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association de paroles
(Sujet créé par ysandell l 12/09/05 à 16:38)
Sur le même principe que l'association d'images, l'association de chanson par les paroles...
quelqu'un poste des paroles et une autre enchaine avec les paroles d'une autre... on peut aussi bien posté une partie que la totalité de la chanson. N'oubliez pas de préciser à chaque fois le titre de la chanson et son auteur (qui n'est pas forcément son interprète, attention ).
Tous les styles sont évidemment autorisés mais il serait mieux de demander les traductions pour les langues étrangères en plus des paroles originales... pour éviter les Je commence
bonne partie, la musique adoucit les moeurs... et les coeurs!!!
Je bois pour oublier
mes années d'infortune,
et cette vie commune,
avec toi mais si seul,
je bois pour me donner
l'illusion que j'existe,
puisque trop égoïste
pour me péter la gueule!!!
et je lève mon verre à tous les coeurs en faillite,
aux illusion détruites
à ma fuite en avant...
C'est tres joli ce que tu nous a fait la Ithi mais tu pourrais arranger ta quote s'il te plait ?
Kingdom
Bienvenue mes amis !
Venez ! Venez ! Venez !
Vous êtes tous invité.
Soyez les bienvenue en chiraquie.
Ici c’est chez toi.
Mais tu ferme ta gueule ! Ferme ta gueule !
Ici y a un roi.
Des seigneurs qui font ce qu'ils veulent
Ici y a des lois.
Seulement pour le peuple, Seulement pour le peuple.
L’immunité en suprême privilège la justice en état de siège
Bienvenue en chiraquie
Démocratie se fais monarchie
T’étonne pas si ça chie
Bienvenue en chiraquie
Bienvenue et constate le gâchis
J’entend les cris de la rue.
Mais au château ça reste sourd
Tant que le peuple paye sa dîme
Ca festoie a la cours
SI il appelle au secours on lui r'sort les beaux discours
Vla les bouffons du roi qui dansent et gesticulent
Leur mission ; faire passer la pilule !!
Leur méthode : de promesses en mensonges sans le moindre scrupule
Mais dite moi, mais dite moi qui est encore crédule
Bienvenue en chiraquie
Démocratie se fais monarchie
T’étonne pas sii ça chie
Bienvenue en chiraquie
Bienvenue et constate le gâchis
Pourtant il est valeureux il est valeureux
Si souvent victorieux si souvent victorieux
Détournement de fond, emplois fictifs, abus de bien socio, HLM de paris
Contemple les victoires de notre roi,
Dans ça guerre, dans ça guerre contre nos lois
Hey Sinsé encore !
Ici c’est chez toi.
Mais tu ferme ta gueule ! Ferme ta gueule !
Ici y a un roi.
Des seigneurs qui font ce qu'ils veulent
Ici y a des lois.
Seulement pour le peuple, Seulement pour le peuple.
Le message est clair pour une fois
Toi et moi on s’appelle France d’en bas
Et même si ta vie est un combat sache que tout le monde s’en bas dans leur débat
On est juste des statistiques, des braves bêtes bien sympathiques,
Des marchandises qu’on oublie o fond de l’arrière boutique
Valeurs marchandes dans leur trafic
Ce que je vois c’est pas du cinéma
Cette fois c’est pas du Coppola
C’est au sommet de l’état
Que règne leur mafia?
Bienvenue en chiraquie
Démocratie se fais monarchie
T’étonne pas si ça chie
Bienvenue en chiraquie
Bienvenue et constate le gâchis
Oups pardon Je pensais que ça ne faisait ça que chez moi. Mais comment diable ai-je fais?
Bref...
Bienvenue
Come to my house
Be one of the comfortable people.
Come to this house
We're drinking all night
Never sleeping.
Milkman come in!
And you baker,
Little old lady welcome
And you shoe maker
Come to this house!
Into this house.
Come to this house
Be one of us.
Make this your house
Be one of us.
You can help
To collect some more in
Young and old people
Lets get them all in!
Come to this house!
Into this house.
Ask along that man who's wearing a carnation.
Bring every single person
from Victoria Station,
Go into that hospital
and bring nurses and patients,
Everybody go home and fetch their relations!
