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association de paroles
(Sujet créé par ysandell l 12/09/05 à 16:38)
Sur le même principe que l'association d'images, l'association de chanson par les paroles...
quelqu'un poste des paroles et une autre enchaine avec les paroles d'une autre... on peut aussi bien posté une partie que la totalité de la chanson. N'oubliez pas de préciser à chaque fois le titre de la chanson et son auteur (qui n'est pas forcément son interprète, attention ).
Tous les styles sont évidemment autorisés mais il serait mieux de demander les traductions pour les langues étrangères en plus des paroles originales... pour éviter les Je commence
bonne partie, la musique adoucit les moeurs... et les coeurs!!!
Je bois pour oublier
mes années d'infortune,
et cette vie commune,
avec toi mais si seul,
je bois pour me donner
l'illusion que j'existe,
puisque trop égoïste
pour me péter la gueule!!!
et je lève mon verre à tous les coeurs en faillite,
aux illusion détruites
à ma fuite en avant...
Novice Maintenant Multi d'Emin (à compter du 4 novembre de l'an de grâce 2007)
A 15 ans du matin j'ai pris par un drôle de chemin des épines
plein les bras je me suis troué la peau mille fois,
A 18 ans du matin j'étais dans un sale pétrin jouant du poing de la chignole
de la cambriole du vol de bagnoles..
Ca fait du temps, maintenant, inexorablement...
passe le temps qui tue les enfants..
A 18 ans du soir j'ai perdu la mémoire
A 20 ans du matin j'ai rencontré l'amour qui devait rimer avec toujours,
il a rimé avec hier,
A 23 ans du matin tout seul comme tout un chacun,
Les yeux grands ouverts de ne rien voir j'ai peint des tableaux tout noirs,
A 23 ans du soir j'ai perdu la mémoire...
A 24 ans du matin la mort m'a serré la main,
Et en me tapant un coup dans le dos elle m'a dit "salut et à bientôt",
A 27 ans du matin j'ai chopé ma putain de guitare,
Et à grand coup de butoir j'écrase le cafard...
Ca fait du temps maintenant inéxorablement,
passe le temps qui tue les enfants..
-Allez, soulève ta bedaine, arrête de boire, ta bouche bave et tous les gens te regardent comme si tu avais trois têtes !
-Je viens mais ne me gronde pas car je suis las et triste et la vie m'est fade.
Car j'ai l'amour
Pour la fille de l'autre jour,
Elle m'a regardé
Et j'ai pleuré,
Elle m'a souri et puis
S'est envolée.
Mon coeur s'est brisé, seule elle
Pourrait le réparer.
-Arrête de rêver, c'est pas toi qu'elle regardait, on était cent dans la rue, tu as dû te tromper pauvre fou !
-Mais je l'aime et je n'y peux rien, et je veux boire et boire pour y penser.
Elle était belle,
Comme une fleur, comme l'amour.
Ses yeux luisaient plus que le jour.
Elle était belle,
Je n'veux plus rire, plus chanter
Si demain elle n'est pas à moi.
Toi mon souci,
Toi mon envie,
Toi qui m'enflammes
Deviens ma femme.
Prends juste les larmes
Que j'ai versées pour toi
Et sous ton charme
Elles deviendront des larmes de joie.
-Reviens à la raison, v'là que tu lui parles, arrête ta beuverie : on est dans un bar et pas à l'asile.
-Laisse moi, oh mais non, reste un peu car c'est elle que v'là à la porte du bar.
Oh mon pauvre coeur
Cesse de trembler, la voilà,
Plus belle qu'une fleur
Et que l'amour.
Oh ma pauvre bouche
Cesse de balbutier,
J't'en prie, regarde la voilà
Tout près de moi.
Ses yeux m'appellent,
Ses bras se tendent vers moi,
Cette fille est celle
Que le bon Dieu m'envoie.
Ses lèvres sont douces,
Son corps est chaud,
Ses cheveux me chatouillent le cou,
Elle est à moi.
