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BackGround des personnages du RolePlay
(Sujet créé par Elise l 09/09/04 à 14:07)
non favori


Ici on regroupe les BackGrounds (BG), sans discussion, juste du récit.

Pour les commentaires, c'est

ICI


MISE AU POINT POUR LES BG

Lorsqu'on crée un personnage, son BG est obligatoire, mais pas sa publication (la part de mystère est aussi un élément du jeu). A partir de là, c'est le Conseil du RP regroupe les BG underground pour les valider sans qu'ils soient connus des autres joueurs.
Pour le contacter, plusieurs façons :
- soit par MP à l'un de ses membres qui fera suivre (DragonSlayer, Klian, Eltharion, Liliana, Owyn, Sihaya ou Gablebo)
- soit par MP au Conteur, qui est l'entité émanante du Conseil pour le rôle du MJ
- soit par mail à conseil@pierre-de-tear.com


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Hadnan
14/02/2007 23:18
Multi - A la recherche de nouveaux débouchés

Hadnan est très discret sur son passé. A l'en croire, il n'est arrivé ici, quel que soit cet endroit, qu'il y a quelques jours, voire quelques heures. Il ne souffre néanmoins que rarement de la curiosité de ses interlocuteurs; une grimace assortie d'un regard mauvais suffit à dissuader même les plus curieux.
Cependant si vous insistez, et lui payez à boire, Hadnan pourra vous vendre n'importe quoi: la pièce de ferronnerie qu'il vous manquait, le collier serti de perles qui vous fera pardonner par votre femme, une bouteille d'alcool du Désert des Aiels. Et s'il ne l'a pas en stock, il a rendez-vous dans deux ou trois heures avec un contact dont il ne peut révéler le nom et auquel il glissera un mot pour vous, moyennant une avance sur paiement bien entendu. C'est une occasion unique, il quitte la ville dans quelques heures! Vous ne le regretterez pas!
Sharyakin
09/03/2007 10:37
Multi de Kinshaa Graine de Sagette^^ Apprentie

Je suis Sharyakin de l'enclos Haute plaine du clan Goshien. J'ai vécu une enfance banale auprès de mon père, fabriquant de bijoux, de ses deux femmes, de mes premières soeurs et des autres. Contrairement à mes premières soeurs, qui passaient leur temps à chercher un mâle pour pouvoir tresser une couronne de fleurs, je me serais bien vue Vierge de la Lance. En fait je voulais seulement échapper à une vie morne et toute faite. Quand j'en avais parlé à ma mère, elle avait seulement ri. Bon, je ne suis pas son enfant le plus costaud, et alors? Il n'empêche que je n'ai plus reparlé de combat ou de soif d'aventures. J'aurai sûrement oublié ces rêves pour suivre le chemin de mes soeurs et de mes parents, si, quelques temps auparavant, ma dernière première soeur n'était tombé gravement malade. Toute la famille s'est relayé pour la veiller, mais elle allait de plus en plus mal malgrè les soins quotidiens de notre sagette. Quand mon tour vint, elle agonisait. J'étais seule avec elle, sans savoir quoi faire. J'aurais pu pleurer si ne n'avais pas craint qu'on me voit ainsi. J'ai passé des heures à lui agripper sa petite main tout en lui caressant le front. Quand mes parents sont revinrent, elle allait mieux. Quand la sagette passa le soir, ma soeur allait bien et tout le monde était ravi. La sagette nous a tous regardé de son air étrange. Je m'en fichais, ma soeur allait bien. Mais le lendemain, elle est venu me trouver. Selon elle, je devrais devenir sagette. Ayant déjà assez d'apprenties, elle me conseillait de quitter mon enclos pour un clan voisin, afin de trouver une sagette capable de m'instruire. Ravie à l'idée de quitter mon enclos pour un petit moment, j'acceptait avec joie sa proposition
Théo
27/03/2007 17:04
Ne passez pas du déni au désespoir dans avoir agi. - Multi

Théotim Livingston

Théo est un jeune garçon de 13 ans, vendu par ses parents trois ans plus tôt dans une lugubre ferme d'Ebou Dar, avec sa petite soeur Lunéa, de 4 ans sa cadette, les indigents parents Livingston étant trop démunis pour subvenir aux besoins alimentaires de leurs tendres bambins. C'est à ce moment précis que pour le jeune Théotim commença une furieuse lutte pour la survie et pour celle de sa soeur, qui devint aussi précieuse à ces yeux dans son malheur qu'une tâche d'ombre au milieu du désert des Aiels. La vie chez le tres estimé Sir Grimble, veuf de son état, était des plus douloureuse, puisque les enfants, considérés comme une force de travail bien utile, n'arrivaient pourtant pas à satisfaire leur tres irrascible bienfaiteur dans les tâches quotidiennes qu'il exigeait d'eux, et leurs faisait comprendre d'une manière qu'il estimait être juste, à savoir certains sévices corporels qu'il ne serait pas bon de décrire ici.

Le jeune garçon, qui demeurait malgré tout fort loyal envers celui qui l'avait aimablement receuilli et sans qui, il leur rappelait sans cesse, " il serait surement déjà mort de faim et de froid ", fut néanmoins poussé dans ses plus sombres retranchements lorsqu'il appercut la petite Lulu recroquevillée dans un coin de sa royale paillasse, sanglotant à cause de quelques nouvelles brulures sur son petit dos de porcelaine.

Au milieu de cette même nuit, prenant la précieuse enfant sous un bras, et tout ce qu'il pu voler de précieux et de leger dans l'humble demeure Grimble sous l'autre, il s'en fût rejoindre sous une pluie battante, apres plusieurs lieues d'une marche difficiles, le coeur de la ville de tous les délis, où, il le savait bien, la vie ne serait pas forcément plus aisée.

En aussi peu de temps qu'il en faut pour le dire, il troquait déjà sur la place du marché les objets dérobés contre des habits neufs, un fin poignard, et de la nourriture en suffisance qui permettrait sa subsistance pour les quelques semaines à venir. C'est ainsi qu'au bout d'un mois seulement, il fut vétu assez convenablement pour passer pour un valet d'une nobliette du palais de Tarasin, mais qu'il n'eut plus de quoi remplir son estomac, pas plus que celui de Lunea.

A contre-coeur mais poussé par la faim, il volait son premier jambon-beurre, et de fil en aiguille, tout ce qui lui passait par la main, protégé par son adorable silhouette au dessus de tous soupçons. Pourtant, il ne passait pas inaperçu au yeux de tous comme il se plaisait à l'imaginer, car un matin, alors qu'il s'appretait a commettre de nouveau un terrible forfait, plongeant sa main devenue agile dans la poche d'un passant dans l'espoir certain de delester celui ci de quelque précieuse fortune, son fin poignet fut saisi dans sa lancée par quelque main étrangère, au geste bien plus leste et rapide que jamais ne l'avaient été les siens. Son regard noisette se leva alors en direction du jeune homme qui le tirait maintenant en arrière un large sourire aux lèvres, avec force désappointement.

