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Je me lance un pari risué: mettre cette petite histoire sur ce forum... Oh je l'ai déj'ai fait lire à une centaine de personne qui l'ont plustôt apppréciée mais je ne me suis jamais attaqé à de vériatable connaisseur en matière de fantasy...
alors quiitte à me casser les dents je v mettre le premier texte d'une très longue série... soyez indulgents (po trop qud même hein!)
(pardon d'avance pour l'incalculable nombre de fautes d'orthographes...)
Partie I : voyage vers les étoiles
Prologue
Un éclair déchira le sombre ciel dont la lune avait disparue derrière un nuage. La seul source de lumière à part les étoiles était une planète rouge qui colorait le ciel de sa robe. L'homme qui se tenait dans la parfaite ombre d'un arbre mort cracha. Il portait un manteau rouge sombre qu'il resserrait sur lui même essayant de se faire le plus fin possible. Un instant une lueur se fit voir par la fente de sa cape.
Un second éclair éclata voir et une seconde silhouette apparut à l'horizon. Indescriptible d'ici . Tout ce q'on pouvait en dire c’est qu'elle n'avait pas la discrétion de l’homme en rouge. Elle portait un habit blanc ressemblant fort à une robe qui la trahissait facilement dans la nuit. La femme en blanc courait avec peu d’assurance trébuchant au contact d'une racine , continuant sa course effrénée puis trébuchant à nouveau avant de tomber genoux au sol. Elle se releva reprit son souffle se retourna vivement avant de continuer son avancée.
Un troisième éclair, des formes noires venait d'apparaître derrière elle. Il s'agissait visiblement de chevaux montée par de sombre êtres. Leurs montures au galop, les cavaliers noirs semblaient poursuivre cette femme hors d’haleine sans répits. La femme finit par s’arrêter, elle tira un couteau de nulle part, prête à affronter les cavaliers. Ces derniers terminèrent alors leur course à quelque que mètres d'elle, se laissèrent tomber de leur monture sans que leur cape, ni leur capuche ne découvre une seul partit de leur corps. Ils faisaient de grand pas lents et furent ainsi rapidement au contact de la femme en robe.
Tirant des épées sombres plus sombre que du métal rouillé ils lancèrent un cri perçant et menaçant. La femme avait disparus. Les capuches noirs de ses poursuivants décrirent de grands cercles dans toutes les direction. Cherchant la femme des yeux. Puis, un pont blanc surgit comme sortit du sol et un des hommes en noir tomba toujours sans que sa capuche ne tombe et découvre son visage. C'était comme si elle faisait partit de lui. Mais la silhouette blanche fut maîtrisée par deux autres par deux autres. Un troisième porta son épée à son coup. Elle se débattit durement Mais les cavaliers noirs resserrèrent leur étreinte et elle lâcha son couteau. Les cavaliers noirs s’apprêtaient à la pourfendre quand un rugissement retentit…l’homme en rouge avait disparus et à sa place une créature ailée sortie de la nuit se dressait. Une petite silhouette d’apparence humaine se chevauchait son dos. Un être grand à la stature imposante et majestueuse. Son teint était très sombre, presque noir. Il portait une cape rouge à peine visible sous la lueur de la planète rouge…
L'immense créature sur laquelle il était ressemblait fort a un grand reptile ailé. Elle lançait des langues de feu par ses narines et battait fortement des ailes.
Les ombres s'arrêtèrent comme effrayées par cet être mystérieux. Elles firent des gestes nerveux. L'une d'entre elles dit un mot dans la frayeur :
« Lauten »
Les sombres silhouettes remontèrent sur leurs montures et partir au galop, laissant la femme affalée sur le sol.
La jeune femme se redressa, elle regarda devant elle et ses yeux étincelèrent comme si l'espoir revenait en elle. Elle courut vers son sauveur et dit :
« -tu arrive au bon moment mon ami… Je te suis toujours et encore plus redevable…
- Heureusement que nous avons pu rentrer en contact dit l'homme en rouge. Je serai certainement arrivé trop tard sinon…
- Heureusement que saphir est robuste. » La créature écailleuse émit un grondement .
- C’est bien vrai, il est assez rapide…, dit humblement l’homme en rouge.
- Tu sais bien que c’est l'un des plus rapides de tout Umpa, gronda la femme.
- Je le sais, mais il ne faut pas le lui dire trop souvent, il finira parle croire !
- Bon, bon… nous devons partir à présent, Aer attends le livre…
Et quelques instant plus tard « saphir » s’envola vers les étoiles et disparus bientôt dans un flash lumineux.
[NB: je n'ai pas lu je fais juste des remarques pratiques]
C'est une très bonne idée de lancer vos créations personnelles sur le forum (tant que c'est une courte partie).
Ensuite si vous le souhaitez, vous pouvez nous contacter (Klian de préférence) pour être intégrés au site dans la partie créations de la section fantasy, et ce quelque soit la longueur de votre texte.
Ni Elann ni moi n'avons forcément le temps de tout lire C'est que nous avons une vie aussi J'ai cependant lu ton texte.