Come to this house
Be one of the comfortable people.
Lovely bright home
Drinking all night never sleeping.
We need more room
Build an extension
A colourful palace
Spare no expense now
Come to this house
Be one of us
Come into this house
Be one of us
Waiting on an angel
one to carry me home hope you come to see me soon
cause I don't want to go alone
I don't want to go alone
Now angel won't you come by me
angel hear my plea
take my hand lift me up
so that I can fly with thee
so that I can fly with thee
And I'm waiting on an angel
and I know it won't be long
to find myself a resting place
in my angel's arms
in my angel's arms
So speak kind to a stranger
cause you'll never know
it just might be an angel come
knockin' at your door
knockin' at your door
And I'm waiting on an angel
and I know it won't be long
to find myself a resting place
in my angel's arms
in my angel's arms
Waiting on an angel
one to carry me home
hope you come to see me soon
cause I don't want to go alone
I don't want to go alone
don't want to go
I don't want to go alone
This train don't stop at the stations of the cross
No reasons left to believe
Trying to stay awake gave yourself a caffeine headache
To hide the taste of sleep
In choosing to forget you cut away the safety net that holds your heart, holds your heart
And you go in search of youth touching up your empire roots
But these days we don't know how to march
Satisfied with a knife in your spine you're bloodless
So tell me again what am I feeling you know me so well
So what am I feeling and how can you tell
I've got a feeling you don't know
We think that we're the ones we're the bright unconquered suns
Wait a while we'll watch the light grow stale
And we smell so very clean but we're the
Oil in this machine and this machine
This machine is going wrong
So choose your sides when it comes to the fight you're bloodless
So tell me again what am I feeling you know me so well
So what am I feeling and how can you tell
I've got a feeling you don't know
You choose your side but in the fight I see your blood run white, your blood run white
And I've seen it all before and I see it again
And I see it again
So what am I feeling you know me so well
So what am I feeling and how can you tell
I've got a feeling you don't know
So tell me again now what am I feeling you know me so well
So what am I feeling and how can you tell
I've got a feeling
So tell me again now what am I feeling you know me so well
So what am I feeling and how can you tell
I've got a feeling you don't know
Mammifère plantigrade
Sans laisse et sans collier
Un jeune blaireau en rade
A quitté son terrier
Trop tenté par la drague
Il quitte la fille qu'il aime
En direction de Prague
Pour une vie de bohème
Humaniste pervers
Quoique un peu misogyne
Il parcourt la terre
Tel Moravagine
Un soir en pava
En instance de départ
Il rencontre Katrina
La fille du chef de gare Deux, trois pivots bien fraîches
Détendent l'atmosphère
Au départ un peu sèche
Katrina se libère
Pour une histoire de cœur
La jeune fille fond en pleurs
On sait que malheureuses
Les filles sont généreuses
Tout en séchant ses larmes,
Katrina relève la tête
Et use de tout son charme
Pour capturer la bête
Elle joue donc avec zèle
Du plus beau des appots
Le cri de la blairelle
En mal de blaireau
Avec le savoir-faire
Des paysannes moraves
Au pied du pauvre blair
Elle fixe ses entraves.
Laisse tomber l'éphémère
Des amours de passage
Des instincts libertaires
Et des désirs volages
Pourquoi partir plus loin
Pour un pseudo ailleurs
Alors que clé en main
Je t'offre le bonheur
Oublie ta mise en scène
Apprenti baroudeur
En échange je t'enchaîne
Au jaseron de mon cœur
Mais soudain …
Brusquement la donzelle
Sursaute de frayeur
Entendant derrière elle
La voix de son géniteur
Le train pour Budapest
Annonce le haut-parleur
Partira du quai 7
Dans moins d'une demi-heure
Plus rapide que l'éclair
Le blaireau en profite
Pour sortir de ses fers
Et pour prendre la fuite
Dans le train qui le mène
Vers les plaines Maggiar
Blaireau oublie sans peine
La fille du chef de gare
Tu défends vaillamment
L'ordre des carnassiers
Et à ton panache blanc
Nous nous sommes rallier
Mais nous ne prendrons pas les armes
Pour te faire triompher
Nos guitares et le charme
Remplaceront l'épée
Les Blaireaux, La fille du chef de gare.
