La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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J'ai trouvé ceci, et je voulais le faire partager à toutes les Pierettes (étant donné que les hommes, en général, ne comprennent pas ce genre de choses )
L'Amour C'est Ca !
C'est un feu d'artifice qui jaillit dans vos yeux,
comme milles étincelles sur la voûte des cieux.
C'est vos doigts enlacés,
ces baisers volés.
C'est ce sourire radieux
quand vous vous regardez dans les yeux.
C'est la complicité de ces moments à deux
que l'on ne peut comprendre qu'en étant amoureux.
Ce sont ces petits riens qui font le quotidien,
mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
C'est la joie d'être ensemble
chaque jour, chaque instant.
C'est d'aimer, recevoir, partager sans mélange
et se sentir touchés par la grâce des anges.
C'est construire son nid
pour s'y mettre à l'abri.
C'est vivre à deux les joies,
autant que les soucis.
C'est d'avoir un rocher ou pouvoir s'appuyer
si un vent ennemi vous faisait trébucher.
C'est trouvé chaque soir le chemin de ses bras
pour pouvoir ronronner comme un chat.
C'est divin! C'est magique! Ca s'appelle l'amour!
Pour vous comme pour moi ça rime avec toujours.
- Thiphanie -
Messieurs, prenez en de la graine !
PS : Pierreux, ne vous vexez pas, c'était pour vous taquiner un peu
Et bien, pour avoir certes une petite expérience de ce type de relations humaines, je crois pouvoir dire que quand les hommes sont romantiques, ils ne le sont pas à moitié. Soit tres tres romantique, soit pas du tout... Et parfois, c'est lourd le romantisme...surtout lorsque c'est un romantisme de 2 sous...
Bof ouais, moi aussi j'y suis hérmétique, sauf les petits trucs courts comme font en particulier Aelghir et DL en combat.
Les amants ont toujours un comportement illogique.
La jalousie possède l'étonnant pouvoir d'éclairer l'être unique d'intenses rayons et de maintenir les autres hommes dans une totale obscurité.
Séduire une femme, c'est à la portée du premier imbécile. Mais il faut aussi savoir rompre ; c'est à cela qu'on reconnaît un homme mûr.
Un amour excessif est un amour coupable.
La jalousie occupe l'esprit encore plus complètement qu'un travail intellectuel passionné. L'esprit n'a plus une seconde de loisir. Celui qui est en proie à la jalousie ignore l'ennui.
Euh ouais, chais pas pourquoi je me suis tout mélangé !
C'est du Kundera, il en a vriament de très bonnes
C'est dans les dossiers des archives de la police que se trouve notre seule immortalité.
Nous écrivons des livres parce que nos enfants se désintéressent de nous. Nous nous adressons au monde anonyme parce que notre femme se bouche les oreilles quand nous lui parlons.
La graphomanie (manie d'écrire des livres) prend facilement les proportions d'une épidémie lorsque le développement de la société réalise trois conditions fondamentales :
1) un niveau élevé de bien-être général, qui permet aux gens de se consacrer à une activité inutile ;
2) un haut degré d'atomisation de la vie sociale et, par conséquent, d'isolement général des individus ;
3) le manque radical de grands changements sociaux dans la vie interne de la nation
L'invention de la presse à imprimer a jadis permis aux hommes de se comprendre mutuellement. À l'ère de la graphomanie universelle, le fait d'écrire des livres prend un sens opposé : chacun s'entoure de ses propres mots comme d'un mur de miroirs qui ne laisse filtrer aucune voix du dehors.
L'homme, du fait qu'il écrit des livres, se change en univers [...] et le propre d'un univers c'est justement d'être unique. L'existence d'un autre univers le menace dans son essence même.
Celui qui écrit des livres est tout (un univers unique pour lui-même et pour tous les autres) ou rien. Et parce qu'il ne sera jamais donné à quelqu'un d'être tout, nous tous qui écrivons des livres, nous ne sommes rien.
Car chacun souffre à l'idée de disparaître, non entendu et non aperçu, dans un univers indifférent, et de ce fait il veut, pendant qu'il est encore temps, se changer lui-même en son propre univers de mots.
Quand un jour (et cela sera bientôt) tout homme s'éveillera écrivain, le temps sera venu de la surdité et de l'incompréhension universelles.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Il y a des mots pour la mort. Il n'y a pas de mots pour la mort de ceux qu'on aime.
Jean Pénard
Le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants
Jean Cocteau ()
Mourir n’est pas le vrai problème, c’est à la portée du premier venu. Ce qui compte, c’est de bien mourir, c’est-à-dire mourir sans dire de conneries.
