Slayer) si elle était jouée par des violoncelles.
7. Farewell (5:33)
Instrumental lancinant, principalement acoustique, qui propose une longue progression "lyrique" renforcée par la batterie. Une fois de plus, si cette dernière n'était pas là, on croirait entendre un morceau de 'Reflections'. Le morceau n'en est pas pour autant mauvais, bien au contraire.
8. Fatal Error (2:59)
Encore un instrumental énervé avec une batterie qui galope, et un gros solo au milieu. Court mais efficace.
9. Betrayal/Forgiveness (5:13)
Le morceau méchant de l'album. Lombardo mouline derrière ses fûts et les cordes brûlent sous les archets frénétiques, couvrant littéralement un chanteur virtuel à la voix gutturale. Une curiosité, malheureusement très peu accrocheuse...
10. Ruska (4:39)
Entièrement acoustique, sans batterie mais avec un piano (rien n'est sûr mais en tous cas ça y ressemble) au son très sec pour "égayer" un peu un instrumental à la mélancolie langoureuse.
11. Deathzone (4:33)
Une batterie minimaliste, militaire, à peine audible en fond, une ambiance plombée qui habillerait fort bien un documentaire sur les horreurs de la guerre (le titre, évocateur, colle particulièrement bien à la musique), et des violoncelles purement acoustiques qui se lamentent et qui se cantonnent au registre grave comme par pudeur, en signe de recueillement. Un des morceaux les plus noirs du groupe, qui conclut l'album avec la fameuse joie de vivre dont je parlais plus haut.
---Les morceaux suivants ne sont présents que dans l'édition limitée---
12. Quutamo (3:34)
Version instrumentale de 'En Vie' (avec un violoncelle qui s'occupe de la partie chant). Excellent.
13. How Far (3:34)
Version anglaise de 'En Vie'. Par une autre chanteuse dont la voix est très proche de sa collègue française (mais qui n'est pas oubliée dans le livret, elle).
14. Wie Weit (3:34)
Version allemande de 'En Vie'. Par la même chanteuse non-oubliée.
Rien à dire de particulier sur ces deux dernières versions. Les intonations de la version allemande sont rafraîchissantes, mais ce n'est là qu'une question d'habitude je pense.
Bilan de cet album que j'attendais au tournant ? Mitigé.
J'espérais voir le groupe passer soudain à la vitesse supérieure et nous aligner des compositions toutes en finesse exploitant les capacités de leurs instruments, ne cherchant pas à plagier mais à innover, et profitant de la présence d'une voix pour décharger un des violoncelles de sa tâche de "chanteur" et tenter au passage de jouer avec des harmonies (par exemple). C'est bien le cas en fait, mais sur trop peu de morceaux. La moitié d'entre eux rappellent énormément ce que l'on a déjà pu entendre sur 'Reflections', et même si ce n'est pas un mal en soi (plutôt un gage de qualité), je trouve ça dommage. 'Life Burns!', 'En Vie', et 'Bittersweet' sont tout trois très bons (malgré le "formatage FM" des deux premiers qui amène avec lui son lot de restrictions) et ce dernier prouve bien que le groupe est encore capable d'évoluer et produire de très bons morceaux qui défient les genres et dont il sera impossible de trouver un équivalent chez les autres, violoncelles obligent.
L'évolution n'est donc pas si flagrante, mais elle est néanmoins bien présente. Et si je devais maintenant porter un jugement beaucoup plus objectif et oublier mes espoirs déçus qui ne sont que purement personnels, je dirais que l'on tient là le meilleur album du groupe. Les morceaux sont tous bons et variés, et on pourra juste regretter que la plupart soient si courts alors qu'ils semblaient permettre de plus amples développements. Au final, on ne pourra que conseiller 'Apocalyptica' à tout ceux qui ne connaissent pas encore. Quant aux autres, ceux qui connaissent déjà et qui aiment, qu'ils soient ou non opposés à l'évolution que j'évoque, ils devraient apprécier.
ysandell :
[...] dans la série "BO de films", je vous recommande celle de La marche de l'empereur [...]
Après avoir lu une interview d'Emilie Simon où elle en détaille la réalisation, je suis très curieux de l'entendre... (et ses seules descriptions me laissent attendre un résultat effectivement proche de ce que l'on peut trouver chez Björk)
D'ailleurs, en parlant de Björk, quelqu'un pourrait-il me faire une critique de Medulla ?
Il se pourrait que je puisse...