Je vais te donner un avis franc puisque c'est ce que tu recherche
Il y'a de bonnne idées, et en arrivant à la fin j'ai eu envi d'en savoir plus.
Il faut cependant faire attention, avec l'intrigue sur le livre, à ne pas tomber dans la banalité. Tu peux cependant tout à fait t'en sortir. C'est bien moins pire qu'une Epée ou un Anneau Le texte mériterait celon moi d'etre continué, étoffé, etc.
Si ce n'était pas ta volonté, alors ouvrir sur une intrigue concernant un livre n'est peut-etre pas une bonne idée, enlevant une part de la magie du moment pour revenir à des choses plus "pratiques".
J'ai bien vu que ce n'était qu'un prologue et je maintient ma remarque autant laisser sa magie à cette entrée en matière, et revenir a l'intrigue dés les premières lignes du chapitre 1.
Je ne te corrigerais pas sur les fautes d'orthographes, j'en fait aussi, en nombre meme mais il y'a quelques fautes de syntaxe gênantes, et quelques adjectifs peut-etre mal à propos:
qui colorait le ciel de sa robe
ciel de sa robe? C'est beau en effet, mais assez déroutant...pk le ciel?
Un second éclair éclata voir et une seconde silhouette apparut à l'horizon. Indescriptible d'ici .
Il faudrait enlever "voir" mais ça je suppose que c'est une faute d'innatention, ca arrive à tlm lol
Par contre, "indesriptible d'içi", vu que tu la décrit justement après, meme si ça n'est pas trés détaillé, n'est peut tre pas a propos...
"Indescriptible préscisément d'ici" serait peut etre mieux!
Puis, un pont blanc surgit comme sortit du sol
"surgit comme sortit" ne va pas içi je pense. surgit du sol suffirait peut tre, ça allègerait le texte!
Voila les principales choses qui m'ont gené.
Mais arretons de pinailler: je le répète l'idée peut etre trés sympa, et c'est, au delà des remarques que j'ai faites plus haut, pas mal écrit du tout
Un prologue interessant et qui commence déja à accrocher est prometteur en tout cas.
Voila Tu peux m'envoyer ton texte corrigé et je le publierais si tu le souhaite.
Klian
ps: il est a noter tt de meme que les personnages en noir font beaucou penser aux cavaliers noirs de Tolkien (cris percants, etc), et le dragon ailé de la fin à leur montures, toujours dans le seigneur des anneaux.
alors pour la robe qui colore le ciel... euh, je vois mal les lumière de la planète éclaire autre chose que le ciel... c comme qud tu vois la lune mais en plus gros... une planète... c comme ca...
le reste c bien de l'innatention et encore une fois je m'en excuse...
merci pour tes critiques objectives (ca fait tjrs plaisir de ne pas se faire massacrer à la première ligne...)
bon alors... je le met ou pas ce 1er ep.? aller on va s'enfoncer un peu plus ca fait po de mal...
Episode 1... (vous remarquerer que ce n'est pas des chp... et que je ne titre pas pour la simple et bonne raison que je sais pas titrer...)
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Oren se réveilla, depuis longtemps il faisait le même rêve : une magnifique femme aux yeux gris et des ombres toujours plus nombreuses qui la poursuivaient inlassablement pour finir en déroute à cause dragon crachant du feu. Et cet homme mystérieux chevauchant cette énorme créature.
Il sortit de son lit et descendit les escaliers. S’assit un moment dans son fauteuil de Dallos et pris une pomme. Dans son fruitier de bois.
C’ était un jeune homme de 18 ans qui avait une vie plutôt triste et monotone. Il avait les yeux gris et des cheveux très sombres presque noirs. Son teint clair s’était assombris depuis son séjour en prison et son entrée dans l’armée. Il était orphelin et quand il était petit c’est un vieil homme, Siros, qui l’avait recueillit. Mais il mourut alors qu’Oren n’avait pas huit ans. Il lui avait donné un médaillon ce jour là brisé avec une pierre précieuse verte éclatée elle aussi. il entreprit alors une carrière de voleur qui le fit vivre facilement deux année de suite. Il finit par être arrêter et emprisonner pendant quelques années. Sortant des cachots il s’était engagé dans l’armée ,fort de son expérience de prisonnier.
Demain il retournerait dans son unité. Le roi ayant déclaré la guerre à son rival ,un certain Gargas qui l’avait défié quelques semaines plus tôt. Cette pensée l’attristait et le réjouissait à la fois. Il souhaitait revoir ses compagnons d’armes mais il aimait aussi son village :
Les son et les odeurs du marché, la prospérité et là sécurité que l’on ressentait à l’intérieur de ce bourg et plus que tout la forêt derrières les mur en rondins de bois.
Après avoir mangé son petit déjeuné - la pomme, il pris quelques sous et alla sur le marché. Il y acheta quelques souvenirs, du poisson, et une miche de pain. Les produit ce faisait rare cet hiver, il fut rapidement à cours d’argent… il marcha dans le village quelque temps, appréciant ses derniers instant de liberté. Arrivé Au porte de la ville, il s’arrêta. Avalent l’air comme si c’était la dernière bouffer qu’il absorberai. Il entra dans le chemin qu’entamaient les porte.
