La Pierre de Tear fait peau neuve ! L'aventure continue sur www.pierredetear.fr !
L'ancien site est a présent archivé pour la postérité et en mode "lecture seule". Vous pouvez consulter l'ensemble du contenu et des anciennes discussions du forum,
mais plus créer de nouveaux topics ni écrire de nouvelles réponses.
Les Ménestrels vous proposent un divertissement interactif !
Il s'agit de faire des Alexandrins (vers de 12 syllabes).
Tout le monde peut participer.
Nous vous proposons des rimes embrassées (qui se suivent), deux par deux.
A chacun d'ajouter un vers et un seul, sans commmentaire ni disgression.
Je suis, mes chers amis, très heureux de vous voir
Nous allons ensemble raconter une histoire
de fées et de dragons, d'aventure et d'amour
, une histoire de trouvères, ménestri, troubadours...
Un conte dans lequel héros et chevaliers,
pourraient enfin arrêter de se déchirer
Car le temps n'est plus aux vaines bagarres
où tous se battaient sans répit, sans égards
Occupons nos esprits a de plus nobles arts
pour celle dont tous voulaient connaître le regard
Une femme qui rendait tous hommes vantard
une femme qui, de sa mère, connaissait le Pouvoir
,le pouvoir d'aimer comme seul le sait une fée
Tout ceci est un brin tristounet, poil au nez
car le moment n'est point à la mélancolie
et nous devons ce soir oublier nos soucis
Alors, jouons ! Devenons fous ! Soyons libres !
libres de chanter, déclamer, danser ! Libres !
et un pas en avant deux pas en arrière
la main dans la main, chantons, dansons mes frères
Bière en main gauche, femme main droite , Yermat !
buvons, embrassons avec passion et hâte !
laissons l'ivresse du bonheur nous emporter,
cet instant magique nous ne devons le rater
Alors, allons-y ! Envolons-nous vers ces cieux !
qui par delà l'horizon nous tirent les yeux
Déjà les nuages de l'ivresse arrivent
les flots de la joie sont parmi nos convives
La nuit ne peux calmer notre ardente clameur
,libérons nos âmes, combattons sa noirceur
Que par nos chants notre joie demeure longtemps
goûtez ainsi à notre bonheur braves gens
Et si d'aventure la vie vous est un fardeau
foi d'aubergiste, je vous conseille de stopper l'eau
Sauf dans les anis ! Mais préservez les whiskys !
faites de nombreuses libations d'eau de vie
Nul ne pourra donc vous taxer de triste sire
en vous contemplant auréolé de plaisir
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
(proposition hésitante)
tout entier, palpitant d'une vie de "hauts faits"...
(une diérèse, c'est -de façon très technique ;0)- le fait de prononcer deux voyelles là où on a une syllabe formée d'une semi-consonne et d'une voyelle, de façon à obtenir dans le vers un pied de plus; ici : i-on. Voilà...je m'en retourne à ma lyre...)
Lisez KhimairaMénestrelle [/link] I like being a mess. It's who I am.
Mais voici venir la Dame aux yeux d'opale :
***mode DSLZ on***
elle était belle
je n'peux plus rire plus chanter
si demain elle
n'est pas à moi
toi mon souci
toi mon envie
toi qui m'enflamme
devient ma femme
prends juste les larmes
que j'ai versées pour toi
et sous ton charme
elles deviendront des larmes
de joie...
***mode DSLZ off***
Je récapitule et j'en profite pour remercier tous les participants ! (J'ai juste du inverser un ou deux vers et en enlever un pour garder une certaine harmonie)
Couplet 1 Je suis, mes chers amis, très heureux de vous voir
Nous allons ensemble raconter une histoire
de fées et de dragons, d'aventure et d'amour
, une histoire de trouvères, ménestri, troubadours...