Pierre Desproges
Le métier de croque-morts n'a aucun avenir : les clients ne sont pas fidèles
Pierre Desproges
La différence entre le sexe et la mort, c’est que mourir, vous pouvez le faire seul, et personne ne se moquera de vous.
Woody Allen
Le soleil sombrant qui expire
Qui vient ici le soir mourir
La pâle vie qui meurt dans l'eau
A pris Bretagne pour tombeau
Le ciel de sang, la mer de sang
Le linceul froid de l'océan
Serre des rochers vidés de sang
Et triste est le feu des bûchers
Sur la côte des Trépassés
Le feu est noir, le feu est noir
Le soleil s'est couché sur Sein
Fermez vos portes, la nuit vient
Dehors les esprits des morts veillent
L'au-delà cerne le sommeil
Grinçant des roues passe l'Ankou
L'enfer ici n'est pas de feu
La nuit montent des cris affreux
Des brumes glacées parcourues
D'âmes gelées des disparus
Au fond des eaux, des noires eaux
Cette terre est la terre des morts
Et quand gémit le vent d'Armor
Les spectres rôdant sur la lande
Sont les ancêtres qui attendent
La renaissance, la renaissance
Le feu des celtes est-il éteint ?
L'aube renaîtra-t-elle demain ?
Sommes-nous ombres dans le noir ?
Le dernier chant du désespoir
Est-ce la nuit? Est-ce la mort ?
Même Merlin qui fut si fort
Dort-il encore ou est-il mort ?
Se réveillera-t-il enfin ?
Et mon pays comme Merlin ?
Mon pays mort, mon pays mort !
" Au début pour faire l'amour..., et je ne parle pas que de sexe..., il faut être physical, mais ensuite, il faut être plus mental,et après quand tu as un enfant, il faut être spiritual pour bien l'élever. " J.C. VanDamme
Vivre, il n'y a là aucun bonheur. Vivre : porter de par le monde son moi douloureux.
Mais être, être est bonheur. Être : se transformer en fontaine, vasque de pierre dans laquelle l'univers descend comme une pluie tiède.
Je pense, donc je suis est un propos d'intellectuel qui sous-estime les maux de dents. Je sens, donc je suis est une vérité de portée beaucoup plus générale et qui concerne tout être vivant. [...] Le fondement du moi n'est pas la pensée mais la souffrance, sentiment le plus élémentaire de tous. Dans la souffrance, même un chat ne peut douter de son moi unique et non interchangeable. Quand la souffrance se fait aiguë, le monde s'évanouit et chacun de nous reste seul avec lui-même. La souffrance est la Grande École de l'égocentrisme.
Être mortel est l'expérience humaine la plus élémentaire, et pourtant l'homme n'a jamais été en mesure de l'accepter, de la comprendre, de se comporter en conséquence. L'homme ne sait pas être mortel. Et quand il est mort, il ne sait même pas être mort.
Nous traversons le présent les yeux bandés. Tout au plus pouvons-nous pressentir et deviner ce que nous sommes en train de vivre. Plus tard seulement, quant est dénoué le bandeau et que nous examinons le passé, nous nous rendons compte de ce que nous avons vécu et nous en comprenons le sens.
En travaux pratiques de physique, n'importe quel collégien peut faire des expériences pour vérifier l'exactitude d'une hypothèse scientifique. Mais l'homme, parce qu'il n'a qu'une seule vie, n'a aucune possibilité de vérifier l'hypothèse par l'expérience de sorte qu'il ne saura jamais s'il a eu tort ou raison d'obéir à son sentiment.
Si quelque chose m'a toujours profondément écoeuré chez l'homme, c'est bien de voir comment sa cruauté, sa bassesse et son esprit borné parviennent à revêtir le masque du lyrisme.
L'homme souhaite un monde où le bien et le mal soient nettement discernables car est en lui le désir inné et indomptable, de juger avant de comprendre.
Mais quand les gens se voient souvent, ils supposent qu'ils se connaissent. Ils ne se posent pas de questions et n'en sont pas frustrés. S'ils ne s'intéressent pas les uns aux autres, c'est en toute innocence. Ils ne s'en rendent pas compte.
Oubliez un instant que vous êtes américain et faites travailler votre cerveau
*mouvement circulaire utilisant la qualité naturelle des frères loups pour la discrétion. Trois frères loup encerclent et ligotent le "commandeur", serré. Puis le collent dans une barrique, scellée, juste au cas où. Hésitent à la jeter dans la rivière, mais pensent à la pollution engendrée.*
Elann inventeur de la boîte à schblongouille (le terme appartenant au Barbare absent...)