[small]ah oui, c'est vrai je ne devais plus en parler... [/small]
Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,
Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L'oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m'était revenu,
Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,
Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée
Seule avec mon chagrin
Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac, je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'aigle noir...
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
I'd rather be a sparrow than a snail.
Yes I would.
If I could,
I surely would.
I'd rather be a hammer than a nail.
Yes I would.
If I only could,
I surely would.
CHORUS
Away, I'd rather sail away
Like a swan that's here and gone
A man gets tied up to the ground
He gives the world
Its saddest sound,
Its saddest sound.
I'd rather be a forest than a street.
Yes I would.
If I could,
I surely would.
I'd rather feel the earth beneath my feet,
Yes I would.
If I only could,
I surely would.
A cette heure Mars s'efface doucettement
Mal réveillé j'ai foutu le pied dans le cendrier
J'y avais cramé ce foutu papier
Qu'on m'avait envoyé en recommandé
Et là-bas je vais prendre mon bateau
Une dernière fois le mettre à l'eau
Partir pêcher pour ne pas oublier
Sur la mer à peine agacée que de souvenirs dans mes casiers
C'est comme une trêve avant qu'on m'enlève
Je suis plus là par dérision mais à l'heure du départ
Je prends du retard et je vomis sur le pont
Et là-bas sur mon bateau
Pour la dernière fois ensemble sur l'eau
Parti pêcher pour cette fois oublier
Et demain sur ce quai bizarre d'où l'on voit le fond
Avec pour seul bagage mon cafard et dans le bide un hameçon
Je m'en vais là-bas par pure dérision
Pour servir les jeux de la déraison
Et derrière moi j'laisse mon bateau
Pour la dernière fois seul au bord de l'eau
Oui mais voilà tout s'arrête parfois
Et ce matin je prends le premier train
Matmatah, Dernière journée en mer ( à qui de droit)
J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que parler c'est pas mon fort.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Les faire jaillir de mes trois accords, mais
J'ai un peu froid, comme a dit l'autre,
Et ce long frisson qui n'en finit pas.
J'ai un peu froid, mauvais apôtre,
Mon cafard me lâche moins souvent qu'autrefois.
J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que le reste, c'est pas grand-chose.
Je l'ai appris et à mon tour
Je te le livre un peu ; je te propose
De laisser le long du discours
Nos contentieux et les comptes à rebours,
D'oublier le temps d'un refrain
Ce bon vieux réflexe ; moi j'en garde pour demain.
Des mots pour toi mais que je n'dis pas.
Ceux-là.
Quel était le refrain du jour ?
Si je l'oublie, je cède encore.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Jeter l'éponge, un peu, tenter le sort.
Une pause ici pour poser là,
Entre deux conflits, entre deux coups d'éclat.
Une pause pour dire autour de moi,
Mon ami, mon frère, mon amour, écoute-moi.
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme.
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.
Montez de la mine, descendez des collines, camarades !
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.
Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite !
Ohé, saboteur, attention à ton fardeau: dynamite...
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.
Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves.
Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe.
Ami, si tu tombes un ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes.
Chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute...
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
modérateur Aes Sedai Co-resp de la Tour Blanche demi-Fluffy
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
(all together)
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
there's a golf war vet.,
dying a slow, cold death,
and the government says, "we don't know, the sorce of his
sickness"
but you can't believe what they say,
because your government is lying,
they've done it before,
and don't you know, they'll do it again,
a secret test,government built virus,
"Subject Test Group: Gulf Battle Field Troups"
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
first world war veterans slaughtered, by General Eisnehower
you give em' your life,
they give you, a stab in the back
adiation, agent orange, tested on u.s. soles,
ginnie pigs, for westurn corporations
i never have, i never will,
pledge alligence to the flag
You're getting used, you'll end up dead
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
you gotta die, gotta die, gotta die for your government,
die for your country, that's shit.
i don't need you to tell me what to do!
and i don't need you to tell me what to say...F**K YOU!!!
i don't need you to tell me what to say!
and i don't need you to tell me what to think,
what to think, what to think, what to think,
what to think think think think
Don't hear, don't deem. Drown in before you dive.