Un conte dans lequel héros et chevaliers,
pourraient enfin arrêter de se déchirer
Car le temps n'est plus aux vaines bagarres
où tous se battaient sans répit, sans égards
Occupons nos esprits a de plus nobles arts
pour celle dont tous voulaient connaître le regard
Une femme qui rendait tous hommes vantard
une femme qui, de sa mère, connaissait le Pouvoir
,le pouvoir d'aimer comme seul le sait une fée
Tout ceci est un brin tristounet, poil au nez
car le moment n'est point à la mélancolie
et nous devons ce soir oublier nos soucis
Alors, jouons ! Devenons fous ! Soyons libres !
libres de chanter, déclamer, danser ! Libres !
et un pas en avant deux pas en arrière
la main dans la main, chantons, dansons mes frères
Bière en main gauche, femme main droite , Yermat !
buvons, embrassons avec passion et hâte !
laissons l'ivresse du bonheur nous emporter,
cet instant magique nous ne devons le rater
Alors, allons-y ! Envolons-nous vers ces cieux !
qui par delà l'horizon nous tirent les yeux
Déjà les nuages de l'ivresse arrivent
les flots de la joie sont parmi nos convives
La nuit ne peux calmer notre ardente clameur
,libérons nos âmes, combattons sa noirceur
Que par nos chants notre joie demeure longtemps
goûtez ainsi à notre bonheur braves gens
Et si d'aventure la vie vous est un fardeau
foi d'aubergiste, je vous conseille de stopper l'eau
Sauf dans les anis ! Mais préservez les whiskys !
faites de nombreuses libations d'eau de vie
Nul ne pourra donc vous taxer de triste sire
en vous contemplant auréolé de plaisir
Et si d'aventure nous tenions jusqu'au matin
exténués, vidés presque mourant de faim.
Alors nous pourrions devenir aussi grands
que Pantagruel, Gargantua ! Ces géants
au cœur si grand que leur ventre y tiendrait
tout entier, palpitant d'une vie de "hauts faits",
qui jamais ne serait froid quand bien même l'hiver viendrait
qui le printemps éclos d'amour nous remplirait
et à l'été de lumière nous inonderait
si bien que même l'automne n'y résisterais.
Les saisons passées, place au nouveau couplet
qui à n'en pas douter sera aussi replet.
Couplet 2 Esprits de l'alexandrin, je vous invoque
faites moi tout pareil au divin Archiloque
Éveillez en moi la flamme du poète
et l'ardent désir du sublime esthète
Que ma plume soit votre et qu'elle courre à jamais
Afin de vite croquer ce qui hier était
et devient aujourd'hui juste de l'affliction
Âme, creuset de la divine fiction
en tes tréfonds l'inspiration je trouverai
Qu'aussitôt le Sombre soit à jamais défait
Étincelantes rimes irisées , Naissez
envolez-vous, pareilles aux bulles d'or malté,
prenez le chemin de mes oreilles captives,
Et merci pour ma félicitée native,
doucement brodée du léger souffle des sons
et allons y sans atermoiement; chantons:
Buvons et écrivons d'une ardeur égale!
Mais voici venir la Dame aux yeux d'opale.
Un ruban de velours dans ses cheveux d'argent
elle danse. Mais écoutez-la braves gens :
« A l'orée de la forêt mon cœur s'est ému
à l'orée de la clairière mon corps s'est tendu
pour mon bien-aimé, mon roi aux cornes de cerf.
Ô Cernan, le souvenir de tes bras m'enserre !
Pourquoi les traditions nous ont elles séparé
nous deux qui ne nous y sommes jamais prépares.
Et quand nous retrouverons-nous sereinement
pour nous abandonner à l'amour pleinement ? »
« Je ne sais, ma dulcinée, quoi vous répondre
car loin de vous mon cœur ne sait que se morfondre.
Votre absence me blesse davantage que les épées,
quand je vous reverrai, je trouverai la paix.
Car vivre loin de vous je ne pourrai jamais
et ma vie dépourvue de son sens serait.
j'osai pas lancer le truc ...
on peut faire des rimes embrassées ou autre (je me rappelle plus trop du vocabulaire => rime en "a", puis "b", "a", "b" ou bien "a","b","b","a" ...)
Je récapitule encore, pour repartir sur de bonnes bases !
Couplet 1 Je suis, mes chers amis, très heureux de vous voir
Nous allons ensemble raconter une histoire
de fées et de dragons, d'aventure et d'amour
, une histoire de trouvères, ménestri, troubadours...
