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association de paroles
(Sujet créé par ysandell l 12/09/05 à 16:38)
Sur le même principe que l'association d'images, l'association de chanson par les paroles...
quelqu'un poste des paroles et une autre enchaine avec les paroles d'une autre... on peut aussi bien posté une partie que la totalité de la chanson. N'oubliez pas de préciser à chaque fois le titre de la chanson et son auteur (qui n'est pas forcément son interprète, attention ).
Tous les styles sont évidemment autorisés mais il serait mieux de demander les traductions pour les langues étrangères en plus des paroles originales... pour éviter les Je commence
bonne partie, la musique adoucit les moeurs... et les coeurs!!!
Je bois pour oublier
mes années d'infortune,
et cette vie commune,
avec toi mais si seul,
je bois pour me donner
l'illusion que j'existe,
puisque trop égoïste
pour me péter la gueule!!!
et je lève mon verre à tous les coeurs en faillite,
aux illusion détruites
à ma fuite en avant...
Oui, c'est capillotracté...
et un peu "Private" aussi...
Mais bon :
Julie
Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie,
Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris,
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie,
Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d'éternels étés,
Mais j'ai tout essayé,
J'ai fait semblant de croire,
Et je reviens de loin,
Et mon soleil est noir,
Mais j'ai tout essayé,
Et vous pouvez me croire,
Je reviens fatiguée,
Et j'ai le désespoir,
Légère, si légère, j'allais court vêtue,
Je faisais mon affaire du premier venu,
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance,
A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse,
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare,
J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart,
Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir,
Avec l'œil alangui, vague de souvenirs,
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre,
Et j'étais le torrent et la force de vivre,
J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard,
Que la vie était belle et folle mon histoire,
Mais la terre s'est ouverte,
Là-bas, quelque part,
Mais la terre s'est ouverte,
Et le soleil est noir,
Des hommes sont murés,
Tout là-bas, quelque part,
Les hommes sont murés,
Et c'est le désespoir,
J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli,
J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui,
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire,
Que la vie était belle, fascinant le hasard,
Qui me menait ici, ailleurs ou autre part,
Où la fleur était rouge, où le sable était blond,
Où le bruit de la mer était une chanson,
Oui, le bruit de la mer était une chanson,
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
J'entends le glas qui sonne,
Tout là-bas, quelque part,
J'entends le glas sonner,
Et c'est le désespoir,
Je ne ramène rien, je suis écartelée,
Je vous reviens ce soir, le cœur égratigné,
Car, de les regarder, de les entendre vivre,
Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre,
Je ne ramène rien, je reviens solitaire,
Du bout de ce voyage au-delà des frontières,
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire,
Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire,
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes,
Et si je pouvais, seule, faire taire les armes,
Je jure que, demain, je reprends l'aventure,
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures,
Je veux bien essayer,
Et je veux bien y croire,
Mais je suis fatiguée,
Et mon soleil est noir,
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir...
Elle disait "j'ai déjà trop marché,
Mon cœur est déjà trop lourd de secrets,
Trop lourd de peines"
Elle disait "je ne continue plus,
Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu.
C'est plus la peine"
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son cœur
Le vent n'a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là
Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Mais si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid dans le fond de mon cœur
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Mais si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid dans le fond de mon cœur.
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
If you knew how I miss you,
You would not stay away today.
Don’t you know how I need you?
Stay here, my dear, with me.
I need you here beside me,
Forever and a day, a day.
Together, never parted,
Just you, just me, my love.
I can’t go on without you.
Your love is all I’m living for.
I love all things about you.
Your heart, your soul, my love.
I can’t go on without you,
Forever and a day, a day.
I need you here beside me,
Forever and a day, a day.
And no one else besides me.
I love you, I love you, I do.
I do.