T'es la plus belle
Serre-moi plus fort
Je veux des baisers
Jusqu'au petit matin
Ne me quitte plus
Je ne rêve pas
On va aller danser
Tant que la vie est là.
Au comptoir , Debout sur le Zinc.
C'est marrant, j'étais persuadé que c'était Patrick Bruel qui la chantait... On m'aurait menti??
Après un passage sur google, j'ai vu que Patriiiiiiiiiiiick l'avait en effet reprise... Mais rien ne peut valoir le Grand Jacques .
Novice Maintenant Multi d'Emin (à compter du 4 novembre de l'an de grâce 2007)
J'lui dis bonsoir, il m'dit bonjour
Quand il rentre le soir tard toujours en retard
Le couche-tard fait des cauchemars les fantômes dans le placard
Il promet de ne plus jamais boire
Entre cafard et café noir
Le couche-tard
Quand il rentre plus tôt du boulot le lève tôt
Il tire les rideaux et s'installe au chaud le dîner en plateau
Il se préoccupe de la météo
Est-ce que demain il fera beau?
Le lève-tôt
Couche-tard et lève-tôt se retrouvent dans le premier métro
Le métro a ceci de joli qu'on y voit le jour comme en pleine nuit
Accroché au comptoir le couche-tard toujours sur le départ
Cherche un auditoire qu'il accapare et invente des histoires
Parfois une petite bagarre
Parfois au désespoir
Au galop le lève-tôt fonce au bureau l'oeil sur le chrono
A l'assaut de la semaine et des matins jumeaux rien rien de nouveau
Et pour mettre du vin dans son eau il attend ses jours de repos
Le moral à zéro
Couche-tard et lève-tôt se retrouvent dans le premier métro
"Le lève-tôt est un tocard" prétend le couche-tard
"Le couche-tard un blaireau" assure le lève-tôt
Le métro a ceci de joli qu'on y voit le jour comme en pleine nuit.
Couche tard et Lève tôt, Bénabar
* Groumpf ! * * Assome Guerverine à coup de mémoire d'histoire de l'Art * (On reprend à Debout sur le Zinc quand même hein !! Ca vaut quand même le coup )
embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
ô tout pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Et lassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
J'aime tes larmes quand tu aime
Ta sueur le sang, rendons nous amants
Qui se passionne, qui se saigne
J'aime quand mon ecorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies, à nos adieux
Reviens moi, reviens moi
Tu partira mieux comme ça
A force de se tordre,
On en finirai par se mordre
A quoi bon se reconstruire,
Quand on est adepte du pire
Malgré nous, Malgré nous,
A quoi bon se sentir plus grand
Que nos, deux grains de folie dans le vent
deux ames brulantes deux enfants
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
des Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
Embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
Pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Elassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi {x2}
Serre moi encore serre moi
serre moi de tryo
EDIT: je dois dire qu'une trilogie mano solo, la rue kétanou, debout sur le zinc: moi je dis clap clap clap :respect
EDIT2: noir désir qui vient apres en plus, c'est bon la c'est l'extase ^^
Emmène-moi danser
Dans les dessous
Des villes en folie
Puisqu'il y a dans ces
Endroits autant de songes
Que quand on dort
Et on n'dort pas
Alors autant se tordre
Ici et là
Et se rejoindre en bas
Puisqu'on se lasse de tout
Pourquoi nous entrelaçons-nous ?
Pour les écorchés vifs
On en a des sévices
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Mais reste encore
Un peu après
Que même la fin soit terminée
Moi j'ai pas allumé la mèche
C'est Lautréamont
Qui me presse
Dans les déserts
Là ou il prêche
Ou devant rien
On donne la messe
Pour les écorchés
Serre-moi encore
Étouffe-moi si tu peux
Toi qui sais ou
Après une subtile esquisse
On a enfoncé les vis...
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices.