Un conte dans lequel héros et chevaliers,
pourraient enfin arrêter de se déchirer
Car le temps n'est plus aux vaines bagarres
où tous se battaient sans répit, sans égards
Occupons nos esprits a de plus nobles arts
pour celle dont tous voulaient connaître le regard
Une femme qui rendait tous hommes vantard
une femme qui, de sa mère, connaissait le Pouvoir
,le pouvoir d'aimer comme seul le sait une fée
Tout ceci est un brin tristounet, poil au nez
car le moment n'est point à la mélancolie
et nous devons ce soir oublier nos soucis
Alors, jouons ! Devenons fous ! Soyons libres !
libres de chanter, déclamer, danser ! Libres !
et un pas en avant deux pas en arrière
la main dans la main, chantons, dansons mes frères
Bière en main gauche, femme main droite , Yermat !
buvons, embrassons avec passion et hâte !
laissons l'ivresse du bonheur nous emporter,
cet instant magique nous ne devons le rater
Alors, allons-y ! Envolons-nous vers ces cieux !
qui par delà l'horizon nous tirent les yeux
Déjà les nuages de l'ivresse arrivent
les flots de la joie sont parmi nos convives
La nuit ne peux calmer notre ardente clameur
,libérons nos âmes, combattons sa noirceur
Que par nos chants notre joie demeure longtemps
goûtez ainsi à notre bonheur braves gens
Et si d'aventure la vie vous est un fardeau
foi d'aubergiste, je vous conseille de stopper l'eau
Sauf dans les anis ! Mais préservez les whiskys !
faites de nombreuses libations d'eau de vie
Nul ne pourra donc vous taxer de triste sire
en vous contemplant auréolé de plaisir
Et si d'aventure nous tenions jusqu'au matin
exténués, vidés presque mourant de faim.
Alors nous pourrions devenir aussi grands
que Pantagruel, Gargantua ! Ces géants
au cœur si grand que leur ventre y tiendrait
tout entier, palpitant d'une vie de "hauts faits",
qui jamais ne serait froid quand bien même l'hiver viendrait
qui le printemps éclos d'amour nous remplirait
et à l'été de lumière nous inonderait
si bien que même l'automne n'y résisterais.
Les saisons passées, place au nouveau couplet
qui à n'en pas douter sera aussi replet.
Couplet 2 Esprits de l'alexandrin, je vous invoque
faites moi tout pareil au divin Archiloque
Éveillez en moi la flamme du poète
et l'ardent désir du sublime esthète
Que ma plume soit votre et qu'elle courre à jamais
Afin de vite croquer ce qui hier était
et devient aujourd'hui juste de l'affliction
Âme, creuset de la divine fiction
en tes tréfonds l'inspiration je trouverai
Qu'aussitôt le Sombre soit à jamais défait
Étincelantes rimes irisées , Naissez
envolez-vous, pareilles aux bulles d'or malté,
prenez le chemin de mes oreilles captives,
Et merci pour ma félicitée native,
doucement brodée du léger souffle des sons
et allons y sans atermoiement; chantons:
Buvons et écrivons d'une ardeur égale!
Mais voici venir la Dame aux yeux d'opale.
Un ruban de velours dans ses cheveux d'argent
elle danse. Mais écoutez-la braves gens :
« A l'orée de la forêt mon cœur s'est ému
à l'orée de la clairière mon corps s'est tendu
pour mon bien-aimé, mon roi aux cornes de cerf.
Ô Cernan, le souvenir de tes bras m'enserre !
Pourquoi les traditions nous ont elles séparé
nous deux qui ne nous y sommes jamais prépares.
Et quand nous retrouverons-nous sereinement
pour nous abandonner à l'amour pleinement ? »
« Je ne sais, ma dulcinée, quoi vous répondre
car loin de vous mon cœur ne sait que se morfondre.
Votre absence me blesse davantage que les épées,
quand je vous reverrai, je trouverai la paix.
Car vivre loin de vous je ne pourrai jamais
et ma vie dépourvue de son sens serait.
Couplet 3 La nuit est là, sombre et difficile elle s'annonc' (elision du e) devant tant de ténèbres, la lune renonce.
Dans l'obscurité, nous voila aveugles et sourds.
Chaque larme de désespoir chargeant nos coeurs lourds.
Lourds des rire et des joies qui m'ont abandonnes.
Qui m'ont abandonnés après toutes ces années
Mais, point trop n'en faut, maintenant riez et chantez !
Et tentez d'oublier les horreurs du passé.
Pourtant, la lassitude est toujours là qui guette,
et qui risque de geler la main du poete.
À moins que ce ne soit le bout de son ti nez
Ce même nez qu'il ne peut s'empêcher de curer ...
mais tout ceci avec une grande dignité,
malgré son ébriété pour se réchauffer,
pour se protéger de ce froid omniprésent
que la nuit apporte avec elle, sournoisement.
