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Bienvenue à l'Auberge du Tonneau Désincarné
(Sujet créé par JustBob l 13/02/04 à 17:39)
Voyageur, viens donc te reposer un instant dans cette auberge.
Prends garde cependant, tu y rencontreras sans doute des personnes aussi étranges que diverses, car ce bâtiment est étrange... comme l'Oeil du Monde, il est partout et nulle part à la fois, et il t'a d'ailleurs suffi d'un gosier sec ou vide pour trouver notre enseigne en levant les yeux...
Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à demander.
Si tu souhaites en savoir plus sur les coutumes de notre contrée ;
si tu t'interroges sur les illustres personnages qui nous font l'honneur de fréquenter notre établissement ;
si les différentes communautés qui peuplent cette région t'intriguent ;
si, tout simplement, tu veux savoir ce qui se passe actuellement en pleine lumière ou dans l'ombre du jeu des différentes organisations,
nous ferons de notre mieux pour te renseigner et t'aider à t'intégrer !
Ici, nulle autre règle que le respect d'autrui et tu trouveras une liberté de parole et de pensée qu'on souhaite la plus large possible, ainsi d'ailleurs que le gite et le couvert.
Mais trêve de bavardages, prends donc place parmi nous...
(pour un plan de l'Auberge, cliquer sur l'enseigne)
Je me réveille dans ma chambre, et tourne la tête vers la fenêtre.... Pfff.... du soleil, est-ce que c'est vraiment trop demander? Je me lève et m'habille dans la hâte, me rafraîchis le visage et descends les escaliers en trombe. Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est, et je m'en fiche pas mal.
J'ai faim.
J'arrive dans la salle, et toutes les têtes se tournent vers moi.
J'ai peut-être fait une entrée un peu trop bruyante... Après ce qu'il s'est passé, je ferais mieux de me faire discrète, comme tout le monde.
Je croise le regard de Gablebo. Je détourne mes yeux de lui, et rougis. Les personnes tristes m'ont toujours mise mal à l'aise, je ne sais pas pourquoi. Peut-être parce que j'aimerais dire quelque chose de récomfortant, et que je ne peux pas.
Je toussotte discrètement, et m'avance en direction du bar.
Mais où est donc M'ar Shell?
Dans l'instant, j'entends la porte s'ouvrir et vois l'aubergiste ainsi qu'un inconnu en grande discussion. Ce dernier m'a tout l'air d'être un confrère...
A peine l'oiseau-lyre a-t'il pris son envol, que déjà d'autres cherchent à le remplacer.
Il s'agit peut-être d'un homme peu scrupuleux, mais peut-être aussi qu'il n'est au courant de rien... J'aime à croire que les miens ont tous un bon fond.
M'ar Shell se replace derrière le bar. Je lui souhaite le bonjour, puis lui demande des oeufs, du pain et du beurre, avec un bon café bien noir.
Je me tourne alos vers l'inconnu avec un air méfiant difficilement caché derrière un sourire sympathique:
"Alors, cher confrère, quelles nouvelles des routes?"
L'aubergiste m'invite à l'accompagner vers l'entrée principale de l'auberge. Tout en marchant, il m'entretient des derniers potins, en feignant un enjouement que je devine forcé. La porte d'entrée qui s'ouvre en grinçant me révèle une salle commune bien tenue, mais pourtant peu remplie. Mon regard est tout de suite attiré par une jeune fille, installée au bar, qui me dévisage en fronçant les sourcils. je ne pense pas me tromper en reconnaissant une ménestrelle. La déception de me voir devancé est bien vite effacée par la joie de rencontrer une consoeur.
"Alors, cher confrère, quelles nouvelles des routes?"
"Rien de bien intéressant, je le crains. J'ai passé les dernières semaines dans des villages reculés de l'Andor, et je ne suis pas très au fait des dernières nouvelles."
*Dans chaque paire d'yeux, un regard triste. Mais que s'est-il passé ici?*
Je jette un regard circonspect autour de moi. Je n'ose pas poser cette question de vive voix.
"Mais je ne me suis pas présenté: DarkShadok, ménestrel et voyageur."
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
*Avant d'accompagner Dark Shadok vers l'auberge, je prends la main de Milly et lui murmure dun air aussi complice que possible.*
Tu vas voir, je vais te présenter un ami plein de vie .
*Après avoir laissé nos deux ménestrels en conversation, je mène Milly à ma chambre. Comme je m'y attendais, Piclionne dort sur mon lit. A notre entrée, il lève une oreille, ouvre un oeil, puis enfin s'assoit et s'étire. Il tend un museau frétillant pour se renseigner sur la nouvelle arrivante.*
Prenez bien soin l'un de l'autre. Je reviens vous voir d'ici un moment.
*Je me penche sur l'enfant avant de sortir.*
Il adore les pelotes de laine et les bouts de chiffon .
