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Voila une petite info que je viens de trouver sur le net.
Opeth : "Ghost Reveries" Deluxe !
L'information vient enfin de sortir sur la future édition Deluxe du chef d'oeuvre "Ghost Reveries". L'album arrivera le 25 juillet sur Roadrunner Records et comprendra un matériel bonus conséquent, parmi lequel un documentaire de quarante minutes sur la réalisation de l'album + une reprise de Deep Purple ["Soldier of Fortune", enregistrée lors d'une session BBC], ainsi que la vidéo ralisée pour "The Grand Conjuration", des notes extensives, des photographies et un booklet de vingt-quatre pages... le tout agrémenté d'un rendu sonore en 5.1. réalisé par Jens Bogren.
En parallèle à cette bonne nouvelle, un projet commun associant Mikael Åkerfeldt [leader d'Opeth], Steven Wilson [Porcupine Tree] et Mike Portnoy [Dream Theater] va probablement voir le jour dans un futur proche.
Bon déja quand on connait la qualité du dernier album d'Opeth, la simple idée qu'il y ai une edition limité me laisse réveur surtout quand on voit la liste des bonus(ils se fichent pas de nous les petits suedois).
Mais l'annoce d'une collaboration entre Mikael Åkerfeldt et Mike Portnoy occulte presque l'annonce précédante, ça ne pourra donner que du tout bon!!!
Bon maintenant c'est officiel, si le rock est mort il est revenue d'outretombe ce soir pour mettre un grand coup de hache en travers de la tronche de la pop!!!
et aux présentateurs. OK vous etes vert pour la france(d'un autre coté vu ce qu'on a envoyé faut pas non plus s'étonner hein ) mais c'est pas une raison pour parler pendant la prestation des gagnants!!!!
et aux présentateurs. OK vous etes vert pour la france(d'un autre coté vu ce qu'on a envoyé faut pas non plus s'étonner hein ) mais c'est pas une raison pour parler pendant la prestation des gagnants!!!!
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Le quatuor infernal au rapport ! (Dame Nayla, Messires Karion et Kobiwan, et votre plume d’oiseau-lyre aux claviers)
Objet : Dionysos- Les Wampas
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs,
Nous avons l’honneur par la présente missive de vous faire part de nos impressions sur le concert d’hier soir. Arrivés de bonne heure pour trouver les meilleures places possibles (quatre espaces confortables près des barrières, au centre), nous fûmes éblouis dès les premiers accords. Des jeux de lumière dévoilent un décor très burtonien (un superbe arbre tortueux porteur de grappes de lumière), sur fond de Danny Elfman. Apparaissent six diablotins aux classieux costumes noirs déchirés d’une cravate colorée –robe noire fourreau pour dame Babette plus connue sous le nom de « BABETTE ON T’AIME » ou « BABETTE T’ES LA PLUS BELLE » ou encore, de façon plus facétieuse, « top model miniature qui pue des pieds et qui est susceptible quand on fait du bruit pendant qu’elle chante ». Giant Jack is on our back, des bonds secouent le chanteur survolté et l’on plonge dans l’univers fantastique, délirant, jouissivant de ces Monsters in love qui nous sont si chers.
Ils ont joué presque tout le dernier album, avec quelques clins d’œil à Western sous la Neige (une reprise délirante de Don Diego 2000, un Mc Enroe’s poetry déchaîné et surtout, surtout, l’incontournable Song for a jedi en rappel… de 20 minutes), réinterprétant avec une bonne humeur contagieuse pour les « mother fucker’s chicken » que nous étions nos titres préférés. J’ai cru mourir de joie la dernière fois que je t’ai vu… oups, pardon, devant leur reprise de la Métamorphose de Mister Chat, ma préférée. Le sauteur est un tetra ouf gueudin de première, s’offrant le plaisir d’un slam pour parcourir toute la salle jusqu’en haut des gradins, plaisantant, proposant de faire un pogo silencieux, excitant la foule, la galvanisant, se jouant de nos humeurs et de son corps avec une énergie contagieuse. Vos quatre ambassadeurs en Pierredeteary étaient ravis, les pieds en compote, les zygomatiques crampées de trop sourire.. bref, le pied, capote powa tout ça tout ça, jusqu’aux dernières minutes d’adieux où notre crooner préféré se lance a capella, seul, sur Neige, nous faisant chanter… jusqu’au dernier souffle.
TROP BON !
Le temps de changer de place pour gagner les gradins, d’aller chercher une bière (ah bah hé ! ça donne soif tout ça !), de faire l’acquisition de t-shirts et d’affiches… nous fûmes hélas peu préparés à ce que nous allions subir. Dès les premiers accords… on s’en est pris plein les gencives ! Effets kitchissimes de lumière, un WAMPAS Géant nous signale la présence d’olibrii, ou plutôt de gamins de 40 ans à qui on a donné des guitares électriques, la permission de monter le son jusqu’à s’en exploser le tympan et l’occasion de beugler un peu. Je pense avoir tenu 4 ou 5 chansons, en me bouchant les oreilles, fixant d’un œil morne et désabusé cet espèce de grand échalas tout occupé à se dévêtir et à envoyer en l’air son micro (pour le plus grand bonheur du type de la secu, chargé de récupérer le pied de micro en pleine voltige, empêcher le chanteur de se prendre les pieds dans le fil), avant de quitter la salle, laissant à ses beuglements sans sens et plein de larsen ces curieux individus…
modérateur Aes Sedai Co-resp de la Tour Blanche demi-Fluffy
je cite Le Monde
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Le chanteur jamaïcain de reggae Desmond Dekker est mort jeudi 25 mai d'une attaque cardiaque dans son domicile au sud-est de l'Angleterre. Il était âgé de 63 ans. Bien avant l'avènement de Bob Marley et la diffusion planétaire de cette musique, il en fut la première star en se hissant au sommet des classements britanniques dès 1968 avec le tube Israelites.
Né le 16 juillet 1942 à Kingston, ce soudeur se fait remarquer par le producteur Leslie Kong qui lui fait enregistrer King of Ska, dont le titre constitue à lui seul un programme. C'est dans ce registre, le ska, ancêtre plus dynamique du reggae, qu'il obtient ses premiers succès à la tête de sa formation, The Aces. Sa réputation franchit les frontières de l'île en 1967 avec 007 (Shanty Town), qui lui permet d'être l'idole des "Rude Boys", les mauvais garçons de la Jamaïque, avant d'être adopté en Grande-Bretagne par le mouvement mod.
Sa bonne étoile brille encore plus haut l'année suivante avec Israelites, qui entre dans les classements américains, exploit rarissime à l'époque pour un artiste du tiers-monde. Mais la mort de son mentor Leslie Kong, en 1971, le laisse désemparé. Il se complaît un temps dans des ballades sirupeuses avant d'être remis à la mode par le mouvement "Two-Tone", le "revival" du ska dans la Grande-Bretagne de la fin des années 1970 initié par les Specials, The Selecter et Madness.
Ce regain d'intérêt pour son oeuvre lui permet d'enregistrer l'album Black & Dekker avec The Rumour, le groupe de Graham Parker, puis Compass Point, produit par un des plus gros vendeurs du moment, le chanteur Robert Palmer.
Desmond Dekker, qui se considérait comme le détenteur du reggae authentique, était encore actif puisqu'il est mort au cours d'une tournée européenne. Celle-ci se sera finalement arrêtée à Leeds, le 11 mai.
Si vous voulez la critique demandez le log à nayla sur msn Sinon si j'ai pas la flemme je reprendrai toutes les phrases pour faire un psot, mais ça va être long ...