Oh mais non rien de grave
Y a nos hématomes crochus qui nous
Sauvent
Et tous nos points communs
Dans les dents
Et nos lambeaux de peau
Qu'on retrouve ça et là
Dans tous les coins
Ne cesse pas de trembler
C'est comme ça que je te reconnais
Même s'il vaut beaucoup mieux pour toi
Que tu trembles un peu moins que moi.
Emmene-moi, emmene-moi
On doit pouvoir
Se rendre écarlates
Et même
Si on précipite
On devrait voir
White light white heat
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Encore un effort
On sera de nouveau
Calmes et tranquilles
Calmes et tranquilles
Serre-moi encore
Serre-moi encore
Etouffe-moi si tu peux...
Serre-moi encore
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices
Les écorchés vifs
On les sent les vis
Arrache-moi les yeux,
Que je ne puisse plus voir.
Arrache-moi les mains,
Que je ne puisse toucher.
Arrache-moi les ongles,
La douleur jusqu'au bout des doigts.
Arrache-moi le coeur,
Que je ne puisse plus avoir peur.
Arrache-moi la tête,
Que je ne puisse savoir.
Arrache-moi les oreilles,
Que je ne puisse t'entendre.
Arrache-moi les...
La douleur jusqu'au bout de moi.
Arrache-moi le coeur,
Que je ne puisse plus avoir peur.
'ai rencontré la peur à l'âge de 4 ans
Dans la cour d'l'école maternelle la tête fait "Poc" sur le ciment
Ca m'fait plus mal maintenant, mais j'y pense souvent
On dit qu'les enfants sont méchants
Moi j'dis qu'ils ont encore d'la marge
Et surtout la chance d'avoir du temps
D'faire marche arrière et puis franchement
Qu'est-ce qu'ils en ont à foutre du temps,
Des aiguilles qui tournent et qui tournent et nous enfoncent dans le ciment
Ca les fait rire de nous voir comme des cons tirer la gueule
Alors ils chialent pas mal pour nous faire voir comme c'est marrant
J'ai retrouvé la peur à l'âge de 20 ans
J'avais rien demandé à personne elle s'est pointée comme ça doucement
Elle m'a frappé dans l'dos, elle m'a dit "va mettre tes rangeos
Et marche au pas derrière les autres"
J'en avais marre de prendre les chemins qu'on a toujours l'droit
Alors j'ai pris le gauche de toute façon c'est celui que j'préfère
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Alors j'ai pris le gauche de toute façon c'est celui que j'préfère
*prends ses dés en peluche, les jette*
Bon, entre Miossec et les fatals picards, sur le même thème, je vous propose :
On ne choisit pas son enfance, on m’a pas laissé être droitier
Mon père m’emmenait jamais au square mais aux réunions de comité
Mon père était tellement de gauche qu'on habitait rue Jean Jaurès
En face du square Maurice Thorez avant d’aller vivre à Montrouge
On a été en U.R.S.S. l’hiver , les pays de l’est c’est mieux l’hiver
On voit bien mieux les bâtiments, les nuances de gris ça flashe sur le blanc
Devant la statue de Lenine, pour nous c’était le grand frisson
Moins 24 c’était pas terrible et les chapkas étaient en option
Mon père était tellement de gauche que quand est tombé le mur de Berlin
Il est parti chez casto pour acheter des parpaings.
On mangeait des Lenin’s burger, fallait vraiment faire attention
Il y avait du chou une pomme de terre, la viande elle était en option
On achetait du coca Kolkose, approuvé par le comité
Ça devait soigner la silicose, on s’en servait pour désherber
On regardait pas la contrebande, on regardait pas la corruption
La Sibérie c’était disneyland, le discernement en option.
Mon père était tellement de gauche qu’à son mariage dans l’église
On chantait l’internationale, les femmes portaient des faux cils
Mon père était tellement de gauche, on a eu tout plein d’accidents
Il refusait la priorité à droite systématiquement.