* lève une oreille distraite à l'approche des arrivants *
Il adore les pelotes de laine et les bouts de chiffon
Meooow ?
* fixe un oeil blasé sur Gab', l'air de se demander si l'ex-amant d'Ysandell plaisante ou s'il est, hélas ! sérieux *
* aperçoit la petite fille *
Bon, j'ai compris... Tout gentil tout mignon, mon gars, tout gentil tout mignon...
* baîlle et s'étire *
La lueur chaude qui s'est allumée dans mon coeur quand l'Homme en Bleu m'a pris la main, s'enfle à la vue du chat. Réconfortée par l'attention du sire, je me sens un peu mieux. Je m'assoie près du chat et sans le toucher encore, car je n'ose pas froisser le tissu de ses poils soyeux, le regarde béatement.
"Mais je ne me suis pas présenté: DarkShadok, ménestrel et voyageur."
"Ithilarin, enchantée". Mon sourire se fait plus franc. Il n'a pas l'air bien méchant.
Accoudée au bar, je commence à manger. Ca me donne une contenance, mais me rends plus que grossière. Après deux ou trois minutes, je repose ma tartine et me tourne vers Dark Shadok. Le regardant dans les yeux d'un air sérieux et décidé, je lui dis:
"Ecoutez, je -... excusez-moi. J'avoue que je ne suis pas vraiment correcte".
Je toussote pour adoucir un peu ma voix:
"Tout ce que je peux vous dire, c'est que si vous cherchez une place ici, c'est peine perdue, du moins pour l'instant". Je marque une pause avant d'ajouter: "Rassurez-vous, je ne vous dis pas cela pour vous évincer".
J'essaie de ponctuer cette phrase d'un petit sourire amusé.
Je finis mon café, repose ma tasse et en observe le fond, les yeux vitreux.
"Ce n'est pas l'endroit le plus gai de Tar Valon en ce moment, mais vous y serez bien". Lui montrant une table vide près du feu, j'ajoute: "Mais parlons donc d'autres choses..."
Je m'installe sur ma chaise, pose mes pieds sur une autre, et attends que mon confrère se soit assis. Je le regarde droit dans les yeux, pour lui signifier de lancer la conversation.
Tout est si pesant ici... tout le monde est si triste... Je repartirais bien sur les routes mais... non, je ne peux pas faire ça.
Un ménestrel vient d'entrer avec l'aubergiste. Il entame la conversation avec une de ses collègues déjà présente.
Je me lève et m'installe à la table voisine de la leur.
Ce n'est pas très correct mais si j'écoute leur conversation, je saurai peut-être pourquoi tout le monde tire une tête d'enterrement ici.
* observe la petite fille d'un air intrigué, sent beaucoup de tristesse ravalée, nouée par un obscur sentiment d'abandon, de perte... Sent la tendresse et l'émerveillement aussi -*
* se lève et rejoint les genoux de la demoiselle en quelques pas gracieux, se dresse et pose ses pattes avant, gants de velours tendres, sur la poitrine de la petite pour lui offrir un long regard grave et intelligent*
Je meow parce que l'Oiseau-Lyre n'est plus, parce que mon sommeil a été vide de sa voix, de son rêve.
Je meow parce que Gablebo m'a laissé dans cette chambre et a le regard trop sombre, privé de sève.
Je meow parce que les rues de Tar Valon sont pleines d'ombres et clairsemées de rats.
Je meow parce que les ténèbres de cette ère ne devraient pas briser de petites filles comme toi.
Surprise par le chat qui s'installe sur moi, je regarde un moment dans ses yeux qui semble vouloir me dire quelque chose. Alors, timidement, j'avance ma main et commence à doucement le caresser, presque l'efleurer, par peur de l'abimer. Puis, ravie par la douceur des poils de cette bête et la curiosité de ses mouvements, je soupire de contentement, sans toutefois sourire. Non le sourire n'est pas si facile à réaprendre.
Alors comme ça t'aime les pelotes de laine ? C'est vraiment bizarre hein comme passion.
Moi j'aime l'herbe, le soleil, l'odeur de la nuit et les tartes de Monsieur.
* soupire de contentement, lui aussi *
Enfin, elle a compris
Mrrrrrr...mirouuuu...rrrrr....graouh
Alors comme ça t'aime les pelotes de laine ?
...
Si elle m'en fout une dans les pattes, j'irai pisser sur le tapis de la roulotte de l'autre en guise de vengeance.
Moi j'aime l'herbe, le soleil, l'odeur de la nuit et les tartes de Monsieur.
*accueille la liste avec un nouveau ronronnement et dresse une oreille aux trois derniers mots *
Tarte ? Monsieur ?... Tarte ?