Quelques pas suffirent pour qu’il se retrouve dans la forêt. D’immense arbre assombrissait le tunnel formé par les branchage. Mais au bout une lumière blanche devenant de plus en plus éblouissante à mesure qu’Oren s’engageait dans le bois. Arrivé au bout, il cligna des paupière la clarté du jour le prenant par surprise.
Il se trouvait a à présent dans une vaste clairière entouré de buissons d’une grandeur comparable à celle d’un arbuste. C’est ci qu’il aimait se recueillir, parmi les arbre, il lui semblait presque que ces derniers comprenaient ses problèmes et que plus ils étaient grand, plus les arbres essayaient de se rendre vert. Laissant tomber ses courses, il s’allongea sur l’herbe un peu humide et contempla le ciel. C’était un couché de soleil unique et puisse que c’était son dernier, il en profita pleinement jusqu’à ce que les étoiles prennent place dans le ciel. Il s’apprêtait à se relever lorsqu’il remarqua une étoile bien plus brillante que les autres. Elle brillait non pas comme une lueur mais comme un énorme Feu. Mais ce qui l’étonna le plus c’est qu’elle grossissait de plus en plus comme si elle se rapprochait de lui. Et ce n’était pas faux : la boule de feu s’approchait réellement. Elle commenca à se déplacer en zigzagant quelque peu. Et bientôt Oren s’aperçut qu’elle avait une queue tout aussi étincelante que sa tête. C’est alors qu’un éclair blanc s’écrasa sur lui et il tomba évanouit.
Tout d'abord, je te félicite d'écrire cela permet de s'améliorer tout en extériorisant ses sentiments.
Une petite critique rapide de ton texte, que je compléterai dès que j'aurai plus de temps.
Il me semble que le point positif de ton texte tient aux idées. Elles foisonnent. Le lecteur a envie d'en savoir plus.
Quant au style, sans mentionner les fautes d'orthographes, certains passages sont à revoir.
Je pense que tu dois étayer, dévellopper ta pensée.
Ainsi, j'ai moyennement apprécié ton premier extrait. Il est très riche. Mais selon moi, tu sautes d'une idée à l'autre. Sans prendre le temps d'approfondir.
Autre chose, évite les clichés,ex: "X robuste combattant maniait l'épée...." ect...
En revanche le second passage est très interessant, jusqau'au départ dans la forêt. Tu retombe alors dans le déluge du premier passage.
Oui second passage est senti. La desciption du personnage reste réaliste, les décors vivants, attrayants.
Voila, ne m'en veut pas, pour mes critiques, que j'espère censées.
je te dit sincèrement, j'ai pa le temps de lire ton texte ce soir, je le ferai plus tard, mais si tu aime écrire, les joutes littéraires débutent d'ici quelques jours, va voir, c'est dans les communautés
bon alors pour toutes ces pitites critiques jje ne ferais qu'une simple contre critique:
LE PREMIER TEXTE EST UN PROLOGUE!!!!!!!! IL N'A PAS A ÊTRE TROP REVELATEUR!
le second texte es le premier episode de l'histoire... alors svp arrêter de considérer le 1er texte comme l'histoire elle même... mais vous retrouverez d'ici très très très peu de temps les persos du prologue alors tout ceci sera étoffé rapidement...
sinon pour le joutes litt j'ai pas du tout compris en kwa ca consistait...
je sais il fo que je fasse une page de présentation g pa trop le temps en ce moment.
en gros c'est un concours d'écriture sur un sujet donné avec un texte d'environ 1 à 2 pages à réaliser. Un jury note ensuite pour établir un classement.
LE PREMIER TEXTE EST UN PROLOGUE!!!!!!!! IL N'A PAS A ÊTRE TROP REVELATEUR!
J'avais bien vu figure toi!
Le texte mériterait celon moi d'etre continué, étoffé, etc.
Si ce n'était pas ta volonté, alors ouvrir sur une intrigue concernant un livre n'est peut-etre pas une bonne idée, enlevant une part de la magie du moment pour revenir à des choses plus "pratiques".
J'ai bien vu que ce n'était qu'un prologue et je maintient ma remarque autant laisser sa magie à cette entrée en matière, et revenir a l'intrigue dés les premières lignes du chapitre 1.
En gros ce que je dis c'est:
Soit tu fait un prologue ou tu pose vraiment les bases de l'histoire, et c'est un choix. Et si c'est ce que tu veux, je pense qu'il faudrait étoffer un peut.
Soit tu fait un prologue qui reste dans le mystère: tu enlève donc la partie sur le livre! Et laisse planer l'ambiance trés sympa, je le répète, qui plane sur ce début.
Voila, nul besion de crier!
Je lis la fin du texte dés que je peux.