Les copains se foutaient de moi tout le temps, car à l’école au premier rang
J’avais mes lunettes de Brejnev et le dentier d’un Tupolev
Mon père était tellement de gauche, qu’en 81 il croyait que ça changerait
Je sais pas quelle tête il aurait fait en 2002 en allant voter
Et même si tout ce que je raconte n’est pas tout à fait vrai
Le socialisme comme paradis nous on y croyait
Mon père était tellement de gauche, que lorsqu’il est parti
La gauche est partie avec lui.
Mon père était tellement de gauche, Les Fatals Picards
avec une chanson il y internationale, tu prends des risques ysandell, j'ai failli la mettre
bon on se contentera de
le socialisme comme paradis, nous on y croyait
J' peux pas dire qu'elle était vulgaire
Ou arrongante
L'était même plutôt au contraire
Elégante
Comme une tartine de confiture
Dans l' café
Comme un graffiti sur le mur
Des W.C.
J' l'ai rencontrée dans une manif'
Pacifiste
Ça castagnait sérieux avec
La police
J' m'étais fait mal en balaçant
Un pavé
J' m'étais foulé la ch'ville du bras
Le poignet
Elle était socialiste
Protestante et féministe
Un peu chiante et un peu triste
Institutrice
Croyait qu' le matin du grand soir
Allait v'nir
Croyait au grand souffle d'espoir
Sur l'av'nir
Genre de conn'ries qu' déjà quèqu' part
J'avais lues
Dans Minute ou dans un journal
Je sais plus
Elle m'a parlé d' Bernard Tapie
Enthousiaste
M'a dit qu'il avait du génie
Et d' la classe
J'ui ai dit: t'as raison, Ginette
C'est Karl Marx
En plus balèze, zn plus honnête
En plus efficace
Moi j'étais rien-du-toutiste
Anarcho-mitterandiste
J' sais même pas si ça existe
Mais ça m'excite
Pi elle m'a dit qu'elle avait des
Relations
Qu'elle était potes avec un pote
A Tonton
Qu'elle avait dîné y a un mois
Chez Jack Lang
Que Guy Bedos avait r'pris quatr' fois
De la viande
J'ui ai dit qu' moi j' fréquentais plus
Les salons
Que j'avais connu Charles Hernu
En prison
Qu' j'avais bouffé une fois dans un
Ministère
Qu'objectivement c'était meilleur
Chez ma mère
Elle était socialiste
S' méfiait des écologistes
Détestait les communistes
Et les dentistes
J'ui ai dit: Ginette, faut plus m' parler
D' politique
On va finir par s'engueuler
C'est classique
Comment veux-tu que j' sois d'accord
Avec toi
J'ai d'jà du mal à être d'accord
Avec moi
Elle m'a dit: J' m'appelle pas Ginette
D' toutes façons
J' m'appelle Simone, si ça t' fait rien
J'ai dit: Bon
Pi faut qu' j' m'en aille, faut que j' retourne
Gare de Lyon
Avant qu'on m' vole ma mobylette
Ça s'rait con
C'est comme ça qu' ma socialiste
Qui avait si peur des voleurs
M'a largué en pleine manif
A cause d'un vélomoteur
Comment tu veux changer la vie
Si tu balises pour ton bien ?
On peut pas être à la fois
Un mouton et un mutin
On peut pas être à la fois
Et au four et au moulin
On peut pas être à la fois
Jean Dutour et Jean Moulin
Novice Maintenant Multi d'Emin (à compter du 4 novembre de l'an de grâce 2007)
* Spéciale Kace-dédi à Arvaelith *
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces annees de service.
Antisocial, bientot les annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Ecraser les gens est devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu deviens genant.
Dans ton desespoir, il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
avec une chanson il y internationale, tu prends des risques ysandell
Même pas peur
Phèdre 'Vais me la mettre, tiens
Le voilà sur les genoux, mendiant du bout des bras,
Un sourire ou trois sous, de l'amour ou un toit,
Perdu dans sa misère il ne parle plus,
Quitté par la colère sa haine s'est perdue.
