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Une Histoire a coudre...
(Sujet créé par Nayla l 22/03/04 à 10:45)
Ce topic a pour objectif de construire une histoire commune, dans le meme principe que "Les Trois petits Hobbits" mais en construisant une histoire et au lieu de mettre des vers a chaque post, on met une Phrase, de la longueur que l'on souhaite.
Il vivait dans un monde assez morne, et il n'avait pas de but dans la vie, il avait juste son instinct qui lui prédisait que son destin arriverai un jour ou l'autre, rien qu'une intuition insignifiante.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mais le pire était que lui n'était là pour personne, personne à qui donner un nom, un nom qui exprimerait toutes les choses qui débordaient de son coeur de chiffon, un nom qui ferait briller ses yeux, même celui qui pendait au bout de son fil .
Avoir un oeil recousu, voila son destin ! Voir le monde avec des yeux de boutons de bottines, et pouvoir embrasser d'un seul regard les ourses en peluche qu'il lui plairait de rencontrer. Notre ours etait un Ours a Ourses !!!!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Mais il ne le savait pas encore, puisqu'il n'avait jamais mis le bout de son nez camus hors de sa tanière .
Or, un soir d'été, attiré au dehors par une senteur délicieuse qui contrastait avec le fumet de fauve de son gîte jamais aéré, sa bauge, pourrait-on aller jusqu'à dire, il fit quelques pas hésitants, grommela et leva les yeux au ciel...
Mouvement inconsidéré,assurément fatal (dans le sens de "fatum" destin ), car il fut aussitôt fasciné par des scintillements lointains qu'il croyait à lui seul destinés et tomba éperdument amoureux de la Petite Ourse !
Il resta là toue la nuit, aloongé par terre, sur de l'herbe bien grasse, a regardé sa Petite Ourse, il lui semblait que parfois elle lui adressait un petit clin d'oeil.
Durant des heures, il lui parla de sa triste vie...mais Petite Ourse ne répondait pas. Pourtant, il était persuadé qu'elle l'entendait; du moins, il faisait tout pour s'en convaincre. Mais quand le jour arriva, Petite Ourse s'en alla...
Il s'attacha donc a etre pret, fin pret, peigné, sentant bon le chevrefeuille, tout pour etre pret pour rencontrer sa petite Ourse. Au soir venu, lorsque le ciel prennait des teintes pourpres, il allait dans le grand pres devant chez lui, et là, regardant le ciel avec des yeux brillants, il attendait sa douce...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Puis en un ultime geste de défi, de dépit diront certains rabat-joie, de délit renchériront ceux qui jugent aisément les autres, de débit laisseront entendre les assoiffés, de déni ajouteront ceux qui refusent de reconnaître la réalité, de démis argumenteront ceux qui se sentent déplacés, l'ourson arracha cet oeil qui pendillait au bout de sa ficelle et le lança de toutes ses forces éxacerbées par la déception, si haut, si loin, que l'on voit désormais au coeur de la constellation de la Petite Ourse scintiller une nouvelle étoile .
Il fut emerveillé du resultat ! aussi il se posa soudain une question ... verrais t'il de la même manière sa douce étoilée, en se deplaçant ? il entrepris donc un petit voyage, oui il se dit qu'il reviendrait bien vite, que c'etait juste pour verifier sa reponse... il prepara ses affaires et se mis en route en chantonnant, et en jetant de temps en temps des regard en haut, pour voir si cela changeait.
Et enfin, un jour, il regarda autour de lui et constata: "Je suis arrivé au Bout de Monde on dirait bien". Ses yeux s'arrêtèrent sur Petite Ourse; elle était si proche de lui à présent...
La petite Ourse alors sourit,
Et se tourna vers sa maman,
Et demanda d'une petite voix, si le petite Ours la-bas tout en bas, pouvait devenir son mari.
La Grande Ourse sa maman, prit le temps de reflechir, et pour finir se tourna avec un sourire vers les deux amoureux transis, qui se regardaient dans les yeux...