Tout d'abord, avant de commencer à en parler, je suppose que tu es au fait du "concept" de l'album... à savoir, comme l'a déjà précisé Liliana, le bannissement de tout intrument pour n'utiliser que des voix a capella, et d'une manière générale tout son qu'une bouche peut produire. Dans les faits, quelques exceptions à cette règle se font entendre ici et là, mais se limitent au mieux à un piano discret ou à une basse légère au son "nasal" (dans 'Who is it', sans doute le morceau le plus commercial de tous, issu des sessions de 'Vespertine').
Il en résulte un album atypique et audacieux, au contenu unique, même si cela reste du pur Björk, immédiatement identifiable à la première écoute (écoutes qui s'effectueront au casque, de préférence). Nous avons là 14 morceaux pour 45 minutes d'acrobaties vocales très inspirées, à défaut d'être réellement originales. Les rythmes électroniques des précédents albums sont toujours là (quoique beaucoup moins présents), "mimés" à la bouche, ou résultant de programmations de samples, toujours vocales à la base. Pour que l'ensemble soit suffisamment varié dans ses sonorités, il fallait bien sûr de nombreuses voix différentes, et donc de nombreux invités, dont les choeurs 'The Icelandic Choir' et 'The London Choir', qui viennent prêter voix forte à l'islandaise sur quasiment chaque morceau, pour le meilleur.
Le pire, en l'occurence (je me risque à présent à la subjectivité) s'apparenterait aux interventions "beatboxées". 'Medúlla' est un album qui va puiser à la source même du talent de Björk : sa voix. Tour à tour lisse et légère, puis rugueuse et pesante, elle plonge dans des abysses profonds pour finalement exploser au firmament, voyageant sans cesse d'un extrême à l'autre au service d'une expressivité et d'une énergie sincères et pures. De ce point de vue, 'Medúlla' est d'une jouissance extrême, reposant tout entier sur tout ce que l'on aime chez Björk, qui se donne une fois de plus ici toute entière à son art. Et certains de ces morceaux sont si beaux dans leur simplicité ('Show me forgiveness' en tête, un a capella d'un peu plus d'une minute -juste une voix et une reverb savamment dosée) que l'on en vient à regretter la présence dans d'autres de ces fameux rythmes électros qui ont fait une partie de la réputation de l'artiste. Fort heureusement, la plupart des morceaux se résument à l'essentiel, et les nombreuses envolées des choeurs accompagnant la star lors de ses montées chromatiques improbables, baignées dans des ambiances minimalistes (ou de nombreuses "couches" vocales entremêlées sur le principe de base : une voix pour le chant, une pour la mélodie, une pour le rythme -il arrive que Björk remplisse tout ces rôles à la fois, comme dans 'Öll Birtan') constituent la marque de fabrique du disque : ce qui te restera en tête lorsque celui-ci achèvera sa danse pour la première fois sur ta platine.
Au final, cet album déroutant séduira sans aucun doute les fans mais sera boudé du grand public. Ceux qui se délectent d'expérimentations sonores verront là un exercice périlleux et intéressant rondement mené, varié, osé et finalement réussi (alors que l'on pouvait craindre le pire quand il s'agit de s'essayer à des grooves dance sans faire appel à autre chose que des voix -comme c'est le cas dans 'Triumph of a heart', le dernier morceau). Ceux qui sont habitués à se repaître de sonorités synthétiques toujours plus élaborées lui tourneront le dos. Pour ma part j'aime bien le tout (et surtout les morceaux les plus "dépouillés" comme je l'ai déjà dit), mais je préfèrerai toujours écouter 'Homogenic', et de loin. 'Medúlla' comporte cependant quelques petits chef-d'oeuvres qui parviendront à émouvoir un large public, mais n'atteindront -et pour de bonnes raisons- jamais les "dance-floor", si toutefois c'est vraiment ce que l'on attend de Björk. Organique, intime, à la fois sombre et lumineux mais toujours trouble, embrumé de soupirs et de respirations fugaces, il reste une oeuvre profondément poétique, ne serait-ce que de par sa touchante simplicité.
(Mes morceaux préférés : 'Show me forgiveness', 'Vökuro', 'Submarine', 'Desired constellation', et 'Sonnet/Unrealities XI' -mention spéciale à ce dernier.)
Bien, et maintenant, comme vous me l'avez tous réclamé à corps et à cris, je vais vous faire la critique du dernier Vai. Je vais vous détailler tout ça un maximum, l'album est tellement varié qu'il y a de quoi dire, alors je vous préviens, ça risque d'être un peu long.