Klian
ce n'est pas pour toi kilian... c pour bornhald... et le prologue n'est ni les bases de l'histoire , ni l'atmosphère... c'est en fait, un peu des deux... la suite sera plus évoquatrice...
episode 2:vous pensiez qud même pas que j'allait m'arrêter en si bon chemin...
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Quand il reprit connaissance, tout paraissait normal. « -j’ai sûrement encore rêvé-»,pensa-t-il. Il s’apprêtait à se relever lorsqu’ il entendit une forte voix lui dire :
« Tu es enfin réveillé… »
Il se retourna et se retrouva face à face avec une immense créature ailée qui rugissait férocement. A ses côtés, un homme au manteau rouge dont les yeux émettaient des petit scintillement à cause d’un petit feu.
« - ne fais pas attention à lui, il n’aboie plus qu’il ne mort comme vous dites ici., rassura l’homme en indiquant le dragon
- Qui êtes vous ?, demanda Oren
- Oh ! Mon nom ne te dirait rien… Et puis de toutes façons tu en sauras bien assez tôt.
- Et qu’est-ce que cette créature ?
- Sur ma planète , nous appelons ça un Tallis sur une autre on dit :Lauten. Et je crois que sur ton monde on peut dire Dragon.
- Quoi ?, s’exclama Oren.
- Hé! Oui, tu n’en as jamais vu ?
- Ca n’existe pas !
- Oui c’est vrai…Vous ,les humains, êtes trop terre à terre. Si l’on ne le vois pas ça n’existe pas… c’est bien ça ?, dit l’homme
- Bien sur !
- Hum…Alors dit moi ce que tu vois ? n’est ce pas une créature d’une dizaine de mètres de haut, rugissante et crachant du feu, tout ce qu’il y a de plus vivant ?, questionna l’inconnu
- Oui mais je fait encore un rêve ! Ce n’est pas réel…, hésita-t-il
- Le crois-tu vraiment ?Si tu veux t’en persuadé alors touche le... Mais je te prévient : Saphir n’aime pas les étrangers…, menaca la forme rouge.
- Saphir ?
- C’est son nom. »
Oren se leva et se rapprocha du Dragon. Bientôt, il sentit son souffle brûlant . Il tendit la main et sentit bientôt sa peau écailleuse. Il le caressa longuement, comme pour se persuader de son existence. Mais le dragon fit un mouvement de recule et poussa un grondement. Oren n’insista pas plus…
« - Alors, est-il réel ? Ou est-ce une divagation de ton imagination débordante…, l’homme poussa un petit rire.
- Mais ce n’est pas possible, une telle chose ne peut pas exister !, insista Oren.
- Le crois-tu vraiment ? … Dis moi, cette animal, ne l’as tu pas déjà vus… dans tes rêves et ne te paraît il pas réel aujourd’hui ? tu l’as touché, tu a sentit son souffle, que te faut il de plus… Les hommes sont trop borné à des choses qu’il ne connaissent pas…
Oren ouvrit la bouche comme pour répliquer mais il la referma sans émettre un son.il se rapprocha un peu de l’homme. Il distingua mieux les traits de cet « homme »…
Ce n’était pas tout à fait un homme. Il avait des yeux plus marqués que la plupart des hommes .Sa peau était affreusement sombre, teintée de bleu et à certain endroit elle paraissait quelque peu argentée... Mais ce qui était le plus étrange : ses mains ; Elles n’avait pas cinq doigts comme tous les êtres humains, mais trois !
Tout en avançant, il réfléchissait à ce que lui avait dit cet créature étrange et mystérieuse :
« Sur ma planète… » Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il devait comprendre par ça :
Venait-il réel ment d’une autre planète ? Ou parlais-t-il de notre monde, mais de son Pays ?
« - Quelque chose te tracasse ! je le vois… dit l’inconnus
- comment le sais-tu ?
- nous autres, les Shaïkans, nous pouvons lire les sentiments.
- Shaïkans ?
- Le nom de mon peuple… Tu ne m’as toujours pas dit ce qui te tracassait !
- … Vous avez dit « Sur ma planète »
- Oui
- Hé bien qu’est-ce que ça signifie ?
- Tu le sais très bien…
- Comment ?
- réfléchis…
- Hum… Tu ne viens pas de cette planète.
- Exactement !
- C’est ça et moi je suis un sorcier… Comment puis-je être aussi naïf…, il gloussa…
- Tu ne me crois pas, comme tous les hommes.
- Laisse moi rire. Je rencontre un illuminer avec un drôle costume qui me dit qu’il vient d’une autre planète et tu crois que je vais te croire ?
- Crois ce que tu veux ! »
Les shaïkans ! une légende si ancienne que même les enfants en rient. Pourtant les histoires sont des êtres sombre et effrayants. Il ne viennent pas de Réros et pourtant il connaissent tout d’ici… Certains disent que ce sont des gardiens qui protègent le peuple. D’autres, que ce sont les instigateurs des guerres et des malheurs dans le monde…
A ce moment l’homme se releva. Il se dirigea vers son destrier et monta dessus.
« - Que fais-tu ?