Il etait une fois dans cette contrée perdue et oubliée du monde des communs. Un ourson avec de petites oreilles et des yeux en bouton de bottines qui aimait le miel. Il vivait reclus, si bien que personne n'avait conscience de son existence. Lui-même était si peu conscient de sa propre existence qu'il croyait être un personnage dans le rêve de quelqu'un d'autre . Il vivait dans un monde assez morne, et il n'avait pas de but dans la vie, il avait juste son instinct qui lui prédisait que son destin arriverai un jour ou l'autre, rien qu'une intuition insignifiante. Tellement insignifiante qu'il avait l'impression qu'elle avait été ressentie par quelqu'un d'autre . Personne n'était là pour lui; personne pour lui donner un nom, ou pour recoudre son oeil qui pendait au bout d'un fil. Mais le pire était que lui n'était là pour personne, personne à qui donner un nom, un nom qui exprimerait toutes les choses qui débordaient de son coeur de chiffon, un nom qui ferait briller ses yeux, même celui qui pendait au bout de son fil . Seulement il est écrit quelque part, que son destin devait s'acomplir. Avoir un oeil recousu, voila son destin ! Voir le monde avec des yeux de boutons de bottines, et pouvoir embrasser d'un seul regard les ourses en peluche qu'il lui plairait de rencontrer. Notre ours etait un Ours a Ourses !!!! Mais il ne le savait pas encore, puisqu'il n'avait jamais mis le bout de son nez camus hors de sa tanière .
Or, un soir d'été, attiré au dehors par une senteur délicieuse qui contrastait avec le fumet de fauve de son gîte jamais aéré, sa bauge, pourrait-on aller jusqu'à dire, il fit quelques pas hésitants, grommela et leva les yeux au ciel. Mouvement inconsidéré,assurément fatal (dans le sens de "fatum" destin ), car il fut aussitôt fasciné par des scintillements lointains qu'il croyait à lui seul destinés et tomba éperdument amoureux de la Petite Ourse ! Il resta là toue la nuit, aloongé par terre, sur de l'herbe bien grasse, a regardé sa Petite Ourse, il lui semblait que parfois elle lui adressait un petit clin d'oeil. Durant des heures, il lui parla de sa triste vie...mais Petite Ourse ne répondait pas. Pourtant, il était persuadé qu'elle l'entendait; du moins, il faisait tout pour s'en convaincre. Mais quand le jour arriva, Petite Ourse s'en alla. Il s'attacha donc a etre pret, fin pret, peigné, sentant bon le chevrefeuille, tout pour etre pret pour rencontrer sa petite Ourse. Au soir venu, lorsque le ciel prennait des teintes pourpres, il allait dans le grand pres devant chez lui, et là, regardant le ciel avec des yeux brillants, il attendait sa douce. Seulement il vint un jour ou il se lassa qu'elle ne lui reponde point. Et envoya en ultime message un bouquet de chevrefeuille vers l'azur de la nuit. Puis en un ultime geste de défi, de dépit diront certains rabat-joie, de délit renchériront ceux qui jugent aisément les autres, de débit laisseront entendre les assoiffés, de déni ajouteront ceux qui refusent de reconnaître la réalité, de démis argumenteront ceux qui se sentent déplacés, l'ourson arracha cet oeil qui pendillait au bout de sa ficelle et le lança de toutes ses forces éxacerbées par la déception, si haut, si loin, que l'on voit désormais au coeur de la constellation de la Petite Ourse scintiller une nouvelle étoile . Il fut emerveillé du resultat ! aussi il se posa soudain une question ... verrais t'il de la même manière sa douce étoilée, en se deplaçant ? il entrepris donc un petit voyage, oui il se dit qu'il reviendrait bien vite, que c'etait juste pour verifier sa reponse... il prepara ses affaires et se mis en route en chantonnant, et en jetant de temps en temps des regard en haut, pour voir si cela changeait. Arnaché comme un mineur, baluchon à l'epaule, il pris la route, et marcha, marcha, marcha, toujours tete levé, regard rivé sur sa beauté. Et enfin, un jour, il regarda autour de lui et constata: "Je suis arrivé au Bout de Monde on dirait bien". Ses yeux s'arrêtèrent sur Petite Ourse; elle était si proche de lui à présent. Il se mit à fredonner, pas très juste d'ailleurs, mais est-ce que cela a de l'importance ?
Petite ourse, petite ourse
C'est la fin de la course
Je demande ta main maintenant
A la Grande Ourse, ta maman !
