La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
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Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Dans une auberge, une ménestrelle entre en fredonnant. Elle tire de sous sa cape un volumineux recueil de cuir et note à la va-vite l'air qu'elle compose. Elle se relit et, riant sous cape, commence à chanter :
On écoute des chants d’ménestrels
Elle parle à peine, qu’est-ce qu’elle est belle
On a des relations comme ça
mon Amyrlin et moi
J’passe la soirée avec délices
Pendant qu’elle mate ses novices
Mais elle sait rester coquine
Avec moi, l’Amyrlin
Elle est postée dans la Tour Blanche
Avec ses liges coincés comm’des manches
Trois acceptées et dix novices
Et tant d’autres supplices
Elle est toujours toute verte et rouge
Elle m’dit toujours « quand c’est qu’on s’bouge ? »
Alors je la traîne dans mon auberge
Pour éviter qu’elle gamberge
J’lui parle pas des filles d’Tar Valon
Elle parle pas trop d’Eltharion
Oui on évite ces sujets-là
Mon Amyrlin et moi
Il y a un truc dans son regard
Qui bout d’s’échapper d’son placard
Elle voudrait aller à la chasse tout l’temps
Mon Amyrlin, évidemment
Elle est postée dans la Tour Blanche
Avec ses liges coincés comm’des manches
Trois acceptées et dix novices
Et tant d’autres supplices
Elle est toujours toute verte et rouge
Elle m’dit toujours « quand c’est qu’on s’bouge ? »
Alors je la traîne dans mon auberge
Pour éviter qu’elle gamberge
On écoute des chants d’ménestrels
Elle parle à peine, qu’est-ce qu’elle est belle
On a des relations comme ça
mon Amyrlin et moi...
(sur l'air de "Fanny Ardant et moi", de Vincent Delerm)
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* s'incline face à l'auditoire, avec un sourire ravi*
Permettez-moi de reprendre ici quelques grands succès... Voici une complainte, déjà interprétée sur ce forum (sic), sur l'air des filles de joie pas toujours joyeuses pour les raisons que l'on sait bien de Brassens...
Bien que ces vaches de blancs manteaux
Les appell'nt sorcières, leur en mettent plein l’dos
C'est pas tous les jours qu'ell's rigolent,
Parole, parole,
C'est pas tous les jours qu'elles rigolent.
Car même avec des dispositions au Pouvoir,
Fair' la vaisselle tous les soirs
C'est fatigant, toutes ces casseroles,
Parole, parole,
C'est fatigant toutes ces casseroles !
Non seulement ell's sont privées des corps
Des liges torses nus mais encor
C'est fou ce qu'ell's cachent de fioles,
Parole, parole,
C'est fou ce qu'ell's cachent de fioles.
Y'a des ménestrels, y’a des taquins
Qui se moquent d’elles à chaque lampée de vin
Faut pourtant pas qu'elles les cognent,
Parole, parole,
Faut pourtant pas qu'elles les cognent.
Ell's leur répondent du mieux qu’elles peuvent
Cachant leurs éponges sous leurs robes neuves
L’répit, croyez pas qu'ell's le volent,
Parole, parole,
L’répit , croyez pas qu'ell's le volent.
Ell's sont méprisé's du public,
Ell’s déchirent leurs chemises quand elle s’excitent,
Et sont surveillées par l’Etole,
Parole, parole,
Et sont surveillées par l’Etole.
Bien qu' tout' la vie ell's cherchent l'amour,
Qu'ell's soignent leur liges vingt fois par jour,
La noce est jamais pour leur fiole,
Parole, parole,
La noce est jamais pour leur fiole.
Fille du Champ d’Edmond, de Caemlyn
Ris pas de la grande Amyrlin,
Qui régit cette curieuse école
Parole, parole,
Qui régit cette curieuse école
Il s'en fallait de peu, ma chère,
Que cett' Aes Sedai ne fût ta Mère,
Cette Aes Sedai dont tu rigoles,
Parole, parole,
Cette Aes Sedai dont tu rigoles !
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Désolée Messire Eltharion... Pour la peine, une chanson qui ne vise pas la Tour, vous voulez bien ?