* donne un petit coup de langue à l'une des mains caressantes puis effectue un soyeux retournement pour présenter son ventre, pattes dodelinantes, yeux mi-clos et gourmands *
Je gratouille le chat derrière les oreilles et de l'autre main lui caresse le ventre. Un peu surprise par ce ronronnement, j'en suis amusée
C'est marrant ça ce bruit, ça sort d'ou ?
De ton ventre on dirait... Ah t'as ptet faim éh ! Viens on va chercher à manger !
[small][small]Euh comment je prend ça moi...
[/small][/small]
Hum.
Je soulève doucement le chat et le place sur mon épaule et mon bras, du mieux que je peux. Puis je me lève et sors. On descend l'escalier,
je yeute pour voir si y a quelqu'un dans la cuisine... [d10]Oui mais il part. On entre alors. Je pose le chat par terre et commence à fouiller puis trouver un fruit et un bout de tarte aux kiwi. Je chope, fais signe au chat et remonte discretement.
Hey mais comment elle me balade l'autre !
...
Et tout ça pour un bout de tarte... au truc vert ! Pouah, ça pique !
MEOW !
*file entre les jambes de la petite pour lui montrer ma désapprobation, retourne vers la cuisine, grimpe d'un bond souple sur une table *
[D10]:
Y'a un client qui ne va avoir que de la garniture... 'Font vraiment plus attention à rien tellement ils sont perturbés * mange rapidement avant de se faire attraper *
* se lèche les babines d'un air innocent *
* part à la recherche de la petite fille *
Je n'ai pas pu protéger notre dame, je peux bien m'occuper un peu de l'enfant qu'il m'a confié...
*tiens... il repart ! Bon.* Je m'assoie sur le lit et commence à manger toute seule, en essayant de pas faire de miettes sur le lit. Quand j'ai fini, je me rend compte que je suis à nouveau seule. Je me rappelle la tristesse de Monsieur et de l'Homme en Bleu, mon visage s'assombrit. Je pousse un grand soupir désespéré et me laisse molir sur le lit. Puis soudain la fatigue, les sentiments tiraillants le coeur, me font rapidement sombrer dans le sommeil. En boule sur un coin du lit, je dors déjà.
* vient se nicher contre la petite, la chatouille de ses moustaches comme pour l'embrasser...*
Meow...
Moi y'en a être chat
Quand dehors il fait froid
Attendre mon repas
Tapi au creux de tes draps
Si un jour tu préfères
A mes félines caresses
Les canines d'un chien en laisse
Tu ne comptes pas sur moi
Pour dormir sur le sofa
Je te montrerai de quoi
Est capable un gros chat
A ce jeu là je suis le roi
Et la souris ce sera toi
...
Mais qu'est-ce que je raconte moi. *se roule en boule, contre la petite*
*s'endort*
Le frottement des chaises sur le sol lorsque nous nous asseyons fait place au silence. Je mets un moment avant de reprendre mes esprits. Il est vrai que d'habitude c'est moi qui écoute en silence les péroraisons des marchands de passage ou les élucubrations des piliers de bar.
"A vrai dire, je ne compte pas m'attarder dans la région. Mais quelques jours de repos ne seraient pas de refus, le temps de choisir ma destination."
*Ce qu'il s'est passé ici n'a rien à voir avec les querelles de paysans auxquelles j'ai eu droit encore hier...je vais pouvoir en apprendre beaucoup sur le monde en restant ici quelques temps. Mais j'ai peur que les nouvelles ne soient guère réjouissantes.*
"Vous semblez être une habituée des lieux; comme je vous l'ai dit, la Roue m'a laissé en quelque sorte sur le bas-côté, et je ne sais rien des événements récents...euh... dont vous voudriez me parler, bien sûr."
J'esquisse un demi-sourire d'excuse que je devine peu convaincant. La tristesse ambiante me fait regagner la morosité qui m'avait pourtant quittée ces derniers jours.
Multi<center> Chef de comm' des Frères Loups</center>
Aenor avait tout entendu bien sur et après que l'aubergiste, l'homme et la petite fille furent rentré dans l'auberge elle s'était préparée à passer la nuit dans la forêt non loin de l'auberge. Le lendemain matin elle essaya de se mettre en quète de nourriture mais la forêt était toujours vide de ses occupants habituels.
*bon eh bien je pense que je vais de voir une fois de plus me sustenter dans cette auberge. de toute façon cela me permetra peut etre de me renseigner sur ce que je recherche*.
Une fois entrée dans l'auberge elle remarqua que la salle était pratiquement vide à l'exception de quelques personnes. Elle alla donc s'assoir à une table au fond de l'auberge comme hier. Après avoir mangé et réglé ce qu'elle devait elle se dirigea vers l'aubergiste et l'aborda : - Excusez moi...euh... monsieur ? Pourrais-je vous parler seule à seul une minute ? J'ai quelques petites choses à vous demander. Pourrions nous nous isoler quelque part ?