La petite Ourse alors sourit,
Et se tourna vers sa maman,
Et demanda d'une petite voix, si le petite Ours la-bas tout en bas, pouvait devenir son mari.
La Grande Ourse sa maman, prit le temps de reflechir, et pour finir se tourna avec un sourire vers les deux amoureux transis, qui se regardaient dans les yeux.
Elle lui donna sa bénédiction car celle-ci avait été amoureuse folle du Soleil qui ne l'avait jamais regardée, elle décida donc de rendre sa fille heureuse et de prendre pour gendre l'ours.Quand soudain, une aura de lumière entoura les deux amoureux...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Là, çà commence à devenir dégoutant, de la retenue, môssieur
Enfin, la lueur "incandescente" ou peut-être indécente ou descente (de lit) qui brillait dans leurs trois yeux, car faut-il le rappeler, dit le rat pelé, l'ours pendouillait l'un des siens au bout du fil ( ALLO ? ), donc cette lueur qui, telle un feu de joie, youkaïdi, aïdi, aïda, crépitait, étincelait, scintillait, les consuma d'amour infini et les projeta si émerveillablement loin dans les délires post coïtaux qu'ils se retrouvèrent dans le noir fuligineux de l'espace intersidéral, sidérés (- non, nous sommes dans l'espace, là , il n'y a pas de poissons. - Si, des raies !) et que ... NOUS ASSISTONS EN DIRECT A LA NAISSANCE ...FORMIDABLE ! A LA NAISSANCE D'UNE NOUVELLE CONSTELLATION ... Qui a dit constipation ? ... UNE CONSTELLATION QUI SE NOMME ... OUI ....QUELLE EMOTION ! LE PETIT OURS BORGNE
bon, laissez-les là haut ou la prochaine fois je les zigouille ces deux morveux !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
BEN! mon vieux on change d'histoire, parce que franchement les histoires de nounours, c'est pour les minots et çà commençait à me gaver grave !
DONC
A Gangmohanq, la capitale du premier royaume indépendant fondé au XXIII ème siècle par la dynastie Moyave, à plus de 7000 lieues de Poanterou, tous les dix ans, pour la fête des Braves, on ...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
et quelques Braves décatis ( crânes dégarnis, dents déchaussées, muscles affaissés, vous imaginez le triste tableau qu'offraient ces reliques d'un temps à leurs yeux bien meilleur )se réunirent en secret et décidèrent à l'unanimité de remettre en honneur la tradition qui leur assurerait, disaient-ils, la force et la jeunesse . Aussi, chargèrent-ils deux d'entre eux, les moins âgés sinon les plus jeunes, de ........
(merci Dudu et Aelghir pour raviver mon topic ) (je met sur ton mode Aelghir ^^)
de chevelures, (la ou les chevaux luirent) oui, ils se scalpaientt (calpins, clopin, clopan, copin, copine, cousine, Martine) et echangeait ca et puis se refixaient ca a l'aide des plus grand chihurgiens (chihures gentales)du moment. Seulement quand ils echangères (hech ! en gèrent les patrimoines matrimoniaux parcimonieunesement echangés) leurs tignasses (tignons au féminin) ...
LA couture, faite par le Medecin emerite Kwitalcoatcl se decola du front du prince. Le Prince Pacal entra dans une colere Noire :" Espece d'incapâble, tu ne sais meme pas recoudre des tignasses correctement, je vais...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Déconfit de canard, le médecin jura par ses deux saints et par les deux seins de l'assassin qu'il était responsable mais pas coupable .
" Pas coupable, pas coupable ! hulula le Ulhan ulcéré, c'est ce que nous allons voir !
Et il fit venir Illico et Presto , employés de bourreau, et leur ordonna en leur donnant de l'or de vérifier la fiabilité du médecin zinzin .
Aussitôt dit, aussitôt fait, dit la fée .
Pacal, tordu de rire, contempla la tête proprement coupée de Kwitalcoatl et conclut, jovialement en allemand, en haletant et en insultant le sultan :
" La justice a tranché, tu étais parfaitement coupable !
Son cadavre des Havres larviques, loin de ma vue benite dinamique !