- je m’en vais…Et tu viens avec moi.
- C’est ça. Tu crois vraiment que tu va m’entraîner dans tes histoires à dormir debout ?
- Non, je vais t’entraîner dans la réalité. Au-de-là de ce que tu peut voir. Par de là les étoiles.
- C’est ça … Bon voyage.
- … BON !!! Ecoute moi : J’ai fait des centaines d’années lumières pour venir te chercher. Hé oui ! Rien que pour toi. Alors tu vas gentiment venir t’asseoir derrière moi et m’obéir.
- Tu me prend pour qui ?
- Pour un imbécile ! D’une importance capitale pour les maîtres, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs.
- Salut !
- Reste ici ou je devrais employer la manière forte. Nous autres les Shaïkans, nous sommes patient mais n’en abuse pas…
- Ouais ! c’est ça… »
Et Oren partit… Mais derrière lui, l’inconnue avait fermer les yeux ; il marmonnait quelque chose dans une langue inconnue et tout à coup, le sol trembla, les feuilles frémirent et le vent souffla. La créature volante s’éleva doucement dans les airs et, approchant d’Oren ,l’agrippa avec ses puissantes pattes…
Episode 3 (non mais vous croyez qud même as que j'allais m'arrêter là!)
Oren, figé par la peur ne répondit rien. Les arbres défilaient sous lui, et l’air sifflait dans ses Oreilles. Le dragon resserra son étreinte et Oren ressentit une douleur à l’épaule. La souffrance le fit pousser un petit gémissement, qui ne fût rien en comparaison au cri qu’il poussa lorsque le dragon le lâcha brusquement. A ce moment là il aurait préférer les étreintes de mille dragons plutôt que la chute vertigineuse qu’il était en train de faire. Tout à coup il s’arrêta net dans sa descente une force inconnue l’avait paralyser et tout coup, il s’éleva dans les air. Bientôt, Il serait assis chevauchant un dragon ailé. Transit de peur il n’osa pas bouger ni dire un mot.
un long silence s’établit, couper par les grondement de saphir le dragon. Le mystérieux cavalier finit par s’adresser à Oren :
«- qu’y a-t-il tu ne parles plus ? »
Oren ne répondit pas.
Il venait d’apercevoir la beauté du paysage qui l’entourait. En effet ouvrant les yeux il pouvait voir à des centaines de mètres sous ses pieds le sol qu’il avait quitté :
Les maisons qui paraissaient minuscules vues d’ici ;les champs, grandes étendus couleur d’or indescriptible ;le palais royal, immense et majestueux qui siégeait comme symbole de la paix ; et les hommes, actifs, grouillant comme des fourmis .En vérité on aurait dit une carte mais une carte vivante et très détaillée. Oren se sentit plus à son aise tout à coup. Comme si il avait toujours volé sur le dos d’un dragon.
Il commença à se redresser quand il sentit quelque chose de brûlant sur sa gauche, il se retourna et aperçut deux formes sombres et imposantes qui battaient des ailes et se rapprochait rapidement. Saphir accéléra ,l’homme bleu donna des ordres bref à l’animal :
« -Dépêche-toi saphir ! il vont finir par nous rattraper, dès que tu pourras traverse les étoiles.
- qu’est-ce que c’est ?
- Des mercenaires d’Orion il viennent pour toi eux aussi. Mais ne t’en fait pas il ne nous rattraperons pas nous allons aller plus loin que tu n’as jamais été, par de là les étoiles.
- comment ? je n’ai pas vraiment saisi…
- Regarde et tu comprendra. »
il ne se passait toujours rien et les créatures sur lesquelles étaient montés les mercenaires( qui ressemblaient fort à des dragons) se rapprochaient à vive allure. Mais tout à coup Le cavalier de saphir dit un mot qu’Oren ne connaissait pas :
« lulaïlé ! »
Alors le dragon se mit à briller fortement, comme une étoile. Saphir poussa un rugissement. A ce moment ,déjà, on n’apercevait plus les deux sombres créatures qui les poursuivait , il y eu un flash puis plus rien, la nuit , le néant…
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bon je me casse aant qu'on me jette les tomates. En douceur, sur la pointe des pieds. poutchchch !! et Mer...
Salut gotrec.
Moi je le trouve vachement bien ton histoire ou debut d'histoire .
En plus tu ecrie bien.Bien sur il y a quelque retouche a faire ,Comme pour "Oren se reveilla ,depuis lomtemps "la ,je trouve que c'est a retaper .Tu passe du coq a l'ane .Moi je mettrais plutot "Oren se reveilla en suheur , terrifier par ces reves qui vienne hanter ces nuits."tu comprend .
il faut un lien logique qui relie tes 2 partie de phrases .
JE ne dis pas que cette tentative d'amelioration soit bien(la mienne)Mais ça donne un texte plus couler .