Son coeur a l'amertume d'une vie pleine de guerre
Qui doucement le consume jusqu'à le mettre sous terre
Sous terre ou sous un tas d'ordures ménagères
Que l'on n'emportera pas dans le luxe d'un cimetière
Parfois un voyageur a l'allure impeccable
Toise l'enfant d'malheur comme pour lui dire « dégage » ;
Il pense qu'il faudrait que cette race de rien
Soit réduite à néant pour dégager son chemin.
Reviens,
C'est un homme comme toi,
Alors reviens,
Donne-lui un semblant de vie,
Mais reviens,
Tu pourrais vivre à sa place,
Alors reviens, reviens, reviens…
Celui-là chante faux le seul air qu'il connaît
Dans la rame d'un métro, hiver comme été,
Pour public les badauds revenants de travailler,
Aigris de leur boulot, qui ne pensent qu'à rentrer.
Sa vieille voix fatiguée fait deux fois son âge,
Ses mains tentent de mimer l'histoire d'un partage
Auquel il ne croit plus, qui n'existe plus,
Auquel il a cru et qu'il a perdu.
A un mètre de lui un étudiant grande gueule
Parle fort et puis rit, se foutant bien d'sa gueule,
Pour séduire une fille toute fraîche et jolie
Qu'on pourrait croire gentille mais qui rit autant que lui.
Tais-toi,
C'est un homme comme toi,
Alors tait-toi,
Donne-lui une once de talent,
Mais tais-toi,
Tu gueule plus faux que lui,
Alors tais-toi…
Et moi je reste là muet les yeux baissés,
Honteux de ne rien donner, honteux de n'pas parler.
J'aimerais crever ce mal en commençant par là
Hélas je reste là muet les yeux baissés.
Puis mon regard se tourne vers les parois voûtées
Où pour un temps séjournent les grandes publicités ;
La vie y semble belle, et tout le monde est beau.
A quel monde dois-je croire ?
Auquel vaut-il mieux croire ?
Dans le métro, Debout sur le Zinc
EDIT: entre parenthèses, si vous voulez une excellent description de la vie d'une rame de métro... lisez au moins les cinquante premières pages d'Etat Limite de Pierre Assouline... terrible
Je voudrais au jour levé
Parcourir les champs de blé
Et voler tout autour de la terre
Pour pouvoir tout observer
Et pour me donner l'idée
L'idée de me sentir libérée
Oh le monde est fou
Vois au loin il vacille
Il vacille au loin
Et je sens son corps qui se déchire
Le monde est sauvage
Le monde est volage
Le monde est sauvage
Me donne envie de dire
Que je redoute le pire
Nous sommes dans la ligne de mire
Je voudrais au jour levé
Souffler sur les chandeliers
Et voler tout autour de l'enfer
Sans vouloir vous offenser
Je crains que vous n'oubliez
L'idée de vous sentir libérés
Oh le monde est fou
Vois au loin il vacille
Il vacille au loin
Et j'écoute son coeur qui se déchire
Novice Maintenant Multi d'Emin (à compter du 4 novembre de l'an de grâce 2007)
Il est arrivé Oncle Ben's avec un drapeau :
Voici du riz "il ne colle jamais"
Il ne nous restait plus que la peau sur les os
Alors distribution de Dakar à Lomé
C'était du riz long grain américain,
Des sacs partout mais pas un seul bouquin
Les hommes ont dit puisque c'est dans les colis qu'on trouve à manger,
Nous on reste au lit
Il nous a donné la recette du bonheur
Il nous a même donné l'heure ...
Tonton d'América
Il est arrivé habillé comme un cow-boy
Il etait beau comme un paquet de clopes
Avec dans sa hotte la dernière game-boy
Et des jouets de toute sorte
Des jouets qui valaient une fortune
Et une fusée pour aller sur la lune
Tonton d'américa
On a joué, quand les piles se sont usées
Le cow-boy a repris sa game-boy
Il a dit aux moutons "fini de danser
C'est moi le shérif et vous les bad boys"
On a beau dire mais quand on est nu
Même au diable on souhaite la bienvenue Il a fait tout les endroits habités
Et c'est depuis qu'aux quatre coins de la planète
On est tous assis à faire la même dictée
Tous à manger la même bouillie dans l'assiette
Tonton d'américa
Il a pris tout le zinc pour en faire le métro
Il a pris nos cheveux, s'est fait la coupe afro
Il a pris tout le café, il a pris tout le cuivre
Il est parti sans nous laisser la marche à suivre...