Il s'agissait d'un dénommé Peter-le-rusé, qui apres l'avoir observé quelques temps, agissant sur son propre territoire de chasse, lui proposait ravi de rejoindre sa terrible société secrete " les mains de velours " composée d'une bande hétéroclite de jeunes Ebou Darien mettant leur intelligence, discretion et agilité au service de... eh bien de qui voulait bien de leurs services. Et cela ne manquait pas, puisque qu'apres avoir fait ses preuves au sein de la joyeuse communauté, il reçu pour mission de s'infiltrer au sein même de l'entourage du Prince Beslan d'Altara, dans le but de récolter quelques précieuses informations, pour un client anonyme mais qui paya ce service aussi cher qu'un sacré roi Tearien.

Les années passèrent ainsi, entre vol, cambriolage et espionnage (mais rien de plus, il se refusait à ôter la vie de qui que ce soit malgré les sommes que cela lui eut rapporté) jusqu'au jour ou bévue il commit en se faisant piéger, " comme un débutant " lui avait dit le Rusé affolé, par une des servantes de la reine qui, s'étant vu refuser la somme pour son silence, avait laissé aller ses perfides paroles à qui voulait bien les écouter. Il n'en fallu pas plus à Théo pour quitter la ville de la même façon qu'il en était venu, non sans avoir volé deux chevaux cette fois, et conservant les biens qu'il avait amassé en ces trois années d'abondance, evidement suivi de sa soeur qui de toutes façons le suivrait où qu'il aille.

[(non validé) C'est apres de nombreuses semaines de voyage, alors qu'il faisait halte dans une taverne sur demande de sa soeur, et qu'il était sur le point de delester de ses deniers un homme vêtu de noir d'apparence assez noble, que son destin changea de nouveau de cours.
Sa main cette fois ne fut pas arrêtée par une autre mais par... Rien. Il ne pouvait simplement plus bouger. Ce fut sa premiere rencontre un Asha'man, terme qu'il ne saisissait pour l'instant que tres abstraitement. Ce qui le surpris d'avantage que d'avoir été figé, fut que l'homme lui intima d'un ton froid de s'installer en face de lui pour.. discuter. Celui ci croyait avoir décelé en Théotim la capacité de canaliser, et lui fit comprendre qu'il était dès à présent de son devoir de le suivre, dans un endroit où se trouvaient " d'autres hommes comme lui, capables de faire bien plus que de figer quelqu'un dans des flots d'air ". ]
Liessa
04/04/2007 12:10
'Fleur du désert'
Multi

Je m’appelle Liessa. Je suis née dans le sept Eaux Noires des Aiels Nakai. Ma vie y a été celle de toute enfant aielle, jouant, apprenant, et regardant avec envie les Vierges de la Lance. Depuis toute petite je désire les rejoindre, comme l’a fait ma mère. Celle-ci a abandonné la lance pour mon père après qu’ils soient revenus des Terres Humides où ils étaient partis punir Laman de son péché. J’ai grandi en écoutant des histoires sur les Terres Humides –dont je n’ai longtemps cru que la moitié-. Dès que je l’ai pu, j’ai rejoint la Far Dareis Mai que je ne quitterait pour rien au monde. Parmi elles j’ai rencontré celle qui devint ma presque-sœur, Suondhe, une Vierge de la Lance Shaido. Nos clans se faisaient alors la guerre mais les Vierges ne combattent pas contres celles d’autres clan durant une guerre. Jeunes éclaireuses toutes deux nous nous sommes liées d’amitié alors que je l’avais capturée comme Gai’shain. Après qu’elle ait fait son temps, nous avons combattu nous protégeant l’une l’autre alors que des trollocs imbéciles attaquaient un de nos camps . Aujourd’hui, les rumeurs courent que le Car’a’carn va bientôt apparaître. Nous avons décidé de nous mettre en route vers les Terres Humides pour le trouver. Je suis impatiente de retrouver ceux qui nous ont précédé sur cette route et d’en découvrir plus sur les habitants et coutumes de cette terre.
Suondhe
04/04/2007 12:11
multi. Vierge défoncée

Je suis Suondhe, Vierge de la Lance des Shaido. Née dans l’enclos Jumai, j’ai rejoint la lance très tôt. Je sais que j’ai un caractère emporté et qui m’attire des ennuis mais c’est le mien. Parmi mes sœurs-de-la-lance, je trouve le moyen de me défouler et je n’envisage pas de jamais abandonner la lance, surtout pour un mari. Les hommes ne sont qu’amusement et j’aime les amener à chanter. Après plusieurs années à combattre dans le désert, j’ai quitté le désert avec ma presque-sœur, Liessa. Je me demande parfois ce qu’elle fait parmi les Vierges car elle est plus réservée et pondérée que la plupart de nos Sœurs et assez intéressée par les livres et les Terres Humides pour devenir une sagette. Si je l’écoutais, nous nous serions arrêté à chaque mètre depuis que nous avons quitté l’Echine du Monde, pour la laisser regarder tout en détail. Elle est même rentrée dans une de ces ‘rivières’ alors que autant d’eau me fait peur. Nous devrions bientôt rejoindre ceux qui nous ont précédés dans notre recherche du Car’a’Carn. J’espère qu’il nous amènera de nombreux combats.
Lunessan
09/04/2007 14:58
Novice

Je m’appelle Lunessan Tervuren. Je suis la fille unique d’un marchand de soierie de Cairhien. Mon père s’absentait souvent pour ses affaires et j’ai grandi de manière un peu vague, entre les mains d’une mère peu intéressée par sa fille et par les ouvrières de mon père. Celui-ci étant le meilleur marchand de soierie de la ville, nous avions la clientèle de nombreuses Maisons, dont celle du Palais du Soleil.
Je n’ai pas de bon souvenir de mon enfance. Je n’aimais que mon père et celui-ci était souvent absent et lorsqu’il était présent, c’était des disputes sans fin entre lui et ma mère. Ma mère est issue d’un milieu un peu plus noble que mon père et ses parents ruinés l’ont mariée à lui pour payer les brevets de ses frères. Elle passe ses journées à regretter son enfance et à reprocher à mon père sa bourgeoisie. Elle a toujours vu en moi la fille du marchand et ne commença à s’intéresser à moi que lorsque j’atteints l’adolescence. Ses parents l’avaient mariée à un marchand pour sa richesse, et à travers moi elle espérait regagner les rangs de la haute société, me trouvant assez jolie. Je n’ai que quatorze ans, mais je sais ce que veulent dire ces réceptions où ma mère me présente à des noble issus des plus grandes raisons, et ce que veulent dire ces cours de maintien, ces séances de maquillage et ces belles toilettes.
Mais moi je n’en veut pas. C’est pourquoi j’ai décidé de m’enfuir pour une autre ville. Mes nourrices m’en ont parlé et j’en ai vu une de loin. Les Aes Sedai. J’ai décidé de rejoindre la Tour Blanche et de suivre leur enseignement. Moi seule décide de ce que je serais.
Tanaquyll
10/04/2007 19:28
Multi
Cheveux aux vents et pieds dans l'eau

Des voiles différentes sur le port. Ils sont venus nous réquisitionner et nous voilà désormais soumis, prèts à naviguerpour le bon vouloir de ces guerriers. Et pourtant, je dois toujours me réveiller, tous les matins, et faire les mêmes gestes qu'avant, le même travail, comme si rien n'avait changé. Mais tout a changé.