Le faisant frisonner, malgré ses mains gantées
et ses chaussettes à maintes fois rafistolées
et sa cape, de toutes les couleurs, bariolé,
qui servait à cacher les objets dérobés,
par ses mains si agiles, aux gens un peu trop riches
engoncés dans leur manteau en peau de biche.
(euh désolée DL mais tu t'es planté, des rimes embrassées c'est sur le modèle ABBA, ce que vous faites depuis le début c'est des rimes plates...mais ca ne gache rien a la beauté de ces rimes...)
Gimme gimme gimme a man after midnight
Won't somebody help me chase these shadows away
Gimme gimme gimme a man after midnight
Take me through the darkness to the break of the day
Néo ... Non... quand même ... quoi ... alors ...
Bon, sinon, pourquoi dès qu'on versifie sur l'histoire d'un Menestrel ça retombe tout de suite dans l'ambiance tristoune pleine de nuit noire, de solitude, de tristesse et de doute ??? C'est le concept qui veut ça ? Pourtant un Menestrel, c'est gai, ça porte des ti vêtements colorés et tout et tout ... pffff
Alors :
Miné, incertain, il est en proie au doute
Faudrait qu'il arrête les bad trips une fois pour toute
Les ménestrels sont des êtres torturés qui cachent leur désespoir à travers leurs calembours, leurs rimes et leurs chansons ... Quoi, je suis le seul ??
D'autant plus quand c'est servi par des boys-scouts.
J'ai pris le parti d'effacer les trois derniers posts, ce qui a été dit a été lu et suffit. Je propose qu'on s'arrête là, ca évitera que chacun y mette son grain de sel.
Le topic reste ouvert à tout le monde, mais si c'est pour participer et non pour critiquer.
Nous souhaitons avec Elann que l'ambiance sur la pierre reste la même que celle qui y règne depuis le début, donc effectivement, éviter les critiques et les vannes incessantes serait appréciable à certains moments.
Couplet 1 Je suis, mes chers amis, très heureux de vous voir
Nous allons ensemble raconter une histoire
de fées et de dragons, d'aventure et d'amour
, une histoire de trouvères, ménestri, troubadours...
Un conte dans lequel héros et chevaliers,
pourraient enfin arrêter de se déchirer
Car le temps n'est plus aux vaines bagarres
où tous se battaient sans répit, sans égards
Occupons nos esprits a de plus nobles arts
pour celle dont tous voulaient connaître le regard
Une femme qui rendait tous hommes vantard
une femme qui, de sa mère, connaissait le Pouvoir
,le pouvoir d'aimer comme seul le sait une fée
Tout ceci est un brin tristounet, poil au nez
car le moment n'est point à la mélancolie
et nous devons ce soir oublier nos soucis
Alors, jouons ! Devenons fous ! Soyons libres !
libres de chanter, déclamer, danser ! Libres !
et un pas en avant deux pas en arrière
la main dans la main, chantons, dansons mes frères
Bière en main gauche, femme main droite , Yermat !
buvons, embrassons avec passion et hâte !
laissons l'ivresse du bonheur nous emporter,
cet instant magique nous ne devons le rater
Alors, allons-y ! Envolons-nous vers ces cieux !
qui par delà l'horizon nous tirent les yeux
Déjà les nuages de l'ivresse arrivent
les flots de la joie sont parmi nos convives
La nuit ne peux calmer notre ardente clameur
,libérons nos âmes, combattons sa noirceur
Que par nos chants notre joie demeure longtemps
goûtez ainsi à notre bonheur braves gens
Et si d'aventure la vie vous est un fardeau
foi d'aubergiste, je vous conseille de stopper l'eau
Sauf dans les anis ! Mais préservez les whiskys !
faites de nombreuses libations d'eau de vie
Nul ne pourra donc vous taxer de triste sire
en vous contemplant auréolé de plaisir
Et si d'aventure nous tenions jusqu'au matin
exténués, vidés presque mourant de faim.
Alors nous pourrions devenir aussi grands
que Pantagruel, Gargantua ! Ces géants
au cœur si grand que leur ventre y tiendrait
tout entier, palpitant d'une vie de "hauts faits",
qui jamais ne serait froid quand bien même l'hiver viendrait
qui le printemps éclos d'amour nous remplirait
et à l'été de lumière nous inonderait
si bien que même l'automne n'y résisterais.