If you knew, Jeff Buckley (paroles : Nina Simone )
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Till you clean up the sea
The water you left in me
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
You took a piece of history
My own history
You took a piece of history
My own history
Then you came like a tree
You tried to put your roots in me
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
You gotta make a sacrifice
An ancient sacrifice
You gotta make a sacrifice
That everyone is a child of heaven
No single one can rule over all
Does an ancient law have a modern meaning?
Does making love make or break the fall
Of mankind?
Just thought I'd let you know
Just thought I'd let you know
Just thought I'd let you know
Just thought I'd let you know
Cause everyone is a child of heaven
No single one can rule over all
Does an ancient law have a modern meaning?
Does making love, making love
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Never gonna let you go
Ain't gonna let you go
Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
On a vu souvent
Rejaillir le feu
D'un ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.
There's something rotten in the kingdom of Blizzard...Chevalier du Haut Verbeex Responsable des CL / Membre du Conseil RP / Modérateur / Newser
J'étais encore un enfant quand on s'est rencontré,
j'ai mis mon adolescence à comprendre combien j't'aimais.
Le jour où j't'ai roulé ma première galoche
tu m'as tapé dans l'oeil avant que j't'ai dans la poche.
Depuis ma vie s'résume à une course poursuite,
Chaque fois que j'tente de t'effleurer dis moi pourquoi tu prends la fuite.
Avec toi, ca va, ca vient,
sans toi j'suis un vaurien,
en avoir pour son toi j'aimerais tant !
D'ailleurs le temps c'est du toi,
du chagrin j'en ai gros sur la patate,
j'croque de toi sauf quand tu craques,
j'ai les bourses qui s'rétractent,
Ta courbe croissante m'enchante
mais ta chute de reins me donne des vertiges et des crampes.
T'es la personne la plus ouverte, tu connais pas d'frontière,
tu parles toutes les langues et sais briser les barrières
Snob, la pauvreté te fait horreur,
je t'offrirai tous les parfums, toi qui n'as pas d'odeur.
Tu n'fais pas l'bonheur,
procure du plaisir,
et plus j'te désire et plus tu m'fais courrir.
J'te tire mon chapeau et tu m en fais baver des ronds d'pièce !
Je t'aime autant qu'j'te déteste.
T'es fraiche et bien roulée Pépète,
tout l'monde te court après
j'arrive toujours le dernier
tu m'fais tourner la tête
arrête de jouer à cache cache ou j'finirai par te coffrer !
Arrête, j'suis franc, j'en veux pas qu’à ton écu poupée,
quand apprendras-tu à te poser ?
Ne me quitte pas !
Y'a paraît-il des placements fertiles donnant plus de blé qu’un meilleur avril,
je f'rai un domaine ou tu seras reine, ou tu seras loi,
même si ce domaine existe déjà. Imprévisible,
soudain visible,
d'autres t'ont pris pour cible,
reviens dans mes bras
pour toi je serai crédible !
Au bal je t'ai invitée à ma table
Mais tu m'as snobbé pour aller danser avec un notable.
Pendant qu'j'me faisais biaiser
d'autres avaient déjà appris à savoir laiser.
Au début j’étais rongé par la jalousie,
et puis j'ai bien vite compris
qu'tu n'f'rais jamais le bonheur d'autrui.
Toutes ces femmes font rêver mais dans l'fond y'a rien,
impalpable, liquide, tu fonds dans leurs mains.
A peine ils tombent, tu lorgnes déjà sur les voisins,
tu les rends possessifs, jaloux, radins et mesquins !
T'es partie à la conquête du monde entier,
et l'monde entier a succombé à tes charmes de papiers.
Aujourd’hui le monde entier est a tes pieds
mais t'es plus qu'jamais malheureuse comme les blés.
T'étais fraiche et bien roulée Pépètes,
maintenant t'es fade et fardée,
tu donnes le bras à des riches Pépètes mais t'es plus qu'jamais
malheureuse comme les blés.