Je m'appelle Tanaquyll, du clan Somarin, et cette année là, j'allais feter mes 10 ans à bord du même navire. J'y est trouvé ma place, d'abord comme mousse, puis depuis quelques temps, comme marin confirmé. J'ai vécu heureuse et en paix, apprenant les bases du métier auprès de gens respectables que je cotoie toujours. J'avais des amis, des compagnons, du travail à rendre compte à mes supérieurs, et cette vie me convenait parfaitement. Ces dix ans sont passés rapidement, bien trop vite à mon gout. Surtout depuis l'arrivée des autres. Je sais ce que j'ai perdue, mon inscouciance, mes certitudes. Je n'ai plus de nouvelle d'une de mes amis, apprentie pourvoyeuse de vent sur ce navire. Quand je pense à ma soeur, elle même pourvoyeuse de vent, la seule et la fierté de notre famille, je tremble. Et quand je songe que notre navire de commerce est réquisitionné pour faire la guerre à d'autres peuples, afin qu'il subisse le même sort que les mien, j'enrage.


Mais il faut continuer. Et je dois dire que ce nouveau peuple, s'il m'effraye, aiguise en moi beaucoup de curiosité. Je ne sais pas très bien ce qu je veux faire. J'obéis, je regarde, j'attends, espérant que mon peuple retrouvera toute sa liberté d'avant...
Endric
11/04/2007 15:21
http://www.pierre-de-tear.com/~shenancalhar/fiches/Endric.html[text]Roi du Tarabon
multi de Jibaï

Background d'Endri Palassal, roi du Tarabon

Endric Palassal, de la maison Tarabonnaise Palassal, est né dans une famille riche de Tanchico. Depuis tout jeune il a été formé et éduqué pour parfaitement remplir son rôle de noble. A l’adolescence, accompagné de son frère, il a pu approfondir son goût pour les voyages en devenant secrétaire de son oncle qui était diplomate. Il a voyagé à Tear, à Illian, en Andor et à de nombreuses reprises en Arad Doman. Entre deux voyages, il restait à la cour ou se retirait avec des amis dans ses pavillons sur la côte de l’océan d’Aryth.

C’est avec la mort prématuré de son père que sa vie bascula. Amené à remplir des fonctions importantes dans l’entourage du roi, c’est presque avec logique que l’Assemblée des Seigneurs le désigna pour succéder à ce dernier. Depuis il continua à améliorer le commerce, fer de lance du Tarabon, et s’employa à développer son domaine de prédilection : la diplomatie. Il signa d’ailleurs des accords importants avec les Atha’an miere.

Il règne désormais depuis quelques années sans avoir connu de problèmes insurmontables. Son entente avec la Panarche est plutôt bonne et mis-à-part quelques heurts avec l’Arad Doman sur le sujet épineux de la plaine d’Almoth, son règne ne connaît pas de points négatifs.
Tarlic
14/04/2007 20:04
Co-resp. de la Comm. des Seanchans. [small]De retour! Pour vous jouer un mauvais tour... Multimégalo - Kror[/small]

Nouveaux PNJ seanchans :


- l'Officier Liräch Korgatoth



Militaire de carrière, Liräch Korgatoth avoisine maintenant les 45 ans. Désormais meilleur autour d'une table à élaborer des plans que sur le terrain à combattre, il n'a rien perdu de son mauvais caractère. En effet celui-ci n'a d'égal que son talent pour commander des hommes.
Officier d'infanterie depuis de nombreuses années, il est respecter même parmi les plus gradés.


- Le Seigneur Doroibet



Membre du Sang, il est à la tête de la garnison seanchane de Tremalking. Compétent et autoritaire, voilà ses principaux qualificatifs.


L'Officier Liräch et le Seigneur Doroibet sont actuellement joués par moi-même, mais si d'autres veulent s'en charger, je n'y vois aucune objection.
D'autres PNJ pourraient suivre.
Random
14/04/2007 22:49


Le shiennar, dernier rempart avant la dévastation. Notre quotidien est fait de trollocs et de Myrdralls. Ici, on apprend à se battre avant de marcher. Et moi, j'apprenais avec encore plus d'ardeur, dans l'espoir un jour de venger mes parents morts lors d'un raid trollocs. Venger contre qui ? vous allez me dire qu'il est evident que je retrouverai jamais le trolloc responsable, après tout un trolloc ne ressemble à rien de plus qu'un autre trolloc. Je n'ai vraiment répondu, à part en mentant moi-même, mais j'ai nourri une haine qui n'as fait que s'amplifier au cours du temps contre tous ce qui avait attrait à l'ombre. De constitution pourtant moyenne, j'acquis très vite uen dextérité à l'épée que beaucoup de mes compagnons m'envièrent.16 ans, aujourd'hui, ma première expédition dans la dévactation. On était un petit groupe, tous mes frères d'armes étaient expérimentés. Aucun ne sentaient la peur. Et pourtant...quelques heures plus tard, à peine aprés avoir installé les couches, des trollocs nous tombérent dessus. Des cris d'agonies commencérent à s'élèvées et le tintement des épées devinrent de plus en faibles. Je ne sais pas comment j'ai fais pour m'échapper, mais revenu au camp, je ne pus m'empêcher de m'interogger. On était les meiileures épéistes, du camps, on avait été justement été chosis pour cela, et on avait quasiment tous péris ...là ou une aes sedaï aurait suffi. Le soir, sans un mot à mes proches, j'aime pas les adiuex, je partis pour tar valon...

Constitution: 6
Agilité:6
Force : 6
Réflexe: 7
intuition: 3 ( l'intuition masculine est très réputé tongue2.gif)
perception: 7

* Epée: +2
* Hache: +1
* Baton: 0
* Lance: -2 ( ca ressemble à quoi ;p)
* Poignard: 1 (juste parce que ca sert à découper la viande tongue2.gif)
* Couteau de lancer: -1
* Masse d'arme : +2
Ataroa
15/04/2007 12:50
Multie
Lorsque le vent soufflera...