I think Real Illusions: Reflections is a so intimate album, too intimate for me to show around to friends saying "listen how cool Steve is!", like I often do. I also wouldn't compare this album to any other Steve's album. It's totally different, it just doesn't make any sense to me to compare this album to the others. Of course Steve's style and his typical guitar phrases are there, but it's like writing a book, one author uses the same language, for creating different stories.
I am just fully enjoying this album. I LOVE it. It's damn INCREDIBLE and very very very... very... DEEP. Every song on it seem to have some LIGHT around it. This is the only cd of which i don't have interest to read the reviews, opinions about.
Je vais y poster sur ce forum, Steve envoie des PM ! ...
Ouais mais un PM tu peux pas l'encadrer et l'accrocher dans ta chambre
Je viens de réécouter l'agriculteur de Ridane, et j'aime vraiment cette chanson. Je la trouve pleine de poésie, mais aussi, un peu de désillusion, c'est doux et grave à la fois. Ca me rend mélancolique quand je l'écoute... mais c'est si agréable. Je remercie bien chaleureusement celui qui me l'a envoyé.
Ah wé Ridan, c'est pas mal ! Je savais pas trop que tu ecoutais Et si le blé fait le bonheur, j'me ferais bien agriculteur
Enfin je me suis fait une retrosonorisation des classiques de l'armée rouge, ca fait dresser la chair de poule tellement c'est beau... (notez que j'ai dit cette phrase avec l'accent de Roger Hanin)
Maneero merci pour la critique qui est encore une fois complête(t'a déja pensé a faire des articles dans un magasine?). Du coup je fais surement essayer de choper l'album.
ysandell et Dagon : de rien, c'est un plaisir.
En ce qui concerne les magazines, Dagon, oui j'y ai déjà pensé... ça ne me déplairait pas.
En passant, j'ai envie de vous poser à tous une petite question pour égayer ce topic. J'invite tout ceux qui liront ce post à y répondre sincèrement, même si c'est difficile. Cela risque d'être intéressant... Voici ma question :
Quels sont vos 5 albums préférés ?
Vous n'êtes pas obligé d'établir un classement. Mais s'il vous plaît, justifiez vos choix et expliquez-nous au passage en quoi ces albums sont si fantastiques selon vous. Merci d'avance pour vos réponses enflammées.
Pour ma part je répondrai plus tard, il faut que je réfléchisse...
[small]Ecoutez Vai.[/small]
Pour ma part je répondrai plus tard, il faut que je réfléchisse...
Pas facile ça. Je donne une réponse un peu rapide, essayant de couvrir l'essentiel de mes goûts musicaux
Pink Floyd : Meddle. Cet album contient tout Il y a des morceaux variés, de genres différents, de l'humour dans la composition et l'écriture pour certains (Seamus !!!), et la plus belle chanson que je connaisse : Echoes. 23"30 de bonheur J'aurai aussi pu citer Animals, pour mes périodes dépressives ou Wish You Were Here, voire A Momentary Lapse of Reason, pour du Pink Floyd plus pop.
Metallica : ... And Justice for all sans doute (mon album préféré de Metallica varie beaucoup . Ca pourrait aussi bien être Ride the Lightning ou Master of Puppets ou même Kill'em All ou Garage, Inc, c'est dire. Ca dépend de mon humeur ). Cet album n'a que des très bons titres, technique, émotion, intensité, tout y est. Il a sa "balade", son intrumental, des textes forts, etc.
Suicidal Tendencies : en ce moment How Will I Laugh Tomorrow. (j'aurai pu dire Lights, Camera, Revolution ou The Art of Rebellion, voire Suicidal Tendencies). Cet album a (et donne) une pêche formidable, il n'y a pas de morceaux "faibles", il y a des morceaux poignants, des airs qui restent (la chanson éponyme notamment, ainsi que Sorry que j'aime particulièrement), et le feeling si particulier de Suicidal, mélange de basse groovy, de guitares lourdes, de solos speed et de Cyco Miko Muir.
Steve Vai : Fire Garden. Album fleuve (76 minutes), des instrumentaux fantastiques, tout ce que j'aime dans les instrumentaux de Vai : composition riche, émotion forte, et technique impossible, plus une deuxième partie d'album chantée, avec de très bons morceaux, alliant la technique, l'émotion et la force d'écriture de façon remarquable.