Il y a aussi le passage ou il mange ça pomme .On est trop a l'ecart de lui ,on commence tous proche :nous connaisson ces reves puis soudain,c'est le vide .Nous somme ejecter de sa personne et ces pensser .A mon avis ,tu devrais mettre des adv ou adj qui montre que Oren reflechie .Du genre :"Oren s'assit penssif ,il croqua machinalement dans une pomme tout en repensent a ce reve pour le moins etrange "
Bon ,je ne vais pas tout le temps amorcerles passagesque je scite .un tiret et c'est un nouveaux passage :
-"il entrepis un carriere de voleur qui le fit vivre facilement 2 annees de suite "et "il se lanca alors dans une carriere de voleur qui le fit vivre facilement durant 2 annee"
En fait ,je pense plutot que tu devrais simplementle lecteur dans le bain ,et non pas le mettre de dans et le ressortir tous de suite ,grace a ta desciption de sa vie .(c'est juste mon avis )
Le debut ,je le commenserais plutot comme ça :"Oren etais tranquilement assis dans un siege et mangeais machinalement une pomme ,Son regard etais lointain.IL etais d'humeur pensive ce matin là,depuis quelleque temps ,ces nuits etais hanter par des reves etrange.
Ce n'etais pas les visages des victimes des bataille auquelle il avais participer .Non ,c'etais autre chose.il voiait dans ces reves ,une femmes d'une beauter epoustouflante qui courrait ;elle etais terrifier et hurlais .Au debut ,Orenne savais pas pourquoi elle se trouvais dans cette etat la .Mais ces reve se sont precise et ,a chaque foit qu'il voyait ce reve d'econsertant d'une femme prise d' une une panique total;une scene se rajoutais ou un detaille .
Mais cette nuits ,ce qui a choquer le plus Oren , ce n'est pas la femme ou la vue de ces ombres qui la poursuivait ,mais c'etais la vue terrifiante de cette animal mitique appeler dragon !!! "
ouais ben moi je le vois pas comme ca! c tout! bon c très très vrai qu'il y bcp à rettapper... mais là ce n'est que la version light... la version hard est bcp mieux!
Désolé pour mes manières directes mais tant qu'on en est aux critiques, l'orthographe c'est pas ça. Ton texte est vraiment sympa mais toutes ces fautes c'est franchement saoulant. La moindre des choses pour un écrivain serait de savoir écrire en français. Ma propre orthographe est loin d'etre parfaite je te l'accorde mais relis une fois ou deux et on y verrait plus clair.
J'espère que ces fautes sont des erreurs dûes au clavier défectueux de ta machine ou à une lassitude de tes doigts engourdis...
Encore désolé mais je pense que c'est en choquant les gens que l'on arrive a des résultats probants. Vive Bernard Pivot! J'espère que ta réplique ne sera pas trop scinglante...
merci lanfear mais je crois que je l'avais remarqué tout seul... je l'ai bien précisé au départ...
ert je tiens à le répété: j'en suis désolé mais je suis vraiment nul en orthographe et c'est entièrement ma faute. j'assume la responsabilité de cet échec et j'en tire les conclusion en me... (non ca c lionel jospin...). J'éspère que cette réponse n'était pas trop scinglante pour toi...
Tu m'a même arraché un éclat de rire avec ta magnifique référence au viel hermite insulaire (qui somme toute manque bien à ces blaireaux en costard maintenant qu'il est en vacance en short).
Conseils pratiques: répéter avec "er"; conclusions au pluriel...hey, y'en a que deux!!!
Merci pour ta compréhension, ces Aiels, toujours humbles dans la "défaite".
Tu m'a même arraché un éclat de rire avec ta magnifique référence au viel hermite insulaire (qui somme toute manque bien à ces blaireaux en costard maintenant qu'il est en vacance en short).
Doucement avec le vieil hermite insulaire C'est le meilleur bilan socio-économique de la cinquième république le vieil hermite insulaire C'est seulement le moins bon bilan de communication lol
merci... si il faut relir mes messages à chaque fois je sens que je vais pas restere longtemps sur ce forum... ca va? Il n'y a pas trop de fautes dans celui là?
Si Klian fait une faute, il sera exclut de la joute (Je suis tombé dans le ruisseau, c'est la faute à Klian,
Je suis tombé dans le caniveau, c'est la faute à Klian...)
ouais mais pas sur ce sujet! non masi..; c'est pas un débat sur les fautes ici c'est une mini série... alors merci d'arrêter... c sympas cet élan de popularité mais faut pas non plus massacrer ce topic!
episode 5! (ben ouaip j'ai vraiment pas fini... plus que 295 épisode...)
Il n’y avait que le noir autour de lui, mais Oren se sentait heureux, comme s’il avait toujours chevaucher un dragon et voyager aune grande vitesse. En effet, il sentait ses cheveux se soulever et son corps s’écraser sur lui même Preuve qu’ils allait à vive allure. Pourtant, il sentait un certain ralentissement : il devaient se rapprocher de leur objectif…
Il y eu à nouveau un flash et la lumière revint à leurs yeux...
Un immense océan s’étendait en-dessous d’eux. Et non pas un mais deux soleil brillaient dans le ciel, ils était accompagnés de quelques points noirs . Oren supposait que ce devraient être des lunes qui cachait une partie de ces soleils.