Le vent ne fouette plus mon visage. Le Tempête chantante ne glisse plus sur l’eau. Je suis Ataroa din Temirin Longue Vague, maîtresse des Voiles d’un navire à quai. Ils sont arrivés il y a une lune, aussi nombreux que les vagues de l’océan. Allez y ! Traitez moi de menteuse ! Mais le fait est qu’ils ont pris possession de nos îles et qu’ils nous retiennent loin de l’océan. Je parle des Seanchan, ces envahisseurs venus d’au-delà des mers, envoyés par leur impératrice gouvernée par Sha… Non. Le mauvais sort qui s’abat sur nous est déjà suffisamment important pour ne pas rajouter cela.
Reprenons.
Je suis née il y a presque vingt cinq ans sur ce bateau. Il venais à peine d’être mis à flot et ma mère, sa maîtresse des voiles a tenu à y accoucher alors même que les coups de marteau résonnaient encore. Lui et moi sommes nés ensemble, deux jumeaux, l’un de chair, l’autre de bois. Et vingt deux ans après, c’est moi qui en pris le commandement, après que ma mère meurt de fièvres malignes en rentrant de Sharra. Je suis reconnue par mon clan comme une bonne maîtresse des navires, sur un bateau réputé difficile à manœuvrer, tout comme celle qui le dirige. Mais je n’ai rien pus faire contre ces gens venus de l’ouest. Nous revenions de nos îles les plus septentrionales lorsque un de leur vaisseaux éclaireurs nous à arraisonné. Nous avons décidé de résister, bien mal nous en a pris. Andron est là dans une maison du port et des femmes de l’Amanyar le soignent. Il vivra, mais ne naviguera plus jamais. Est-ce vivre que vivre à quai ? Mon cœur et le sien sont unis mais il restera à terre et je serais sur l’eau. Quand à Resay… elle a crié longtemps jusqu’à crier grâce et je ne l’ai pas revue. Ces sul’dams…
Mon cœur se refuse à accepter cela. J’ai prêté leurs serments du bout des lèvres et je n’accepterais jamais leur domination. Yarine la Maîtresse des Navires viens de nous annoncer que nos vaisseaux vogueront de concert. Comment peut elle ordonner cela ? Mais voilà qu’elle me confie une autre mission. Oh j’obéirais ! J’obéirais à celui là !
Isebel
21/05/2007 19:33
Multi

Je me nomme Isebel Anhion. Je suis née à Tanchico, dans un des petits palais qui bordent le Cercle du Roi. Il est vrai que c’est avec le statut de bâtarde que j’y suis née, et non pas en temps que fille légitime de la maison, quelque désir que j’ai que ce soit ainsi que cela se soit passé. Mon père le seigneur Tanshin n’aimait pas son épouse. Belle mais acariâtre. Ils se détestaient et moi fille bâtarde d’un seigneur sans héritier d’une femme stérile, j’était un pion dans l’éternelle bataille qu’ils menaient.
A peine remarquée dans les périodes d’accalmie, méprisée par les servantes de la dame du lieu, frappée parfois, je devenais sitôt la reprise des conflits une enfant choyée par l’un et l’autre camp. Maridra, l’épouse de mon père m’appelais alors près d’elle, m’habillait, me coiffait, m’apprenais mes lettres, le chant, la danse, l’art de parler, mon père me racontait ses récits de bataille, contre les Aiels ou l’Arad Doman et m’apprenait les armes, à monter à cheval et à jurer, chacun s’efforçant de saper le travail de l’autre.
J’ai grandit ainsi tiraillée entre deux partis, travaillant comme une servante, éduquée comme une princesse et un soldat. Somme toute, j’ai vécue jusqu’ici à ma guise, malgré ce statut de pion que j’ai acquis dans la maison. La mort de l’un ou de l’autre de ces partis remettrait tout en cause. A tout moment je puis être éjectée ou plus improbable, propulsée héritière des biens paternels.
Mais je commence à en avoir assez de tout cela . L’éducation de mon père a sans doute plus déteint sur moi car ce que je désire désormais, c’est ne plus obéir et vivre enfin comme je l’entends. Je n’en peux plus.
Terein
29/05/2007 12:26


Prénom: Terein
Nom: Assdan.

Histoire: Terein est né à Caemlyn, capitale d'Andor, peu de temps après la guerre contre les Aiels. Fils d'un soldat et maître d'arme vétéran de ces même guerres, il fut entraîné dès son plus jeune âge dans les voies de l'épée. Il fut choisi à l'âge de treize ans, comme champion de Caemlyn dans un tournoi annuel, et en ressorti deuxième. Alors que tout les enfants de son âge s'amusaient à se battre, lui s'entraînait pour devenir plutart un maître d'arme, et recevoir une lame marquée du héron. Profondément attaché à Andor, il ne la quitta qu'avec regrès quand, à quinze ans il partit pour Tar Valon afin de devenir lige. Accompagnant sa soeur qui partait pour être Aes Sedai. Il passa cinq ans à la tour, passant ses journées à s'entraîner. Possèdant un talent que l'on ne retrouva que plutart chez Galad, le fils de Morgase. Moins de trois ans après son arrivée, il dépassa ses maîtres dans le maniement de l'épée, et reçu en cadeau, une lame forgée pendant l'age des légendes, marquée du signe du héron. Il ne se lia pas avec une Aes Sedai, ce qui lui sauva la vie. A l'age de vingt ans, il découvrit qu'il possèdait la capacité de canaliser le Pouvoir. Il s'enfuit de la Tour, et se dirigea vers Caemlyn, où il avait entendut que se trouvat Rand Al'thor, la réincarnation du Dragon, ainsi que la Tour Noire.

Description: De grande taille, Terein a des cheveux longs et bruns. Une jeune barbe sur les joues, et un air constament impassible. Il est calme, et précautieux dans ses choix, et à le regarder, on lui donnerait une trentaine d'année en plus.

équipement: sa cape de lige, et son épée sont ses principaux biens. Il possède également un cheval noir nommé Ardell "qui va vite" dans l'ancienne langue (j'invente un peu), et un arc long pour chasser ou tuer le trolloc depuis sa maison.

capacité:
épée: +3 (il est pas éduqué depuis son plus jeune age pour rien hein...)
Arc: +3
Main nue: +3
hache: -3 (trop vulgaire pour être d'un interêt quel quonque)
lance: -2 (trop encombrant)
couteau: +1
Couteau de lancé: -3(à quoi sa sert quand on peut avoir son enemi avec une flêche, ou le tuer par derrière avant qu'il ne nous voit?)
bouclier(je rajoute): -2 (préfère parer avec son épée batarde)
baton: +2 (l'arme la plus disponible)

Force: 8
Constitution: 8
Réflexes: 7
Perception: 8
Intuition: 6
Agilité: 7 (logique avec les réflexes)
Sorindhra
29/05/2007 18:35
<center>Multi</center>Sagette shaido<hr><small> <i>De l'amour assassiné naît la haine...</i></small>