Mais tout Vai a sa place dans mes écoutes et dans mes préférés ECOUTEZ VAI !
Si il faut que je donne un 5ème album, ça va être dur Joe Satriani, The Extremist ? Slayer, Reign in Blood ou Seasons in the Abyss ou God Hates us All ?
Dur dur
Bon j'ai répondu hein, mais plus dans l'optique "si je veux faire partager aux gens mes groupes/artistes préférés, qu'est-ce que je leur ferai écouter ?", plus que vraiment déterminer quels albums sortent du lot de mes écoutes
Bon je vais essayer de donner mon avis même si je vais avoir du mal à justifier vraiment d'un point de vue technique.
Pulse(Pink Floyd) : Comme ça je n'ai pas à choisir entre un des albums des Pink Floyd. Ce live est très bien, un super son. En plus la plupart chansons préférées se trouvent sur cet album ( à savoir Shine on your crazy diamond, High hopes, another brick in the wall, Money, Breathe, ...)
Led Zeppelin IV( Led Zeppelin) : Le meilleur album de Led Zepp pour moi. Avec bien sur Stairway to heaven qui est magnifique et puis Going to california que j'aime beaucoup aussi et toutes les autres. Je ne sais pas comment expliquer pourquoi exactement j'aime cet album mais toutes les chansons sont bien en étant différentes.
Le Tour de -M- (-M-) : Encore un live, il faut dire que je préfère les live je trouve que la musique est plus vivante notamment au niveau des solos de guitare. Donc cet album est le meilleur français pour moi. Des chansons agitées, des chansons douces et puis les souvenirs du concert à chaque fois que je l'écoute
Pour les deux derniers j'hésite car il y a encore plein d'albums que j'aime beaucoup et je ne sais pas si je reste dans la musique "rock" ou si je parle de variété française comme l'album 1 air 2familles qui est très bien. Mais je vais rester dans les albums plus "musicaux". Sans dire que 1 air 2 familles n'est pas de la musique.
Donc
Elephant ( the white stripes ) : un album que beaucoup de monde doit connaitre donc je ne vais pas en parler. Juste ici je ne cite pas un live car après avoir vu le concert en DVD je pense qu'il vaut mieux écouter seulement en studio.
Live At wembley 5 (Queen) : Dernier album et encore un live qui regroupe tous les tubes de Queen avec une très bonne performance du groupe. Donc très agréable à écouter.
Voilà j'ai donné mon avis sans vraiment développer désolé maneero mais je n'en suis pas capable au contraire de toi qui fait ça très bien.
Pulse(Pink Floyd) : Comme ça je n'ai pas à choisir entre un des albums des Pink Floyd. Ce live est très bien, un super son. En plus la plupart chansons préférées se trouvent sur cet album ( à savoir Shine on your crazy diamond, High hopes, another brick in the wall, Money, Breathe, ...)
Mmmm. Il y manque tous les "vieux" titres, à part Astronomy Domine, revenu dans la playlist du groupe.
Je n'ai pas parlé du Live at Pompeii, fabuleux, le top du "moyen-vieux" Pink Floyd (1971-1973). Je ne sais pas si il existe en CD, mais à la base c'est un film réalisé par Adrian Maben, pas un concert au sens classique du terme.
Dernier album et encore un live qui regroupe tous les tubes de Queen
Aïe aïe aïe. BLASPHEME ! Il y manque les deux derniers albums (The Miracle et Innuendo, qui contiennent certains de mes titres préférés de Queen - Innuendo, The Miracle, The Show Must Go On, etc) et beaucoup des anciens albums.
Bon sinon sans rire, c'est un très bon live, et relativement très complet oui
Bon quand je dis tous les tubes c'est général c'est vrai que show must goi on est très bien. Mais en même temps j'avais prévenu que je me lançais dans ça mais que j'allais dire des bétises.
pour Queen, c'est pas grave, "je te taquine Claude"
Pour Pink Floyd, par contre, si tu ne connais pas leurs premiers albums (The Piper at the Gates of Dawn et A Saucerful of Secrets notamment) ainsi que leurs premiers titres lives hors albums (Careful with that Axe, Eugene, ...), il te manque un pan très intéressant de la carrière des Pink Floyd.
), voici une critique détaillée du dernier album d'Apocalyptica, le bien nommé 'Apocalyptica'...
ça me rappelle ta présentation initiale de l'enregistrement de Impact 
[total private joke 