Les saisons passées, place au nouveau couplet
qui à n'en pas douter sera aussi replet.
Couplet 2 Esprits de l'alexandrin, je vous invoque
faites moi tout pareil au divin Archiloque
Éveillez en moi la flamme du poète
et l'ardent désir du sublime esthète
Que ma plume soit votre et qu'elle courre à jamais
Afin de vite croquer ce qui hier était
et devient aujourd'hui juste de l'affliction
Âme, creuset de la divine fiction
en tes tréfonds l'inspiration je trouverai
Qu'aussitôt le Sombre soit à jamais défait
Étincelantes rimes irisées , Naissez
envolez-vous, pareilles aux bulles d'or malté,
prenez le chemin de mes oreilles captives,
Et merci pour ma félicitée native,
doucement brodée du léger souffle des sons
et allons y sans atermoiement; chantons:
Buvons et écrivons d'une ardeur égale!
Mais voici venir la Dame aux yeux d'opale.
Un ruban de velours dans ses cheveux d'argent
elle danse. Mais écoutez-la braves gens :
« A l'orée de la forêt mon cœur s'est ému
à l'orée de la clairière mon corps s'est tendu
pour mon bien-aimé, mon roi aux cornes de cerf.
Ô Cernan, le souvenir de tes bras m'enserre !
Pourquoi les traditions nous ont elles séparé
nous deux qui ne nous y sommes jamais prépares.
Et quand nous retrouverons-nous sereinement
pour nous abandonner à l'amour pleinement ? »
« Je ne sais, ma dulcinée, quoi vous répondre
car loin de vous mon cœur ne sait que se morfondre.
Votre absence me blesse davantage que les épées,
quand je vous reverrai, je trouverai la paix.
Car vivre loin de vous je ne pourrai jamais
et ma vie dépourvue de son sens serait.
Couplet 3 La nuit est là, sombre et difficile elle s'annonc' (elision du e)
devant tant de ténèbres, la lune renonce
Dans l'obscurité, nous voila aveugles et sourds
Chaque larme de désespoir chargeant nos coeurs lourds.
lourds des rire et des joies qui m'ont abandonnes
Qui m'ont abandonnés après toutes ces années
Mais, point trop n'en faut, maintenant riez et chantez !
Et tentez d'oublier les horreurs du passé
Pourtant, la lassitude est toujours là qui guette
Et qui risque de geler la main du poete
À moins que ce ne soit le bout de son ti nez
Ce même nez qu'il ne peut s'empêcher de curer ...
mais tout ceci avec une grande dignité
malgré son ébriété pour se réchauffer
Pour se protéger de ce froid omniprésent
que la nuit apporte avec elle, sournoisement.
le faisant frisonner, malgré ses mains gantées
Et ses chaussettes à maintes fois rafistolées.
Et sa cape, de toutes les couleurs, bariolée
Qui servait à cacher les objets dérobés,
Par ses mains si agiles, aux gens un peu trop riches
Engoncés dans leur manteau en peau de biche.
Il vous faut bonnes gens savoir, le Troubadour
ne mange pas si souvent de pomme d'amour
car il est trop occupe a faire des tours
Filant sur les chemins, ombre vue au petit jour
Son métier si difficile: faire pleurer, faire rire
Tout en cachant les larmes qui hantent son sourire
Le desespoir attise les feux de son art,
Mais il ne peut s'exprimer clairement, sans fard.
Jouer avec les mots est sa seconde nature,
son besoin, sa manie, sa vie, son aventure.
Aujourd'hui, il sait, il connait par où aller
Pour laisser la beauté des mots se révéler.
Mais lorsqu'il est seul, sans public, sorti de scène
Son auditoire change dés lors son amour en haine
devant sa harpe chagrine il s'incline
Et se met a travailler de nouvelles rimes
Inspiration naissante, esclave de ses désirs
dont il sera le seul a avoir souvenir
Mais quel doux moment est la creation
où se conjuguent fièvres et inspiration.
Couplet 4 Un jour, las, le ménestrel reprend sa route
Miné, incertain, il est en proie au doute
Faudrait qu'il arrête les bad trips une fois pour toute
D'autant plus quand c'est servi par des boys-scouts.
De gentils petits gringalets en culottes courtes
Qui courent partout en chantant à tue-tête:
" Dans la Tour, y'a des Aes Sedai pompettes !