Bien sûr y’a les rimes en fleur, les métaphores, les grands discours
Les " je n’aime que toi ", les " mon amour ", les " pour toujours "
Les soleils couchants, le vent, la plage, les océans
Les références au cœur, c’est un organe très émouvant
Miauler " Je t’aime " tout le monde peut l’faire, c’est comme Amen
C’est pas très dur
Pour dire " bonne nuit " chaque soir, là, faut vraiment y croire
Pas besoin de prêt à porter, de slogans, de phrases toutes faites
Tous ces passe-partout, prêts à l’emploi qu’on se répète
Les mots d’amour c’est pas ça
C’est bien plus compliqué crois-moi
Les déclarations les plus belles
Ne figurent pas dans les manuels
C’est banal mais les quelques mots que je te destine
Je les préfère aimantés sur le frigo dans la cuisine
Je veux voir nos initiales côte-à-côte sur l’interphone
Pas gravées au canif dans l’écorce d’un chêne
Pas besoin de vieux balcon, de Roméo et de Juliette
Je peux me contenter d’un petit signe par la fenêtre
Faisons l’impasse sur les violons, " les toi pour moi " et vice versa
Tous ces mots trop doux qu’on a prononcés trop de fois
Mon p’tit cœur, mon p’tit chat
Mon trésor, mon petit rat
Ma p’tite fouine, ma p’tite teigne
Ma sardine, ma sardaigne
Mon sagouin, mon trois fois rien
Merci qui ? merci mon chien !
Mon soleil, mon bouquet de roses
Mon orteil, ma boîte de douze
On peut bien sûr parler d’avenir promettre monts et merveilles
C’est bien plus fort " à tout à l’heure " quand on le murmure à l’oreille
Certains construisent des châteaux, ils y mettent des perles de pluies Moi j’ai fixé une étagère, elle est d’ailleurs tombée depuis
Ils trouvent encore des formules quand ils se séparent
Et habillent de ridicule la fin de leur histoire
Moi j’ai pas le cœur brisé, j’ai vérifié chez mon médecin
Mais je regrette ces mots d’amour que tu me disais si bien.
Les " je n’aime que toi ", les " mon amour ", les " pour toujours "
Je suis un peu plus morose...
J'ai besoin encore et toujours
J'ai besoin d'entrer chez une femme
D'en sortir au petit jour
Avec un peu moins de flammes
Dans les yeux
Quand je te regarde
Car notre amour à tous les deux
Y'a que moi qui le garde
J'ai besoin d'entrer chez une femme
Chez une autre que toi
Toi t'as perdu ma flamme
Ma flamme qu'était pour toi
J'ai besoin de t'oublier
Ne pas te reconnaitre
Partout où je vais
J'ai besoin de renaître
J'ai besoin de vivre
De vivre devant moi
Ceux qui m'aiment me suivent
Je sais toi tu restes là
J'ai besoin d'aimer
Je ne sais rien faire d'autre
J'ai besoin d'aimer
Et c'est pas ta faute
C'est ma faute à toi
Toi qu'est trop belle
Toi t'es trop belle pour moi
Et les belles, elles sont cruelles
Pour ceux qui les veulent
Pour ceux qui les ont pas
Pour ceux qui sont tout seul
Pour ceux qui ne savent pas
Pour ceux qui marchent des heures
Et qui vont nulle part
Pour ceux qui boivent
Pour ceux qui ne dorment pas
Pour ceux qui chantent
Qui chantent
Pour ceux qui chantent
Qui chantent pour toi
Il a tourné sa vie dans tous les sens
Pour savoir si ça avait un sens l'existence
Il a demandé leur avis à des tas de gens ravis
Ravis, ravis, de donner leur avis sur la vie
Il a traversé les vapeurs des derviches tourneurs
Des haschich fumeurs et il a dit
La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie,
Il a vu l'espace qui passe
Entre la jet set les fastes, les palaces
Et puis les techniciens de surface,
D'autres espèrent dans les clochers, les monastères
Voir le vieux sergent pépère mais ce n'est que Richard Gere,
Il est entré comme un insecte sur site d'Internet
Voir les gens des sectes et il a dit
La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie
Il a vu manque d'amour, manque d'argent
Comme la vie c'est détergeant
Et comme ça nettoie les gens,
Il a joué jeux interdit pour des amis endormis,
Et il a dit
La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie.