« - bienvenue sur Deas, la planète au eux étoiles.
- comment ? Nous sommes pas sur terre !
- Non ! moi aussi ça m’a surpris au début, mais on s’y fait vite !
- Je ne te crois pas… Tu mens nous sommes au dessus d’un océan, c’est tout !
- Ha bon ? regarde bien le ciel, n’y vois-tu pas deux soleils qui brillent dans le ciel ?Y en a-t-il deux sur Reos ?
- Non mais ce n’est qu’une illusion.
- Je crois que tu vas bientôt être convaincu.»
Il disait vrai : devant eux venait d’apparaître une bande de terre et l’eau s’était éclaircie, signe qu’ils approchait d’une plage. Quelques créatures volante tournoyait dans le ciel. En s’approchant oren compris qu’il s’agissait de dragon tout comme le leur.
« - Nous approchons du palais rouge, où trône les maîtres de toute cette planète ou presque…
- Comment se nomme-t-il ?
- Gracas… Au fait, je ne t’ai pas dit mon nom, je m’appelle Taran et je suis un soldat envoyé pour toi par les grands maîtres.
- Les « grands maîtres », Ils résident sur cette planète ?
- Non ! nous allons seulement faire une halte, nous repartirons dés que les étoiles nous le permettrons.
- Hum…
- Qu’y a-til ?
- Si nous ne sommes plus sur terre, comment avons nous fait pour venir ici?
- J’attendais cette question… c’est saphir qui nous a amenés ici.
- Mais comment ?
- Vois-tu, les dragons, ont la capacité de se transformer en étoiles à queues…
- Les comètes ?
- Oui, c’est ça… Ainsi ils peuvent voyager par de là les étoiles.
Oren poussa un gloussement d’incrédulité.
- Tu verras… nous sommes arrivés ! .
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voila, je sis sur que vous attendez déjà le prochaine épisode...
Que verra Oren de l'autre côté de l'océan? restera-t-il encore vivant très longtemps? ppourquoi L'a-t-on amené ici?
Zinon ze trouveuh queue sé nulle deu se moker des gans qui fond dé fotes d'ortografe alaurd queue sa arriveuh à tout leu mondeuh!!Voili!
(eh, ça m'a donné une idée : si j'écrivais mes messages en crypté ,avec des chiffres etc, pour voir??Hein??Oui, vous avez raison, c une idée stupide, je me comprendrai plus moi même......)
Devant eux se dressait une cité d’une beauté qui ferai pâlir le palais du Roi qu’oren imaginait encore jusqu’à aujourd’hui le plus riches des hommes existants. La ville était faite de pyramides ,plus ou moins grandes, aux couleurs or étincelantes sous le soleil ardant. La côte était composée de sable blanc. Personne n’occupait la plage. D’immenses tours où avaient étés creusées de gigantesques niches entourait les plus hautes pyraide. Et au centre, plus un pic qu’une pyramide, s’élevait la plus longues des tours qu’oren n’avait jamais vus. Si haute que sa silhouette de bronze se découpait dans l’un des cercles lumineux qui illuminait la ville.
Des dragons sortirent de l’eau pour les escorter sous le soleil mais ces créatures avaient aspect différent de celui de saphir : au lieu d’écailles, elles portaient une peau de couleur claire, verdâtre. Certaines d’entre elles étaient chevauchée par des cavalier au physique différent. La plus part de ces chevaucheur de dragons avait un teint semblable à leurs montures, leur visages aussi semblait s’accorder à ceux des dragons mais en plus petit, d’autres étaient des hommes tout ce qui l’y a de plus ordinaire, d’autres encore avaient une apparence semblable à Taran mais de couleur de peau différentes : des bleus, des rouges, ou encore des sombres, bruns, presque noirs.
« - Voici Deltas, la cité des plaisirs…
- est- ce des dragons que nous voyons là-bas
- Non. Ce sont leurs cousins : les Ontos. Comme tu le vois, ils n’ont pas d’écailles : ils ne peuvent donc pas voyager vers d’autres mondes. Ils préfèrent les zones aquatiques…
- Et qui sont leurs cavaliers ?
- La plupart sont des habitants des cette planète : les Dragos. Ce sont des hommes-dragons. Ils ont évolué à partir des Ontos. Les autres sont soi des hommes, soi des shaïkans, les habitants de ma planète.
- Je ne comprend pas : comment des hommes on pus se retrouvé ici ?
- Les hommes peuple la galaxie, peut-être même l’univers… Ta planète n’est qu’une colonie oubliée par les guerres. Vous êtes jeunes, à peines vingt-milles ans. Vous avez d’ailleurs avancé bien rapidement pour votre âge…Vous êtes presque au même niveau que nous. Encore cinq milles ans et vous pourrez rivaliser avec le reste de l’univers. Mais votre ennui, c’est que vous ne maîtriser pas la magie comme certain peuple de la galaxie.
- La magie ?