Qui canalisent pour refroidir les bouteilles
Du moins, pour celles qui sont pas encore trop vieilles
Des Aes survoltées qui s’épongent le front
Tandis que leurs précieux liges tournent en rond...
Comme de jeunes coqs agressifs et impétueux
Ferraillant et marmonnant d'un air malheureux :
Où est mon coton-tige ? Je dois l'aiguiser !
Car sans cette arme, je suis bien embêté ! "
Ces Liges bavards, mais fidèles à leur condition,
Ces Sorcières criardes, qui picolent et aboient,
Ces Ménestrels, qui parlent plus que de raison
Et même qui déblatèrent en déraison
Mais alors que leurs rimes s'enlacent
Et nous font parfois oublier le temps qui passe.
Je pense qu'avec un théme, une "ligne de conduite", cela pourrait sûrement reprendre ... Par exemple : tenter de réécrire le texte vainqueur de la dernière joute (JB), avec l'accord de son auteur, bien sûr ... ou bien, s'inspirer d'une chose connue de tous (une comptine ou un conte par exemple => imaginez une adaptation poétique et fantasy des trois petits cochons )
tes deux idées sont sympas Je pense que la deuxième (les 3 petits cochons: les 3 'ti hobbits ?) est peut-être plus simple à mettre en oeuvre. Faut demander à DL, initiateur de ce topic
DL est malheureusement un peu au fond du trou ces temps ci. Je n'ai pas trop d'énergie à investir et le mieux que je puisse faire est de vous donner "carte blanche" est d'ouvrir un autre topic au nom des Ménestrels.
[i] Et bien je te dirais de suivre vraiment ce que ton coeur te dicte. Sans negliger pour autant le coté financier. Mais bon, je ne sais pas ce qu'il en est de ta situation, donc je ne peux te donner que des conseils un peu vagues. Mais du moins, quand on a un ami, dans le trou, et même si l'on si trouve, on peut tout de même discuter de cellule à cellule.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Je propose la première strophe :
Le sable qui coule entre mes doigts engourdis
Feutre les souvenirs et la peine s'assourdit
Le mortier entre les pierres est devenu cendres
Au long oubli, nous sommes voués à descendre .
Ma la peine de nos coeurs toujours dechirés,
Semble monter, une plainte, à la lune d'été,
D'une causse fraiche, monte un bellement craintif,
O Dieu, ce long oubli que tu m'y fasse descendre.
Le souvenir dans nos mémoires est indemne,
D'une désolation, ou la Terre se fit fendre,
Dont les roches, encore maintenant se souviennent,
La mort, vers un long oubli nous fait descendre.
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Hé ! l' Aiel ! Est-ce une licence poètique
Ou bien une possible erreur géographique ?
Ces plateaux du Sud qui, depuis la plaine, se haussent,
Sont appelés chez nous LE causse et non pas LA causse !*
*Voilà t-y pas que je lui cause comme à un gosse
Mais quelle qu'en soit la cause, souffrez que je me gausse !**
**VENGEANCE!!!!
PS après relecture:
Ecrire en alexandrins n'est pas de la frime
Ignores-tu, mon coco, qu'il faut que çà rime ?
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Faut-il, diantre,n' être qu'un ignorant soiffard Pour faire rimer boire avec l'étonnant cornard ? Quant à me voir traiter de sinistre hussard noir Je te décernerai le titre de busard noir!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Adonc, damoiseau sans feu ni lieu , buvard noir Buveur sans soif , ami de la triste bouteille Je vous fustigerai , pendu par les oreilles Et ce , pas plus tard qu'entre chien et loup , ce soir .
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
Damoiseau, vous admettez donc votre défaite .
Hâtez-vous de voiler votre mine défaite,
Et proposez nous un vers qu'on puisse suivre
A défaut d'un divin verre qui nous enivre !
La Divine bouteille je vous l'offre, ami,
Trinch, ou bien trinquons a la santé des morons,
Soyons amis, ou rien d'autre,
La defait je n'accepte pas, et considere comme votre!
Chevalier un jour, Chevalier toujours ! Montjoie Saint Denis et Tutti Quanti !
In cauda venenum mais la manoeuvre est basse
L'eau coulera longtemps avant que je me lasse
d'épancher en d'harmonieux vers alexandrins
Mon mépris pour ces volte-face de faquin!