Don't care, commit to your self destruction drive.
I kiss the ground with love beyond forever
Flip off the sky with bleeding fingers till I die
Enemy, take one good look at me.
Eradicate what you'll always be
Your tainted flesh, polluted soul through a mirror I behold.
Throw a punch, shards bleed on the floor
It's tearing me apart but I don't care anymore.
Should I regret or ask myself
Are You Dead Yet?
Wake up, don't cry. Regenerate to deny the truth
The fiction you live in black, behind your eyes
Disclosure, self loathing. This time you've gone too far.
Or could it be, my nemesis that you are?
Enemy, take one good look at me.
Eradicate what you'll always be
Your tainted flesh, polluted soul through a mirror I behold.
Throw a punch, shards bleed on the floor
It's tearing me apart but I don't care anymore.
Should I regret or ask myself
Are You Dead Yet?
Enemy, take one good look at me.
Eradicate what you'll always be
Your tainted flesh, polluted soul through a mirror I behold.
Throw a punch, shards bleed on the floor
Tearing me apart but I don't care anymore.
Should I regret or ask myself
Are You Dead Yet?
Children of bodom-Are You Dead Yet? (parce que notre coeur fait Bodom Bodom )
modérateur Aes Sedai Co-resp de la Tour Blanche demi-Fluffy
Bodom ... Bodom ... Bodom....
tainted flesh
Sometimes I feel I've got to
Run away I've got to
Get away
From the pain that you drive into the heart of me
The love we share
Seems to go nowhere
And I've lost my light
For I toss and turn I can't sleep at night
(chorus)
Once I ran to you (I ran)
Now I'll run from you
This tainted love you've given
I give you all a boy could give you
Take my tears and that's not nearly all
Oh...tainted love
Tainted love
Now I know I've got to
Run away I've got to
Get away
You don't really want IT any more from me
To make things right
You need someone to hold you tight
And you'LL think love is to pray
But I'm sorry I don't pray that way
(chorus...)
Don't touch me please
I cannot stand the way you tease
I love you though you hurt me so
Now I'm going to pack my things and go
Tainted love, tainted love (x2)
Touch me baby, tainted love (x2)
Tainted love (x3)
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
You need someone to hold you tight
Una lagrima me quema, como la gana
Destar contigo niña pero no puedo, no puedo
De Barbes hasta Place Clichy contigo
De Barbes hasta Place Clichy por un ultimo beso
En el rio de fuego la corriente del infierno
Paris dame un beso, y cojeme en tus brasos
Cada dia me levanto con la misma, la misma gana
Destar contigo, pero no puedo, no puedo
Et l'œil rivé sur le canal, moi je pense à Pigalle
Paris j'ai la fringale de toi
Paris prends- moi dans tes bras De Barbes jusqu'à Place Clichy
C'est là que j'aime perdre ma vie
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des filles de nuit qu'attendent le jour en vendant du plaisir
Y a des ivrognes qui s'épanchent au bar
Qui glissent lentement le long du comptoir par terre
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Le patron a un flingue pour l'ingénu qu'en voudrait à la tirelire
Dans les chiottes les mots gravés sur les murs
Parlent de sexes géants d'amours et d'ordures ensemble
Ici chacun douc'ment oublie l'ombre d'une vie passée d'une femme de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l'oubli d'un parfum d'une voix
On éteint l'impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Certains soirs tout à coup dans un coin on s'arrête de rire
Et quand brusquement les lames sortent tout l'monde dégage
Se jette sur la porte en verre
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des seringues vidées goulûment dans des bras sans av'nir
Ici la dope c'est à la poignée
Les p'tites cuillères servent que rar'ment pour le café
Ici chacun douc'ment oublie l'ombre d'une vie passée d'une femme de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l'oubli d'un parfum d'une voix
On éteint l'impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
Y a des vieux gars tatoués partout qui racontent leurs souvenirs
Y a des voyageurs tristes pardessus et valises
Y a des bookmakers qui ramassent les mises la nuit
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs
On peut tout ach'ter tout vendre le meilleur et le pire
Une vieille clocharde la gueule défoncée
Rentre avec sa poussette et se met à gueuler à boire
Dans la salle du bar tabac de la Rue des Martyrs {x3}
Pigalle, Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des ivrognes qui s'épanchent au bar
Qui glissent lentement le long du comptoir par terre
Elle a la sensibilité tenue à vif,
Pas de doute, la barre est haute, mais
Pas le choix, jamais dire jamais.