Je m'aperçois que j'avais oublié de le poster:

Le péché de Laman... notre histoire sera à jamais marquée par l'acte méprisable du coupeur d'Arbre. Je suivais alors mon entrainement pour devenir Sagette et je vis les guerriers et les Vierges de mon clan partir pour les terres humides. Tant ne sont pas revenus. Laman a payé son crime, mais désormais ces chiens des terres humides ne sont plus les bienvenus dans la Terre Triple. S'ils parviennent à y entrer, ils n'en sortiront jamais. Je le jure.
Le temps à passé, et je suis devenue une Sagette respectée. Oh bien sur, mes instructrices ont du me dresser comme un animal rétif, mais l'entrainement m'a endurcie. Les larmes versées sur ceux que j'aimais, morts pour laver le péché du coupeur d'Arbre ont été séchées par le vent et le sable du Désert, pendant les longues nuits de course autour des tentes des Sagettes et mon coeur s'est changé en pierre. Je ne m'encombre plus de sentiments inutiles, et c'est ce qui me permet d'obtenir ce que je veux. Toujours.
J'ai également le don d'Exploratrice de Rêves. Et je suis forte. Plus forte que ne l'étaient mes instructrices. Mais celà je le garde pour moi, c'est un atout. Et un atout n'a de valeur que si on ne le révèle qu'au bon moment.

Mise au point physique et mentale:

Sorindhra est blonde, plutot séduisante et proche de la quarantaine d'années.
Elle connait particulièrement bien le TAR.
Ne maitrise pas le PU.
Déteste les wetlanders du plus profond de son coeur, surtout depuis depuis que l'expédition contre Laman lui a enlevé celui à qui elle tenait.
Bloc de glace ambulant.
Rhéane
09/06/2007 16:40


Rhéane est nee dans une famille modeste de Cairhien. Elle a deux soeurs, plus jeunes qu'elle, et un grand frere. Son pere exerce le metier de charpentier, tandis que sa mere travaille comme servante au palais. Vers quinze ans, sa mere l'emmena au palais pour qu'elle y devienne aussi une servante. Rhéane avait d'autres ambitions, mais sa famille ne lui laissa pas le choix. Elle devint donc servante.
Elle epuisa assez vite toutes les possibilites de sa nouvelle vie, et chercha activement un moyen de s'en echapper. Ce moyn lui fut donne quelques mois plus tard, par une Aes Sedai de l'Ajah grise qui passait au chateau. Celle-ci declara que Rhéane pouvait apprendre a canaliser le Pouvoir unique, et devait se rendre a la Tour blanche pour y faire son apprentissage.
Rhéane sauta sur l'occasion. Elle avait enfin une chance de s'elever dans la societe ! Elle se mit en route le plus vite possible, apres de (tres)brefs adieux a sa famille.

Precisions sur le physique et le caractere :

Rhéane a une silhouette fine, mais reste petite de taille, environ 1m55. Elle est d'ailleurs assez susceptible en ce qui concerne sa taille.
Elle a les cheveux longs, d'une couleur brune assez terne, sauf sous la lumiere su soleil: ils prennent alors des reflets blonds et roux. Elle les yeux bruns aussi. Sinon, elle a le visage fin et delicat. Elle se sait belle, et n'hesite pas a s'en servir. D'ailleurs, pas grand-chose ne la ferait hesiter, si cela lui permettait de satisfaire son ambition.
Mylgaria
14/07/2007 16:57


Me voici, Mylgaria. Mon nom et les vêtements que je porte, voilà tout ce qu'il me reste. J'étais déjà en âge de me marier, j'étudiais auprès de la guérisseuse de mon quartier, à Tear, lorsque ma famille m'a reniée. Ma nation elle-même me pousse à l'exil, me fourrant de force dans une charrette en direction de Tar Valon et de la Tour Blanche, La cité des sorcières et leur pouvoir maudit! Je n'ai pourtant rien fait de mal! Mais autour de moi, des événements étranges se sont toujours produits : guérisons inexpliquées, jaillissement d'une source d'eau douce... A force les gens se sont mis à me soupçonner. Même mon fiancé a peur de moi aujourd'hui. J'ai peur de ce que je vais devenir, mais ai-je le choix?

Présentation physique et mentale :
Le teint ambré, les cheveux sombres et bouclés, les yeux verts émeraude, Mylgaria est plutôt petite, d'aspect frêle, mais tenace, volontaire, énergique et pleine de joie de vivre. Elle vient d'atteindre son dix-neuvième printemps et sa vie est totalement bouleversée, tous ses projets sont remis en question. Il s'agit d'une irrégulière qui a survécu sans aide au pouvoir unique. Son blocage : la douleur physique ou morale.

Melian Ilgard
16/07/2007 18:50
Vagabond

Melian Ilgard

Voilà dix neuf années déjà qu’un cri déchira le silence de mort installé les pieds en éventail et les bras en croix dans la cuisine d’une ferme Arafeline non loin entre Shol Arbela et l’affluent de l’Erinin. Allongée sur la table, aussi morte que le silence, une femme d’une quarantaine d’années, les traits tétanisés dans un rictus de douleur. Seul les braillements incessants de l’enfant venant de naître brise le mal aise des personnes observant le corps, une femme d’âge avancé et assez forte sans compter ses épaules a rivaliser avec un forgeron emplissait bien la salle pour deux personnes. Visiblement sage femme, elle donnait des ordres a deux jeunes filles ressemblant assez à la défunte pour être leur filles, les deux jeunes filles stoppèrent leurs sanglots et commencèrent a s’occuper du corps tandis que la sage femme s’éloignait de la cuisine avec le bébé toujours en train de cracher ses poumons dans les bras de la guérisseuse.

Dans le salon, deux hommes, un assis sur une chaise en bois simple avait le regard dans le vague, lui aussi ressemblant assez à la défunte pour être son frère ou un parent proche, plus jeune approchant la trentaine d’années environs, habillé comme un soldat des Lances d’Arafel, il a le regard dans le vide et mâchonne un morceau de tabac en marmonnant. L’autre debout faisant les cents pas dans la pièce est habillé en fermier de taille élevé pour un homme des marches, ses cheveux charbon lui coulent dans le dos, un nez aquilin barre son visage et ses yeux bleus se baladent furieusement dans la salle puis tombent sur la sage femme, l’enfant dans les bras.

Le regard bleuté de l’homme semble interrogé celui more doré de la guérisseuse, celle-ci baisse les yeux un moment étrangement honteuse et fais signe de négation de la tête. Les yeux bleus se remplissent de larmes contenues et le fermier se rue vers la cuisine renversant presque la sage femme, le nouveau né se remet à pleurer. En quelques pas, l’oncle fut près de l’enfant, de ses yeux noirs coulent lentement quelques larmes qu’il essuie du revers de sa manche, un index caresse la joue de l’enfant qui cesse de pleurer captivé par le regard de son oncle.