Je chante un baiser
Je chante un baiser osé
Sur mes lèvres déposé
Par une inconnue que j'ai croisée
Je chante un baiser
Marchant dans la brume
Le cœur démoli par une
Sur le chemin des dunes
La plage de Malo Bray-Dunes
La mer du Nord en hiver
Sortait ses éléphants gris vert
Des Adamo passaient bien couverts
Donnant à la plage son caractère
Naïf et sincère
Le vent de Belgique
Transportait de la musique
Des flonflons à la française
Des fancy-fair à la fraise
Elle s'est avancée
Rien n'avait été organisé
Autour de moi elle a mis ses bras croisés
Et ses yeux se sont fermés fermés
Jugez ma fortune
Sous l'écharpe les boucles brunes
C'est vrai qu'en blonde j'ai des lacunes
En blonde j'ai des lacunes
Oh le grand air
Tournez le vent la dune à l'envers
Tournez le ciel et tournez la terre
Tournez tournez le grand air
La Belgique locale
Envoyait son ambiance musicale
De flonflons à la française
De fancy-fair à la fraise
Toi qui a mis
Sur ma langue ta langue amie
Et dans mon cœur un décalcomanie
Marqué liberté liberté chérie
Je donne des parts
Pour ce moment délicieux hasard
Adamo MC Solar
Oh ! tous les milliards de dollars
Le vent de Belgique
Envoyait mélancolique
Ses flonflons à la française
De fancy-fair à la fraise
Si tout est moyen
Si la vie est un film de rien
Ce passage-là était vraiment bien
Ce passage-là était bien
Elle est repartie
Un air lassé de reine alanguie
Sur la digue un petit point parti
Dans l'audi de son mari
Ah ! son mari
Je chante un baiser
Je chante un baiser osé
Sur mes lèvres déposé
Elle est blanche fraîche la matin
elle est douce tendre elle est
sereine elle est excellente elle
dit ce soir "allez on va danser"
ce soir au matin couché elle est
désespérante elle a de la suite
dans les idées soudain elle te dit
"bonsoir à demain" mais quand
elle danse, belle, franche une
reine, elle est pour moi tout ça
pour moi un ange qui tourne autour
de moi et pourtant elle dit
toujours bonjour comme ça elle dit
toujours au revoir comme ça elle
dit toujours j'veux ça ça ça elle
est fatigante, fatigante,
intelligente, négligente,
excitante, désespérante,
attirante, pas très galante,
souriante, affligeante,
rassurante, désobligeante,
souriante, énervante, sur la
bonne pente, un rien méchante,
surprenante, menaçante,
militante, parfois charmante, très
très changeante, très
importante, imposante,
correspondante, suffisante,
alléchante, intéressante.
Elle a la sensibilité tenue à vif,
Pas de doute, la barre est haute, mais
Pas le choix, jamais dire jamais.
Elle a la conscience aiguisée,
À la source de tout acte elle remonte,
Avec ou sans tact,
Isole le sens, en extrait l'essentiel.
Elle a la douleur érigée
En étendard, tenue correcte exigée,
Fais gaffe aux faux pas, faut pas déconner
Avec tout et n'importe quoi, c'est pigé ?
Elle monte à l'assaut dans tous les sens du terme,
Et si douce, si douce à l'épiderme,
Bas les pattes,
Si tu penses en termes de sexe faible ou fort,
Encore un effort.
Refrain :
Elle a des idéaux vertigineux,
Des montagnes d'envies,
Des tas d'idées pour améliorer la vie,
Parc'qu'à part elle, personne n'y pense.
Elle a des idéaux vertigineux,
Et moi ça m'éblouit,
Je kiffe cet appétit imparable, insatiable, inaltérable.