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
*RP OFF*
Tout le monde est d'accord pour passer au lendemain ? Si ça n'est pas le cas Aenor, on dira que tu n'as pas dormi. Le temps est flexible en RP, et la situation n'est pas non plus d'une grande importance, on peut faire un peu ce qu'on veut. L'auberge est de toute façon un lieu de rencontre et d'échanges, le temps après... .
Bref, on s'en balance .
*RP ON*
*Je lève les yeux vers la jeune femme. C'est celle qui a les mêmes yeux qu'Elann, Klian, Peyo... et qui rappelle Dame Libure dans ses manières surtout. Autant de gens qui hésitent entre revendiquer leur nature auprés des humains et se cacher pour laisser libre cours à leur... don.*
Nous pouvons aller à la bibliothèque si vous voulez.
Suivez moi.
*Nous traversons la salle commune et tournons à droite dans le couloir. La bibliothèque est immense pour une auberge, et ferait pâlir d'envie plus d'un archiviste. Il n'y a personne en ce moment.*
Multi<center> Chef de comm' des Frères Loups</center>
Aenor suivit l'aubergiste dans la bibliothèque. Il ne dégageait aucune odeur de peur ni de méfiance et c'est ce qui l'insita à lui parler librement
- Savez vous ce que je suis ? En avez vous vu d'autre comme moi ? si c'est le cas vous devez me dire où je peux les trouver c'est extrèmement important.
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
Oui, je sais ce que vous êtes. Vous savez, ce lieu attire les personnes extraordinaires... Et, je ne sais pourquoi, j'y suis lié, d'une manière ou d'une autre. Beaucoup de vos semblables sont déjà passés par ici. Je sais que vous avez plutôt l'habitude d'être exposée à la méfiance, parfoisà la haine. Mais j'ai appris également que vous ne pouviez être corrompus par les Ténèbres, malgré parfois quelques manières assez... brutales.
*Je souris en coin d'un air entendu en terminant cette phrase. Moins qu'une ironie, il s'agit plutôt là d'une manifestation d'amusement d'un homme qui, vraisemblablement, en a vu d'autres. Ce qui est suffisamment rare pour être noté.* Quatre de vos... compagnons sont déjà venus. La seule femme, Dame Libure, vous ressemblait beaucoup, en de nombreux points. *Nouveau sourire discret.* Mais je ne peux hélas vous dire où elle se trouve actuellement. De même pour Elann, qui a travaillé un peu ici à une époque. Il a disparu sans prévenir lors d'une... d'un voyage. Nous pensons qu'il est sans doute mort aujourd'hui.
Par contre, j'ai plus d'informations sur Peyo Garonda, un jeune garçon qui lui aussi travaillait avec nous. Il est parti à la Tour, où on s'occupait plutôt bien de lui, aux dernières nouvelles. Il semblerait qu'il y soit toujours. C'est un garçon plein d'élan, assez naïf même. Il hésitait beaucoup entre son amour pour les loups et celui pour les hommes.
Peut-être avez-vous déjà entendu parler du dernier. Il s'agit de Klian al'Astor. Il est d'une grande famille d'Andor, je ne sais plus à quel niveau exactement, et je ne voudrais pas dire de bêtises... il est parti avec Liliana, notre serveuse, vers Caemlyn. Cela fait maintenant un moment. Je ne sais pas s'ils y sont toujours, nous n'avons pas eu de nouvelles depuis leur départ.
J'espère que cela vous aidera. Si vous avez besoin d'une aide quelconque, sachez que cet endroit sera toujours ouvert pour vous.
Multi<center> Chef de comm' des Frères Loups</center>
- je ne connais aucune des personnes que vous avez mentionné.
Aenor le regarda attentivement comme si elle voulait lire dans ces pensées
- Vous ... me surprenez ! C'est la première fois que je rencontre quelqu'un ... comme vous. D'habitude les gens me traitent d'amie du ténébreux et me chassent en faisant le signe contre les mauvais esprits dans mon dos. Mais vous ... vous etes différent. Ca fait ... du bien deparler avec un humain. Vous aurez compris , je pense, que j'ai très peu de contact avec ceux de votre éspèce euh... de notre éspèce. J'ai encore du mal à réaliser les choses.
Aenor n'était pas vraiment à l'aise et s'exprimait avec difficulté. mais elle sentait qu'elle pouvait avoir confiance en cet homme. Mais il y avait tout de même quelque chose qui la dérangeait ici. Une odeur de malheur qu'elle n'avait jamais sentie avant et elle ne comprenait pas pourquoi.
- Puis-je vous poser une question ? Que c'est-il passer ici ? Je sens une profonde tristesse ici et une odeur de brulé dans la forêt a fait fuir tout les animaux du coin.
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*