« Melian. Il s’appellera Melian. »


****


Le miroir a pivot sur la commode tourna sur lui-même en grinçant furieusement quand Melian le fit pivoter d’un léger coup de main, main qui se porta aussitôt à la bouche du jeune homme pour réprimer un bâillement digne d’Arthur Paendrag lui-même. Le jeune homme se contempla dans le miroir vieillot pigmenté d’éclat de verre brisé, allure dégingandé, chausse débraillée, chemise froissée avec laquelle il avait dormi, moitié ouverte plus par manque de bouton que par fainéantise. Trop grand pour se voir dans le miroir, Melian réprimant un autre bâillement ravageur, il pencha sa tête sur le côté pour voir l’étendu des dégâts de la fête de Beltaine.

Les traits fins, le teint pâle, Melian regarda son visage, Elanie, la fille du boucher disait qu’il était mignon bien qu’il soupçonnait cette peste de retenir ses compliments et de les donner au compte goûte pour mieux faire de lui sa chose. Repoussant ses long cheveux châtains désordonnés par-dessus ses épaules, Melian fit quelques pas en arrière et s’écroula a nouveau sur son lit et pesta un instant mentalement envers le prêteurs sur gages qui rembourrait ses matelas avec des noyaux de pêches.

Les yeux noirs du jeune homme fixèrent un moment les poutres du plafond de sa chambre dans la mansarde que lui avait dégotté son oncle. Oncle qui l’avait plus ou moins élevé entre quelques missions avec les Lances de l’Arafel, enfin élevé ou plutot confié a une aubergiste plus revêche qu’une Aes Sedaï avec une rage de dent. Obligé de travailler comme « commis » dans cette auberge pouilleuse, bien sur travail remboursant a peine son logement. Roulant sur lui-même, il se saisit d’un livre affalé au milieu de ses vêtements sur le sol de la chambre, « Arthur Paendrag et l’Echine du Dragon ».

Melian commença négligeament a chercher son marque page quand une voix perçante criant son nom surgit du bas de l’escalier et vint lui retourner la cervelle en prenant soin de broyer ses appareils auditif. Le jeune homme qui avait acquis la faculté de passer de la position d’affalement a celle du garde a vous en moins de quelques seconde sauta sur la porte avant que Maîtresse Jana, l’aubergiste eut le temps de voir sa chambre approchant plus d’un dépotoir que d’une mansarde. Se retrouvant face à la propriétaire des cordes vocales les plus aigues de Shol Arbela a la mer des Tempêtes, il attendit patiemment essayant ne pas avoir trop l’air de celui qui savait qu’il allait passer un mauvais quart d’heure. L’aubergiste tenait un mouchoir dans sa main droite et s’épongeait frénétiquement les yeux avant de lâcher le trolloc dans la Tour Blanche de sa voix de fausset contrastant avec sa taille pour le moins impressionnante.

« Paerd est mort dans la nuit, une tuile du « Vase Plein » lui est tombé dessus et lui a fendu le crâne. »

Melian ouvrit aussi grand qu’il put ses yeux en amendes et se laissa tomber contre la porte et prit sa tête entre ses mains et ne se rendit même pas compte quand Maîtresse Jana s’assit à côté de lui le prenant par les épaules. Paerd avait été un palefrenier de l’auberge, un ami de Melian, un bon ami, seulement la veille, ils s’étaient disputés pour les faveurs d’Elanie et Paerd était mort. Rien ne prouvait que Melian y fût pour quelque chose mais on murmurait qu’il portait malheur. Tena, Derdr, Balian, Ferd, Jini et combien d‘autre encore étaient mort dans des conditions pour le moins étrange a chaque fois après s’être disputé avec Melian. Une nuit, on avait gravé le croc du dragon sur la porte de l’auberge mais malgré cela Maîtresse Jana l’avait gardé que ce soit pour la pension versée par son Oncle ou par affection.

Melian lui-même croyait des fois qu’il portait malheur mais il y avait eut d’autre chose, plus jeune il avait renversé la soupière en argent de Maîtresse Jana et alors qu’elle aurait du être bosselée, elle était intacte. Il y avait aussi la fois ou le chaton de la fille de Linia une serveuse avait été brisé a la patte et Melian triste pour la jeune fille avait passé la nuit avec le chaton et le lendemain celui-ci gambadait a nouveau alors qu’il n’aurait jamais du remarcher. Il y avait eu de nombreux autres détails qui étaient passés inaperçus aux yeux de Melian, il ne savait pas si il était touché par le ténébreux ou par le Créateur mais ce qui était sur c’est que rien ne se passait comme il faut avec lui.

Se relevant en écartant doucement Maîtresse Jana, Melian rentra dans sa chambre et se maudit d’avoir les yeux sec et de penser que Paerd avait peut être mérité son sort. Un coup de pied rageur renversa le miroir qui se brisa au sol en centaines d’éclat de verres reflétant le jeune homme sous tous les angles. Saisissant des fontes, il fourra ses affaires dedans et commença à réunir les affaires qui pouvaient lui servir bien décidé à s’éloigner de Shol Arbela et des gens qu’il aime.


*****


Un an a défilé depuis que Melian a quitté l’auberge de la capitale en laissant un mot à son oncle et en prenant le cheval de Paerd. Le jeune homme s’est malgré tout endurci, obligé de vivre sur ses réserves travaillant tantôt dans une ferme tantôt faisant quelques rapines pour se nourrir mais le plus souvent de pêche et de chasse. Quittant Fal Moran, il y a un mois, Tar Valon la cité des Aes Sedaï plus éblouissante que le soleil lui-même est déjà en vue.
Deus
23/07/2007 13:55
Eclaireur du Shen An Calhar

L’histoire de Deus est plus banale qu’il ni paraît. Fils d’un modeste fermier, rien ne prédestinait à un destin hors du commun. Hors, un jour sa petite communauté fut attaquer par des enfants de la Lumière. Un ami du Ténébreux avait semble-il été repérer dans la région de son village, et les Enfants avaient tout passer par le fil de l’épée. Sauf une poignée de survivants, comprenant Deus. Celui-ci faisait montre d’une certaine capacité. En effet après une enfance et une adolescence passée dans une région boisée, et giboyeuses, il avait appris à pister et a se fondre dans la nature. Grâce à cette capacité, il put échapper à l’assaut des enfants. En son fort intérieur, le jeune garçon de 20 ans se jura qu’il vengerait ses parents des atrocités des Enfants.
Après la destruction de son village, Deus partis donc en foret. Il passa prêt une année seule, a chasser et a aiguisé ses talents de pisteur. Au bout d’un an il retourna à la civilisation. Il voyagea et arriva dans la grande ville de Caemlyn. Le retour a la civilisation ne se fit pas sans heurt ( surtout parce qu’il n’avait pas un sous sur lui}, mais il finit par entrer en ville.
Et c’est dans une auberge de la ville qu’il appris les problèmes que connaissait le monde.
Ne pouvant rester les bras croisés, et certains que c’est talents pourraient être utiles aux champions de la lumière, il se mit en quête du groupe qu'il savait lui être déstinée:
La bande de la main Rouge
Yarine
24/08/2007 12:04
Maîtresse-des-Navires de l'Atha'an Miere
multi intra-comm