- Ou la maîtrise des éléments par l’esprit si tu préfère. En vérité ce n’est pas de la magie, mais plutôt de la foi.
- Hum…
- Accroche toi, on descend… »
Saphir tournoya un instant et fonça sur la ville…Il toucha le sol quelques instants plus tard et Taran et Oren purent descendre à leur tour.
Deltas était une ville très peu peuplée. Ce n’était pas la capital de la planète mais cependant rivalisait avec cette dernière en terme économique. En effet la cité était un port de commerce pour les arrivant de multiples planète alentour. Elle importait énormément mais n’exportait que très peu car elle n’avait rien à offrir aux autres mondes. En effet , l’île sur laquelle elle était bâtie ne possédait dans sa terre qu’un métal précieux semblable à de l’or mais en bien plus solide. Ainsi deltas achetait beaucoup mais vendait très peu. La ville était dirigée par un triple conseil appelé la triade. il comprenait deux dragos et un homme. Ce conseil votait les lois de la région et jugeait les délits mineur qui pouvaient survenir. La place était protégée par une armée dragons, qui comprenait des hommes dragons à pieds ou montés sur ontos.
Au centre de deltas, siégeait le palais rouge, une immense tour d’argent qui transperçait les nuages. Le sommet de ce majestueux édifice avait été serti de milliers de pierre précieuses rouges qui reflétaient les deux soleil si bien que l’on nommait aussi cette tour le troisième soleil, certain disais même qu’il n’y avait qu’un soleil, reflété par ce miroir de pierres. Dans ce palais résidait le triple conseil. Les trois hommes les plus influent de cette planète. Il s’agissait en fait de trois hommes devenus riche grâce au commerce, ils avaient accumuler les richesse et s’était uni pour fonder la ville. On disait qu’en vérité c’étaient eux qui régnaient sur Deas et que le roi n’avait aucun véritable pouvoir.
Ce triple conseil décidait de tout. Il pouvait même interdire l’accès à la ville au étrangers, ce qui était une preuve de leur liberté politique…
« -Quelle beauté ! s’exclama Oren en posant ses yeux sur l’édifice d’argent.
- Il est vrai que cette cité à son charme…
- Comment ? Tu n’es pas de mon avis.
- Tu n’a pas encore vus les citées de la lune dragon… cette citée n’est qu’une pâle imitation.
- Ha bon ? Alors j’ai hâte de connaître les autres villes !
- Tu peux !
- Qu’est ce que ce monument ?
- C’est le palais rouge, la tour soleil…
- Quel est cet éclat que l’on distingue au sommet ?
- Ce sont des pierres locales qui reflètes les soleils ; On les appelle Ouranes ici…
- C’est magnifique ! »
Oren s’arrêta un instant puis repris :
« - Tu ne m’a toujours pas dit pourquoi je suis ici ?
- Je n’en sais pas plus que toi, si ce n’est que tu est attendu par les grands maîtres.
- Quoi ! tu m’a enlevé sans savoir pourquoi ?
- Hé oui. Et toi sais tu pourquoi tu est ici ? Possèdes-tu quelques richesses dont j’ignore l’existence ?
- Non. Je ne possède que ce médaillon brisé… dit-il en le caressant du bout des doigts
- Un médaillon ?…
- Qui a-t-il ?
- Non rien. Ce ne peux pas être ça…
- Alors, où allons nous à présent ?
- Nous allons entrer dans le palais du triple conseil.
- Le triple conseil ? Tu m’avais dit qu’il n’y avait qu’un seul maître sur cet planète…
- Gracas fait partie de ce conseil… Il en est aussi le membre le plus influent.
- D’accord… Mais pourquoi aller voir ce conseil ?
- Le voyage devient trop dangereux. Une attaque d’orion, sur dragon…c’est trop anormal pour que je ne me fasse pas de soucis.
Tous deux se dirigèrent vers le triple conseil. Leur avancée fut lente. En effet, il y avait foule devant le palais : le marché, les spectacles, ou encore les jeux…tous ceci formait un amas d’être de toute espèces et de toutes races.
En avançant, Oren remarqua un petit être qui se donnait en spectacle, il soulevait plusieurs objet avec son esprit . Oren devina qu’il devait certainement s’agire de magie.
En se retournant, il se retrouva face à face avec un des chevaliers dragons dont lui avait parlé Taran.
«- Houru ? dit-t-il
- Comment ?
- Houru ?
- Je ne comprend pas…
- Il parle dans sa langue…,coupa taran, Aruouru erat hu.
- Reru … Qui êtes vous ?
- Heu, nous venons voir le triple conseil… répliqua Oren
- Nous sommes en mission pour la lune dragon, nous venons voir gracas pour lui demander soutien.
- Hum… puis-je voir…
- Bien sûr !
Taran portait sur le bras une sorte de dent en or et en ivoire, il la montra au garde qui s’écarta alors pour les laisser passer. Ils purent alors entrer dans le bâtiment.
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un peu long je vous l'accorde mais ô combien interessant non? non. c vrai... et bien un jour un homme a dit: nul n'est prophète dnas son pays!