Elle a la conscience aiguisée,
À la source de tout acte elle remonte,
Avec ou sans tact,
Isole le sens, en extrait l'essentiel.
Elle a la douleur érigée
En étendard, tenue correcte exigée,
Fais gaffe au faux pas, faut pas déconner
Avec tout et n'importe quoi, c'est pigé ?
Elle monte à l'assaut dans tous les sens du terme,
Et si douce, si douce à l'épiderme,
Bas les pattes,
Si tu penses en termes de sexe faible ou fort,
Encore un effort.
{Refrain:}
Elle a des idéaux vertigineux,
Des montagnes d'envies,
Des tas d'idées pour améliorer la vie,
Parc'qu'à part elle, personne n'y pense.
Elle a des idéaux vertigineux,
Et moi ça m'éblouit,
Je kife cet appétit imparable, insatiable, inaltérable.
Elle part à la recherche de son identité,
Dans les bas-fonds, là où ses soeurs sommeillent,
Un sommeil long de tant de vies effacées,
Consentantes et forcées,
Elle, de l'admettre, forcée de reconnaître en certains
Le talent certain de séparer les elles des ils,
Par la force et le poids de leur attribut viril.
Versée dans l'art et la manière de formuler tout c'qui touche
Les tabous accumulés, les non-dits en vigueur,
Principe caché de l'aigreur ;
Elle ne se fait pas que des amis, mais ainsi va la vie.
Elle aime alors dans son malheur trouver,
Quand tout est vain, (quand) tout semble arrêté,
Le réconfort de l'âme soeur à mes côtés.
{au Refrain}
Elle a la sensibilité tenue à vif,
Pas de doute, la barre est haute, mais
Pas le choix, jamais dire jamais.
Elle a la conscience aiguisée,
À la source de tout acte elle remonte,
Avec ou sans tact,
Isole le sens, en extrait l'essentiel.
Elle a la douleur érigée
En étendard, tenue correcte exigée,
Fais gaffe au faux pas, faut pas déconner
Avec tout et n'importe quoi, c'est pigé ?
Elle marche sur la terre,
Marche à la recherche de la pierre à lancer,
Franchit les obstacles à cloche-pied,
En attendant qu'il lui pousse des ailes,
Pour aller toucher le ciel.
J’avais envie de ses manières
J’avais rêvé le mauvais temps
Partir pour une ville étrangère
Moi, je n’en demandais pas tant.
Pour cette femme, cette vipère
J’avais changé le cours du temps
Revu jusqu’à mes propres manières
Elle ne m’en demandait pas tant.
Partir pour une ville minière
Une cité de braves gens
Je voyageais plutôt pépère
Je m’en allais plutôt content
Trouver ma douce et ses six frères
Elle ne m’en demandait pas tant.
J’avais envie d’un changement d’air
J’avais pensé garder mes dents
Ce ne fut pas l’avis de ses grands frères
Les gaillards me rentrèrent dedans...
...Aveuglés par la voix mensongère
D’une salope, c’est évident.
Ces six gaillards me tabassèrent
Rigolez pas, c’est pas marrant
J’avais besoin d’un grand bol d’air
Je voulais vraiment recoller mes dents
A coup de chirurgie nucléaire
Vous moquez pas, c’est épatant
Je pouvais pas voir le revolver
Je suis tombé, fauché par le vent
Quand je fais le point sur cette affaire
Je me dit que j’en demandais pas tant
Que je n’ai même pas revu son derrière
Et croyez moi, ça c’est navrant
Qu’j’avais envie d’un grand bol d’air
Et pas d’un plongeon dans l’étang
De cette fille, même adultère
Mais pas de la nuit des morts-vivants.