[big]Premiers PNJ de l'Atha'an Miere [/big]

Zaryna Deux-voiles du Clan Shodein
Maîtresse des Voile et coordinatrice de la flotte Atha'an Miere auprès des Seanchans.
Maîtresse-des-voiles depuis près de 30 ans, maîtresse des vaguies depuis 10, c'est une des plus habiles négociatrices des Atha'an Miere. Elle a plusieurs fois servi d'intermédiaire pour signer des traités avec les pays côtiers dans des buts commerciaux. C'est pour cela qu'elle est désignée par Yarine pour mener la flotte AM vers le continent et la représenter auprèsdes Seanchans.


Le navire d'Ataroa:
Revern
nouveau maître du fret, Andron le mari et ancien MduF d'Ataroa. Agé d'une trentaine d'années c'est un marin expérimenté et un maître du fret respecté. Il est dôté d'une légère boiterie son accident dans les voilures.


Resay
jeune pourvoyeuse des vents du Tempête-chantante. Agée de 23 ans, c'est son premier poste. Trés douée pour les flots d'eau, mais assez faible dans le Pouvoir (eau +2, air+1 esprit0 terre0 feu-2). Douée d'un caractère assez faible, elle semble déjà avoir perdu toute capacité de révolte.


Vélinda, maîtresse des voiles


Vélinda a servi sur différents bateaux avant de reprendre celui de sa mère, à la mort de celle-ci. Son jeune âge et sa fougue ont pu lui faire commettre quelques erreurs de jugement, notamment dans le choix de ses maîtres de frets, mais l'experience vient en apprenant. Comme son vaisseau est maniable, elle a pu satisfaire son envie de découvrir de nouvelles routes, afin de gagner du temps et de l'efficacité. Elle connait donc bien certaines parties de la mer, surtout près du continent. Celà lui permet de dire des choses pertinentes dans les réunions entre maîtresses des voiles, qui lui pardonnent son caractère emporté. Elle ne maîtrise pas souvent sa colère et a la réputation de parler franchement et de souvent commencer les hostilité lors des réunions avec les autres maîtresses des voiles.

Treya, maîtresse des voile

Treya est une maîtresse des voile depuis une vingtaine d'année. Ses paroles sont réputées sages. Elle a soutenu la nomination contreversée de Yarine, car elle apprécie ses décisions et ne pense pas que son âge soit un désavantage. La prise de son bateau par les envahisseurs seanchans l'a profondément bouleversée. La mission confiée par Yarine aussi. Elle se doit d'agir.
Kellen
20/09/2007 17:28
Ferme les paupières, rejoins la nuit.

Le ciel était de ceux qui ne présageaient rien de bon. Les nuages masquaient le soleil qui dardait rarement depuis ces derniers mois des rayons chauds et rassurants. Une journée normale en ces temps d’inquiétude constante. Kellen languissait quelque peu dans la cour du château de Fal Dara, le dos ankylosé par le fait de porter ces lourds paniers d’osier tressé.

"- Va les étendre. Ces linges sont à faire sécher de suite, pour le seigneur. Vite."

Sa mère donnait toujours des ordres de façon rude, mais elle était une femme de devoir et consciente que les temps présents étaient de ceux qui forgent les consciences. Kellen n’avait que 15 ans mais en paraissait quelques de plus. Les cheveux noirs de jais, la peau blanche perlée de quelques taches de rousseur
mutines sur le nez, elle était dotée des faveurs de la nature, grande et mince, les regards des gardes se posaient souvent sur elle, pétillants. Elle jouait de ses petits atouts avec grâce et parfois effronterie, son caractère était empreint de joie de vivre et de rébellion. Elle était une jeune fille que chacun
appréciait, acceptant ces quelques petits écarts de conduite avec gentillesse, riant même de cette facilité qu’elle avait de se tirer toujours des maladresses qu’elle commettait.

Mais ce matin, Kellen se sentait, en plus d’être fatiguée par le travail, gênée et mal à l’aise. Sa tête la faisait souffrir par intermittence, elle n’avait pas bien dormi la nuit dernière. Se retournant et grommelant dans son sommeil, elle n’avait pas réussit à trouver le repos qui estompe les douleurs et évacue les soupirs. Du plus loin qu'elle se souvenait, elle dormait mal, mais la nuit dernière avait été plus que difficile, presque indescriptible. Et voilà que maintenant, elle tentait de se débarrasser de cette migraine qui minait son moral. Mais rien n’y faisait. Elle tentait de se concentrer sur son travail, ne
pensant à rien d’autre que son labeur. Elle avisa un massif de fleurs près d’elle. Leur parfum était enivrant, envoûtant. Elle respira à plein poumon pour s’imprégner de cette agréable senteur, pour oublier le présent. Ces fleurs étaient si belles.

Etrangement, son mal de tête se calma, elle se sentit quelque peu soulagée, mais attribua cette trêve au hasard qui faisait parfois bien les choses. Bien qu’au Shienar, le hasard n’était qu’un mot parmi tant d’autres, plus personne n’y croyait à ce hasard qui finalement n’était rien. Mais soulagée, elle reprit le panier d’osier dans ses mains et s’en alla pour étendre le linge délicat. Quelques solides fils étaient tendus derrière la cour principale. Arrivée à destination, elle posa son panier et commença à démêler les draps de lin, doucement, avec délicatesse.

Son mal de tête reprit de plus belle, la laissant pantois, figée. Prête à tomber à terre, elle lâcha le drap qu’elle tenait, le faisant trainer dans la terre souillée.

Elle enserra sa tête entre ses mains tremblantes, ne sachant quoi faire pour oublier cette douleur qui la terrassait.
Elle réussit à relever quelque peu la tête et entrevit au travers de ces larmes le massif de fleurs odorantes. Elle les fixa tant bien que mal, beauté naturelle en ce monde désespéré. Une fleur à peine éclose, un simple bouton de rose attira
son attention, ou du moins captura son regard assez longtemps pour s’imprimer en son esprit. La vision de ce bouton distilla en elle un souffle de paix, un instant d’épanouissement. Son mal de tête se dissipa légèrement. Elle continua à fixer tant bien que mal le bouton de fleur, l’imaginant dans son esprit, pensant
qu’une fleur ne pouvait rien ressentir, ne pouvait pas souffrir. Elle tenta d’être un bouton de fleur, d’oublier la douleur. Elle fermait les yeux maintenant, mais voyait dans son esprit ce qui la ferait moins souffrir. Un sentiment l’envahit, elle ne pu déterminer quoi et puis s’effondra sur le sol, près du panier de linge humide, le visage pâle.