Elle part à la recherche de son identité,
Dans les bas-fonds, là où ses soeurs sommeillent,
Un sommeil long de tant de vies effacées,
Consentantes et forcées.
Elle, de l'admettre, forcée de reconnaître en certains
Le talent certain de séparer les elles des ils,
Par la force et le poids de leur attribut viril.
Versée dans l'art et la manière de formuler tout c'qui touche
Les tabous accumulés, les non-dits en vigueur,
Principe caché de l'aigreur ;
Elle ne se fait pas que des amis, mais ainsi va la vie.
Elle aime alors dans son malheur trouver,
Quand tout est vain, tout semble arrêté,
Le réconfort de l'âme soeur à mes côtés.
Refrain
Elle a la sensibilité tenue à vif,
Pas de doute, la barre est haute, mais
Pas le choix, jamais dire jamais.
Elle a la conscience aiguisée,
À la source de tout acte elle remonte,
Avec ou sans tact,
Isole le sens, en extrait l'essentiel.
Elle a la douleur érigée
En étendard, tenue correcte exigée,
Fais gaffe aux faux pas, faut pas déconner
Avec tout et n'importe quoi, c'est pigé ?
Elle marche sur la terre,
Marche à la recherche de la pierre à lancer,
Franchit les obstacles à cloche-pied,
En attendant qu'il lui pousse des ailes,
Pour aller toucher le ciel.
Refrain
Elle a des idéaux vertigineux
Elle a des idéaux vertigineux
Arrache-moi les yeux
Que je ne puisse plus voir
Arrache-moi les mains
Que je ne puisse toucher
Arrache-moi les ongles
La douleur jusqu'au bout des doigts
Arrache-moi le cœur
Que je ne puisse plus avoir peur
Arrache-moi la tête
Que je ne puisse savoir
Arrache-moi les oreilles
Que je ne puisse t'entendre
Arrache-moi les...
La douleur jusqu'au bout de moi
Arrache-moi le cœur
Que je ne puisse plus avoir peur
Emmène-moi danser
Dans les dessous
Des villes en folie
Puisqu'il y a dans ces
Endroits autant de songes
Que quand on dort
Et on n'dort pas
Alors autant se tordre
Ici et là
Et se rejoindre en bas
Puisqu'on se lasse de tout
Pourquoi nous entrelaçons-nous ?
Pour les écorchés vifs
On en a des sévices
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Mais reste encore
Un peu après
Que même la fin soit terminée
Moi j'ai pas allumé la mèche
C'est Lautréamont
Qui me presse
Dans les déserts
Là ou il prêche
Ou devant rien
On donne la messe
Pour les écorchés
Serre-moi encore
Étouffe-moi si tu peux
Toi qui sais ou
Après une subtile esquisse
On a enfoncé les vis...
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices.
Oh mais non rien de grave
Y a nos hématomes crochus qui nous
Sauvent
Et tous nos points communs
Dans les dents
Et nos lambeaux de peau
Qu'on retrouve ça et là
Dans tous les coins
Ne cesse pas de trembler
C'est comme ça que je te reconnais
Même s'il vaut beaucoup mieux pour toi
Que tu trembles un peu moins que moi.
Emmene-moi, emmene-moi
On doit pouvoir
Se rendre écarlates
Et même
Si on précipite
On devrait voir
White light white heat
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Encore un effort
On sera de nouveau
Calmes et tranquilles
Calmes et tranquilles
Serre-moi encore
Serre-moi encore
Etouffe-moi si tu peux...