* d'une voix forte avec un léger accent *
Ma chère Sagette vous allez rire
Nous sommes entrés en ville de Tear (bis)
Et nous r’cherchons le Caracarn
Et il est en retard, cet âne (bis)
A la bataille, nous combattrons
Les ennemis de not’Dragon (bis)
Et tous ceux qui se présent’ront
A grand coup de lances les éventr’rons (bis)
Notre Dragon m’a appelé,
c’est « peuple Elu » qu’il m’a nommé (bis)
Sire, « peuple Elu », c’est point not’nom
J’lui dis on s’appelle « peuple du Dragon » (bis)
On lui a donné Vierges de la Lance
Pour l’protéger en cas de Danse (bis)
Il comprend rien au Ji’e’toh
Notre Dragon, ce grand nigaud (bis)
Faut qu’ce soit quelqu’un de spécial
Pour piger not’humour pas banal(bis)
Et qu’il ressorte vivant d’Rhuidean
Avec des dragons plein l’crâne (bis)
Sagette, si j’meurs en combattant
J’vous enverrai ma lance d’argent (bis)
Et vous aurez droit à toute mon eau
Grâce au Dragon, c’t’grand nigaud (bis)
Dites à mon Ombre que je vais bien
Qu’j’l’embrasse jusqu’au matin (bis)
Je suis son humble serviteur
Votr’Aiel qui vous embrasse de coeur. (bis)
"- Patron ! Remettez donc une Coreff à la chanteuse ! Elle a certainement soif ! Peut-être qu'après elle nous en refera une petite (hein Ys' s'il te plait)"
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
J'ai perdu ma légende sur les liges
Célébrerons-nous notre confrérie, maître Dom ? Connaissez-vous l'air de la "Chanson à Boire" de trois de nos bardes ? Oui ? alors, un , deux trois, c'est parti :
Qui veut inspirer un ménestrel
N’a qu’à toujours lui servir du bon
Et maintenir l’auberge pleine
D’A...S... et d’Blancs Moutons
Car l’eau ne fait rien qu’faire soupirer sa lyre
Fuis, fuis, fuis, A...S..., fuis fuis fuis son ire
Remplis lui son verre et écoute sa satire (bis)
Le vin goûté par ce bon père
Qui s’trouve inspiré à sa façon
S’met à discourir sur un p’tit air
D’Ajah sombre et de Dragon
Car l’eau ne fait rien qu’faire soupirer sa lyre
Fuis, fuis, fuis, A...S..., fuis fuis fuis son ire
Remplis lui son verre et écoute sa satire (bis)
Le Ménestrel buvant sur ces terres
De sa chanson gonfla le sein
En l’abreuvant de bon madère
Et de quelques piques au Dessin
Car l’eau ne fait rien qu’faire soupirer sa lyre
Fuis, fuis, fuis, A...S..., fuis fuis fuis son ire
Remplis lui son verre et écoute sa satire (bis)
Ecoutons donc tous à la bonne heure
Les légendes du ménestrel
Et repoussons la méchante humeur
De ceux qui n’savent pas rire d’elle(s).
Car l’eau ne fait rien qu’faire soupirer sa lyre
Fuis, fuis, fuis, A...S..., fuis fuis fuis son ire
Remplis lui son verre et écoute sa satire (bis)
* révérence*
rpoff : ma doué, il va falloir que je fasse du latin maintenant !
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Je n'en doute pas, Messire Eltharion
* s'incline*
* se retourne *
* sourit*
* ne résiste pas*
* commence à chanter à mi-voix*
Dans les prisons d’la Tour
Lan di di di dou dan di di di lan di lan di di di dou dan
Dans les prisons d’la Tour, y’avait un Réprouvé, y’avait un Réprouvé
Personne ne le vint voir
Lan di di di dou dan di di di lan di lan di di di dou dan
Personne ne le vint voir qu’une soeur endeuillée, qu’une soeur endeuillée...
Cela n'a rien à voir, mais j'adore ton pseudo Maelia. il me rappelle le prénom de ma fille Maela.
Maël en breton signifie chef, seigneur. Par transposition, Maela (seul féminin possible en breton (pitié pas de Maële par exemple)) pourrait vouloir dire princesse
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* s'incline, les joues légèrement empourprées, un sourire ravi résolument accroché aux lèvres*
* à Maelia*
Si votre château se trouve sur la route du Cairhien, j'y ferais une escale avec plaisir... Permettez moi de vous interpréter une autre petite chanson, écrite après avoir assisté à une scène pour le moins insolite...
*imprime un rythme alerte à sa lyre*
Ils croyaient savoir tout sur la lumière
Depuis avant-hier,
Leurs corps, leurs cœur et leurs âmes « pures »
Sous leurs drapures,
Et puis les voilà, ces bouts de femmes,
Ces « sorcières » et leur tour de flammes
Les Enfants voient des étincelles
Depuis elles
Les hommes poursuivent ce Dragon
Qui court depuis toujours,
Voilà qu’elles arrivent
Et que la lumière s’enfuit de leurs atours,
Usant de leur magie comme d’une liane,
Les ridiculisant, ces sacrées femmes.
Les Enfants de rage étincellent,
Depuis elles.
Pas besoin de phrases ni de longs discours,
Ils mordent la poussière toujours, ils veulent détruire leur Tour.
Finis les matins, lumière déchue,
Les Enfants dans l’invisible suspendus,
Même le Commandeur s’est fait avoir,
Par leur Pouvoir.
Pas besoin de faire de trop longs discours,
Ils mordent la poussière toujours, ils veulent détruire leur Tour !
Pourvu que jamais la lumière ne s’éloigne,
D’ces enfants que rien ne soigne,
Ils ont presque plus leur tête à eux,
Les lumineux.
Alors les voilà, ces bout de femmes,
Usant de leur magie comme d’une liane,
et les voilà qui implorent la lumière,
ces pauvres erres
Oh ces pauvres erres...
Galldrenn applaudit avant de se rendre compte qu'il est pas censé balader en Cairhien et qu'il finira par tomber sur une lance ...Mais quel talent tout de même!
novice <i>Haut Siège de la Maison Myneas au Cairhien (novice incomprise )</i>
Celle-ci m'a beaucoup fait rire merci Ysandell!!
Pour ce qui est de mon domaine, il se situe effectivement en Cairhien, il vous suffira de demander dans n'importe quelle auberge, ils vous indiqueront où se trouve mon manoir. Mon père, Tilen Myneas, est bien connu dans la ville. Ce qui n'est certes pas un bienfait d'ailleurs...