Il se souvint alors d'une chose, oui, car il etait capable de penser, malgrés les apparences trompeuses, trompette, pette, pet, petteur, patatrac, matraque, traqué de part et pas d'autres, de sa panse ventrale theatrale, qu'il devait aller a un diné royal canin ce soir ... il était deja trop en retard, parbleu, il devait se hater !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pacal, tel l'agneau pascal pris de coliques frénétiques, sauta, le sot tas,sur les tasseaux, en criant :
" Où le seau t'as mis, le tas lasso , tes rats, pies et autres vieilles peaux ?"
"Je l'ai mie de pain, dans le panier à pein Tur, mets cire"
le serviteur vit le tueur a rit véh, et poignar, dé le do ré mi fa sol du met ciré. le Met poux ça un cri Manu ment à Tal et s'écroula par Eau.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Pacal sévit en servant en civet son sérial serviteur et remonta le topic du capricorne pour savoir où en était l'hystérique histoire . Il se frappa le front fâché par cet affront :
- A Gangmohanq, capitale de la dynastie moyave, dont je suis, donc je pense, le dernier et non moins illustre rejeton, tontaine, tonton, la fête des Braves se déroulera comme prévue malgré les bévues, bavures et autres bovins revendiqués par ...
A cet instant même, lui coupant la parole et l'herbe sous le pied, retentit un énorme silence .
Ce silence lancé par la Lance-Morne-du-Temps-Qui-Passe-et-Trepasse, fut perpétué presque à perpétuité comme une truite qu'on lance du bout de la Lance. Il venait d'Ailleurs, ce pays lointain et inconnu, insouillé, barbouillé, mouillé, pluché, peluché, nounoursé, Porcinet le Roi d'Ailleur y regne, mais on sait pas qui c'est.
Mais comme on dit, après la vague, la revague, après la tangue, le oulage, après la tempète, le soleil, après l'effort, le reconfort, et bien àprès le Silence venu d'Ailleur vint le Sifflement sulfureux sapristi, lustucru, poil de mu mule , moule, ratatouille, qui fit sacrément mal aux oreilles de tout les Gens.
Et tous les Gens se mirent les Mains pas les nains lancé de nains sur les oreilles le CD l'est foutu. Mais malgré que quelle belle langue le francais et donc malgré que ouaf le chien remue la queue y zavait leurs mains sur leurs norailles leur tympanons exploserent dans un grand bruit de crystal brisé : 7 ans de bonheur pour le royaume de Gangmohanq*** la savonetteuh il rammassa pirouette et ***teuh cria le Mage de la cour ! Ce mage etait un grand...
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
sage qui avait débuté comme page sans tapage ni ramage après un stage de marque-page . Le mage en rage et en nage ne faisait pas son âge ni son ménage non plus :
- Il faut que je me ménage car certains disent que je déménage ! A mon âge ! Ramonage ! Ramon, nage! ajouta-t-il à l'adresse de son canard .
Et le cannard s'ébroua de la boue embuée sur ses plumes et cria :
- BOUH ! mOUAHAHAAH !
Et la le bouddha eu peur :
- boudiou ou est mon boa ?
-boah je sais pas boudiou, mon révéré Bouddha, dit un serviteur Bouddhiste qui passait par bout du la.
C'était un moine tondurandalaportetoibienatoimoncheramifinguemiraisin qui n'aimait pas les canards car il les aimait pas.
Alors en douce pour que le buouddha ne le voitpasbien, il lanca son shurikenlesurvivant sur le canard qui mourrut en se transformant en gerbe de flammekiche. C'etait un canard maléfique, et oui !
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Et le sage gerbant toutes les larmes de son cor, car il jouait galamment du cor, déposa une gerbe sur la berge plantée d'aubergines, tout près de l'auberge où était hébergé le berger .
- Espèce de canard ! Tu m'asperges ! Où erre-je, flamberge au vent ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
- Vantard ! le vanna Vartan . Ne vois-tu pas que le vent tard tape les vanteaux pendant que le vent tôt les étend sur les étangs ? Il est temps, c'est la tempête qui tant pête . A Pétaouchnok, les poètes !
pouet ! ratata, ramifluges et subterfuges ! Va donc pecher la truite dans les bas fond des contrefond des catacombes sous basses, dans la bassese du petit peuple des Emitouflés-dans-le-noir !!! Je te maudit jusqu'au 42eme etage !