Tonton d'américa
Tiken Jah Fakoly - Tonton d'Amerique
(Lol grillée, mais pas grave je la laisse quand même... Ca colle quand même avec ce monde sauvage par association d'idée)
sur bonheur de ils nous a donné la recette du bonheur
Y a des jours à rouler par terre,
Un tapis, une bouteille, un verre,
De la musique sentimentale.
Y a des jours feignants à rien faire
Mais on est fait de telle manière
Qu'une voix nous dit que c'est mal.
{Refrain:}
Pourtant...
Le bonheur est souvent banal, {3x}
Le bonheur est banal.
Y a des jours à rester couché
Avec la femme d'à côté
Sans vouloir la guerre conjugale.
Juste aller au bout d'une envie,
Un petit tour et c'est fini
Mais une voix nous dit que c'est mal.
{Refrain}
Ho ho ! Un peu de bien ne fait pas d'mal.
Ho ho ! Bienheureux, c'est bien normal.
Tous les jours, il faut faire carrière,
Tous les jours, faire des affaires
Pour avoir un beau piédestal.
On désire souvent le contraire.
Un petit jardin sait nous plaire,
Mais une voix nous dit que c'est mal.
Pourtant...
Le bonheur est souvent banal, {x6}
Le bonheur est banal.
Un matin sans qu'on l'ait senti,
Un matin c'est l'heure de la guerre.
Un matin nous voilà partis
En panoplie de militaire.
On pense à la femme d'à côté,
A la musique sentimentale.
N'était-ce pas le Paradis ?
Mais une voix nous dit que c'est mal.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
J'ai 10 ans dans la gare de Nantes
ma petite est comme l'eau
avec le temps les passantes
faut pas que j'loupe mon vélo
cet air n'est pas né d'aujourd'hui
a message to you Rudy
les loups sont entrés dans Paris
como tu Marilou melody
could you be loved avec Denise
le soleil above le temps des cerises
elle est à toi cette chanson
la chanson de Prévert
ce soir mon petit garçon
y a d'la rumba dans l'air
je suis amoureux de tout un pensionnat
y a des allumettes au fond de tes yeux
pour une amourette qui passait par là
j'ai perdu la tête je vais faire du feu
could you be loved avec Denise
le soleil above le temps des cerises
entre le jazz et la java
dansez sur moi Lili Marlène
jimmy jazz mala vida
j'en ai vu pousser des rengaines
j'aimais déjà les étrangères
quand j'étais un petit enfant
Sarah Lily Lola Rastacouère
je chante pour passer le temps
could you be loved avec Denise
le soleil above le temps des cerises
19° au chaud on my radio
Pierrot mon gosse mon frangin mon poteau
manque de classe with my pince à vélo
porque te vas comme un petit coquelicot
Daddy was a bank robber
mon oncle un fameux bricoleur
allons voir si la rose pull up to the bumper
planet clair has pink air
could you be loved avec Denise
ce soleil above le temps des cerises
j'ai 10 ans dans la gare de Nantes
ma petite est comme l'eau
avec le temps les passantes
faut pas qu'je loupe mon vélo
j'aimais déjà les étrangères
quand j'étais un petit enfant
Sarah Lily Lola Rastacouère
je chante pour passer le temps
could you be loved avec Denise
le soleil above le temps des cerises
L'heureux mix, La Tordue
Cette chanson (enfin ce mix de chansons ) est énorme
Franchement William, de quoi j'ai l'air ?
Eh dis Mitchell, Lara va bien ?