Serre-moi encore
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices
Les écorchés vifs
On les sent les vis
Les Ecorchés Noir Désir (ma/une de mes préférée(s) )
Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J’irai crucifier ton corps
Pourrai-je dépunaiser tes ailes
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire ô tout pour te voir partir
Viens ! Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes envole-moi
Et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous
Et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu’à étouffer de toi
Il y a des salauds
Qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n’savent plus trop
D’où l’amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D’amour en amour de cœur
Ceux qui n’ont qu’une étoile
Ou ceux qui brûlent leur voile
J’aime tes larmes quand tu aimes
Ta sueur, le sang rendons-nous amants
Qui se passionnent et qui saignent
J’aime quand mon écorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies, à nos adieux
Reviens-moi reviens-moi
Tu partiras mieux comme ça
A force de se tordre
On en finirait pas se mordre
A quoi bon se reconstruire
Quand on est adepte du pire
Malgré nous malgré nous
A quoi bon se sentir plus grand que nous
2 grains de folie dans le vent
2 âmes brûlantes
2 enfants
Il y a des salauds
Qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n’savent plus trop
D’où l’amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D’amour en amour de cœur
Ceux qui n’ont qu’une étoile
Ou ceux qui brûlent leur voile
Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J’irai crucifier ton corps
Pourrai-je dépunaiser tes ailes
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire pour te voir partir
Viens ! Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes envole-moi
Et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous
Et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu’à étouffer de toi
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu’à étouffer de toi
Serre-moi encore serre-moi
Avant de poser ma tête sur le billot,
Ecoute moi, bourreau
Mon seul crime est d'être tombé,sans le savoir,
amoureux d'une ogresse aux grands yeux noirs (bis)
J'n'aurai ptet pas du venir au bal,
Tout nu, sous ma robe d'homme de Dieu
Déguisée en reine cannibale,
Elle me dévorait des yeux.
Je ne voyais qu'elle
Car sa soeur jumelle
Etait restée dans sa grotte,
Faire cuire un civet,
De petit poucet
A la sauce aux échalottes.
Avant de faire rouler ma tête sur l'échaffaud,
Ecoute moi, bourreau
Mon seul crime est d'être tombé, sans le savoir
Amoureux d'une ogresse aux grands yeux noirs (bis)
Au milieu d'une danse de Saint Guy,
Elle me prit par le goupillon,
Vient chez moi manger vendredi
Y'aura pas d'arrête dans l'poisson.
Tel un vieux pervers,
J'louchais sur la chair
Fraîche nichée dans son corsage,
Amour religieux, brûlé par le feu d'une passion anthropophage.
Avant d'exhiber ma tête au populo
Ecoute moi, bourreau,
Mon seul crime est d'être tombé sans le savoir
Amoureux d'une ogresse aux grands yeux noirs (bis)
Dans l'antre de ma belle ogresse,
Ca sentait bon le petit blanc cuit,
Au troisième verre, rond comme une papesse,
J'la voyais en double, me dire oui
M'jettant à ses g'noux,
J'lui déclarai :"Vous, z'êtes unique, dès ce soir,
Finis donc tes tucs, mordilles moi la nuque, je serai ton bébé jaguar !"
Avant de jeter ma tête en pâture aux corbeaux,
Ecoute moi, bourreau,
Mon seul crime est d'être tombé sans le savoir,
Amoureux d'une ogresse aux grands yeux noirs (bis)
J'vous jure qu'elle était dans mes bras
Quand soudain, j'entendis venir,
C'était elle, elle apportait le repas,
En miaulant "le plat va r'froidir"
Face au sortilège, mon coeur pris au piège perdit complètement la tête,
Et ce n'est qu'au procès, que j'appris les faits,
J'l'avais tuée à coups de fourchettes !
Le Bal des Anthropophages Les Blaireaux (Alexandre Lenoir/Les Blaireaux)
Dearest Jane I should’ve known better
But I couldn’t say hello, I didn’t know why
But now I think, I think you were sad
Yes you were, you were, you were
What I say, I say only to you
Cause I love and I love only you
Dearest Jane, I want to give you a dream
That no one has given you
Remember when we found misery
We watched her, watched her spread her wings
And slowly fly around our room
And she asked for your gentle mind
Misery is a butterfly
Her heavy wings will warp your mind
With her small ugly face
And her long antenna
And her black and pink heavy wings
Remember when we found misery
We watched her, watched her spread her wings
And slowly fly around our room
And she asked for your gentle mind