Elle rouvrit les yeux lentement. Au début, elle ne pu que distinguer quelques contours, quelques couleurs, puis sa vision se fit plus claire. Elle était allongée sur son lit, dans sa chambre. Elle entrevit sa mère, penchée sur elle, inquiète. Elle se réveilla petit à petit, consciente que celle-ci discutait avec une autre personne, mais ne comprenant pas un traire mot de ce qui était dit.

"- Elle se réveille."
"- Kellen, ma fille. Comment te sens tu ?"

Kellen peina à articuler quelques mots, sa bouche était pâteuse. Mais déterminée et têtue comme elle l’était, elle parvint à s’exprimer.

"- Je me sens fatiguée, mère. Etrangement fatiguée."
"- Te rappelles tu quelque chose ?"
"- Pourquoi que s’est-il passé ?"

Kellen ne gardait aucun souvenir de ce qu’il s’était passé. Un vague souvenir d’un mal de tête insupportable fit surface dans sa mémoire mais rien de plus.
Sauf peut être une fleur, oui une fleur, belle, douce.

"- Nous t’avons retrouvé évanouie dans la cour est. Pale, si pâle… Et…"

Kellen sentit que quelque chose n’allait pas. Que sa mère lui cachait quelque chose. Quelque chose d’important.

"- Qu’est ce qu’il y a ? Maman ?"

L’autre personne prit la parole. Kellen la reconnut, il s’agissait de la Shatayan.

"- Le linge était sec, plié… Dans le panier d’osier. Il n’a pas été déplié, Kellen."
"- Nous t’avons trouvé quelques minutes après que tu sois parti. Un cri a alerté les gardes. Tu as crié Kellen. Pourquoi ?"

Kellen ne pu dissimuler sa surprise. De vagues souvenirs refirent encore surface, oui elle se rappelait maintenant.

"- Je n’ai pas plié le linge, je n’ai pas eu le temps. J’avais tant mal à la tête, si mal. J’ai du crier en tombant."

Elle ne comprenait pas bien ce qu’il s’était passé. Et au vu des visages qui lui faisaient face, l’inquiétude se mêlait à l’incompréhension.

"- Kellen. Ce n’est pas la première fois que cela t’arrive. Jamais cela n’a été aussi grave, jamais avant ne t’étais tu évanouie."

Elle se rappela alors les fois où les tartes une fois posées sur la table, à peine sorties du four avait tout simplement refroidies à une vitesse incroyable. Kellen se brulait souvent d’ailleurs en les sortant. Les fois où les fenêtres se
nettoyaient avec une facilité déconcertante à son contact, et ses rêves, ses nuits, rarement reposantes... Et toujours près d’elle, elle se rappelait les fleurs. Si belles, si réconfortantes.

"- Je… J’ignore ce qu’il se passe."

Sa mère affecta un air inquiet. Son regard se teintait de peine. Elle continua :

"- Ma Kellen. Tu vas devoir nous quitter. Il te faut aller à Tar Valon."
"- Tar Valon ? Mais…"

Sa mère afficha un visage déterminé. La femme de poigne redevenait ce qu’elle avait toujours été. Une femme de devoir.

"- Oui, Tar Valon. Le seigneur de Fal Dara est au courant et a déjà envoyé un message à la Tour blanche. Tu pars demain. Tu seras escorté par un garde. Une jeune fille de ton âge même servante doit être accompagnée pour aller à la Tour blanche. Certes, tu ne vas pas jusqu’en Tarabon, mais cela sera nécessaire. Demain."

Sa mère quitta la pièce, non sans lui avoir déposé un baiser sur le front. La Shatayan suivit les pas de sa mère, son regard triste. Kellen pleura longtemps dans sa chambre. Sa mère l’abandonnait. Tout s’écroulait. A force de larmes et de soupirs, elle sombra dans un sommeil sans rêve. Du moins n’en garda t-elle pas de souvenirs.

Le lendemain matin, elle se leva avec le soleil. Un brin de toilette, un dernier regard à sa chambre et là voilà qui quittait ce qu’elle avait toujours connu. Un foyer.
Un garde à cheval attendait déjà dans la cour. Un cheval bai l’attendait en piétinant à coté. Ses affaires empaquetés dans des fontes simples mais solides. Sa mère discutait avec le garde. Kellen s’approcha, la nuit avait effacé toute
sa peine, ne demeurait que regret. Elle sourit à sa mère, déposa un baiser sur sa joue, prit la lettre qu’on lui tendait, envoya en l’air milles baisers aux personnes qui s’affairaient déjà dans la cour et monta à cheval, avec élégance.

Bien que servante, Kellen était fine observatrice et ce qu’elle voyait faire une fois, lui suffisait pour le refaire avec aisance. De plus, elle était de nature gracieuse et élégante même en habit humble de servante du château. Elle était
surprenante, cette jeune fille d’à peine 15 ans.

Le garde lui fit signe de la suivre. Un vieux garde plein d’assurance et source de confiance. Il saurait la protéger et l’escorter jusque Tar Valon. Rigan s’appelait-il.
Il fit un signe de la main, et partit au galop, Kellen le regarda partir et avant même qu’elle ne pu dire un mot, son cheval partait au galop suivant le garde, impatient. Elle se maintint en selle au départ difficilement puis de plus
en plus facilement, jusqu'à ne faire plus qu'un avec sa monture.

Son voyage se fit sans embuche. Le rythme était soutenu, quelques pauses pour manger et se reposer. Un rythme de campagne effréné qui laissa Kellen quelque peu courbaturée.

Au terme du voyage, elle écarquilla les yeux. Ebahie par la beauté de la cité. Son regard passait de demeures et demeures, capturant un détail, captant un chef d’œuvre. Elle en avait le souffle coupé. Elle fut conduite à la Tour blanche.
Là, Rigan lui fit ses adieux et lui souhaita bonne chance. La lumière te protège furent ses derniers mots.
Elle grimpa les marches de l’entrée et arriva dans la hall de la tour. Quelque peu intimidée, elle resta là, époustouflée. Tar Valon. Les Aes Sedai.

Elle arriva près d’une jeune femme, habillée tout de blanc, 7 liserés de couleurs marquaient le bas de sa robe, un anneau au majeur de sa main droite.
Kellen salua la jeune femme avec élégance quoique quelque peu de maladresse.

"- Mon enfant ? Que puis je faire pour vous aider ?"

Kellen lui tendit la lettre que sa mère lui avait remise. Bien qu’intimidée, elle était impatiente. Un léger sourire s’esquissa sur son visage. La joie de vivre reprenait le dessus.
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