Renaud aime ses champs, Marie la forêt
Philippe la ville et Marc l'avoine
Hugues t'es au frais, Pierre t'es r'péré
Jacques t'es qu'une brêle, Allez François fais l' man !
Robert charge le bois, Pauline les stères
Daniel bat l'avoine, Christophe le mit au sec.
Moi j'connais bien Jean Pierre Souchon, j'l'ai aperçu dans un avion,
Je connais bien Alain Mader, j'ai pris le thé avec sa mère,
J'connais bien Jean Jacques Aznavour, on s'téléphone 20 fois par jour,
Je connais bien Charles Goldman, hier soir j'dînais avec sa femme.
Sauter l'mur à Jean-Louis ou la barrière d'Alain
D'en haut Etienne, c'est Liane Foly
Mylène la fermière et Michel le berger
Jean Luc part de la haie et Jacques du tronc
Pardon Brigitte, y'a Serge qui s'bourre
Y'a Jacques y shlingue, Henri, ça va, y dort !
Quand Michelle tord, Patricia l'casse
Et quand Carla brunit, Alpha blondit
Moi j'connais bien Jean Pierre Souchon, j'l'ai aperçu dans un avion,
Je connais bien Alain Mader, j'ai pris le thé avec sa mère,
J'connais bien Jean Jacques Aznavour, on s'téléphone 20 fois par jour,
Je connais bien Charles Goldman, hier soir j'ai dépuc*** sa femme.
Chao Manu, Solo Mano
Allez Gilbert, fais bécot
Quand Alain chante fort, Véronique est sans son
Si Helène se gare la , moi j'me Garou ?
Christophe t'es rippert, Pierre t'es r'péré
Michel tu sors d'où, Charles tu traînais
Quand t'as Bertrand, t'a-as Rachid
Daniel et Léo sur la voie ferrée
Moi j'connais bien Jean Pierre Souchon, j'l'ai aperçu dans un avion
Je connais bien Alain Mader, j'ai pris le thé avec sa mère
Je connais bien Laurent Bachelet, mon frère était dans son lycée
Je connais bien Pierre Voulzy, la boulangère m'a parlé d'lui
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Michel tu sors d'où
La France pays d'assistés, je les supporte de moins en moins
A commencer par mon voisin
Ah mais c'est sympa ce qui passe à la radio
Pourquoi je n'aimais pas Sardou c'était idiot
Pourquoi toujours aider les gens,
Mon chien préféré c'est le berger allemand,
La vérité me frappe enfin maintenant
C'est chacun pour soi, et dieu choisit les méritants
Et tant pis si il faut
Que j'mette des mocassins ou des bateaux
Ca me gêne pas si ma fille doit
Apprendre le clavecin ou le haut bois
Et puis merde je vote à droite
Juste pous savoir comment ça fait
Et puis merde je vote à droite,
Je serai sûrement riche tout de suite après
Et après je vous mépriserais
Ca me rendait malade la fête de l'huma
Au Puy du Fou là je me sentais chez moi
Et s'il fallait tout confesser
C'est seulement à vulcania que j'ai pris mon pied
J'pourrai m'acheter un p'tit 4x4 même un gros
On va pas m'demander d'être écolo
J'revends mes disques de Jean Ferrat
Mais qu'il est drôle ce Laurent Gerra
Et tant pis si il faut
que j'lise Le Figaro dans l'métro
Ca m'gêne pas si je dois
être le seul atrio qu'applaudit pas
Et puis merde je vote à droite
fini d'être culpabilisé
Fini l'partage diplôme, mérite,
ceux qui foutent rien ben on les pique
Ca boostera les statistiques
Chérie deux ça suffit pas, c'est pas assez
On va faire cinq enfants, revendre notre stérilet
Tu vas quitter ton travail pour mieux tenir la maison
Et toi ma fille plus jamais en pantalon
Le chômage va reculer, s'infléchir
Mon chien va sûr'ment s'mettre à m'obeir
Les poubelles ne s'ront plus renversées
Les mauvais éboueurs s'ront plus régularisés
Et tant pis si il faut
Que j'passe quinze heures par jour au bureau
Ca m'gêne pas si on doit
Supprimer les chômeurs en fin de droits
Et puis merde je vote à droite
Les improductifs pas de chance
Je suis fier, je vote à droite
Marre d'être taxé à outrance
Comme Florent Pagny quitter la France
Papapapapapapapapapapa...
Et puis merde je vote à droite, Les Fatals Picards
Faut le berceau brodé, les sourires crispés
Faut la vierge au-dessus de la nouvelle venue
Faut surtout l'eau bénite pour asperger la p'tite
Qui chiale dans sa dentelle de noble damoiselle
Dès ses premiers quarts d'heure lui apprendre les bonnes moeurs
Dès que l'heure est arrivée l'envoyer dans le privé
Là faut être propre sur soi faut pas se tâcher les doigts
S'essuyer là pis là faut même pas songer à
Partager ses Petits Beurres avec deux trois petits beurs
Ni trop poser de questions de sexualisation
Vient la prière du soir le bivouac bord de Loire
Pour durcir en cachette le petit coeur de la louvette
Faut pas la bousculer faut pas la culbuter
Faut pas compter non plus lui mettre le grappin dessus
Faut pas l'enivrer faut pas l'embourber
Faut pas la faire pleurer mais vaut mieux l'enfleurer
V'là qu'elle rencontre Charles qu'est si beau quand il parle
Qui fait déjà partie des jeunesses du parti
Qu'a pas l'air d'un pédé qu'a pas l'air d'un niakoué
Qu'a pas l'air d'un pauvre gars il aime pas ces gens-là
Il la sort il la gâte puis on arrête une date
Les patriarches causent, les matrones sont roses
Ils feront de beaux bébés qu'auront de belles idées
Qui grossiront la liste de la gent nationaliste
Mais Charles il est patient, il sait que pour l'instant
Faut qu'elle fasse attention à garder son hameçon
Jusqu'à ce qu'il lui accroche à son doigt de la main gauche
Un putain de vrai diamant pour plaire à belle-maman
C'est le passage obligé pour pouvoir consommer
Alors procréation mais pas de récréation
Faut rejeter les travers les horreurs de la chair
On sait bien ce que ça fait des mal intentionnées
Des tueuses d'enfants qui baisent à tout venant
Et qui vont se libérer du fruit de leurs péchés
Sans scrupule et sans honte, faut restaurer la tonte !
Faut le fils puis les filles faut la jolie famille
Faut belle-maman dévote faut vieille cousine bigote
Grand-oncle caporal qui trône et qui se régale
Au-dessus de la cheminée en matant la couvée
Qu'il faut bien éduquer faut mettre le paquet
Faut que ça grandisse, soit mais en penchant à droite
Charles est devenu patron
Il prend soin de ses rejetons
Culture histoire tradition héraldique et bijoux
Tous les ans avec Papa on va au Puy du Fou
Elle, elle est blanche et fière vernie, sertie, austère
Et tous les matins passe devant le sans-pain d'une autre race
Qu'est assis, qu'est couché et qui veut pas bosser
Bientôt elle sera grand-mère et sa dose de prières
Augmentera encore pour s'octroyer le sort
Protéger les lardons d'abjectes tentations
Hétéros ils seront ou bien plus de ce nom
Devant l'urne bêlant sortiront pas du rang
Courant qu'on se le dise s'épouser à l'église
Quatre-vingt-douze hivers faut revenir en arrière
Quand il est temps de crever au milieu de sa couvée
Dans ses draps de vieille veuve elle admire son oeuvre
Et se dit que finalement elle a perdu son temps
Elle a perdu son cul à pas se faire monter dessus
Elle a perdu son âme à trop juger infâme
Ceux qui vivaient ailleurs peut-être qui vivaient meilleur
Elle crèvera de fatigue
Desséchée comme une figue
En détestable pieuse